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Liste des partis et mouvements politiques français

Liste des partis et mouvements politiques français

Description de l'image Armoiries_république_française.svg.
Ve République (Constitution)



Cet article présente la liste des partis et mouvements politiques français actuellement en activité, ainsi que leur représentation dans les différentes chambres de la République française. La liste des partis politiques ayant disparu (ou qui sont dans un état d'inactivité complet) fait l'objet d'un autre article.


Principaux blocs politiques

Cette section a été mise à jour après les élections départementales françaises de 2015.

Fonction FG
(Front de gauche)
EELV
(Europe Écologie Les Verts)
PS et divers gauche
(Parti socialiste)
L'Alternative
(UDI-MoDem)
LR et divers droite
(Les Républicains)
FN
(Front national)
Président de la République
/1
1
Ministres
/31
31
Députés
/577
18 16 274 31 199 2
Sénateurs
/348
18 10 112 43 143 2
Députés européens
/74
4 6 12 7 20 24
Présidence de Conseils régionaux
/26
1 20 4
Conseillers régionaux
/1 880
136 246 746 111 366 112
Présidence de Conseils départementaux
/97
1 29 15 52
Conseillers départementaux
/4 108
142 35 1 420 412 1 979 62
Maires de communes de plus de 70 000 habitants
/67
7 1 20 3 35 1
Conseillers municipaux
/526 341
10 104 333 69 460 7 014 98 826 1 545
Nombre d'adhérents 85 000 5 000 60 000 65 000 213 000 83 000[1]

Partis nationaux

Le , la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a publié les comptes des partis et groupements politiques français pour l’année 2013[2]. Dans ce document, elle a dénombré 408 formations politiques. Sur ces 408 formations politiques, on distingue 54 partis politiques nationaux, mais également des partis politiques régionaux et locaux.

Extrême droite

Article détaillé : Extrême droite en France.
  • Front national (FN), présidé par Marine Le Pen
  • Parti de la France
  • Ligue du Sud (LS) : Mouvement d'extrême droite identitaire fondé en 2010, et principalement implanté dans le Vaucluse
  • Mouvement national républicain
  • Rassemblement pour l'indépendance et la souveraineté de la France
  • Souveraineté, indépendance et libertés (SIEL)

Droite

Article détaillé : Droite en France.
  • Les Républicains (LR, anciennement Union pour un mouvement populaire), présidé par Nicolas Sarkozy
  • Debout la France (DLF, anciennement Debout la République), fondé par Nicolas Dupont-Aignan en 1999.
  • Mouvement pour la France (MPF), fondé en 1994 par Philippe de Villiers
  • Parti chrétien-démocrate (PCD), fondé en juin 2009 par Christine Boutin
  • Rassemblement pour la France
  • Rassemblement des contribuables français
  • Parti républicain chrétien (PRC) : fondé en 2005, présidé par Patrick Giovannoni. Appartient à la mouvance évangélique protestante.

Centre droit

Article détaillé : Centrisme en France.

Les deux principaux partis centristes français sont le Mouvement démocrate (MoDem, présidé par François Bayrou) et l'Union des démocrates et indépendants (UDI). Lors des élections européennes de 2014, il y eut alliance entre ces deux partis, qui ont présenté des listes communes sous le nom de L'Alternative.

L'UDI est une fédération comprenant plusieurs partis :

  • Alliance centriste
  • Force européenne démocrate
  • Nouveau Centre
  • La Gauche moderne
  • Parti radical
  • Nouvelle Écologie démocrate
  • Territoires en mouvement

Le Parti libéral démocrate (PLD, fondé en 2008 par Aurélien Véron) a fait partie de l'UDI mais s'en est séparé en décembre 2013.

Autres mouvements centristes :

  • Nous Citoyens, fondé en juillet 2013 par l'entrepreneur Denis Payre.
  • Génération citoyens, fondé en 2015 par Jean-Marie Cavada après son départ de Nous Citoyens.
  • Le Trèfle – les nouveaux écologistes homme nature animaux
  • Union des démocrates musulmans français (UDMF) : fondé en novembre 2012 par Nagib Azergui[3].
  • Les Citoyens du Vote Blanc, fondé en avril 2010 par Stéphane Guyot. Son intention est de faire reconnaître le vote blanc dans les suffrages exprimés ainsi que de promouvoir une démocratie participative en France.
  • Le Pari citoyen (LPC), mouvement écologiste et solidaire, basé sur l'implication citoyenne, fondé en 2014 par Matthieu Orphelin et Thomas Zucchelli.

