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Guerre de la Conquête

Guerre de la Conquête

Page d'aide sur les redirections Pour les autres conflits intercoloniaux des XVIIe et XVIIIe siècles, voir guerres intercoloniales.
Guerre de la Conquête
Description de cette image, également commentée ci-après

La bataille de Sainte-Foy par George B. Campion
Cette bataille fut la dernière victoire des Français durant la guerre de la Conquête

Informations générales
Date 1754 à 1760
Lieu Amérique du Nord
Issue Victoire britannique
Belligérants
 Nouvelle-France
 Royaume de France

Alliés Amérindiens :

 Royaume de Grande-Bretagne
Amérique du Nord britannique

Alliés Amérindiens :

Commandants
• Marquis de Vaudreuil
• Chevalier de Lévis
Général Montcalm
• Jeffrey Amherst
• Edward Braddock
James Wolfe
• William Shirley
• Lord Loudoun
• James Abercrombie
George Washington
Pertes
1063 morts, 2368 blessés2440 morts, 4391 blessés

Batailles

Jumonville Glen (1754) · Fort Necessity (1754) · Fort Beauséjour (1755) · 8 juin 1755 · Monongahela (1755) · Petitcoudiac (1755) · Lac George (1755) · Fort Bull (1756) · Fort Oswego (1756) · Kittanning (1756) · Fort William Henry (1757) · Louisbourg (1758) · Le Cran (1758) · Fort Carillon (1758) · Fort Frontenac (1758) · Fort Duquesne (1758) · Fort Ligonier (1758) · Québec (1759) · Fort Niagara (1759) · Beauport (1759) · Plaines d'Abraham (1759) · Sainte-Foy (1760) · Ristigouche (navale) (1760) · Mille-Îles (1760) · Signal Hill (1762)

La guerre de la Conquête (1754-1760) est le nom donné au théâtre nord-américain de la guerre de Sept Ans. Aux États-Unis, on désigne fréquemment la guerre de Conquête sous l'appellation French and Indian War, « guerre contre les Français et les Indiens ». Elle voit s'affronter les Français, leurs milices de la Nouvelle-France et leurs alliés amérindiens d'un côté, et les Britanniques, leurs milices américaines et leur allié iroquois de l'autre, pour la domination coloniale de l'Amérique du Nord. Les hostilités commencent en 1754, deux ans avant le déclenchement de la guerre en Europe, lors d'accrochages dans la vallée de l'Ohio.

Depuis la fin du XVIIe siècle, Français et Anglais étendent leurs possessions nord-américaines les uns aux dépens des autres et se trouvent confrontés, au travers de ces rivalités maritimes, coloniales, territoriales et commerciales, par le biais de plusieurs conflits militaires en Amérique qui se superposent aux guerres européennes d'alors. Devant la résistance de la Nouvelle-France aux attaques ennemies qui n'ont, jusque-là, pu enlever aux Français que l'Acadie, les treize colonies britanniques, au milieu du XVIIIe siècle, se trouvent toujours encerclées à l'ouest et au nord par un vaste mais finalement faible empire français, reposant plus sur les alliances avec les Amérindiens et la combativité de ses colons que sur un réel soutien de la part de la métropole. Lorsque, après 1749 et la troisième guerre intercoloniale, les rivalités franco-britanniques renaissent avec force, cristallisées par la volonté des deux camps de s'étendre sur la Vallée de l'Ohio, un nouveau conflit paraît inévitable et éclate effectivement dès 1754.

D'abord ponctué par une série de succès français lors de ses trois premières années, celui-ci ne tarde pas à prendre une ampleur inattendue du fait de l'intensification des opérations en Europe et de la volonté, de la part de Londres, d'éliminer définitivement la présence française en Amérique du Nord. Ainsi, à la suite de l'envoi d'un fort contingent armé britannique dans les colonies en 1758, du manque de motivation de la part de Paris de défendre efficacement ses possessions et du blocus imposé par la Royal Navy, maîtresse des mers, aux ports français, la guerre finit par tourner à l'avantage des Anglais qui peuvent, en 1759, envahir la Nouvelle-France.

