Elizabeth I d'Angleterre

Elizabeth I
Elizabeth I, "Darnley Portrait", c. 1575
Reine d'Angleterre et Irlande ( plus ...)
R??gner	17 Novembre 1558 au 24 Mars 1603
Couronnement	15 Janvier 1559
Pr??d??cesseurs	Mary I et Philip
Successeur	James I
Maison	Chambre des Tudor
P??re	Henry VIII
M??re	Anne Boleyn
N??	7 Septembre 1533 Palais de Placentia, Greenwich, en Angleterre
Mort	24 Mars 1603 (24/03/1603) (??g??s de 69) Richmond Palace, Surrey, en Angleterre
Enterrement	Abbaye De Westminster
Signature
Religion	Anglican

Elizabeth I (7 Septembre 1533 au 24 Mars 1603) ??tait reine r??gnante de l'Angleterre et de l'Irlande du 17 Novembre 1558 jusqu'?? sa mort. Parfois appel?? "La Reine Vierge", "Gloriana" ou "bonne reine Bess", Elizabeth ??tait le cinqui??me et dernier monarque de la Dynastie des Tudor. La fille de Henry VIII , elle est n??e une princesse, mais sa m??re, Anne Boleyn, a ??t?? ex??cut?? deux ans et demi apr??s sa naissance, et Elizabeth a ??t?? d??clar??e ill??gitime. Son demi-fr??re, Edouard VI , a l??gu?? ?? la couronne Lady Jane Grey, coupant ses deux demi-s??urs, Elizabeth et catholique Mary , sur la succession en d??pit des droit statutaire ?? l'effet contraire. Sa volont?? a ??t?? mis de c??t??, Marie est devenue reine, et Lady Jane Grey a ??t?? ex??cut??. En 1558, Elizabeth a r??ussi sa demi-s??ur, sous le r??gne duquel elle avait ??t?? emprisonn?? pendant pr??s d'un an sur des soup??ons de soutenir les rebelles protestants.

Elizabeth a entrepris de gouverner par bon conseil, et elle d??pendait fortement sur un groupe de conseillers de confiance dirig?? par William Cecil, Baron Burghley. Un de ses premiers gestes que la reine ??tait la mise en place d'une ??glise protestante anglaise, dont elle est devenue la Gouverneur supr??me. Ce R??glement ??lisab??thain tard ??volu?? dans d'aujourd'hui ??glise d'Angleterre . Il ??tait pr??vu que Elizabeth se marierait et de produire un h??ritier pour continuer la ligne Tudor. Elle n'a jamais, cependant, en d??pit de nombreuses amours. Comme elle grandissait, Elizabeth est devenue c??l??bre pour sa virginit??, et un culte a grandi autour d'elle qui a ??t?? c??l??br??e dans la portraits, des reconstitutions historiques, et de la litt??rature de la journ??e.

Au gouvernement, Elizabeth ??tait plus mod??r??e que son p??re et demi-fr??res avaient ??t??. Une de ses devises ??tait "vid??o et taceo" ("je vois, et ne rien dire??). Dans la religion elle ??tait relativement tol??rant, ??vitant pers??cution syst??matique. Apr??s 1570, lorsque le pape a d??clar?? son ill??gitime et lib??r?? ses sujets de l'ob??issance ?? elle, plusieurs complots ont menac?? sa vie. Toutes les parcelles ont ??t?? d??faits, cependant, avec l'aide du service secret de ses ministres. Elizabeth ??tait prudent dans les affaires ??trang??res, se d??pla??ant entre les grandes puissances de la France et de l'Espagne. Elle a soutenu que du bout des l??vres un certain nombre de campagnes militaires inefficaces, peu de ressources aux Pays-Bas, la France et l'Irlande. Au milieu des ann??es 1580, la guerre avec l'Espagne ne pouvait plus ??tre ??vit??e, et quand l'Espagne a finalement d??cid?? de tenter de conqu??rir l'Angleterre en 1588, l'??chec de l' Armada espagnole de son associ?? ?? l'une des plus grandes victoires de l'histoire anglaise.

Le r??gne d'Elisabeth est connu comme le ??re ??lisab??thaine, c??l??bre surtout pour l'??panouissement de la Drame anglais, dirig?? par dramaturges tels que William Shakespeare et Christopher Marlowe, et les prouesses de marins d'aventuriers anglais tels que Sir Francis Drake . Certains historiens sont plus r??serv??s dans leur ??valuation. Ils d??peignent comme Elizabeth, une r??gle parfois ind??cise col??rique, qui aimait plus que sa part de chance. Vers la fin de son r??gne, une s??rie de probl??mes ??conomiques et militaires affaibli sa popularit??. Elizabeth est reconnu comme un interpr??te charismatique et un survivant tenace, ?? une ??poque o?? le gouvernement ??tait d??labr??e et limit??e et o?? les monarques dans les pays voisins confront??s ?? des probl??mes internes qui compromettaient leurs tr??nes. Ce fut le cas avec le rival de Elizabeth, Mary, Queen of Scots , qu'elle emprisonn?? en 1568 et, finalement, avait ex??cut?? en 1587. Apr??s les courts r??gnes de demi-fr??res et s??urs d'Elizabeth, ses 44 ann??es sur le tr??ne ?? condition stabilit?? bienvenue pour le royaume et ont aid?? forger un sentiment d'identit?? nationale.

Jeunesse

Elizabeth ??tait le seul enfant de Henry VIII et Anne Boleyn, qui ne portait pas un h??ritier m??le et a ??t?? ex??cut?? moins de trois ans apr??s la naissance d'Elizabeth.

Elizabeth est n??e au Greenwich Palace et a ??t?? nomm?? d'apr??s ses deux grands-m??res, Elizabeth d'York et Elizabeth Howard. Elle ??tait le deuxi??me enfant de Henri VIII d'Angleterre n?? dans le mariage pour survivre enfance. Sa m??re ??tait la seconde ??pouse de Henry, Anne Boleyn. ?? la naissance, Elizabeth ??tait le h??riti??re pr??somptive du tr??ne d'Angleterre. Sa demi-s??ur a??n??e, Mary , avait perdu sa position en tant que h??ritier l??gitime quand Henry a annul?? son mariage avec la m??re de Marie, Catherine d'Aragon, pour ??pouser Anne et engendrer un h??ritier m??le pour assurer la succession Tudor. Elizabeth a ??t?? baptis?? le 10 Septembre; archev??que Thomas Cranmer , le Marquis d'Exeter, le Duchesse de Norfolk et de la Marquise douairi??re de Dorset ??tait que ses quatre parrains.

Lorsque Elizabeth ??tait de deux ans et huit mois, sa m??re a ??t?? ex??cut?? le 19 mai 1536. Elizabeth a ??t?? d??clar??e ill??gitime et priv??s du titre de princesse. Onze jours apr??s la mort d'Anne Boleyn, Henry a ??pous?? Jane Seymour, mais elle est morte peu de temps apr??s la naissance de leur fils, Prince-??douard , en 1537. D??s sa naissance, Edward ??tait l'h??ritier incontest?? pr??somptif du tr??ne. Elizabeth a ??t?? plac?? dans sa maison et a port?? le chrisom, ou un chiffon bapt??me, ?? son bapt??me.

