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Joinville-le-Pont

Joinville-le-Pont

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Joinville.
Joinville-le-Pont
Le pont de Joinville-le-Pont
Le pont de Joinville-le-Pont

Blason
Administration
Pays  France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Nogent-sur-Marne
Canton Charenton-le-Pont
Intercommunalité sans
Maire
Mandat
Olivier Dosne (UMP)
2014-2020
Code postal 94340
Code commune 94042
Démographie
Gentilé Joinvillais
Population
municipale
18 020 hab. (2012)
Densité 7 801 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 17″ N 2° 28′ 22″ E/48.82139, 2.4727848° 49′ 17″ Nord 2° 28′ 22″ Est/48.82139, 2.47278
Altitude Min. 33 m  Max. 61 m
Superficie 2,31 km2
Localisation

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Joinville-le-Pont
Liens
Site web ville-joinville-le-pont.fr

    Joinville-le-Pont est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. La commune est créée en 1790, par démembrement de l’ancienne paroisse de Saint-Maur (actuellement Saint-Maur-des-Fossés), sous le nom de Branche-du-Pont-de-Saint-Maur, avant d'être renommée Joinville-le-Pont en 1831.

    Ses habitants sont appelés les Joinvillais.

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Joinville-le-Pont dans le Val-de-Marne
    Communes limitrophes de Joinville-le-Pont
    Paris Nogent-sur-Marne Champigny-sur-Marne
    Paris et Saint-Maurice Champigny-sur-Marne
    Maisons-Alfort Saint-Maur-des-Fossés Saint-Maur-des-Fossés

    Géologie et relief

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    Hydrographie

    La commune est traversée en son milieu par la Marne qui sépare la ville en deux : à l'est, le bas de Joinville et à l'ouest le haut de Joinville. L'île Fanac occupe le lit de la rivière, tandis que l'île des Saints Pères est délimitée par le canal dit de Saint-Maur, qui permet d'éviter aux bateaux une boucle importante. Un canal, dit ru de Polangis, serpente dans le quartier du même nom.

    Port de plaisance

    La Marne, grande rivière, serpente doucement entre les coteaux à l’ouest du plateau de la Brie. Elle traverse Joinville-le-Pont avant de faire une large boucle autour de la presqu'ile de Saint-Maur-des-Fossés et de s’associer avec la Seine au pont de Charenton pour traverser Paris.

    Depuis les temps anciens le seul franchissement possible de la Marne pour aller de Paris vers les régions de l’Est était le Pont de Joinville situé au début de la boucle de Saint-Maur-des-Fossés.

    Au cours du XIXe siècle, grâce à sa liaison facile avec Paris par le chemin de fer de la Bastille, les Parisiens vinrent en grand nombre les dimanches, attirés par le canotage sur la Marne. Un canal a été creusé spécialement pour les rameurs au travers du quartier de Polangis, baptisé rivière (ou ru) de Polangis. Le canotage a laissé la place au kayak et à l’aviron dans la seconde moitié du XXe siècle. De nombreuses régates à l'aviron ont été disputées sur le plan d’eau de Joinville, notamment, la "tête de rivière" chaque début du mois de mai, jusqu'à la fin des années 1960, et accueille à présent chaque année le Grand 8.

    Le plan d’eau abrite un port de plaisance, sur l'emplacement duquel se trouvaient plusieurs piscines découvertes dans la Marne même, dont le "banc de sable" que les anciens Joinvillais ont tous connu, lesquels pour la plupart y ont appris à nager. Un barrage empêche la navigation dans la grande boucle de la Marne. Cependant, le tunnel dit de Saint-Maur puis une écluse permettent aux bateaux de rejoindre la Seine.

    L'usine des Eaux de Paris, située à Joinville, fournit en eau potable les quartiers est de la capitale. Elle utilise l'eau de la Marne. Joinville est alimentée également par de l'eau de la Marne, mais provenant de l'usine du SEDIF de Noisy-le-Grand

    Le Festival de l'Oh! (organisé par le département du Val-de-Marne) est jumelé à Joinville avec la fête des Guinguettes. Les deux manifestations se tiennent généralement en mai.

    Climat

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    Voies de communication et transports

    Voies routières

    La commune est traversée d'est en ouest par la nationale 4 qui enjambe la Marne par le pont de Joinville qui prend appui sur l'île Fanac.

