Slovaquie
48° 09′ 00″ N 17° 07′ 00″ E / 48.15, 17.11666667
« République slovaque » redirige ici. Pour l’État satellite de l’Allemagne nazie, voir République slovaque (1939-1945). |
République slovaque (Slovaquie)[1]
Slovenská republika (Slovensko)
Drapeau de la Slovaquie |
Armoiries de la Slovaquie |
Devise nationale | aucune |
---|---|
Hymne national | Nad Tatrou sa blýska[2] |
Forme de l'État | République[3] parlementaire[4] |
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Président de la République | Andrej Kiska |
Président du gouvernement | Robert Fico |
Président du Conseil national | Pavol Paška |
Langues officielles | Slovaque[5] |
Capitale |
Bratislava[6] 48 °08'9N, 17 °07'7E |
Plus grande ville | Bratislava[7] |
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Superficie totale |
49 035[8] km2 (classé 126e) |
Superficie en eau | Négligeable |
Fuseau horaire | UTC +1[9],[10] |
Indépendance |
De l'Autriche-Hongrie[11] De la Tchécoslovaquie[12] |
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Date |
[11] [12] |
Gentilé | Slovaques |
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Population totale (2013) |
5 410 836 [13] hab.(classé 113e) |
Densité | 111 hab./km2 |
PIB nominal (2013) | 97,7 milliards de $[14] |
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PIB (PPA) | 146,9 milliards de $[14] |
PIB nominal par hab. (2013) | 17 706 $ [15] (43e) |
PIB (PPA) par hab. (2013) | 26 616 $ [15] (39e) |
IDH (2013) | 0,830 (très élevé) (37e) |
Monnaie |
Euro[16],[17] ( ) |
Code ISO 3166-1 |
|
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Domaine Internet | .sk |
Indicatif téléphonique | +421[18] |
La Slovaquie, en forme longue la République slovaque, en slovaque Slovensko et Slovenská republika, est un pays situé en Europe centrale, « au cœur de l'Europe » continentale et à l'est de l'Union européenne, dont elle est membre depuis 2004[19]. Ses pays frontaliers sont la Pologne au nord, l'Ukraine à l'est, la Hongrie au sud, l'Autriche au sud-ouest et la République tchèque au nord-ouest[19]. Du au , puis du au , elle a fait partie de la Tchécoslovaquie[11],[20].
La Slovaquie est membre de nombreuses organisations internationales, telles que l'ONU[21], l'OTAN[21], l'OMC[22], l'OCDE[21] ou encore le V4[23], et fait partie de la zone euro[17].
Toponymie
La Slovénie et la Slovaquie sont souvent confondues, car les noms Slovenská Republika (qui signifie République slovaque en slovaque) et Republika Slovenija peuvent prêter à confusion dans de nombreuses langues. Chaque année, un poids considérable de courrier mal acheminé est à réexpédier vers la Slovénie (600 kg en 2004)[24]. Cette confusion fait que le personnel des deux ambassades se retrouve chaque mois pour échanger le courrier mal adressé[25].
Géographie
Géographie physique
Le paysage slovaque est très contrasté dans son relief. Les Carpates (qui commencent à Bratislava) s'étendent sur la majorité de la moitié nord du pays[26]. Parmi cet arc montagneux on distingue les hauts sommets des Tatras (Tatry), qui sont une destination très populaire pour le ski et contiennent de nombreux lacs et vallées ainsi que le plus haut point de la Slovaquie, le Gerlachovský štít (2 655 m), et le Kriváň, symbole du pays[27].
Les plaines se trouvent au sud-ouest (le long du Danube) et au sud-est. Les plus grandes rivières slovaques, outre le Danube (Dunaj) dont elles sont des affluents, sont le Váh et le Hron, ainsi que la Morava[28] qui forme la frontière avec l'Autriche.
Climat
La Slovaquie appartient à la zone climatique tempérée nord avec une alternance régulière de quatre saisons et des conditions météorologiques variables avec une répartition relativement uniforme des précipitations tout au long de l'année due à l'influence des courants de l'Atlantique. Ce climat océanique tempéré tend vers le climat continental principalement au sud du pays où les influences des masses d'air sec située à l'est accentuent les écarts de températures qui sont en hiver à l'est du pays jusqu'à 3 °C plus froides qu'à l'ouest à une altitude identique[29].
Les températures moyennes des régions les plus chaudes dans les plaines du sud-ouest du pays sont de -1 à -2 °C en janvier et de 18 à 21 °C en juillet avec une moyenne annuelle de 9 à 11 °C. Dans les vallées du centre et du nord les moyennes annuelles sont de 6 à 8 °C et parfois inférieures dans les hautes vallées comme la région d'Orava. Vers 1 000 m, ces températures sont de 4 à 5 °C et tombent à -1 °C à 2 000 m d'altitude[29].
Station | Région | Latitude | Longitude | Altitude (m) | Précipitations annuelles (mm) | Températures moyennes en janvier (°C) |
Températures moyennes en juillet (°C) |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Bratislava | Sud- ouest | 48° 12’ | 17° 12’ | 129 | 580 | 0 | 20 |
Košice | Sud-est | 48° 42’ | 21° 16’ | 231 | 610 | -2 | 18 |
Žilina | Nord-ouest | 49° 14’ | 18° 37’ | 314 | 770 | -3 | 17 |
Lomnický štít | Nord, Hautes Tatras | 49° 12’ | 20° 13’ | 2635 | 1561 | -11 | 3 |
Subdivisions
La Slovaquie est divisée en 8 régions (kraje, au singulier kraj), nommées d’après leur capitale[35] :
- Slovaquie occidentale
- Bratislavský kraj (Bratislava)
- Nitriansky kraj (Nitra)
- Trenčiansky kraj (Trenčín)
- Trnavský kraj (Trnava)
- Slovaquie centrale
- Banskobystrický kraj (Banská Bystrica)
- Žilinský kraj (Žilina)
- Slovaquie orientale
- Košický kraj (Košice)
- Prešovský kraj (Prešov)
On peut aussi noter l’existence de 79 districts (okres)[36].
Villes
En 2008, 56 % de la population habitait en ville[37]. La capitale et plus grande ville, Bratislava, avec une population de plus de 425 000 habitants, est la 66e plus grande ville d'Europe, et sa zone urbaine élargie, avec plus de 600 000 habitants est la 110e agglomération européenne (données Eurostat)[38].
rang | nom | kraj (région) | hab. |
---|---|---|---|
1 | Bratislava | région de Bratislava | 428 672 |
2 | Košice | région de Košice | 236 093 |
3 | Prešov | région de Prešov | 92 786 |
4 | Nitra | région de Nitra | 87 285 |
5 | Žilina | région de Žilina | 85 400 |
6 | Banská Bystrica | région de Banská Bystrica | 83 056 |
7 | Trnava | région de Trnava | 70 286 |
8 | Martin | région de Žilina | 60 133 |
9 | Trenčín | région de Trenčín | 57 854 |
10 | Poprad | région de Prešov | 56 157 |
11 | Prievidza | région de Trenčín | 53 097 |
Infrastructures
Transport routier
Le réseau routier est en bon état dans l’ensemble, même s'il a peu d’autoroutes[39] (excepté autour de Bratislava, qui est relié à 4 autoroutes, y compris vers Vienne). La capitale connaît des problèmes d'embouteillages[40].