La Dame Elizabeth dans environ 1546, par un artiste inconnu

Premi??re Dame Mistress Elizabeth, Margaret Bryan, a ??crit qu'elle ??tait ??aussi envers un enfant et aussi doux des conditions que jamais je savais tout dans ma vie". ?? l'automne 1537, Elizabeth ??tait dans les soins de Blanche Herbert, Lady Troy, qui est rest?? son Lady Mistress jusqu'?? sa retraite ?? la fin de 1545 ou au d??but 1546. Catherine Champernowne, mieux connu par son plus tard, nom de femme mari??e de Catherine "Kat" Ashley, a ??t?? nomm?? la gouvernante de Elizabeth en 1537, et elle est rest??e l'amie d'Elizabeth jusqu'?? sa mort en 1565, lorsque Blanche Parry lui a succ??d?? en tant que chef dame de la Chambre priv??. Champernowne enseign?? Elizabeth quatre langues: fran??ais, Flamand, italien et espagnol. Au moment o?? William Grindal est devenu son tuteur en 1544, Elizabeth pourrait ??crire l'anglais, latin et italien. Sous Grindal, un tuteur talentueux et habile, elle a ??galement progress?? en fran??ais et en grec. Apr??s Grindal mort en 1548, Elizabeth a fait ses ??tudes en vertu Roger Ascham, un enseignant sympathique qui croyait que l'apprentissage doit ??tre engageante. Au moment o?? son ??ducation formelle a pris fin en 1550, elle ??tait l'une des femmes les plus instruites de sa g??n??ration. ?? la fin de sa vie, Elizabeth a ??t?? ??galement r??put?? pour parler Gallois, Cornish, ??cossais et irlandais en plus de l'anglais. L'ambassadeur de Venise a d??clar?? en 1603 qu'elle ??poss??dait [ces] langues si bien que chaque semblait ??tre sa langue maternelle". Historien Mark Stoyle sugg??re qu'elle a probablement ??t?? enseign?? par Cornish William Killigrew, Groom de la Chambre priv?? et plus tard Chamberlain de l'??chiquier.

Thomas Seymour

Le Miroir ou Glasse du Synneful ??me, une traduction du fran??ais, par Elizabeth, pr??sent??s Catherine Parr en 1544. Le brod?? liaison avec le KP monogramme pour "Katherine Parr" est cens?? avoir ??t?? travaill?? par Elizabeth.

Henry VIII est mort en 1547; Demi-fr??re d'Elizabeth, Edward VI , devint roi ?? neuf ans. Catherine Parr, la veuve de Henry, bient??t mari?? Thomas Seymour de Sudeley, l'oncle d'Edward VI et le fr??re du Seigneur Protecteur, Edward Seymour, duc de Somerset. Le couple a pris Elizabeth dans leur m??nage au Chelsea. Il Elizabeth a connu une crise ??motionnelle que certains historiens croient touch??e elle pour le reste de sa vie. Seymour, pr??s de 40 ans mais ayant charme et un ??sex appeal puissante", engag?? dans ??bats et amuser avec le 14-year-old Elizabeth. Il se agit notamment entrant dans sa chambre dans sa chemise de nuit, chatouiller et son gifles sur les fesses. Parr, plut??t que d'affronter son mari sur ses activit??s inappropri??es, rejoints dans. Deux fois, elle l'a accompagn?? dans chatouiller Elizabeth, et une fois la tenait alors qu'il a coup?? ses robe noire "en mille morceaux." Cependant, apr??s Parr a d??couvert la paire dans une ??treinte, elle a fini cet ??tat de choses. En mai 1548, Elizabeth a ??t?? renvoy??.

Cependant, Thomas Seymour continu?? intrigant pour contr??ler la famille royale et a essay?? de se faire nommer le gouverneur de la personne du roi. Lorsque Parr est mort apr??s l'accouchement, le 5 Septembre 1548, il a renouvel?? ses attentions vers Elizabeth, l'intention de l'??pouser. Les d??tails de son ancien comportement envers Elizabeth ??merg??, et pour son fr??re et le conseil, ce ??tait la derni??re paille. En Janvier 1549, Seymour a ??t?? arr??t?? sur des soup??ons de complot visant ?? renverser ??pouser Elizabeth et son fr??re. Elizabeth, vivant ?? Hatfield House, admettrait rien. Son ent??tement exasp??r?? son interrogateur, Sir Robert Tyrwhitt, qui ont d??clar??, "Je ne le vois dans son visage qu'elle est coupable??. Seymour a ??t?? d??capit?? le 20 Mars 1549.

Le r??gne de Marie, je

Mary I , par Anthonis Mor, 1554

Edward VI est mort le 6 Juillet 1553, ??g??e de 15. Sa volont?? balay?? la Succession ?? la Loi de la Couronne 1543, exclu Marie et Elizabeth de la succession, et la place a d??clar?? que son h??ritier Lady Jane Grey, petite-fille de la s??ur de Henry VIII Mary, duchesse de Suffolk. Lady Jane a ??t?? proclam??e reine par le Conseil priv??, mais son soutien se est effondr?? rapidement, et elle a ??t?? d??pos?? apr??s neuf jours. Mary montait triomphalement ?? Londres, avec Elizabeth ?? ses c??t??s.

Le spectacle de la solidarit?? entre les s??urs n'a pas dur?? longtemps. Marie, un fervent catholique, ??tait d??termin?? ?? ??craser la foi protestante o?? Elizabeth avait ??t?? ??lev??, et elle a ordonn?? que tout le monde assister ?? la messe catholique; Elizabeth doit se conformer ?? l'ext??rieur. Popularit?? initiale de Marie se sont att??nu??s en 1554 quand elle a annonc?? son intention de se marier le prince Philip de l'Espagne , le fils de l'empereur Charles V et d'une catholique active. Le m??contentement se est rapidement propag?? ?? travers le pays, et beaucoup regarda Elizabeth comme un foyer pour leur opposition aux politiques religieuses de Marie.

En Janvier et F??vrier 1554, R??bellion de Wyatt a ??clat??; il fut bient??t supprim??e. Elizabeth a ??t?? port??e devant les tribunaux, et interrog?? sur son r??le, et le 18 Mars, elle a ??t?? emprisonn??e dans la Tour de Londres . Elizabeth ferveur protest?? de son innocence. M??me se il est peu probable qu'elle avait complot?? avec les rebelles, certains d'entre eux ??taient connus pour l'avoir approch??. Plus proche confident de Marie, l'ambassadeur de Charles V Simon Renard, a fait valoir que son tr??ne ne serait jamais en s??curit?? pendant Elizabeth vivait; et le chancelier, Stephen Gardiner, d'avoir travaill?? Elizabeth mis en jugement. Les partisans d'Elizabeth dans le gouvernement, y compris Lord Paget, convaincu Mary d'??pargner sa s??ur en l'absence de preuves tangibles contre elle. Au lieu de cela, le 22 mai, Elizabeth a ??t?? d??plac?? de la Tour ?? Woodstock, o?? elle devait passer pr??s d'un an en r??sidence surveill??e ?? la charge de Sir Henry Bedingfield. Les foules ont applaudi elle tout le long du chemin.

L'aile restante du Vieux Palais, Hatfield House. Ce est ici que Elizabeth a ??t?? dit de la mort de sa s??ur en Novembre 1558.

Le 17 Avril 1555 Elizabeth a ??t?? rappel?? ?? la cour pour assister aux derniers stades de la grossesse apparente de Marie. Si Marie et son enfant sont morts, Elizabeth deviendrait reine. Si, d'autre part, Marie a donn?? naissance ?? un enfant en bonne sant??, les chances de devenir la reine Elizabeth de se reculer fortement. Lorsqu'il est devenu ??vident que Marie ne ??tait pas enceinte, personne ne croyait plus qu'elle pourrait avoir un enfant. La succession d'Elizabeth semblait assur??e.

Le roi Philippe, qui monta sur le tr??ne d'Espagne en 1556, a reconnu la nouvelle r??alit?? politique et cultiv?? sa s??ur-fr??re. Elle ??tait un meilleur alli?? que l'alternative en chef, Marie Stuart, reine d'??cosse , qui avait grandi en France et a ??t?? fianc??e au Dauphin de France. Quand sa femme est tomb??e malade en 1558, le roi Philippe a envoy?? le Comte de Feria de consulter Elizabeth. Cette interview a ??t?? r??alis??e ?? Hatfield House, o?? elle avait retourn?? vivre en Octobre 1555. En Octobre 1558, Elizabeth a ??t?? d??j?? des plans pour son gouvernement. Le 6 Novembre, Mary Elizabeth reconnu comme son h??ritier. Le 17 Novembre 1558, Marie est morte et Elizabeth succ??da au tr??ne.

Accession

Elizabeth est devenue reine ?? l'??ge de 25 ans, et a d??clar?? ses intentions ?? son Conseil et d'autres pairs venus Hatfield pr??ter serment d'all??geance. Le discours contient le premier enregistrement de son adoption de la m??di??vale th??ologie politique des ??deux corps" du souverain: le corps naturel et la corps politique:

Elizabeth I dans sa robe de couronnement, avec motifs Tudor roses et garnis de l'hermine .

