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Julian Huxley

Julian Huxley

Page d'aide sur les redirections Cet article concerne le biologiste britannique. Pour le joueur de rugby à XV australien, voir Julian Huxley (rugby à XV).
Julian Huxley

Sir Julian Huxley en 1922.

Naissance
 +
Londres +
Décès
Nationalité
Formation
Balliol College
Collège d'Eton +
Activités
biologiste de l'évolution, éthologue, écrivain +
A travaillé pour
université Rice +
Membre de
Royal Society, Académie hongroise des sciences +
Arme
Armée de terre britannique +
Père
Leonard Huxley (en) +
Frères
Andrew Huxley, Aldous Huxley +
Distinctions
membre de la Royal Society (d)
Humanist of the Year (d)
Prix Kalinga ()
Médaille Darwin ()
Médaille Darwin-Wallace () +

Sir Julian Sorell Huxley () est un biologiste britannique, théoricien de l'eugénisme, auteur et internationaliste, connu pour ses livres de vulgarisation sur la science. Il a été le premier directeur de l'UNESCO et a fondé le WWF.

Huxley est issu d'une famille plusieurs fois distinguée. Son frère est l'écrivain Aldous Huxley (1894-1963) et son demi-frère, Andrew Huxley (1917-2012), un biologiste lauréat du prix Nobel. Son père Leonard Huxley (1860-1933) était écrivain et éditeur, et son grand-père, Thomas Henry Huxley (1825-1895), un biologiste connu pour être un collègue et partisan de Charles Darwin (1809-1882). Son grand-père maternel était l'universitaire Tom Arnold (1823-1900) et son arrière-grand-père Thomas Arnold (1795-1842), directeur de la prestigieuse Rugby School.

Enfance

Thomas Henry et Julian Huxley en 1895.
Arbre généalogique

Huxley est né le 22 juin 1887 dans la maison londonienne de sa tante, la romancière Mary Augusta Ward (1851-1920), pendant que son père assistait aux célébrations du jubilé de la Reine Victoria. Il grandit dans la maison familiale située dans le Surrey où il montre un intérêt précoce pour la nature, aidé en cela par les leçons que lui donne son grand-père. À l'âge de treize ans, Huxley entre au Collège d'Eton, où il continue à développer son goût pour la science, et cela dans les laboratoires même de l'école que son grand-père avait incité à construire plusieurs décennies auparavant. À Eton, il s'intéresse à l'ornithologie et en 1905 il obtient une bourse d'étude en zoologie au Balliol College de l'Université d'Oxford.

Vie universitaire

En 1906, après un été passé en Allemagne, Huxley s'installe à Oxford où il développe un intérêt particulier pour l'embryologie et pour l'étude des protozoaires. Durant l'automne de sa dernière année universitaire, en 1908, sa mère meurt d'un cancer. En 1909 il est diplômé avec mention et se voit offrir une bourse d'étude. Il passe un an à la station de biologie marine de Naples où il s'intéresse à l'embryologie et au développement, par la recherche sur les tunicates et les oursins. En 1910, il décroche un poste d'enseignant à Oxford mais en 1912 il se voit sollicité par Edgar Odell Lovett (1871-1957) pour la toute nouvelle chaire de biologie de l'université Rice, à Houston au Texas. Huxley accepte cette proposition et prend son poste l'année suivante.

Avant de s'installer à l'université Rice, Huxley passe un an en Allemagne afin de se préparer à sa nouvelle fonction. Alors qu'il travaille dans un laboratoire quelques mois avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Huxley entend de la part de ses collègues une réflexion à propos d'un avion passant dans le ciel comme quoi "cela ne prendra pas beaucoup de temps avant que de tels avions passent au-dessus de l'Angleterre", ce qui cimente son idée d'internationalisme. Pendant son séjour en Allemagne, il est victime d'une dépression nerveuse et retourne au Royaume-Uni où il séjourne quelque temps dans une maison de repos. Au même moment, son frère Trev, de deux ans plus jeune, est lui aussi victime de dépression et se pend.

