Sèvres
Sèvres | |||||||||||||||
La mairie de Sèvres |
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Blason | |||||||||||||||
Administration | |||||||||||||||
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Pays | France | ||||||||||||||
Région | Île-de-France | ||||||||||||||
Département | Hauts-de-Seine | ||||||||||||||
Arrondissement | Boulogne-Billancourt | ||||||||||||||
Canton | Boulogne-Billancourt-2 | ||||||||||||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest[Note 1] | ||||||||||||||
Maire Mandat |
Grégoire de La Roncière (DVD) 2014-2020 | ||||||||||||||
Code postal | 92310 | ||||||||||||||
Code commune | 92072 | ||||||||||||||
Démographie | |||||||||||||||
Gentilé | Sévriens | ||||||||||||||
Population municipale |
23 572 hab. (2012) | ||||||||||||||
Densité | 6 029 hab./km2 | ||||||||||||||
Géographie | |||||||||||||||
Coordonnées | 48° 49′ 26″ N 2° 12′ 42″ E / 48.8238888889, 2.2116666666748° 49′ 26″ Nord 2° 12′ 42″ Est / 48.8238888889, 2.21166666667 | ||||||||||||||
Altitude | Min. 27 m – Max. 171 m | ||||||||||||||
Superficie | 3,91 km2 | ||||||||||||||
Localisation | |||||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||||||||||||
Site web | ville-sevres.fr | ||||||||||||||
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Sèvres (prononcé [sɛvʁ ] ) est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.
Géographie
Localisation
Sèvres est une commune de la banlieue ouest de Paris à 10,5 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris[1], longée à l'est par la Seine.
-
Carte de la commune. -
Vue de la commune de Sèvres en rouge sur la carte de Paris et de la « Petite Couronne ».
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 391 hectares ; l'altitude varie entre 27 et 171 mètres[2].
Des travaux effectués à Sèvres, notamment pour la construction de la voie express, ont permis de mettre à jour dans différentes couches géologiques des fossiles très intéressants. Par exemple, dans la craie, on trouva des sortes d'oursins, des rostres de belemnistes, des rynchonelles, des huîtres ; dans le calcaire grossier, des nautiles[3].
Hydrographie
- La Seine ;
- Le Ru de Marivel qui se jette dans la Seine à 80 m en amont du pont de Sèvres[4].
Climat
Le climat de l'Île-de-France est de type océanique. Les stations d'observation les plus utilisées pour la météorologie à Sèvres sont celles d'Orly et de l'aéroport de Vélizy-Villacoublay[5].
Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat francilien avec celui de quelques grandes villes françaises :
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) | Neige (j/an) | Orage (j/an) | Brouillard (j/an) |
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Moyenne nationale | 1 973 | 770 | 14 | 22 | 40 |
Orly[6] | 1 797 | 615 | 16 | 20 | 31 |
Paris | 1 661 | 637 | 12 | 18 | 10 |
Nice | 2 724 | 733 | 1 | 29 | 1 |
Strasbourg | 1 693 | 665 | 29 | 29 | 53 |
Brest | 1 605 | 1 211 | 7 | 12 | 75 |
Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Orly recueillies sur la période 1961 - 1990 :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 1,3 | 3 | 5,3 | 8,8 | 11,9 | 13,8 | 13,4 | 11,2 | 7,9 | 3,8 | 1,6 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 3,3 | 4,4 | 6,8 | 9,8 | 13,5 | 16,7 | 18,9 | 18,6 | 16 | 11,9 | 6,8 | 4,1 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,8 | 7,5 | 10,7 | 14,2 | 18,1 | 21,5 | 24 | 23,8 | 20,9 | 15,9 | 9,8 | 6,6 | 14,9 |
Humidité relative (%) | 86 | 80 | 76 | 72 | 72 | 71 | 70 | 71 | 77 | 83 | 86 | 86 | 78 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Nombre de jours avec gel | 12,4 | 10,3 | 7 | 1,6 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0,2 | 5,4 | 11,6 | 48,6 |
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. |
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Record de froid (°C) date du record |
−16,8 1985 |
−15 1956 |
−9,4 2005 |
−4,3 1921 |
−1,3 1957 |
3,2 1975 |
6,7 1922 |
5,6 1923 |
1,7 1952 |
−3,9 1955 |
−9,6 1921 |
−13,3 1964 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,5 2003 |
20 1990 |
24,5 1955 |
29,4 1949 |
35 1922 |
37 1947 |
39,2 1947 |
40 2003 |
33 1949 |
31,3 1921 |
20,1 1993 |
17,3 1989 |
Voies de communication et transports
Voies routières
Sèvres est traversée de part en part par la RN 10 aujourd'hui déclassée et qui permet de relier la ville à Boulogne-Billancourt et Chaville. Elle est par ailleurs le point de départ de la RN 118 au niveau du Pont de Sèvres.