Toutes les autoroutes peuvent être utilisées moyennant la perception d’un droit forfaitaire. Les vignettes[41] peuvent être achetées aux postes frontières et dans les stations-services[39]. Depuis le , les poids lourds doivent être équipés d'un équipement de paiement électronique[42].
Transport ferroviaire
Železnice Slovenskej republiky (ŽSR, Réseaux ferrés de la république slovaque) est la société de droit public qui gère l'infrastructure ferroviaire en Slovaquie. Le réseau est dense et en bon état, même si les trajets sont longs et certains trains vétustes[39].
ŽSR gérait en 2007 3 658 km de lignes ce qui correspond à 6 881 km de voies[43] dont :
- Voie unique : 2 640 km
- Deux voies et plus : 1 019 km
- Écartement large (Ligne 500 Haniska (US steel) - Ukraine) : 99 km
- Écartement standard (1 435 mm) : 3 509 km
- Écartement < 1 435 mm : 50 km
Avec :
- 76 tunnels pour une longueur totale de 43,375 km
- 2 283 ponts pour une longueur totale de 46,762 km
Transport aérien
L'aéroport principal du pays est l'aéroport M. R. Štefánik à 9 km de Bratislava[44] (qui est aussi proche de l'Aéroport de Vienne-Schwechat en Autriche[45]). D'autres aéroports pour passagers se trouvent à Košice[46], Poprad[47] et Žilina[48].
Transport fluvial
Le Danube sur 172 km est la seule voie navigable de Slovaquie[49]. Du fait que le fleuve se situe en grande partie sur la frontière avec la Hongrie tous les projets d'aménagement comme le barrage de Gabčíkovo doivent se faire en concertation avec ce dernier[50]. Les ports fluviaux principaux sont à Bratislava et Komárno[51].
Transports urbains
La majorité des villes possèdent un réseau de bus[52], dans 5 villes ce réseau de bus est complété par un réseau de trolleybus (Bratislava, Košice, Prešov, Žilina, Banská Bystrica). À Bratislava et à Košice, le réseau urbain est agencé autour d'un réseau de trams[53].
Services aux collectivités
La Slovaquie est traversée par d'importants gazoducs[54], tel que le gazoduc Transgas reliant l'Ukraine à l'Autriche (et le hub de Baumgarten an der March). Son importance stratégique pour le gaz naturel devrait décroitre à l'avenir avec l'ouverture du gazoduc Nabucco[55]. Elle est également traversée par l'oléoduc Droujba[56]. En tout, elle est traversée par 6 769 km de gazoducs et 416 km d'oléoducs[51].
Le pays est importateur d'électricité (de peu), mais dépend principalement d'importations pour son pétrole et son gaz naturel[57].
La Slovaquie est doté d'un réseau téléphonique moderne, qui s'est largement étendu ces dernières années, principalement avec les services mobiles. Le réseau est en train d'être converti au numérique et à la fibre optique, particulièrement dans les grandes villes. Le service mobile est fourni par trois entreprises. Le pays a trois commutateurs internationaux, un à Bratislava et deux à Banská Bystrica. Le pays participe à des projets de communication internationaux. En 2009, le pays avait 867 615 hôtes internet, et 3 566 000 utilisateurs d'internet en 2008. Son indicatif téléphonique international est 421 et son domaine national de premier niveau .sk[58].
Histoire
Avant le XIe siècle
Slavisé au Ve siècle[59],[60], le territoire slovaque constituait le cœur de la Grande-Moravie[61] et du XIe siècle une partie du Royaume de Hongrie[62],[63] (bien qu'il fût temporairement occupé par la Pologne au XIe siècle[64]). La Slovaquie tiendrait son nom des Slaves (slovanský) et des Valaques.
Possession hongroise / austro-hongroise
Après la mort du roi de Hongrie Louis II à la Bataille de Mohács (1526), son beau-frère Ferdinand Ier de Habsbourg est choisi à la fois comme roi de Hongrie[66] par la diète de Bratislava/Pozsony/Pressbourg et comme roi de Bohême par celle de Prague. La dynastie règnera dès lors jusqu'en 1918.
À la suite de la prise de Buda en 1541 par les Ottomans, et l'occupation de la Hongrie (sauf la Haute-Hongrie et ses riches mines d'argent), Bratislava/Pozsony/Pressbourg devient la capitale de la Hongrie royale et la ville de couronnement de la couronne de Hongrie[67].
Au XVIIIe siècle, sous l'influence du panslavisme et face au processus de magyarisation, un nationalisme slovaque voit le jour[68]. En 1847, une version codifiée du slovaque par Ľudovít Štúr[68] est acceptée par catholiques et luthériens[69] (une version codifiée par Anton Bernolák[68] au XVIIIe siècle n'étant acceptée que par les catholiques, les protestants utilisant jusqu'alors une version slovacicisée du tchèque[69] - ces notions panslaviques continueront d'être soutenues par certains intellectuels, tels que Ján Kollár même après 1847[69].
À la suite du Printemps des peuples, lors duquel les Slovaques s'opposèrent aux Hongrois[70], le nationalisme slovaque continue à se développer, avec la création de l'association culturelle Matica slovenská en 1863[71] et le Parti national slovaque en 1871[72]. Néanmoins, peu après la création de la Double Monarchie en 1867, lors de laquelle la Slovaquie retomba sous contrôle hongrois, ces institutions furent fermés[73] et le processus de magyarisation reprit[74].
En tant que partie de la Tchécoslovaquie
À la suite du traité de Saint-Germain-en-Laye de 1919 et du traité de Trianon de 1920 mettant fin à la Première Guerre mondiale, la Slovaquie, les pays tchèques (Bohême, Moravie, Silésie tchèque), et jusqu'en 1939 la Ruthénie[75] ont constitué de [11] au [76] la Tchécoslovaquie. Cette union politique, prônée à Versailles[77] , accordée par le traité de Saint-Germain-en-Laye, démantelée par l'Allemagne nazie et reconstituée en 1945[75] est partiellement artificielle : les pays tchèques, l'ancien Royaume de Bohême possession autrichienne, située en Cisleithanie, étaient un pays plus développé et industrialisé et sa population largement déchristianisée, tandis que la Slovaquie, ancienne possession hongroise située en Transleithanie, était plus rurale et profondément catholique[78], bien que les deux langues fussent très similaires (et comprises mutuellement, phénomène conforté à partir de années 1950 par une première chaîne de la télévision d'État bilingue)[79].
