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France Inter

France Inter

France Inter
Description de l'image France inter 2005 logo.svg.
Présentation
Pays  France
Siège social Maison de Radio France, 75016 Paris[1].
Propriétaire Radio France
Slogan « InterVenez »
Langue Français
Statut Généraliste nationale de service public
Site Web www.franceinter.fr
Historique
Ancien nom Club d'essai (1947)
Paris-Inter (1947-1957)
France I (1957-1963)
RTF Inter (1963)
Création
Diffusion
AM  Oui
FM  Oui
RDS  Oui
Numérique  Oui
Numérique terrestre  Non
Satellite  Oui
ADSL Partiel
Streaming  Oui
Podcasting  Oui

France Inter est une station de radio généraliste nationale publique française du groupe Radio France.

Elle bénéficie d'une diffusion en ondes longues via l'émetteur d'Allouis sur 162 kHz, ainsi que d'une couverture très dense en bande FM sur l'ensemble du territoire français. La station propose par ailleurs ses programmes sur Internet.

La directrice de France Inter est, depuis mai 2014, Laurence Bloch qui succède à Philippe Val en poste depuis 2009. La station a fêté ses 50 ans en décembre 2013. Considérée comme « La voix de la France » avant la libéralisation des ondes du début des années 1980, elle reste la principale station du service public.

Historique

Histoire

Les antennes de l'« American Forces Network » (AFN), réseau international de radiodiffusion de l'armée américaine qui a diffusé ses émissions depuis 1945 sur les ondes moyennes 491,8 mètres (610 kHz) depuis un émetteur radio de 10 kW situé à Rueil-Malmaison, cessent leurs émissions le , et transfèrent l'émetteur à la Radiodiffusion française (RDF). Cette dernière y diffuse dès le lendemain à 7 h 30 un nouveau programme composé des émissions du « Club d'Essai », dont l'émetteur de la rue de Grenelle est alors abandonné, et de disques avec une dominance de jazz. Ce nouveau programme prend provisoirement le titre de Club d'Essai avant que Wladimir Porché n'annonce courant janvier la création définitive d'un troisième programme de radio, en plus du Programme Parisien et du Programme National, qu'il nomme « Paris-Inter ». Paris-inter est officiellement inauguré le par Wladimir Porché, Jean Vincent-Bréchignac, qui en devient le premier directeur, Jean Luc et Simon Coppans. Paris-Inter diffuse de 6 h 30 à minuit un programme essentiellement musical, composé de sessions de disques, des émissions réalisées par le Club d'Essai et de programmes de stations étrangères. En septembre 1947, un sondage réalisé par le journal Radio Programme crédite la station de 6 % d'audience, alors qu'elle n'émet encore que sur la seule région parisienne[2].

Paris-Inter est diffusée chaque jour de 12 h 15 à 15 h 20 sur ondes courtes 48,39 mètres (6 200 kHz) dès le par un des émetteurs d'Allouis, ce qui permet à la station d'être audible à l'étranger, mais aussi dans les zones peu couvertes par les ondes moyennes en France, comme les zones montagneuses. La dernière-née des stations d'État, qui diffuse sur ondes moyennes 506,7 mètres (592 kHz), entame le développement de son réseau d'émetteurs en Province en inaugurant sa première fréquence à Limoges le , suivie de six autres la même année. Ce développement est permis par la transformation de la RDF en Radiodiffusion télévision française (RTF) par le décret du 9 février 1949, en établissement public doté d'un budget autonome et qui bénéficie d'une redevance doublée sur les postes de radio. Le programme devient véritablement national le avec la remise en service de l'émetteur à grande puissance d'Allouis (Cher), détruit lors de la retraite allemande en 1944. Entre-temps, pour éviter que la France ne perde sa fréquence Grandes ondes de 164 kHz, celle-ci est utilisée par l'émetteur alsacien de Sélestat avec une puissance de 20 kW pour relayer Paris-Inter en Alsace et dans la vallée du Rhin[3].

