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Levallois-Perret

Levallois-Perret

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Levallois.
Levallois-Perret
L'hôtel de ville.
L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays  France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Canton Levallois-Perret
Maire
Mandat
Patrick Balkany
(Les Républicains)
2014-2020
Code postal 92300
Code commune 92044
Démographie
Gentilé Levalloisiens
Population
municipale
64 654 hab. (2012)
Densité 26 827 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 42″ N 2° 17′ 14″ E/48.895, 2.28722248° 53′ 42″ Nord 2° 17′ 14″ Est/48.895, 2.287222
Altitude Min. 23 m  Max. 34 m
Superficie 2,41 km2
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine

Levallois-Perret

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Levallois-Perret
Liens
Site web ville-levallois.fr

    Levallois-Perret est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France dans l'arrondissement de Nanterre, au nord-ouest de Paris.

    Géographie

    Localisation

    Article détaillé : Île de la Jatte.

    Occupant la rive droite de la Seine, la commune est limitée au nord-est par Clichy, au sud-est par le 17e arrondissement de Paris, au sud-ouest par Neuilly-sur-Seine, et au nord-ouest par la Seine, faisant face à Courbevoie.

    Aux abords immédiats de la Seine, les quartiers Front de Villiers, Front-de-Seine et Collange ont une altitude (25 mètres) qui est la moins élevée de la ville. En progressant vers l'est (Front de Paris, Eiffel, Front de Neuilly) et le versant occidental de la colline de Montmartre l'altitude culmine en revanche à 33 mètres.

    La profondeur quasi nulle de la nappe phréatique dans les quartiers qui bordent la Seine les rend vulnérables aux crues qui ont à plusieurs reprises, entre autres en 1830 et 1910, affecté la commune. Ces quartiers sont aujourd'hui bénéficiaires du Plan de prévention du risque inondation.

    La partie septentrionale de l'île de la Jatte appartient au territoire de Levallois. Elle abrite un rucher dont la production, le miel de Levallois, fait partie du patrimoine culinaire local. Les abeilles apparaissent d'ailleurs dans les armoiries de la ville, même si la signification héraldique qui leur est attribuée renvoie aux nombreuses industries présentes sur le territoire de la ville au tournant du siècle et jusqu'aux années 1970.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 241 hectares ; l'altitude varie entre 23 et 34 mètres[1].

    La commune est située au centre d'une grande cuvette sédimentaire : le bassin parisien. Elle comporte en profondeur une épaisse couche de craie crétacé et de roches du tertiaire d'une épaisseur de 500 mètres. Sur la totalité de la commune, la partie supérieure du sous-sol date du Quaternaire. Il s'agit d'alluvions de la Seine. C'est dans ces couches que les ingénieurs Belgrand[2], Martin et Reboux découvrirent des ossements d'animaux, parmi lesquels des éléphants, des mammouths, des hippopotames, des rhinocéros, des tigres, des loups, des rennes, des cerfs…

    À la suite de la visite de l'une des nombreuses sablières exploitées à Levallois, ces géologues et préhistoriens ont pu décrire une méthode de taille du silex appelée depuis méthode Levallois (cf. infra).

    Climat

    Levallois-Perret a un climat de type océanique dégradé : l'influence océanique est prépondérante et se traduit par des étés relativement frais (19 °C en moyenne), des hivers doux (4 °C en moyenne) avec des pluies fréquentes en toute saison et un temps changeant. Les pluies y sont plus faibles (641 millimètres) que sur les côtes et quelques pointes de température sont à signaler au cours d'un même hiver ou d'un même été. Le climat de la ville connaît par ailleurs une certaine variabilité d'une année sur l'autre, certains hivers ou étés pouvant connaître des pics de température ou de précipitations.

    Relevés de la station Paris-Montsouris 1961-1990 [3],[4]
    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures minimales moyennes (°C) 2,0 2,6 4,5 6,7 10,1 13,2 15,2 14,8 12,6 9,4 5,2 2,9 8,3
    Températures moyennes (°C) 4,2 5,3 7,8 10,6 14,3 17,4 19,6 19,2 16,7 12,7 7,7 5,0 11,7
    Températures maximales moyennes (°C) 6,3 7,9 11,0 14,5 18,4 21,6 23,9 23,6 20,8 16,0 10,1 7,0 15,1
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 55.0 45.4 52.2 49.5 62.0 53.2 58.3 46.0 52.9 54.9 57.0 55.1 641.6

