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Union des démocrates et indépendants

Union des démocrates et indépendants

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir UDI.
Union des démocrates et indépendants
Image illustrative de l'article Union des démocrates et indépendants
Logo officiel
Présentation
Président Jean-Christophe Lagarde
Fondation 18 septembre 2012
Siège 22 bis rue des volontaires (Paris)
Président d'honneur Jean-Louis Borloo
Vice-présidents Yves Jégo
Valérie Létard
Philippe Folliot
Catherine Morin-Desailly
Jean-Marie Bockel
Sophie Auconie
François Sauvadet
Louis Giscard d'Estaing
Arnaud Richard
Bertrand Pancher
Yannick Favennec
Secrétaires généraux Brigitte Fouré
Michel Zumkeller
Porte-paroles Chantal Jouanno
Jean-Marie Bockel
Laurent Degallaix
Daniel Leca
Adhérents 28 305 (2014)[1]
Positionnement Centre droit, Centre
Parti européen Parti démocrate européen
Idéologie Social-libéralisme
Démocratie chrétienne
Europhilie
Fédéralisme européen
Progressisme
Écologisme
[réf. nécessaire]
Couleurs Violet, bleu clair
Site web http://www.parti-udi.fr/
Présidents de groupe
Sénat François Zocchetto (UDI-UC)
Assemblée Philippe Vigier (UDI)
Parlement européen Guy Verhofstadt (ADLE)
Représentation
Députés
30 / 577
Sénateurs
44 / 348
Députés européens
2 / 74
Présidence de conseils départementaux
14 / 101
Conseillers départementaux
422 / 4 108
Maire des villes de plus de 100 000 habitants
2 / 41

L'Union des démocrates et indépendants (UDI) est un parti politique français du centre droit, fondé par Jean-Louis Borloo le 18 septembre 2012[2], sur la base du groupe parlementaire du même nom à l'Assemblée nationale. L'UDI est composée de différents partis qui conservent leur existence, formant ainsi une fédération de partis.

Le parti est présidé par Jean-Christophe Lagarde, depuis le 13 novembre 2014.

Historique

2012-2014 : Présidence de Jean-Louis Borloo

Processus de fondation de l'UDI

Jean-Louis Borloo, président-fondateur de l'UDI de 2012 à 2014.

Les élections législatives de juin 2012, si elles sont marquées par un échec de la précédente majorité parlementaire (coalition UMP-NC), voient cependant l'élection d'une trentaine de députés centristes se confirmer, ces derniers portant les bannières du Parti radical, du Nouveau Centre et de l'Alliance centriste. Alors que se forme la Force européenne démocrate au cours de l'été 2012 et accompagné de plusieurs députés, Jean-Louis Borloo crée un groupe parlementaire dans le but de rassembler les centristes et l'Union des Démocrates et indépendants. Malgré l'opposition initiale de certains parlementaires qui échouent à conserver leur propre groupe et qui rejoindront finalement l'UDI, le groupe compte alors une petite trentaine de députés.

Le , à l'occasion des journées parlementaires du Centre, Jean-Louis Borloo annonce la création d'un parti politique, du même nom que le groupe parlementaire centriste, l'Union des Démocrates et Indépendants[3]. Le 9 octobre, les instances parisiennes des forces politiques constituant l'UDI mettent en place un bureau provisoire. Le 21 octobre suivant, une assemblée constituante se réunit à la Maison de la Mutualité à Paris afin d'officialiser la création du mouvement[4]. Sont présentes plus de 3 000 personnes, issues des divers partis fondateurs de l'UDI. Parmi les présents, on trouve notamment Simone Veil. L'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing n'étant pas présent, laisse tout de même un message d'encouragement à l'UDI, dans lequel il « souhaite bonne chance » à ce nouveau parti [5].

Le a lieu la première réunion territoriale de l'UDI à Marseille en présence de Jean-Louis Borloo. Rapidement de nombreuses réunions territoriales ont lieu à travers la France entière et des coordinateurs provisoires de fédérations sont nommés sur l'ensemble du territoire français. Des élections internes sont prévues au printemps, afin d'élire des responsables de fédérations.