Mes seigneurs, la loi de la nature me ??meut ?? la tristesse pour ma s??ur; le fardeau qui est tomb?? sur moi me fait ??tonn??, et pourtant, ??tant donn?? que je suis une cr??ature de Dieu, ordonn?? d'ob??ir ?? Sa nomination, je vais y donner, d??sireux du fond de mon c??ur que je ai l'aide de sa gr??ce d'??tre le ministre Sa volont?? c??leste dans ce bureau maintenant engag?? pour moi. Et comme je ne suis qu'un corps naturellement consid??r??, bien que, par Sa permission d'un corps politique ?? gouverner, ainsi je vous envie de tout ... pour ??tre assistant de moi, que je avec ma d??cision et vous avec votre service peut faire un bon compte ?? Dieu Tout-Puissant et de laisser un peu de r??confort ?? notre post??rit?? sur la terre. Je veux dire ?? diriger toutes mes actions par de bons conseils et avocats.

Comme son marche triomphale serpentait ?? travers la ville ?? la veille de la c??r??monie du couronnement, elle a ??t?? accueillie chaleureusement par les citoyens et accueilli par des oraisons et des reconstitutions historiques, la plupart avec une saveur forte protestante. R??ponses ouvertes et gracieuses d'Elizabeth fait aimer aux spectateurs, qui ont ??t?? ??merveilleusement ravi". Le lendemain, le 15 Janvier 1559, Elizabeth a ??t?? couronn?? et oint par Owen Oglethorpe, l'??v??que catholique de Carlisle, ?? l'abbaye de Westminster . Elle a ensuite ??t?? pr??sent?? pour l'acceptation par le peuple, au milieu d'un bruit assourdissant d'organes, de fifres, trompettes, tambours, cloches et.

r??glement de l'??glise

Convictions religieuses personnelles d'Elizabeth ont ??t?? tr??s d??battue par les chercheurs. Elle ??tait protestant, mais a gard?? symboles catholiques (comme le crucifix), et a minimis?? le r??le des sermons au m??pris d'une croyance protestante cl??.

En termes de politique publique, elle a favoris?? le pragmatisme dans le traitement des questions religieuses.

Elizabeth et ses conseillers ont per??u la menace d'une croisade catholique contre h??r??tique Angleterre. Elizabeth a donc cherch?? une solution protestante qui ne serait pas offenser les catholiques trop grandement tout en r??pondant aux d??sirs des protestants anglais; qu'elle ne tol??rerait pas les plus radicales puritains cependant, qui poussaient des r??formes profondes. En cons??quence, le parlement de 1559 a commenc?? ?? l??gif??rer pour une ??glise fond??e sur la colonisation protestante d'Edouard VI , avec le monarque ?? sa t??te, mais avec de nombreux ??l??ments catholiques, tels que v??tements sacerdotaux.

Le Chambre des communes a soutenu les propositions fortement, mais le projet de loi de la supr??matie rencontr?? l'opposition ?? la Chambre des Lords , en particulier des ??v??ques. Elizabeth a eu la chance que de nombreux ??v??ch??s ??taient vacants ?? l'??poque, y compris l' archev??ch?? de Canterbury . Cette partisans permis entre pairs pour mettre en minorit?? les ??v??ques et pairs conservateurs. N??anmoins, Elizabeth a ??t?? forc?? d'accepter le titre de Gouverneur supr??me de l'??glise d'Angleterre plut??t que le titre le plus controvers?? de Chef supr??me, dont beaucoup pens??e inacceptable pour une femme ?? porter. Le nouveau Acte de Supr??matie est devenu loi le 8 mai 1559. Tous les fonctionnaires publics devaient pr??ter un serment de loyaut?? envers le monarque comme le gouverneur supr??me ou la disqualification des risques de ses fonctions; la h??r??sie lois ont ??t?? abrog??es, pour ??viter une r??p??tition de la pers??cution des dissidents pratiqu??es par Marie. Dans le m??me temps, une nouvelle Acte d'uniformit?? a ??t?? adopt??e, qui a fait la participation ?? l'??glise et l'utilisation d'une version adapt??e de la 1552 Book of Common Prayer obligatoire, si les sanctions pour indocilit??, ou l'??chec d'assister et de se conformer, ne ??taient pas extr??mes.

Mariage question

Elizabeth et son favori, Robert Dudley, comte de Leicester, c. 1575. Paire de taille d'un timbre miniatures par Nicholas Hilliard. L'amiti?? de la reine avec Dudley a dur?? plus de trente ans, jusqu'?? sa mort.

D??s le d??but du r??gne d'Elizabeth, il ??tait pr??vu qu'elle se marier et la question se pose ?? qui. Elle n'a jamais fait, m??me si elle a re??u de nombreuses offres de sa main; les raisons de ce ne sont pas claires. Les historiens ont sp??cul?? que Thomas Seymour l'avait mise hors relations sexuelles, ou qu'elle se savait ??tre infertile. Elle a examin?? plusieurs pr??tendants jusqu'?? ce qu'elle ??tait environ cinquante. Sa derni??re parade ??tait avec Fran??ois de France, 22 ann??es sa cadette. Alors que de risquer la perte ??ventuelle du pouvoir comme sa s??ur, qui a jou?? dans les mains du roi Philippe II d'Espagne, le mariage offert la chance d'un h??ritier. Cependant, le choix d'un mari pourrait aussi provoquer l'instabilit?? politique ou m??me insurrection.

Robert Dudley

Au printemps de 1559, il est devenu ??vident que Elizabeth ??tait en amour avec son ami d'enfance Robert Dudley. On a dit que Amy Robsart, sa femme, souffrait d'une "maladie dans l'un de ses seins", et que la reine souhaite se marier Dudley si sa femme ne devrait mourir. ?? l'automne 1559 plusieurs pr??tendants ??trangers ont ??t?? en lice pour la main d'Elizabeth; leurs envoy??s impatients part ?? des conversations de plus en plus scandaleux et rapport?? qu'un mariage avec son pr??f??r??e ??tait pas le bienvenu en Angleterre: "Il ne est pas un homme qui ne pleure pas sur lui et son indignation ... elle va se marier, mais aucune Robert favoris??e??. Amy Dudley est mort en Septembre 1560 d'une chute d'un escalier et, malgr?? la enqu??te de la constatation d'accident du coroner, de nombreuses personnes soup??onn??es d'avoir organis?? Dudley sa mort afin qu'il puisse ??pouser la reine. Elizabeth s??rieusement envisag?? d'??pouser Dudley pendant un certain temps. Cependant, William Cecil, Nicholas Throckmorton, et certains conservateurs pairs ont fait leur d??sapprobation sans ambigu??t??. Il y avait m??me des rumeurs que la noblesse monterait si le mariage a eu lieu.

Parmi les autres mariages envisag??es pour la reine, Robert Dudley a ??t?? consid??r?? comme un candidat possible pour presque une autre d??cennie. Elizabeth ??tait extr??mement jaloux de ses affections, m??me quand elle ne est plus destin??e ?? se marier avec lui-m??me. En 1564 Elizabeth soulev?? Dudley ?? la pairie comme Comte de Leicester. Il a finalement se est remari??e en 1578, ?? laquelle la reine a r??agi avec des sc??nes r??p??t??es de m??contentement et la haine envers vie sa femme. Pourtant, Dudley toujours "est rest?? au centre de la vie affective [Elizabeth]", comme l'historien Susan Doran a d??crit la situation. Il est mort peu de temps apr??s la d??faite de l' Armada . Apr??s propre mort d'Elizabeth, une note de lui a ??t?? trouv?? parmi ses effets personnels plupart, marqu?? "sa derni??re lettre?? dans son ??criture.