Le siège le plus impressionnant est celui de sa capitale Québec, la même année. La prise de Montréal, en 1760, met fin à la guerre en Amérique et consacre la victoire écrasante de l'Empire britannique sur son concurrent le plus menaçant jusqu'alors. Le territoire français est attribué aux Britanniques en 1763 lors du traité de Paris, à l'exception des îles Saint-Pierre-et-Miquelon, près de Terre-Neuve[1].

Contexte géopolitique et géographique

Situation géographique

À cette époque, la France possédait la grande majorité de la région explorée du nouveau continent (1745), plus de la moitié de l'Amérique du Nord. Elle comptait une partie du Québec actuel (la Baie d'Hudson n'était pas sous contrôle français) plus une grande partie de l'actuel centre des États-Unis. Sa frontière s'étendait, au Nord, de la limite de l'actuel Labrador, faisait une parabole passant au-dessous de la baie James pour aller contourner le lac Manitoba et le lac Winnipeg, au centre de l'actuel Manitoba, et descendait jusqu'au golfe du Mexique, en suivant, plus à l'ouest, le fleuve Mississippi. Seule une bordure d'une centaine de kilomètres sur la Côte Atlantique en était exclue car elle correspondait au territoire des treize colonies britanniques d'Amérique (nommées du nord au sud) : New Hampshire, Massachusetts, New York, Rhode Island, Connecticut, New Jersey, Pennsylvanie, Virginie, Delaware, Maryland, Caroline du Nord, Caroline du Sud et Géorgie (voir la carte ci-jointe).

Alliance franco-amérindienne

Les Français étaient alliés avec presque toutes les nations amérindiennes d'Amérique du Nord. Les Amérindiens constituaient une force importante dans la défense de la Nouvelle-France. Comme les miliciens, ils étaient efficaces dans la guerre d'embuscade. Même si chaque nation amérindienne a ses propres rites et traditions, il est possible d'observer une constante dans les tactiques de guerre et les stratégies adoptées par les Amérindiens qui prennent part au conflit. D'abord, ceux-ci ne se battent jamais en terrain à découvert ; les tactiques de l'embuscade et de camouflage sont plutôt le propre de ces alliés. En fait, l'attaque-surprise est leur plus fort atout. Elle prend de court les soldats européens habitués à la bataille en rangée et fait, en conséquence, beaucoup de ravages. Quant aux préparatifs de guerre, malgré quelques variantes d'un groupe à l'autre, on observe certains éléments communs : de longues discussions avant le départ, accompagnées du calumet de la guerre et de danses. Les rêves prémonitoires étaient également très populaires pour prédire l'issue d'une guerre ou si elle représentait un danger pour un individu ou une nation entière[2]. Les armes utilisées par les Amérindiens étaient en général des couteaux, des haches et des fusils[3].

Forces en présence

Milices de la Nouvelle-France

Carte de l'Amérique du Nord juste avant le conflit. Les possessions françaises sont représentées en bleu ciel.

Formée en Nouvelle-France depuis 1669, les milices étaient constituées de tous les hommes valides âgés entre 16 et 60 ans. Les miliciens préféraient la guerre d'embuscade, c'est-à-dire cachée dans les bois. Les miliciens étaient des hommes recrutés en campagne et en ville, qui n'avaient pas de formation de soldat. En temps de conflit, ils étaient obligés de prendre les armes[4]. Sans uniforme militaire, les miliciens recevaient à chaque campagne une partie de l'équipement. Les troupes s'armaient elles-mêmes et il était attendu d'elles qu'elles soient en possession d'une bonne provision de plomb, de poudre et de mèche. L'intendant fournissait un fusil à ceux qui n'en possédaient pas[5].