    Voies de communication et transports

    Voies routières

    • Du nord au sud
      • Rue Chaptal
      • Rue Danton
      • Rue Anatole-France
      • Rue du Président-Wilson
      • Rue Édouard-Vaillant
      • Rue Victor-Hugo
    • D'ouest en est:
      • Quai Michelet
      • Avenue Georges-Pompidou
      • Rue Baudin
      • Rue Paul-Vaillant-Couturier
      • Rue Aristide-Briand
      • Rue Jean-Jaurès

    Transports en commun

    Entrée de la bouche de métro : Pont de Levallois.
    • Gare SNCF de Clichy - Levallois
    • Gare de Pereire - Levallois : ligne C du RER (située dans le 17e arrondissement de Paris)
    • Stations de métro (ligne 3 de métro) : pont de Levallois - Bécon – Anatole France – Louise Michel
    • Lignes de bus : RATP (BUS) RATP 53 93 94 163 164 165 167 174 238 274 275 341
    • Noctilien (bus de nuit) N16 N52 N154

    Urbanisme

    Vue nocturne sur Levallois-Perret du pont de Levallois.

    Morphologie urbaine

    Avec plus de 26 000 habitants/km2, Levallois-Perret détient le record national et européen de densité de population, elle est classée 10e au niveau mondial[5].

    L’Insee découpe la commune en 24 îlots regroupés pour l'information statistique[6].

    Logement

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    Projets d'aménagement

    Le PLU (plan local d'urbanisme) présenté aux citoyens en septembre 2011 prévoit la construction de deux immeubles de grande hauteur. Le premier, de 134 m de haut (source PLU), soit juste 3 m de moins que la tour Concorde La Fayette à la porte des Ternes. Cette tour serait située devant le parc Mathilde Girault, à l'angle de la rue Baudin et de la rue Anatole France. Elle est prévue pour être le nouveau siège de la société Cetelem. La seconde, qui pourrait aller jusqu'à 190 m (source PLU), se situe près de la gare de Clichy-Levallois. La construction de ces tours au milieu d'un paysage pourtant limité en général à des bâtiments de moins de 30 mètres de haut est contestée par des collectifs de citoyens levalloisiens[7]. Lors du conseil municipal du 26 septembre 2011, Patrick Balkany annonce l'abandon du projet de construction des tours[8]

    Toponymie

    La commune de Levallois-Perret doit son nom à ses fondateurs Nicolas Eugène Levallois et Jean-Jacques Perret, marchand de vin et spéculateur foncier, pour le premier et créateur des premiers lotissements de la ville (1822), pour le second. À en croire Marie-Thérèse Morlet, auteur d'un dictionnaire étymologique des noms de famille[9], Levallois dériverait du terme géographique « val », qui désigne, en géomorphologie, une dépression au cœur d'un synclinal.

    Histoire

    Articles détaillés : Histoire des Hauts-de-Seine et Histoire de l'Île-de-France.

    Jusqu'à sa création officielle en 1867, l'histoire de Levallois-Perret se confond avec celle de Clichy à laquelle elle était incorporée. En 1215, l'abbaye de Saint-Denis, propriétaire du palais royal de Clichy, acquiert une parcelle sur le site dit de « la vigne aux prêtres » pour y pratiquer la viticulture.

    De la Préhistoire à l'Antiquité

    Nucléus Levallois et son éclat.
    Dagobert Ier: roi des Francs et seigneur de Clippacium.
    Philippe Auguste: dernier roi de France à s'être établi au palais royal de Clichy.
    Statue de St-Vincent de Paul offerte en 1876 par Nicolas Levallois à la paroisse de Clichy-la-Garenne.
    Avant le RER et le métro, Levallois-Perret était desservi par les tramways parisiens. On en voit un ici, passant à travers les fortifications de l'Enceinte de Thiers à la Porte de Courcelles.

    Fin du XIXe siècle : des préhistoriens identifient pour la première fois dans les graviers de la Seine à Levallois une méthode de débitage qui consiste à extraire des éclats de formes prédéterminées d'un "nucléus". Cette méthode, nommée "méthode Levallois", est apparue à l'Acheuléen en Afrique avant de se généraliser en Europe au Paléolithique moyen, il y a environ 300 000 ans.

    Article détaillé : méthode Levallois.

    52 av. J.-C. : bataille de Lutèce sur la plaine de Clichy-Levallois. Elle met aux prises la tribu gauloise des Parisii aux troupes romaines de César dirigées par son lieutenant Titus Labienus.

    Moyen Âge : âge d'or de Clippiacum

    625 : premières traces dans les chroniques du Palais royal de Clippiacum (Clichy). Clotaire II, père de Dagobert Ier, y a en fait installé sa résidence principale et sa cour depuis 614. L'École du Palais, qui se répartit entre le quartier latin de Paris et la plaine de Clichy-Levallois, forme tous les enfants des grands dignitaires du royaume (Saint Éloi, Saint Ouen, Saint Didier…). C'est dans cette école, sorte de préfiguration de l'ENA, que le prince Dagobert fait la rencontre de tous ces saints qui administreront avec talent quelques années plus tard le royaume des Francs.