Aspects politiques

Fran??ois de France, par Nicholas Hilliard. Elizabeth appel?? le duc son "grenouille", le trouvant "pas si d??form??e" comme elle l'avait laiss?? esp??rer.

n??gociations de mariage constituaient un ??l??ment cl?? de la politique ??trang??re de Elizabeth. Elle a refus?? de Philippe II propre main en 1559, et a n??goci?? pendant plusieurs ann??es pour ??pouser sa cousine Archiduc Charles d'Autriche. En 1569, les relations avec les Habsbourg se ??taient d??t??rior??es, et Elizabeth consid??r??e comme un mariage de deux Fran??ais Valois princes ?? son tour, d'abord Henri, duc d'Anjou, et plus tard, de 1572 ?? 1581, son fr??re Fran??ois de France, ancien duc d'Alen??on. Cette derni??re proposition a ??t?? li??e ?? un projet d'alliance contre le contr??le espagnol de la Pays-Bas m??ridionaux. Elizabeth semble avoir pris au s??rieux la cour pour un temps, et portait une boucle d'oreille en forme de grenouille qui Anjou lui avait envoy??.

En 1563, Elizabeth a d??clar?? ?? un envoy?? imp??rial: "Si je suis l'inclinaison de ma nature, ce est ceci: mendiante et unique, loin plut??t que reine et mari??". Plus tard dans l'ann??e, ?? la suite de la maladie d'Elizabeth avec la variole , la question de la succession est devenue une question chauff??e au Parlement. Ils ont exhort?? la reine de se marier ou d??signer un h??ritier, pour emp??cher une guerre civile ?? sa mort. Elle a refus?? de le faire non plus. En elle Avril prorog?? le Parlement, ce qui ne se r??unisse de nouveau jusqu'?? ce qu'elle avait besoin de son soutien ?? augmenter les imp??ts en 1566. Apr??s avoir promis de se marier pr??c??demment, elle a dit ?? une Maison indisciplin??s:

Jamais je ne romprai le mot d'un prince parl?? dans un lieu public, pour l'amour de mon honneur. Et donc, je le r??p??te, je vais me marier d??s que je peux facilement, si Dieu prend pas loin de lui avec qui je me occupe de se marier, ou moi-m??me, ou bien une autre grande laisser passer.

En 1570, de hauts responsables du gouvernement priv?? ont accept?? que Elizabeth ne se marierait jamais ou nommer un successeur. William Cecil cherchait d??j?? des solutions au probl??me de la rel??ve. Pour son ??chec ?? se marier, Elizabeth a ??t?? souvent accus?? d'irresponsabilit??. Son silence, cependant, a renforc?? sa propre s??curit?? politique: elle savait que si elle a nomm?? un h??ritier, son tr??ne serait vuln??rable ?? un coup d'Etat; elle se souvint que la fa??on dont "une deuxi??me personne, comme je l'ai ??t???? a ??t?? utilis?? comme le foyer de complots contre son pr??d??cesseur.

Le portrait "Hampden", par Steven van der Meulen, ca. 1563. Ce est le premier portrait en pied de la reine, faite avant l'??mergence de portraits symboliques repr??sentant l'iconographie de la "Reine Vierge".

C??libat d'Elizabeth inspir?? un culte de la virginit??. Dans la po??sie et de l'art du portrait, elle a ??t?? d??peinte comme une vierge ou une d??esse ou les deux, non pas comme une femme normale. Dans un premier temps, seule Elizabeth fait une vertu de sa virginit??: en 1559, elle a dit ?? la Chambre des communes, ??Et, ?? la fin, ce sera pour moi suffisante, que la pierre de marbre doit d??clarer qu'une reine, ayant r??gn?? un tel moment, v??cut et mourut vierge ". Plus tard, les po??tes et les ??crivains ont pris le th??me et l'a transform?? en une iconographie qui exalt?? Elizabeth. Hommages publics ?? la Vierge par 1578 ont agi comme une assertion cod??e de l'opposition aux n??gociations de mariage de la reine avec le duc d'Alen??on.

Mettre un spin positif sur son ??tat matrimonial, Elizabeth a insist?? qu'elle ??tait mari??e ?? son royaume et sujets, sous la protection divine. En 1599, elle a parl?? de "tous mes maris, mes bonnes gens".

Mary, Queen of Scots

Premi??re politique d'Elizabeth vers l'Ecosse ??tait de se opposer ?? la pr??sence fran??aise. Elle craignait que les Fran??ais pr??vu d'envahir l'Angleterre et de mettre Marie Stuart, reine d'??cosse , qui a ??t?? consid??r?? par beaucoup comme l'h??ritier de la couronne d'Angleterre, sur le tr??ne. Elizabeth a ??t?? persuad?? d'envoyer une force en ??cosse pour aider les rebelles protestants, et bien que la campagne ??tait inepte, r??sultant Trait?? d'??dimbourg de Juillet 1560 a supprim?? la menace fran??aise dans le nord. Quand Marie retourna en ??cosse en 1561 pour prendre les r??nes du pouvoir, le pays avait une ??glise protestante ??tablie et a ??t?? dirig?? par un conseil de nobles protestants soutenus par Elizabeth. Mary a refus?? de ratifier le trait??.

En 1563, Elizabeth a propos?? son propre pr??tendant, Robert Dudley, comme un mari pour Marie, sans demander l'une des deux personnes concern??es. Les deux se est av??r?? peu enthousiaste, et en 1565 Mary mari?? Henry Stuart, qui a effectu?? sa propre pr??tention au tr??ne anglais. Le mariage a ??t?? la premi??re d'une s??rie d'erreurs de jugement par Marie que remis la victoire aux protestants ??cossais et ?? Elizabeth. Darnley est rapidement devenu impopulaire en Ecosse puis tristement c??l??bre pour la pr??sidence de la assassiner de secr??taire italienne de Marie David Rizzio. En F??vrier 1567, Darnley a ??t?? assassin?? par des conspirateurs presque certainement dirig??s par James Hepburn, comte de Bothwell. Peu de temps apr??s, le 15 mai 1567, Mary a ??pous?? Bothwell, ??veiller les soup??ons qu'elle avait ??t?? partie ?? l'assassiner son mari. Elizabeth lui ??crivait:

Comment un mauvais choix pourrait ??tre faite pour votre honneur que dans une telle h??te de se marier un tel sujet, qui en plus d'autres et manque notoire, la renomm??e publique a charg?? de l'assassiner de votre d??funt mari, outre le fait de toucher vous aussi dans une partie, si nous avons confiance dans ce nom ?? tort.

Ces ??v??nements ont rapidement conduit ?? la d??faite et ?? l'emprisonnement de Marie dans Ch??teau de Loch Leven. Les seigneurs ??cossais l'ont forc??e ?? abdiquer en faveur de son fils James , qui ??tait n?? en Juin 1566. James a ??t?? prises pour Stirling Castle ?? ??tre soulev??e comme un protestant. Mary se est ??chapp?? de Loch Leven en 1568 mais apr??s une autre d??faite fui ?? travers la fronti??re vers l'Angleterre, o?? elle avait ??t?? assur?? du soutien d'Elizabeth. Le premier instinct Elizabeth ??tait de restaurer sa compatriote monarque; mais elle et son conseil a plut??t choisi de jouer en toute s??curit??. Plut??t que de risquer de retourner Mary en Ecosse avec une arm??e anglaise ou de l'envoyer ?? la France et les ennemis catholiques d'Angleterre, ils l'ont d??tenue en Angleterre, o?? elle a ??t?? emprisonn??e pendant les prochaines ann??es dix-neuf.

Marie et la cause catholique

Sir Francis Walsingham, Secr??taire principal 1573-1590. Etre Elizabeth ma??tre espion, il a d??couvert plusieurs complots contre sa vie.

Mary fut bient??t l'objet de la r??bellion. En 1569, il y avait un grand catholique la hausse dans le Nord; le but ??tait de lib??rer Marie, la marier ?? Thomas Howard, 4e duc de Norfolk, et l'a mise sur le tr??ne d'Angleterre. Apr??s la d??faite des rebelles, plus de 750 d'entre eux ont ??t?? ex??cut??s sur les ordres d'Elizabeth. Dans la croyance que la r??volte avait ??t?? un succ??s, Pie V a publi?? un Bull en 1570, intitul?? Regnans in Excelsis , qui a d??clar?? "Elizabeth, la Reine d'Angleterre semblant et le serviteur de crime?? d'??tre excommuni?? et un h??r??tique, la lib??ration de tous ses sujets de toute all??geance ?? elle. Catholiques qui ont ob??i ?? ses ordres ont ??t?? menac??s de excommunication. La bulle papale provoqu?? initiatives l??gislatives contre les catholiques par le Parlement, qui ont toutefois ??t?? att??nu?? par l'intervention d'Elizabeth. En 1581, pour convertir au catholicisme sujets anglais avec "l'intention" de les retirer de leur all??geance ?? Elizabeth a ??t?? fait crime de trahison, passible de la peine de mort. Depuis les ann??es 1570 pr??tres missionnaires de Continental s??minaires sont venus en Angleterre secr??tement la cause de la "reconversion de l'Angleterre". Beaucoup ex??cution souffert, engendrant un culte de la martyre.