Pistes cyclables
Sèvres présente un axe principal de circulation qui supporte un important trafic de transit principalement aux heures de pointe du soir et du matin. Cela permet de préserver des axes secondaires de desserte résidentielle ne subissant pas les effets négatifs de la circulation de transit, et sur laquelle la mise en zone 30 était à l’étude, dès 2007[8]. La mairie a toutefois lancé une réflexion sur ces voies pour obtenir un meilleur partage des espaces publics en faveur des liaisons douces (trottoirs confortables, si possible développement de pistes cyclables) et de l’usage des transports en commun là où ils passent (arrêts de bus confortables, création de sites propres lorsque les conditions techniques le permettent)[9]. Depuis novembre 2011, quinze rues sont mise en double sens cyclable. Elles font l’objet d’un marquage au sol et d’une pose de panneaux signalétiques spécifiques :
- avenue de la Cristallerie
- rue Brancas, entre la rue de Ville-d’Avray et la rue Bernard-Palissy
- Grande Rue, entre la rue de Ville-d’Avray et la place Gabriel-Péri
- rue du Docteur Gabriel-Ledermann, entre la rue de Rueil et la rue Jules-Sandeau
- rue Riocreux, entre la place Pierre-Brossolette et la rue de Ville d’Avray
- rue Brongniart
- rue Léon Journault (entre l'avenue Camille Sée et la sente Brezin) puis rue Victor-Hugo
- rue des Bas-Tillets, entre la rue Benoît-Malon et la rue de la Garenne
- rue Albert-Dammouse, entre la rue Avice et le virage Stade des Fontaines
- rue Rouget-de-l’Isle
- rue Jules-Ferry
- rue du Docteur Roux
- rue Charles-Vaillant
- rue Jean-Jaurès
- rue des Verrières
Transports en commun
La ville est desservie par :
- la ligne L à la gare de Sèvres - Ville-d'Avray sur la branche Paris-Saint-Lazare et N à la gare de Sèvres-Rive-Gauche du réseau Transilien ;
- la ligne T2 du tramway d'Île-de-France aux stations Musée de Sèvres et Brimborion ;
- les lignes de bus 169, 171, 179 et 426 du réseau de bus RATP, la ligne 469 de l'établissement Transdev de Nanterre, la ligne 45 du réseau de bus Phébus et, la nuit, par les lignes N61 et N145 du réseau Noctilien. La ville met à disposition des personnes à mobilité réduite un minibus, « L’autre Bus ».
Urbanisme
Morphologie urbaine
L’Insee découpe la commune en dix îlots regroupés pour l'information statistique[10].
La commune de Sèvres comprend 16 quartiers, dont les intitulés sont[11] :
- 1 - Bruyères - Acacias - Fonceaux
- 2 - Bruyères - Postillons - Jaurès
- 3 - Val des Bruyères - Allard
- 4 - Ernest Renan
- 5 - Châtaigneraie
- 6 - Beau Site - Pommerets
- 7 - Binelles
- 8 - Manufacture - Brimborion
- 9 - SEL - Division Leclerc
- 10 - Europe - Pierre Midrin
- 11 - Médiathèque - 11 novembre
- 12 - Danton - Gabriel Péri
- 13 - Monesse
- 14 - Croix-Bosset
- 15 - Brancas - Fontenelles
- 16 - Brancas - Beauregard
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 62,70 % | 243,19 |
Espace urbain non construit | 13,46 % | 52,21 |
Espace rural | 23,83 % | 92,44 |
Source : Iaurif[12] |
Logement
Dans le projet d’aménagement et de développement durable (PADD) approuvé le 10 mai 2007[13], la commune affiche l’ambition de maintenir sa population aux environs de sa situation de début 2005. Il s’agit d’une volonté d’offrir à chaque ménage habitant la commune, l’opportunité de vivre et évoluer à Sèvres, et d’un enjeu de préservation de son tissu d’équipements et de commerces locaux. Les études menées dans le cadre du P.L.H. montrent qu’à l’horizon 2015, ceci impliquerait la construction d’environ 40 logements par an (en tenant compte de la transformation du parc ancien, de la réduction de la vacance et du desserrement de la taille des ménages) pour maintenir la population communale.
