Marmande

Marmande | |||||||||||
![]() L'hôtel de ville. |
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![]() Blason | |||||||||||
Administration | |||||||||||
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Pays | ![]() | ||||||||||
Région | Aquitaine | ||||||||||
Département | Lot-et-Garonne (sous-préfecture) | ||||||||||
Arrondissement | Marmande (chef-lieu) | ||||||||||
Canton | Marmande-1 Marmande-2 | ||||||||||
Intercommunalité | Val de Garonne Agglomération | ||||||||||
Maire Mandat |
Daniel Benquet 2014-2020 | ||||||||||
Code postal | 47200 | ||||||||||
Code commune | 47157 | ||||||||||
Démographie | |||||||||||
Gentilé | Marmandais | ||||||||||
Population municipale |
18 458 hab. (2012) | ||||||||||
Densité | 410 hab./km2 | ||||||||||
Population aire urbaine |
34 893 hab. (2008) | ||||||||||
Géographie | |||||||||||
Coordonnées | 44° 30′ 36″ N 0° 09′ 42″ E / 44.509973, 0.16170544° 30′ 36″ Nord 0° 09′ 42″ Est / 44.509973, 0.161705 | ||||||||||
Altitude | Min. 12 m – Max. 132 m | ||||||||||
Superficie | 45,06 km2 | ||||||||||
Localisation | |||||||||||
Liens | |||||||||||
Site web | www.mairie-marmande.fr/ | ||||||||||
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Marmande est une commune du Sud-Ouest de la France, sous-préfecture et chef-lieu de canton du département de Lot-et-Garonne, en région Aquitaine.
Géographie
Situation
Marmande est une commune de la moyenne Garonne, située entre Agen et Bordeaux, en Lot-et-Garonne ; la ville proprement dite se trouve sur la rive droite du fleuve.
Communes limitrophes
Distance des grandes villes françaises
L'orientation et la localisation de Marmande par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant
Ville | Agen | Toulouse | Bordeaux | Périgueux | Montpellier | Marseille | Nantes | Lyon | Nice | Paris |
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Distance (Orientation) | 64 km (E) | 142 km (SE) | 71 km (NO) | 107 km (N) | 312 km (SE) | 438 km (SE) | 331 km (N) | 392 km (NE) | 573 km (E) | 512 km (N - NE) |
source : estimation par |
Transports
Transports routiers
- N133 La route nationale 133.
- N708 La route nationale 708.
- D1113 La route départementale 113.
- A62 L'autoroute A62, sortie no 5 dite de Marmande.
Transports ferroviaires
Accès par SNCF Gare de Marmande.
Transports aériens
Aérodrome de Marmande - Virazeil.
Transports urbains
La commune de Marmande possède un réseau de transport urbain « Evalys » exploité par Keolis.
Voir article : Transports en commun de Marmande
Toponymie
Marmande (prononcé [maʁ.ˈmãn.d̪ə ] localement et [maʁ.ˈmɑ̃d̪ ] en « français standard ») est mentionnée en 1242 sous la forme Myremande[3], puis Mirmanda en 1254[4] ou Marmanda en 1254, Mermande en 1467[5].
Il s'agirait d'un ancien terme signifiant « ville, maison fortifié »[6] que l'on retrouverait par ailleurs dans la toponymie du Sud de la France, comme dans Mirmande (Drôme, Mirmanda XIIe siècle) et Marmande (Vienne, Vellèches, Mirmanda en 1061). Ce peut être aussi le nom de personne germanique Mirmanda pris absolument[5].
Le mot mirande (et le toponyme Mirande, Gers) serait issu par dissimilation du [m] de l'ancien terme mirmande[7]. Cependant, le toponyme Mirande peut être également une transposition en 1281 du nom de lieu espagnol Miranda[8].
Le nom occitan de la commune est Marmanda,
Histoire
Ancien castrum romain, Marmande entre dans l'histoire en 1182 avec la charte qui lui fut accordée par Richard Cœur de Lion, fils d'Aliénor d'Aquitaine.
Lorsque le prince Louis, fils de Philippe Auguste, prend part à la croisade contre les Albigeois (1219), son armée rejoint celle du légat pontifical Arnaud Amaury devant Marmande. La ville est prise et, après un conseil au cours duquel les vainqueurs décident du sort de ses habitants, les villageois — hommes, femmes, vieillards ou enfants — sont passés au fil de l'épée[9].