    626 : Dagobert Ier s'installe au palais mérovingien de Clippiacum (Clichy) et y épouse une princesse Goth dénommée Gomathrude.

    626 : le Concile de Clichy défend aux clercs et aux laïcs de pratiquer l'usure. Il en résulte dans tout le royaume une explosion des taux d'intérêt.

    630 : naissance de saint Sigisbert (Sigebert III), fils du roi Dagobert Ier, au palais de Clichy.

    633 : au terme d'une assemblée exceptionnelle des laïcs et des ecclésiastiques, Sigebert III est nommé roi d'Austrasie (Francie orientale), d'Aquitaine et de Provence.

    684 : quelques années après avoir habilement négocié la paix entre la Neustrie (France Occidentale) et l'Austrasie (France orientale) à Cologne, le diplomate Saint Ouen se retire dans sa villa de Clichy, où il s'éteint.

    717 : Chilpéric II fait donation à l'abbaye de Saint-Denis de la forêt de Rouvray (aujourd'hui il n'en reste que le Bois de Boulogne) qui s'étend de Neuilly-sur-Seine (aujourd'hui Saint-Cloud) à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

    885 : les Normands détruisent le Palais et les villages environnants.

    1193 : Philippe Auguste détache Clichy du domaine de la Couronne et l'offre à Gaucher de Châtillon.

    1215 : la partie levalloisienne de la seigneurie de Clichy se spécialise dans la viticulture. Elle doit approvisionner en vins de messe l'abbaye de Saint-Denis dont elle dépend. Levallois s'identifie alors au site de « la vigne aux prêtres ».

    1429 : Jeanne d'Arc rassemble son armée sur la plaine de Clichy-Levallois pour la levée de Montjoie (l'oriflamme des seigneurs de France). Cet épisode précède la conquête infructueuse de Paris.

    Clichy et Levallois dans l'ombre de Saint Vincent de Paul

    Selon l’abbé Lecanu, historien de Clichy, il existerait une très grande proximité entre saint Vincent de Paul, curé de Clichy entre 1612 et 1625, sainte Louise de Marillac, Antoine Portail et la paroisse de Clichy.

    « La Providence ménagea à Saint Vincent de Paul l'occasion de connaître à Clichy, Mademoiselle Le Gras, Louise de Marillac. Elle avait des liens intimes avec le château de Clichy et y passait souvent. En 1595, son père Louis de Marillac était tuteur d’Alexandre Hennequin et du sieur de la Bazinière, co-seigneurs de Clichy. Il résida souvent au château de Clichy avec sa jeune fille »

     Abbé Lecanu, Histoire de Clichy-la-Garenne[10]

    .

    C'est à Clichy que « monsieur Vincent » fit la rencontre d’Antoine Portail, son plus cher et plus ancien compagnon à la Congrégation de la Mission[11]. Après avoir été son élève en cours de catéchisme, l'abbé Portail fut son premier assistant, le premier secrétaire de la Congrégation et le premier directeur des Filles de la Charité. Il mourut en 1660, la même année que deux autres clichois : Louise de Marillac et Vincent de Paul.

    Nicolas Levallois avait une telle vénération pour saint Vincent de Paul qu'il fonda le village de Levallois, le 27 septembre 1845, fête liturgique catholique en l'honneur du saint patron de Clichy[12].

    Le fondateur de la ville fit exécuter en 1876, une statue en bronze vénitien en l'honneur de « monsieur Vincent ». Ironie de l'histoire, cette statue fut offerte à la paroisse Saint-Vincent-de-Paul de Clichy, commune dont Levallois s’était détachée exactement dix ans plus tôt[13].

    Levallois donna par ailleurs le nom de ce saint protecteur au marché et à la rue y menant. Il veilla enfin à ce que Vincent de Paul figurât sur l'un des trois vitraux surmontant le saint tabernacle de la paroisse Saint-Justin. De part et d'autre du vitrail représentant l’Ascension du Christ devant la Vierge Marie et les apôtres, on observe, à droite le vitrail de saint Justin, patron de Levallois et, à gauche, le vitrail de saint Vincent de Paul, patron de Clichy.

    Époque contemporaine : vers la création de Levallois-Perret

    Durant une bonne partie du XIXe siècle, le futur "Levallois Perret" appartient à la famille d'un proche de Napoléon Bonaparte.