Après le congrès de l'UMP du et les tensions entre les deux candidats à la présidence sur les résultats, plusieurs personnalités quittent l'ancien parti majoritaire pour l'UDI : l'ancien ministre et ancien député d'Ille-et-Vilaine Pierre Méhaignerie le , le député de Mayenne Yannick Favennec (déjà membre du groupe parlementaire UDI depuis sa création mais toujours militant de l'UMP à cette date) trois jours plus tard.

Lors du vote à l'Assemblée nationale du sur le pacte de stabilité prévoyant 50 milliards d'économies par le gouvernement Valls, 17 députés de l'UDI s'abstiennent alors que 4 votent pour et que 7 votent contre. Ce vote est alors perçu comme pouvant marquer le début d'un rapprochement entre le l'UDI et le Parti socialiste[6].

Premières élections: législatives partielles, municipales et européennes

La première confrontation électorale de l'UDI a lieu un peu moins de deux mois après la création du parti, à la suite de la législative partielle de la 1re circonscription du Val-de-Marne (9 et 16 décembre 2012). Henri Plagnol, maire de Saint-Maur-des-Fossés et député du groupe UDI, bien que toujours officiellement membre de l'UMP, est défait face à Sylvain Berrios, dissident UMP[7]. Un premier échec à relativiser au regard d'une absentention de 76,78% au deuxième tour, et d'un contexte local marqué par une profonde rivalité entre le maire de la ville, et son ex-adjoint, soutenu par une grande majorité du conseil municipal.

L'UDI voit l'échec de son sortant Henri Plagnol compensée par la victoire de Meyer Habib lors de l'élection législative partielle sur la huitième circonscription des Français établis hors de France.

Dans la perspective des prochaines élections municipales, l'UDI se veut « alliée mais concurrente » de l'UMP. C'est localement que sera décidé si les listes de rassemblement se feront avant, ou après le premier tour[8]. L'UDI espère cependant mettre la main sur certaines villes, telles que Strasbourg, Tours, Toulouse, Pau ou Rouen [9].

Pour les européennes, l'UDI s'allie au MoDem de François Bayrou.

Concernant les élections européennes de 2014, le parti mise sur son héritage européen pour y faire un bon score[10]. Selon les sondages, l'UDI est créditée de 5 à 8% des suffrages, ce qui lui permettrait d'obtenir des députés européens. Jean-Louis Borloo et François Bayrou (Mouvement démocrate) se sont déclarés favorables à la constitution liste commune centriste, humaniste, libérale et fédéraliste aux élections européennes, sans pour autant que cela ne soit encore acté par une alliance officielle. Les éventuels députés européens de l'UDI seront rattachés au groupe parlementaire Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe, actuellement présidé par Guy Verhofstadt. Ce dernier a apporté son soutien[11] au parti le 30 août 2013 à Paris, lors d'une réunion de travail sur le projet européen de l'UDI[12].

Le 5 novembre 2013, Jean-Louis Borloo, président de l'UDI, signe avec François Bayrou, président du MoDem, une charte qui unit leurs deux partis au sein d'une plate-forme politique commune, « L'Alternative », avec l'ambition de conduire des listes communes aux élections nationales, européennes et régionales. La possibilité d'une primaire commune aux partis centristes en vue de l'élection présidentielle de 2017 est également envisagée[13].

Depuis 2014 : Présidence de Jean-Christophe Lagarde

Yves Jégo, président par intérim de l'UDI en 2014.

Retrait de Jean-Louis Borloo et élection de Jean-Christophe Lagarde

Le dimanche 6 avril 2014, après plusieurs mois de convalescence à la suite d'une pneumonie, Jean-Louis Borloo annonce sa démission du poste de président de l'UDI, estimant qu'il n'a pas « toute l'énergie nécessaire pour remplir complètement toutes [ses] responsabilités »[14].

Nommé président par intérim, Yves Jégo démissionne à son tour au mois de juin afin de présenter sa propre candidature à l'élection du nouveau président de l'UDI, prévue à l'automne suivant. Une direction collégiale provisoire est alors constituée pour le remplacer. Elle se compose des secrétaires généraux Laurent Hénart et Jean-Christophe Lagarde, des présidents des groupes parlementaires Philippe Vigier et François Zocchetto ainsi que du président du conseil national, Hervé Morin[15].

