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Jean-Pierre Raffarin

Jean-Pierre Raffarin

Jean-Pierre Raffarin
Jean-Pierre Raffarin, en 2013.
Jean-Pierre Raffarin, en 2013.
Fonctions
Sénateur de la Vienne
En fonction depuis le
(10 ans 1 mois et 9 jours)

(1 mois)
17e Premier ministre français
(165e chef du gouvernement)

(3 ans et 25 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin I
Jean-Pierre Raffarin II
Jean-Pierre Raffarin III
Législature XIIe
Coalition Majorité présidentielle
UMP - UDF (droite)
Prédécesseur Lionel Jospin
Successeur Dominique de Villepin
Sénateur de la Vienne

(4 ans 8 mois et 16 jours)

(29 jours)
Ministre des Petites et moyennes entreprises, du Commerce et de l'Artisanat

(2 ans et 15 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Alain Juppé I
Alain Juppé II
Prédécesseur Alain Madelin
Successeur Marylise Lebranchu
Président du Conseil régional de
Poitou-Charentes

(13 ans 4 mois et 19 jours)
Prédécesseur Louis Fruchard
Successeur Dominique de La Martinière
(par intérim)
Élisabeth Morin
Député européen

(5 ans 9 mois et 23 jours)
Élection 15 juin 1989
Successeur Jean-Antoine Giansily
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Poitiers, Vienne
Nationalité Française
Parti politique UDF-PPDF
DL
UMP
Les Républicains
Conjoint Anne-Marie Perrier
Diplômé de Université Panthéon-Assas
ESCP Europe
Profession Cadre de communication d'entreprise

Jean-Pierre Raffarin, né le à Poitiers (Vienne), est un homme politique français, Premier ministre français de 2002 à 2005 sous la présidence de Jacques Chirac.

Président du Conseil régional de Poitou-Charentes de 1988 à 2002, il est nommé ministre du Commerce et de l'Artisanat dans le gouvernement d'Alain Juppé, après l'élection de Jacques Chirac à la présidence de la République. Il quitte le gouvernement après la victoire de la « Gauche plurielle », menée par Lionel Jospin, aux élections législatives anticipées de 1997.

Siégeant au Sénat, il est nommé Premier ministre par le président Chirac après l'élection présidentielle de 2002 ; il mène une politique de réformes et favorise notamment la décentralisation. Il démissionne après le référendum portant sur un projet de Constitution européenne, en 2005.

Cadre de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), dont il est l'un des dirigeants historiques, Jean-Pierre Raffarin tente de se présenter en 2008 à la présidence du Sénat. À l'issue d'une primaire, le choix se porte sur l'ancien ministre Gérard Larcher.

En 2014, il est chargé, avec les anciens Premiers ministres Alain Juppé et François Fillon, de diriger, à titre provisoire, l'UMP jusqu'à la désignation, par les militants du parti, d'un nouveau président. La même année, il tente de nouveau d'être désigné candidat à la présidence du Sénat par le groupe UMP mais est encore vaincu par Gérard Larcher.

Biographie

Cadre du secteur privé

Fils de Jean Raffarin, cultivateur puis homme d'affaires qui fut le secrétaire d'État à l'Agriculture du Gouvernement Pierre Mendès France de 1954 à 1955, et de Renée Michaud, Jean-Pierre Raffarin a deux sœurs et un frère.

Après avoir fait ses études secondaires au lycée Henri-IV de Poitiers, il se rend à Paris pour étudier le droit à l'université Paris II-Assas. Il entre ensuite à l'ESCP Europe, dont il sort diplômé en 1972, comme Michel Barnier, qui sera l'un de ses ministres. Durant ses études, il fait un stage d'un an à la savonnerie Fébor, dans le département de l'Eure.

Le , il épouse Anne-Marie Perrier, née en 1952 à Chamalières, avec laquelle il a une fille : Fleur.