    1806 : le comte Jean Bérenger achète une grande propriété à Clichy La Garenne, au lieu-dit La Planchette. À cette époque, le village de Levallois n'existe pas encore. L'acte de vente est signé en 1806 pour 51 000 francs, mais la valeur de ce bien montera en flèche pour atteindre 100 000 francs à la mort de Bérenger en 1850.

    Bonaparte, le 18 Brumaire.

    Ce comte d’empire, proche de Lucien Bonaparte, Stendhal et Benjamin Constant joue un rôle déterminant pour la réussite du coup d'État du 18 brumaire. Nommé conseiller d’état à vie par l'empereur, il prend une part considérable aux travaux de préparation du Code civil, du Code de procédure civile, du Code de commerce, du Code d'instruction criminelle, du Code pénal. Il sera durant quasiment tout l’empire, le patron de la Caisse d'Amortissement (Caisse des dépôts et consignations), se chargeant par exemple à ce poste de l'érection de l’Arc de triomphe en hommage à la Grande Armée. C'est Bérenger également qui rédige et remet à l'empereur le décret impérial de 1807 réorganisant la Cour des comptes. Il aura également un rôle important au lendemain des Trois Glorieuses de 1830, ou « Révolution de Juillet », qui renversera Charles X.

    Sur la parcelle de Bérenger, figure une belle dépendance du château (le Club de la Planchette actuel).
    Vingt ans après l'achat de cette maison, une des filles de Bérenger, épouse de l'agent de change Henri Lhuillier, acquiert l'une des dépendances de la ferme de Courcelles avec une maison et deux hectares de terrain. La famille Bérenger se retrouve ainsi à la tête d'un des plus gros domaines de la région.

    1814 : défense de Paris devant les Russes. Le général Moncey établit son quartier général à la barrière de Clichy. En 1815, Clichy, évacuée, est livrée au pillage des Prussiens et des Anglais qui y campent et y saccagent les habitations.

    Le projet d'une ville sur le futur site de Levallois-Perret naît en 1822 quand une opération de lotissements est lancée au lieu-dit Champerret (le champ pierreux), après la disparition de deux hameaux encore existants au XVIIIe siècle : Villiers et Courcelles, par Nicolas Eugène Levallois avec l'aide d'un ami géomètre Rivay, une opération qui connaît un vif succès. Le village de Levallois est officiellement né le , jour de la fête de Saint Vincent de Paul (ancien curé de Clichy). Il correspond au jour où Nicolas Eugène Levallois acheta sa première parcelle : « la vigne aux prêtres ».

    En 1845, quand Nicolas Levallois trace les plans de "sa ville", il y intègre sans état d'âme la propriété de Jean Bérenger. Mais celui-ci refuse catégoriquement toute intrusion dans son domaine, et ne veut pas vendre son bien. Nicolas Levallois devra attendre son décès, en 1850, pour commencer le morcellement de La Planchette. Il faudra près d'un demi-siècle. La famille du comte Bérenger sera expropriée de ses dernières parcelles (l'actuel parc de La Planchette mais aussi les terrains utilisés pour réaliser la place des Fêtes, actuelle place de Verdun) en 1924.

    Le , Napoléon III promulgue une loi de création de la commune de Levallois-Perret, loi prenant effet le .

    Après la Première Guerre mondiale, Citroën bâtit une usine à Levallois-Perret, pour faire face à la forte demande d'automobiles, son usine du quai de Javel à Paris ne suffisant pas à y répondre.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine.

    Le maire de Levallois-Perret est Patrick Balkany (RPR, puis « divers droite », puis UMP).

    Son prédécesseur dans cette charge fut le communiste Parfait Jans - 1926-2011, maire de Levallois-Perret de 1965 à 1983, député des Hauts-de-Seine en 1967-68, puis de 1973 à 1986, et conseiller général des Hauts-de-Seine de 1976 à 1982 - qu'il a battu aux cantonales de 1982 et aux municipales de 1983, avant de lui succéder comme député de la circonscription de Levallois-Perret en 1988.

    Défait en 1995, Patrick Balkany laisse son fauteuil de maire - puis de député en 1997 - à Olivier de Chazeaux (« divers droite », puis RPR). Il reprend la ville en 2001, puis le siège de député de la 5e circonscription des Hauts-de-Seine en 2002. Membre de l'UMP à titre individuel, il siège tout d'abord chez les « non-inscrits » jusqu'à ce que Alain Juppé soit déclaré inéligible et donc contraint d'abandonner la présidence de l'UMP . Il intègre alors le groupe UMP après l'arrivée de Nicolas Sarkozy à sa tête.