    Pistes cyclables

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    Transports en commun

    La commune est desservie par le RER A avec la gare Joinville-le-Pont.Elle est aussi traversée par des lignes d'autobus :

     101 106 108 110 111 112 201 281 317

    Il existe également une navette gratuite reliant la gare de Joinville-le-Pont à l'Hippodrome de Vincennes.

    Urbanisme

    Morphologie urbaine

    La commune de Joinville-le-Pont est constituée de deux ensembles de quartiers, séparés par la Marne :
    - Joinville-le-Haut qui comprend le quartier du centre, le quartier Vautier, le quartier des Canadiens, la cité Barbusse et le quartier du Quai de la Marne
    - Joinville-le-Bas qui comprend le quartier de Polangis et le quartier de Palissy, séparés eux-mêmes par l'avenue Galliéni (RD4 ex:RN4)
    et de l’île Fanac sur la Marne, accessible par le pont de Joinville.

    Logement

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    Projets d'aménagements

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    Toponymie

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    Histoire

    Le hameau du Pont-de-Saint-Maur

    Joinville était à l'origine rattachée à la ville de Saint-Maur. L'archevêque Odon de Sully dote l'abbaye de Saint-Maur, en 1205, d'un pont sur la Marne dénommé Pont Olin. Sur les rives s'installent des auberges pour les bateliers et les voyageurs. Elles constituent, vers 1259, le hameau dit de Pont-des-Fossés, puis de Pont-de-Saint-Maur. Il deviendra ensuite la Branche-du-Pont-de-Saint-Maur. Une chapelle dédiée à saint Léonard est édifiée pour les bateliers.

    Le 25 avril 1590, le futur Henri IV, roi de Navarre, prend le pont avec deux pièces d'artillerie et 15 000 hommes. En 1649, le pont est détruit par les partisans de la Fronde. En 1652, les soldats du Condé font de même. En 1669, la Branche-du-Pont-de-Saint-Maur compte cent trente-deux feux soit quelque quatre-cent-trente habitants. Rattachée jusqu'en 1693 à la paroisse de Fontenay, elle dépend ensuite de celle de Saint-Maur.

    La période révolutionnaire

    La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur, plan cadastral, 1812

    La Révolution française voit la transformation des anciennes paroisses en communes. En 1790, les habitants de la Branche-du-Pont-de-Saint-Maur (409 en 1793) proclament leur commune indépendante de celle de Saint-Maur, arguant de l'existence d'un lieu de culte, la chapelle Saint Léonard[1].

    En 1790, la commune est constituée sous le nom de La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur[2]. Edmée Lheureux devient le premier maire avec comme officiers municipaux Jean Le Jeune et Laurent-François Pinson, qui deviendra maire en 1800. Il exerce également la profession de marchand de bois[3]. Elle est référencée en 1791[4] comme faisant partie du département de Paris (qui deviendra celui de la Seine en 1795), du district de Bourg-la-Reine, rebaptisé Bourg-l'Égalité l'année suivante, et du canton de Vincennes.

    Le maire de Saint-Maur proteste et adresse une plainte à la municipalité de Paris, le 5 mai 1791. Des démarches identiques seront renouvelées jusqu'en 1830 par les élus de Saint-Maur.

    En application de la Loi du 28 pluviôse an VIII, un conseil municipal est élu en 1800. Le préfet de la Seine, Nicolas Frochot, désigne Laurent Pinson (1755-1814), marchand de bois, en tant que maire de la commune[5]. Il mourra en fonction en 1814.

    Le , l'armée française est battue par les régiments autrichiens, wurtembourgeois et cosaques autour du pont. La bataille fait 265 morts. Des cadavres ont été retirés de la Marne pendant deux mois.

    Joinville-le-Pont

    Tramway de la ligne 10 (Porte de Vincennes –Champigny-gare) de la compagnie des tramways de l'Est parisien sur le pont de Joinville vers 1910 : Outre la ligne de Vincennes, la ville était desservie dès le début du XXe siècle par les tramways parisiens
    Le fameux restaurant de guinguettes "Chez Gégène"

    En 1830, Laurent-Nicolas Pinson (1788-1867), marchand de bois, fils de Laurent-François Pinson, devient maire de La Branche-du-Pont-de-Saint-Maur. Le Conseil municipal et son maire, Laurent-Nicolas Pinson, obtiennent du roi Louis-Philippe que la commune soit désormais appelée Joinville-le-Pont en l'honneur de François d'Orléans, prince de Joinville (1818-1900), troisième fils de Louis-Philippe. L’ordonnance royale du autorise ce changement d'appellation[6], auquel on adjoint « -le-Pont » pour éviter la confusion avec Joinville dans la Haute-Marne.