Chacune des milices appartenaient à un siège d’un gouvernement régional. En Nouvelle-France, ceux-ci étaient au nombre de trois, Québec, Trois-Rivières et Montréal. La milice de Montréal était réputée pour être la plus active et la plus efficace en raison du fait qu'elle était composée de plusieurs voyageurs qui faisaient la traite des fourrures. En conséquence, celle-ci était entraînée surtout pour les combats d'embuscades dans les bois (aussi appelé la petite guerre), ce qui a d'ailleurs valu à ses hommes d'être surnommés les « Loups blancs » par les autres districts et par les Amérindiens. En 1759, environ 5 455 miliciens de Montréal sont mobilisés, dont 4 200 se rendent à Québec pour le siège. La plupart sont positionnés sur la côte de Beauport[6].

Les milices américaines

Pour protéger les colons américains des Treize colonies contre les attaques et les raids franco-indiens, une unité spéciale, les Rangers, est formée. Ils deviennent une arme importante dans les tactiques américaines ; ils sont incorporés à l'armée régulière. En fait, en 1755, Lord Loudoun s'aperçoit que les embuscades pratiquées par ces Rangers, combinées avec les nouvelles tactiques et unités des troupes régulières britanniques, pourraient s'avérer un atout puissant. Ainsi, on trouve des Rangers à partir de ce moment sur tous les fronts[7].

Parallèlement aux Rangers, il faut compter, parmi les effectifs américains au sein des forces britanniques, les Colonial Pioneers. Ces derniers étaient constitués des troupes de terre américaines. Ces soldats étaient entraînés environ huit mois par an par leur législature provinciale et étaient payés et équipés par leur colonie respective. C'est au Massachusetts, colonie la plus populeuse, qu'on trouve le plus grand nombre de Colonial Pioneers : ils sont au nombre de 6 800 en 1759. D'après les documents qui subsistent du conflit, ces militaires n'ont pas participé directement aux combats et étaient plutôt utilisés pour construire et maintenir les fortifications, batteries et campements britanniques[8].

Déportation des Acadiens

Lecture de l'ordre de déportation
Article détaillé : Déportation des Acadiens.

La Déportation des Acadiens, une partie du Grand Dérangement, est une expression utilisée pour désigner l'expropriation massive et la déportation des Acadiens, peuple francophone d'Amérique, lors de la prise de possession, par les Britanniques, d'une partie des anciennes colonies françaises en Amérique. La déportation des Acadiens constitue une opération de nettoyage ethnique de grande envergure, compte tenu de la démographie de l'époque. En 1754, la crise éclate avec le début de la guerre. Le conflit commence avec des victoires françaises dans la vallée de l'Ohio. La panique gagne les colonies britanniques. Charles Lawrence discute avec William Shirley, gouverneur du Massachusetts, de la possibilité de remplacer les Acadiens par des colons anglo-américains. En juin, il rencontre des délégués acadiens et exige d'eux un serment d'allégeance inconditionnel envers le roi d'Angleterre. Les Acadiens refusent. En juin 1755, Lawrence ordonne aux commandants d'attirer les hommes français de leurs districts respectifs, dans les ports, de les y arrêter et de les y détenir. Des navires viennent les chercher pendant que d'autres troupes vont arrêter les femmes et les enfants chez eux. Les déportés sont divisés par groupes, puis embarqués sur les navires. En tout, de 10 000 à 15 000 Acadiens seront déportés. Seul 20 % environ de la population d'Acadie a pu s'échapper au Québec[9].

Le siège de Québec

Article connexe : Histoire de la marine française sous Louis XV et Louis XVI.
Article détaillé : Siège de Québec de 1759.