En 2005, la commune comptait 24,5 % de logements sociaux. Ces logements sont en grande partie implantés le long de la RD 910, autour du centre-ville. La commune affiche la volonté de préserver cette mixité sociale en garantissant une diversité des statuts de logements dans le cadre des opérations futures de construction. À ce titre, elle affiche la volonté de maintenir son parc de logement social autour de 25 % du parc total de résidences principales. Par ailleurs, le parc locatif privé a connu une baisse entre 1990 et 1999. Un effort en faveur de ce type de logements sera recherché toujours dans l’optique de maintenir la diversité des profils d’habitants. Certains secteurs de la ville étant faiblement pourvus en logements sociaux, le développement de ce type de logement devra permettre un meilleur équilibre à l’échelle de la commune[14].
Projets d'aménagements
Les principaux projets d'aménagements concernent :
- la reconstruction de l'école Croix Bosset[15]
- le développement des liens entre les berges de Seine, la ville et les parcs boisés par des ouvertures piétonnes destinées à développer une trame de liaisons douces est/ouest (liaisons parc de Saint-Cloud / île Monsieur, entre le parc de Brimborion et la station de Tramway Brimborion, le long de la Seine, projet d’aménagement de l’entrée de Sèvres et des abords du musée de la Manufacture par la création d’un cheminement piéton/vélos le long de la grande rue, derrière le mur d’enceinte du musée)[16].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Savara[17]au VIe siècle[18], a pour origine, le nom du ruisseau qui suivait la vallée de Viroflay, Chaville, Sèvres[19]. Puis sous les formes Villa Savara au VIe siècle[20], Saura[Quand ?], Saure[Quand ?], Savra[Quand ?], Saevara au XIe siècle[20], Severa, Sepera et Separa au XIIIe siècle[18], Sevra[Quand ?], Sièvre[Quand ?], Saives[Quand ?], Sèvre-en-France-lez-paris à partir du XIVe siècle, avant Sèvres[Quand ?][3].
Sèvres a pris le nom de la rivière qui la traversait. Sèvres comprend le radical sav-, sab-, dans le sens de « creux » ou la radical sam- « tranquille ». Ces radicaux sont souvent utilisés en hydronymie[20].
La racine est la même pour la Sèvre Nantaise et la Sèvre Niortaise qui ont donné son nom au département des Deux-Sèvres.
Histoire
- Le bourg de Sèvres existait en 560, époque où Saint Germain, évêque de Paris, y guérit une malade et y bâtit l'église.
- L'église Saint-Romain-de-Blaye, actuelle et mainte fois remaniée, date du XIIIe siècle. Il y avait un château seigneurial.
- La manufacture de Sèvres y fut formée en 1750, par les fermiers généraux; ils la tenaient du marquis de Fulvi qui l'exploitait à Vincennes.
- En 1756, madame de Pompadour fit transférer la manufacture de porcelaine de Vincennes à Sèvres. On l'installa à l'emplacement de la Guyarde, l'ancienne villégiature de Lulli.
- En 1760, Louis XV rachète la manufacture qui devient donc « royale ».
- Le pont de Sèvres, qui était de bois, fut commencé en pierre en 1809 et terminé en 1820.
- En 1815, les habitants de Sèvres, unis à quelques soldats essayèrent de résister aux Prussiens, qui occupaient Sèvres et le pillaient malgré la capitulation signée à St Cloud.
- 20 mai 1875 : après la signature à Paris de la Convention du Mètre, qui décida notamment de la construction d'un nouveau prototype de mètre étalon en platine iridié, celui-ci est déposé au bureau international des poids et mesures (BIPM) dans l'enceinte du Pavillon de Breteuil situé dans le Parc de Saint-Cloud. Le gouvernement français « offrit ce bâtiment » au BIPM. Le pavillon principal était, alors, dans un état proche de la ruine, à la suite des bombardements prussiens de la guerre de 1870. La rénovation fut donc prise en charge par le bureau international[21].
- Le traité de Sèvres (10 août 1920)
- Signé dans la grande salle qui abrite actuellement le Musée de la Porcelaine à Sèvres, c'est un traité de paix entre les Alliés et l’Empire ottoman, à la défaveur de ce dernier.
- Les Protocoles de Sèvres (21 au 24 octobre 1956)
- Les protocoles de Sèvres (parfois nommés « accords ») sont un accord secret en sept points consignant par écrit une entente tripartite entre Israël, la France et la Grande-Bretagne en réaction à la nationalisation du canal de Suez par le dirigeant égyptien Nasser.
