Télécom ParisTech
Télécom ParisTech | ||||||||||||
Logo |
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Devise | Innover et entreprendre dans un monde numérique | |||||||||||
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Nom original | École supérieure de télégraphie, École nationale supérieure des télécommunications (ENST) | |||||||||||
Informations | ||||||||||||
Fondation | 1878 | |||||||||||
Type | École d'ingénieurs interne de l’institut Mines-Télécom | |||||||||||
Budget | 66 200 000 € | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Coordonnées | 48° 49′ 35″ N 2° 20′ 47″ E / 48.826389, 2.34638948° 49′ 35″ Nord 2° 20′ 47″ Est / 48.826389, 2.346389 | |||||||||||
Ville | Paris | |||||||||||
Pays | France | |||||||||||
Région | Île-de-France | |||||||||||
Direction | ||||||||||||
Président | Yves Poilane | |||||||||||
Chiffres clés | ||||||||||||
Enseignants-chercheurs | 200 | |||||||||||
Étudiants | + de 1500 (dont près de 800 ingénieurs)[1] | |||||||||||
Doctorants | + de 300[2] | |||||||||||
Niveau | Bac+8 (Doctorat) | |||||||||||
Diplômés/an | + de 200 par an[2] | |||||||||||
Divers | ||||||||||||
Affiliation | Université Paris-Saclay, ParisTech, CGE, CDEFI, G16+ | |||||||||||
Site web | telecom-paristech.fr | |||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Télécom ParisTech[3], anciennement École nationale supérieure des télécommunications, Télécom Paris et École supérieure de télégraphie, est l'une des 210 écoles d'ingénieurs françaises habilitées à délivrer un diplôme d'ingénieur. Elle est classée 5e dans le classement des plus prestigieuses grandes écoles d'ingénieur selon le classement des grandes écoles de l'Etudiant, édition 2013.
Généraliste dans le domaine des technologies de l'information de la communication, l'école a été fondée en 1878.
Télécom ParisTech est chargée d'assurer la formation d'ingénieurs capables d'appréhender dans leur globalité les problèmes liés aux Sciences et technologies de l'information et de la communication.
Elle fait partie de la Conférence des grandes écoles, de ParisTech et de l'Institut Mines-Télécom. Elle est située à Paris et à Sophia Antipolis (institut Eurécom).
L'école est un des acteurs de l'Université Paris-Saclay. Le déménagement de ses bâtiments sur le plateau de Saclay est prévu pour 2019, de même que celui de la direction générale de l'Institut Mines-Télécom[4].
Histoire
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec l'essor de la télégraphie électrique, se fait sentir le besoin de former des spécialistes de cette nouvelle technologie. En 1845, Alphonse Foy, directeur des Lignes télégraphiques, propose la création d'une nouvelle école d'application pour les polytechniciens, spécialisée dans la télégraphie. Sa proposition est à l'époque rejetée.
La politique volontariste d'aménagement du territoire menée sous le Second Empire permet de couvrir intégralement la France en télégraphes. C'est ainsi qu'en 1876, au tout début de la Troisième République, à la suite d'une loi de 1873, les administrations des Postes et des Télégraphes fusionnent; c'est la création des P&T. Dans le même élan, sous la présidence de Mac-Mahon, le gouvernement de Jules Dufaure s'enrichit le 1er mars 1878 d'un nouveau service des Postes et Télégraphes. Adolphe Cochery en devient le premier directeur. Deux mois après son investiture, A. Cochery publie le 12 juillet 1878 une circulaire ordonnant la création de l'École Supérieure de Télégraphie (EST), dont le premier directeur est Ernest-Édouard Blavier. L'école s'installe alors dans le VIIe arrondissement, rue de Grenelle, à Paris. L'ouverture a lieu le 4 novembre 1878. Un des premiers élèves est Nicolas Pietri.
En 1888, elle change de nom, pour devenir l'École Professionnelle Supérieure des Postes & Télégraphes (EPSPT), et sa formation intègre une différence entre les élèves destinés à l'administration supérieure (section administrative) et les autres (section technique).
En 1912, un nouveau changement de nom en fait l'École Supérieure des Postes & Télégraphes (ESPT), et en 1934, elle intègre les locaux qu'elle occupe actuellement rue Barrault, dans le 13e arrondissement, à la place de la manufacture de gants Neyret, sur le flanc ouest de la Butte-aux-Cailles.