Gauche et Centre gauche

  • Parti socialiste (PS)
  • Parti radical de gauche (PRG)
  • Front démocrate (FD, fait partie de l'Union des démocrates et des écologistes (UDE))
  • Écologistes ! (fait partie de l'Union des démocrates et des écologistes)
  • Génération écologie
  • Rassemblement citoyen - Citoyenneté action participation pour le 21e siècle
  • Alliance écologiste indépendante
  • Mouvement écologiste indépendant

Gauche antilibérale et Extrême gauche

Article détaillé : Extrême gauche en France.

Le Front de gauche est une coalition rassemblant les partis suivants :

Parmi les autres partis et mouvements se réclamant de l'antilibéralisme on trouve :

  • Europe Écologie Les Verts
  • Nouvelle Donne, fondé le 28 novembre 2013 par Pierre Larrouturou
  • Nouvelle gauche socialiste, mouvement fondé par Liêm Hoang-Ngoc
  • Ensemble pour la France, fondé en 2010 et dirigé par Gérard Borgia[4]
  • Mouvement républicain et citoyen
  • Lutte ouvrière
  • Mouvement des progressistes
  • Nouveau parti anticapitaliste
  • Parti ouvrier indépendant
  • Gauche révolutionnaire
  • Parti pirate, fondé en France en 2009, adhérent au Parti pirate international et au Parti pirate européen. Son programme se développe sur la base de la protection des droits et libertés fondamentales, aussi bien dans le domaine numérique qu'en dehors. Sa devise est « Liberté, Démocratie, Partage ». Le Parti pirate fonctionne sans président.

Partis parlementaires

Représentation à l'Assemblée nationale

Répartition des sièges par parti à l'Assemblée nationale pour la quatorzième législature (2012-2017)
Parti Sigle Nombre
de sièges
Parti socialiste PS 274
Les RépublicainsLR 199
Union des démocrates et indépendants UDI 31
Front de gauche FG, PCF, PG, divers 18
Parti radical de gauche PRG 13
Europe Écologie Les Verts EELV 11
Union des démocrates et des écologistesUDE3
Mouvement républicain et citoyen MRC 2
Front national/
Rassemblement bleu Marine
FN, RBM 2
Mouvement démocrate MoDem 2
Parti chrétien-démocrate PCD 2
Mouvement indépendantiste martiniquais MIM 2
Debout la France DLF 1
Union démocratique bretonne UDB 1
Mouvement des progressistes MDP 1
Rassemblement démocratique martiniquais RDM 1
Parti progressiste martiniquais PPM 1
Guadeloupe unie, socialisme et réalités GUSR 1
Pour La Réunion MPLR 1
Mouvement pour la France MPF 1
Ligue du Sud LS 1

En outre, il y a 13 députés divers gauche (DVG) et 7 divers droite (DVD), principalement des dissidents UMP et PS exclus pour s'être présentés face à d'autres candidats officiels.

Représentation au Sénat

Répartition des sièges par groupe politique au Sénat[5]
Groupe politique Nombre
Les Républicains 143
Socialiste et apparentés 112
Union des démocrates et indépendants - Union centriste 43
Communiste, républicain et citoyen 18
Rassemblement démocratique et social européen 13
Écologiste 10
Sénateurs non inscrits 9

Représentation au Parlement européen

Répartition des sièges par parti au Parlement européen
Parti Sigle Nombre
de sièges
Front national FN24
Les Républicains LR 20
Parti socialiste PS 12
Europe Écologie Les Verts EELV 6
Mouvement démocrate MoDem 4
Parti communiste français PCF1
Parti de gauche PG1
Alliance centriste AC-UDI1
Parti radical PR-UDI1
Nous Citoyens 1
Parti radical de gauche PRG 1
Souveraineté, indépendance et libertésSIEL1
Le Rassemblement RUMP 1
L'Union pour les Outremer 1

L'Assemblée comprend aussi deux DVG (un proche des socialiste, une proche du Front de Gauche).