En avril 1462, le roi Louis XI confirma leurs droits par les lettres patentes, afin que la ville accroisse[10].
En septembre 1561, le couvent des Cordeliers est incendié par les protestants[11].
Quelques documents photographiques sur des évènements entre les deux guerres
- Les crues de la Garonne
Contrairement à Agen et à d’autres villes en amont, les villes du Marmandais sont à l’abri des inondations car elles occupent la terrasse non inondable qui domine le fleuve. En revanche, la plaine est affectée par des inondations qui menacent les villages et les fermes qui s’y localisent. Des mattes, digues de terre, canalisent les crues et protègent plus ou moins bien les zones habitées. De la fin de la Première Guerre mondiale jusqu’au début de la seconde, de nombreuses crues ont affecté le Marmandais. Il est vrai que cette zone est concernée par des volumes d’eau considérables en raison de l’addition des apports de la Garonne et de ses affluents, dont le Lot émissaire important de la rive droite qui débouche dans la Garonne un peu en amont de Marmande. Dans la succession des inondations au rythme de la pluviosité inégale selon les hivers, la crue de 1930 apparaît comme la plus mémorable. Non en raison des hauteurs d’eau atteintes dans le Marmandais, mais parce que la violence du courant a fait céder les digues, élargissant considérablement l’onde de crue, laquelle provoqua des dégâts considérables, notamment à Couthures-sur-Garonne.
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Crue de la Garonne en 1919 (hauteur 7m08)
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La crue de la Garonne en mars 1927 vue depuis les quais de Marmande
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Rupture de la matte à Thivras
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L'état de la grande rue dans le village de Couthures après la crue de la Garonne de 1930
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Une maison éventrée dans le village de Couthures
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Le cimetière de Couthures dévasté par la crue de la Garonne de 1930
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travaux de réparation sur le canal latéral à Fourques
- Scènes de la vie à Marmande et dans le Marmandais (1919-1938)
Résidant à Marmande, Jean Charrié a pris plusieurs clichés illustrant quelques moments particuliers de la vie locale entre 1919 et 1938. Le 17 août 1919, Jean Charrié photographie l’arc de triomphe en l’honneur du 20e régiment de Ligne de retour du front de la Première Guerre mondiale. Ce régiment était en casernement à Montauban, Marmande et Casteljaloux. Sur l’arc de triomphe, il est écrit « Honneurs à nos soldats triomphants / Gloire au 20e ». La largeur de l’avenue fait penser aux boulevards. En décembre 1920, la neige recouvre la chaussée et le toit de la cathédrale. Une femme balaie le devant de la porte ; d’autres s’avancent précautionneusement sur la route. Au printemps 1923, ce même cloître accueille les fidèles pour une grande cérémonie religieuse, à l’occasion des communions solennelles, assortie d’une grande procession. Outre les communiants au premier plan, on distingue le clergé au centre et tout autour la masse imposante des paroissiens, certains se protégeant des rayons du soleil avec un parapluie. Jean Charrié est venu photographier en février 1938 les travaux en cours sur la route de Pont-de-Bayle. C’est ainsi qu’on dénomme l’endroit ou la route de Marmande à Tonneins franchit le ruisseau le Trec. Pour le recalibrage du lit du ruisseau, les ouvriers disposaient d’une pelle mécanique. Nul doute que l’usage d’un outillage très performant et nouveau pour l’époque a suscité l’admiration de l’ingénieur et son souci de garder trace de l’événement.
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Arc de triomphe dressé en l'honneur du 20e Régiment d'Infanterie de Ligne de Marmande (photo prise le 17 août 1919).
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Défilé du 20e Régiment d'Infanterie dans une des rues principales de Marmande (photo prise le 17/08/1919).
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L'église Notre-Dame de Marmande sous la neige en décembre 1920.
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Cérémonie religieuse au printemps 1923 dans les jardins du cloître de l'église Notre-Dame de Marmande.
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Travaux à la sortie de Marmande à Pont-de-Bayle.
La rupture du pont suspendu de la Garonne en 1930 a rendu difficile les communications entre la ville de Marmande et les communes de la rive gauche de la Garonne. Plusieurs photos assez exceptionnelles relatent l’accident et les travaux qui suivirent en 1932. Ce pont est toujours en service, même si un pont plus récent a été construit en aval en relation avec la nouvelle déviation qui permet de contourner la ville.