L'autonomie slovaque et ruthène reste longtemps un rêve[80],[81], exception faite des années 1938 - 1939, quand les Slovaques profitent du chaos consécutif aux accords de Munich[80] pour proclamer l'autonomie du pays[82],[83]. En effet, en 1939, un État indépendant (République Slovaque) dirigé par Mgr Tiso est créé[83],[84] à la suite de la pression de la part de Hitler qui menace de donner la Slovaquie aux Hongrois. Cet État sera largement inféodé au Troisième Reich[84].
Indépendance
Le pays redevient indépendant au [76], trois ans après la « Révolution de velours » de 1989 qui mit fin au régime totalitaire communiste[85] imposé par le « coup de Prague » de [86], le fédéralisme prôné par le « Printemps de Prague » de 1968 ayant été interrompu brutalement en août de cette année par l'Union soviétique et ses alliés[81],[87]. Depuis l'indépendance, le pays a poursuivi une politique d'intégration du pays dans les institutions internationales[23]; la Slovaquie fait partie de l'OTAN depuis le [88], et de l'Union européenne depuis le . En 2005, le pays fut élu pour la première fois au Conseil de Sécurité de l'ONU[89]. L'euro est sa monnaie depuis le [17],[90].
Politique
La Slovaquie est une république[3] parlementaire[4] ayant à sa tête un président, élu tous les cinq ans au suffrage universel[91], lors d'un scrutin uninominal majoritaire à deux tours)[92].
Le pouvoir exécutif est exercé principalement par le chef du gouvernement[91], le Premier ministre, qui est habituellement le chef du parti ou de la coalition majoritaire au parlement[93], nommé par le président[94]. Le reste du gouvernement est nommé par le président sur recommandation du premier ministre[95].
Le pouvoir législatif est exercé par le Conseil national de la République slovaque (Národná rada Slovenskej republiky)[96], parlement monocaméral comprenant 150 membres[4]. Les délégués sont élus pour un mandat de quatre ans à la proportionnelle[4], lors d'une élection en un tour, où chaque parti ou coalition obtenant 5 % des voix (7 % pour une coalition de 2 ou 3 partis, 10 % pour une coalition de 4 partis ou plus)[92].
La plus haute juridiction est la Cour suprême (Najvyšší sud), qui siège à Bratislava[97],[98]. La Cour constitutionnelle (Ústavný súd) décide des questions constitutionnelles. Ses 13 membres sont nommés par le Président pour 12 ans, à partir d'une liste de candidats sélectionnés par le Parlement[99].
Politique intérieure
Gouvernement
Gouvernement du [100]
- Président du gouvernement (Premier ministre) : Robert Fico (Smer-SD, parti de tendance social-démocrate)
Partis politiques représentés au conseil national
Suffrages exprimés | 2 060 276 | 150 sièges à pourvoir | ||||
Liste | Tête de liste | Tendance politique | Suffrages | Pourcentage | Sièges acquis | Var. |
---|---|---|---|---|---|---|
Direction - Social-démocratie | Néant | sociaux-démocrates | 1 134 280 | 55,05 % | 83 / 150 | |
Mouvement chrétien-démocrate | Néant | démocrates-chrétiens | 225 361 | 10,94 % | 16 / 150 | |
Les gens ordinaires et personnalités indépendantes | Néant | conservateurs | 218 537 | 10,61 % | 16 / 150 | |
Most–Híd "le pont" | Néant | minorité hongroise | 176 088 | 8,55 % | 13 / 150 | |
Union démocrate et chrétienne slovaque - Parti démocrate | Néant | 155 744 | 7,56 % | 11 / 150 | ||
Liberté et Solidarité | Néant | libéraux, respect des minorités | 150 266 | 7,29 % | 11 / 150 |
Les pourcentages affichés sont ceux des suffrages exprimés; sur base des votants, on a respectivement: 44.41; 8.82; 8.55; 6.89; 6.09; 5.88.
Suffrages exprimés | 2 529 386 | 150 sièges à pourvoir | ||||
Liste | Tête de liste | Suffrages | Pourcentage | Sièges acquis | Var. | |
---|---|---|---|---|---|---|
Direction - Social-démocratie (Smer-SD) | Néant | 880 111 | 34,8 % | 62 / 150 | +12 | |
Union démocratique et chrétienne slovaque - Parti démocrate (SDKÚ-DS) | Néant | 390 042 | 15,42 % | 28 / 150 | -3 | |
Liberté et solidarité (SaS) | Néant | 307 287 | 12,15 % | 22 / 150 | +22 | |
Mouvement chrétien-démocrate (KDH) | Néant | 215 755 | 8,53 % | 15 / 150 | +1 | |
Most–Híd | Néant | 205 538 | 8,13 % | 14 / 150 | +14 | |
Parti national slovaque (SNS) | Néant | 128 490 | 5,08 % | 9 / 150 | -11 | |
Parti de la coalition hongroise (SMK-MKP) | Néant | 109 639 | 4,33 % | 0 / 150 | 20 | |
Parti populaire - Mouvement pour une Slovaquie démocratique (ĽS-HZDS) | Néant | 109 480 | 4,33 % | 0 / 150 | -15 | |
Autres | Néant | 183 044 | 7,24 % | 0 / 150 |
Inscrits | 4 272 517 | |||||
Abstentions | 1 939 238 | 45,39 % | ||||
Votants | 2 333 279 | 54,61 % | ||||
Bulletins enregistrés | 2 333 279 | |||||
Bulletins blancs ou nuls | 30 140 | 1,29 % | ||||
Suffrages exprimés | 2 303 139 | 98,71 % | 150 sièges à pourvoir | |||
Liste | Tête de liste | Suffrages | Pourcentage | Sièges acquis | Var. | |
---|---|---|---|---|---|---|
Direction - Social-démocratie (Smer – sociálna demokracia) | Néant | 671 185 | 29,14 % | 50 / 150 | ||
Union démocratique et chrétienne slovaque – Parti Démocratique (Slovenská demokratická a kresťanská únia – Demokratická strana) | Néant | 422 815 | 18,36 % | 31 / 150 | ||
Parti national slovaque (Slovenská národná strana) | Néant | 270 230 | 11,73 % | 20 / 150 | ||
Parti de la coalition hongroise (Strana maďarskej koalície - Magyar Koalíció Pártja) | Néant | 269 111 | 11,68 % | 20 / 150 | ||
Parti populaire - Mouvement pour une Slovaquie démocratique (Ľudová strana – Hnutie za demokratické Slovensko) | Néant | 202 540 | 8,79 % | 15 / 150 | ||
Mouvement chrétien-démocrate (Kresťanskodemokratické hnutie) | Néant | 191 443 | 8,31 % | 14 / 150 | ||
Parti communiste slovaque (Komunistická strana Slovenska) | Néant | 89 418 | 3,88 % | 0 / 150 | ||
Forum libre (Slobodné fórum) | Néant | 79 963 | 3,47 % | 0 / 150 | ||
Alliance du nouveau citoyen (Aliancia Nového Občana) | Néant | 32 775 | 1,42 % | 0 / 150 | ||
Mouvement pour la démocratie (Hnutie za demokraciu) | Néant | 14 728 | 0,64 % | 0 / 150 | ||
Espoir (Nádej) | Néant | 14 595 | 0,63 % | 0 / 150 | ||
Autres | Néant | 44 336 | 1,93 % | 0 / 150 |
Premier tour | Second tour | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Inscrits | 4 339 331 | 4 339 257 | ||||
Abstentions | 2 446 662 | 56,38 % | 2 097 895 | 48,35 % | ||
Votants | 1 892 669 | 43,62 % | 2 241 362 | 51,65 % | ||
Bulletins enregistrés | 1 892 669 | 2 241 362 | ||||
Bulletins blancs ou nuls | 17 040 | 0,9 % | 17 767 | 0,79 % | ||
Suffrages exprimés | 1 875 629 | 99,1 % | 2 223 595 | 99,21 % | ||
Candidat | Parti | Suffrages | Pourcentage | Suffrages | Pourcentage | |
Ivan Gašparovič | Smer, SNS, HZD | 876 061 | 46,71 % | 1 234 787 | 55,53 % | |
Iveta Radičová | SDKÚ–DS, MKP, KDH, OKS | 713 735 | 38,05 % | 988 808 | 44,47 % | |
František Mikloško | KDS | 101 573 | 5,42 % | |||
Zuzana Martináková | SF | 96 035 | 5,12 % | |||
Milan Melník | HZDS | 45 985 | 2,45 % | |||
Dagmara Bollová | Sans étiquette | 21 378 | 1,14 % | |||
Milan Sidor | KSS | 20 862 | 1,11 % |
Politique extérieure
La Slovaquie et la République tchèque s'étant séparés pacifiquement, et étant tous les deux les États successeurs de la Tchécoslovaquie, le pays a été reconnu sur la scène internationale dès son indépendance. Il a été admis aux Nations unies 19 jours après son indépendance[105]. En 2005, le pays fut élu pour la première fois au Conseil de Sécurité de l'ONU[89].