Julian commence à fréquenter, en 1916, Marie Juliette Baillod, née en 1896 à Auvernier, un village près de Neuchâtel (Suisse). Ils échangent une correspondance durant la guerre et se marient en 1919.Lady Huxley est décédée en 1994.

En septembre 1916, Huxley revient du Texas pour participer à l'effort de guerre, travaillant dans les services de renseignements, d'abord au Government Communications Headquarters (GCHQ) et ensuite en Italie du nord. Après la guerre, il se voit offrir un poste d'enseignement au New College d'Oxford qui a perdu nombre d'enseignants et d'étudiants pendant la guerre. Son premier fils naît en 1920, Anthony Julian Huxley (1920-1993), qui deviendra lui aussi un biologiste, suivi de son second fils, trois ans plus tard, Francis Huxley (1923-), qui deviendra lui botaniste et anthropologue. En 1925, Huxley rentre au King's College de Londres comme professeur de zoologie, mais en 1927 il quitte ses fonctions d'enseignement et de recherche pour travailler à plein temps avec H. G. Wells (1866-1946) et son fils G.P. Wells (1901-1985) à l'écriture de The Science of Life (La science de la vie) (voir ci-dessous).

En 1935, Huxley est secrétaire de la Zoological Society de Londres, et passe la plupart des sept années suivantes à administrer cette société, son parc zoologique, le zoo de Londres et le parc d'animaux sauvages de Whipsnade. Il poursuit en même temps ses recherches en zoologie. En 1941, il est invité aux États-Unis pour quelques sessions de cours, et génère une controverse en déclarant que les États-Unis devraient rejoindre la Seconde Guerre mondiale quelques semaines seulement avant l'attaque de Pearl Harbor. À cause de l'entrée en guerre de ce pays, sa période de sessions d'enseignement est prolongée et la Zoological Society s'en sert comme prétexte pour lui retirer son poste de secrétaire. Huxley saisit cette opportunité pour consacrer la majeure partie du reste de sa vie à populariser la science et à s'impliquer dans la politique.

En plus de ses recherches en zoologie, Huxley participe aux travaux théoriques sur la biologie de l'évolution et fait partie des acteurs majeurs de la synthèse moderne de l'évolution. L'observation des oiseaux pendant sa jeunesse fait que Huxley s'intéresse à l'ornithologie, et durant toute sa vie il aide à la création de procédés pour la surveillance et la préservation des oiseaux. Il écrit également plusieurs articles sur l'éthologie aviaire. Parmi ses centres d'intérêts, on trouve également la médecine et la biologie moléculaire. Il était l'ami et le mentor du biologiste Konrad Lorenz (1903-1989).

Vers la fin de sa vie, Huxley a eu un rôle clé dans la traduction en anglais des travaux du jésuite et scientifique français Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955).

Unesco

Dans les années 1930, Huxley visite le Kenya et d'autres pays d'Afrique de l'Est afin d'observer les efforts de préservation, incluant la création de parcs nationaux, qui se déroulent dans les quelques zones restant inhabitées en raison du paludisme. Plus tard, il est sollicité par le gouvernement britannique afin d'étudier les sites possibles dans les pays du Commonwealth en Afrique de l'Ouest pour la création d'universités. Durant ces différents voyages Huxley développe un intérêt pour l'éducation et la préservation à travers le monde, et s'implique dans la création de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. Il en deviendra d'ailleurs le premier directeur général en 1946.

Humanisme

Un fait moins connu est que Huxley était humaniste, qu'il présida le congrès qui vit la fondation de l'International Humanist and Ethical Union et qu'il participa au comité consultatif pour la fondation de la First Humanist Society de New York aux côtés de John Dewey, Albert Einstein et Thomas Mann.

Eugénisme

Comme de nombreux biologistes de son époque, Huxley était un partisan de l'eugénisme comme moyen d'amélioration de la population humaine.