Le , Paris-Inter devient France I et diffuse 24 h sur 24 h un programme qui privilégie l’information directe et reflète tous les aspects de la vie quotidienne, tandis que le Programme Parisien devient France II Régional, chaîne du divertissement et écho des stations régionales. Une des émissions créées à cette époque, en 1958 par Henri Kubnick, allait devenir le jeu le plus ancien du paysage radiophonique français, sous les noms successifs de Cent mille francs par jour, Le Jeu des 1000 francs, et des 1 000 euros. Face à l'érosion constante de l'audience des chaînes de radiodiffusion de la RTF au profit des postes périphériques et à la fréquence des grèves au sein de l'établissement (voir la grève de 1962), le gouvernement, par son ministre de l'Information Alain Peyrefitte, crée la même année le service de liaison interministériel pour l’information, courroie de transmission entre le pouvoir politique et les journalistes de la RTF. Les directeurs de la RTF, le directeur général Robert Bordaz et le délégué au directeur aux stations régionales Roland Dhordain qui propose la réforme à Peyreffite, décident de réagir en procédant à une série de réformes dès 1963, notamment la simplification des quatre chaînes de radio en trois stations[4] : France I et France II-Régional sont fondues l'une dans l'autre le 20 octobre 1963 pour former RTF Inter, chaîne des informations, de la gaîté et des conseils pratiques, qui regroupe les émetteurs de France I et France II et se scinde en deux programmes distincts en soirée, Inter Jeunesse diffusé par l'émetteur grandes ondes et Inter Variétés sur ondes moyennes. France III-National devient RTF Promotion spécialisée dans les émissions culturelles. France IV-Haute Fidélité devient RTF Haute Fidélité spécialisée dans la musique classique et contemporaine[5].

À partir de 1963, Roland Dhordain tente de « transformer Paris Inter en une radio capable de rivaliser avec les stations périphériques »[6]. Le 8 décembre 1963 la station devient France Inter, suite au concours « Baptême RTF 64 ». Ce concours est lancé auprès des auditeurs à l’occasion de l’ouverture de la Maison de la Radio inaugurée le 14 décembre[7]. Dhordain détourne à cette occasion les résultats du vote du public qui avait décidé France Bleu, France Blanc, et France Rouge et choisit personnellement que les trois stations de la radio publiques s'appelleraient France Inter, France Culture et France Musique[8].

L'ORTF succède à la RTF en juin 1964 et les Interservices se développent : Inter-Service Routes, Inter-Service Jeunes, Inter-Service Emploi, Inter-Service Rural, Inter-Service Bourse, Inter-Service Courses, Inter-Service Mer...

Le 4 octobre 1965 est instaurée l'émission qui sera une des plus durables de l'histoire de la radio, le Pop club de José Artur.

En mai 1968 la grève générale est votée à l'ORTF : pour la 1re fois, les rédactions de l'ORTF s'affranchissent de la tutelle de l'État. Ce qui n'est pas du goût du Président De Gaulle qui demande à Georges Gorse, Ministre de l'Information, de "mettre les trublions à la porte", et de mettre les émetteurs sous la protection de la police et de l'armée. En réponse, l'intersyndicale de France Inter organise "l'Opération Jéricho" : chaque jour des journalistes, ouvriers, lycéens, gens du spectacle, auditeurs marchent pendant une heure autour de la Maison de la Radio. Le 26 juin, le personnel de l'ORTF reprend le travail. Roland Dhordain, qui avait quitté la radio, revient et reprend son poste de directeur. En août, 54 journalistes de l'ORTF, dont 23 de la rédaction radio, sont écartés.

Jacques Chancel reçoit son premier invité le dans sa Radioscopie, diffusée ensuite tous les jours en semaine de 17 heures à 18 heures. En juillet 1969, les premiers pas de l’Homme sur la lune sont diffusés en direct d’Apollo XI pendant 30 heures dans le cadre du programme commun Radio Terre diffusé à la fois sur France Inter, France Culture et Inter Variétés sur (ondes moyennes).

Émission mythique des années 1980 produite par Claude Villers en juge président, le Tribunal des flagrants délires ici avec « l'accusé » Patrick Dewaere à droite et l'avocat véreux Luis Rego en bas à gauche, le vendredi .

Le , France Inter devient une des chaînes de la société nationale de radiodiffusion Radio France, issue de l'éclatement de l'ORTF, Radio France conservant la dénomination des chaînes de radios utilisée par l’ORTF (France Inter, France Culture, France Musique, FIP) et créant à cette occasion RFI. À partir des années 1980, France Inter privilégie les émissions d'information à celles de divertissement[8].