Organisations internationales
La Slovaquie fait partie de nombreuses organisations internationales, telles que :
- Nations unies[21], depuis le [105]
- OTAN[21], depuis le [106]
- OCDE, depuis le [107]
- Union européenne[21], depuis le
- OSCE[21], depuis le[108]
- Conseil de l'Europe, depuis le [109]
Groupe Australie • Banque des règlements internationaux • Conseil de l'Europe • Initiative centre-européenne • Organisation européenne pour la recherche nucléaire • Conseil de Partenariat Euro-Atlantique • Banque européenne pour la reconstruction et le développement • Banque européenne d'investissement • Union européenne • Europol • Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture • Agence internationale de l'énergie atomique • Banque internationale pour la reconstruction et le développement • Organisation de l'aviation civile internationale • Chambre de commerce internationale • Cour pénale internationale • Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge • Association internationale de développement • Agence internationale de l'énergie • Société financière internationale • Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge • Organisation internationale du travail • Fonds monétaire international • Organisation maritime internationale • Organisation internationale de télécommunications mobiles par satellites • Interpol • Comité international olympique • Organisation internationale pour les migrations • Union interparlementaire • Organisation internationale de normalisation • Union internationale des télécommunications • Confédération syndicale internationale • Agence multilatérale de garantie des investissements • OTAN • Agence pour l'énergie nucléaire • Groupe des fournisseurs nucléaires • OCDE • Organisation pour l'interdiction des armes chimiques • OSCE • Cour permanente d'arbitrage • Convention de Schengen • Nations unies • Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement • UNESCO • Force des Nations unies chargée du maintien de la paix à Chypre • Organisation des Nations unies pour le développement industriel • Organisme des Nations unies chargé de la surveillance de la trêve • Organisation mondiale du tourisme • Union postale universelle • Confédération mondiale du travail • Union de l'Europe occidentale (pays partenaire associé) • Fédération syndicale mondiale • Organisation mondiale de la santé • Organisation mondiale de la propriété intellectuelle • Organisation météorologique mondiale • Organisation mondiale du commerce • Comité Zangger
Elle a également un statut d'observateur au sein des organisations suivantes :
Organisation de coopération économique de la mer noire • Conseil des États de la mer Baltique • Organisation des États américains • Organisation internationale de la francophonie • Initiative européenne du Sud-Est de coopération
Relations avec les pays voisins
Avec la République tchèque
Les relations entre la Slovaquie et la République tchèque ont été établies le , le jour où la Tchécoslovaquie a été dissoute[110], que les deux pays ont constituée entre 1918 et 1993[111]. Avant cela, ils faisaient tous deux partie de l'Autriche-Hongrie, l'actuelle République tchèque étant autrichienne depuis 1526 tandis que la Slovaquie faisait partie de la Hongrie reconquise à la fin du XVIIe siècle[112]. Les deux pays ont 197 km de frontière commune[113] ; il y a environ 200 000 Slovaques habitant en République tchèque[114], et environ 45 000 Tchèques en Slovaquie[115].
Ces relations sont généralement considérées comme « cordiales », voire « très bonnes » dans les médias[116]. La Slovaquie a une ambassade à Prague et un consulat général à Brno[117], la République tchèque une ambassade à Bratislava[118] et un centre culturel à Bratislava[119] et Košice[120]. Il est habituel que la première visite officielle à l'étranger d'un nouveau chef d'État d'une de ces deux nations soit chez l'autre pays qui a précédemment constitué le pays commun[121].
Les deux pays font partie de l'OTAN[122], de l'UE[123] et du V4[124].
Avec la Hongrie
Les Relations entre la Hongrie et la Slovaquie ont été établies le [125]. Les deux pays ont 676 km de frontière commune[113],[126] ; il y a environ 514 000[127] Hongrois habitant en Slovaquie, ce qui constitue environ 10 % de la population[126], principalement dans le sud du pays et environ 25 000 Slovaques en Hongrie (soit environ 0,12 % de la population)[128].
La Hongrie a une ambassade à Bratislava[129] et la Slovaquie a une ambassade à Budapest, un consulat général à Békéscsaba, et un centre culturel à Budapest[117].
Les deux pays font partie de l'OTAN[122], de l'UE[123] et du V4[124].
Bien que les deux pays soient alliés, des difficultés subsistent, tenant à l'histoire et à la question de la minorité magyarophone en Slovaquie, un accord bilatéral a été signé en décembre 2003 entre les deux pays[126].
Les relations ont été tendues par la présence du parti extrémiste et nationaliste[130] SNS de Ján Slota au gouvernement[131].
Avec la Pologne
Les relations entre la Pologne et la Slovaquie ont été établies en 1993[132]. Les deux pays ont 529 km de frontière commune[113] ; il y avait environ 2 000 Slovaques habitant en Pologne selon le recensement polonais de 2002[133],[134] (principalement dans les régions frontalières d'Orava et de Spiš, ainsi qu'à Cracovie et en Silésie)[135], et 2 602 Polonais en Slovaquie selon le recensement slovaque de 2001[79] bien que des estimations de 1998 donnent des nombres plus élevés (jusqu'à 25 000)[135], et environ 10 000 Polonais en Slovaquie.