- La rénovation du centre-ville ancien, insalubre, accompagné de la déviation de la RN 10, est engagée en 1961 par la municipalité du Dr Odic, qui prévoyait la destruction de 1500 logements et la construction de 1600 nouveaux, 42 000 mètres carrés de bureaux ou de locaux commerciaux[22],[23]. La municipalité de Jean Caillonneau réoriente l'urbanisation à la fin des années 1980 afin de favoriser la création de bureaux afin de « refaire de Sèvres une ville dynamique et industrieuse[24] ».
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Depuis les échéances électorales de 2007, Sèvres fait partie des communes[25],[26] de plus de 3 500 habitants utilisant les machines à voter.
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du , les Sévriens ont majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 69,93 % de Oui contre 30,07 % de Non avec un taux d’abstention de 24,08 % (France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %)[27].
À l’élection présidentielle française de 2007[28], le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 35,58 % soit 4 750 voix, suivi de Ségolène Royal avec 26,09 % soit 3 212 voix, puis de François Bayrou avec 23,35 % soit 2 875 voix, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %. Au second tour, les électeurs ont voté à 56,40 % soit 6 661 voix pour Nicolas Sarkozy contre 43,60 % soit 5 149 voix pour Ségolène Royal, résultat plus tranché que la moyenne nationale[29] qui fut, au second tour, de 53,06 % pour Nicolas Sarkozy et 46,94 % pour Ségolène Royal. Pour cette élection présidentielle, le taux de participation a été très élevé. On compte 18 455 inscrits sur les listes électorales sévriennes, 89,56 % soit 16 528 voix ont participé aux votes, le taux d’abstention fut de 10,44 % soit 1 927 voix, 0,54 % soit 90 voix ont effectué un vote blanc ou nul et enfin 99,46 % soit 16 438 voix se sont exprimées.
Aux élections municipales de 2014, Une liste divers droite menée par Grégoire de La Roncière est opposée à la liste conduite par le maire sortant François Kosciusko-Morizet (UMP), puis par Laurence Roux-Fouillet après le retrait de ce dernier. Au second tour, le 30 mars, la liste divers droite obtient 2 voix de plus que la liste UMP (3279 voix contre 3277)[30]. Le 4 avril, Grégoire de La Roncière est élu maire de Sèvres par le nouveau conseil municipal.
Administration municipale
Sèvres a mis en place un conseil communal des jeunes, de façon à faire participer les plus jeunes à la vie de la commune[31].
Liste des maires
Depuis 1971, cinq maires se sont succédé à Sèvres :
Instances judiciaires et administratives
Sèvres est dans le ressort du tribunal d'instance[40] ainsi que dans celui du tribunal de police de Boulogne-Billancourt[41].
Politique environnementale
La commune désire valoriser sa richesse environnementale (forêts, berges de la Seine, patrimoine bâti, topographie…) qui constitue un atout en termes d’image pour la ville et de qualité de cadre de vie pour ses habitants : « Il convient de préserver ces éléments qui sont des maillons d’un chapelet de parcs et jardins qui participent également à de grandes continuités paysagères, de possibilités de balades et de circuits touristiques à une échelle intercommunale[16] ».
Jumelages
Au 1er janvier 2010, Sèvres est jumelée avec :
- Wolfenbüttel (Allemagne) depuis 1980[42]
- Mount Prospect (États-Unis) depuis 2000[42]
Par ailleurs, la commune de Sèvres a signé en 1991 un accord de coopération avec la commune de Maracineni en Roumanie[42].
Intercommunalité
La ville qui était membre de la communauté d'agglomération Val de Seine est membre de la communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest depuis sa création le 27 novembre 2008 [43] » avec les communes de Boulogne-Billancourt, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Vanves et Ville-d'Avray.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
En 2012, la commune comptait 23 572 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 3],[Note 4].
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,7 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %). La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,1 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 23,4 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 15,9 %) ;
- 52,2 % de femmes (0 à 14 ans = 19,1 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 23,5 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
Enseignement
Sèvres est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
La ville administre six écoles maternelles et cinq écoles élémentaires communales[48].
Le département gère un collège et la région Île-de-France un lycée du nom de « lycée Jean-Pierre-Vernant » en souvenir[49] du Compagnon de la Libération et historien. Ce lycée accueille les Sections internationales de Sèvres (bilingues français/anglais et français/allemand) à l'excellence reconnue. Le lycée prépare au baccalauréat français et OIB (Option Internationale du Baccalauréat).
