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Hypacrosaurus

Hypacrosaurus

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Hypacrosaurus
Description de cette image, également commentée ci-après

Squelette reconstitué

Classification
Règne Animalia
Sous-embr. Chordata
Classe Sauropsida
Super-ordre Dinosauria
Ordre  Ornithischia
Sous-ordre  Ornithopoda
Super-famille  Hadrosauroidea
Famille  Hadrosauridae
Sous-famille  Lambeosaurinae
Tribu  Corythosaurini

Genre

 Hypacrosaurus
Brown, 1913

Espèces de rang inférieur

  • H. altispinus (type) Brown, 1913
  • H. stebingeri, Horner & Currie, 1994

Hypacrosaurus est un genre de dinosaures appartenant à la famille des Hadrosauridae. Il comprend deux espèces, décrites à partir de fossiles datant du Crétacé supérieur, entre -75 et -67 millions d’années[1], retrouvés en Alberta, au Canada, ainsi que dans le Montana aux États-Unis. Il ressemblait au Corythosaurus. Son nom, Hypacrosaurus, signifie « presque le plus grand lézard » et vient du grec hypo- (υπο) qui signifie « moins » et de akros (ακρος) qui signifie « haut ». Ce nom a été donné car Hypacrosaurus était légèrement moins grand que Tyrannosaurus dont le squelette a été trouvé par le même homme, le paléontologiste américain Barnum Brown[2],[3]. L’Hypacrosaurus se caractérise principalement par sa crête osseuse, qui lui était vraisemblablement utile pour communiquer avec ses congénères. C'était un dinosaure herbivore, qui servait de proie aux grands tyrannosauridés.

Description

Reconstitution.

Parmi les dinosaures à bec de canard et à crête creuse (Lambeosaurinae), Hypacrosaurus est le plus facile à distinguer, notamment par la taille de ses épines neurales et la forme de sa crête. Ces épines neurales, qui font saillie en haut des vertèbres, mesurent cinq à sept fois la hauteur du corps de ces dernières[4], ce qui donne au dos d’Hypacrosaurus son allure caractéristique, tout en hauteur. La crête osseuse creuse est similaire à celle du Corythosaurus mais elle est moins pointue au sommet, plus petite, plus large d'un côté à l'autre et possède un petit point osseux à l'arrière[4]. Contrairement au cas des autres lambéosaurinés, le passage du flux d'air dans la crête n'a pas la forme d'une courbe en S (du moins, pas dans le cas du H. altispinus)[5]. La taille d'un Hypacrosaurus adulte est estimée aux alentours de 9,1 m de long[4] et son poids aux alentours de 4 tonnes[6].

Au niveau de son squelette, Hypacrosaurus ne se distingue des autres dinosaures à « bec de canard » que par certains détails de son bassin[7]. Comme les autres hadrosaures, Hypacrosaurus était un herbivore bipède pouvant également marcher sur quatre pattes. Les deux espèces connues, H. altispinus et H. stebingeri, n'ont pas été différenciées par la méthode dite de l'autapomorphie. H. stebingeri a de ce fait été décrit comme une transition entre le plus ancien Lambeosaurus et le plus récent Hypacrosaurus[8]. Des photographies du crâne d'un H. stebingeri adulte montrent un animal qui ressemble beaucoup à H. altispinus.

Classification

Hypacrosaurus était un hadrosaure de la sous-famille des Lambeosaurinae et a été reconnu comme tel par la description de son crâne[9]. Au sein des Lambeosaurinae, il est le plus proche parent du Lambeosaurus et du Corythosaurus[6]. Jack Horner et Phil Currie (1994) ont supposé que H. stebingeri est la transition entre Lambeosaurus et H. altispinus[8], et Michael K. Brett-Surman (1989) a lui supposé que Hypacrosaurus et Corythosaurus faisaient partie du même genre[10]. Ces genres, et plus particulièrement Corythosaurus et Hypacrosaurus, sont considérés comme la branche « casquée » ou « encapuchonnée » des lambéosaurinés et le clade qu'ils forment est parfois désigné de façon informelle « Lambeosaurini ». Une nouvelle description du Nipponosaurus par Suzuki en 2004 trouva de proches relations entre Nipponosaurus et Hypacrosaurus stebingeri et conduisit à considérer que Hypacrosaurus était paraphylétique[11]. Cette description fut rejetée plus tard par une analyse plus complète des lambéosaurinés, montrant que les deux espèces d’Hypacrosaurus formaient un clade bien distinct des Nipponosaurus, mais incluant Corythosaurus et Olorotitan qui sont ses plus proches apparentés[12].