Regnans in Excelsis donn?? catholiques anglais une forte incitation ?? se tourner vers Marie Stuart que le v??ritable souverain de l'Angleterre. Mary peut ne pas avoir ??t?? inform?? de chaque parcelle catholique de la mettre sur le tr??ne d'Angleterre, mais ?? partir de la Terrain Ridolfi de 1571 (qui a caus?? de Marie pr??tendant, le duc de Norfolk, ?? perdre la t??te) ?? la Babington Parcelle de 1586, le ma??tre espion de Sir Elizabeth Francis Walsingham et le conseil royal assembl??s vivement une plainte contre elle. Dans un premier temps, Elizabeth r??sist?? aux appels pour la mort de Marie. ?? la fin de 1586, elle avait ??t?? persuad?? de sanctionner son proc??s et l'ex??cution sur le t??moignage de lettres ??crites au cours de la parcelle Babington. La proclamation d'Elizabeth de la phrase a annonc?? que ??ladite Marie, pr??tendant titre ?? la m??me couronne, avait entour??rent et imagin?? dans les m??mes plongeurs de royaume des choses tendant ?? la souffrance, la mort et la destruction de notre personne royale." Le 8 F??vrier 1587, Mary a ??t?? d??capit?? ?? Ch??teau de Fotheringhay, Northamptonshire. Apr??s l'ex??cution de Marie, Elizabeth affirm?? ne pas avoir ordonn?? et en effet la plupart des comptes ont lui disant Secr??taire Davidson, qui lui a apport?? le mandat de signer, de ne pas envoyer le mandat m??me si elle l'avait sign??. La sinc??rit?? des remords de Elizabeth et ses motivations pour dire Davidson ne pas ex??cuter le mandat ont ??t?? remis en question ?? la fois par ses contemporains et historiens post??rieurs.

Les guerres et le commerce ext??rieur

Moiti?? gruau d'Elizabeth I

La politique ??trang??re de Elizabeth ??tait en grande partie d??fensive. La seule exception ??tait l'occupation anglaise de Le Havre de Octobre 1562 to Juin 1563, qui se est termin??e par un ??chec lorsque Elizabeth Alli??s huguenots joints aux catholiques de reprendre le port. L'intention de Elizabeth avait ??t?? d'??changer Havre pour Calais, a perdu en France en Janvier 1558. Seulement ?? travers les activit??s de ses flottes ne Elizabeth poursuivre une politique agressive. Ce pay?? dans la guerre contre l'Espagne, dont 80% a ??t?? battu en mer. Elle chevalier Francis Drake apr??s sa tour du monde de 1577 ?? 1580, et il a gagn?? la renomm??e pour ses raids sur les ports et les flottes espagnoles. El??ment de piraterie et d'enrichissement ont conduit les marins ??lisab??thaine, sur lequel la reine avait peu de contr??le.

Pays-Bas exp??dition

Apr??s l'occupation et la perte de Havre en 1562-1563, Elizabeth ??viter exp??ditions militaires sur le continent jusqu'?? 1585, quand elle a envoy?? une arm??e anglaise pour aider les protestants Rebelles n??erlandais contre Philippe II. Ceci fait suite ?? la mort en 1584 des alli??s Guillaume le Taciturne , prince d'Orange, et Fran??ois, duc d'Anjou, et de la cession d'une s??rie de villes n??erlandaises ?? Alexandre Farn??se, le gouverneur de Philip de la Pays-Bas espagnols. En D??cembre 1584, une alliance entre Philippe II et les Fran??ais Ligue catholique Joinville min?? la capacit?? du fr??re de l'Anjou, Henri III de France, pour contrer espagnol domination des Pays-Bas. Il a ??galement ??tendu l'influence espagnole le long du canal c??te de la France, o?? la Ligue catholique a ??t?? forte, et expos?? l'Angleterre ?? l'invasion. Le si??ge de Anvers ?? l'??t?? 1585 par le duc de Parme a n??cessit?? une r??action de la part des Anglais et les Hollandais. Le r??sultat a ??t?? le Trait?? de Sans-Pareil d'Ao??t 1585, dans lequel Elizabeth a promis un soutien militaire aux Hollandais. Le trait?? a marqu?? le d??but de la Guerre anglo-espagnole, qui a dur?? jusqu'?? ce que le Trait?? de Londres en 1604.

L'exp??dition a ??t?? men??e par son ancien pr??tendant, Robert Dudley, comte de Leicester. Elizabeth depuis le d??but n'a pas vraiment de retour cette ligne de conduite. Sa strat??gie, afin de soutenir les Hollandais sur la surface avec une arm??e anglaise, tout en commen??ant secrets des pourparlers de paix avec l'Espagne dans les jours suivant l'arriv??e de Leicester en Hollande, devait n??cessairement ??tre en contradiction avec Leicester de, qui voulaient et a ??t?? attendu par les N??erlandais pour combattre une campagne active. Elizabeth d'autre part, voulait lui "?? ??viter ?? tout prix toute action d??cisive avec l'ennemi??. Il furieux Elizabeth en acceptant le poste de gouverneur g??n??ral du n??erlandais ??tats g??n??raux. Elizabeth a vu cela comme un stratag??me N??erlandais de la forcer ?? accepter la souverainet?? sur les Pays-Bas, qui, jusqu'ici, elle avait toujours refus??. Elle a ??crit ?? Leicester:

Nous ne aurions jamais pu imaginer (avions-nous pas vu tomber dans l'exp??rience) qu'un homme ressuscit?? par soi-m??me et extraordinairement favoris??e par nous, au-dessus de tout autre sujet de cette terre, aurait dans une sorte si m??prisable cass?? notre commandement pour une cause qui nous touche tellement en l'honneur .... Et donc notre plaisir express et le commandement est que, tous les retards et les excuses mis ?? part, vous faites actuellement sur le devoir d'ob??ir votre all??geance et remplissez soit le porteur des pr??sentes ordonne que vous fassiez dans notre nom. Dont vous manquera pas, comme vous r??pondrez au contraire ?? votre plus grand p??ril.

"Commandement" d'Elizabeth ??tait que son ??missaire lu ses lettres de d??sapprobation du public devant le Conseil d'Etat n??erlandais, Leicester avoir ?? faire ?? proximit??. Cette humiliation publique de son "lieutenant-g??n??ral" combin??e avec ses pourparlers se sont poursuivis pour une paix s??par??e avec l'Espagne, de mani??re irr??versible min?? sa position parmi les N??erlandais. La campagne militaire a ??t?? s??rieusement entrav??e par les refus r??p??t??s de Elizabeth d'envoyer des fonds promis pour ses soldats affam??s. Sa r??ticence ?? se engager ?? la cause, propres insuffisances de Leicester en tant que leader politique et militaire et la situation de faction-mont?? et chaotique de la politique n??erlandaise avait des raisons de l'??chec de la campagne. Leicester a finalement d??missionn?? son commandement en D??cembre 1587.

Armada espagnole

Pendant ce temps, Sir Francis Drake avait entrepris un voyage de grande envergure contre les ports espagnols et navires ?? la Des Cara??bes en 1585 et 1586, et en 1587 avait fait un raid r??ussi sur Cadix, la destruction de la flotte espagnole de navires de guerre destin??s ?? l'Entreprise de l'Angleterre: Philippe II avait d??cid?? de prendre la guerre ?? l'Angleterre.

Portrait d'Elizabeth pour commémorer la défaite de l' Armada espagnole (1588), représentée en arrière-plan. La main d'Elizabeth repose sur le globe, symbolisant son pouvoir international.