Contrairement à de nombreux hommes politiques, Jean-Pierre Raffarin effectue une carrière dans le secteur privé. Entre 1973 et 1976, il siège au sein de la direction marketing des cafés Jacques Vabre, avant d'être le directeur général de Bernard Krief Communication de 1981 à 1988, puis d'être délégué général de l'Institut Euro-92 entre 1988 et 1989.

En 1978, après la démission de son père, il devient président de la société anonyme de crédit immobilier rural de la Vienne, structure fondée en 1956 par Jean Raffarin, puis affiliée au Crédit immobilier de France. Il fait fructifier cet héritage tout au long des années 1980, et devient, de fusion en fusion avec d'autres sociétés de crédit immobilier, président du Crédit immobilier de Poitou-Charentes, puis du Crédit immobilier de France Centre-Ouest.

Conseiller technique de Lionel Stoléru de 1976 à 1981, il est également maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris de 1979 à 1988.

Carrière politique

Débuts

Jean-Pierre Raffarin est membre des jeunes giscardiens et secrétaire général de Génération sociale et libérale (GSL), qui se fond dans le Parti républicain en 1977. Il est successivement animateur, délégué national, secrétaire national adjoint et membre du bureau politique (1977), puis secrétaire national chargé des élus locaux de ce parti (1989-1995).

Il est ensuite secrétaire général adjoint et porte-parole (1993-1995), puis secrétaire général de l'Union pour la démocratie française (UDF).

Cofondateur du Parti populaire pour la démocratie française (PPDF), il en est le délégué général adjoint de 1995 à 1997. Membre du bureau politique de l'UDF (1996), il prend part à la création de Démocratie libérale, dont il est membre du bureau politique (1997), puis vice-président jusqu'à la fusion avec l'UMP en 2002.

Au niveau local, il est conseiller municipal d'opposition de Poitiers de 1978 à 1995, conseiller régional de la région Poitou-Charentes en 1986, puis président du conseil régional de 1988 à 2002, où il succède à Louis Fruchard, son mentor. En 1995, il quitte le conseil municipal de Poitiers pour devenir, jusqu'en 2001, adjoint au maire de Chasseneuil-du-Poitou. Il est ensuite vice-président UMP du conseil régional de Poitou-Charentes de 2002 à 2004.

Du Parlement européen au Sénat

Le , Jean-Pierre Raffarin est élu député européen sur la liste UDF-RPR. Il siège au Parlement européen jusqu'en 1995.

Le , il est nommé ministre des Petites et Moyennes entreprises, du Commerce et de l'Artisanat par Alain Juppé. En septembre de la même année, il se fait élire sénateur de la Vienne, mais n'exerce pas ce mandat pour rester au gouvernement. Jean-Pierre Raffarin se fait surtout connaître à cette époque pour son action en faveur de la protection des artisans boulangers et pour la loi qui porte son nom du qui renforce la réglementation concernant la grande distribution prévue par la loi Royer de 1973 en abaissant à 300 m2 le seuil de la surface au-delà duquel une autorisation administrative d’implantation de surfaces commerciales est nécessaire.

Après la défaite de la droite aux législatives de 1997, il lance le club « Giscardisme et modernité », cultivant un positionnement qui fait de lui l'un des rares giscardiens « chiraco-compatibles ». Plus tard, en juin 1998, il crée avec Dominique Perben, Jacques Barrot et Michel Barnier l'association « Dialogue & Initiatives » dont le but est de rassembler la droite et le centre et de proposer un « contrat d'alternance » pour 2002[réf. nécessaire].

À la suite de la réélection du président Jacques Chirac, il est nommé Premier ministre le [1].

Réélu au Sénat le 21 septembre 1997, il démissionne le 6 juin 2002 à la suite de sa nomination comme Premier ministre. Réélu le 26 septembre 2004, alors qu'il est toujours chef du gouvernement, il quitte ses fonctions un mois plus tard.

Premier ministre

Jean-Pierre Raffarin et son homologue italien, Silvio Berlusconi, le 4 décembre 2003.