Quatre membres du parti sont candidats à la succession de Jean-Louis Borloo :

  • Jean-Christophe Fromantin (TEM)[16]
  • Yves Jégo (PR), en tandem avec Chantal Jouanno (adhérente directe)[16]
  • Jean-Christophe Lagarde (FED)[17]
  • Hervé Morin (NC)[16].

Dix jours après avoir officialisé sa candidature, Jean Arthuis (AC) a annoncé qu'il la retirait afin de se consacrer à la présidence de la commission des budgets du Parlement européen[18]. Un autre membre du parti, Emmanuel Pasco-Viel (adhérent direct)[19], n'a pas obtenu les 500 parrainages nécessaires[20].

Le , les résultats du 1er tour sont publiés; le 2e opposera Jean-Christophe Lagarde et Hervé Morin.

Le , Jean-Christophe Lagarde est élu président du parti avec 53,49 % des suffrages exprimés[21].

Résultats de l'élection à la présidence de l'UDI de 2014
Candidat Premier tour[22] Second tour[23]
Voix % Voix %
Jean-Christophe Lagarde 5 888 35,94 10 040 53,49
Hervé Morin 5 160 31,50 8 730 46,51
Yves Jégo 3 519 21,48
Jean-Christophe Fromantin 1 814 11,07
Inscrits 28 305 100,00 28 755 100,00
Abstentions 11 683 41,28 9 814 34,13
Votants 16 622 58,72 18 941 65,87
Blancs et nuls 241 1,45 171 0,90
Exprimés 16 381 98,55 18 770 99,10
Jean-Christophe Lagarde est désigné successeur de Borloo le 13 novembre 2014.

Depuis 2014

Après la prise de fonction de Jean-Christophe Lagarde, l'UDI s'oriente vers une stratégie d'alliance avec l'UMP alors que les relations entre les deux partis sous l'ère Borloo étaient plus distantes, sans toutefois délaisser le MoDem. Lagarde revendique ce partenariat avec la droite, tout en précisant que « c'est une collaboration, pas une soumission »[24]. Des candidatures communes aux élections départementales et régionales sont alors préparées, généralement en y incluant aussi le MoDem. Une candidature commune à la présidentielle de 2017 est également envisagée, mais Lagarde a annoncé qu'il refuserait d'y participer en cas de non-participation du Mouvement démocrate, et qu'il n'excluait également pas une candidature de l'UDI distincte de celle de l'UMP si cette primaire organisée par l'ensemble de la droite et du centre devait ne pas avoir lieu[24],[25]. La stratégie de l'UDI pour la présidentielle sera finalement soumise au vote des militants en 2016[26].

En février 2015, l'UDI confirme son rapprochement avec l'UMP en déposant avec cette dernière la motion de censure contre le gouvernement Valls II à la suite de l'utilisation par le Premier ministre de l'article 49-3 pour la Loi Macron[27]. La motion échoue ; sept des trente députés de l'UDI n'avaient pas voté pour[28].

En septembre 2015, le parti se trouve dans une situation financière difficile qui le contraint à réduire ses dépenses[29].

Organisation

Composition

Hervé Morin, président du Nouveau Centre, adhère à l'UDI dès sa fondation.

L'UDI est un parti regroupant les formations politiques nationales :

  • Alliance centriste, présidée par Jean Arthuis ;
  • Force européenne démocrate, présidée par Jean-Christophe Lagarde ;
  • La Gauche moderne, présidée par Jean-Marie Bockel ;
  • Nouveau Centre, présidé par Hervé Morin ;
  • Parti radical, présidé par Laurent Hénart.

Structures associées :

  • Nouvelle Écologie démocrate, présidée par Éric Delhaye[30] ;
  • France écologie, présidée par Isabelle Jacono[31] ;
  • Territoires en mouvement, présidé par Jean-Christophe Fromantin.
  • Canal écologiste républicain C.E.R, présidé par Renaud Siry ;
  • GayLib, présidé par Catherine Michaud

Le Centre national des indépendants et paysans (CNIP), qui fut l'un des partis fondateurs de l'Union des démocrates et indépendants en a été exclu à la suite d'une décision du bureau exécutif de l'UDI en date du 10 septembre 2013, ce dernier estimant « que le soutien unanime du bureau politique du CNIP autour de son président Gilles Bourdouleix constitue une rupture de fond de tout accord politique entre l'UDI, ses valeurs et son projet, et le CNIP »[32]. Les propos du président du CNIP Gilles Bourdouleix sur les gens du voyage avaient suscité une vive polémique et l'indignation. Celui-ci avait estimé que « Hitler n'en avait peut être pas tué assez ». Propos qui lui avaient coûté sa place au sein du mouvement[33].