    Pendant le siège de Paris, la municipalité de Joinville est déplacée dans la capitale. Le château de Poulangis est un point stratégique au cours de la sanglante bataille de Champigny, étant avec la ferme du Tremblay la seule construction dans la plaine. Le général Ducrot y installe son quartier général. La bataille qui dure du 30 novembre au a lieu à Champigny et Joinville entre les troupes françaises et allemandes, tandis que les troupes nationales ont détruit le pont de Joinville. On comptera 2 000 morts.

    La ville de Joinville est particulièrement connue depuis le XIXe siècle pour ses guinguettes, installées le long de la Marne. Les Parisiens venaient y passer leur dimanche au bord de l'eau en empruntant le chemin de fer de la ligne de Vincennes, dont le terminus coté Paris se trouvait place de la Bastille, devenue aujourd'hui la ligne de RER A. Des maisons secondaires sont alors construites au bord de l'eau afin d'y venir pour flâner le week-end. Elles sont divisées en plusieurs pièces indépendantes pour trois ou quatre familles. Aujourd'hui ces « appartements » ont fusionné pour donner de belles villas à 20 minutes du centre de Paris. On retrouve des témoignages de cette époque à travers différents tableaux ou différentes œuvres littéraires, telles que le roman d'Émile Zola, Au Bonheur des Dames. Aujourd'hui subsistent encore quelques guinguettes, telles que Chez Gégène, qui s'animent pendant les week-ends de la belle saison.

    Pendant la Première Guerre mondiale, Joinville accueille un hôpital canadien.

    En 1921, Pathé y installe ses studios de cinéma qui, malgré diverses tribulations, dureront jusqu'en 1987.

    En 1929, la ville de Paris annexe la totalité du Bois de Vincennes, amputant Joinville d'une partie de son territoire et notamment de l'hippodrome de Vincennes et de l'école de sports, devenue INSEP.

    Le , une importante bataille oppose des Forces françaises de l'intérieur (FFI) aux soldats allemands. Elle fait 19 morts parmi les combattants de la Résistance et les civils, dont 12 Joinvillais.

    En 1971, la construction de l'autoroute de l'Est (autoroute A4) entraîne la démolition de 130 pavillons et plusieurs restaurants avec terrasses en bord de Marne, notamment: quai de la Marne.

    En 1987, les studios de télévision (ancien studios de cinéma) de la SFP de Joinville sont fermés et transférés à Bry-sur-Marne.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Article détaillé : Élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne.
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    Administration municipale

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    Liste des maires

    Article détaillé : Liste des maires de Joinville-le-Pont.

    Depuis la Libération de la France, sept maires se sont succédé :

    Liste des maires successifs[7],[8]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944[9] février 1953 Robert Deloche[10] PCF Ouvrier
    Conseiller général de la Seine ( ? → 1953)
    Démissionnaire
    mars 1953 avril 1953 Amélie Trayaud PCF Employée de tramway
    1953 1975 Georges-Maurice Defert PSD Menuisier
    Conseiller général (1967 → 1975)
    Décédé en fonction
    1975 1977 Jean-Pierre Garchery RGR Conseiller général (1976 → 1982)
    1977 1983 Guy Gibout PCF Journaliste
    mars 1983 2008 Pierre Aubry RPR puis UMP Chef d'entreprise
    mars 2008 en cours
    (au 10 mai 2015)
    Olivier Dosne UMP Pharmacien
    Réélu pour le mandat 2014-2020

    Instances judiciaires et administratives

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    Politique environnementale

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    Jumelages

    Depuis 1960, Joinville-le-Pont est jumelée avec la ville de Bensberg en Allemagne, devenue en 1975 Bergisch Gladbach à la faveur d'un regroupement de communes. Située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, sa population est de 106 000 habitants.

    Depuis 1960 également un jumelage a été conclu avec une ville du Royaume-Uni, Runnymede. Située dans le comté de Surrey, au sud-est de l’Angleterre, elle est devenue en 1974 Runnymede par suite également d'un regroupement de communes. Sa population est de 79 000 habitants.

    En 2001, une charte de coopération a été signée avec la ville de Joinville au Brésil. Située dans l'État de Santa Catarina, au sud du pays, elle compte 467 000 habitants.