Après 10 ans passés dans des locaux provisoires situés avenue du Général-Mangin, France Inter réintègre la maison de la Radio le 21 mai 2014. Le 25 août 2014, France Inter se dote d'un nouvel habillage sonore accompagnant désormais la nouvelle grille de programmes de celle-ci, qui a pour vocation à faire remonter les audiences de la radio en chute libre depuis quelque temps[9].

Début avril 2015, alors qu'une grève a lieu à Radio France, la Cour des comptes publie un rapport pointant du doigt les conditions de travail « très favorables » des radios publiques concernant le volume de travail, les compléments de rémunération, les avantages en nature, des services en surnombre. Le rapport critique notamment les sureffectifs de techniciens à France Inter en comparaison des autres radios[10].

Polémiques

Avec plusieurs émissions emblématiques, devenues mythiques par leur durée et leur popularité, France-inter a construit un rapport affectif avec son public. Mais les divers directeurs qui se sont succédé à sa tête, dans un souci de renouvellement et aussi parfois pour complaire à certains pouvoirs en place, ont arrêté des émissions aimées des auditeurs.

Ainsi en juin 2006 Frédéric Schlesinger, le nouveau directeur général arrête l'émission de nuit quotidienne très populaire, Allô Macha, créée le 5 avril 1977, animée et produite par Macha Béranger, malgré les vives protestations des auditeurs. Le 29 août 2008, après plus de quarante années d'émissions sur la chanson française, Jean-Louis Foulquier est remercié brutalement. Entre avril et juin 2010 Rue des Entrepreneurs, Allô la planète ou Système disque disparaissent.

Le , les journalistes de France Inter votent à la majorité une motion contre Philippe Val, le nouveau directeur de la chaîne. Ils expriment leur « colère face aux choix et aux méthodes de Philippe Val »[11]. Ils s'inquiètent notamment de « l'ampleur des changements projetés et considèrent qu'à ce jour le lien de confiance indispensable entre la rédaction et la direction a été rompu. »[12].

Le 23 juin 2010, Jean-Luc Hees déclare au journal Le Monde à propos de Stéphane Guillon, Didier Porte et François Morel : « Je considère que cette tranche d'humour est un échec. Elle a montré une grande misère intellectuelle dont je ne m'accommode pas. Il n'y aura pas de changement d'horaire ni de remplaçants »[13].

Le slogan de la station « France Inter, écoutez la différence » est alors parodié en « France Inter : écoutez l'indifférence »[14] voire « France Inter : écoutez la déférence ».

Après l'éviction des humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte[15] début 2010, une tranche quotidienne d'humour est finalement conservée sur l'antenne de France Inter à la rentrée de septembre 2010[16]. Rebaptisée Le Billet de..., elle est déplacée à 8 h 55, au sein du 7/9 de Patrick Cohen. Elle est assurée en alternance par Sophia Aram, Ben, Stéphane Blakowski, François Morel, et Gérald Dahan qui est à son tour remercié le 29 octobre 2010. Bernard Lenoir déjà évincé de la station en 1984, doit arrêter son émission de musique en juin 2011.

La nouvelle grille de la rentrée de 2014 supprime l'émission de Daniel Mermet, Là-bas si j'y suis ; cette décision est aussitôt dénoncée, en particulier par la gauche radicale, comme une atteinte au « pluralisme »[17] sur le service public. Dominique Jamet déplore alors, qu'une radio de service public payée par les contribuables « ne reflète nullement à travers ses programmes et ses collaborateurs la réalité et la diversité du pays dont elle est censée être l’émanation »[18].

Identité visuelle

Dès le , le premier logo de France Inter représente un transistor. En 1967, son nouveau logo prend les couleurs de l'époque. Le , les radios publiques sont regroupées dans Radio France et le logo de France Inter en prend l’image. Il perd le symbole de la maison de la radio en 1985, mais conserve le point rouge. En , elle est de retour et prend du relief.

Le logo actuel, imaginé par l’agence Leg, est mis en place en , et est constitué d'un carré noir, commun à l’ensemble des chaînes de Radio France, sur lequel se superpose un second carré rouge pour France Inter. Le pictogramme historique qui représente la maison ronde reste sur le carré noir en fond. Ce logo subit de légères modifications en 2008.