Le Parti libéral démocrate a rejoint l'UDI en janvier 2013 pour la quitter en décembre 2013[34] à la suite de la dissidence aux municipales de 2014 de son président, Aurélien Véron, en tant que deuxième de liste dans le IIe arrondissement de Paris.

Les 27355 adhérents de l'UDI, avant l'élection du président en octobre 2014, se répartissent de la manière suivante[35] :

  • Adhérents directs : 9 276
  • Adhérents via le Parti radical : 6 364
  • Adhérents via la Force européenne démocrate : 5 862
  • Adhérents via le Nouveau Centre : 5 327
  • Adhérents via l'Alliance centriste : 476
  • Adhérents via la Gauche moderne : 1 097 dont 803 électeurs[36]

Organigramme

  • Président : Jean-Christophe Lagarde (FED)
    • 1er vice-président : Yves Jégo (PR)
    • 2e vice-présidente (responsable de la rénovation urbaine et de la politique de la ville) : Valérie Létard (adhérent direct, ex-NC)
    • 3e vice-président (responsable de la défense et de la sécurité nationale) : Philippe Folliot (AC)
    • 4e vice-présidente (responsable de la culture et des nouvelles technologies) : Catherine Morin-Desailly (NC)
    • 5e vice-président (responsable de la politique étrangère) : Jean-Marie Bockel (LGM, également porte-parole)
    • 6e vice-présidente (responsable des adhésions et de la féminisation) : Sophie Auconie (FED)
    • 7e vice-président (responsable de la réforme de l'état et de la décentralisation) : François Sauvadet (adhérent direct, ex-NC)
    • 8e vice-président (responsable des débats citoyens) : Louis Giscard d'Estaing (adhérent direct, ex-UMP)
    • 9e vice-président (responsable des politiques sociales) : Arnaud Richard (PR)
    • 10e vice-président (responsable des politiques environnementales et du pôle écologie) : Bertrand Pancher (PR)
    • 11e vice-président (responsable de la ruralité) : Yannick Favennec (adhérent direct, ex-UMP)
  • Président d'honneur : Jean-Louis Borloo (PR)
  • Président du conseil national : Laurent Hénart (PR)
  • Délégué général : Franck Reynier (PR)
  • Secrétaires généraux : Brigitte Fouré (NC, chargée du projet UDI), Michel Zumkeller (PR, chargé de la vie des fédérations)
  • Président de la commission nationale d'arbitrage et de transparence : Jean-Léonce Dupont (NC)
    • Secrétaire de la commission nationale d'arbitrage et de transparence : Christian Debève (LGM)
  • Porte-paroles : Chantal Jouanno (adhérente directe, ex-UMP), Jean-Marie Bockel (LGM, également vice-président, chargé de la politique étrangère), Laurent Degallaix (PR), Daniel Leca (PR, Jeunes Radicaux)
  • Responsables des organisations parlementaires : Philippe Vigier (NC, Assemblée nationale), François Zocchetto (AC, Sénat), Jean Arthuis (AC, Parlement européen)

Clubs UDI

Clubs UDI thématiques

11 clubs thématiques prennent place à l'UDI[37].

  • Club UDI des 52%[38] : Ann-Katrin Jégo
  • Club UDI cités : Assia Meddah et Nordine Zaïdi
  • Club UDI culture, média et société numérique : Catherine Morin-Desailly
  • Club UDI défense : Emmanuel Dupuy et Matey Karassimeonov
  • Club UDI entreprises innovantes : Xavier Quérat
  • Club UDI hôpital : Bernard Nemitz
  • Club UDI des ultramarins de l'hexagone : Mariz Lechesne
  • Club UDI santé : Jean-Michel Grellet
  • Club UDI générations actives[39] : Benjamin Chkroun
  • e-club UDI : Jonathan Blum
  • Club Res Publica : Brahim Bouselmi

Français de l'Étranger

L'UDI est présente également au sein d'un réseau pour les Français de l'Étranger. Des « clubs UDI » par pays sont coordonnés par Olivier Cadic[40].