Arbre généalogique des hadrosaures, les Lambeosaurinae et Hypacrosaurus sont sur le côté droit.

Le cladogramme suivant est celui proposé par Evans et Reisz (2007) :

Découverte et histoire

Origines

Squelette de Hypacrosaurus altispinus juvénile exposé au Musée américain d'histoire naturelle.

Les fossiles ayant été utilisés pour la description originale d’Hypacrosaurus ont été collectés en 1910 par Barnum Brown pour le compte du Musée américain d'histoire naturelle[7]. Ces restes comprennent des vertèbres cervicales et un morceau de bassin (AMNH 5204). Ils proviennent de roches connues actuellement sous le nom de formation de Horseshoe Canyon (Maastrichtien, Crétacé supérieur), et ont été retrouvés le long de la rivière de La Biche, en Alberta, au Canada. Brown décrivit en 1913 ces restes, avec d'autres os post-crâniens, comme ceux d'un nouveau genre qu'il nomma Saurolophus[2]. Aucun crâne n'était connu à ce moment, mais deux furent découverts et décrits peu de temps après[9].

Durant cette période, les restes de petits dinosaures à crête creuse et à bec de canards furent décrits et reliés à leur propre genre et espèce. Les premiers restes du genre d’Hypacrosaurus étaient, à l'époque de leur découverte, attribués au taxon Cheneosaurus tolmanensis. Ils comprenaient un crâne, des os de membres, des vertèbres ainsi que des os de bassin, tous provenant de la formation de Horseshoe Canyon[13]. Peu de temps après, Richard Swann Lull et Nelda Wright identifient un squelette (AMNH 5461) du Musée américain d'histoire naturelle provenant de la formation de Two Medicine dans le Montana comme appartenant à Procheneosaurus[14]. Ces taxons ainsi que d'autres furent considérés comme genres valides jusque dans les années 1970, quand le paléontologue Peter Dodson démontra qu'il était plus probable que le genre Cheneosaurus était en fait composé de jeunes spécimens d'autres lambéosaurinés. Il a ensuite suggéré que Cheneosaurus était composé de jeunes individus de Hypacrosaurus altispinus[15]. Bien que non formellement attestée, cette idée a été jugée acceptable[6]. Après de multiples observations, le Procheneosaurus de la formation de Two Medicine se révélait pendant ce temps différent des autres spécimens de Procheneosaurus étudiés. On décida en 1994 de revoir son statut et il est désormais considéré comme une espèce bien distincte, Hypacrosaurus stebingeri[8].

Espèces

Squelette d’Hypacrosaurus au Royal Tyrrell Museum of Palaeontology.

H. altispinus, l'espèce type, est connue à partir de cinq à dix crânes articulés et quelques restes de squelettes associés issus d'individus jeunes et adultes. H. stebingeri est connu à partir d'un nombre inconnu mais important d’individus d'un âge allant de l'embryon à celui d'adulte[6]. L'hypothèse selon laquelle H. altispinus et H. stebingeri forment un groupe naturel excluant d'autres espèces d'hadrosaures peut être incorrecte. Comme indiqué dans la description du Nipponosaurus par Suzuki en 2004, leur analyse phylogénétique a révélé que Nipponosaurus était plus étroitement lié à H. altispinus que H. stebingeri l'était avec H. altispinus[11] mais cette dernière hypothèse a été rejetée par Evans et Reisz en 2007[12].

La nouvelle espèce Hypacrosaurus stebingeri a été décrite à partir de divers morceaux de fossiles, incluant des nouveau-nés et des œufs ainsi que des nids trouvés dans des roches du Campanien supérieur de la formation de Two Medicine dans le Montana et près de la frontière avec l'Alberta. Ces restes représentent « la plus grande collection de squelettes de bébés hadrosaures, toutes espèces confondues »[8].