Jean-Pierre Raffarin a été Premier ministre de la République française du [1] au [2], au cours de trois gouvernements successifs :

Il commence par gouverner par décrets, avant d'obtenir une large majorité pour le soutenir lors des élections législatives (363 députés UMP sur 577). Sa ligne de conduite politique, marquée d'un style personnel en matière de communication[3], s'attache aux réformes avec une certaine fermeté, tout en poursuivant la politique de baisse d'impôts de ses prédécesseurs[4]. Ses adversaires estiment qu'une conséquence de cette politique de baisse d'impôts est l'augmentation de la dette française[4].

En 2003, il conduit la réforme des retraites, celle de la décentralisation et de l'assurance maladie, en dépit de plusieurs grèves et manifestations. Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, lui fait de l'ombre et l'importance prise par celui-ci, comme le grand investissement du président de la République dans les affaires de l'État, réduisent son champ d'action. L'importante baisse de sa popularité, un temps stable et élevée, comme la cinglante défaite aux élections régionales de 2004 (sa région, comme toutes les autres à l'exception de l'Alsace et de la Corse, passe à gauche) sont interprétées comme étant dues à une politique sociale insuffisante. Un remaniement ministériel dans ce sens a lieu, offrant à Nicolas Sarkozy le ministère des Finances et à Jean-Louis Borloo le ministère des Affaires sociales. Jean-Pierre Raffarin est alors écartelé entre la politique de ce dernier (en particulier sa politique de construction de HLM et de développement des emplois aidés) soutenue par Jacques Chirac et la volonté de Nicolas Sarkozy de gérer les finances « en bon père de famille », avant que ce dernier ne quitte le gouvernement pour prendre la présidence de l'UMP.

Au rang des principaux textes législatifs qu'il a fait adopter, la loi relative à l'application du principe de laïcité à l'école l'a été en 2004. Il met également en place la journée de solidarité envers les personnes âgées (annonce faite le 6 novembre 2003[5]). On lui doit la privatisation des autoroutes : du sud de la France (2002), du nord et de l'est de la France et Paris Rhin Rhône (2004), puis la vente des actions de l'État dans les sociétés concessionnaires (2005). Enfin, il fixe de nouvelles orientations dans le domaine de la lutte contre les dérives sectaires, notamment en demandant que « le recours à des listes de groupements [soit] évité au profit de l'utilisation de faisceaux de critères »[6].

La victoire du « non » au référendum sur le projet de constitution européenne du , est fatale à Jean-Pierre Raffarin. L'échec de cette campagne l'amène à remettre sa démission de Premier ministre le au président Chirac. Il est aussitôt remplacé par Dominique de Villepin.

Une figure de l'UMP

Jean-Pierre Raffarin dans les salons du Sénat, le .

Une élection partielle provoquée, après son départ du gouvernement, par la démission de son suppléant lui permet d'être réélu, le , sénateur (UMP) de la Vienne, obtenant, au premier tour, 56,98 % des voix des 1046 grands électeurs[7].

Dans les premiers mois de 2006, le président Jacques Chirac nomme Jean-Pierre Raffarin président du comité d'organisation français pour célébrer le 400e anniversaire de la ville de Québec, lui confiant la mission de rassembler des initiatives françaises[8]. Après sa réélection au Sénat, Jean-Pierre Raffarin, président du club de réflexion politique « Dialogue & Initiative », se fait plus discret. En tant que porte-parole de l'UMP, il s'investit néanmoins dans la campagne des élections présidentielle et législatives de 2007, intervenant durant de nombreux meetings comme à la télévision.

Après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, la structure de l'UMP est profondément modifiée, notamment dans sa fonction institutionnelle ; Jean-Pierre Raffarin devient alors vice-président du parti, profitant de cette fonction pour représenter la « diversité » au sein du courant majoritaire. D'octobre 2009 à juillet 2012, Jean-Pierre Raffarin est le Représentant personnel du président de la République pour la Francophonie, fonction occupée précédemment par Christian Philip, nommé recteur de Montpellier. En , il décline la proposition de Nicolas Sarkozy, de devenir ambassadeur de France en Chine[9].