Le 12 Juillet 1588, l' Armada espagnole , une grande flotte de navires, mettre le cap sur le canal, la planification pour transporter une force d'invasion espagnole sous le duc de Parme à la côte de l'Angleterre du sud des Pays-Bas. Une combinaison de mauvais calcul, le malheur, et une attaque des Anglais brûlots le 29 Juillet au large de Gravelines qui a dispersé les espagnols navires au nord vaincu l'Armada. L'Armada traînaient la maison à l'Espagne en restes brisés, après des pertes désastreuses sur la côte de l'Irlande (après quelques navires avaient tenté de lutter à l'Espagne via la mer du Nord , puis vers le sud-delà de la côte ouest de l'Irlande). Ignorant le sort de l'Armada, les milices Anglais rassemblés pour défendre le pays sous le comte de commande de Leicester. Il a invité Elizabeth pour inspecter ses troupes à Tilbury, dans l'Essex, le 8 Août. Portant une cuirasse d'argent sur ??????une robe de velours blanc, elle leur adressa un de ses discours les plus célèbres:

Mes personnes aimant, nous avons été convaincus par certains qui sont prudents de notre sécurité, de prendre garde comment nous engageons à nous-mêmes foules armées de peur de la trahison; mais je vous assure, je ne veux pas vivre à se méfier de mon fidèle et personnes aimant ... Je sais que je dois le corps, mais d'une femme faible et faible, mais je avoir le c??ur et l'estomac d'un roi et d'un roi de l'Angleterre aussi, et de penser que le mépris faute de Parme ou de l'Espagne, ou tout prince de l'Europe devrait oser envahir les frontières de mon royaume.

Lorsque aucune invasion venu, la nation se réjouissait. La procession de Elizabeth à un service d'action de grâces à la cathédrale St Paul rivalisait avec celle de son couronnement comme un spectacle. La défaite de l'armada était une victoire de propagande puissante, à la fois pour Elizabeth et pour l'Angleterre protestante. Les Anglais ont pris leur livraison comme un symbole de la faveur de Dieu et de l'inviolabilité de la nation en vertu d'une reine vierge. Cependant, la victoire ne fut pas un point dans la guerre, qui a continué et souvent favorisé l'Espagne tournant. L'Espagnol contrôlé encore les Pays-Bas, et la menace d'invasion est restée. Sir Walter Raleigh affirmé après sa mort que la prudence de Elizabeth avait entravé la guerre contre l'Espagne:

Si la feue reine aurait cru ses hommes de guerre comme elle a fait ses scribes, nous avions en son temps battu ce grand empire en morceaux et fait leurs rois de figues et oranges comme dans les temps anciens. Mais Sa Majesté a fait tout par moitiés, et par petits invasions enseigné l'Espagnol à se défendre, et de voir sa propre faiblesse.

Bien que certains historiens ont critiqué Elizabeth pour des motifs similaires, le verdict de Raleigh a le plus souvent été considérée comme déloyale. Elizabeth avait une bonne raison de ne pas placer trop de confiance dans ses commandants, qui, une fois en action tendaient, comme elle le dit elle-même, "pour être transporté avec un portement de la vaine gloire".

Soutenir Henri IV de France

Blason de la reine Elizabeth I, avec sa devise personnelle:«Semper eadem"ou "toujours le même"

Lorsque le protestant Henri IV a hérité du trône français en 1589, Elizabeth lui a envoyé un soutien militaire. Il était sa première incursion dans la France depuis la retraite de Le Havre dans la succession de 1563. Henry a été fortement contestée par la Ligue catholique et par Philippe II, et Elizabeth craint une prise de contrôle espagnole des ports de la Manche. Les campagnes ultérieures Anglais en France, cependant, ont été désorganisées et inefficaces. Lord Willoughby, ignorant largement les ordres d'Elizabeth, parcouraient nord de la France à peu d'effet, avec une armée de 4.000 hommes. Il se retira dans le désarroi en Décembre 1589, après avoir perdu la moitié de ses troupes. En 1591, la campagne de John Norreys, qui a dirigé de 3000 hommes à la Bretagne, a été encore plus d'une catastrophe. Comme pour toutes ces expéditions, Elizabeth était peu disposé à investir dans les réserves et les renforts demandés par les commandants. Norreys partit pour Londres pour plaider en personne pour plus de soutien. En son absence, une armée Ligue catholique a presque détruit les restes de son armée à Craon, au nord-ouest de la France en mai 1591. En Juillet, Elizabeth a envoyé une autre force en vertu de Robert Devereux, comte d'Essex, pour aider à Henri IV à assiéger Rouen. La résultat était tout aussi lamentable. Essex n'a rien accompli et rentra chez lui en Janvier 1592. Henry abandonna le siège en Avril. Comme d'habitude, Elizabeth manquait contrôle sur ses commandants une fois qu'ils étaient à l'étranger. "Là où il est, ni ce qu'il doth, ou ce qu'il ya à faire,» écrit-elle d'Essex, "nous sommes ignorants".

Irlande

Bien que l'Irlande était l'un de ses deux royaumes, Elizabeth face à un environnement hostile, et dans des endroits pratiquement autonomes, la population irlandaise qui ont adhéré au catholicisme et était prêt à défier son autorité et terrain avec ses ennemis. Sa politique, il a été d'octroyer des terres à ses courtisans et empêcher les rebelles de donner à l'Espagne un point de départ pour attaquer l'Angleterre. Au cours d'une série de soulèvements, les forces de la Couronne poursuivis tactiques de la terre brûlée, brûler la terre et l'abattage homme, femme et enfant. Au cours d'une révolte dans Munster dirigé par Gerald FitzGerald, comte de Desmond, en 1582, on estime que 30.000 personnes meurent de faim irlandais. Le poète et colon Edmund Spenser a écrit que les victimes "ont été portées à telle misère que que tout c??ur de pierre aurait rued même". Elizabeth a conseillé ses commandants que la "nation que grossier et barbare» irlandaise, être bien traités; mais elle n'a montré aucun remords quand la force et de sang ont été jugées nécessaires.

Entre 1594 et 1603, Elizabeth face à son test le plus sévère en Irlande pendant les Guerre de la Ligue d'Augsbourg , une révolte qui a eu lieu à la hauteur des hostilités avec l'Espagne, qui ont soutenu le chef rebelle, Hugh O'Neill, comte de Tyrone. Au printemps 1599, Elizabeth a envoyé Robert Devereux, 2 e comte d'Essex, de mettre la révolte vers le bas. Pour sa frustration, il a fait peu de progrès et est retourné en Angleterre, au mépris de ses ordres. Il a ??t?? remplac?? par Charles Blount, Lord Mountjoy, qui ont pris trois ans pour vaincre les rebelles. O'Neill finalement rendu en 1603, quelques jours après la mort d'Elizabeth. Peu de temps après, un traité de paix a été signé entre l'Angleterre et l'Espagne.

Russie

Ivan le Terriblemontre ses trésors à l'ambassadeur d'Elizabeth. Peinture par Alexander Litovchenko 1875

Elizabeth a continué d'entretenir des relations diplomatiques avec le tsarisme de la Russie à l'origine créé par son frère défunt. Elle a souvent écrit à sa règle puis, le tsar Ivan IV , à l'amiable, si le tsar a souvent été ennuyé par sa concentration sur le commerce plutôt que sur la possibilité d'une alliance militaire. Le tsar a même proposé de lui une fois, et pendant son règne plus tard, a demandé une garantie de bénéficier de l'asile en Angleterre doit sa règle d'être compromise. Après la mort d'Ivan, il a été succédé par son fils simple d'esprit Feodor. Contrairement à son père, Feodor avait pas d'enthousiasme dans le maintien des droits commerciaux exclusifs avec l'Angleterre. Feodor déclaré son royaume ouvert à tous les étrangers, et a rejeté l'ambassadeur anglais Sir Jérôme Bowes, dont l'emphase avait été tolérée par le défunt père de la nouvelle tsar. Elizabeth a envoyé un nouvel ambassadeur, le Dr Giles Fletcher, à la demande du régent Boris Godounov qu'il convaincre le Tsar à reconsidérer. Les négociations ont échoué, en raison de Fletcher adressage Feodor avec deux de ses titres omis. Elizabeth a continué de faire appel à Feodor dans la moitié des lettres attrayants, la moitié de reproche. Elle a proposé une alliance, quelque chose dont elle avait refusé de le faire lorsqu'il est offert un par le père de Fédor, mais a été rejetée.