Partis régionaux et locaux métropolitains

Articles détaillés : Régionalisme (politique), Autonomisme et Indépendantisme.

Cette section liste les formations politiques à rayonnement régional ou local. Parmi ces formation trouve des partis régionalistes, autonomistes et/ou indépendantistes.

Alsace

  • Alsace d'abord (ADA) : mouvement régionaliste d'extrême droite (mouvance identitaire), fondé en 2000.
  • Force centriste Alsace (FCA) : mouvement centriste régional, fondé en 2009.
  • Unser Land (« Notre pays ») : parti autonomiste centriste, fondé en 2009 par la fusion de l'Union du peuple alsacien (UPA) et de Fer's Elsass (« Pour l'Alsace »).

Bretagne

  • Adsav (« relèvement ») : parti indépendantiste d´extrême droite, fondé en 2000.
  • Alliance fédéraliste bretonne (AFB-EKB) : mouvement autonomiste de droite, fondé en 1982.
  • Celtic league (« Ligue celtique ») : organisation internationale politique et culturelle implantée dans les pays celtiques, fondée en 1961.
  • Coordination Bretagne indépendante et libertaire : mouvement anarcho-indépendantiste.
  • Breizhistance : parti indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 2009 et issu du mouvement Emgann (« Combat ») créé en 1983.
  • Mouvement fédéraliste de Bretagne : mouvement fédéraliste, fondé en 2004.
  • Mouvement Bretagne et progrès (MBP) : mouvement autonomiste de gauche, fondé en 2010.
  • Parti breton : parti autonomiste centriste, fondé en 2002.
  • Union démocratique bretonne (UDB) : parti autonomiste de gauche et écologiste, fondé en 1964.

Catalogne Nord

  • Unitat catalana (UC, « Unité catalane ») : mouvement autonomiste de centre droit, fondée en 1986.
  • Convergence démocratique de Catalogne (CDC) : parti autonomiste centriste, fondé en 2006 et issu du Bloc català (« Bloc catalan ») créé en 2001.
  • Gauche républicaine de Catalogne (ERC, « Gauche républicaine de Catalogne ») : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1931.

Corse

  • A Manca (« La Gauche ») : parti d'extrême gauche régional, fondé en 2009 et issu d'A Manca naziunale (« La Gauche nationale ») créé en 1998.
  • le Comité central bonapartiste : parti de droite présent seulement à Ajaccio, fondé en 1908.
  • Corse social-démocrate (CSD) : parti de gauche régional, fondé en 1996.
  • Corsica libera (« Corse libre ») : parti indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 2009.
  • I Verdi Corsi (« Les Verts corses ») : parti écologiste régional, fondé en 1988. Fédération corse d'Europe Écologie Les Verts (EELV).
  • Femu a Corsica : coalition autonomiste fondée en 2010, regroupe :
    • Chjama Naziunale
    • Inseme per a Corsica, fondé en 2008.
    • le Parti de la nation corse (PNC) : parti autonomiste de gauche, fondé en 2002.
  • Rinnovu : parti indépendantiste qui a fait partie de Corsica libera de 2009 à 2012.

Franche-Comté

  • Mouvement Franche-Comté (MFC) : mouvement autonomiste centriste, fondé en 2006.

Lorraine

  • Parti Lorrain (PL) : parti autonomiste centriste, fondé en 2010.
  • Vosges d'abord (VA) : mouvement régionaliste d'extrême droite (mouvance identitaire) présent dans le département des Vosges, fondé en 2007.

Nord-Pas-de-Calais

  • Alliance régionale Flandre-Artois-Hainaut : mouvement régionaliste, fondé en 2003. Réclame une région « Pays-Bas français ».
  • Groupe des anarchistes de Lille et des environs (GDALE) : mouvement anarchiste local. Fédération lilloise de la Coordination des groupes anarchistes (CGA).

Normandie

  • Mouvement normand (MN) : mouvement régionaliste, fondé en 1971.