Sèvres dispose par ailleurs d'un établissement privé (école et collège) : l'école Jeanne-d'Arc.
L'École supérieure de fonderie et de forge, une école d'ingénieurs privée est également installée sur le territoire de la commune, au siège de CTIF (Centre technique des industries de la fonderie).
Historique
La Maison d'enfants de Sèvres[50] à fonctionné de septembre 1941, sous la direction d'Yvonne Hagnauer (Goéland), jusqu'en novembre 1958 au 14, rue Croix-Bosset. Elle emménagea ensuite au château de Bussières, sur l'autre rive de la Seine. En 1991 elle devint le Collège Jean-Marie-Guyot.
L'École normale supérieure de jeunes filles a été créée à Sèvres en 1881. Elle a ensuite déménagé boulevard Jourdan, à Paris, avant de fusionner avec l'École normale supérieure, en 1985. Elle occupait les anciens bâtiments de la manufacture de porcelaine, qui abritent aujourd'hui le Centre international d'études pédagogiques[51].
Manifestations culturelles et festivités
- Le dernier samedi de septembre, « La dictée de Sèvres » est un concours de dictées organisé depuis 2007[52].
Santé
Sèvres accueille l'un des sites du « centre hospitalier des 4 villes ». Depuis le , ce centre regroupe le « Centre Hospitalier Intercommunal Jean Rostand » (qui regroupait déjà Chaville, Sèvres et Ville d’Avray) et le « Centre Hospitalier de Saint-Cloud[53] ». Le site de Sèvres est spécialisé en hospitalisation et en consultation dans les services maternité/gynécologie/fertilité et médecine[54].
Sports
Sèvres est la ville dans laquelle la France Sport Blowgun Association est implantée depuis 2004.
L'équipe seniors du Sèvres Football Club est actuellement entraînée par Alexandre Matejic, ancien footballeur professionnel vainqueur de la Coupe Gambardella 2004-2005 avec le Toulouse FC . Évoluant dans les divisions départementales, le club sévrien a par ailleurs failli réaliser un exploit à l'occasion du 4e tour de la Coupe de France 2008-2009. En effet, opposé au Red Star (alors en CFA) aux Stade des Fontaines, le Sèvres FC ouvre le score à la 7e minute par l'intermédiaire de Thomas Millet. Le score reste à 1-0 pour les locaux durant soixante-quinze minutes, jusqu'à l'égalisation de Demba Diagouraga (en) pour les audoniens. Les sévriens s'effondrent en prolongation et encaissent quatre buts pour un résultat final de 5-1 pour les "Verts" après prolongation .
Médias
Sèvres accueille le groupe de webradios GOOM Radio depuis 2007. C'est également à Sèvres que la série française de Fais pas ci, fais pas ça est censée se dérouler. Une partie des scènes est filmée dans un pavillon ainsi que dans les rues de la ville.
Cultes
Les Sévriens disposent de lieux de culte catholique, israélite, musulman, protestant et bouddhique.
Culte catholique
Depuis janvier 2010, la commune de Sèvres fait partie du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[55].
Au sein de ce doyenné, les lieux de culte catholique relèvent des deux paroisses de Sèvres[56] :
- Paroisse Saint-Romain : l'église Saint-Romain
- Paroisse Notre-Dame-des-Bruyères : l'église Notre-Dame des Bruyères.
Culte israélite
Communauté juive de Sèvres
Culte musulman
Association des Musulmans de Sèvres
Culte protestant
Église réformée de France (Centre paroissial de Séquoïa)
Culte bouddhique
C'est à Sèvres qu'est située la pagode Tinh Tam.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 44 450 €, ce qui plaçait Sèvres au 960e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].
Emploi
En 2007, le taux d’emploi communal était proche de 1 (10 369 emplois pour 10 607 actifs résidant à Sèvres), ce qui correspond à l'objectif que s'était fixé le schéma directeur du Val de Seine à l’horizon 2015[58].
Entreprises et commerces
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[59].