Etats barbaresques, Empire ottoman

Abd el-Ouahed ben Messaoud,ambassadeur maure de laBarbarie à la Cour de la reine Elizabeth I en 1600.

Les relations commerciales et diplomatiques développées entre l'Angleterre et les États barbaresques pendant le règne d'Elizabeth. Angleterre a établi une relation de négociation avec Maroc en opposition à l'Espagne, la vente de l'armure, des munitions, le bois et le métal en échange de sucre marocaine, en dépit d'une papale interdiction. En 1600, Abd el-Ouahed ben Messaoud, le secrétaire principal de la règle marocain Moulay Ahmed al-Mansur, a visité l'Angleterre comme un ambassadeur à la cour de la reine Elizabeth I, en vue de négocier une alliance anglo-marocaine contre l'Espagne. Elizabeth "a accepté de vendre des fournitures de munitions au Maroc, et elle et Moulay Ahmed al-Mansur a parlé sur et en dehors sur le montage d'une opération conjointe contre les Espagnols". Discussions toutefois restés peu concluants, et les deux dirigeants sont morts dans les deux ans de l'ambassade.

Les relations diplomatiques ont été établis avec l' Empire ottoman avec l'affrètement de la Compagnie du Levant et l'envoi du premier ambassadeur anglais à la Porte, William Harborne, en 1578. Pour la première fois, un traité de commerce a été signé en 1580. De nombreux émissaires ont été expédiés dans les deux sens et des échanges ont eu lieu entre Epistolar Elizabeth et le sultan Murad III. Dans une correspondance, Murad divertir l'idée que l'islam et le protestantisme avaient «beaucoup plus en commun que ce soit fait avec le catholicisme romain, à la fois rejeté le culte des idoles", et plaidé pour une alliance entre l'Angleterre et l'Empire ottoman. À la consternation de l'Europe catholique, l'Angleterre a exporté étain et de plomb (pour canon coulée) et de munitions à l'Empire ottoman, et Elizabeth sérieusement discuté des opérations militaires conjointes avec Murad III pendant le déclenchement de la guerre avec l'Espagne en 1585, comme Francis Walsingham a fait du lobbying pour un engagement militaire ottomane directe contre l'ennemi espagnol commun.

Ans plus tard

Portrait d'Elizabeth I attribué à Marcus Gheeraerts le Jeune ou son studio, ca. 1595.

La période après la défaite de l'Armada espagnole en 1588 a apporté de nouvelles difficultés pour Elizabeth qui a duré quinze ans jusqu'à la fin de son règne. Les conflits avec l'Espagne et l'Irlande ont traîné, la charge fiscale a augmenté plus lourd, et l'économie a été frappée par de mauvaises récoltes et le coût de la guerre. Les prix ont augmenté et le niveau de vie a chuté. Pendant ce temps, la répression des catholiques intensifiée, et Elizabeth autorisé commissions en 1591 pour interroger et surveiller les ménages catholiques. Pour maintenir l'illusion de la paix et de la prospérité, elle de plus en plus fondé sur des espions internes et de la propagande. Dans ses dernières années, la critique de montage reflète une baisse de l'affection du public pour elle.

Une des causes de ce "second règne" d'Elizabeth, comme il est parfois appelé, était le caractère différent de l'instance dirigeante d'Elizabeth, le Conseil privé dans les années 1590. Une nouvelle génération était au pouvoir. A l'exception de Lord Burghley, les politiciens les plus importants étaient morts vers 1590: Le comte de Leicester en 1588, Sir Francis Walsingham en 1590, Sir Christopher Hatton en 1591. conflits entre factions dans le gouvernement, qui n'a pas existé dans une forme remarquable avant les années 1590, l'entreprise est devenue sa marque de fabrique. Une rivalité amère entre le comte d'Essex et Robert Cecil, fils de Lord Burghley, et leurs adhérents respectifs, pour les postes les plus puissants de l'état entaché la politique. L'autorité personnelle de la reine était en perte, comme le montre l'affaire du Dr Lopez, son médecin de confiance. Quand il a été accusé à tort par le comte d'Essex de trahison par dépit personnelle, elle ne pouvait pas empêcher son exécution, même si elle avait été en colère à propos de son arrestation et ne semble pas avoir cru en sa culpabilité (1594).

Elizabeth, pendant les dernières années de son règne, est venu à compter sur l'octroi de monopoles comme un système gratuit de favoritisme plutôt que de demander au Parlement davantage de subventions dans un temps de guerre. La pratique a rapidement conduit à la fixation des prix, l'enrichissement des courtisans aux frais du public, et un ressentiment généralisé. Cela a abouti à une agitation à la Chambre des communes pendant la législature de 1601. Dans son célèbre " Discours d'or "du 30 Novembre 1601 Elizabeth professé l'ignorance des abus et a remporté les membres au cours de promesses et de son appel d'habitude aux émotions:

Qui garde leur souverain de la défaillance de l'erreur, dans lequel, par l'ignorance et non par l'intention qu'ils pourraient avoir baissé, quel gré qu'ils méritent, nous le savons, si vous pouvez le deviner. Et comme rien est plus chère pour nous que la conservation d'amour du c??ur de nos sujets, ce qu'est un doute imméritée pourrait nous avons encourus si les personnes qui abusent de notre générosité, les thrallers de notre peuple, les essoreuses des pauvres, avaient pas été nous a dit !

Robert Devereux, 2 e comte d'Essex, parWilliam Segar 1588

Cette même période d'incertitude économique et politique, cependant, produit une floraison littéraire inégalée en Angleterre. Les premiers signes d'un nouveau mouvement littéraire étaient apparus à la fin de la deuxième décennie du règne d'Elisabeth, avec John Lyly Euphues et Edmund Spenser Le Shepheardes Calender en 1578. Pendant les années 1590, quelques-uns des grands noms de la littérature anglaise entré leur maturité, y compris William Shakespeare et Christopher Marlowe. cours de cette période et dans la période qui a suivi jacobin, le théâtre anglais a atteint ses plus hauts sommets. La notion d'une grande époque élisabéthaine dépend en grande partie sur les constructeurs, dramaturges, poètes et musiciens qui étaient actifs pendant le règne d'Elizabeth. Ils devaient peu directement à la reine, qui n'a jamais été un grand mécène des arts.

Comme Elizabeth âgés son image a changé progressivement. Elle a été dépeint comme Belphoebe ou Astrée, et après l'Armada, comme Gloriana, l'éternellement jeune Reine des fées du poème de Edmund Spenser. Ses portraits peints sont devenus moins réaliste et plus un ensemble de énigmatiques icônes qui la faisait paraître beaucoup plus jeune qu'elle. En fait, sa peau avait été marqué par la variole en 1562, laissant sa moitié chauve et dépend de perruques et cosmétiques. Sir Walter Raleigh a appelée «une dame qui le temps avait surpris". Cependant, la beauté de la plus Elizabeth fanée, plus ses courtisans fait l'éloge.

Elizabeth était heureux de jouer la partie, mais il est possible que dans la dernière décennie de sa vie, elle a commencé à croire à sa propre performance. Elle prit en affection et indulgent de la charmante mais pétulante jeune Robert Devereux, comte d'Essex, qui était le beau-fils de Leicester et a pris des libertés avec elle pour qu'elle lui a pardonné. Elle l'a nommé à plusieurs reprises pour des postes militaires, malgré son record de croissance de l'irresponsabilité. Après l'abandon de Essex de son commandement en Irlande en 1599, Elizabeth l'avait placé en résidence surveillée et l'année suivante l'a privé de ses monopoles. En Février 1601, le comte a essayé de lever une rébellion à Londres. Il avait l'intention de saisir la reine, mais quelques-uns se sont ralliés à son soutien, et il a été décapité le 25 Février. Elizabeth savait que ses propres erreurs de jugement sont en partie à blâmer pour cette tournure des événements. Un observateur a rapporté en 1602 que «Son plaisir est de s'asseoir dans l'obscurité, et parfois avec des larmes pour pleurer Essex".