Occitanie

  • Libertat ! : mouvement indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 2009 par le regroupement d'Anaram au patac (AAP, « Nous irons au combat »), de Combat d'Òc et de Hartèra !.
  • Parti de la nation occitane (PNO) : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1959.
  • Partit occitan (POc) : parti autonomiste et fédéraliste de centre gauche, fondé en 1987.
  • Front régional (FR) : mouvement d'extrême droite régional, fondé en 2008 en région Provence-Alpes-Côte d'Azur d'une dissidence du Front national (FN).
  • Union de la droite républicaine (UDR) : mouvement de droite régional, fondé en 2003 en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pays niçois

  • Nissa Rebela (NR) : mouvement régionaliste d'extrême droite (mouvance identitaire), fondé en 2006.
  • Parti niçois (PN) : parti autonomiste centriste, fondé en 2010.

Pays basque Nord

  • Parti nationaliste basque (EAJ-PNB) : parti autonomiste centriste, fondé en 1895.
  • Eusko alkartasuna (EA, « Solidarité basque ») : parti indépendantiste de gauche, fondé en 1986.
  • Abertzaleen batasuna (AB, « Union des patriotes ») : parti indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 1988.
  • Batasuna (« Unité ») : parti indépendantiste d'extrême gauche, fondé en 2001. Proche d'Euskadi ta Askatasuna (ETA, « Pays basque et liberté »). Dissous début 2013.

Savoie

  • Mouvement Région Savoie (MRS) : mouvement régionaliste centriste, fondé en 1972.
  • Confédération savoisienne (CSE) : mouvement indépendantiste d'extrême droite, fondé en 2001 d'une dissidence radicale de la Ligue savoisienne.
  • La Région Savoie, j'y crois ! : association régionaliste fondée en 1998. Transpartisane, elle rassemble les élus favorables à la création d’une région Savoie.

La fédération Régions et peuples solidaires

Article détaillé : Régions et peuples solidaires.

Fondée en 1995, la fédération Régions et peuples solidaires (R&PS) est l’une des tentatives les plus achevées de regroupement des forces « régionalistes » en France. Elle rassemble les formations politiques suivantes :

  • Congrès mondial amazigh (CMA)
  • Convergence démocratique de Catalogne (CDC)
  • Gauche républicaine de Catalogne (ERC)
  • Eusko alkartasuna (EA)
  • Mouvement Région Savoie (MRS)
  • Parti de la nation corse (PNC)
  • Parti nationaliste basque (EAJ-PNB)
  • Partit occitan (POc)
  • Union démocratique bretonne (UDB)
  • Unser Land

Partis en France d'outre-mer

Guadeloupe

Article détaillé : Politique en Guadeloupe.
  • Mouvement national démocrate pointois (MNDP) : mouvement d'union nationaliste démocrate constitué en décembre 2007.
  • Rassemblement pour la Guadeloupe française et caribéenne (RPGFC) : parti guadeloupéen de droite.
  • Renouveau socialiste : Fondé en 2003, par Daniel Marsin, sénateur Rassemblement démocratique et social européen.
  • Guadeloupe unie, socialisme et réalités (GUSR) : parti social-démocrate local issu de la fédération guadeloupéenne du Parti socialiste français et à présent proche de Gauche moderne de Jean-Marie Bockel.
  • Parti progressiste démocratique guadeloupéen (PPDG) : constitué en 1991 par des militants du Parti communiste guadeloupéen à la suite de la disparition de l'URSS.
  • Parti communiste guadeloupéen : fondé en 1944, comme section du PCF, indépendante depuis 1958.
  • Mouvman gwadloupéyen : parti indépendantiste de gauche, fondé en juin 1997, succède à l'Union populaire pour la libération de la Guadeloupe, fondé en 1978.
  • Konvwa pou Liberasyon Nasyonal Gwadloup/Convoi pour la libération nationale de la Guadeloupe : fondé en 1997 par Luc Reinette.
  • Combat ouvrier (CO) : groupe trotskyste membre de l'UCI comme Lutte ouvrière et fondé en 1971 en Guadeloupe.

