Parti socialiste européen
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Parti socialiste européen | |
Logo officiel |
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Présentation | |
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Président | Sergueï Stanichev |
Fondation | 1953 : groupe 1973 : confédération 9- : parti |
Siège | Rue du Trône Bruxelles, Belgique |
Branche jeunesse | ECOSY |
Branche femmes | PSE Femmes |
Position politique | Centre gauche |
Groupe parlementaire européen | Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen |
Idéologie | Social-démocratie, europhilie |
Affiliation internationale | Internationale socialiste Alliance progressiste |
Couleurs | Rouge |
Site web | http://www.pes.eu/home_fr |
Présidents de groupe | |
Parlement européen | Hannes Swoboda |
Représentation | |
Députés européens | 191 / 754 |
Conseil européen (chefs d'états ou de gouvernements) |
8 / 28 |
Chambres hautes nationales | 592 / 2 273 |
Chambres basses nationales | 1 725 / 7 124 |
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Le Parti socialiste européen (PSE) est un parti politique européen regroupant les partis socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes d'Europe. Son groupe politique est le deuxième en taille au Parlement européen après les élections de 2004 et de 2009 (188 députés en septembre 2012). Il s'est partagé le pouvoir au Parlement européen avec le groupe PPE-DE (Parti populaire européen et Démocrates européens) comme l'illustre le partage de la présidence du Parlement européen. Issu de la gauche gouvernementale réformiste, ses alliés traditionnels sont les Verts européens. Selon la tradition européenne, il peut participer à des majorités de circonstance avec des partis du centre ou de droite. Il demeure cependant distant vis-à-vis des communistes et ex-communistes de la Gauche européenne. Le PSE est lié à l'Internationale socialiste.
La social-démocratie européenne
Le PSE en Europe
En 2004, le Congrès du PSE élit Poul Nyrup Rasmussen président du PSE. En novembre 2011, il annonce qu'il se retirait de sa fonction pour raisons de santé. C'est Sergueï Stanichev qui a assuré la présidence par intérim. Lors du 9e congrès du PSE, les 28-29 septembre, Sergei Stanishev fut élu président du parti.
Les membres du PSE se retrouvent dans les principales institutions de l'Union européenne : au Parlement européen, à la Commission européenne, au Conseil de l'Union européenne, au Conseil européen et au Comité des Régions.
Le PSE est une organisation associée de l'Internationale socialiste. Il compte à ses côtés une organisation de jeunesse (ECOSY) ainsi qu'une organisation pour les femmes (PSE Femmes). Il a contribué également au lancement du Forum progressiste mondial.
Le PSE regroupe 56 partis, dont certains situés dans des États non-membres de l'Union européenne, tels que Cyprus en Turquie ou le Meretz en Israël[1].
Le Congrès 2012 du PSE à Bruxelles
Le dernier Congrès du PSE s'est tenu à Bruxelles les 28 et 29 septembre 2012. À cette occasion, une nouvelle équipe dirigeante[2] a été élue et une résolution[3] promettant un retour aux valeurs progressistes qui sont au cœur du projet européen a été adoptée. Le Congrès a également annoncé le début des préparatifs en vue des élections européennes de 2014, indiquant que le moment était venu de mettre en œuvre les plans du PSE pour la désignation d'un candidat commun[4].
Programme
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Suite aux élections de 2004, le Parti socialiste européen s'est réuni les vendredi et samedi, 26 et 27 novembre 2004 à Madrid pour rédiger un programme : « Développer l'Europe ».
- objectifs 2007
- accroître les investissements publics, de 2004 à 2007 de 0,3 % du PIB européen ;
- harmoniser la base fiscale sur les sociétés.
- objectifs 2013
- une représentation unique de la zone euro dans les institutions internationales ;
- doubler le budget européen de la recherche ;
- augmenter le nombre d'étudiants bénéficiant du programme Erasmus de 120 000 à 390 000 ;
- futur industriel de l'Europe pour 2007-2013 ;
- budget de solidarité avec les régions les plus pauvres à 0,46 % du PIB ;
- réviser la directive sur le temps de travail ;
- adopter une directive sur les services publics (égalité d'accès, qualité, financement) ;
- aides agricoles dépendantes du respect des normes environnementales ;
- faire passer de 6 % à 12 % la part des énergies renouvelables d'ici à 2010.