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Rupture du tablier du pont de Marmande en janvier 1930.
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Vue sous un autre angle du tablier du pont suspendu.
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Début des travaux du nouveau pont dont on voit à droite une pile.
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Enlèvement des anciens câbles de l'ancien pont suspendu de Marmande.
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Circulation sur un pont de bateaux pendant les travaux.
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Démolition de la pile centrale de l'ancien pont.
La commune de Marmande a été fusionnée par arrêté préfectoral le 2 octobre 1972 avec la commune de Mauvezin-sur-Gupie. Elles se sont séparées le 20 janvier 2003.


Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
Population et société
Les habitants sont appelés les Marmandais.
Démographie
Marmande ayant fusionné avec la commune de Mauvezin-sur-Gupie entre 1972 et 2003, des écarts statistiques peuvent exister pour les recensements de 1975, 1982, 1990 et 1999.
En 2012, la commune comptait 18 458 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].
- L'année où il y avait le plus d'habitants est 2009 avec 18 476 habitants.
- L'année où il y en avait le moins est 1793 avec 5 792 habitants.
- Avant la Première Guerre mondiale, il y avait 9 832 habitants et, en 2009, il y en avait 18 476, ce qui représente 8 644 habitants de plus.
Elle est au 481e rang français en termes de population. Le revenu moyen par ménage y est de 16 482 €/an.
Manifestations culturelles et festivités
- Le festival Garorock (qui a attiré 60 000 personnes en 2012[réf. nécessaire]).
- Le Grass Track international de Marmande y est organisé tous les ans le 13 juillet ; c'est une manche du Championnat du monde de grass track qui attire plusieurs milliers de spectateurs.
- Une fête de la tomate est organisée durant l'été, pendant tout un week-end ; c'est l'occasion pour les touristes de goûter les fameuses tomates de Marmande et toutes ses déclinaisons.
- Le festival lyrique « Nuits Lyriques et Voix du Monde en Marmandais » est composé d'un concours international de chant et clôturé par la représentation d'un opéra au théâtre Comoedia.
- Un salon du chocolat se déroule chaque année.
- Marmande plage (depuis juillet 2011)
- Les Casetas Marmandaises (depuis juillet 2013)
- « URBANCE », festival des cultures urbaines, est organisé depuis 2010.
Enseignement
- École Jean-Jaurès
- École Lolya
- École Édouard-Herriot
- Collège de la Cité Scolaire
- Collège Jean-Moulin
- Collège privé Notre-Dame de la Salle
- Lycée privé Notre-Dame-de-la-Compassion
- Lycée Val-de-Garonne
- Lycée professionnel
Sports
Marmande est une ville sportive.
- Le football est représenté par le FC Marmande 47 et évolue en Division Honneur (DH).
- Le rugby à XV est représenté par l'Union Sportive Marmandaise (USM) et évolue en Fédérale 3.
- Le handball est représenté par le Handball Club Marmandais
- Le basket-ball sont représentés par l'ASPTT Marmande et le BBM.
- Le grass track est représenté par le Moto-Club Marmandais
- Le tennis de table est représenté par la Raquette Marmandaise, dont l'équipe féminine évolue en Pro A.
- Le BCM 47 est le club de badminton de Marmande, sous tutelle de la Fédération Française de Badminton, très actif et comptant de nombreux compétiteurs.
- Les clubs de judo, karaté, aïkido et ju-jitsu traditionnel.
Les équipements sportifs sont le stade Dartiailh (rugby et athlétisme), le stade Michelon (football), la piste de grass track et la piste de speedway, le terrain de golf, une salle polyvalente, un skate-park et beaucoup de pistes et chemins destinés aux randonneurs.
Économie

Entreprises et commerces
- Lisi-Creuzet, sous-traitant aéronautique pour EADS et Airbus, 700 emplois.
- CSA-Creuzet, pièces pour l'aéronautique, 45 salariés.
- MGP Asquini, fabricant de pièces pour l'industrie aéronautique, 100 emplois.
- Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Lot-et-Garonne.
- Pilkington, verres spéciaux.