Intitulé | Ensemble classé | Ensemble inscrit |
---|---|---|
Centre international pédagogique | x | |
Intitulé | Monument classé | Monument inscrit |
Manufacture nationale de porcelaine, 4 Grand-Rue : les six fours | x | |
Sèvres Espace Loisirs, 47 Grand-Rue : anciennes halles | x | |
Maison des Jardies et mémorial à Gambetta (musée) | x | |
École nationale de céramique | x | |
Immeuble et portail, 17 Grande-Rue | x | |
Immeuble situé 16, rue Troyon | x | |
Façades, toitures, portail, 14 rue Ville-d'Avray | x | |
Église | x | |
Ancien hôtel, 164 Grande-Rue : corps principal, première travée des deux ailes, clôture sur rue, sol de la cour, et décor intérieur de la chapelle, 33 rue | x | |
Collège Arménien | x | |
Intitulé | Site classé | Site inscrit |
Bois de Fausses-Reposes | x | |
Bois de Meudon et Viroflay | x | |
Bords de Seine | x | |
Domaine de Saint-Cloud avec le parc de Villeneuve-l'Etang | x | |
Domaine de Brimborion | x | |
Île Monsieur | x | |
Rives de la Seine | x | |
Etangs et leurs abords | x | |
Source : Iaurif[60] |
L'église Saint-Romain-de-Blaye
L'église[61] offre un amalgame d'un gothique remanié et abîmé par le XVIIe siècle : l'extérieur, qui a une tour à claire-voie a été défiguré. Le vaisseau ogival a été conservé en grande partie, mais il est d'une grande nudité. Le chemin de Croix, peint sur porcelaine, provient de la manufacture de Sèvres, ainsi que les vitraux, plus anciens d'un siècle[62]. Cette église a été inaugurée plusieurs fois[63].
Fondée par le roi mérovingien Dagobert II au VIIe siècle, elle fut paroisse royale sous Marie Leszczynska. La première assemblée municipale, créée par l'Édit de 1787, comportait deux membres de droit : le seigneur, en l'occurrence le Roi Louis XVI, et le curé ainsi que 9 membres élus. Cette assemblée se réunissait dans l'église à l'issue des vêpres ou de la grand-messe[64].
Cette église a été classée à l'inventaire des monuments historiques en 1937[65].
Sa cloche, baptisée Anette a été bénie en 1760 et classée à l'inventaire des monuments historiques le 27 avril 1944[66].
Le presbytère a été construit entre 1744 et 1786[67].
L'église Notre-Dame des Bruyères
Cette chapelle a été édifiée en 1930, en bordure de la route des Gardes. Érigée en paroisse en 1962, détruite en 1971, elle a été reconstruite au 23 rue du Docteur Roux en 1968[68].
Le collège arménien
Ce bâtiment, situé 26 rue Troyon, a été donné à la Pompadour pour école de jeunes filles. Il a été reconstruit pour Bacler d'Albe entre 1816 (cadastre) et 1824 (mort du général). Occupé en 1898 par une maison de convalescence pour soldats coloniaux, c'est actuellement le collège arménien Samuel Moorat, mais il est actuellement menacé, compte tenu de son état[69].
La manufacture des cristaux de la Reine
Le bâtiment de cette manufacture, situé 16 rue Troyon, construit en 1744, a été classé à l'inventaire des monuments historiques le 1er décembre 1986[70].
La manufacture nationale de porcelaine
Le bâtiment actuel date de 1876. Ce bâtiment a été classé à l'inventaire des monuments historiques le 30 octobre 1935[71].
La maison des Jardies
C'est la maison de Balzac, de Corot et de Gambetta qui y mourut le [72].
Cette maison, située 14 avenue Gambetta, avait été achetée par Balzac qui l'occupa de 1837 à 1840, puis louée par Gambetta en 1878[73].
Musée national de céramique
Fondé en 1824 par Alexandre Brongniart, directeur de la manufacture impériale de porcelaine de Sèvres, sous le nom de Musée Céramique et Vitrique. Soucieux de présenter l'histoire des techniques de la céramique et des matières vitreuses, à travers le monde et les époques, ce dernier a constitué l'une des collections de céramiques des plus variées. le musée réunit un choix exceptionnel de poteries, faïences et porcelaines[74].
Le pavillon de Breteuil
Le temple bouddhiste de Thin Tam
Le magnifique temple bouddhiste ou Pagode Tinh Tam est l'un des plus fréquentés en France[3].
La villa Castel Henriette
La villa Castel Henriette[75],[76],[77],[78], construite en 1899, chef-d'œuvre absolu d'Hector Guimard, fut démolie en 1969][79],[80].
Cette maison, située 46 rue des Binelles, à l'angle de la rue des Gérideaux, a été construite et décorée en 1899 par Hector Guimard, au sommet d' un terrain en pente limité sur trois côtés par des rues. Elle a été détruite en avril 1969[81].