Élus

Députés

Le groupe parlementaire UDI dispose de 30 députés. Tous sont membres du parti UDI et la quasi-totalité a signé le pacte fondateur[44] :

  • 6 députés du Parti radical : Laurent Degallaix, Yves Jégo, Bertrand Pancher, Franck Reynier, Arnaud Richard et Michel Zumkeller.
  • 7 députés du Nouveau Centre : Charles de Courson, Stéphane Demilly, Francis Hillmeyer, Hervé Morin, Rudy Salles, Francis Vercamer et Philippe Vigier.
  • 4 députés de Force européenne démocrate : Jean-Christophe Lagarde, François Rochebloine, André Santini et François Sauvadet.
  • 3 députés du Tahoeraa huiraatira : Jonas Tahuaitu, Jean-Paul Tuaiva et Maina Sage.
  • 2 députés de l'Alliance centriste : Thierry Benoit et Philippe Folliot.
  • 2 députés de Calédonie ensemble : Sonia Lagarde et Philippe Gomès.
  • 1 député de Territoires en mouvement : Jean-Christophe Fromantin.
  • 5 députés adhérents directs : Yannick Favennec[45], Meyer Habib, Maurice Leroy, Michel Piron et François-Xavier Villain.

Sénateurs

L'UDI s'appuie au Sénat sur le groupe parlementaire de l'Union des démocrates et indépendants - UC (UDI-UC), nouveau nom depuis le de l'Union centriste et républicaine (UCR), dont 40 des 42 membres ont rejoint le parti :

  • 7 sénateurs de l'Alliance centriste : Michel Canévet, Yves Détraigne, Élisabeth Doineau, Françoise Férat, Nathalie Goulet, Henri Tandonnet et François Zocchetto.
  • 10 sénateurs du Nouveau Centre : Annick Billon, Daniel Dubois, Jean-Léonce Dupont, Joël Guerriau, Loïc Hervé, Claude Kern, Hervé Maurey, Catherine Morin-Desailly, Olivier Cigolotti[46] et Gérard Roche.
  • 8 sénateurs du Parti radical : Vincent Delahaye, Jean-Marc Gabouty, Sylvie Goy-Chavent, Sophie Joissains, Pierre Médevielle, Jean-François Longeot, Christian Namy et Jean-Marie Bockel (président de La Gauche moderne).
  • 4 sénateurs de la Force européenne démocrate : Vincent Capo-Canellas, Hervé Marseille, Michel Mercier et Yves Pozzo di Borgo.
  • 2 sénateurs de Tahoeraa huiraatira dissidents apparentés au groupe : Nuihau Laurey, Lana Tetuanui
  • 8 sénateurs adhérents directs : Philippe Bonnecarrère, Olivier Cadic, Françoise Gatel, Chantal Jouanno[47], Valérie Létard, Anne-Catherine Loisier (rattachée au groupe), Jean-Claude Luche et Jean-Marie Vanlerenberghe.

Sénateurs UDI siégeant au groupe UMP:

  • Alain Chatillon qui a choisi lui de rester apparenté au groupe UMP, Daniel Chasseing qui a choisi d'être rattaché au groupe UMP et René Danesi qui à la suite d'un accord électoral est membre du groupe UMP.
  • Alain Marc est quant à lui membre du groupe UMP mais rattaché financièrement à l'URCID

Députés européens

L'Union des démocrates et indépendants dispose de 2 députés européens :

  • 1 député européen du Parti radical valoisien : Dominique Riquet.
  • 1 député européen de l'Alliance centriste : Jean Arthuis.

Élu député européen en deuxième place sur la liste UDI-MoDem de la circonscription Île-de-France, Jean-Marie Cavada quitte l'UDI, le Nouveau Centre ainsi que ses fonctions dans les deux formations le 10 septembre 2014 pour devenir président de Nous Citoyens.

Anciennes députées européennes : Sophie Auconie (Force européenne démocrate), Marielle Gallo[48] et Michèle Striffler (La Gauche moderne) & Christine de Veyrac[49] (adhérente directe).