En 1938, elle prend le nom d'école nationale supérieure des postes et télécommunications (ENSPTT), et la même année, le Président de la République Albert Lebrun décerne à l'école la Légion d'honneur.
Pendant la guerre, en 1942, l'ENSPTT est scindée en deux écoles: l'ENSPTT qui forme les cadres administratifs, et qui a fermé ses portes le 31 décembre 2002, et l'ENST (École nationale supérieure des Télécommunications), qui est le sujet de cet article.
En 1971, l'ENST passe sous la tutelle directe de la Direction générale des télécommunications, et le développement des télécommunications pendant cette période conduit l'État à créer deux écoles sœurs, l'ENST Bretagne, en 1977, à Brest, et l'INT, en 1979, à Évry.
En 1987, création du Complexe 13'53 en tant que foyer des élèves.
En 1991, l'école est un des membres fondateurs de ParisTech, établissement public réunissant 12 Grandes Écoles parisiennes ; on y trouve notamment, l'École polytechnique, HEC (Depuis 2008), Arts et Métiers ParisTech, Mines ParisTech, l'École des Ponts ParisTech, l'ENSTA ParisTech, l'ENSAE ParisTech et l'ESPCI ParisTech.
En 1992, l'ENST fonde avec l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) l'Institut Eurécom, à Sophia Antipolis.
En 1996, l'ENST propose la formation FORDIM (FORmation à DIstance Multi-supports). Cette formation permet à des ingénieurs de se spécialiser.
En 1997, la libéralisation du marché des télécommunications contraint l'État à retirer l'ENST du giron direct de France Télécom et crée le Groupe des écoles des télécommunications (GET) afin de rassembler les écoles ENST (renommée entretemps Télécom Paris), ENST Bretagne, INT (Télécom INT, INT Management). Le GET est un établissement public administratif qui dépend du Conseil général des technologies de l'information (CGTI) au ministère délégué à l'industrie.
Depuis le 1er janvier 2008, le GET s'appelle Institut Télécom, Télécom Paris Télécom ParisTech et l'ENST-Bretagne Télécom Bretagne ; courant 2008, l'INT devient Télécom et management SudParis (Télécom INT devient Télécom SudParis, INT Management Télécom École de Management).
Depuis le , l'Institut Télécom s'appelle l'Institut Mines-Télécom.
Admission
Le recrutement des élèves-ingénieurs se fait de 4 façons :
- Concours commun pour les élèves sortant des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE).
Le concours d'entrée est le « Concours commun Mines-Ponts ». Les études durent alors trois ans. Cette filière compte, à la rentrée 2013, 97 élèves « campus Paris » et 33 élèves « campus Sophia-Antipolis » (Eurécom).
- Admission par voie universitaire
Cette procédure d'admission est réservée aux étudiants titulaires d'un diplôme universitaire dans un des domaines de compétence de Télécom ParisTech. Elle permet d'accueillir des étudiants titulaires d'une licence L3 (5 à la rentrée 2013) et d'un master M1 ou équivalent (45 en 2013), toutes nationalités confondues.
L'admission se fait sur dossier, épreuves écrites et sur entretien. Les titulaires d'une licence sont admis en première année comme ceux issus des classes préparatoires aux grandes écoles (trois ans d'études). Les étudiants titulaires d'un master M1 rejoignent directement la deuxième année (deux ans d'études) en commençant par un cycle d'harmonisation de quelques mois afin de se mettre au niveau sur les domaines qu'ils n'auraient pas étudiés durant leur cursus universitaire.
- Admission en apprentissage
Cette procédure d'admission est réservée aux étudiants titulaires d'un DUT dans un des domaines de compétence de Télécom ParisTech. En septembre 2013, 11 étudiants titulaires d'un DUT sont entrés en apprentissage à Télécom ParisTech.
L'admission très sélective se fait sur dossier, épreuves écrites et sur entretien. Les admis sont admis en première année (trois ans d'études par apprentissage).
Cette procédure d'admission est réservée aux élèves de l'École polytechnique qui souhaitent obtenir un double diplôme Polytechnique-Télécom ParisTech.
Ces modalités d'admission concernent la formation d'ingénieur[5]. D'autres formations organisées par l'école (Master of Science, Mastères spécialisés…) ont leurs propres critères d'admission (voir la partie Enseignement)
Enseignement
Formation d'ingénieur
- Le tronc commun (1re année)
Pour les élèves admis en 1re année, le tronc commun est consacré aux bases des connaissances indispensables (BCI). Il se déroule à Paris et dure une année pour les élèves issus du Concours commun et les admis sur titres licencié, qu'ils aient choisi le Cursus Paris ou le Cursus Sophia-Antipolis.