    Levallois-Perret est le chef-lieu de deux cantons :

    • Le canton de Levallois-Perret-Nord, formé d'une partie de Levallois-Perret et d'une partie de Clichy (40 400 habitants)
    • Le canton de Levallois-Perret-Sud, formé d'une partie de Levallois-Perret (26 532 habitants ; conseiller général : Arnaud de Courson, divers droite).

    La ville de Levallois-Perret est lauréate du Concours des villes et villages fleuris de France (4 fleurs), dont elle a de surcroît obtenu récemment le Grand Prix national du fleurissement. En 2004, Levallois-Perret a reçu le label « Ville Internet @ » [14].

    Endettement record

    Levallois-Perret est la commune la plus endettée de France[15], avec une dette record de 12 412 euros par habitant en 2009, en augmentation de 58 % par rapport à 2008. Sa dette totale, qui s'élève à 785 millions d'euros, est dépassée uniquement par celles de Paris et Marseille, communes considérablement plus peuplées[16]. La dette par habitant de Levallois-Perret est presque trois fois supérieure à celle de Cannes, la deuxième ville la plus endettée de France[17]. En 2013, Levallois-Perret demeure la grande ville la plus endettée de France par habitant avec une hausse totale de 305 % depuis 2000[18].

    Liste des maires

    Article détaillé : Liste des maires de Levallois-Perret.
    Buste de Louis Rouquier, ancien maire de Levallois-Perret.

    Depuis 1947, quatre maires ont été élus à Levallois-Perret :

    Liste des maires de Levallois-Perret depuis 1947[19]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1965 Charles Deutschmann RPF, gaulliste Sénateur
    1965 1983 Parfait Jans PCF Chauffeur de taxi, puis député
    1983 1995 Patrick Balkany RPR PDG société
    1995 2001 Olivier de Chazeaux[20] divers droite, puis RPR Avocat
    2001 en cours
    (au 8 août 2014[21])
    Patrick Balkany UMP Député

    Instances judiciaires et administratives

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    Politique environnementale

    La commune de Levallois-Perret intègre dans ses nouveaux projets les problématiques environnementales. La construction du dernier groupe scolaire Buffon respectera ainsi la norme Haute qualité environnementale. La mise en place d'un récupérateur de chaleur du réseau d'assainissement pour le centre aquatique a permis de réduire la consommation d'énergie de 24 %. Ce projet a permis à la ville d'obtenir le prix de la Marianne d'Or et le grand prix de l'environnement[22] en 2010.

    Jumelages

    Au 1er janvier 2010, Levallois-Perret est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    En 2012, la commune comptait 64 654 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].

               Évolution de la population  [modifier]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    15 76319 15822 74429 51935 64939 85747 31558 07361 920
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    68 70373 63975 14471 18165 18661 68162 87161 80458 941
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2012 - -
    52 52353 50047 54854 70062 85164 62964 654--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2004[25].)

    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53 %) est supérieur au taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,2 %, 15 à 29 ans = 22,4 %, 30 à 44 ans = 27,6 %, 45 à 59 ans = 17,5 %, plus de 60 ans = 13,2 %) ;
    • 53 % de femmes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 20,4 %, 30 à 44 ans = 25,7 %, 45 à 59 ans = 18,3 %, plus de 60 ans = 18,3 %).
    Pyramide des âges à Levallois-Perret en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,0 
    75 à 89 ans
    6,8 
    8,9 
    60 à 74 ans
    10,6 
    17,5 
    45 à 59 ans
    18,3 
    27,6 
    30 à 44 ans
    25,7 
    22,4 
    15 à 29 ans
    20,4 
    19,2 
    0 à 14 ans
    17,3 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2007 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,0 
    4,8 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,0 
    18,5 
    45 à 59 ans
    18,9 
    24,7 
    30 à 44 ans
    23,3 
    21,0 
    15 à 29 ans
    19,9 
    20,6 
    0 à 14 ans
    18,1 

    Enseignement

    Levallois-Perret est située dans l'académie de Versailles.

    Établissements scolaires

    La ville administre dix écoles maternelles et neuf écoles élémentaires communales, ainsi que le Conservatoire Maurice Ravel (conservatoire à rayonnement communal).

    Le département gère quatre collèges dont un privé et la région Île-de-France un lycée.

    Vie universitaire

    Levallois-Perret abrite :

    • l'Institut Européen de Journalisme (IEJ)
    • l'Institut supérieur du commerce de Paris (ISC)
    • l'École supérieure des techniques aéronautiques et de construction automobile (ESTACA), école d'ingénieur spécialisée dans les transports (aéronautique, spatial, automobile et ferroviaire)
    • l’Icart-Photo, école de photographie

    Jusqu’en 2014, un Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), rattaché à l'Institut hospitalier franco-britannique[28], se trouvait à Levallois. Pour la rentrée 2014, il a déménagé au CNIT à La Défense.