Guyane

  • Mouvement de décolonisation et d'émancipation sociale (MDES) : mouvement indépendantiste d'extrême gauche.
  • Parti socialiste guyanais (PSG) : fondé en 1956, issu de la fédération locale de la SFIO, dont elle est distincte.
  • Walwari : mouvement guyanais de centre gauche, fondé en 1993 par Christiane Taubira.
  • Forces démocratiques de Guyane (FDG)

Martinique

Partis assimilationnistes
  • Osons oser (OO) : fondé en 2000 par Pierre Petit, de centre droite. Compte un conseiller général, un conseiller régional et un maire.
  • Forces martiniquaises de progrès (FMP) : Parti libéral, fondé en 1998 et dirigé par André Lesueur et Miguel Laventure. Compte 2 conseillers généraux, 2 conseillers régionaux et 3 maires.
  • Fédération socialiste de la Martinique (FSM) : Branche locale du PS. Secrétaire fédérale, Louis-Joseph Manscour. Compte 1 député, 3 conseillers généraux, 1 maire et 2 conseillers régionaux.
  • Renouveau Martinique (RM) : créé en 1982 sous le nom de Renouveau Sainte-Marie, par Guy Lordinot. Compte 8 conseillers municipaux.
  • Mouvement populaire franciscain (MPF) : Fondé en 1983 et dirigé par Maurice Antiste. Compte un conseiller général, un conseiller régional et un maire.
  • Mouvement libéral populaire (MLP) : créé en 1992 par Philippe Petit, centre gauche. Compte 2 conseillers municipaux.
  • Dynamique sociale libérale (DSL) : parti fondé en 2003 par Alex-Marie Doens. Aucun élu.
Partis autonomistes
  • Parti progressiste martiniquais (PPM) : fondé par Aimé Césaire en 1958 et issu de la Fédération communiste martiniquaise. Compte 1 député, 11 conseillers généraux, 15 conseillers régionaux encartés et la présidence du conseil régional.
  • Bâtir le pays Martinique (BPM) : fondé en 1998, scission du Parti communiste martiniquais dirigé par Pierre Samot et Philippe Edmond-Mariette. Compte 3 conseillers généraux et un maire. Josette Manin, membre de Bâtir est présidente du Conseil général de la Martinique depuis mars 2011.
  • Rassemblement démocratique martiniquais (RDM) : fondé en 2006, dissidence du PPM. Secrétaire général : Claude Lise, président du conseil général. Compte 9 conseillers généraux et 9 maires et apparentés.
  • Parti communiste martiniquais (PCM) : Fondé en 1957. Son secrétaire général est Georges Erichot, conseiller municipal. Il publie Justice.
  • Vivre à Schoelcher (VS) : parti de gauche fondé et dirigé par Luc-Louison Clémenté. Ce mouvement compte 2 conseillers généraux, 1 conseiller régional et un maire.
Partis indépendantistes
  • Mouvement indépendantiste martiniquais (MIM) : fondé en 1978 par Alfred Marie-Jeanne. Compte un député, 8 conseillers régionaux, 2 conseillers généraux, une quarantaine de conseillers municipaux et un maire.
  • Mouvement des démocrates et écologistes pour une Martinique souveraine (MODEMAS) : fondé en 1992 par Garcin Malsa. Compte 2 conseillers généraux et 2 maires.
  • Parti pour la libération de la Martinique (PALIMA) : fondé en 1999 par Francis Carole. Ce mouvement compte 1 conseiller régional.
  • Conseil national des comités populaires (CNCP) : fondé en 1983. Leaders : Marie-Hélène Léotin, Robert Saé et Edmond Mondésir. Compte 1 élu au conseil régional et 6 conseillers municipaux.
  • Groupe de Révolution Socialiste (GRS) : fondé en 1972. Aucun élu.
  • Pati kominis pou lendépandans ek sosializm (PKLS) : fondé en 1984 et scission du PCM. Il est radicalement indépendantiste et prône l'abstention aux élections. Un de ses leaders est Jean-Pierre Etilé. Aucun élu.
  • Alliance ouvrière et paysanne (AOP) : fondé par le Groupe Trotskiste Antillais. Aucun élu.
  • Combat ouvrier (CO) : groupe trotskyste membre de l'UCI comme Lutte ouvrière et fondé en 1965 en Martinique. Son leader est Ghislaine Joachim-Arnaud, par ailleurs secrétaire général de la CGTM. Aucun élu.