À l'aube du siège, la vie dans la ville de Québec et dans la colonie tout entière est devenue très difficile. Les habitants sont épuisés par la guerre qui dure depuis maintenant cinq ans. Les relations entre Montcalm et Vaudreuil sont également de plus en plus tendues. Les habitants de Québec vivent dans la famine, la peur et l'incertitude. Pendant qu'ils voient leur ville être détruite par les multiples bombardements anglais, ils se demandent pourquoi les autorités françaises ne répliquent pas et pour quelle raison les munitions sont préservées. Les bombardements incessants, en plus de détruire une bonne partie de la ville, apeurent les habitants, particulièrement les enfants et les femmes, qui se réfugient dans la prière[10].

Durant le siège, Wolfe détache des troupes sur la rive sud et nord du fleuve et les emploie à brûler les fermes et le blé, ainsi que les villages, aussi loin que La Malbaie et Rivière-Ouelle. Les soldats britanniques profitent de leur force pour faire main basse sur les femmes, les enfants et le bétail qui n'ont pu se réfugier à temps dans les bois. Dans certains villages, comme à Saint-François-du-Lac, Portneuf et Saint-Joachim, massacres et scalps sont aussi pratiqués par les troupes[11].

La bataille des plaines d'Abraham

Article détaillé : Bataille des plaines d'Abraham.
La bataille des plaines d'Abraham

Pendant les mouvements de troupes de l'armée, et tandis que celles-ci se positionnent sur le champ de bataille, plusieurs miliciens et soldats des troupes françaises harcèlent les Britanniques sur leurs flancs. Ces escarmouches causent plusieurs victimes. Entre temps, Montcalm analyse la situation et conclut qu'il ne doit pas donner à l'ennemi le temps de se fortifier. Autrement, il lui serait impossible de le déloger. C'est donc vers 10 h que le général ordonne l'attaque. Les troupes sont divisées en trois lignes, la première est constituée de réguliers, le deuxième de miliciens incorporés aux régiments, et la troisième également. La décision de Montcalm d'incorporer à chaque régiment de l'armée un corps de miliciens s'avère être catastrophique. La ligne se défait à quelques pas de l'ennemi, les soldats de la deuxième ligne tirent sans en avoir reçu l'ordre[12].

Les deux armées subissent des pertes du même ordre : 658 du côté britannique et 644 du côté français. Le gros des pertes françaises survient au cours de la bataille rangée alors que les Britanniques subissent le gros de leurs pertes des mains des miliciens et des Amérindiens qui couvrent la retraite des soldats réguliers. La mort du général Montcalm et du général Wolfe survient à peu près au même moment. La bataille des plaines d'Abraham dure environ deux heures, si l'on tient compte des événements qui s'enchaînent à compter de 10 heures : les deux charges de la bataille rangée, la française et la britannique, et la fusillade d'environ 1 h 30 entre les Britanniques et les francs-tireurs. L'historien D. Peter McLeod évalue la durée de la bataille à environ huit heures[13], en incluant l'ensemble des événements militaires de la journée, de l'attaque de l'avant-poste de Vergor à 4 h 0 le matin jusqu'aux derniers coups de canon qui forcent la retraite des soldats britanniques à l'embouchure de la St-Charles à 12 h. Après sa défaite sur les plaines d'Abraham sur le 13 septembre 1759, les troupes françaises et canadiennes se sont dispersés ; Montcalm, mortellement blessé, a réussi à prendre sa retraite à Québec avec certains de ses compagnons. Bougainville, Lévis, et les troupes se sont retirées en direction de Montréal tandis que le gouverneur de la Nouvelle-France, Pierre de Rigaud de Vaudreuil a abandonné la côte de Beauport et s'est dirigé vers l'ouest pour se joindre à Lévis et Bougainville[14].