Paléoécologie

H. altispinus a partagé la formation de Horseshoe Canyon avec d'autres hadrosauridés, Edmontosaurus et Saurolophus, l'hypsilophodontidé, Parksosaurus, l'ankylosauridé, Euoplocephalus, un nodosauridé, Edmontonia, les dinosaures à corne, Montanoceratops, Anchiceratops, Arrhinoceratops et Pachyrhinosaurus, le pachycéphalosaure Stegoceras, les ornithomimosaures Ornithomimus et Struthiomimus, une variété de théropodes mal connus incluant des troodontidés et des dromaeosauridés ainsi que les tyrannosauridés Albertosaurus et Daspletosaurus[16]. Les dinosaures issus de cette formation sont parfois appelés Edmontoniens. La formation de Horseshoe Canyon comprend différents milieux dont notamment des plaines inondables, des estuaires et des marécages, car durant une grande partie du Crétacé la voie maritime intérieure de l'Ouest formait une mer intérieure recouvrant toute la section centrale d'Amérique du Nord[17]. Néanmoins, H. altispinus préférait peut-être rester plus loin dans les terres[6].

La formation de Two Medicine comprenait H. stebingeri, ainsi qu'un autre hadrosaure, Maiasaura, et un troodontidé Troodon. La présence de ces deux espèces a été établie à partir de la découverte de traces de nidification. Les tyrannosauridés Daspletosaurus, le caenagnathidés Chirostenotes, les dromaeosauridés Bambiraptor et Saurornitholestes, les dinosaures blindés Edmontonia et Euoplocephalus, l'hypsilophodonte Orodromeus, l'hadrosaure Prosaurolophus, les dinosaures cornés Achelousaurus, Brachyceratops, Einiosaurus et Styracosaurus ovatus étaient aussi présents[16]. Cette formation est plus éloignée de la voie maritime intérieure de l'Ouest, plus sèche et a une altitude plus élevée et un climat plus continental[18].

Paléobiologie

Comme les autres hadrosauridés, Hypacrosaurus était certainement un herbivore bipède/quadrupède se nourrissant d'une grande variété de plantes. Son crâne lui permettait d'effectuer des mouvements de broyage analogues à la mastication, et ses dents, qui étaient renouvelées continuellement, étaient organisées en batteries dentaires contenant des centaines de dents, dont seule une poignée était en usage à tout moment, afin de les économiser. Il coupait les plantes avec son large bec puis les maintenait dans sa bouche avec des organes similaires à des joues. Grâce à son cou, Hypacrosaurus pouvait se nourrir des feuillages situés jusqu'à 4 m au-dessus du sol[6].

Nids et croissance

Tête de Hypacrosaurus, Musée canadien de la nature.

H. stebingeri pondait des œufs à peu près sphériques de 20 cm de haut pour 18,5 cm de diamètre, contenant des embryons de 60 cm de long. Les nouveau-nés mesuraient environ 1,7 m de long. Chaque portée comportait environ 20 œufs. Une fois pondus dans des nids de sable ou de terre, ils étaient selon toutes probabilités recouverts de plantes ou de sable. Les femelles étaient en effet trop lourdes pour s'asseoir sur le nid sans risquer de briser son contenu[19]. Les jeunes et les embryons développés présentaient un crâne profond avec seulement une petite excroissance osseuse correspondant à leur future crête[8].

La croissance était plus rapide que celles des alligators et comparable à celle des Struthioniformes. Les recherches effectuées par Lisa Cooper et son équipe sur H. stebingeri indiquent que cet animal atteignait sûrement sa maturité sexuelle à l'âge de deux à trois ans et sa taille définitive entre dix et douze ans[20]. Lors de la maturité sexuelle, la circonférence du fémur des animaux avait atteint 40 % de sa circonférence adulte. H. stebingeri avait vraisemblablement une croissance plus rapide que ses principaux prédateurs, les tyrannosauridés Albertosaurus et Tyrannosaurus ; cette croissance rapide leur donnait de meilleures chances d'atteindre leur taille adulte et de pouvoir assurer une défense optimale face à ses prédateurs. Par ailleurs, une maturité sexuelle précoce assure de meilleures chances de survie à l'espèce, et correspond à une stratégie caractéristique des animaux servant de proies[21]. Du cartilage secondaire a été trouvé dans le squelette de spécimens de nouveau-nés H. stebingeri[22].