Mayotte

  • Mouvement départementaliste mahorais (MDM) : mouvement départementaliste du centre.
  • Force de l'alternance du Mouvement départementaliste mahorais (FA-MDM) : dissidence du Mouvement départementaliste mahorais, comptait de 2007 à 2012 un député (Abdoulatifou Aly), membre du Modem au niveau national et siégeant comme non inscrit.
  • Mouvement populaire mahorais (MPM)
  • Le Nouvel élan pour Mayotte (Néma) : parti politique mahorais, créé en 2007 par Saïd Omar Oili, président du conseil général de Mayotte de 2004 à 2008.
  • Ouvoimoja : parti politique créé par Gilles Martin en janvier 2012 à Mayotte, parti de rassemblement pour la reconnaissance de l'égalité citoyenne au sein de la République.

Nouvelle-Calédonie

Article détaillé : Politique en Nouvelle-Calédonie.
Partis loyalistes ou anti-indépendantistes
  • Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR), aujourd’hui Le Rassemblement : Parti de la droite locale et mouvement historique du combat contre l'indépendance, fondé en 1977 par Jacques Lafleur sous le nom de la Rassemblement pour la Calédonie, devient RPCR en 1978 (fusion avec le RPR – Nouvelle-Calédonie), et prend le nom de Rassemblement – UMP après son affiliation à l’UMP.
  • L'Avenir ensemble : fondé en 2004 par des dissidents plus ou moins anciens du RPCR, compte des membres proches de l'UMP et d'autres de l'UDF (et depuis aussi bien du MoDem que du Nouveau Centre).
  • Rassemblement pour la Calédonie (RPC) : Parti créé par Jacques Lafleur en 2006.
  • Mouvement de la diversité (LMD) : fondé en 2008 par des dissidents du RPC sous la conduite du sénateur UMP Simon Loueckhote, allié à l'Avenir ensemble lors des élections provinciales de 2009.
  • Calédonie ensemble : fondé en 2008 par des dissidents de l'Avenir ensemble sous la conduite du président de l'Assemblée de la Province Sud de l'époque et actuel président du gouvernement local Philippe Gomès, compte essentiellement des membres proches de l'UMP.
  • Mouvement calédonien français (MCF) : parti créé en 2008 par des dissidents de la fédération locale du Front national, soutiennent l'Avenir ensemble.
Partis indépendantistes
  • Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) : Fondé par Jean-Marie Tjibaou en 1984, successeur du Front indépendantiste, fondé en 1979, regroupe :
    • Union calédonienne (UC) : Fondé en 1952 par les anciens députés Maurice Lenormand et Rock Pidjot, dominant sur la scène locale jusque dans les années 1970, d'abord autonomiste, il a officiellement pris position pour l'indépendance sous la conduite de Jean-Marie Tjibaou en 1977. À longtemps constitué la principale composante du FLNKS, domination aujourd'hui concurrencée par le Parti de libération kanak avec lequel il est régulièrement en conflit.
    • Union nationale pour l'indépendance (UNI) : Fondée en 1999, qui regroupe :
      • Parti de libération kanak (Palika) : Fondé en 1975 à partir de deux groupes de lutte indépendantistes d'influence marxiste ou révolutionnaire (les Foulards rouges et le Groupe 1878), dirigé par le président de l'Assemblée de la Province Nord Paul Néaoutyine.
      • Union progressiste mélanésienne (UPM) : Fondée en 1974, par des dissidents mélanésiens de l'UC.
      • Rassemblement démocratique océanien (RDO) : Fondé en 1994 par des membres des communautés wallisiennes et futuniennes favorables à l'indépendance, dissidents de l'Union océanienne.
  • Libération kanak socialiste (LKS) : Dissidence du Palika créée en 1981 par l'ancien grand-chef du district de Guahma et membre fondateur des Foulards rouges, Nidoïsh Naisseline. Allié sur le plan territorial à l'Avenir ensemble entre 2004 et 2008, il forme une majorité avec l'UC à l'Assemblée de la Province des îles Loyauté que Naisseline a présidé entre 1995 et 1999.
  • Fédération des comités de coordination indépendantistes (FCCI) : Dissidence du FLNKS, allié traditionnel du RPCR entre 1998 et 2004. Elle n'est plus présente depuis 2004 qu'à l'échelon municipal.
  • Unir et construire dans le renouveau (UC Renouveau) : dissidence de l'UC créée en 2004, uniquement présente aux îles Loyauté.
  • Parti travailliste : parti d'extrême gauche lié au syndicat USTKE et proche de José Bové, fondé en 2007.