Élus locaux

Conseillers régionaux

Conseillers départementaux

Le parti dispose de 14 présidences de conseils généraux [57]:

  • Nicolas Fricoteaux (Aisne),
  • Jean-Claude Luche (Aveyron),
  • Jean-Léonce Dupont (Calvados),
  • François Sauvadet (Côte-d'Or),
  • Jean-Pierre Marcon (Haute-Loire),
  • Jean-Yves Couteau (Indre-et-Loire),
  • Maurice Leroy (Loir-et-Cher),
  • Christian Gillet (Maine-et-Loire),
  • Olivier Richefou (Mayenne),
  • Patrick Weiten (Moselle),
  • Alain Lambert (Orne),
  • Pascal Martin (Seine-Maritime),
  • André Villiers (Yonne),
  • Nassimah Dindar (La Réunion).

Conseil de Paris

L'UDI a 9 élus au Conseil de Paris répartis sur 7 arrondissements: Yves Pozzo di Borgo (VIIe); Leïla Diri (XIe); Édith Gallois (XIIIe); Éric Azière (XIVe); Anne Tachène (XVe); Éric Hélard et Ann-Katrin Jégo (XVIe); Valérie Nahmias et Olga Johnson (XVIIe).

Présidents de communautés urbaines, d'agglomérations et de communes

Maires

Le parti est à la tête de 89 communes de plus de 10 000 habitants parmi lesquelles 4 de plus de 100 000 habitants.

  • Alsace: Ensisheim (Michel Habig); Guebwiller (Francis Kleitz); Schiltigheim (Jean-Marie Kutner).
  • Aquitaine: Agen (Jean Dionis du Séjour); Bayonne (Jean-René Etchegaray).
  • Auvergne: Chamalières (Louis Giscard d'Estaing).
  • Bretagne: Auray (Jean-Claude Dumoulin); Chantepie (Grégoire Le Blond); Dinan (Didier Lechien); Pontivy (Christine Le Strat).; Vitré (Pierre Méhaignerie).
  • Île-de-France: Arnouville (Michel Aumas); Bobigny (Stéphane de Paoli); Bourg-la-Reine (Jean-Noël Chevreau); Le Bourget (Vincent Capo-Canellas); Brétigny-sur-Orge (Nicolas Méary); Chennevières-sur-Marne (Jean-Pierre Barnaud); Deuil-la-Barre (Muriel Scolan); Drancy (Jean-Christophe Lagarde); Épinay-sur-Seine (Hervé Chevreau); Fontenay-aux-Roses (Laurent Vastel); Igny (Francisque Vigouroux); Issy-les-Moulineaux (André Santini); Lagny-sur-Marne (Jean-Paul Michel); Massy (Vincent Delahaye); Le Mée-sur-Seine (Franck Vernin); Mennecy (Jean-Philippe Dugoin-Clément); Meudon (Hervé Marseille); Montereau-Fault-Yonne (Yves Jégo); Montrouge (Jean-Loup Metton); Neuilly-sur-Seine (Jean-Christophe Fromantin); Noisy-le-Sec (Laurent Rivoire); Saint-Brice-sous-Forêt (Alain Lorand); Saint-Ouen (William Delannoy); Sceaux (Philippe Laurent); Vanves (Bernard Gauducheau); Vigneux-sur-Seine (Serge Poinsot); Ville-d'Avray (Denis Badré); Vincennes (Laurent Lafon); Viry-Châtillon (Jean-Marie Vilain); Voisins-le-Bretonneux (Alexandra Rosetti).
  • Lorraine: Bar-le-Duc (Bertrand Pancher); Montigny-lès-Metz (Jean-Luc Bohl); Nancy (Laurent Hénart); Saint-Avold (André Wojciechowski); Saint-Dié-des-Vosges (David Valence)
  • Languedoc-Roussillon: Juvignac (Jean-Luc Savy); Pérols (Jean-Pierre Rico); Adissan (Philippe Huppé); St Cyprien (Thierry Del Poso); Narbonne (Didier Mouly)
  • Midi-Pyrénées: Albi (Stéphanie Guiraud-Chaumeil); Gaillac (Patrice Gausserand); Mazamet (Olivier Fabre).
  • Nord-Pas-de-Calais: Arras (Frédéric Leturque); Auchel (Richard Jarrett); Béthune (Olivier Gacquerre); Cambrai (François-Xavier Villain); Étaples (Philippe Fait); Faches-Thumesnil (Nicolas Lebas); Hem (Francis Vercamer); Lys-lez-Lannoy (Gaëtan Jeanne); Maubeuge (Arnaud Decagny); Roncq (Vincent Ledoux); Saint-André-lez-Lille (Olivier Henno); Saint-Omer (François Decoster); Valenciennes (Laurent Degallaix); Wasquehal (Stéphanie Ducret).
  • Haute-Normandie: Bernay (Hervé Maurey); Louviers (François-Xavier Priollaud).
  • Pays de la Loire: Château-Gontier (Philippe Henry); Laval (François Zocchetto); Saint-Sébastien-sur-Loire (Joël Guerriau).
  • La Réunion: Saint-André (Jean Paul Virapoullé); Saint-Louis (Cyrille Hamilcaro).
  • Rhône-Alpes: Ambérieu-en-Bugey (Daniel Fabre); Annecy (Jean-Luc Rigaut); Écully (Yves-Marie Uhlrich); Le Chambon-Feugerolles (Jean-François Barnier); Montélimar (Franck Reynier); Oyonnax (Michel Perraud); Pierrelatte (Marie-Pierre Mouton); Roche-la-Molière (Éric Berlivet); Saint-Genis-Laval (Roland Crimier); Saint-Julien-en-Genevois (Antoine Vielliard); Sassenage (Christian Coigné).