Reddition

Vaudreuil envoya un message à Ramezay avisant de son retrait et lui enjoignant de défendre la ville jusqu'à ce que "il tombera court de dispositions", à quel point il devait choisir le moyen le plus honorable de proposer sa capitulation[14]. Les Britanniques, maintenant en contrôle des plaines, apportèrent artilleries lourdes, dont douze canons de 24 livres, de grands mortiers et des obusiers de quatre pouces, permettant de bombarder la ville[15]. Une batterie sur la rive opposée à Pointe de Lévis avait déjà rendu la tache impossible pour les défenseurs de la ville de rester sur ses murs[16]. Le vice-amiral Saunders qui avait jusqu'alors gardé ses plus gros navires en aval, avait maintenant apporté sept de ses plus puissants navires pour rejoindre les frégates déjà dans le bassin[17]. Les Britanniques étaient très désireux de régler les choses rapidement avant le début de l'hiver, et cette démonstration de force était de faciliter une reddition rapide[18].

Après la bataille, Ramesay avait le 14 septembre, 2 200 hommes, dont 330 français et troupes, 20 hommes d'artillerie, 500 marins et 1 300 miliciens, ainsi que les 4 000 habitants. Ramezay avait estimé qu'il avait assez de vivres pour huit jours[19]. Dès le 15 septembre, il a reçu une protestation de certains des gens des villes les plus importants pour lui demander de capituler plutôt que de risquer le saccage de la ville[20]. Ramezay convoqua un conseil de guerre, donner à chacun l'occasion de leur point de vue. Un seul, Louis-Thomas Jacau de Fiedmont, était contre la reddition[17]. Pour résumer, Ramezay a déclaré : « Si l'on considère les instructions que j'ai reçu du Marquis de Vaudreuil et la rareté des dispositions, et prouvée par les retours des recherches que j'ai fait, je conclus pour m'efforcer d'obtenir de l'ennemi la capitulation la plus honorable »[17]. En tout, 24 notables de Québec dont des commerçants, des officiers de milice et des fonctionnaires se tiennent dans la résidence, en partie détruite, de François Daine, lieutenant général de la Prévôté de Québec[21]. Les membres de l'assemblée signent une requête demandant à Ramezay de négocier la reddition de Québec. Daine lui remet la requête en main propre le jour même[22].

La capitulation de Québec

Après consultation des avis des notables de la ville de Montréal, de ceux de son état-major, et en fonction des instructions du quartier général du marquis de Vaudreuil, Jean-Baptiste Nicolas Roch de Ramezay (le lieutenant du roi qui assure la défense de la ville) négocie la reddition de la ville avec les représentants de la couronne britannique : Charles Saunders et George Townshend.

La prise de Montréal et la fin du conflit

Articles détaillés : Articles de capitulation de Montréal et Traité de Paris (1763).

Le chevalier de Lévis, qui commande les troupes françaises depuis la mort de Montcalm, organise une offensive sur Québec. Grâce à la victoire qu'il remporte à la bataille de Sainte-Foy (), l'espoir renaît dans le camp français ; mais l'offensive britannique sur Montréal et la présence de la flotte britannique dans le Saint-Laurent obligent les forces françaises à se replier. La capitulation de Montréal est signée par le gouverneur-général Pierre de Rigaud de Vaudreuil et le major-général Jeffrey Amherst, au nom des couronnes française et britannique, le .

Mais la guerre n'est pas totalement finie, notamment à Terre-Neuve, avec la bataille de Signal Hill, le qui se solde par une victoire britannique, ce qui entraînera la chute de la ville de Saint-Jean trois jours plus tard (dont les Français s'étaient emparé en 1762).

Par le Traité de Paris signé en 1763 entre la France et la Grande-Bretagne, celle-ci obtient de la France l'Île Royale, l'Isle Saint-Jean, le nord de l'Acadie, le Québec, le bassin des Grands Lacs, ainsi que tous les territoires français situés à l'est du Mississippi. Mais la France retrouve aussi des territoires en Amérique, comme ses territoires des Antilles, ainsi que Saint-Pierre-et-Miquelon (qu'elle avait perdu en 1713).