Polynésie française

  • Tahoeraa huiraatira/Rassemblement Populaire : parti historique de la droite anti-indépendantiste, fondé en 1977 par Gaston Flosse, succède à l'Union tahitienne Tetahoera'a Maohi, fondée en 1962 et affiliée à l'UDR. Il a été associé au RPR puis à l'UMP jusqu'en 2008. Il est soutenu par :
    • Porinetia Ora/Que vive la Polynésie : Parti autonomiste, fondé en 2004 par des dissidents du Tahoeraa menés par Reynald Temarii. Il est présidé depuis 2006 par Teiva Manutahi. Le parti a appelé à voter pour Tahoeraa au second tour en 2013.
  • Ia Ora te Fenua/Que Vive le Pays : groupe centriste et autonomiste fondé en 2009 à l'Assemblée de la Polynésie française. On ne retrouve plus de groupe parlementaire sous ce nom après l'élection territoriale polynésienne de 2013. Il regroupait des élus de :
    • Rautahi/Rassemblement pour la Polynésie française : Fondé en 2005, dissidence du Rassemblement Populaire menée par Jean-Christophe Bouissou, dissout en 2014.
    • Tiatau mouvement citoyen : fondé en 2007 pour soutenir la candidature aux législatives de la députée sortante ancienne Tahoeraa et ancienne UMP Béatrice Vernaudon-Coppenrath.
  • Union pour la démocratie (UPLD) : Alliance de gauche indépendantiste fondée en 2004 pour les élections territoriales qu'elle a remporté sans obtenir de majorité absolue, se dispute depuis le pouvoir avec le Tahoeraa et, depuis 2008, avec A Ti'a Porinetia, au gré des changements d'alliances et des motions de censure. C'est le parti d'Oscar Temaru. Elle regroupe :
    • Tavini Huiraatira/Servir le Peuple : Parti indépendantiste fondé en 1977, par Oscar Temaru. Proche du Front de libération de la Polynésie, fondé la même année par le même Oscar Temaru, devenu en 1984 Tavini huiraatira no te ao Ma’ohi (Serviteur du peuple polynésien).
    • Here ai’a/Amour de la patrie : Fondé en 1965, issu du Rassemblement des populations tahitiennes (indépendantiste et proche du PCF, fondé en 1947).
    • Ia Mana te Nunaa/Que le peuple soit au pouvoir : fondé le 15 novembre 1975 par Jacqui Drollet, marxiste socialiste, indépendantiste - autogestionnaire, il rejoint l'Union pour la démocratie en 2004.
    • Heiura - Les Verts : parti écologiste, membre de l'Union pour la démocratie.
    • Ai'a Api/nouvelle patrie : Parti radical de gauche, autonomiste, dissident du E'a Api.
    • A Rohi/Agir : Fondé en 2008 par Hiro Tefaarere, indépendantiste modéré ancien du Tavini Huiraatira puis de l'alliance To Tatou Ai'a.
    • Te Aho Api/Le Nouveau souffle : parti autonomiste fondé en 2009 par Clarenntz Vernaudon, dissident de l'alliance To Tatou Ai'a et de l’Ai'a Api.
    • Te Henua Enata a Tu/La Terre des hommes : parti autonomiste marquisien de Benoît Kautai, allié en 2008 de l'alliance To Tatou Ai'a sans en faire partie, a fait partie jusqu'en 2008 du groupe Te niu hau manahune des îliens puis des non inscrits. Depuis 2013, membre de l'Union pour la démocratie.
  • Parti socialiste polynésien : Proche de l'UPLD, sans toutefois en faire partie.
  • A Ti'a Porinetia/le rassemblement des Polynésiens : parti et groupe parlementaire autonomiste fondé en 2013, présidé par Gaston Tong Sang. Il s'inscrit dans l'opposition au sein de l'Assemblée. Il regroupe :
    • Fetia Api/Nouvelle Étoile : Parti centriste, fondé en 1996 par Boris Léontieff, proche du Nouveau Centre et présidé aujourd'hui par Philip Schyle.
    • O Porinetia To Tatou Ai'a/O Polynésie, Notre patrie : parti de la droite autonomiste fondé en 2007 par des dissidents du Tahoeraa emmenés par Gaston Tong Sang, associé à l'UMP depuis 2009[6].
    • Ai'a Api/Nouvelle Patrie : Fondé en 1982 par Émile Vernaudon, dissidence du E'a Api, proche du PRG.
    • Taatira no te hau/Rassemblement pour la Paix : Ancien Taatira Porinetia (Entente polynésienne) renommé en 2000, parti représentant la communauté asiatique dit « parti chinois », présidé par Robert Tanseau.
    • Te Mana Toa/L'Esprit du guerrier : parti autonomiste fondé en 2007 par Sandra Lévy Agami, dissidente de Porinetia Ora et ancienne du Tahoeraa. Il a fait partie de l'alliance To Tatou Ai'a jusqu'en .
    • Te niu hau manahune/Le principe de démocratie : Parti de droite autonomiste et « îlien », fondé en 2007 par Teina Maraeura. Avait formé son propre groupe entre 2008 et 2009, le Te Mana o te Mau Motu (Le Pouvoir des îles), tout en restant toujours l'allié de To Tatou Ai'a.
  • To Tatou Ai'a/Notre patrie : alliance du centre droit autonomiste et anti-indépendantiste créée autour de Gaston Tong Sang pour les élections territoriales polynésiennes de 2008 qu'elle a remporté sans obtenir la majorité absolue, se dispute depuis le pouvoir avec l'UPLD et le Tahoeraa au gré des changements d'alliances et motions de censure. On ne retrouve plus d'alliance politique sous ce nom après l'élection territoriale polynésienne de 2013.
  • No oe e te nunaa/Pour toi, pour nous : Fondé en 2003, parti centriste proche du MoDem (a appelé à voter François Bayrou en 2007), se place entre l'UPLD et la plateforme autonomiste soutenue par l'UMP.
  • To'u Ai'a/Notre patrie : Fondé en 2007 par un dissident du Tavini Huiraatira ; davantage partisan d'une indépendance économique que d'une indépendance politique.