La Slovaquie a une ambassade et un centre culturel à Varsovie et un consulat général à Cracovie[117], la Pologne une ambassade[136] et un centre culturel à Bratislava[137].
Les deux pays font partie de l'OTAN[122], de l'UE[123] et du V4[124].
Avec l'Autriche
Les relations entre l'Autriche et la Slovaquie ont été établies le [138]. Les deux pays ont 91 km de frontière commune[113] (et les deux capitales sont à moins de 60 km l'une de l'autre). Officiellement 4 741 personnes se sont déclarées slovaques dont 1 775 citoyens autrichiens au recensement de 2001[139], mais des estimations non officielles cite un chiffre d'environ 25 000 Slovaques habitant en Autriche[139]. Le gouvernement autrichien reconnait les Slovaques comme minorité nationale[140].
La Slovaquie a une ambassade à Vienne[117] et trois consulats honoraires à Innsbruck, Linz et Salzbourg[141], l'Autriche une ambassade à Bratislava[142].
Les deux pays font partie de l'Union européenne[123].
Avec l'Ukraine
Les Relations entre la Slovaquie et l'Ukraine ont été établies le , le jour où la Tchécoslovaquie a été dissoute[143]. Les deux pays ont 98 km de frontière commune[113], qui est également la frontière orientale de l'Union européenne et l'espace Schengen[126] ; il y a environ 5 600 slovaques habitant en Ukraine dans l'Oblast de Transcarpatie[144] (qui jusqu'en 1938 était une région tchécoslovaque) et environ 55 000 ruthènes et ukrainiens en Slovaquie[51].
La Slovaquie a une ambassade à Kiev, un consulat général à Oujhorod[117], et deux consulats honoraires à Donetsk et Oujhorod[141], l'Ukraine une ambassade à Bratislava[145] et un consulat à Prešov[143]. La Slovaquie est favorable à l'entrée de l'Ukraine dans l'UE[126].
Relations avec l’Union européenne
L’Union européenne reste la priorité de la diplomatie slovaque[126].
La Slovaquie a rejoint le premier groupe des pays adhérents et clôturé les négociations lors du Conseil européen de Copenhague, les 13 et . Elle a signé le traité d’adhésion le à Athènes et l’a ratifié massivement (plus de 92 % de oui) lors du référendum des 16 et . Son adhésion est devenue effective le [126].
La Slovaquie dispose de 13 eurodéputés[146], et a ratifié le traité de Lisbonne le (par 103 voix contre 5)[126].
La Slovaquie soutient en particulier la poursuite de la politique européenne de voisinage et souhaite prendre une part active dans la PESC et la PESD. Elle est attentive aux aspects concrets des politiques de l’Union européenne : budget européen, liberté de circulation des personnes, économie de la connaissance, culture et éducation, énergie, etc[126].
Chronologie
- Le , la Slovaquie présente la demande d'adhésion[147].
- Le , a Slovaquie ouvre les négociations d'adhésion (terminées le )[148].
- Le le Conseil européen approuve l'adhésion[149].
- Le : la Slovaquie signe le Traité d'adhésion (en vigueur au )[150].
- Le 92,4 % des Slovaques approuvent l'adhésion par référendum[151].
- Le la Slovaquie entre dans l'Union européenne[152].
- Le la Slovaquie intègre l'espace Schengen[153].
- Le , la Slovaquie obtient l'accord définitif de l'Union européenne pour intégrer la zone euro au [154].
- Le la Slovaquie intègre la zone euro[17].
Démographie
En juillet 2009, la population slovaque était estimée à 5 463 046 habitants, faisant de la Slovaquie le 111e pays le plus peuplé au monde.
Selon le recensement de 2011[réf. nécessaire], la majorité des habitants de Slovaquie sont des Slovaques (80,7 %). Cependant, le pays compte une forte minorité magyarophone (de langue hongroise) dans le sud et l'est (8,5 % de la population nationale). Les autres ethnies sont les Roms (2,0 %) (Tsiganes), les Tchèques, les Ruthènes, les Ukrainiens, les Allemands et les Polonais.
Selon ce même recensement, 62,0 % de la population est catholique, 8,8 % protestante, 4,1 % gréco-catholique, et 13 % athée.
En 2009, 15 % de la population a moins de 15 ans, et 12,5 % plus de 65 ans. Le taux de natalité est de 10,6 naissances pour 1 000 habitants, plaçant le pays au 183e rang mondial (ou 1,35 enfants par femme - 203e au monde), le taux de mortalité de 9,53 pour 1000 habitants (72e rang mondial) et le taux de croissance de la population est de 0,137 % (187e rang mondial). Le taux de mortalité infantile est de 6,84 pour 1000 naissances (171e rang mondial), et l'espérance de vie moyenne à la naissance est de 75,4 ans (78e rang mondial).
Le taux d'alphabétisation est de 99,6 % ; le pays dépense 3,9 % de son PIB pour l'éducation (111e rang mondial). En 2008, 56 % de la population vivait en ville, et le taux d'urbanisation sur la période 2005-2010 était estimée à un taux annuel de 0,2 %[51].
Repartition de la population en Slovaquie par nationalité
31/12/2013 | |
---|---|
Total | 5.415.949 |
Slovaquie | 5.356.798 |
République tchèque | 11.443 |
Hongrie | 8.134 |
Pologne | 5.070 |
Roumanie | 4.941 |
Allemagne | 3.571 |
Ukraine | 2.744 |
Italie | 2.011 |
Autriche | 1.805 |
Bulgarie | 1.595 |
Royaume-Uni | 1.566 |
Viêt Nam | 1.377 |
France | 1.355 |
Russie | 1.350 |
Les nationalités comportant moins de 1000 resssortissants ne sont pas reprises dans ce tableau. Source : http://slovak.statistics.sk/
Économie
L’économie de la Slovaquie est en forte croissance depuis 2000, en particulier grâce aux bénéfices de son intégration à l’Union européenne et des réformes libérales menées par le gouvernement de Mikuláš Dzurinda[155]. Depuis 1999, le taux de croissance annuel n'a ainsi cessé d'augmenter, passant de +0,3 % à +8,8 % en 2007[156]. Le terme « tigre des Tatras » est parfois employé, basé sur le terme Tigre Celtique[157].
À la faveur d'une main d'œuvre assez qualifiée, des salaires faibles et un droit du travail flexible, le pays attire de nombreuses entreprises industrielles. Après Volkswagen à Bratislava, c'est PSA Peugeot Citroën qui a annoncé un investissement à Trnava, puis Hyundaï Kia à Žilina. Le secteur de l'industrie automobile représente désormais un tiers du PIB et constituait le premier poste à l'exportation en 2006[158]. En 2007, 550 000 voitures devraient être assemblées dans le pays et 900 000 en 2010[159].
Hormis la métallurgie (vers la capitale et Košice)[160], les principales activités du pays sont le bois et ses dérivés (région de Banská Bystrica[161] et autour de Ružomberok[162]), les biens d'équipement et, à un degré moindre, l'électronique et l'habillement[57]. Le pays exploite aussi du charbon[163].