Carrières de pierre
Ces carrières de pierres ont été creusées dans le coteau, puis aménagées en entrepôt de vin en 1740, divisées en 30 galeries dont l'une appelée galerie royale ; transformées en brasserie en 1840, incendiées en 1880 et reconstruites en 1898[82].
Instituts religieux
- Pensionnat des Dominicaines : La présence de religieuses enseignantes à Sèvres remonte à 1788 date où un acte établit quatre sœurs de Charité pour l'éducation de jeunes filles pauvres[83]. À Sèvres, rue Gabriel Péri se trouvaient autrefois le couvent, l'école et pensionnat des Dominicaines enseignantes du très saint-Rosaire de Sèvres, œuvre encouragée par le saint curé d'Ars, fondée par sœur Marie-Rose du Sacré-Cœur O.P. à la fin du XIXe siècle, avec le P. Codant, en 1858, dont les novices portèrent aussi le nom de servantes du Sacré-Cœur et qui eut plusieurs fondations, à San Remo par exemple lors de l'exil de France en 1903, et aussi un orphelinat, rue Troyon ( elles rentrèrent en France en 1913 et demandèrent ou gouvernement la permission de rouvrir un noviciat ). Pendant la guerre une ambulance et infirmerie pour les soldats blessés fut installée dans le couvent[84].
- Noviciat des Assomptionnistes :
Sur certaines cartes postales anciennes[85], on peut admirer la chapelle des Assomptionnistes, située 14 rue de la Croix-Bosset, dans le quartier de la Croix Bosset. Cette propriété acquise le 30 avril 1874 fut offerte aux religieux de l'Assomption à la fin de l'année 1877 pour devenir le noviciat de Paris hors de la ville. Les Oblates de l'Assomption s'installèrent aussi à Sèvres puis une communauté de sœurs assomptionnistes. Enfin, les religieux de la province de Paris ont entre 1946 et 1964, animé le centre de mission ouvrière Saint-Étienne à Sèvres, avenue Division Leclerc, communauté baptisée La Cloche, à proximité des usines Renault[86].
Patrimoine culturel
Sèvres et la peinture
Sèvres, proche de Paris, mais très champêtre attira les plus grands peintres[87] :
- Samuel William Reynolds y peignit Saint-Cloud et le pont de Sèvres (musée Condé, Chantilly)
- le Douanier Rousseau peignit en 1908 une Vue du pont de Sèvres (musée d'État des Beaux-Arts Pouchkine)
- Sisley, qui habitait Grand-Rue, peignit l'ancienne manufacture, le pont, les bords de la Seine, des chemins
- Corot y peignit son célèbre Chemin de Sèvres (musée du Louvre)
- Paul Huet y peignit des vues savoureuses et campagnardes au possible (musée de l'Île-de-France, Sceaux)
- Marie Bracquemond, épouse de Félix Bracquemond (le Chemin des Coutures à Sèvres, Galerie Nationale du Canada) lié au groupe des impressionnistes et employé à la manufacture, y peignit Sèvres. Son œuvre la plus célèbre : Sur la terrasse de Sèvres avec Fantin-Latour (leg Caillebotte) .
- Constant Troyon né à Sèvres en 1810, premier peintre de l'école de Barbizon y peignit un Chemin de forêt et la Maison Colas, la prise de la culée du pont de Sèvres. Les parents de Constant Troyon travaillaient à la manufacture de Sèvres, son père comme peintre décorateur, sa mère comme brunisseuse. Il fut encouragé dans le domaine des arts par Riocreux, conservateur du Musée céramique de Sèvres et peintre floral, son parrain. Il vécut avec sa mère à la Manufacture jusque l'âge de vingt-trois ans. Il expose pour la première fois trois toiles au Salon de 1833, dont la Vue de la Maison Colas et la Vue de la Fête de Sèvres[88].
- Vassily Kandinsky vécut un an à Sèvres, en 1906-1907, rue des Ursulines puis petite Rue des Binelles, devenue rue Théodore Deck. Il y peint La Vie Mélangée.
- Alain Azémar, peintre sévrien, habitant de la rue des Caves -rue qui fût le théâtre de nombreux "squats" de protestation- a peint des scènes sèvriennes à de nombreuses reprises. Plusieurs de ses aquarelles ont été commandées et sont exposées par la mairie.