« Une fois pleinement saisies les conséquences qu'impliquent la biologie évolutionnelle, l'eugénique deviendra inévitablement une partie intégrante de la religion de l'avenir, ou du complexe de sentiments, quel qu'il soit, qui pourra, dans l'avenir, prendre la place de la religion organisée. »[1]

En 1939, il sera un des biologistes à l'origine du Manifeste des généticiens[2] aux côtés de J.B.S Haldane, texte qui prône un eugénisme « de gauche », où l’amélioration des conditions sociales est présentée comme la condition de la réussite et de l’efficacité d’une politique eugéniste sur le long terme. Huxley, comme bien d'autres généticiens, voyait dans l'eugénisme un moyen d'éliminer les variantes indésirables du patrimoine génétique humain dans son ensemble. Ainsi a-t-il pu affirmer :

« La stérilisation volontaire pourrait être utile. Mais notre meilleur espoir, je pense, doit résider dans le perfectionnement de nouvelles méthodes de contrôle des naissances, simples et acceptables, soit avec un contraceptif par voie orale soit, de préférence, avec des méthodes immunologiques impliquant des injections. »

Dans les années d'après-guerre, alors qu'il participe à la fondation de l'UNESCO, il réaffirme son attachement à une politique eugéniste :

« L’inégalité biologique est évidemment le fondement de l’affirmation de tout l’eugénisme. […] L’inégalité de simple différence est désirable, et la préservation de la variété humaine devrait être l’un des deux buts principaux de l’eugénisme. Mais l’inégalité de niveau ou de degré est indésirable, et le deuxième but essentiel de l’eugénisme devrait être l’élévation du niveau moyen de toutes les qualités désirables. »[3]

Suite aux résultats terrifiants résultant de l'abus d'eugénisme, Huxley (1957) invente le terme "transhumanisme" pour décrire le point de vue selon lequel l'homme pourrait s'améliorer grâce à la science et la technologie, notamment avec l'aide de l'eugénisme[4].

La question de la race

Il croyait à l'égalité des races et critiquait fermement les deux extrémismes eugénistes qui ont émergé durant les années 1930 : 1°) le nazisme et son racisme criminel (à l'égard des handicapés, des tsiganes, des Juifs, des homosexuels), qui se traduit par la stérilisation ou l'extermination de tous ; 2°) l'idée selon laquelle la classe ouvrière serait génétiquement inférieure (Kevles 1985 - réf. plus précise).

Huxley était un opposant à l'utilisation de la race comme concept scientifique, et en réponse à la montée du fascisme il écrivit We Europeans (Nous Européens). Ce livre, sur lequel il a collaboré avec l'ethnologue Alfred Cort Haddon (1855-1940), le sociologue Sir Alexander Carr-Saunders (1886-1966) et Charles Singer (1876-1960), suggérait, parmi d'autres choses, que le terme de 'race' pouvait être remplacé par groupe ethnique.

Il écrivit deux livres portant des critiques sur la génétique pratiquée dans l'Union soviétique (qu'il visita deux fois), où prédominait la doctrine de T.D. Lyssenko, une doctrine basée sur le lamarkisme, qui avançait que les caractéristiques acquises pouvaient être héritées. Le lyssenkisme proscrivait la sélection artificielle des semences basée sur les principes de la génétique mendélienne. Huxley craignait qu'un processus similaire de stagnation génétique n'intervienne dans la population humaine, sans l'aide de l'eugénisme que les lyssenkistes rejetaient (notamment à travers les projets eugénistes proposés par Hermann J. Müller à Staline).

À la suite de la deuxième guerre mondiale, il joua un rôle dans la déclaration de l'UNESCO The Race Question (La question de la race) [5], qui soutenait que "Une race, d'un point de vue biologique, pourrait être définie plutôt comme un ensemble de populations constituant l'espèce Homo sapiens" et "À présent, que peut dire le scientifique à propos des groupes humains qui peuvent être reconnus actuellement ? Les races humaines ont été classifiées de manière différente par plusieurs anthropologues, mais aujourd'hui la plupart des anthropologues se mettent d'accord sur une seule classification en trois grandes branches distinctes pour la grande majorité de l'espèce humaine actuelle : la branche mongoloïde, la branche négroïde, et la branche caucasienne."