Le PIB se montait en 2008 à 95,4 milliards de dollars, soit 22 000 $ par habitant[51],[164]. Depuis le 1er janvier 2013, l’impôt sur les sociétés est de 23%. Quant aux personnes physiques dont le revenu mensuel est supérieur à 2750 EUR, elles seront imposées à 25%[165]. Pour l'année 2009, le taux de chômage s'établit à 11,9 % de la population active[166].
La balance commerciale slovaque est légèrement négative. En 2008 ses importations étaient de 73 620 000 000 $ contre des exportations de 72 570 000 000 $. Les partenaires commerciaux de la Slovaquie étaient principalement des pays de l'Union européenne, la Russie, la Corée du Sud et la Chine. Un quart des exportations en 2004 étaient des véhicules[51].
Secteur primaire
En 2008, l'agriculture composait 3,7 % de l'économie slovaque. L'agriculture slovaque produit principalement des céréales, des pommes de terre, de la betterave à sucre, du houblon, des fruits ; l'élevage principalement des porcs, des bœufs, de la volaille ; le pays est également engagé dans la sylviculture[51].
Industrie
En 2008, les principaux secteurs industriels étaient: la métallurgie, l'agroalimentaire, l'énergie (électricité, gaz, coke, combustible nucléaire), la chimie et les fibres chimiques, les machines, la papèterie, la poterie et la céramique, les véhicules, les textiles, les équipements électriques et optiques et le caoutchouc[51].
Monnaie
La devise officielle de la Slovaquie est l'euro depuis le [17]. L'ancienne devise était la couronne slovaque (Slovenská Koruna) qui fut en circulation du [167] au [17],[168].
Le cours de change définitivement adopté est de 30,1260 couronnes slovaques pour un euro[17]. Les faces des pièces slovaques en euro ont été adoptées par la Banque centrale slovaque en [169], le public put voter pendant une semaine parmi 10 motifs possibles[170],[171].
Sports
Hockey sur glace
Le sport le plus populaire et le plus pratiqué en Slovaquie est le Hockey sur glace[172]. La Slovaquie fait partie des meilleures nations au monde, étant classée actuellement 6e au classement IIHF[173]. L'équipe nationale a notamment été championne du monde en 2002[172]. Par ailleurs de nombreux joueurs slovaques évoluent dans la LNH, la meilleure ligue du monde. En 2011, Bratislava et Košice ont été les villes hôtes du Championnat du monde de hockey sur glace 2011[172].
Plus récemment encore, l'équipe nationale s'est classée seconde au Championnat du monde de hockey sur glace 2012 en s'inclinant en finale face à la Russie.
Au niveau national, le Championnat de Slovaquie de hockey sur glace s'appelle la Slovnaft Extraliga. Le championnat est disputé par treize équipes et les huit premières disputent des séries éliminatoires[174]. Le HC Slovan Bratislava est le club le plus titré (7 titres)[175], puis le HC Košice (4)[176], le HC Dukla Trenčín (3)[177]. Le HKm Zvolen[178] et le MsHK Žilina[179] ont tous les deux gagnés un titre chacun. Quatre équipes slovaques ont gagné la Coupe continentale de hockey sur glace: le HC Košice, le HC Slovan Bratislava, le HKm Zvolen et le MHC Martin[180].
Environ 10 000 joueurs sont licenciés auprès de la Fédération de Slovaquie de hockey sur glace (Slovenský zväz ľadového hokeja ou SZĽH)[181].
Football
L'équipe nationale avait failli se qualifier notamment pour la Coupe du monde 2006, seulement éliminée en matchs de barrages face à l'Espagne[182]. La Slovaquie s'est qualifiée pour la première fois de son histoire pour la Coupe du monde de football de 2010, le , en étant première de son groupe. Elle finit ainsi devant la Slovénie[183]. Lors de la phase finale en Afrique du Sud, elle crée la surprise en éliminant l'Italie, tenante du titre, remportant la rencontre directe décisive sur le score de 3 à 2. Elle possède actuellement dans ses rangs des joueurs tels que Martin Škrtel (Liverpool FC) un des meilleurs défenseurs du championnat anglais[184], Róbert Vittek (Slovan Bratislava)[185], Miroslav Stoch (PAOK Salonique), Marek Mintal (FC Nuremberg) qui fut meilleur buteur de la Bundesliga en 2005[186] et surtout Marek Hamšík (SSC Naples)[187] en qui on voit un futur grand joueur et qui est intéresse les meilleures équipes européennes[188],[189].
Au niveau national, le premier niveau du championnat est la Corgoň Liga qui a 12 équipes[190]. Les équipes les plus titrés sont le Slovan Bratislava (7 titres)[191] et le MŠK Žilina (4)[192]. Le 1.FC Košice[193], l'Inter Bratislava[194], et l'Artmedia Bratislava[195],[196] ont gagné 2 titres et le MFK Ružomberok 1[197].
Tennis
En tennis, la Slovaquie est présente sur la scène internationale aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Chez les hommes, la meilleure performance de l'équipe nationale est la finale de la Coupe Davis, où elle s'inclina face à la Croatie[198].
On retrouve deux joueurs au sein du Top 100 Classement ATP en 2013, Martin Kližan et Lukáš Lacko. Parmi les autres joueurs reconnus, se trouvent notamment Dominik Hrbatý (no 12 mondial en 2004 et demi-finaliste à Roland-Garros en 1999)[199],[200] et Karol Beck (ex 36e mondial)[201].
Les femmes possèdent une bonne équipe de Fed Cup emmenée par Daniela Hantuchová (régulièrement classée parmi les 10 meilleures joueuses mondiales) et Dominika Cibulková[202].
Canoë-kayak
La Slovaquie fait partie des meilleures nations en canoë-kayak. Elle possède dans ses rangs, Michal Martikan[203] le meilleur céiste de ces 15 dernières années avec Tony Estanguet[204]. Il a à son palmarès plusieurs Coupe du monde et surtout 2 titres olympiques (en 1996 à Atlanta et 2008 à Pékin)[203] et a été 2 fois vice-champion olympique (en 2000 à Sydney et 2004 à Athènes)[203] et 1 fois médaillé de bronze (en 2012 à Londres. En canoë biplace, les frères Pavol[205] et Peter Hochschorner[206] ont un palmarès tout aussi impressionnant puisqu'ils ont été trois fois consécutivement champions olympiques en 2000, 2004 et 2008[207].
Autres sports
- Aux Jeux olympiques d'été, la Slovaquie a remporté des médailles d'or (7) en Canoë-kayak, mais a également en natation, au tir, au judo, en lutte. Aux jeux olympiques d'hiver, la Slovaquie a gagné des médailles en biathlon et en snowboard[208].