- Le Cycle Master (2e et 3e années) - Cursus Paris
Le Cycle Master se compose de 4 semestres dont un qui est dédié au stage d’ingénieur. Les enseignements du Cycle Master sont organisés en plus de 120 unités d’enseignement (UE) structurées en parcours. La trentaine de parcours thématiques proposés couvre l’ensemble des domaines de compétence de l’École, par exemple : intelligence artificielle et sciences cognitives - ingénierie financière – image - nouvelles technologies de l'IP, réseaux multiservices – management de projet – photonique – signal etc. À ces enseignements scientifiques s’ajoutent des obligations en langues, sciences humaines, culture générale et droit.
- Le Cycle Master (2e et 3e années) - Cursus Sophia-Antipolis (Institut Eurécom)
Le Cycle Master se compose de 4 semestres dont un qui est dédié au stage de fin d'étude. Le Cycle Master fonctionne sur le modèle des unités de valeurs capitalisables appelées « modules longs » (42 heures - 4 crédits) ou « modules courts » (21 heures - 2 crédits). Le catalogue des enseignements est organisé en sept filières : Réseaux, Sécurité des systèmes de communications, Applications Internet, Multimédia, Communications mobiles, Techniques de transmission, Systèmes temps-réel et embarqués. Les élèves doivent valider à la fois des cours techniques, des cours d'enseignement général ainsi que des cours de langues, sciences humaines, culture générale et droit. Le dernier semestre est consacré au stage en milieu industriel qui se déroule à l'étranger dans la grande majorité des cas.
- Études à l'étranger, Masters recherche & autres opportunités pour la 3e année
- 'Master of Science (MSc), ou Master International - Sophia Antipolis (Institut Eurécom)'
Ce programme s'adresse aux titulaires d'un bachelor ou d'un diplôme équivalent à 4 années d'études universitaires dans le domaine des technologies de l'information et de la communication. Il est dédié en priorité aux étudiants étrangers de très bon niveau. D'une durée de 15 mois, il comporte 2 semestres académiques où les enseignements se déroulent entièrement en langue anglaise, puis un stage d'ingénieur de 22 semaines réalisé dans un laboratoire de recherche ou dans une entreprise industrielle. Ces trois programmes conduisent à un diplôme national de master (DNM) dans le domaine des sciences et technologies. Les programmes de MSc de Télécom ParisTech sont des masters à orientation professionnelle. Ce cursus ouvre également à des études doctorales pour des candidats motivés par la recherche.
- MSc in Communications and Computer Security
- MSc in Mobile Communication
- MSc in Multimedia
Mastères spécialisés
Ils permettent à un ingénieur généraliste d’entrer de plain-pied dans le secteur économique des hautes technologies de l’information, et aux ingénieurs spécialistes d’autres domaines d’acquérir une double spécialité soit en vue de leur premier emploi, soit pour réorienter leur carrière après quelques années d’activité. Le Mastère spécialisé est une formation ouverte aux candidats titulaires des diplômes suivants : diplôme d’ingénieur (bac +5) ; diplôme d’école de commerce (bac +5) ; master recherche ; master professionnel ; diplôme bac + 4 et trois années d’expérience professionnelle ; diplômes étrangers de niveau équivalent.
- Formations sur 1 an
- Big data, gestion et analyse de données massives
- Conception et architecture de réseaux
- Conception et architecture des systèmes informatiques
- Concepteur de projet digital (en partenariat avec l'Ina)
- Ingénierie du logiciel
- Management de projets technologiques (en partenariat avec l'ESSEC)
- Radio Mobiles
- Sécurité des systèmes informatiques et des réseaux
- Signal, Images et Reconnaissance des Formes
- Systèmes de communications à haut débit
- Formations à temps partiel de type "Exécutive Mastère Spécialisé" étalées sur deux années scolaires
- Architecte réseaux et sécurité
- Architecte télécoms orienté multi-services (en partenariat avec Orange)
- Management des systèmes d'information en réseaux (en partenariat avec l'ESSEC)
- Régulation de l'économie numérique (en partenariat avec l'Arcep du Burkina Faso)
Masters en partenariat avec l'Université – Doctorat
Télécom ParisTech est partenaire actif, liée par convention, de plusieurs cursus universitaires de préparation de masters de l'UPMC, les Universités Paris-Sud, Paris-Descartes, Paris-Diderot, etc.