    Manifestations culturelles et festivités

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    Santé

    L'Institut hospitalier franco-britannique (IHFB) regroupe depuis juin 2008 les services de l'hôpital Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours et du Hertford British Hospital[29].

    Sports

    Le palais des sports Marcel-Cerdan accueille régulièrement des rencontres de basket-ball et de boxe.
    Article détaillé : Levallois Sporting Club.

    Médias

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    Cultes

    Les Levalloisiens disposent de lieux de culte catholique, israélite, musulman et protestant[30].

    Culte catholique

    Article détaillé : Paroisse des Hauts-de-Seine.

    Depuis janvier 2010, la commune de Levallois-Perret fait partie du doyenné des Deux-Rives, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[31].

    Au sein de ce doyenné, les trois lieux de culte catholique relèvent de la paroisse de Levallois[32],[33], dont l'animation a été confiée par l'évêque de Nanterre à la communauté du Chemin-Neuf[34] : l'église Saint-Justin, l'église Sainte-Bernadette et l'église Sainte-Reine.

    Culte israélite

    Une synagogue, gérée par l'association culturelle et cultuelle israélite de Levallois, est implantée à Levallois-Perret[35].

    Culte musulman

    L'ancienne mosquée, sise rue du Viaduc[36],[37] a laissé la place au centre commercial So Ouest. La communauté musulmane dispose d'une salle de prière[38], et de la mosquée, rue Jules Verne, siège de l'Union des musulmans de Levallois[39].

    Culte protestant

    L'Église réformée de France dispose d'un lieu de culte (le temple de la Petite Étoile). Une Église évangélique dispose également d'un temple.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 38 327 , ce qui plaçait Levallois-Perret au 3 508e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[40].

    Levallois-Perret et le cinéma

    Plusieurs films ont été tournés à Levallois-Perret :

    • 1978 : Le Pion, film réalisé par Christian Gion - Lieu : hôtel de ville
    • 1983 : Le Battant, film réalisé par Alain Delon et Robin Davis - Lieux : rue Anatole-France, rue Voltaire
    • 1984 : Un été d'enfer, film réalisé par Michaël Schock - Lieu : Levallois-Perret
    • 1987 : Travelling avant, film réalisé par Jean Charles Tacchella
    • 1999 : Pas de scandale, film réalisé par Benoît Jacquot - Lieu : centre ville[41]
    • 2002 : Ah ! si j'étais riche, film réalisé par Gérard Bitton et Michel Munz - Lieu : Levallois-Perret[42]
    • 2003 : Tais-toi !, film réalisé par Francis Veber - Lieux : rue Anatole-France, rue Baudin[41]
    • 2005 : Commissaire Moulin, film réalisé par Yves Rénier avec Johnny Hallyday - Lieu : square André Malraux
    • 2006 : Pour l'amour de Dieu, téléfilm réalisé par Ahmed Bouchaala - Lieu : Levallois-Perret[42]
    • 2007 : La Légende des trois clefs, film réalisé par Patrick Dewolf - Lieu : Levallois-Perret[42]
    • 2007 : Mauvaise Foi, film réalisé par Roschdy Zem - Lieux : vue sur le stade Louison-Bobet depuis les immeubles du 4 rue Arthur-Ladwig, vue sur le stade Louison-Bobet depuis la rue Victor-Hugo[41]
    • 2008 : L'Empreinte, film réalisé par Safy Nebbou - Lieu : croisement de la rue Baudin et rue Anatole-France[41]
    • 2008 : Le Nouveau Protocole, film réalisé par Thomas Vincent - Lieu : Quartier du Front de Seine[41]
    • 2009 : Éternelle, film réalisé par Didier Delaître - Lieu : Levallois-Perret[42]

    Emploi

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    Entreprises et commerces

    Levallois-Perret regroupe près de 4 500 entreprises et commerces pour près de 60 000 emplois[43]. Les experts en géographie économique[Qui ?] rangent cette ville dans le « Croissant d'or » qui désigne, outre les communes des Hauts-de-Seine : Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Neuilly-sur-Seine, Levallois-Perret et Clichy, les arrondissements de l'ouest de Paris situés sur la rive droite de la Seine. De nombreux sièges sociaux des grandes entreprises s'y concentrent en dépit de son manque d'infrastructure de transport public. Sa proximité avec le quartier d'affaires de la Défense privilégie cet espace économique.