Fonctions de la crête

Crâne de Hypacrosaurus avec sa crête proéminente

La crête creuse d’Hypacrosaurus avait surtout une fonction sociale, constituant un signal visuel permettant à ses congénères d'identifier le sexe ou l'espèce. C'était aussi une sorte de caisse de résonance, amplifiant les cris émis par les animaux et facilitant donc leurs communications[6]. La crête et les passages nasaux associés ont également figuré dans le débat au sujet de l'endothermie des dinosaures, plus précisément dans les discussions portant sur les cornets nasaux.

Ces cornets sont des os ou des cartilages séparés en deux types, avec deux fonctions. Les cornets nasaux olfactifs, que l'on rencontre chez tous les tétrapodes vivants, possèdent une fonction olfactive. La fonction des cornets respiratoires est de prévenir la perte d'eau par évaporation. Seuls les oiseaux et les mammifères homéothermes modernes (animaux à sang chaud), en sont munis. Ils respirent plus fréquemment que les ectothermes (animaux à sang froid) afin de soutenir leur métabolisme plus élevé, et risquent plus de perdre de grandes quantités d'eau par la respiration, d'où cette adaptation[23]. Ruben et d'autres scientifiques ont conclu en 1996, à l'aide d'un scanner, que les cornets respiratoires n'étaient probablement pas présents chez Nanotyrannus, Ornithomimus ou Hypacrosaurus, il n'y a donc aucune preuve que ces animaux étaient à sang chaud[24].

Annexes

Articles connexes

Liens externes

  • (en) « Hypacrosaurus », sur http://nature.ca/'' (the Canadian Museum of Nature).
  • (en) « Hypacrosaurus », sur http://internt.nhm.ac.uk/'' (The Natural History Museum's Dino Directory).

Références taxinomiques

  • Référence Fossilworks Paleobiology Database : Hypacrosaurus Brown 1913 (éteint) (en) (consulté le 30 mai 2012)
  • Référence uBio : Hypacrosaurus Brown 1913 (en) (consulté le 30 mai 2012)