Le , Jean-Pierre Raffarin, qui voulait être désigné candidat à la présidence du Sénat pour le groupe UMP, est battu par l'ancien ministre Gérard Larcher, désigné par 78 voix contre 56 à l'ancien Premier ministre et 17 à Philippe Marini[10]. Il s'oppose avec 24 autres sénateurs UMP, fin 2009, à la suppression de la taxe professionnelle, refusant de voter le projet de loi « en l'état »[11]. Le , il est désigné par ses pairs pour présider la mission sénatoriale relative à l'avenir de l'organisation décentralisée de la République ; son rapport, qui s'est fixé comme objectif de dégager des axes d'évolution consensuels de l'organisation décentralisée de la République à échéance 2020-2025, est adopté le 9 octobre 2013.

Avec Luc Chatel et Marc Laffineur, il lance, en , la motion « France Moderne et Humaniste » en vue du congrès de l'UMP[12],[13], laquelle arrive en 3e position du vote des militants (18,17 %). En janvier 2013, à la suite de l’accord entre Jean-François Copé et François Fillon qui a suivi la crise politique du congrès de novembre 2012, il est nommé président du conseil national de l’UMP[14]. À la suite de la démission de Jean-François Copé de la présidence de l'UMP, le , Jean-Pierre Raffarin forme, avec Alain Juppé et François Fillon, un triumvirat dirigeant le parti jusqu'au prochain congrès, prévu pour le mois de novembre suivant et qui doit avoir pour issue l'élection d'un nouveau président désigné par les adhérents du mouvement.

Le , Jean-Pierre Raffarin se déclare de nouveau candidat à la présidence de la haute assemblée, laquelle il dispute à Gérard Larcher et Philippe Marini lors d'une primaire de droite, après le renouvellement d'une partie du Sénat le 28 septembre[15]. Le 30 septembre, Gérard Larcher l'emporte avec 80 voix, contre 56 à Jean-Pierre Raffarin et 7 à Philippe Marini[16].

Le il est élu président de la Commission des affaires étrangères du Sénat français.

Décorations

  • Grand-Officier de la Légion d'honneur, en 2008 en tant que Premier ministre[17] .
  • Grand-Croix de l'Ordre national du Mérite en 2002 en tant que premier ministre[18].
  • Officier de l'Ordre national du Québec

Publications

  • La Vie en jaune, 7 jeunes giscardiens en Chine Populaire (Dominique Bussereau, Jean-Pierre Raffarin, Henri Giscard d'Estaing et Nicolas Giscard d'Estaing, Marc-Philippe Daubresse, Pierre Simonet, Benoit Roger-Vasselin), Paris, Stock, 1977
  • La Publicité, nerf de la communication, 1983
  • L'Avenir a ses racines, Paris, Projet, 1986, (ISBN 978-2-905282-06-4)
  • 92, nous sommes tous des régionaux, Paris, Projet, 1988, (ISBN 978-2-905282-31-6)
  • Pour une morale de l'action, Paris, Hermé, 1992, (ISBN 978-2-86665-161-9)
  • Le Livre de l'Atlantique, l'Arc atlantique, une idée qui gagne en Europe (sous la dir. de Jean-Pierre Raffarin), 1994 (ISBN 978-2-9508577-0-5)
  • Notre contrat pour l'alternance (coécrit avec Dominique Perben, Jacques Barrot et Michel Barnier), 2001, (ISBN 978-2-259-19579-9)
  • Pour une nouvelle gouvernance - L'humanisme en actions, 2002, (ISBN 978-2-84187-335-7)
  • La France dans le bon sens (avec Jacques Blanc), 2003, (ISBN 978-2-268-04593-1)
  • La France de mai, entretiens avec Éric Mandonnet, Paris, Grasset, 2003, (ISBN 978-2-246-64701-0)
  • La dernière marche : Lettre à Nicolas Sarkozy, Paris, Grasset & Fasquelle, 2007, (ISBN 978-2-246-72121-5)
  • Je marcherai toujours à l'affectif, Paris, Flammarion, 2012