    Depuis 2007, Joinville-le-Pont est jumelée avec la ville de Batalha, commune de 15 000 habitants, située au centre du Portugal, dans le district de Leiria.

    Population et société

    Démographie

    En 2012, la commune comptait 18 020 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[Note 1],[Note 2].

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1846 1851 1856
    4094334205846117299978511 207
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7512 0862 3802 9013 3643 7784 3245 0166 016
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    7 0098 3499 93612 03113 42514 15113 61215 65717 797
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2012 -
    17 46717 60816 93416 65717 11717 17717 95318 020-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2004[12].)

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    -écoles maternelles

    -écoles primaires

    -collèges

    Vie universitaire

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    Manifestations culturelles et festivités

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    Santé

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    Sports

    Aviron Joinville-le-Pont

    La commune accueille de nombreux pratiquants des sports nautiques avec 3 clubs d'aviron (dont l’Aviron Marne et Joinville) ou de kayak (Joinville Eau Vive). La Fédération française de canoë-kayak a son siège à Joinville.

    L’hippodrome de Vincennes, était situé jusqu’en 1929 sur le territoire de Joinville. Un quartier partagé entre Joinville-le-Pont et Saint-Maurice, le quartier des Canadiens, accueillait des écuries et haras pour les chevaux, qui ont aujourd’hui disparu.

    Le Racing club de Joinville (RC Joinville), qui accueille l’équipe de football a figuré quelques années en seconde division, sous le nom de Paris-Joinville. L’international Sylvain Wiltord y a été joueur.

    L’École normale militaire de Gymnastique, fondée en 1852, qui a donné naissance au Bataillon de Joinville, se situait elle aussi sur le terrain de Joinville avant 1929.

    L’Athletique Club Paris-Joinville, fondé en 1984, s'est fortement renforcé en 2007 avec chez les hommes, des spécialistes du triple saut (Sébastien Pincemail et Colomba Fofana) ou de la perche (Romain Mesnil) et chez les femmes, Sophie Duarte (3000 mètres steeple), Muriel Hurtis (100m et 200m) ainsi que Françoise Mbango-Etone (triple saut), athlète camerounaise, médaillée d’or aux Jeux olympiques d'Athènes (Grèce) en 2004 et aux Jeux olympiques de Pékin (Chine) en 2008.

    L’Athletic Arc Club[13], club affilié à la Fédération française de tir à l'arc, fut créé en 1984 par Michaël Nayrole qui a été directeur technique national et entraîneur de Sébastien Flute, médaillé olympique aux Jeux olympiques de Barcelone en 1992 puis directeur de l’équipe de France en 1993. Actuellement, l’Athletic Arc Club regroupe environ 45 archers. Son pas de tir intérieur se situe au gymnase Émile Lecuirot de Joinville-le-Pont.

    Le nouveau bâtiment du club "Aviron Marne et Joinville" face à la Marne sur l’île Fanac

    Clubs sportifs :

    • Athletique Club Paris-Joinville
    • Aviron Marne et Joinville
    • Joinville Eau Vive
    • RC Joinville
    • Basket club Joinville

    Médias

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    Cultes

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    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

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    Emploi

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    Entreprises et commerces

    L'activité économique est concentrée sur trois secteurs :

    • l'optique avec notamment la lunetterie avec Luxury Eyewear (groupe Cartier) et plusieurs filiales d'Essilor ;
    • le traitement de l'eau avec principalement l'usine Eaux de Paris qui approvisionne la ville de Paris ;
    • l'image (cinéma, télévision, applications numériques). Depuis le transfert des studios de Joinville à Bry-sur-Marne par la SFP en 1987, il n'y a plus de studios de cinéma ou de télévision, mais des laboratoires de postproduction (GTC-Eclair) et de postsynchronisation (Les Auditoriums). Plusieurs entreprises sont installées dans le pôle de compétitivité image numérique, institué en 2005 par la région Île-de-France et l'État.
    • la Cité du Cinéma, ancien site historique des studios Pathé a été cédé par le Consortium de réalisation à un ancien membre de l'entreprise, pour réhabilitation. Depuis novembre 2014, elle abrite notamment le siège du Groupe Jardiland.