Les élèves en scolarité sur le site de Paris ont la possibilité de suivre une de ces formations, en parallèle à leur 3e année de formation, moyennant un aménagement de scolarité.
- Doctorat
Télécom ParisTech est habilitée à délivrer des doctorats. Son école doctorale, commune avec l'UPMC, porte le nom d'École doctorale d'informatique, de télécommunications et d'électronique (EDITE) de Paris.
Recherche
La vocation de la recherche à Télécom ParisTech consiste à :
- Optimiser le transport de l'information
- Améliorer le traitement de l'information
- Sauvegarder et enrichir le patrimoine culturel
- Instaurer la confiance des utilisateurs
- Rapprocher les services des usagers
Télécom ParisTech comprend 4 laboratoires de recherche:
- Département Communications et Électronique (resp. Bruno Thedrez)
- Département Informatique et Réseaux (resp. Gérard Memmi)
- Département Sciences Économiques et Sociales (resp. Valérie Fernandez)
- Département Traitement du Signal et des Images (resp. Yves Grenier)
L'ensemble de ces départements est associé au CNRS au sein de l'UMR 5141 LTCI - Laboratoire Traitement et Communication de l'Information.
Chacun de ces départements regroupe plusieurs groupes de recherche.
Anciens élèves
- Dominique Jean (ENST 1973) : Directeur général de France Boissons
- Michel Mathieu (ENST 1974) : Senior Vice President Avionics THALES
- Michel Devoret (ENST 1975) : Membre de l'Académie des sciences (France), Professeur au Collège de France
- François Baccelli (ENST 1977) : Membre de l'Académie des sciences (France)
- Brigitte Bourgoin-Castagnet (ENST 1977) : Directeur exécutif d'Orange International
- Alain Glavieux (ENST 1978) : Coïnventeur des turbo-codes
- Barbara Dalibard (ENST 1982) : Directrice générale déléguée SNCF voyages
- Mehdi Houas (ENST 1983) : Fondateur et Président de TALAN
- Mohamed Benchaâboun (ENST 1984) : PDG de la Banque centrale populaire (BCP)
- Hélène Auriol-Potier (ENST 1985) : Managing Director, Microsoft Singapore
- Franck Bouetard (ENST 1990) : Président-Directeur Général d'ERICSSON France
- Yves Tyrode (ENST 1991) : Directeur du Digital chez SNCF
- Fabien Bouskila (ENST 1999) : Cofondateur de Greenwich Consulting
Anciens élèves X-Telecom
- Léon Charles Thévenin (X1876) : Renommé pour le Théorème de Thévenin. Lui-même directeur de l'école.
- Édouard Estaunié (X1882) : Inventeur du mot « télécommunications ». Écrivain. Lui-même directeur de l'école.
- Louis Leprince-Ringuet (X20) : physicien, historien des sciences et essayiste français. De l'Académie française
- Gilbert Manuel (X33, ENST 1939), directeur de l'École nationale de l'aviation civile de 1951 à 1967
- Jacques Dondoux (X51, ENST 1954) : ancien ministre
- Gérard Théry (X52, ENST 1957) : ancien directeur général des Télécommunications
- Marcel Roulet (X54, ENST 1959) : ancien président-directeur général de France Télécom
- Michel Petit (X55, ENST 1960) : membre du CGTI et du GIEC (le GIEC a reçu le prix Nobel de la Paix 2007)
- Jean Grenier (X56, ENST 1961) : ancien directeur général d'Eutelsat
- Marc Houery (X59, ENST 1964) : président de la Commission consultative des radiocommunications
- Jean-Michel Hubert (X59, ENST 1964) : ancien président de l'ARCEP, vice-président du Comité stratégique pour le numérique
- Michel Feneyrol (X59, ENST 1964) : ancien directeur du CNET et ancien membre du collège de l'ARCEP
- Didier Lombard (X62, ENST 1973) : ancien président du groupe France Télécom
- Charles Rozmaryn (X63, ENST 1968) : ancien directeur général de France Télécom et de Cegetel
- Richard Lalande (X67, ENST 1972) : président de la Fédération française des télécommunications
- Henri Serres (X69, ENST 1974) : membre du Conseil général de l'économie, de l'industrie, de l'énergie et des technologies
- Alain Prestat (X71, ENST 1976) : président de Progress, ancien président de Thomson Multimedia