Saint-Pierre-et-Miquelon

  • Cap sur l'avenir (CSA) : Mouvement de centre gauche pour la défense des intérêts de l'Archipel, proche du PRG et des Verts. Représenté à l'Assemblée Nationale par sa présidente, Annick Girardin.
  • Archipel demain : Mouvement de droite local, fondé en 1995, proche de l'UMP.

Bibliographie

  • (en) Caterina Froio, « What is left for parties ? An overview of party mandate in France 1981-2009 », French Politics, vol. 11, no 1, , p. 98-116 (DOI 10.1057/fp.2013.3)

Notes et références

  1. http://www.huffingtonpost.fr/2014/10/30/front-national-83000-adherents-plus-haut-fondation_n_6077574.html
  2. [PDF] Rapport de 2013 de la CNCCFP
  3. Ce jeune parti revendique en 2014 près de 8000 adhérents, mais ce chiffre semble toutefois correspondre au nombre de personnes suivant la page Facebook de l'UDMF, cf. (Pierre-Yves Lambert), "Union des démocrates musulmans français", Suffrage Universel
  4. http://www.nicematin.com/article/menton/gerard-borgia-president-sinon-rien.518873.html
  5. Liste des sénateurs par groupes politiques, senat.fr, consulté le 27 mai 2014
  6. ATP, « Alliance officielle entre Gaston Tong Sang et l'UMP », Tahiti Presse, 18/06/2009

Voir aussi

Articles connexes

  • Financement des partis politiques français

Liens externes

  • Commission nationale des Compte de Campagne et des financements politique : source importante pour le recensement des partis politiques.
  • Portail de la politique française
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