Aire urbaine (France)
L'aire urbaine est une notion utilisée par l'Insee pour appréhender et décrire l'organisation urbaine de la France, et notamment le phénomène de la périurbanisation.
La notion d’aire urbaine est utilisée dans d’autres pays, mais avec une signification assez différente. Le terme d'aire métropolitaine peut également être utilisé, mais celui-ci désigne, en France, les plus grandes aires urbaines.
Notion
Définition
La notion d'aire urbaine repose sur celle d’unité urbaine, définie sur des critères morphologiques (continuité du bâti) et démographiques (taille minimale). On utilise pour l'aire urbaine également des critères de fonctionnement : le nombre d'emplois offerts et les déplacements domicile-travail.
Une aire urbaine est, selon la définition[1] de l'Insee, un ensemble continu et sans enclave formé par un pôle urbain (unité urbaine offrant plus de 10 000 emplois) et par sa couronne périurbaine, c'est-à-dire les communes dont 40 % de la population active résidente ayant un emploi travaille dans le pôle urbain ou dans une commune fortement attirée par celui-ci ; ces communes sont dites monopolarisées.
Cette définition a été élaborée entre 1994 et 1996 et appliquée pour la première fois en 1997 dans le cadre du recensement de 1990[2], en remplacement de la notion de zone de peuplement industriel et urbain (ZPIU), devenue trop peu discriminante. La taille minimale des pôles urbains était alors fixée à 5 000 emplois, elle a été portée à 10 000 lors de la révision en 2011. Cette révision s'est appuyée sur les données du recensement de la population 2008. La fréquence prévue pour les prochaines mises à jour est de 10 ans.
L'aire urbaine représente l'ensemble des habitants d'un même bassin d'emploi. Elle peut être considérée en particulier comme le bon cadre pour mettre au point des politiques de transport en commun. Ainsi, l'aire urbaine de Paris recouvre à peu près la superficie couverte par le réseau des transports en commun d'Île-de-France. Cependant, on constate souvent que les périmètres de transports urbains sont nettement plus petits que les aires urbaines[3], les habitants des zones périurbaines se trouvant ainsi mal desservis. La notion d'aire urbaine entre donc dans le cadre de la politique d'aménagement du territoire, tandis que l'unité urbaine ou agglomération concernera plutôt la politique de la ville.
Zonage en aires urbaines
La définition de l'aire urbaine s'inscrit dans un zonage exhaustif du territoire de la France : le zonage en aires urbaines. Les unités urbaines offrant plus de 10 000 emplois sont qualifiées de grands pôles urbains, entre 5 000 et 10 000 emplois de moyens pôles urbains, entre 1 500 et 5 000 de petits pôles urbains, qui forment avec leurs couronnes éventuelles les grandes aires urbaines, les moyennes aires urbaines et les petites aires urbaines.
Les communes dont plus de 40 % des actifs travaillent dans plusieurs aires urbaines sans atteindre ce seuil avec une seule d'entre elles sont dites multipolarisées. On distingue les communes multipolarisées des grandes aires urbaines et les autres communes multipolarisées. Typiquement, il s'agit des espaces à l'interstice entre plusieurs aires urbaines.
Toutes les autres communes sont qualifiées de communes isolées hors influence des pôles[4].
Au total, le zonage définit donc 9 catégories :
- Les grands pôles urbains.
- La couronne des grands pôles urbains.
- Les communes multipolarisées des grandes aires urbaines.
- Les moyens pôles urbains.
- La couronne des moyens pôles urbains.
- Les petits pôles urbains.
- La couronne des petits pôles urbains.
- Les autres communes multipolarisées.
- Les communes isolées hors influence des pôles.
Les catégories 1 et 2 forment les grandes aires urbaines, les catégories 2 et 3 forment l'espace périurbain et les catégories 1, 2 et 3 forment l'espace des grandes aires urbaines[5].
Le département de l'Ain présente tous les types de communes[6] :
- Les communes de Bourg-en-Bresse et Oyonnax sont centres de grands pôles urbains, celle de Montluel appartient à la banlieue du pôle urbain de Lyon.
- La commune de Gex appartient à la couronne du grand pôle urbain du Grand Genève, tandis que Feillens appartient à celle de Mâcon.