Généalogie

Notes et références

  1. 1 2 DÉCRET du 6 mai 2002 PORTANT NOMINATION DU PREMIER MINISTRE
  2. Décret du 31 mai 2005 relatif à la cessation des fonctions du Gouvernement
  3. Ses « raffarinades » ont marqué un style d'expression qui lui est très personnel.
  4. 1 2 Laurent Mauduit, « Sous la dette publique, l'arnaque néolibérale », Mediapart, (lire en ligne).
  5. L'Année politique, économique et sociale 2003, Éditions Evénements & Tendances, 1 avr. 2004
  6. Circulaire du 27 mai 2005, Journal officiel n°126 du 1er juin 2005
  7. Résultats de l'élection sénatoriale partielle du 18 septembre 2005 dans la Vienne sur le site du Sénat.
  8. Lemieux, Julie, Entre la mémoire et la modernité, journal Le Soleil (Québec), 14 février 2007, pp. 2-3.
  9. « Jean-Pierre Raffarin refuse de s'exiler en Chine », Nouvelobs interactif, 10 février 2010.
  10. « Présidence du Sénat : Larcher remporte la primaire UMP », Le Figaro,
  11. Marie-Christine Tabet, « Taxe professionnelle: Raffarin mène la fronde », Le Journal du dimanche, 1er novembre 2009.
  12. UMP : Raffarin présente une motion, Le Figaro, 12 septembre 2012.
  13. Congrès UMP : humanistes et libéraux lancent leur motion, Le Figaro, 12 septembre 2012.
  14. Alexandre Lemarié, « Hortefeux, Ciotti, Morano… L’organigramme complet de la direction de l’UMP », in lemonde.fr, 15 janvier 2013.
  15. « Présidence du Sénat : Jean-Pierre Raffarin candidat », Le Figaro, samedi 13 / dimanche 14 septembre 2014, page 4.
  16. « Gérard Larcher fait un pas décisif vers la présidence du Sénat », figaro.fr, 30 septembre 2014.
  17. Depuis le décret du 21 novembre 2008 (Décret no 2008-1202 du 21 novembre 2008 modifiant le code de la Légion d'honneur et de la médaille militaire, paru au Journal officiel du 22 novembre 2008 (texte 1): « La dignité de grand officier appartient de plein droit aux anciens Premiers ministres qui ont exercé leurs fonctions durant deux années au moins ».
  18. Décret no 63-1196 du 3 décembre 1963 portant création d'un ordre national du Mérite, article 5 du 23 décembre 1974
  19. Généastar : Ascendants de Jean-Pierre RAFFARIN

Voir aussi

Bibliographie

  • Albert Algoud et Christophe Bertin, Raffarin de Matignon, guide modique, modeste et modéré de la France d'en-bas, Paris, Mango document, 2002.
  • Le Canard enchaîné, Raffarin d'en haut en bas : qui se cache derrière l'homme de Matignon ?, Paris, Les dossiers du « Canard », 2002, ISSN 0292535485
  • Dol est une bande dessinée de Philippe Squarzoni publiée en 2006 par Les requins Marteaux. C'est une critique de la politique française des années 2000 et notamment de celle de Jean-Pierre Raffarin.

Articles connexes

  • Liste des chefs du gouvernement français
  • Historique des gouvernements de la France
  • Journée de solidarité envers les personnes âgées
  • Raffarinade

Liens externes

  • Blog officiel de Jean-Pierre Raffarin
  • Sa fiche sur le site du Sénat
  • Biographie Jean-Pierre Raffarin, sur le site du gouvernement
  • Notices d’autorité : Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès Gemeinsame Normdatei WorldCat
  • Portail de la politique française
  • Portail de la Vienne
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