Slogan

  • 1975 : « Écoutez la différence »
  • 1987 : « Plus haut la radio ! »
  • 1995 : « Écoutez, ça n'a rien à voir »
  • 2001 : « Au début ça surprend. Après aussi »
  • 2005 : « Qu’allez-vous découvrir aujourd’hui ? »
  • 2008 : « France Inter, la différence »
  • 2012 : « La voix est libre »
  • 2013 : « 50 ans qu’on ouvre la voix »
  • 2014 : « InterVenez »

Organisation

Dirigeants

Présidents

  • 19471949 : Dirigeants de la Radiodiffusion française
  • 19491964 : Dirigeants de la Radiodiffusion télévision française
  • 19641975 : Dirigeants de l'Office de radiodiffusion télévision française
  • Depuis 1975 : Présidents de Radio France

Directeurs d'antenne ou directeurs généraux

Responsables de la programmation

Directeurs de la rédaction

Siège

Le siège de France Inter est situé à la Maison de Radio France. De 2004 à 2014, il s'est transporté, en raison de travaux dans la « maison ronde », au 17/21 avenue du Général-Mangin dans le 16e arrondissement de Paris.

Rédaction

Stéphane Paoli présente le 7/9 du week-end en 2009 lors de La Folle Journée

Présentation

La rédaction de France Inter compte une centaine de journalistes[26] et produit des flashs et journaux d'informations toutes les heures, ainsi que des émissions d'actualités aux grands carrefours d'audience. Elle est dirigée depuis par Jean-Marc Four secondé par Angélique Bouin, avec Danielle Messager et Marie-Christine Le Dû au secrétariat général[27].

La rédaction en chef est assurée par Marie-Claude Pinson-Rabot (chef), Christian Bauby, Patrick Boyer, Franck Cognard, Yves Decaens, Anaïs Feuga, Régis Lachaud, Philippe Lefébure, Stéphane Leneuf, Serge Martin et Alain Passerel ; la rédaction multimédia est constituée de Philippe Bardonnaud, Olivier Bénis, Valérie Cantié, Valeria Emanuele et Oufia Kheniche.

L'organisation s'appuie sur sept services[26] :

  • Reportages : Éric Valmir (chef), Béatrice Duguet (adjointe), Mathilde Dehimi, Yann Gallic, Antoine Giniaux, Géraldine Hallot, Thibault Lefèvre, Julie Pietri et Philippe Randé
  • Politique : Frédéric Métézeau (chef), Carine Bécard (adjointe), Aurélien Colly, Cyril Graziani, Laurence Peuron et Estelle Schmitt
  • Économie-Social : Bruce de Galzain (chef), Maxime Debs, Laurent Kramer, Marion L’Hour, Manuel Ruffez et Delphine Simon
  • Étranger : Luc Lemonnier (chef), Christian Chesnot, Bertrand Gallicher, Olivier Poujade, Claude Guibal et Simon Tivolle
  • Police-Justice : Jean-Philippe Deniau (chef), Nathalie Hernandez (adjointe), Corinne Audouin, Sara Ghibaudo, Emmanuel Leclère et Charlotte Piret
  • Société : Clotilde Dumetz (chef), Sophie Bécherel, Sonia Bourhan, Claire Chaudière, Hélène Chevallier, Sandy Dauphin, Nathalie Fontrel, Véronique Julia, Philippe Lefèbvre et Sandrine Oudin
  • Culture : Corinne Pélissier (chef), Alexandra Ackoun, Eva Bettan, Stéphane Capron, Matthieu Culleron, Ilana Moryoussef, Isabel Pasquier, Jacqueline Pétroz et Christine Siméone

France Inter bénéficie en outre de l’aide de la cellule Enquête-Investigation (Matthieu Aron, Jacques Monin, Anne Brunel, Benoît Collombat, Élodie Guégen, Laetitia Saavedra), du service des sports dirigé par Jacques Vendroux, des journalistes des autres rédactions de Radio France (France Info, France Culture et les 44 radios locales de France Bleu), des bureaux en région (Lyon, Marseille et Toulouse) et ceux à l'étranger : Cyril Sauvageot[28] (Berlin), Omar Ouahmane[28] (Beyrouth), Quentin Dickinson[29] (Bruxelles), Étienne Monin (Jérusalem), Franck Mathevon[30] (Londres), Marc Crépin[31] (Moscou), Dominique André (Pékin), Mathilde Imberty[32] (Rome) et Frédéric Carbonne (Washington).