    Les principales entreprises ayant leur siège social à Levallois-Perret sont les suivantes :

    • Alstom
    • Armand Thiery
    • Business Objects
    • Butagaz
    • Constantin Associés
    • Devoteam
    • Disney Hachette Presse
    • Éditions Francis Lefebvre
    • Elle
    • Epson
    • GMF Assurances
    • Guerlain
    • Hachette Filipacchi Médias
    • L'Oréal (division des Produits de luxe)
    • International SOS
    • Le Public Système, agence de Public Système Hopscotch
    • Médiamétrie
    • Micropole
    • Minale Design Strategy[44]
    • Newsweb, filiale de Angel-Invest
    • Plastic Omnium
    • VME zaOza

    En octobre 2012 ouvre le centre commercial So Ouest dans le quartier Eiffel, près de la Porte d'Asnières.

    La Direction générale de la sécurité intérieure, ancienne DCRI, a également son siège à Levallois depuis 2007.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[45].

    Les monuments historiques de Levallois-Perret sont :

    • le temple de la Petite Étoile inauguré en 1912 ;
    • l'ancien Hertford British Hospital, inscrit en 1987[46] ;
    • la Villa mauresque de la villa Chaptal, classée en 1993[47].

    Patrimoine culturel

    • La salle Ravel est située dans les locaux du conservatoire Maurice Ravel.

    Issus de Levallois-Perret

    L'usine Citroën de Levallois-Perret : berceau de la très populaire 2CV.
    • La quinine, substance anti-paludique a été découverte au château de la Planchette par le chimiste Pierre Joseph Pelletier,
    • La structure métallique de la Statue de la Liberté,
    • La tour Eiffel, dont les éléments ont été fabriqués à Levallois-Perret avant d'être assemblés,
    • Radiola, première radio privée en France (ancêtre de RTL) dont l'émetteur était situé à Levallois,
    • La Citroën 2 CV, qui a vu le jour dans les usines Citroën de Levallois-Perret,
    • Les autochenilles de la croisière noire et de la croisière jaune,
    • Le Blériot XI , appareil à bord duquel Louis Blériot réalisa la première traversée de la Manche en 1909,
    • L' Arc en Ciel, appareil à bord duquel Jean Mermoz réalisa en 1933 la première traversée de l'Atlantique-Sud,
    • La motocyclette, inventée par les frères Werner,
    • Les premières compagnies de taxi : G3, G4, G7, société Degioanni,

    Levallois-Perret et la culture populaire

    Florent Marchet dans sa chanson Levallois et Frédéric Beigbeder dans 99 Francs la citent comme l'archétype des années 2000 de la ville de première couronne parisienne, refuge d'une jeunesse médiocre (emplois tertiaires dans la capitale), de droite (non-boboïsée), contrainte de quitter Paris à cause des prix de l'immobilier pour y installer leur famille.

    Personnalités liées à la commune ou au canton

    Article détaillé : Liste de personnalités liées à Levallois-Perret.

    Héraldique, logotype et devise

    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : De gueules à la bande d'argent chargée de trois abeilles du champ, accompagnée en chef d'un brûle-parfum d'or et en pointe d'une roue d'engrenage du même.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Levallois et la préhistoire
    • É. Boëda : Le concept Levallois : variabilité des méthodes, Monographie du CRA, CNRS (1994) (ISBN 2-222-04772-2)* M.-L. Inizan, M. Reduron-Ballinger, H. Roche, et J. Tixier : Préhistoire de la Pierre Taillée - t. 4 : Technologie de la pierre taillée, Meudon, CREP, (1995) (ISBN 2-903516-04-9)
    Histoire de Clichy et du site de Clichy-Levallois (informations utiles sur l'évolution du domaine de La Planchette)
    • Abbé Lecanu, Histoire de Clichy-la-Garenne, Paris, Éditions Poussielgue, 1848
    • Abbé Narbey, Histoire de l'Ancien Clichy et de ses dépendances depuis l'origine jusqu'en 1793, Paris, Monographies des Villes et Villages de France, 1908 (ISBN 2-84373-754-0)
    Histoire de Levallois-Perret
    • Isabelle Balkany, Jean Bouvet, Nicolas Levallois, l'homme d'une époque, le créateur d'une ville, Levallois, Direction de l'Information, Hôtel de ville, 1991
    • Isabelle Balkany, Véronique Soulié, Nathalie Nouette-Delorme, Levallois, mémoires, Levallois, Direction de l'Information, Hôtel de ville, 1991
    • Pierre Hénon, Levallois: histoire d'une banlieue, Bruxelles, Éditions Pierre Mardaga, 1981 (ISBN 2-87009-138-9)
    • Isabelle Balkany, Véronique Soulié, Nathalie Nouette-Delorme, Levallois, mémoires. Les pionniers de l'aviation, Levallois, Direction de l'Information, Hôtel de ville, 1993
    • Isabelle Balkany, Made in Levallois. Deux siècles d'innovations, de créations, d'intelligences, Levallois, 2010
    • Info-Levallois, magazine mensuel édité par la commune
    • Revue mensuelle de la Société historique de Levallois-Perret