La déclaration de l'UNESCO aida également à détruire l'idée que le peuple juif représentait une race distincte lorsque celui-ci a défini que "les catholiques, protestants, musulmans et juifs ne sont pas des races...".

Écologie

Les soucis d'internationalisme et de préservation d'Huxley le conduisent à participer, en septembre 1961, à la création du World Wildlife Fund (WWF) (« Fonds mondial pour la vie sauvage »).

Vie publique et vulgarisation de la science

Huxley découvre l'aspect lucratif de la vulgarisation de la science après avoir publié plusieurs articles dans divers journaux. À la fin des années 1920, il s'initie à l'écriture de livres lorsqu'on le sollicite pour collaborer sur deux projets, d'une part un manuel de biologie animale avec son collègue d'Oxford J. B. S. Haldane, et d'autre part un ensemble de neuf volumes de vulgarisation en biologie, The Science of Life (La science de la vie) avec H. G. Wells. On lui doit d'autres publications notables telles que Essays of a Biologist (Essais d'un biologiste) and Evolution: The Modern Synthesis (Évolution : la synthèse moderne).

En 1934, Huxley collabore avec le naturaliste Ronald Mathias Lockley (1903-2000) afin de créer pour Alexander Korda (1893-1956) le premier documentaire d'histoire naturelle au monde, The Private Life of the Gannet (La vie privée du fou de Bassan). Pour ce film, qui a été tourné avec l'aide de la Royal Navy autour de l'île de Grassholm sur la côte du Pembrokeshire, Huxley et Lockley ont reçu l'Oscar du meilleur documentaire.

Plus tard, il accroît sa popularité par le biais d'apparitions télévisuelles et radiophoniques. En 1939, la BBC lui demande d'être l'invité récurrent d'une émission de culture générale, The Brains Trust (le groupe d'experts), pendant laquelle lui et d'autres invités débattent à propos de questions posées par les auditeurs. Cette émission a été mise en place pour maintenir le moral pendant la guerre, afin d'éviter que cette dernière n'occulte les débats et les échanges d'idées. Il est aussi l'invité régulier de l'une des premières émissions de questions-réponses, Animal, Vegetable, Mineral? (Animal, Végétal, Minéral ?), en 1955.

Dans son essai The Crowded World (Le monde surpeuplé), publié dans Evolutionary Humanism (L'humanisme évolutionniste) en 1964, Huxley critique ouvertement les attitudes communiste et catholique de contrôle des naissances, de contrôle des populations et de surpopulation. En se basant sur différents taux d'intérêts comparés, Huxley prédit une population mondiale probable de 6 milliards d'individus en l'an 2000. L'UNFPA, United Nations Population Fund (Fond des Nations-Unies pour les populations) identifie le jour des 6 milliards le .

Huxley a entretenu des liens étroits avec les mouvements rationalistes et humanistes britanniques et il était d'ailleurs membre honoraire de l'association de presse rationaliste de 1927 jusqu'à sa mort. Aussi, il devint le premier président de l'association humaniste britannique lors de sa création en 1963, AJ Ayer lui succédant en 1965. Il était également impliqué dans l'union internationale humaniste et éthique. Beaucoup de livres d'Huxley traitent de l'humanisme.

Sa femme, Juliette Huxley (1896-1994), fait paraître en 1963 le récit de leurs voyages en Afrique, Wild Lives of Africa. Elle publiera son autobiographie en 1986 sous le titre de Leaves of the Tulip Tree.