- La commune de Vonnas est une commune multipolarisée des grandes aires urbaines.
- Les communes de Belley, Bellegarde-sur-Valserine et Ambérieu-en-Bugey (cette dernière incrémentée des communes de Lagnieu, Ambronay et Pont-d'Ain) sont centres d'un moyen pôle.
- La commune de Cuzieu est dans la couronne du moyen pôle de Belley.
- Les communes de Hauteville-Lompnes, Montréal-la-Cluse, Nantua et Culoz sont centres d'un petit pôle.
- La commune de Cormaranche-en-Bugey est dans la couronne du petit pôle d'Hauteville-Lompnes.
- La commune d'Izernore fait partie des autres communes multipolarisées.
- La commune de Saint-Trivier-de-Courtes est isolée hors influence des pôles.
Notion d'aires urbaine et métropolitaine
Dans une étude publiée en 2011[7], l'Insee introduit les notions d'aire métropolitaine et de grande aire urbaine. Les 41 plus grandes aires urbaines françaises ont été déterminées selon la « loi rang-taille », qui établit une relation entre la taille de la ville (pour chacune des trois variables suivantes : population, nombre d'emplois, nombre de cadres des fonctions métropolitaines) et son rang de classement. Les fonctions métropolitaines sont, selon l'Insee, celles qui assurent l'attraction et le rayonnement des plus grandes villes. Elles sont au nombre de cinq : celles qui sont liées aux prestations intellectuelles, à la conception-recherche, au commerce inter-entreprises, à la gestion ou à la culture et aux loisirs[8].
Les aires métropolitaines sont les plus grandes aires urbaines, ayant au moins 500 000 habitants et concentrant au moins 20 000 cadres des fonctions métropolitaines (CFM), c'est-à-dire les cadres et chefs d'entreprise d'au moins dix salariés travaillant dans les fonctions métropolitaines. Elles sont au nombre de douze : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes, Strasbourg, Rennes, Grenoble et Montpellier.
Vingt-neuf autres aires urbaines de plus de 200 000 habitants concentrent, à un moindre degré (moins de 20 000 chacune), les cadres des fonctions métropolitaines, et figurent dans le classement des grandes aires urbaines : il s'agit de Toulon, Douai, Rouen, Metz, Clermont-Ferrand, Nancy, Valenciennes, Tours, Caen, Orléans, Angers, Dijon, Saint-Étienne, Avignon, Brest, Le Mans, Reims, Le Havre, Mulhouse, Perpignan, Amiens, Dunkerque, Limoges, Nîmes, Besançon, Pau, Bayonne, Poitiers et Annecy.
Au total, l'ensemble de ces quarante et une aires urbaines concentrait, au recensement de 2006, 68,1 % de la population des 355 aires urbaines françaises, 78,8 % de leurs emplois, 77,4 % des emplois des fonctions métropolitaines et 84,4 % des cadres des fonctions métropolitaines.
Données statistiques
Ces données statistiques concernent le zonage en aires urbaines 2010, et les recensements de population 2008, 2009[9] et 2010[10]. Le zonage reste inchangé avec la publication des populations légales 2009 et ne devrait changer que tous les 10 ans.
Population des différents espaces du ZAU en 2009
Catégorie du ZAU 2010 | Population (2009) |
---|---|
Commune appartenant à un grand pôle (10 000 emplois ou plus) | 36 598 264 |
Commune appartenant à la couronne d'un grand pôle | 11 719 267 |
Commune multipolarisée des grandes aires urbaines | 3 245 115 |
Commune appartenant à un moyen pôle (5 000 à moins de 10 000 emplois) | 1 758 122 |
Commune appartenant à la couronne d'un moyen pôle | 352 877 |
Commune appartenant à un petit pôle (de 1 500 à moins de 5 000 emplois) | 2 333 822 |
Commune appartenant à la couronne d'un petit pôle | 168 505 |
Autre commune multipolarisée | 3 347 708 |
Commune isolée hors influence des pôles | 2 942 029 |
France métropolitaine | 62 465 709 |
Grandes évolutions entre 1999 et 2008
L'espace des grandes aires urbaines s'est étendu de 39 % entre 1999 et 2008[5]. Il occupe près de la moitié du territoire (46 %), et concentre 83 % de la population et 85 % de l'emploi. On y observe une concentration croissante de l'emploi dans les grands pôles (qui ont gagné 2 millions d'emplois lorsqu'ils ne gagnaient que 1,3 million d'habitants), ce qui contribue à attirer des actifs des autres communes, surtout de la couronne périurbaine ou multipolarisées.