- En cyclisme, la Slovaquie est bien représentée au niveau international (classée 12e à UCI World Tour 2013[209]) et possède de bons coureurs. Peter Velits de l'équipe BMC Racing qui fut champion du monde des moins de 23 ans en 2007[210] mais surtout Peter Sagan, jeune sprinteur très prometteur, qui est capable de rivaliser avec les meilleurs sprinteurs du monde, comme Mark Cavendish, il a remporté le classement par point des éditions 2012, 2013, 2014 et 2015 du Tour de France. Peter Sagan s'impose en solitaire lors du Championnat du Monde sur route de Richmond en 2015. Il est le premier slovaque à remporter ce titre mondial.
Culture
Littérature
La littérature slovaque du Moyen Âge est en grande partie d'inspiration biblique et les thèmes, le style ont été souvent recopié d'une œuvre à l'autre et étaient généralement anonymes[211].
Si la littérature slovaque était active depuis la renaissance, elle n'a pris son essor qu'à partir de 1843 lorsque le dialecte du centre de la Slovaquie fut codifié pour en faire une langue au niveau national[212].
Au XVIIIe siècle apparait un nationalisme savant (avec des auteurs comme Juraj Papánek ou Juraj Sklenár), et avec les changements sociaux sous les règnes de Marie-Thérèse et Joseph II (fin du système féodal, alphabétisation, rapprochement des notions de Nation et de communauté linguistique), les premières codifications du slovaque et textes littéraires en slovaque apparaissent[213].
La seconde codification du slovaque par Ľudovít Štúr devint le slovaque que l'on connait aujourd'hui, grâce entre autres à l'œuvre des poètes Janko Kráľ, Andrej Sládkovič et Ján Botto. La propagation du slovaque et de sa littérature souffrirent sous la période de magyarisation entre 1867 et 1919 (bien que l'on peut noter des auteurs tels que Pavol Dobšinský et Pavol Országh Hviezdoslav)[213].
Après la création de la Tchécoslovaquie, la prose devient plus prédominante, en particulier réaliste (Ladislav Nádaši-Jégé, Milo Urban, Jozef Cíger-Hronský). Lors des années 1930, des courants plus lyriques et naturalistes apparaissent (Dobroslav Chrobák, Margita Figuli, František Švantner)[213].
Après la Deuxième Guerre mondiale, les thèmes de la Partisannerie et du Soulèvement national slovaque dominent, mais les premiers thèmes anti-stalinistes apparaissent dès 1954, sous la plume d'Alfonz Bednár (mais aussi de František Hečko, Rudolf Jašík, Dominik Tatarka, ou Ladislav Mňačko). Dans les années 1970, la littérature slovaque devient moins politique (Vincent Šikula, Ladislav Ballek, Ján Johanides, Pavel Vilikovský, Rudolf Sloboda, Dušan Mitana)[213].
Depuis l'indépendance de la Slovaquie, la Slovaquie a une littérature très vibrante, on peut noter par exemple Martin M. Šimečka ou Peter Pišťanek[213].
Arts plastiques
La tradition artistique slovaque remonte jusqu'au Moyen Âge. De l'époque, de nombreux maîtres sont connus, tels que maître Paul de Levoča ou Maître MS. L'art slovaque moderne a été influencé par le folklore slovaque et l'art européen[214].
Au milieu du XIXe siècle, un style slovaque apparait avec des artistes comme Peter Michal Bohúň ou Jozef Božetech Klemens. D'autres artistes importants Vladimír Kompánek, Ladislav Medňanský, Dominik Skutecký, la peintre cubiste Ester Šimerová-Martinčeková, ou le surréaliste Imro Weiner-Kráľ, ou au XXe siècle, Koloman Sokol, Albín Brunovský, Martin Benka, Mikuláš Galanda, ou Ľudovít Fulla[214].
Musique
La musique slovaque remonte à la musique religieuse catholique, elle est étroitement liée à la musique des pays et peuples voisins (Autriche, Roms), et des états dont la Slovaquie a fait partie (Hongrie, Tchéquie). Elle a également d'autres influences telles que les musiques allemande, espagnole, française, italienne, ou provençale[215].
La vie musicale ne reprend son cours pleinement qu'au XVIIe siècle (avec des compositeurs tels que Ján Kusser), à la suite des invasions ottomanes et Bratislava devenant la ville de couronnement hongroise, et qui reste jusqu'à maintenant un centre musical important, visité par de nombreux grands compositeurs[215].
À la suite de l'indépendance, sur les bases de la musique tchèque et traditionnelle naît une musique nationale slovaque, avec des compositeurs tels que Eugen Suchoň, Ján Cikker, et Alexander Moyzes, qui sera suivie par une avant-garde forte dans les années 1960, avec Roman Berger, Jozef Malovec, Pavol Šimai, Ilja Zeljenka, Miro Bázlik, Ivan Parík, Peter Kolman, Ladislav Kupkovič. Après les années 1980, des compositeurs influencés par la musique minimaliste apparaissent, tels que Martin Burlas, ou Peter Machajdik[215].
La Slovaquie possède également de grands orchestres tels que l'Orchestre philharmonique slovaque, et de très bons interprètes tels qu'Edita Gruberová.
La musique populaire slovaque est très caractéristique et très riche, bénéficiant de la situation du pays à un carrefour entre l'est et l'ouest, ainsi que le sud et le nord de l'Europe[216], et cette musique a influencé les premiers compositeurs slovaques[217]. La musique traditionnelle slovaque a également bénéficié du travail de Béla Bartók (Les Chants populaires slovaques)[218]. Un des instruments traditionnels slovaques est la flûte fujara, qui a été reconnue comme patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l’UNESCO en 2005[219].
La scène pop a été dominée depuis des années par Richard Müller[220], les musiques actuelles sont très en vogue depuis la chute du régime communiste[217] (voir aussi Liste de groupes musicaux slovaques).
Cinéma
Le cinéma en Slovaquie a souffert sous le régime communiste de la censure, et depuis l'indépendance de la compétition internationale et la réduction des subventions culturelles. Néanmoins, certains réalisateurs slovaques ont réussi à obtenir une reconnaissance internationale, comme Ján Kadár, Juraj Jakubisko, Dušan Hanák, Štefan Uher[214]. La Slovaquie héberge également une des sociétés les plus réputées en porno gay: Belami.
Autres personnes
La Slovaquie est aussi connue pour ses polymathes, tels que Pavol Jozef Šafárik, Matej Bel, Ján Kollár, et ses réformateurs et révolutionnaires politiques tels que Milan Rastislav Štefánik et Alexander Dubček. D'autres personnalités célèbres incluent le héros Juraj Jánošík (équivalent slovaque de Robin des Bois), ou l'aventurier Móric Beňovský[221].
Architecture
De nombreux grands monuments ont été construits sous le régime communiste dans les années 1960 et 1970 (tels que le Nový Most ou la tour de télévision du Kamzík), qui ne sont pas toujours unanimement appréciés de nos jours[222].
L'architecture slovaque représente de nombreux styles (médiéval, baroque, moderne ou encore Art nouveau)[223]. Parmi les architectes slovaques on peut noter Dušan Jurkovič[224].