Articles connexes

Notes et références

  1. http://www.salic-slmc.ca/showpage.asp?file=histoire_ling/intro_fr_en/guerre_sept_ans&language=fr&updatemenu=true
  2. http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/fr/siege-de-quebec/forces-en-presence/armee-francaise-canadiens-amerindiens/les-allies-amerindiens.php
  3. Québec, ville militaire (1608-2008), Montréal: Art Global, 2008, p. 140
  4. http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/fr/siege-de-quebec/forces-en-presence/armee-francaise-canadiens-amerindiens/la-milice.php
  5. Luc Lépine, 1997, Organisation militaire de la Nouvelle-France
  6. Chartrand, Québec 1759, p. 31
  7. http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/fr/siege-de-quebec/forces-en-presence/armee-britannique-americains-marine/les-americains.php
  8. Chartrand, Québec 1759, p. 60.
  9. John Handfield, Dictionnaire biographique du Canada Dictionnaire biographique du Canada en ligne
  10. Récher, Journal du Siège de Québec, 1759, p. 15
  11. Lionel-Groulx, Lendemains de conquête, ré-édition de 1977, p. 22-23
  12. http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/fr/bataille-des-plaines-d-abraham/la-bataille.php
  13. Macleod 2008, p. 278
  14. 1 2 Leckie 1999, p. 389
  15. Leckie 1999, p. 392
  16. Leckie 1999, p. 291
  17. 1 2 3 Leckie 1999, p. 394
  18. Leckie 1999, p. 392-394
  19. Leckie 1999, p. 389-390
  20. Leckie 1999, p. 392-393
  21. Macleod 2008, p. 306
  22. Macleod 2008, p. 308

Voir aussi

Sources et bibliographie

  • Sophie Imbeault, Denis Vaugeois et Laurent Veyssière, 1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique, les éditions du Septentrion, Québec, 2013, 456 p. [présentation en ligne]
  • Gaston Deschênes et Denis Vaugeois, Vivre la Conquête, tome 1, les éditions du Septentrion, Québec, 2013, 264 p. [présentation en ligne]
  • Gaston Deschênes et Denis Vaugeois, Vivre la Conquête, tome 2, les éditions du Septentrion, Québec, 2014, 320 p. [présentation en ligne]
  • Jacques Mathieu et Sophie Imbeault, La Guerre des Canadiens. 1756-1763, les éditions du Septentrion, Québec, 2013, 280 p. [présentation en ligne]
  • (en) Fred Anderson, Crucible of War : The Seven Years' War and the Fate of Empire in British North America, 1754-1766, New York, Knopf, , 862 p. (ISBN 978-0-375-40642-3, OCLC 40830180, lire en ligne)
  • (en) Fred Anderson, The war that made America : a short history of the French and Indian War, New York, Viking, , 293 p. (ISBN 978-0-670-03454-3, OCLC 60671897, lire en ligne)
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  • (en) Robert Leckie, A few acres of snow : the saga of the French and Indian Wars, New York, J. Wiley & Sons, , 388 p. (ISBN 978-0-471-24690-9, OCLC 39739622)
  • D. Peter Macleod, La vérité sur les plaines d'Abraham : les huit minutes de tirs d'artillerie qui ont façonné un continent, Montréal, Éditions de l'Homme, , 491 p. (ISBN 978-2-7619-2575-4, OCLC 319952281)
  • (en) William R. Nester, The first global war : Britain, France, and the fate of North America, 1756-1775, Westport, CT, Praeger, , 308 p. (ISBN 978-0-275-96771-0, OCLC 41468552, lire en ligne)
  • (en) Walter O'Meara, Guns at the forks, Englewood Cliffs, NJ, Prentice Hall, , 275 p. (ISBN 978-0-8229-5309-8, OCLC 21999143, lire en ligne)
  • Guy Frégault, La Guerre de la Conquête 1754/1760, Fides, (1955) 2009.

Liens externes

  • La Gazette de Québec - première parution en juin 1764
  • La bataille de la Monongahéla
  • (en) « Virtual Vault », Library and Archives Canada
  • Portail de la Nouvelle-France
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