- objectifs 2017
- prendre en compte la pollution des transports et du bâtiment dans le protocole de Kyoto ;
- lancer un programme de grandes infrastructures ;
- créer un corps de gardes-frontières européens ;
- faire adhérer l'Union à la Convention européenne des droits de l'homme ;
- protéger les données individuelles dans le cadre de la lutte contre le terrorisme.
Le mouvement socialiste en Europe
Depuis le milieu du XIXe siècle il existe des partis socialistes, sociaux-démocrates ou travaillistes en Europe. Ils ont toujours eu des liens entre eux. C'est ainsi qu'il y a plus de cent ans, en août 1904, le congrès de l’Internationale socialiste (essentiellement européenne) réuni à La Haye est la première étape de l'unité des socialistes français, réalisée l’année suivante.
Lorsque certains pays ont été sous le joug de régimes totalitaires, les relations nouées entre les différents pays ont permis à la solidarité entre socialistes de fonctionner. C’est ainsi que la gauche française aide, clandestinement les socialistes espagnols pendant la guerre civile, que les Suédois accueillent les sociaux-démocrates allemands ou autrichiens qui luttent contre le nazisme ou qu’à nouveau la France sert de base à la reconstruction de la gauche espagnole, portugaise ou grecque pendant les années 1960 et 70.
Les sociaux-démocrates perçoivent l’Europe comme autre chose qu’un vaste marché sans règles. Depuis toujours, la tradition ouvrière et internationaliste de la social-démocratie a conduit la gauche européenne à mettre en pratique une forme de gouvernement qui a dominé toute l’Europe pendant plus d’un demi-siècle. C’est l’État-providence.
Ce qui caractérise la gauche européenne, c’est sa diversité. En Grande-Bretagne, les syndicats ouvriers ont construit un parti pour les représenter, c'est le travaillisme. En Allemagne ou dans les pays scandinaves, les partis sociaux-démocrates ont créé tout un ensemble de structures pour défendre les droits des travailleurs dans toute la société. En France et dans les pays méditerranéens, les partis socialistes et les syndicats n'ont quant à eux pas de liens organiques.
En Europe de l'Est, les partis actuels sont soit les héritiers d’anciens partis sociaux-démocrates d’avant la Seconde Guerre mondiale, soit les successeurs des partis staliniens de l’ère soviétique. En réalité, la tradition démocratique que l’on a vu s’exprimer à Berlin et en Pologne, en Hongrie ou en Tchécoslovaquie entre 1948 et 1981 venait elle-même d’un mouvement ouvrier dynamique depuis la deuxième moitié du XIXe siècle. Souvent dans les pays de l'est, les mouvements socialistes et sociaux-démocrates sont clairement séparés. Alors que les formations socialistes traditionnelles ont, après la Seconde guerre mondiale, fusionné avec les partis communistes, les partis sociaux-démocrates se sont maintenus dans la clandestinité, et certains d'entre eux en exil se sont regroupés au sein de l'Union socialiste d’Europe centrale et orientale. Cet éclatement de la gauche modérée va plus loin lorsqu'existent dans certains pays comme la Hongrie des formations dites « libérales de gauche » (SzDSz).