Mort

Elizabeth I. Le "Portrait Rainbow", c. 1600, une représentation allégorique de la Reine, devenir intemporel dans sa vieillesse

Conseiller principal d'Elizabeth, Burghley, est décédé le 4 Août 1598. Son manteau politique passa à son fils, Robert Cecil, qui est rapidement devenu le chef du gouvernement. Une tâche qu'il adressa était de préparer la voie à une succession en douceur. Depuis Elizabeth ne serait jamais le nom de son successeur, Cecil a été obligé de procéder en secret. Il entra donc dans une négociation codé avec Jacques VI d'Écosse , qui avait une demande forte mais méconnue. Cecil entraîneur de l'impatience à l'humour James Elizabeth et "sécuriser le coeur de la plus haute, à dont le sexe et rien de la qualité est si mauvaise que soit remontrances inutiles ou plus beaucoup de curiosité dans ses propres actions". Le conseil a travaillé. Le ton de James ravi Elizabeth, qui a répondu: "Alors je confiance que vous ne serez pas douter que vos dernières lettres sont tellement acceptable pris comme mes remerciements ne peuvent pas faire défaut pour la même, mais les céder à vous en sorte reconnaissants". De l'avis de l'historien JE Neale, Elizabeth peut ne pas avoir déclaré lui souhaite ouvertement à James, mais elle fait connaître avec "indubitable si les phrases voilée".

La santé de la reine est restée juste jusqu'à l'automne de 1602, quand une série de décès parmi ses amis l'a plongé dans une grave dépression. En Février 1603, la mort de Catherine Howard, comtesse de Nottingham, la nièce de son cousin et ami proche Catherine, Lady Knollys, est venu comme un coup particulier. En Mars, Elizabeth est tombé malade et est resté dans un «réglé et inamovible mélancolie». Elle est morte le 24 Mars 1603 au Palais Richmond, entre deux et trois heures du matin. Quelques heures plus tard, Cecil et le conseil établissent leurs plans en mouvement et proclamé Jacques VI d'Écosse en tant que roi d'Angleterre.

Le cercueil de Elizabeth a été réalisée en aval dans la nuit à Whitehall, sur une péniche éclairé par des torches. À ses funérailles, le 28 Avril, le cercueil a été transporté à l'abbaye de Westminster sur un corbillard tiré par quatre chevaux accroché de velours noir. Dans les mots du chroniqueur John Stow:

Westminster a été surchargé avec des multitudes de toutes sortes de gens dans leurs rues, les maisons, les fenêtres, les pistes et les caniveaux, qui est sorti pour voir leobsequy, et quand ils virent sa statue couchée sur le cercueil, il y avait un tel soupirant générale, gémissant et pleurant comme l'a pas été vu ou connu dans la mémoire de l'homme.

Funérailles le cortège d'Elizabeth, 1603, avec des bannières de ses ancêtres royaux

Elizabeth a été enterré dans l'abbaye de Westminster dans un tombeau qu'elle partage avec sa demi-s??ur, Mary. L'inscription latine sur leur tombe, «Regno Consortes & urna, hic obdormimus ELIZABETHA et Maria sorores, in spe resurrectionis", se traduit par «Consorts en royaume et tombe, ici nous dormons, Elizabeth and Mary, s??urs, dans l'espérance de la résurrection".

Legacy et mémoire

Elizabeth a été déploré par beaucoup de ses sujets, mais d'autres ont été soulagés à sa mort. Attentes de King James ont commencé élevé, mais a ensuite diminué, de sorte que par les années 1620, il y avait un renouveau nostalgique du culte de Elizabeth. Elizabeth a été salué comme une héroïne de la cause protestante et le dirigeant d'un âge d'or. James a été dépeint comme un sympathisant catholique, qui préside une cour corrompue. L'image triomphaliste que Elizabeth avait cultivé vers la fin de son règne, sur fond de querelles intestines et militaire et des difficultés économiques, a été prise à leur valeur nominale et sa réputation gonflé. Godfrey Goodman, évêque de Gloucester, a rappelé: "Quand nous avons eu l'expérience de un gouvernement écossais, la reine ne semblait faire revivre. Puis sa mémoire était beaucoup agrandie ". Le règne d'Elisabeth est devenu idéalisé comme un moment où la couronne, l'église et le parlement avaient travaillé dans l'équilibre constitutionnel.

Elizabeth I, peint après 1620, pendant la première regain d'intérêt pour son règne. Temps dort sur ??????son droit et de la mort ressemble-dessus son épaule gauche; deux putti détiennent la couronne au-dessus de sa tête.

L'image d'Elizabeth peinte par ses admirateurs protestantes du début du 17e siècle a prouvé durable et influente. Sa mémoire a également été relancé pendant les guerres napoléoniennes , lorsque la nation se trouve à nouveau au bord de l'invasion. Dans le ère victorienne, la légende élisabéthaine a été adaptée à l'idéologie impériale de la journée, et dans le milieu du 20e siècle, Elizabeth était un romantique symbole de la résistance nationale à la menace étrangère. Les historiens de cette période, comme JE Neale (1934) et AL Rowse (1950), interprétés règne d'Elisabeth comme un âge d'or de progrès. Neale et Rowse aussi idéalisés la reine personnellement: elle le faisait toujours tout droit; ses traits les plus désagréables ont été ignorés ou expliqués comme des signes de stress.

Historiens récentes, cependant, ont adopté une vue plus compliqué d'Elizabeth. Son règne est célèbre pour la défaite de l'Armada, et pour les raids réussis contre les Espagnols, comme celles sur Cadix en 1587 et 1596, mais certains historiens pointer vers échecs militaires sur terre et en mer. En Irlande, les forces de Elizabeth a finalement prévalu, mais leurs tactiques colorent son record. Plutôt que comme un brave défenseur des nations protestantes contre l'Espagne et les Habsbourg, elle est le plus souvent considérée comme prudente dans ses politiques étrangères. Elle a offert une aide très limitée aux protestants étrangers et a omis de fournir ses commandants avec les fonds de faire une différence à l'étranger.

Elizabeth a créé une église anglaise qui a contribué à façonner une identité nationale et reste en place aujourd'hui. Ceux qui l'ont loué plus tard comme une héroïne protestante négligé son refus d'abandonner toutes les pratiques d'origine catholique de l'Église d'Angleterre. Les historiens notent que dans sa journée, protestants strictes considéré les actes de règlement et l'uniformité de 1559 comme un compromis. En fait, Elizabeth croyait que la foi était personnelle et ne souhaitent pas, comme Francis Bacon a dit, à "faire des fenêtres dans les c??urs et les pensées secrètes".

Bien que Elizabeth a suivi une politique étrangère largement défensive, son règne a soulevé le statut de l'Angleterre à l'étranger. "Elle est seulement une femme, seule maîtresse d'un demi-île," émerveillé pape Sixte V, "et pourtant elle se fait craindre par l'Espagne, la France, par l'Empire , par tous ". Sous Elizabeth, la nation a gagné une nouvelle confiance en soi et le sens de la souveraineté, que la chrétienté fragmenté. Elizabeth a été le premier à reconnaître que Tudor un monarque gouverné par consentement populaire. Par conséquent, elle a toujours travaillé avec le Parlement et les conseillers qu'elle pouvait faire confiance pour lui dire la vérité-style de gouvernement que ses successeurs Stuart échoué à suivre. Certains historiens ont appelé son chanceux; elle croyait que Dieu la protégeait. Se targuant d'être "simple Anglais", Elizabeth confiance en Dieu, des conseils honnêtes, et l'amour de ses sujets pour le succès de son règne. Dans une prière, elle a offert grâce à Dieu que:

[À une époque] où les guerres et séditions avec des persécutions graves ont contrarié presque tous les rois et les pays autour de moi, mon règne a été peacable, et mon royaume un réceptacle à affligés ton Eglise. L'amour de mon peuple, a été manifestée ferme, et les dispositifs de mes ennemis frustrer.

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