Catégorie du zonage | Population 2008 | (en %) | Surface 2008 | (en %) | Densité | Nombre d'emplois | (en %) | Évolution de la population 1999-2008 | Évolution de la surface 1999-2008 | Évolution des emplois 1999-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Grands pôles urbains (1) | 36 513 532 | 58,8 | 43 362 | 8,0 | 842,1 | 17 945 057 | 70,0 | 8,8 | 21,7 | 16,8 |
Couronnes des grands pôles urbains (2) | 11 566 682 | 18,6 | 155 817 | 28,6 | 74,2 | 2 856 676 | 11,2 | 39,1 | 41,5 | 48,5 |
Communes multipolarisées des grandes aires urbaines (3) | 3 207 765 | 5,2 | 51 451 | 9,5 | 62,3 | 862 783 | 3,4 | 45,3 | 50,1 | 60,6 |
Espace périurbain (2 + 3) | 14 774 447 | 23,8 | 207 268 | 38,1 | 71,3 | 3 719 459 | 14,5 | 40,4 | 43,5 | 51,2 |
Espace des grandes aires urbaines (1 + 2 + 3) | 51 287 979 | 82,1 | 250 631 | 46,1 | 204,6 | 21 664 516 | 84,5 | 16,3 | 39,2 | 21,5 |
Autres catégories | 10 846 887 | 17,4 | 293 316 | 54,0 | 37,0 | 3 931 413 | 15,4 | -24,8 | -19,4 | -21,0 |
Les populations et le nombre d'emplois de ce tableau sont issus des recensements de la population 2008 et 1999.
Les 50 plus grandes aires urbaines
L'Insee a publié, le 18 octobre 2011, le nouveau zonage 2010 des aires urbaines[11]. Les douze premières aires urbaines sont désormais, dans l'ordre décroissant, Paris, Lyon, Marseille–Aix-en-Provence, Toulouse, Lille (partie française), Bordeaux, Nice, Nantes, Strasbourg (partie française), Rennes, Grenoble et Rouen. Dans ce classement de tête, Toulouse, Bordeaux, Nantes et Rennes remontent alors que Grenoble, Nice et Toulon descendent.
Les 50 plus grandes aires urbaines françaises en 2007, 2008, 2009[9], 2010[10], 2011[12] et 2012[13] avec le zonage de 2010[14] :
# | Aire urbaine | Population (2007) | Population (2008) | Population (2009) | Population (2010) | Population (2011) | Population (2012) | Densité (2012) (hab/km²) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Paris | 12 025 535 | 12 089 098 | 12 161 542 | 12 223 100 | 12 292 895 | 12 341 418 | 719 |
2 | Lyon | 2 098 207 | 2 118 132 | 2 142 732 | 2 165 785 | 2 188 759 | 2 214 068 | 368 |
3 | Marseille - Aix-en-Provence | 1 711 393 | 1 715 096 | 1 714 828 | 1 718 281 | 1 720 941 | 1 727 070 | 544 |
4 | Toulouse | 1 187 686 | 1 202 889 | 1 218 166 | 1 232 398 | 1 250 251 | 1 270 760 | 236 |
5 | Lille (partie française)[15] | 1 151 673 | 1 150 530 | 1 154 861 | 1 158 306 | 1 159 547 | 1 166 452 | 1 260 |
6 | Bordeaux | 1 098 281 | 1 105 257 | 1 114 857 | 1 127 776 | 1 140 668 | 1 158 431 | 206 |
7 | Nice | 1 003 822 | 1 005 230 | 1 000 275 | 1 001 295 | 1 003 947 | 1 004 914 | 389 |
8 | Nantes | 848 738 | 854 807 | 862 111 | 873 133 | 884 275 | 897 713 | 272 |
9 | Strasbourg (partie française)[16] | 753 673 | 757 609 | 759 868 | 761 042 | 764 013 | 768 868 | 350 |
10 | Rennes | 645 325 | 654 478 | 663 214 | 671 845 | 679 866 | 690 427 | 184 |
11 | Grenoble | 662 166 | 664 832 | 666 372 | 669 595 | 675 122 | 679 863 | 259 |
12 | Rouen | 646 480 | 649 291 | 651 278 | 652 898 | 655 013 | 658 285 | 278 |
13 | Toulon | 603 463 | 607 050 | 607 681 | 606 947 | 606 987 | 611 237 | 511 |
14 | Montpellier | 534 075 | 536 592 | 542 867 | 549 491 | 561 326 | 569 956 | 341 |