Partis affiliés au Parti socialiste européen[5]
Partis membres
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Partis associés
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Partis observateurs
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Historique
Dénomination du PSE dans les langues européennes | |
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Allemand | Sozialdemokratische Partei Europas (SPE) |
Anglais | The Party of European Socialists (PES) |
Bulgare | Партия на Европейските Социалисти (ПЕС) |
Danois | De Europæiske Socialdemokraters Parti (ESP) |
Espagnol | Partido Socialista Europeo (PSE) |
Estonien | Euroopa Sotsialistlik Partei (ESP) |
Finnois | Euroopan sosialidemokraattinen puolue (ESP) |
Français | Parti Socialiste Européen (PSE) |
Grec | Ευρωπαϊκό Σοσιαλιστικό Κόμμα (EΣK) |
Hongrois | Európai Szocialisták Pártja (ESzP) |
Italien | Partito Socialista Europeo (PSE) |
Letton | Eiropas Sociāldemokrātiskā partija (ESP) |
Lituanien | Europos socialistų partija (ESP) |
Luxembourgeois | Europäesch sozialistesch partei (ESP) |
Maltais | Il-Partit tas-Socjalisti Ewropej (PSE) |
Néerlandais | Partij van Europese Sociaal-democraten (PES) |
Polonais | Partia Europejskich Socjalistów (PES) |
Portugais | Partido Socialista Europeu (PSE) |
Slovaque | Strana európskych socialistov (SEP) |
Slovène | Stranke evropskih socialdemokratov (SEP) |
Suédois | Europeiska Socialisters Parti (ESP) |
Tchèque | Evropských sociálních demokratů (ESD) |
1957-1992 : La Confédération des partis socialistes de la Communauté européenne
Ancêtre du PSE, la confédération eut comme premier président l’Allemand Wilhelm Dröscher. La France y a un statut de poids lourd. Dès sa fondation, la confédération travaille à l’élaboration d’un programme commun qui servit de base aux engagements des socialistes européens pour les élections de 1979. C’est Michel Rocard qui est chargé d’en rédiger la partie consacrée à la politique économique. En 1978, Robert Pontillon devient président de la CPSCE.
En mai 1979, Paris accueille le Printemps des socialistes européens qui rassemblent deux cents candidats et vingt mille personnes. François Mitterrand et Willy Brandt militent à ce moment pour un parti capable de transcender les clivages partis nationaux, avec un vrai pouvoir d’impulsion. L’année suivante, le mot d’ordre pour le travail des socialistes, c’est « les socialistes contre la droite », pour lutter contre les partis qui recyclent les survivants des dictatures qui viennent de s’effondrer en Grèce, au Portugal ou en Espagne et contre la montée des droites dures en France, en Allemagne, dans les pays scandinaves ou en Grande-Bretagne.
Au début des années 1980, les socialistes européens luttent contre le thatchérisme qui se pratique en Grande-Bretagne et qui influence quelques autres pays. Mais plus le temps passe et plus l’inadaptation d’une structure qui n’est qu’un cadre de coordination se fait sentir. La victoire de la gauche aux élections européennes fit du groupe socialiste, le premier groupe au Parlement européen.
En 1989-1990, l’Histoire s’accélère et les socialistes entendent être à la hauteur des événements. La chute du Mur de Berlin, la réunification de l’Allemagne, la désagrégation du bloc soviétique, qui entraîne la disparition des régimes staliniens en Europe centrale et orientale conduisent la social-démocratie à penser plus loin. Le renforcement d’une Europe qui n’est encore qu’économique devient prioritaire.
1992-1997 : Du Parti des socialistes européens au Parti socialiste européen
En 1992, la signature du traité de Maastricht fait entrer l’Europe politique dans une nouvelle phase qui rend indispensable la transformation de la CPSCE. Le nouveau traité prévoit la constitution de partis européens pour les élections. Le congrès des 9 et 10 novembre de la même année, qui se tient à La Haye, donne naissance, après neuf mois de négociations au Parti des socialistes européens. Le nouveau parti accueille en plus des membres de l’ancienne confédération, les partis suédois, finlandais et le PDS italien. Le premier président du PSE est le Belge Willy Claes. Le nouveau parti adopte la parité dans ses instances et les partis observateurs y ont plus de droits.
Les élections européennes de 1994 confirmèrent la place du PSE comme premier parti au Parlement européen. Claes quitte bientôt la présidence du PSE, laissant la place à l’Allemand Rudolf Scharping en 1995. Puis le britannique Robin Cook a succédé à Rudolf Scharping en 2001 à la tête du PSE qui est désormais dénommé Parti socialiste européen.
Les buts que le PSE s’est fixés sont :
- le renforcement du mouvement socialiste et social-démocrate dans l’Union européenne et dans le reste de l’Europe ;
- Le développement d’étroites relations entre les partis nationaux membres, leurs groupes parlementaires, le groupe PSE au Parlement européen et le PSE lui-même ;
- L'élaboration de politiques communes pour l’Union européenne et, enfin, l’adoption d’un manifeste commun lors des élections au Parlement européen.