À l'antenne

Lundi — vendredi :

  • Journaux de 6 h et 7 h 30 : Hélène Roussel
  • Journal des sports de 6 h 20 : Matteu Maestracci
  • Journaux de 6 h 30 et 8 h : Marc Fauvelle
  • Journaux de 7 h et 9 h : Hélène Fily (intérim : Agnès Soubiran)
  • Revue de presse de 8 h 30 : Hélène Jouan
  • Flashs de 10 h à 12 h puis de 14 h à 17 h : Laëtitia Gayet
  • Journal de 13 h : Claire Servajean
  • Journal de 18 h : Florence Paracuellos
  • Journal de 19 h : Sébastien Paour
  • Flashs de 20 h à 22 h, journal de 23 h puis flash de 0 h : Laurence Thomas (lundi — jeudi)

Samedi — dimanche :

  • Journaux de 6 h, 7 h 30 et 9 h : Bernadette Chamonaz
  • Journaux de 7 h et 10 h : Denis Astagneau
  • Journal de 8 h : Serge Martin
  • Journal des sports de 8 h 10 : Laëtitia Bernard
  • Revue de presse de 8 h 30 : Frédéric Pommier
  • Flashs de 11 h, 12 h puis de 14 h à 17 h et journal de 18 h : Dominique Delaroa
  • Journaux de 13 h et 19 h : Philippe Abiteboul
  • Journal des sports de 19 h 20 le dimanche : Michel Gourdain
  • Flashs de 20 h à 22 h, journal de 23 h puis flash de 0 h : Mélodie Pépin (vendredi — dimanche)

Émissions

Grille 2015-2016

Lundi — vendredi

  • 5 h7 h : Le 5/7, émission pré-matinale d'informations présentée par Éric Delvaux et Catherine Boullay
  • 7 h9 h 10 : Le 7/9, émission matinale d'informations présentée par Patrick Cohen
  • 9 h 109 h 40 : Boomerang, entretien culturel proposé par Augustin Trapenard
  • 9 h 4010 h : L'instant M, émission médias de Sonia Devillers
  • 10 h11 h : Un jour en France, émission de reportages et d'interactivité de Bruno Duvic
  • 11 h12 h 30 : La Bande originale, émission de Nagui
  • 12 h 3012 h 45 : Carnets de campagne, émission présentée par Philippe Bertrand
  • 12 h 4513 h : Le Jeu des 1 000 euros, le mythique jeu présenté par Nicolas Stoufflet
  • 13 h13 h 30 : Intertreize, journal d'information de la mi-journée présenté par Claire Servajean
  • 13 h 3014 h : La Marche de l'Histoire, émission consacrée à l'histoire présentée par Jean Lebrun
  • 14 h15 h : La Tête au carré, émission scientifique de Mathieu Vidard
  • 15 h16 h : Affaires sensibles, par Fabrice Drouelle, récits et témoignages autour des grandes affaires des 50 dernières années, avec chaque vendredi une fiction historique sous la houlette de Patrick Liégibel
  • 16 h17 h : Vous avez dit classique ?, émission d'Elsa Boublil sur toutes les musiques, traditionnelles, classiques ou jazz, avec la chronique musicale de Didier Varrod
  • 17 h18 h : Si tu écoutes, j'annule tout, émission d'humour par Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek
  • 18 h20 h : Le 18/20, émission d'informations présentée par Nicolas Demorand : l'actualité internationale dans Un jour dans le monde puis l'interactivité avec Le téléphone sonne
    • le vendredi, 19 h 2020 h : Secrets d’info, émission d'investigation présentée par Matthieu Aron
  • 20 h21 h :
    • lundi — jeudi : L'Humeur vagabonde, rencontre avec une personnalité du monde culturel présentée par Kathleen Evin
    • vendredi : D'ici, d'ailleurs, émission sur les migrations de Zoé Varier
  • 21 h23 h :
    • lundi — jeudi : Le nouveau Rendez-vous, émission culturelle de Laurent Goumarre
    • vendredi : Partons en live, émission musicale d'André Manoukian rassemblant musiciens et philosophes autour de plusieurs thèmes
  • 23 h 151 h : La nuit est à vous, émission de rencontres de Noëlle Bréham
  • 1 h2 h : Rediffusion de Si tu écoutes, j'annule tout de Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek
  • 2 h3 h : Rediffusion de L'Humeur vagabonde de Kathleen Evin
  • 3 h4 h : Rediffusion d' Affaires sensibles de Fabrice Drouelle
  • 4 h5 h : Rediffusion de La Tête au carré de Mathieu Vidard