    Iconographie

    Bâtiments remarquables

    Le parc de la Planchette :

    Bords de Seine :

    Articles connexes

    • Liste des communes des Hauts-de-Seine

    Liens externes

    • Site de la mairie

    Notes et références

    Notes

    1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
    2. qui a donné son nom à une rue
    3. Relevés Paris-Montsouris 1961-1990
    4. Données climatiques depuis 1873.
    5. (en) Liste des villes classées par densité de population
    6. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Levallois-Perret », sur le site de l'Insee (consulté le 28 février 2011)
    7. http://www.preservonslevallois.fr
    8. http://www.directgestion.com/sinformer/filactu/11851-levallois-balkany-passe-passe-ses-tours-igh
    9. M.Th. Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, (ISBN 978-2262013509)
    10. Abbé Lecanu Histoire de Clichy-la-Garenne, Paris, Éditions Poussielgue, 1848, p. 131
    11. Michel Maynard, Saint Vincent de Paul, 1860, p. 289
    12. Jean Bouvet-Isabelle Balkany, Nicolas Levallois, l'homme d'une époque, le créateur d'une ville, p. 36
    13. Jean Bouvet-Isabelle Balkany, Nicolas Levallois, l'homme d'une époque, le créateur d'une ville, p. 208]
    14. « LES VILLES \ INITIATIVES PAR RÉGIONS \ ILE-DE-FRANCE », sur www.villes-internet.net (consulté le 1er octobre 2009)
    15. http://www.challenges.fr/actualites/politique_economique/20101213.CHA1178/levallois_reste_en_tete_des_villes_les_plus_endettees_d.html
    16. Comptes des communes, ville de Levallois-Perret
    17. Balkany, maire de Levallois, ne semble pas inquiet : aucune réforme de politique budgétaire n’est prévue à ce jour
    18. L'endettement des villes françaises s'accélère, lefigaro.fr, 26 septembre 2013
    19. « Les maires de Levallois-Perret », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le 20 août 2014).
    20. « Olivier de Chazeaux, un challenger chiraquien pour Balkany à Levallois », Libération, (lire en ligne).
    21. « Liste des maires des Hauts-de-Seine » [PDF], le site de la préfecture des Hauts-de-Seine, (consulté le 20 août 2014).
    22. Le grand prix de l'environnement 2010
    23. 1 2 3 « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le 12 janvier 2010)
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2011, 2012.
    26. « Évolution et structure de la population à Levallois-Perret en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 7 septembre 2010)
    27. « Résultats du recensement de la population des Hauts-de-Seine en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 7 septembre 2010)
    28. Site de l'IFSI
    29. Site de l'Institut hospitalier franco-britannique
    30. Cultes, sur www.ville-levallois.fr, consulté le 2 janvier 2014.
    31. « Carte des doyennés janvier 2010 », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le 18 septembre 2011).
    32. « Liste des paroisses des Hauts-de-Seine », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le 18 septembre 2011).
    33. « Géographie », sur le site de la paroisse de Levallois-Perret (consulté le 18 septembre 2011)
    34. « communauté du Chemin-Neuf », sur le site de la paroisse de Levallois-Perret (consulté le 23 septembre 2011).
    35. « Page d'accueil », sur le site de l'association culturelle et cultuelle israélite de Levallois-Perret (consulté le 17 janvier 2009).
    36. « Mosquée de Levallois », sur le guide musulman (consulté le 26 mars 2014).
    37. « UNION DES MUSULMANS DE LEVALLOIS », sur le JO des associations (consulté le 26 mars 2014).
    38. « Salle de prière foyer », sur le portail musulman nouvelle génération (consulté le 26 mars 2014).
    39. « Salle de prière foyer », sur Mosquée de Levallois (consulté le 26 mars 2014).
    40. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le 11 novembre 2012).
    41. 1 2 3 4 5 « Films tournés dans le département Hauts-de-Seine (92) », sur L2TC.com - Lieux de tournage cinématographique (consulté le 4 décembre 2010).
    42. 1 2 3 4 « Films tournés dans le département Hauts-de-Seine (92) », sur IMDb : The Internet Movie Database (consulté le 6 décembre 2010).
    43. Ville-Levallois Observatoire Économique 2007-2008
    44. Agence indépendante internationale de design
    45. « Levallois-Perret », base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. « Hertford British Hospital », base Mérimée, ministère français de la Culture
    47. « Villa mauresque », base Mérimée, ministère français de la Culture


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