Sèvres et la philatélie
La Poste française a mis plusieurs fois Sèvres à l'honneur :
- le 25 mars 1957, un timbre-poste d'une valeur de 30,00 F honorant la manufacture nationale de Sèvres, dessiné et gravé par Pierre Munier a été émis[89].
- le 1er juin 1975, un timbre-poste d'une valeur de 1,00 F représentant le Bureau international des poids et mesures, dessiné et gravé par Claude Haley a été émis[90].
- le 10 janvier 2009, un timbre-poste d'une valeur de 0,55 € représentant un plat ovale en faïence de Quimper, exposé au Musée de Sèvres a été émis[91].
Sèvres et la télévision
La ville de Sèvres est le lieu de tournage de la série française Fais pas ci, fais pas ça.
Personnalités liées à la commune
Héraldique, logotype et devise
Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui : D'azur au pont de bois de deux piles d'or posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, surmonté d'un huchet contourné d'or virolé et enguiché de sable, au chef d'or chargé d'une branche de laurier et d'une palme passées en double sautoir de sable, accostées de deux vases d'azur surchargés chacun d'une fleur de lys d'or. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Sèvres, collection Mémoire en images, éditions A. Sutton, mai 2000, (ISBN 2842534794)
- Pierre Mercier, Sèvres en cartes postales anciennes, préface de Georges Lenormand (maire de Sèvres), Bibliothèque européenne - Zaltbommel, Pays-Bas, 1975,
- John Whitehead, Sèvres sous Louis XV 1740 - 1770, éditions Courtes-Longues, (ISBN 2352900603)
- Gallica propose des documents sur les Jardies, Gambetta et Balzac.
Articles connexes
- Liste des communes des Hauts-de-Seine
- Porcelaine
- Pavillon de Breteuil
- Traité de Sèvres
- Tramway de Sèvres à Versailles • Alphonse Loubat
Liens externes
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- ↑ Jusqu'à la dissolution de la communauté d'agglomération le 31 décembre 2015 compte tenu de la création de la Métropole du Grand Paris le 1er janvier 2016.
- ↑ Georges Lenormand, maire, démissionne en 1978.
- ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- ↑ « Calcul de l'orthodromie entre Sèvres et Paris [site=le site lion1906 de Lionel Delvarre » (consulté le 7 septembre 2009).
- ↑ Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
- 1 2 3 Jean-Michel Dechambre, Découvrir les Hauts-de-Seine, éditions Horvath, 1980, p. 76
- ↑ Histoire du ru de Marivel
- ↑ « Fiche sur Sèvres », sur Météo France (consulté le 6 septembre 2009).
- 1 2 3 « Données climatiques de la station d’Orly - Val-de-Marne (94310) », sur www.journaldunet.com (consulté le 6 septembre 2009)
- 1 2 « Orly, Val-de-Marne(94), 89m - [1961-1990] », sur www.infoclimat.fr (consulté le 2 septembre 2009)
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- ↑ « Urbanisme », sur site de la mairie de Sèvres (consulté le 8 septembre 2009)
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- ↑ Albert Dauzat, Les noms de lieux, Paris, 1926, p. 197.
- 1 2 Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- ↑ Michel Roblin , Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque, page 273.
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- ↑ « Notice no IA00048520 », base Mérimée, ministère français de la Culture
- ↑ « Notice no IA00048557 », base Mérimée, ministère français de la Culture
- ↑ Source Base Mérimée
- ↑ Les Règles et Constitutions de la Congrégation des Dominicaines du Très-Saint-Rosaire de Sèvres, datant de 1867 se trouvent conservées à la BNF ( Tilbiac)8- LD95- 6
- ↑ Cartes postales anciennes de la chapelle de l'Assomption à Sèvres
- ↑ « Lieux de mémoire (communautés assomptionnistes parisiennes au XIXème siècle) », sur site des augustins de l'Assomption (consulté le 29 septembre 2009)
- ↑ Découvrir les Hauts-de-Seine, p. 77, Jean-Michel Dechambre, éditions Horvath, 1980
- ↑ « CONSTANT TROYON », sur Encyclopédie Universalis (consulté le 29 septembre 2009)
- ↑ « Faïence de Quimper, exposée au Musée de Sèvres », sur phil-ouest.com, (consulté le 7 septembre 2009)
- ↑ « Bureau international des poids et mesures de Sèvres - La convention du mètre », sur phil-ouest.com, (consulté le 7 septembre 2009)
- ↑ « plat ovale en faïence de Quimper, exposé au Musée de Sèvres », sur phil-ouest.com, (consulté le 7 septembre 2009)
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