15 | Douai - Lens | 545 200 | 544 143 | 543 591 | 542 918 | 542 946 | 540 281 | 797 |
16 | Avignon | 506 549 | 507 626 | 508 604 | 511 277 | 515 123 | 515 536 | 247 |
17 | Saint-Étienne | 506 838 | 506 655 | 508 176 | 508 847 | 508 548 | 512 830 | 304 |
18 | Tours | 471 465 | 473 226 | 475 600 | 477 438 | 480 378 | 483 743 | 152 |
19 | Clermont-Ferrand | 457 679 | 459 250 | 460 759 | 463 891 | 467 178 | 469 922 | 194 |
20 | Nancy | 432 349 | 434 202 | 434 290 | 434 948 | 434 565 | 434 479 | 184 |
21 | Orléans | 413 352 | 415 471 | 416 978 | 419 211 | 421 047 | 423 123 | 137 |
22 | Angers | 392 940 | 392 940 | 394 710 | 397 435 | 400 428 | 403 765 | 172 |
23 | Caen | 393 769 | 396 959 | 397 960 | 399 471 | 401 208 | 403 623 | 223 |
24 | Metz | 388 946 | 389 603 | 389 851 | 389 686 | 389 529 | 389 700 | 242 |
25 | Dijon | 370 074 | 371 798 | 373 574 | 373 734 | 375 841 | 377 590 | 113 |
26 | Béthune | 364 094 | 365 513 | 366 813 | 367 402 | 367 924 | 368 633 | 417 |
27 | Valenciennes (partie française) | 366 038 | 366 781 | 366 990 | 367 941 | 367 998 | 368 094 | 573 |
28 | Le Mans | 336 868 | 338 404 | 338 981 | 341 080 | 343 175 | 344 893 | 171 |
29 | Reims | 314 446 | 313 818 | 314 201 | 314 175 | 315 480 | 317 611 | 133 |
30 | Pointe-à-Pitre - Les Abymes | 309 966 | 311 857 | 312 149 | 314 524 | 316 599 | 315 917 | 283 |
31 | Brest | 310 644 | 311 735 | 312 743 | 313 686 | 314 239 | 314 844 | 315 |
32 | Perpignan | 293 172 | 296 104 | 300 221 | 302 185 | 305 546 | 309 962 | 316 |
33 | Amiens | 290 854 | 292 047 | 292 667 | 293 145 | 293 646 | 293 671 | 138 |
34 | Genève - Annemasse (partie française) | 256 495 | 262 822 | 269 360 | 276 912 | 284 525 | 292 180 | 249 |
35 | Le Havre | 294 163 | 293 851 | 293 361 | 292 515 | 291 579 | 290 890 | 429 |
36 | Bayonne (partie française) | 271 938 | 275 250 | 277 778 | 280 538 | 283 571 | 288 359 | 231 |
37 | Mulhouse | 280 898 | 281 520 | 281 692 | 281 006 | 282 714 | 284 739 | 560 |
38 | Limoges | 276 877 | 280 119 | 281 180 | 282 873 | 282 876 | 282 971 | 123 |
39 | Nîmes | 247 523 | 246 344 | 248 805 | 251 791 | 256 205 | 259 348 | 334 |
40 | Dunkerque | 260 492 | 259 566 | 259 175 | 258 554 | 257 887 | 257 773 | 326 |
41 | Poitiers | 246 873 | 249 196 | 251 156 | 252 381 | 254 051 | 255 831 | 111 |
42 | Besançon | 242 324 | 243 363 | 244 449 | 245 092 | 245 178 | 246 841 | 130 |
43 | Pau | 239 553 | 240 262 | 240 365 | 240 696 | 240 898 | 240 857 | 162 |
44 | Annecy | 209 308 | 209 859 | 212 543 | 217 260 | 219 470 | 221 111 | 288 |
45 | Chambéry | 208 430 | 209 535 | 210 130 | 213 251 | 216 528 | 217 356 | 271 |
46 | Lorient | 211 106 | 212 317 | 213 117 | 213 189 | 214 066 | 215 591 | 274 |
47 | Saint-Nazaire | 207 410 | 207 559 | 208 287 | 210 574 | 211 675 | 213 083 | 245 |
48 | La Rochelle | 198 939 | 200 296 | 201 529 | 204 418 | 205 822 | 207 211 | 206 |
49 | Saint-Denis (La Réunion) | 193 732 | 197 464 | 198 013 | 197 394 | 197 883 | 199 222 | 692 |
50 | Troyes | 187 820 | 188 320 | 189 700 | 189 811 | 190 179 | 191 505 | 94 |
Zonage de 1990
Zonage de 1999
Nombre
Au recensement de 1999, l'Insee a délimité 354 aires urbaines en France. Elles sont toutes situées en métropole, la notion d'aire urbaine n'étant pas définie outre-mer[17].