Récompenses et distinctions

  • 1956 : Médaille Darwin
  • 1958 : Médaille d’argent Darwin-Wallace
  • Membre de la Royal Society, élu le 17 mars 1938[6]
  • Chevalier, 1958[7]

Travaux

  • Essays of a Biologist (Essais d'un biologiste), 1923
  • Animal Biology (Biologie Animale) avec J. B. S. Haldane, 1927
  • Religion Without Revelation (Religion sans révélation), 1927 revu en 1957
  • The Tissue-Culture King (Le roi de la culture de tissus), science fiction, 1927
  • The Science of Life (La science de la vie) avec H.G. & G.P. Wells, 1931
  • Scientific Research and Social Needs (Recherche scientifique et besoins sociaux), 1934
  • Thomas Huxley's Diary of the Voyage of H.M.S. Rattlesnake (Le journal de Thomas Huxley au cours du voyage à bord du H.M.S. Rattlesnake), 1935
  • We Europeans (Nous Européens) avec A. C. Haddon, 1936
  • The present standing of the theory of sexual selection. (Le statut actuel de la théorie de la sélection sexuelle) In G. R. de Beer (Ed.), Evolution: Essays on aspects of evolutionary biology (Évolution: essais sur les aspects de la biologie évolutionniste) (pp. 11–42). Oxford: Clarendon Press, 1938
  • The Living Thoughts of Darwin (Les pensées vivantes de Darwin), 1939
  • The New Systematics (Les nouvelles systématiques), 1940
  • The uniqueness of man 1941 ;
- L'homme, cet être unique, éd. Oreste Zeluck, 1948 (344 p.).
  • Evolution: the Modern Synthesis (Évolution: la synthèse moderne), 1942
  • Evolutionary Ethics (Éthiques évolutionnistes), 1943
  • TVA: Adventure in Planning (TVA: aventure dans la planification), 1944
  • Touchstone for Ethics (Standard d'éthiques), 1947
  • Man in the Modern World (L'homme dans le monde moderne), 1947 eBook
  • Heredity, East and West (Hérédité, Est et Ouest), 1949
  • Evolution in Action, 1953 ;
- L'évolution en action, éd. PUF, coll. Bibliothèque Scientifique Internationale, 1956 (VII p. + 152 p.).
  • Biological Aspects of Cancer (Aspects biologiques du cancer), 1957
  • Towards a New Humanism (Vers un nouvel humanisme), 1957
  • New Bottles for New Wine (Nouvelles bouteilles pour vin nouveau), 1958
  • The Coming New Religion of Humanism (L'émergence de la nouvelle religion humaniste), 1962
  • The Humanist Frame (Le cadre humaniste), 1962 puis Essays of a Humanist (Essais d'un humaniste), 1964 puis Evolutionary Humanism (Humanisme évolutionniste)
  • From an Antique Land (D'une terre antique), 1966
  • The Courtship Habits of the Great Grebe (La cour du grèbe huppé), 1968
  • Memories (Mémoires) en 2 volumes, 1970 et 1974
  • L'UNESCO: SES BUTS ET SA PHILOSOPHIE, 1946

Essais

  • (en) Transhumanism (Transhumanisme) dans New Bottles for New Wine (Nouvelles bouteilles pour vin nouveau) Londres: Chatto & Windus, 1957.
  • (en) The New Divination (La nouvelle divination) dans Essays of a Humanist (Essais d'un humaniste) Londres: Chatto & Windus, 1964.

Notes et références

  1. L'homme cet être unique, p. 47.
  2. The geneticist manifesto, september 1939.
  3. L'UNESCO, ses buts et sa philosophie, 1946.
  4. Le Transhumanisme, in New Bottles for New Wine, éd. Chatto & Windus, Londres, 1957.
  5. The Race Question
  6. (en) [PDF] List of fellows of the Royal Society, 1600-2007. A-J, p. 183
  7. London Gazette : n° 41313, p. 1030, 14-02-1958

Voir aussi

Bibliographie

  • Auger, P., « Julian Sorel Huxley 1887-1975 », Encyclopedia Universalis. Universalia, suppl., 1976, 494-495
  • Huxley, J., Transhumanism (Transhumanisme), 1957.
  • Huxley, J., Memories (Mémoires), Londres, George Allen & Unwin, 1970.
  • Kevles, D. J., In The Name Of Eugenics (Au nom de l'eugénisme), Presse de l'université de Californie, 1985.

Liens externes

  • Notices d’autorité : Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Bibliothèque nationale de France Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès Gemeinsame Normdatei Bibliothèque nationale de la Diète WorldCat
  • (en) Biographie résumée
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