- Transport urbain : réseau EVALYS (3 lignes, exploitant Kéolis)
- Gare SNCF Gare de Marmande
- Compagnie des jus de Marmande, fabrique de jus de fruits et légumes fournissant la marque Pampryl (groupe Orangina Schweppes)
- ST Dalfour S.A.S, société agroalimentaire, 100 emplois, spécialisée dans la fabrication de confiture 100 % issue de fruits et autres produits naturels et biologiques.
- Pom' de terre Plus
- Ets Espiet (Groupe Gascogne).
- Lactarium
- Centres commerciaux Leclerc et Hyper Casino, supermarché Carrefour market.Leclerc drive, Casino drive
- Renaut AMC Marmande, GGA Peugeot, Active Auto Marmande Citröen, garage Audi et Volkswagen, Automobiles Pujol…
Agriculture
- Tomate de Marmande
- Côtes-du-marmandais
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ville fleurie : trois fleurs.

- Église Notre-Dame de Marmande : église[15] et Les Cloîtres Notre-Dame construits au XIIIe siècle, restaurés au XIVe siècle, classés monuments historiques en 1862[16].
- Le jardin du cloître Notre-Dame de Garonne dont la réalisation a été terminée en 1955 a reçu le label « Jardin remarquable » en 2007[17],
- Les jardins de Beauchamp, rue des Isserts, jardin privé visitable, a été labellisé « Jardin remarquable » en 2009[18],
- Le musée Albert-Marzelles, 15 rue Albert Boyé[19],
- L'hôtel de ville,
- La place Clemenceau,
- La rue de la Libération,
- La place des Neuf Fontaines,
- La chapelle Saint-Benoît, classée au titre des monuments historiques en 2005[20],
- La place du Château,
- La rue Toupinerie,
- La rue du Palais,
- Les remparts,
- Le lavoir et la fontaine des Cinq Canelles,
- Le boulevard Richard-Cœur-de-Lion,
- Le canton,
- Le chemin de ronde du Caillou,
- Le square de Verdun,
- La rue Labat,
- La place du Marché.
- L'église Saint-Vincent au lieu-dit Coussan, dans le sud du territoire communal, en rive gauche de la Garonne, son cimetière et son monument aux morts.
-
Notre-Dame de Marmande.
-
Notre-Dame de Marmande.
-
Le cloître de Notre-Dame de Marmande.
-
La chapelle Saint-Benoît.
-
L'église Saint-Vincent de Coussan.
-
Une rue du centre historique.
Patrimoine environnemental
Dans son palmarès 2014, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[21].
Personnalités liées à la commune
- François Combefis (1605-1679), dominicain né à Marmande.
- Jean Romain Conilh de Beyssac (1749-1820), général des armées de la République, né à Marmande, décédé à Bordeaux.
- Léopold Faye (1828-1900), né à Marmande, a été maire de Marmande, puis a exercé des fonctions nationales : ministre de l’Instruction publique, des Cultes et des Beaux-Arts (12 décembre 1887–3 avril 1888), puis ministre de l'Agriculture en 1889.
- Pierre Deluns-Montaud (1845-1907), né à à Allemans-du-Dropt, député dans la circonscription de Marmande (1879-1898).
- Jean-Jules Brun (1849-1911), né à Marmande, ministre de la Guerre sous la IIIe République, du 24 juillet 1909 au 27 février 1911 (gouvernement d'Aristide Briand).
- Abel-Dominique Boyé (1864-1934), peintre français, né à Marmande.
- Paul Bourrillon (1877-1942), cycliste.
- Victor-Auguste Thouéry (1884-1967), pionnier de l'aviation et disciple de Louis Blériot, qui s'envolait depuis l'aérodrome de Marmande.
- Renaud Jean (1887-1961), né à Marmande, fut le leader du syndicalisme paysan en France dans l'Entre-deux-guerres et fut le premier député communiste paysan de France, en 1920, dans la circonscription de Marmande. Il fut réélu par la suite.
- Jean Baylac (1898-1961), ancien chef d'un réseau local de résistance, adjoint au maire de Marmande, député poujadiste en 1956, mort à Marmande.
- Tristan Derème (1899-1941), poète né à Marmande.
- Hubert Ruffe (1899-1995), né à Penne-d'Agenais, engagé dès les années 1920 dans la défense des paysans, fut élu député communiste de la circonscription de Marmande en 1946 et fut réélu à ce poste à sept reprises, entre 1946 et 1981. Il apparaît en 1974 dans le film de Jean-Daniel Simon Il pleut toujours où c'est mouillé, où il joue son propre rôle et décrit les difficultés du monde paysan dans cette période.