    Les activités touristiques sont importantes autour de la Marne, avec plusieurs guinguettes, des restaurants dansants fréquentés surtout à la belle saison. Un port de plaisance fonctionne, tandis que l'île des Saints Pères abrite des services de la navigation de la Seine et de Voies navigables de France.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bâtiments cultuels

    Pagode bouddhique Linh-Son sino-vietnamienne
    • Temple bouddhique Linh Son, monastère et temple bouddhiste chinois et vietnamien ;
    • Église Saint-Charles-Borromée ;
    • Église Sainte-Anne

    Autres bâtiments

    • Aviron Marne et Joinville, sur l'île Fanac, construit en 1883. Il a été détruit par un incendie en octobre 2005 et reconstruit à l'identique en 2007 ;
    • Le château du Parangon, propriété du Conseil général du Val-de-Marne, abrite des services sociaux après avoir accueilli au début du XXe siècle l'école coloniale. Il a été construit dans la seconde moitié du XVIIe siècle et est entouré d'un vaste parc, en partie public ;
    • Tombe de Jean-Baptiste Jupille, dit le berger Jupille, sauvé de la rage par Louis Pasteur en 1885 (cimetière de Joinville).

    Patrimoine culturel

    • École de musique Hector Berlioz sur l'île Fanac

    Joinville-le-Pont et la musique

    • La chanson À Joinville-le-Pont, chantée par Bourvil en 1952 et reprise par Roger Pierre et Jean-Marc Thibault a conféré une réputation certaine à la ville.
    • On peut trouver le conservatoire de musique Hector Berlioz sur l'île Fanac.
    • Les membres du groupe Naast y ont résidé.
    • Laurent Voulzy s'est installé dans la commune où sa société, Les Éditions Laurent Voulzy, dispose d’un studio d’enregistrement.
    • C'est également la ville de prédilection d'Aelpéacha, artiste et producteur de hip-hop français, tendance g-funk, ancien membre du collectif CSRD, qui n'hésite jamais à citer sa ville dans la majorité de ses créations, sous le sobriquet de Splifton. Il y enregistre dans un studio baptisé Delaplage.

    Personnalités liées à la commune

    • Bernard Maitenaz, ingénieur Arts et Métiers et de l'École supérieure d'optique, président d'honneur d'Essilor et inventeur des verres Varilux y est né en 1926.
    • Philippe Val humoriste, journaliste, chroniqueur et directeur de France Inter.

    Héraldique, logotype et devise

    Les armes de Joinville-le-Pont se blasonnent ainsi :

    Coupé : au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or surmontées d'un lambel d'argent, au second de gueules au pont de trois arches d'argent maçonné de sable, posé sur des ondes aussi d'argent mouvant de la pointe[14].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Almanach général du département de Paris pour l’année 1791, imprimerie Devaux, Paris, 1791
    • Nivelet, B. : Joinville-le-Pont, F. Huby, 1910
    • Bousquié, Georges : Voici Joinville, Bleu éditions, 1964
    • Base de données des maires de France, Maires GenWeb
    • Ville de Joinville-le-Pont : Joinville-le-Pont a 150 ans, 1981

    Articles connexes

    • Communes du Val-de-Marne
    • Polangis

    Liens externes

    • Site de la mairie

    Notes et références

    Notes

    1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Bousquié, Georges, Voici Joinville, Bleu éditions, 1964
    2. Nivelet, B., Joinville-le-Pont, F. Huby, 1910
    3. Almanach général du département de Paris pour l’année 1791, imprimerie Devaux, Paris, 1791
    4. Almanach général du département de Paris pour l'année 1791, imprimerie Devaux, Paris, 1791
    5. Base de données des maires de France, Maires GenWeb
    6. Ville de Joinville-le-Pont : Joinville-le-Pont a 150 ans, 1981
    7. Benoît Willot, « Élections municipales à Joinville-le-Pont sous la 4e république », Les élections à Joinville-le-Pont (consulté le 10 mai 2015).
    8. Benoît Willot, « Élections municipales à Joinville-le-Pont sous la 5e république », Les élections à Joinville-le-Pont, (consulté le 10 mai 2015).
    9. Robert Deloche est président de la délégation spéciale en 1944, faisant fonction de maire, puis élu maire le 26 octobre 1945. Source : Ville de Joinville-le-Pont : Joinville-le-Pont a 150 ans, 1981
    10. J.-M. Durand-Souffland, « Procédé sans nom », Le Monde, (lire en ligne).
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2011, 2012.
    13. Site du club de tir à l’arc de Joinville-le-Pont
    14. Banque du Blason
    • Portail du Val-de-Marne
    • Portail des communes de France
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