- Jean-Philippe Vanot (X72, ENST 1977) : Directeur Général Adjoint Qualité, Responsabilité Sociale d'Entreprise Orange
- Jean-Bernard Lévy (X73, ENST 1978) : Président-directeur général Thales
- Philippe-Olivier Rousseau (ENST 1978) : ancien membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel, senior banker à BNP Paribas
- Emmanuel Caquot (X74, ENST 1979) : chef du service économique d'Oslo
- Philippe Distler (X74, ENST 1979) : membre de l'ARCEP, ancien directeur général de l'ARCEP
- François Rancy (X74, ENST 1979) : directeur Général de l'Agence Nationale des Fréquences Radioélectriques (ANFR)
- Yves de Talhouët (X77, ENST 1983) : PDG de HP France
- Barbara Dalibard (X77, ENST 1982) : directrice du Pôle SNCF Voyages de la SNCF, ancienne directrice exécutive d'Orange Business Services
- André Schwob (X79, ENST 1984) : directeur des Systèmes d'Information Ernst & Young
- Eric Labaye (X80, ENST 1985) : directeur général de Mc Kinsey France
- Pascale Sourisse (X81, ENST 1986) : femme d'affaires
- Michel Combes (X81, ENST 1986) : directeur général d'Alcatel-Lucent, ancien directeur général Europe de Vodafone
- Jean-Marc Jancovici (X81, ENST 1986) : consultant, auteur, chroniqueur
- Gabrielle Gauthey (X82, ENST 1987) : directrice des investissements et du développement local de la Caisse des dépôts et consignations
- Michel Paulin (X81, ENST 1986) : directeur général Meditel, ancien directeur général neuf telecom,
- Jean Beunardeau (X83, ENST 1988) : directeur de la banque d'investissement HSBC
- Patrick Drahi (X83, ENST 1988) : président-fondateur du consortium luxembourgeois Altice
- Pascal Faure (X83, ENST 1988) : vice-président du Conseil Général de l'Energie, de l'Industrie et des Technologies et chef du corps
- Olivier Huart (X83, ENST 1988) : président directeur général de TDF
- Gilles Brégant (X83, ENST 1988) : directeur technique du Conseil supérieur de l'audiovisuel
- Laure de La Raudière (ENS 84, ENST 1989) : députée
- Dominique Valentiny (X84, ENST 1989) : directeur général de Hub Telecom
- Karim Zaz (X85, ENST 1990) : directeur général de Maroc Connect
- Martine Gouriet (X86, ENST 1991) : conseiller général des Hauts-de-Seine
- Mathias Hautefort (X87, ENST 1992) : directeur général de Viaccess
- Emmanuel Gabla (X88, ENST 1993) : membre du Conseil supérieur de l'audiovisuel
- Philippe Dewost (ENS Ulm 1988, ENST 1995) : cofondateur de Wanadoo
- Ludovic Dervaux (X90, ENST 1995) : directeur des systèmes d'information du Groupe Eiffage
- Olivier Hersent (X91, ENST 1996) : ancien président fondateur de Netcentrex. Président fondateur d'Actility
- Folco Aloisi de Larderel (X92, ENST 1997) : cofondateur de Karavel et directeur de la production de Promovacances
- Fabrice Bellard (X93, ENST 1998) : créateur de LZEXE, développeur principal de FFmpeg et QEMU, double vainqueur de l'IOCCC
- Mathieu Weill (X94, ENST 1999) : directeur général de l'AFNIC
- Sébastien Soriano (X96, ENST 2001) : directeur de cabinet de Fleur Pellerin, ancien chef du service haut débit et collectivités territoriales de l'ARCEP
- Charles-Henri Levaillant (X96, ENST 2001) : conseiller à la représentation permanente de la France auprès de l'UE
- Fabrice Alves (X97, ENST 2002) : conseiller auprès du ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire
Notes et références
- ↑ http://fr.slideshare.net/TelecomParisTech/parlons-davenir-avec-tlcom-paristech
- 1 2 http://www.letudiant.fr/palmares/classement-ecole-ingenieur-apres-prepa/fiche/telecom-paristech-7013.html
- ↑ Arrêté du 31 juillet 2012 portant nomination de la présidente du conseil d'école de Télécom ParisTech , sur le site de Légifrance
- ↑ L’Institut Mines-Télécom dévoile le nom du lauréat du concours d’architecture pour sa future implantation à Paris-Saclay, 19 septembre 2013
- ↑ procédures d'admission
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