Depuis 1997 : conflits et perspectives
Les socialistes européens sont pourtant plus que jamais divisés depuis la fin des années 1990. Le débat structurant sur l'orientation de la social-démocratie européenne se cristallise rapidement sur les personnalités de Tony Blair et de Lionel Jospin. L'un défend avec Gerhard Schröder l'ouverture vers une « troisième voie-un nouveau centre » (The third way, Der Neue Mittel) et l'autre lutte pour le maintien de la ligne classique, celle qui défend un rôle de l'État et des services publics et le concept de l'Europe politique et sociale. La division est apparue en plein jour à l'occasion des élections européennes 1999, quand malgré l'adoption d'un programme commun du PSE, les leaders anglais et allemand ont publié quelques semaines avant le scrutin un programme prônant un "Nouveau centre". Tandis que les socialistes français séduisent les partis du sud, ainsi que les socialistes belges, grecs ou italiens, le Labour et le SPD trouvent des émules du côté des nouvelles formations socialistes issues de l'ex-bloc communiste. Lors du congrès de Bruxelles de 2004, pour la première fois, il y eut deux candidats. Le Danois Poul Nyrup Rasmussen est le candidat tacite des Français qui souhaitent un véritable parti européen qui soit l'avant-garde d'une plus grande intégration européenne. L'Italien Giuliano Amato est le candidat « officiel » soutenu par le président sortant Robin Cook et les principales formations comme le Labour ou le SPD. Poul Nyrup Rasmussen est finalement élu avec quelques voix d'avance notamment grâce à l'intégration du vote personnel au sein des délégations au Congrès.
En décembre 2009, faisant le constat de l'échec aux élections européennes, le PSE, lors de son congrès à Prague, adopte comme résolution de nommer avant les élections européennes de 2014 un candidat pour le poste de président de la Commission européenne[7]. Une campagne est actuellement en cours au sein du PSE pour que ce candidat soit désigné par un processus de primaires[8].
Le PSE compte aujourd’hui trente-deux partis membres, issus des vingt-sept pays de l'Union européenne, ainsi que de Norvège. S'y ajoutent six partis associés et sept partis observateurs. Malgré la reprise récente du leadership par Tony Blair sur la social-démocratie européenne, celle-ci semble encore divisée sur les stratégies à suivre vers la construction européenne. Unis dans la défense du « oui » au traité constitutionnel européen, la victoire du « non » en France et aux Pays-Bas a renforcé les courants euro-sceptiques ou plus à gauche. Le fossé entre les tenants d'un « socialisme au centre », qui accepte et accompagne le libéralisme économique (social-libéralisme), et les tenants d'un socialisme à gauche, qui maintient sa volonté de dépasser le capitalisme ne cesse de s'élargir. En Allemagne, un des leaders historiques du SPD Oskar Lafontaine a ainsi quitté son parti pour tenter un rassembler à gauche entre le WASG et le PDS néo-communiste, et a finalement fondé un nouveau parti, Die Linke, qui rejoint le PGE et le groupe Gauche unitaire européenne/Gauche verte nordique.
Fonctionnement du parti socialiste européen
Le Congrès du PSE se réunit deux fois tous les cinq ans et décide de l'orientation politique du PSE. Il élit un président et un/plusieurs vice-présidents, qui dirigent et représentent le PSE au quotidien. La Présidence, élue lors du Congrès, est l'instance la plus haute du PSE dans la gestion des affaires courantes du PSE.
ECOSY et le PSE Femmes sont respectivement l'organisation de jeunesse et l'organisation des femmes du PSE. Il faut aussi compter sur le réseau Rainbow Rose qui regroupe les personnes LGBT.
Les années sans congrès, le PSE organise un Conseil, qui contribue à définir la politique du PSE. Le dernier en date est le Conseil de Varsovie, qui s'est déroulé du 2 au 4 décembre 2010.
Historique des conseils du PSE : Conseil de Varsovie, 2-4 décembre 2010 « Conseil de Madrid » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-30, 1-2 décembre 2008 « Conseil de Sofia » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-30, 22-23 novembre 2007 « Conseil de Vienne » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-30, 24-25 juin 2005 Conseil de Varsovie, 15 novembre 2002
La conférence des leaders du PSE rassemble les premiers ministres et leaders des partis membres du PSE, trois à quatre fois par an. Ceux-ci définissent alors une stratégie et adoptent des résolutions communes.