- Paul Boisset (1917-2006), prêtre, poête, né à Marmande.
- Jean-Pierre Fourcade, né à Marmande le 18 octobre 1929 ; ministre de l'Économie et des Finances de 1974 à 1976 (Premier ministre : Jacques Chirac) ; ministre de l'Équipement en 1976/1977 (Premier ministre : Raymond Barre); maire de Boulogne-Billancourt (1995-2007) et sénateur des Hauts-de-Seine depuis 1977.
- Francesca Solleville, née en 1932, chanteuse française, petite-fille du socialiste italien Luigi Campolonghi, ayant vécu à Marmande une partie de son enfance. Elle a écrit en 1990 une chanson appelée Marmande dans son album Je suis ainsi.
- Jean-Claude Dubreuil, né en 1938, romancier, installé à Marmande pour sa retraite[22].
- Jean-Paul Cousin, né à Marmande en 1942, graphiste.
- Jean-Pierre de Vincenzi, né à Marmande le 27 mars 1957, entraîneur de basket-ball, entraîneur de l'équipe de France de basket-ball vice-championne olympique au jeux de Sydney (2000), directeur technique national de la Fédération française de basket-ball, directeur général de l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP).
- Jean-Jacques Crenca, né à Marmande en 1969, joueur de rugby à XV.
- Matthias Fekl, né en 1977, député de la 2e circonscription de Lot-et-Garonne, adjoint au maire de Marmande, vice-président du conseil régional d'Aquitaine, conseiller spécial du président du Sénat Jean-Pierre Bel et secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur.
- Laurent Queyssi, né à Marmande en 1975, auteur, scénariste et traducteur.
- Pierrick Fédrigo, né à Marmande le , cycliste.
- Romain Guillemois, né à Marmande en 1991, cycliste.
Héraldique
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Blason | De gueules aux quatre tours d'argent, maçonnées de sable, posées en croix et confrontées par leurs pieds, entre lesquels est posée une croix potencée aussi d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. |
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Détails | Les quatre tours du blason correspondent aux quatre premières portes de la ville. Le chef de France a été ajouté en 1414 par Charles VI grâce à la fidélité de la ville[23]. Officiel, présent sur le site internet de la commune. |
Devise : Sigillum concilii de marmanda (Sceau du conseil de Marmande)
Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Tamizey de Larroque, Notice sur la ville de Marmande, Imprimerie X. Duteis, Villeneuve-sur-Lot, 1872 ; p. 136 (lire en ligne)
Articles connexes
- Liste des communes de Lot-et-Garonne
- Union rugby Marmande Casteljaloux
- Révolte du papier timbré
Liens externes
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- ↑ Marmande sur Géoportail, consulté le 9 avril 2015.
- ↑ Marmande sur Géoportail, consulté le 9 avril 2015.
- ↑ Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
- 1 2 Ernest Nègre, op. cit.
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- ↑ Nouvelle revue d'onomastique, nos 21 à 24, 1993, p. 140. (lire en ligne)
- ↑ Ernest Nègre, op. cit. (lire en ligne)
- ↑ Zoé Oldenbourg, Le bûcher de Montségur, p. 287.
- ↑ Lettres patentes de Louis XI, avril 1462 (1461 avant Pâques).
- ↑ Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Paris, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 2-7242-0785-8), p. 226.
- ↑ Source : Francegenweb.org.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2011, 2012.
- ↑ Jacques Gardelles, Aquitaine gothique, p. 195-201, éditions Picard, Paris, 1992, (ISBN 2-7084-0421-0).
- ↑ « Notice MH de l'église Notre-Dame et son cloître », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Comité des Parcs et Jardins de France : Jardin du cloître de Notre-Dame de Garonne
- ↑ Comité des Parcs et Jardins de France : Jardins de Beauchamp
- ↑ Musées d'Aquitaine : Musée Albert-Marzelles
- ↑ « Notice MH de la chapelle Saint-Benoît », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Site des Villes et Villages Fleuris, consulté le 15 février 2015.
- ↑ E.P, « Septuagénaire et auteur de cinq romans », Ouest France, (lire en ligne)
- ↑ Blason de Marmande sur armorialdefrance.fr.
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