Samedi

  • 5 h7 h : Le 5/7 du week-end, émission pré-matinale présentée par Dorothée Barba
  • 7 h9 h 10 : Le 7/9 du week-end, émission matinale d'informations présentée par Patricia Martin
  • 9 h 1010 h : On n'arrête pas l'éco, magazine économique de la rédaction dirigé par Alexandra Bensaïd
  • 10 h 1011 h : On aura tout vu, émission consacrée au cinéma, présentée par Christine Masson et Laurent Delmas
  • 11 h12 h : Sur les épaules de Darwin, émission de Jean-Claude Ameisen
  • 12 h13 h : La prochaine fois je vous le chanterai, émission musicale présentée par Philippe Meyer
  • 13 h 2014 h : Permis de penser, émission de Laure Adler
  • 14 h15 h : CO2 mon amour, émission consacrée à l'environnement de Denis Cheissoux
  • 15 h16 h : La Librairie francophone, émission littéraire également diffusée au Canada, en Belgique et en Suisse et présentée par Emmanuel Khérad
  • 16 h17 h : Comme un bruit qui court, magazine de reportages avec Giv Anquetil, Charlotte Perry et Antoine Chao
  • 17 h18 h : La preuve par Z, magazine musical de Jean-François Zygel
  • 18 h 1019 h : Ça peut pas faire de mal, lectures proposées par Guillaume Galienne
  • 19 h 2019 h 55 : La vie est un je, conversation avec Daphné Roulier
  • 19 h 5520 h : Expression directe, chronique d'expression donnée à un parti politique où à une organisation syndicale
  • 20 h21 h : Carte blanche musicale à un artiste :
    • La langue à l'oreille, émission musicale proposée par Philippe Katerine (septembre — octobre)
    • J'aime pas la chanson, mais..., émission musicale proposée par Juliette (novembre — décembre)
  • 21 h22 h : Coming up, émission musicale de Valli
  • 22 h23 h : Making of, émission de Pascale Clark
  • 23 h 150 h : Dans tes rêves, émission de Laurence Garcia
  • 0 h1 h : L'album de minuit, magazine musical d'Alain Maneval
  • 1 h2 h : Rediffusion de La Librairie francophone d'Emmanuel Khérad
  • 2 h3 h : Rediffusion de Ça peut pas faire de mal de Guillaume Galienne
  • 3 h4 h : Rediffusion de Sur les épaules de Darwin de Jean-Claude Ameisen
  • 4 h5 h : Rediffusion de CO2 mon amour de Denis Cheissoux

Dimanche

  • 5 h7 h : Le 5/7 du week-end, émission pré-matinale présentée par Dorothée Barba
  • 7 h9 h 10 : Le 7/9 du week-end, émission matinale d'informations présentée par Patricia Martin
  • 9 h 1010 h : Interception, magazine de grand reportage de la rédaction dirigé par Pascal Dervieux, Vanessa Descouraux et Lionel Thompson
  • 10 h 1011 h : Remède à la mélancolie, par Éva Bester
  • 11 h12 h : On va déguster, émission culinaire de François-Régis Gaudry
  • 12 h14 h : Agora, émission politique présentée par Stéphane Paoli
  • 14 h15 h : Cosmopolitaine, émission présentée par Paula Jacques, consacrée à la littérature et au cinéma du monde entier
  • 15 h16 h : Les Savanturiers, émission scientifique de Fabienne Chauvière
  • 16 h17 h : 116 rue Albert-Londres, conversation avec un grand reporter, un radioreporter, un photographe ou un caméraman, animée par Alain Le Gouguec (remplacé par Alexandre Héraud)
  • 17 h18 h : Pop Fiction, émission culturelle d'Ali Rebeihi
  • 18 h19 h 30 : L’œil du tigre, émission « d’esprit et de sport » de Philippe Collin, en collaboration avec le service des sports de France Inter
  • 19 h 3019 h 55 : Les p'tits bateaux, émission où les enfants posent des questions à des spécialistes, par Noëlle Bréham
  • 19 h 5520 h : L'as tu lu mon p'tit loup ?, chronique consacrée à la littérature enfantine par Denis Cheissoux
  • 20 h21 h : Le Masque et la Plume, émission de critique culturelle présentée par Jérôme Garcin
  • 21 h22 h : Autant en emporte l'Histoire, fiction historique présentée par Stéphanie Duncan
  • 22 h23 h : L'Afrique en Solo, émission de Soro Solo
  • 23 h 150 h : Regardez voir !, émisison sur la photographie proposé par Brigitte Patient
  • 0 h1 h : L'album de minuit, magazine musical d'Alain Maneval
  • 1 h2 h : Rediffusion de Remède à la mélancolie d'Éva Bester
  • 2 h3 h : Rediffusion de La preuve par Z de Jean-François Zygel
  • 3 h4 h : Rediffusion de Les Savanturiers de Fabienne Chauvière
  • 4 h5 h : Rediffusion d' On va déguster de François-Régis Gaudry