Le secrétaire général convoque également le Groupe de coordination pour discuter de la planification, de la préparation, du suivi et du financement des activités du PSE. Le « secrétariat du PSE » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-30, basé à Bruxelles, garantit le fonctionnement quotidien du PSE. Le secrétaire général du PSE est Achim Post.
Présidents du Parti socialiste européen et de ses prédécesseurs[9]
- D' à : Wilhelm Dröscher (Parti social-démocrate d'Allemagne)
- De janvier 1979 à : Robert Pontillon (Parti socialiste)
- De mars 1980 à : Joop den Uyl (Parti travailliste)
- De mai 1987 à : Vítor Constâncio (Parti socialiste)
- De février 1989 à : Guy Spitaels (Parti socialiste)
- De à : Willy Claes (Socialistische Partij Anders)
- De à : Rudolf Scharping (Parti social-démocrate d'Allemagne)
- De à : Robin Cook (Parti travailliste)
- Du au : Poul Nyrup Rasmussen (Socialdemokraterne)
- Depuis le : Sergueï Stanichev (Parti socialiste bulgare)
Leaders socialistes européens
Les membres des instances européennes
Au parlement européen
- Martin Schulz, président du Parlement européen depuis 2012
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À la Commission européenne
- Frans Timmermans : vice-président, chargé de l'Amélioration de la législation, des Relations inter-institutionnelles, des Règles de droit, de la Charte des droits fondamentaux et du Développement durable
- Federica Mogherini : vice-présidente, Haut Représentant pour les affaires étrangères et la politique de sécurité
- Maroš Šefčovič : vice-président, chargé de l'Union énergétique
- Neven Mimica : commissaire à la coopération internationale et au développement
- Karmenu Vella : commissaire à l'environnement, aux affaires maritimes et à la pêche
- Vytenis Andriukaitis : commissaire à la santé et sécurité alimentaire
- Pierre Moscovici : commissaire aux affaires économiques et financières, à la fiscalité et Union douanière
- Corina Crețu : commissaire à la politique régionale
Dirigeants nationaux actuels
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En Allemagne, en Bosnie-Herzégovine, en Estonie, en Irlande, au Luxembourg, en Moldavie, aux Pays-Bas, en Slovénie, et en Suisse, des partis membres, associés ou observateurs du Parti socialiste européen participent ou soutiennent des coalitions de gouvernement sans en avoir la direction.
Quelques leaders historiques
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Références
- ↑ http://www.pes.eu/your_party_fr
- ↑ Le président du PSE fraîchement élu présente sa nouvelle équipe, 29 septembre 2012
- ↑ Résolution " Ensemble pour l’Europe que nous voulons
- ↑ Résolution du PSE, 24 November 2011, Choisir notre candidat commun en 2014
- ↑ http://www.pes.org/fr/au-sujet-du-pse/membres-du-pse/partis
- ↑ (en)http://www.pes.eu/fr/news/italian-partito-democratico-officially-welcomed-pes-family Italian Partito Democratico Officially Welcomed into the PES Family], communiqué de presse du PSE, 28 février 2014.
- ↑ (en) PSE, « A New Direction for Progressive Societies. Resolution N. 2 A new way forward. Adopted by the 8th PES Congress », PES, (consulté le 17 octobre 2010)
- ↑ (en) Leigh Phillips, « Socialists want US-style primaries for commission president candidate », EU Observer, (consulté le 17 octobre 2010)
- ↑ « http://www.pes.org/fr/content/anciens-présidents-du-pse » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2013-03-30
- ↑ Députée indépendante, non membre du PSE.
- ↑ Coprésidente avec Míltos Kýrkos (La Rivière), non membre du PSE.
Compléments
Article connexe
- ECOSY
- Internationale socialiste
- Alliance progressiste des socialistes et des démocrates au Parlement européen
Liens externes
- Parti socialiste européen
- Alliance progressiste des socialistes et des démocrates au Parlement européen
- Groupe PSE au Comité des Régions
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