Nombre d'aires urbaines par tranche de population :
Population (2006) | Nombre |
---|---|
1 000 000 | Plus de7 |
999 999 | 500 000 à10 |
499 999 | 200 000 à28 |
199 999 | 100 000 à36 |
99 999 | 50 000 à59 |
49 999 | 20 000 à119 |
19 999 | 10 000 à92 |
10 000 | Moins de6 |
Total | 354 |
354 aires urbaines de 1999
Au total, en 1999, les aires urbaines de France métropolitaine regroupaient 45 047 359 habitants (77 % de la population) sur 176 293 km2 (32 % du territoire) et 13 905 communes (38 % du total). Le reste de la population était situé dans l'une des 4 121 communes multipolarisées n'appartenant pas spécifiquement à une unique aire (2 911 628 habitants, 47 840 km2) ou l'une des 18 525 communes à dominante rurale (10 552 994 habitants, 319 891 km2).
Zonage de 2010
Notes et références
Références
- ↑ Définition sur le site de l'Insee :
- ↑ Pôles urbains et périurbanisation - Le zonage en aires urbaines T. Le Jeannic et J. Vidalenc
- ↑ L'adaptation de l'offre de transports en commun aux territoires vécus - CERTU - D.Dubois, S.Rabuel
- ↑ Le nouveau zonage en aires urbaines : 95 % de la population vit sous l’influence des villes
- 1 2 Le nouveau zonage en aires urbaines 2010 - Poursuite de la périurbanisation et croissance des aires urbaines - INSEE J.M.Floch et D.Levy
- ↑ Zonage en aires urbaines
- ↑ Insee - Un maillage du territoire. 12 aires métropolitaines, 29 grandes aires urbaines
- ↑ Insee - Répartition géographique des emplois. Les grandes villes concentrent les fonctions intellectuelles, de gestion et de décision
- 1 2 Mise à jour à partir des populations légales 2009, disponibles sur
- 1 2 Mise à jour à partir des populations légales 2010, disponibles sur
- ↑ Insee - Territoire - Le nouveau zonage en aires urbaines de 2010
- ↑ populations légales Insee 2011
- ↑ Insee - Les 60 premières aires urbaines en 2012
- ↑ fichier Excel (Tableau complémentaire 3)
- ↑ Plus de 2 000 000 avec la partie belge, voir Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai
- ↑ 1 175 125 avec la partie allemande
- ↑ Définition : Espace urbain, sur le site de l'Insee.
Voir aussi
Articles connexes
- Agglomération
- Unité urbaine
- Aire urbaine
- Liste des aires urbaines de France
- Pôle urbain
- Bassin d'emploi
- Bassin de vie
- Espace urbain
- Ville
- Urbanisation
- Urbanisme
- Étalement urbain
- Périurbanisation
- Intra-muros
- Banlieue
- Couronne périurbaine
Liens externes
- La définition officielle française sur le site de l'Insee
- Liste et carte des aires urbaines de France en 1999 (Insee)
- Liste des aires urbaines de France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee)
- Carte des aires urbaines françaises
- Geopolis (groupe de recherche de l'université Paris-Diderot)
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