Anciennes émissions

Animateurs et journalistes marquants

  • José Artur (1965-2005), animateur de l'historique Pop-Club
  • Alain Bedouet (1984-2012), journaliste et animateur du Téléphone sonne
  • Macha Béranger (1977-2006), animatrice d’Allô Macha ou Les Sans-sommeil
  • Stéphane Bern (2000-2010), producteur et présentateur de l'émission Le Fou du roi
  • Patrice Blanc-Francard (1970-1981)
  • Pierre Bouteiller
  • Philippe Caloni (1982-1987), journaliste
  • Jacques Chancel (1968-1990)
  • Pierre Dac (1951-1974)
  • Roland Dhordain
  • Jo Dona (1960-2003), qui présente durant quarante-trois ans Inter Danse
  • François Foucart (1970-2000), journaliste, chroniqueur judiciaire et informateur religieux
  • Jean-Louis Foulquier (1966-2008), qui anime successivement pendant plus de quarante ans (1966-2008) : Studio de nuit, Saltimbanques, Bain de minuit, Y'a d'la chanson dans l'air, Comme on fait sa nuit, on se couche, Pollen, les copains d'abord , TTC (Tous talents confondus)
  • Anne Gaillard
  • Josée Gorce, productrice de l'émission le jeu des mille euros
  • Lucien Jeunesse (1965-1995), animateur du Jeu des mille francs
  • Kriss (1969-2009), animatrice
  • Laurent Ruquier (1991-1999), producteur et présentateur de Rien à cirer, Changement de direction, Les P'tits Dejs, Les Dejs puis Dans tous les sens
  • Patrick Font (1991-1996), chroniqueur de Rien à cirer
  • Saint-Granier, jusque dans les années 1960
  • Gérard Sire (1970-1977)
  • Claude Villers, entré comme assistant de José Arthur

Diffusion

France Inter utilise plusieurs moyens pour transmettre ses programmes : Grandes ondes (AM), Modulation de fréquence (FM), satellite, Internet, ITunes Store.

Grandes ondes (AM)

France Inter est diffusée en grandes ondes sur 162 kHz (1 852 m) depuis l'émetteur d'Allouis dont le signal est reçu en France métropolitaine et également dans les pays frontaliers ainsi qu'en Afrique du Nord.

Ce canal est également utilisé pour la transmission d'un signal horaire en modulation de phase, émis en continu depuis l'émetteur d'Allouis au moyen d'une horloge atomique. Ce signal permet de synchroniser les horloges à distance[33].

Modulation de fréquence (FM)

France Inter bénéficie d'une couverture très dense sur l'ensemble du territoire français.

Elle est également diffusée en direct dans tous les départements et collectivités d'outre-mer sur le deuxième réseau FM d'Outre-Mer 1ère.

En tant que radio nationale publique, l'autorité de régulation lui a attribué la première fréquence de la bande FM à Paris, le 87,8 MHz.

Satellite

France Inter est diffusée, en 2011, sur Fransat et ASTRA (SES S.A)[35].

Internet (streaming et podcasts)

Le site internet permet d'écouter la radio en streaming (en direct). Il permet aussi de télécharger quasiment toutes les émissions en podcasting.

France Inter est aussi disponible sur la plupart des postes de radio internet en streaming.