Notes et références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Hypacrosaurus » (voir la liste des auteurs).
  1. (en) V. M. Arbour, « A redescription of the ankylosaurid dinosaur Dyoplosaurus acutosquameus Parks, 1924 (Ornithischia: Ankylosauria) and a revision of the genus », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 29, no 4, , p. 1117–1135 (DOI 10.1671/039.029.0405).
  2. 1 2 (en) Barnum Brown, « A new trachodont dinosaur, Hypacrosaurus, from the Edmonton Cretaceous of Alberta », Bulletin of the American Museum of Natural History, vol. 32, no 20, , p. 395–406 (lire en ligne).
  3. (en) Benjamin S. Creisler, Horns and Beaks: Ceratopsian and Ornithopod Dinosaurs, Bloomington et Indianapolis, Indiana University Press, , 185–210 p. (ISBN 0-253-34817-X), « Deciphering duckbills ».
  4. 1 2 3 (en) Richard Swann Lull et Nelda E. Wright, Hadrosaurian Dinosaurs of North America, Geological Society of America, coll. « Geological Society of America Special Paper 40 », , p. 206–208.
  5. (en) David B. Weishampel, « The nasal cavity of lambeosaurine hadrosaurids (Reptilia:Ornithischia): comparative anatomy and homologies », Journal of Paleontology, vol. 55, no 5, , p. 1046–1057.
  6. 1 2 3 4 5 6 7 (en) Jack Horner, David B. Weishampel et Catherine A. Forster,, The Dinosauria, Berkeley, University of California Press, , 2e éd. (ISBN 0-520-24209-2), « Hadrosauridae », p. 438–463.
  7. 1 2 (en) Donald F. Glut, Dinosaurs: The Encyclopedia, Jefferson, Caroline du Nord, McFarland & Co, (ISBN 0-89950-917-7), « Hypacrosaurus », p. 478–482.
  8. 1 2 3 4 5 (en) Jack Horner et Phillip J. Currie, Dinosaur Eggs and Babies, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN 0-521-56723-8), « Embryonic and neonatal morphology and ontogeny of a new species of Hypacrosaurus (Ornithischia, Lambeosauridae) from Montana and Alberta », p. 312–336.
  9. 1 2 (en) Charles Whitney Gilmore, « On the genus Stephanosaurus, with a description of the type specimen of Lambeosaurus lambei, Parks », Canada Department of Mines Geological Survey Bulletin (Geological Series), vol. 38, no 43, , p. 29–48.
  10. (en) Michael K. Brett-Surman, A revision of the Hadrosauridae (Reptilia:Ornithischia) and their evolution during the Campanian and Maastrichtian. Ph.D. dissertation, Washington, D.C., Graduate School of Arts and Sciences of The George Washington University, , 272 p..
  11. 1 2 (en) Daisuke Suzuki, « Nipponosaurus sachaliensis (Dinosauria; Ornithopoda): anatomy and systematic position within Hadrosauridae », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 24, no 1, , p. 145–164 (DOI 10.1671/A1034-11).
  12. 1 2 (en) David C. Evans et Robert R. Reisz, « Anatomy and relationships of Lambeosaurus magnicristatus, a crested hadrosaurid dinosaur (Ornithischia) from the Dinosaur Park Formation, Alberta », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 27, no 2, , p. 373–393 (DOI:10.1671/0272-4634(2007)27[373:AAROLM2.0.CO;2]).
  13. (en) Lawrence M. Lambe, « On Cheneosaurus tolmanensis, a new genus and species of trachodont dinosaur from the Edmonton Cretaceous of Alberta », The Ottawa Naturalist, vol. 30, no 10, , p. 117–123.
  14. (en) William Diller Matthew, « Canadian dinosaurs », Natural History, vol. 20, no 5, , p. 1–162.
  15. (en) Peter Dodson, « Taxonomic implications of relative growth in lambeosaurine dinosaurs », Systematic Zoology, vol. 24, no 1, , p. 37–54 (DOI 10.2307/2412696, JSTOR 2412696).
  16. 1 2 (en) David B. Weishampel, Paul M. Barrett, Rodolfo A. Coria, Le Jean Loueff, Xu Xing, Zhao Xijin, Ashok Sahni, Elizabeth M. P. Gomani et Christopher N. Noto, The Dinosauria, Berkeley, University of California Press, , 2e éd. (ISBN 0-520-24209-2), « Dinosaur distribution », p. 517–606.
  17. (en) Peter Dodson, The Horned Dinosaurs: A Natural History, Princeton, Princeton University Press, , 14–15 p. (ISBN 0-691-05900-4).
  18. (en) Raymond R. Rogers, « Taphonomy of three dinosaur bone beds in the Upper Cretaceous Two Medicine Formation of northwestern Montana: evidence for drought-related mortality », PALAIOS, vol. 5, no 5, , p. 394–413 (DOI 10.2307/3514834, JSTOR 3514834)
  19. (en) « Meet the Hypacrosaur Family », sur Children's museum Dinosphere (consulté le 1 septembre 2012)
  20. (en) Lisa N. Cooper, « Growth rate of Hypacrosaurus stebingeri as hypothesized from lines of arrested growth and whole femur circumference », Journal of Vertebrate Paleontology, vol. 19, no 3, Suppl., , p. 35.
  21. (en) Lisa N. Cooper, « Relative growth rates of predator and prey dinosaurs reflect effects of predation », Proceedings of the Royal Society B, vol. 275, no 1651, , p. 2609–2615 (PMID 18682367, PMCID 2605812, DOI 10.1098/rspb.2008.0912).
  22. (en) Bailleul, Brian K. Hall et John R. Horner, « First Evidence of Dinosaurian Secondary Cartilage in the Post-Hatching Skull of Hypacrosaurus stebingeri (Dinosauria, Ornithischia) », PLoS ONE, vol. 7, no 4, , e36112 (DOI 10.1371/journal.pone.0036112).
  23. (en) Anusuya Chinsamy et Willem J. Hillenius, The Dinosauria, , 2e éd., « Physiology of nonavian dinosaurs », p. 643-659.
  24. (en) J. A. Ruben, W. J. Hillenius, N. R. Geist, A. Leitch, T. D. Jones, P. J. Currie et J. R. Horner, « The metabolic status of some Late Cretaceous dinosaurs », Science, vol. 273, no 5279, , p. 1204–1207 (DOI 10.1126/science.273.5279.1204).
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