Élus de l'Étranger

Personnalités membres de l'UDI

  • Sophie Auconie, ancienne députée européenne, gouverneure au Conseil mondial de l'eau.
  • Didier Bariani, ancien ministre, ancien député-maire du XXe arrondissement de Paris.
  • Jean-Louis Bourlanges, ancien député européen.
  • Éric Duboc, ancien député, conseiller municipal de Buxerolles, ancien membre de l'UMP[60].
  • Louis Giscard d'Estaing, ancien député, ancien membre de l'UMP.
  • Jacques Le Nay, ancien député, maire de Plouay, ancien membre de l'UMP[61].
  • Pierre Méhaignerie, ancien ministre, maire de Vitré, ancien membre de l'UMP[62].
  • Simone Veil, magistrate et académicienne, ancienne ministre et présidente du Parlement européen[63].

Notes et références

  1. Elections UDI : communiqué de la CNAT
  2. Borloo annonce la création de l'UDI , Le Figaro, 18 septembre 2012.
  3. Discours fondateur de Jean-Louis Borloo .
  4. Le premier pari réussi de Borloo et de l'UDI , Le Monde, 22 octobre 2012.
  5. Message de Valéry Giscard d'Estaing à l'UDI
  6. Caroline Roux et Fabienne Cosnay, « L'après-Borloo observé de près au PS », europe1.fr, (consulté le 3 mai 2014)
  7. Défaite de l'UDI Henri Plagnol
  8. Municipales : l'UDI veut se mesurer à l'UMP en 2014
  9. Municipales : L'UDI prépare ses munitions, Le Figaro
  10. L'UDI se met en ordre de bataille pour les européennes , Le Figaro, 1er mars 2013.
  11. http://www.aldeparty.eu/en/news/alde-delegation-meets-udi-members-paris
  12. http://europe.parti-udi.fr/europe-ludi-au-travail-.html
  13. Jean-Baptiste Garat, « Borloo et Bayrou alliés dans L'Alternative », in Le Figaro, mercredi 6 novembre 2013, page 6.
  14. « Jean-Louis Borloo renonce à ses fonctions et mandats politiques », lemonde.fr, 6 avril 2014.
  15. Jean-Baptiste Garat, « L'UDI met en place une nouvelle direction provisoire », lefigaro.fr, 25 juin 2014.
  16. 1 2 3 Jean-Baptiste Garat, « Au moins cinq prétendants pour succéder à Borloo à l'UDI », lefigaro.fr, 27 juin 2014.
  17. AFP, « Jean-Christophe Lagarde à son tour candidat pour présider l'UDI », lemonde.fr, 29 juin 2014.
  18. « Présidence de l'UDI: Jean Arthuis renonce », lefigaro.fr, 12 juillet 2014.
  19. Emmanuel Pasco-Viel, « Pourquoi je souhaite être candidat à la présidence de l'UDI », Huffington Post, 25 juin 2014.
  20. Abel Mestre, « Bataille pour la succession de Jean-Louis Borloo à l'UDI », lemonde.fr, 14 juillet 2014.
  21. Jean-Christophe Lagarde succède à Jean-Louis Borloo à la tête de l'UDI
  22. Élection du président de l'UDI : résultat du 1er tour
  23. Jean-Christophe Lagarde est élu président de l’UDI
  24. 1 2 Présidentielle : l'UDI n'a pas à choisir entre les candidats de l'UMP, estime Lagarde, RTL
  25. Présidentielles : l'UDI confirme sa volonté d'un candidat à la présidentielle en 2017, L'Humanité
  26. Jean-Christophe Lagarde : l'UDI présentera un candidat à l'élection présidentielle, UDI
  27. Philippe Vigier : l'UDI va s'associer à la motion de censure UMP, UDI