Notes et références

  1. Patrick Eveno et Denis Maréchal, La culture audiovisuelle des années 1960-1970, Éditions L'Harmattan, 2009, p. 173
  2. Rémi Tomaszewski, Les politiques audiovisuelles en France, Documentation française, 2001, p. 26
  3. Robert Prot, Précis d'histoire de la radio et de la télévision, Éditions L'Harmattan, 2007, p. 161
  4. Daniel Lesueur, Les années transistor, Aléas, 2009, p. 45
  5. Le Monde, 14 décembre 2003, page 11
  6. « La Mémoire de la FM »
  7. 1 2 Anne-Marie Gustave, Valérie Péronnet, La saga France Inter. Amour, grèves et beautés, Éditions Flammarion, 2013, 288 p.
  8. « Nouvel habillage sonore pour France Inter », sur ozap, (consulté le 29 août 2014)
  9. Les incroyables avantages des salariés de Radio France, bfmtv.com, 8 avril 2015
  10. « Les journalistes de France Inter expriment leur colère contre Philippe Val », Télé Obs, 21 juin 2010.
  11. « Val masqué à France Inter », Libération, 18 juin 2010.
  12. « Jean-Luc Hees annonce le retrait de Stéphane Guillon de l'antenne de France Inter », Le Monde, 24 juin 2010.
  13. (fr) « France Inter : Les internautes contre-attaquent », L'Express, (consulté le 19 novembre 2012).
  14. « Didier Porte : “Mon licenciement de France Inter est clairement politique” », L'Humanité, (consulté le 19 novembre 2012)
  15. « France Inter, le rodéo de la chronique matinale », Pandora vox, (consulté le 19 novembre 2012)
  16. « Mermet viré, pluralisme menacé », sur Politis, (consulté le 27 novembre 2014)
  17. Daniel Mermet va voir ailleurs s’il y est, bvoltaire.fr, 30 juin 2014
  18. « Décès de Jean Garretto, l'homme de Fip et de l'Oreille en coin » sur Le Nouvel Observateur, 17 septembre 2012.
  19. (fr) « Nomination à Radio France Bertrand Vannier, conseiller éditorial auprès de la Présidence », sur le-media.fr,
  20. 1 2 (fr) « Patrice Bertin nommé directeur de la rédaction », sur radioactu.com,
  21. 1 2 (fr) Thibault Leroi, « France Inter - Hélène Jouan nommée directrice de la rédaction », sur radioactu.com,
  22. 1 2 (fr) Thibault Leroi, « France Inter - Nominations d'Hélène Jouan et Mathieu Aron », sur radioactu.com,
  23. (fr) Thibault Leroi, « France Inter - Renaud Dély assure l'intérim de la direction de la rédaction », sur radioactu.com,
  24. 1 2 (fr) Aude Dassonville, « À France Inter, les travaux continuent », sur Télérama,
  25. 1 2 (fr) « Présentation de la rédaction », sur France Inter (consulté en 3 septembre 2015)
  26. (fr) « France Inter, à savoir », sur SNJ Radio France (consulté en 3 septembre 2015)
  27. 1 2 (fr) « Deux ESP, 3 retours », sur SNJ Radio France,
  28. (fr) Lucie Soullier, « Bruxelles fait fuir les journalistes. Pourquoi ? », sur Marianne,
  29. (fr) « Radio France : envoyé spécial permanent à Londres », sur Satellifax,
  30. (fr) « France Culture, la DRH n'annonce pas le nouvel organigramme », sur SNJ Radio France,
  31. (fr) « Une journaliste de France Bleu nommée à Rome », sur Ouest France,
  32. « Un réseau de transport d’électricité toujours à l’heure ! », article du blog de RTE.
  33. www.radiofrance.fr Radio France : Fréquences, consulté le 10 août 2013
  34. « FAQ : Je voudrais écouter la radio par le satellite »

Voir aussi

Bibliographie

  • Martine Valo, Histoires d'une maison ronde, Le Monde, , 11 p. (ISBN 2840985136)
  • Augustin Scalbert, La voix de son maître : France Inter et le Pouvoir politique 1963-2012, Nova Editions, , 286 p. (ISBN 9782360150182)
  • Anne-Marie Gustave et Valérie Péronnet, La saga France Inter. Amour, grèves et beautés, Éditions Flammarion, , 288 p.

Articles connexes

Lien externe

  • (fr) Site officiel
  • Portail de la radio
  • Portail de la France
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