Une curiosité touristique rare et intéressante de la Slovaquie orientale (près de Košice) est le grand nombre d'églises rurales en bois, qui évoquent les stavkirke de Norvège[225].
Gastronomie
La cuisine est fortement influencée par les cuisines hongroise, autrichienne et slave[226] on retrouve donc sur les tables la goulash, les Strudels et borchtch. Mais le plat national est un plat typiquement montagnard qui s'appelle halušky au brynza (slovaque : Bryndzové halušky) et qui consiste en un plat de gnocchis au fromage de brebis appelé Bryndza[226]. Deux autres plats, des galettes de pommes de terre (slovaque : zemiakové placky) et une soupe aux choux (slovaque : kapustnica) présente sur toutes les tables le soir de Noël sont à signaler[227].
Les alcools traditionnels slovaques sont des alcools forts à base de prune (slivovica) et de baie de genévrier (Borovička)[226]. Les régions viticoles sont traditionnellement orientées vers la production de vin blanc dont le vin de Tokaj produit dans le sud-est de la région de Košice[226].
Langues
Le slovaque est une langue du groupe slave occidental, proche du tchèque, qui présente trois principaux dialectes. Il fut codifié par Anton Bernolák en 1787 (Bernolák se basa sur le dialecte slovaque occidental pour codifier la première langue littéraire slovaque), et Ľudovít Štúr, qui se basa sur le dialecte central en 1843[212].
Le slovaque est la seule langue officielle[79]. Une nouvelle loi controversée adoptée par le parlement slovaque en juillet 2009 prévoit des sanctions, allant jusqu'à 5 000 euros d'amende, pour l'utilisation d'une langue d'une minorité dans les services publics[228]. Néanmoins, les communes dont une minorité linguistique représente plus de 20 % des habitants bénéficient d'une signalisation bilingue[79]. Les langues minoritaires reconnues sont en ordre décroissant du nombre de locuteurs, le hongrois, le romani des Carpates parlé par les Roms, le tchèque parlé par les Tchèques et les Moraves, le ruthène et l'ukrainien, l'allemand (0,1 %), le croate (0,1 %), le polonais (0,05 %) et le bulgare (0,02 %). Les Juifs (0,06 %) sont également reconnus comme minorité mais se distinguent par la religion et non par la langue[79].
Religion
La majorité des Slovaques s'identifie[229] comme catholiques ou d'origine catholique (68,9 %), on compte également 6,93 % de luthériens, 4,1 % de gréco-catholiques, 2 % de calvinistes et 0,9 % d'orthodoxes et 13,0 % se sont déclarés sans confession. Il semble que bien que moins que ces pourcentages fréquentent les lieux de culte car selon l'Eurobaromètre de la Commission européenne en 2005, 40 % de la population était athée ou agnostique[230]. Seuls un peu plus de 2 000 juifs demeurent aujourd'hui[229] (comparé à 89 000 avant-guerre[231]).
Fêtes et jours fériés
Date | Nom français | Nom local | Remarques |
---|---|---|---|
1er janvier (1993) | Nouvel An et Fête nationale | Novy Rok + Deň vzniku Slovenskej republiky | |
6 janvier | Épiphanie (Adoration des Mages ou Baptême du Christ et Noël pour les chrétiens orthodoxes) | Zjavenie Pána (Traja králi a vianočný sviatok pravoslávnych kresťaňov) | |
Vendredi Saint | Veľký piatok | ||
Lundi de Pâques | Veľkonočný pondelok | ||
1er mai (1886) | Fête du travail | Sviatok práce | |
8 mai (1945) | Jour de la victoire sur le nazisme | Deň víťazstva nad fašizmom | |
5 juillet (863) | Fête de saints Cyrille et Méthode | Sviatok svätého Cyrila a Metoda | |
29 août (1944) | Jour anniversaire du Soulèvement national slovaque | Výročie SNP | |
1er septembre (1992) | Jour de la Constitution de la République slovaque | Deň Ústavy Slovenskej republiky | |
15 septembre | Fête de Notre-Dame des Sept Douleurs, patronne de la Slovaquie | Sviatok Panny Márie Sedembolestnej, patrónky Slovenska | lendemain de la Sainte-Croix |
1er novembre | Toussaint | Sviatok všetkých svätých | |
17 novembre (1989/1939) | Journée de la lutte pour la Liberté et la Démocratie | Deň boja za slobodu a demokraciu | |
24 décembre | Veille de Noël | Štedrý večer | |
25 décembre | Noël | 1. sviatok vianočný | |
26 décembre | Saint-Étienne | 2. sviatok vianočný | [232] |
Galerie photographique
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Prešov.
-
Košice.
-
Žilina.
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Banská Bystrica.
-
Nitra.
-
Trnava.
-
Bratislava.
Codes
La Slovaquie a pour codes :
- SK, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-2[233], selon la Nomenclature d'unités territoriales statistiques de l'Union européenne[234], et selon la liste des codes internationaux des plaques minéralogiques[235] ;
- SVK, selon la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays), code alpha-3[235], selon la liste des codes pays utilisés par l'OTAN, code alpha-3[236], et selon la liste des codes pays du CIO, code alpha-3[235] ;
- LO, selon la norme FIPS 10-4[237] ;
- LZ, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports[238] ;
- OM, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs[239] ;
- .sk, le domaine national de premier niveau (country code top level domain : ccTLD)[235] ;
- 421, selon la liste des indicatifs téléphoniques internationaux par pays[235].
Notes et références
- ↑ « Nom officiel : République slovaque » France Diplomatie: Présentation de la Slovaquie, consulté le 4 décembre 2009
- ↑ « L’Hymne national : de la République slovaque est composé des deux premières strophes du chant « Nad Tatrou sa blyska » dont les paroles sont du poète Janko Matuska (1821-1877). » Symboles de la Slovaquie - Association des originaires et amis des pays tchèques et slovaque, consulté le 4 décembre 2009
- 1 2 « Régime politique: république » Europa.eu: Les pays européens - Slovaquie, consulté le 4 décembre 2009
- 1 2 3 4 « Le pays possède un parlement monocaméral dont les 150 membres sont élus pour quatre ans. » Europa.eu: Les pays européens - Slovaquie, consulté le 4 décembre 2009
- ↑ « Langue officielle : slovaque » France Diplomatie: Présentation de la Slovaquie, consulté le 4 décembre 2009
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- ↑ « Villes principales (N. d’habitants.): Bratislava: 452 288; Košice: 240 915, Prešov: 92 687; Nitra: 87 357; Žilina: 86 685; Banská Bystrica: 84 919 » « Office de tourisme slovaque : Infos générales » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-25, consulté le 4 décembre 2009
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Annexes
Bibliographie
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Articles connexes
- Tchécoslovaquie
- Histoire de la Slovaquie
- Politique en Slovaquie
- Culture slovaque
- Économie de la Slovaquie
- Énergie en Slovaquie
Liens externes
- (en) Gouvernement slovaque
- (sk) Úrad vlády Slovenskej republiky
- Site officiel du tourisme en Slovaquie
- (fr) Constitution de la Slovaquie
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