  28. Motion de censure : 7 députés UDI n'ont pas voté, RTL
  29. Christophe Forcari, « L'UDI dans le rouge », liberation.fr, (consulté le 11 septembre 2015)
  30. [http://]
  31. Alexandre Kara, « Le CNIP viré de l'UDI », sur Europe1.fr, (consulté le 18 septembre 2013).
  32. « Gilles Bourdouleix démissionne à la suite de ses propos sur Adolf Hitler et les Roms », sur LePoint.fr, (consulté le 18 septembre 2013).
  33. « Après avoir exclu les libéraux-conservateurs, l’UDI songe à dégager les libéraux »
  34. Vote à l’UDI : les chapelles à l’appel Christophe Forcari pour Libération le 6 octobre 2014 ,
    note : cette répartition ne prend pas en compte le correctif apporté le 14 octobre sur 1000 adhérents rajoutés
  35. « Communiqué de la CNAT détaillant la composition du corps électoral de l'UDI »
  36. UDI: les clubs thématiques
  37. Site internet du Club UDI des 52%
  38. Site internet du Club UDI générations actives
  39. Les "clubs pays" de l'UDI
  40. Site internet du Club UDI Canada
  41. Site internet du Club UDI Luxembourg
  42. Site internet du Club UDI Mexique
  43. « Les membres fondateurs de l'UDI », site officiel du parti
  44. Yannick Favennec rejoint l'UDI, Ouest-France, 23 novembre 2012.
  45. « Olivier Cigolotti élu sénateur deHaute Loire », Le Monde, 25/01/2015
  46. « Prise de choix pour la nouvelle formation centriste, la sénatrice provoque la colère des chefs de file de l'UMP à Paris. », Le Nouvel Observateur, 21/10/2012
  47. http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2014/04/07/25002-20140407ARTFIG00320-une-deputee-europeenne-demissionne-de-l-udi-suite-au-retrait-de-jean-louis-borloo.php
  48. Christine de Veyrac adhère à l'UDI
  49. Les conseillers régionaux de l'UDI dans le Puy-de-Dôme
  50. P. LE CLAIRE, « Création de l'UDI / Quand les Centristes se réorientent », L'Union - L'Ardennais, 20/10/2011
  51. Élus du groupe Union centriste sur le site officiel du conseil régional du Languedoc-Roussillon
  52. Communiqué de presse du groupe Osons Midi-Pyrénées sur son site officiel, sur l'Assemblée plénière du 11 octobre 2012
  53. Élus UDI du groupe UDI - Poitou-Charentes
  54. Alexis BLANC suspendu de l'UDI
  55. Michel Lagourgue (MoDem) rejoint l'UDI
  56. « Qui est le ou la président(e) de votre département ? », sur lemonde.fr,
  57. Liste des conseillers consulaires élus en 2014
  58. Pascal Badache, conseiller consulaire indépendant, rejoint l’UDI
  59. « Nouvelle donne au conseil », sur lanouvellerepublique.fr, (consulté le 29 septembre 2015).
  60. « UMP. Jacques Le Nay (UDI) : « ll faut revoter » », sur ouest-france.fr, (consulté le 29 septembre 2015).
  61. « Mehaignerie quitte l'UMP pour l'UDI », sur lefigaro.fr, (consulté le 29 septembre 2015).
  62. « UDI : Simone Veil, l'invitée-surprise de Borloo », sur lepoint.fr, (consulté le 29 septembre 2015).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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