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Comores (pays)

Comores (pays)

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Les Comores, en forme longue l'Union des Comores, ancienne République fédérale islamique des Comores (RFIC) (en comorien Komori et Udzima wa Komori, en arabe Djuzur al qamar, جزر القمر et al-Ittiḥād al-Qumuriyy, الاتّحاد القُمُريّ), est une république fédérale d'Afrique Australe située au nord du canal du Mozambique dans l'océan Indien.

Le pays a pour capitale Moroni, pour langues officielles l'arabe, le shikomor (comorien), parlé par 96,9 % de la population[1], et le français et pour monnaie le franc comorien. L'Union des Comores est membre de la ligue arabe, de l'organisation de la coopération islamique, de l'Organisation internationale de la francophonie et de l'Assemblée parlementaire de la francophonie.

L'Union des Comores est composée constitutionnellement de quatre îles dont une administrée par la France (îles autonomes de Grande Comore, d'Anjouan, de Mohéli ainsi que Mayotte). Cette occupation de l'île de Mayotte est condamnée par l'ONU par plus de 20 résolutions[2][3]. Ancienne colonie française, les Comores obtiennent leur indépendance le .

Histoire

Articles détaillés : Histoire de l'archipel des Comores et Histoire des Comores (pays).

Territoire des Comores

Articles détaillés : Territoire des Comores et Liste des dirigeants des Comores 1946-1975.

En 1946, sous tutelle française, les Comores ne sont plus rattachées administrativement à Madagascar et forment pour la première fois de leur histoire une entité administrative unie et reconnue, sous le statut de Territoire d'outre-mer (TOM).

Après les indépendances des pays africains durant les années 1960, un certain nombre d'intellectuels commencèrent à réclamer l'indépendance. D'un commun accord (Accords du 15 juin 1973), dans un objectif d'indépendance concerté, la France organise la Consultation de 1974. Mayotte ne s'exprima pas comme les trois autres îles faisant alors le choix du maintien de son statut français.

Selon le point de vue comorien, Jacques Chirac, Premier ministre, aurait décidé de ne pas lier le sort de Mayotte à celui des trois autres îles et cela en opposition avec les écrits antérieurs sur le sujet de Valéry Giscard d'Estaing et au droit international, ce qui aurait heurté les élus des îles. Par la voix de l'Anjouanais Ahmed Abdallah fut déclarée unilatéralement l'indépendance de l'État comorien le .

Selon le point de vue français, le sort des deux fractions du territoire n'était pas lié pour des raisons tant juridiques que politiques. En effet Mayotte est française depuis 1841 (achat de l'île), le reste des Comores n'étant qu'un simple protectorat depuis 1886, le résultat du referendum est interprété île par île. En outre, la Constitution ne permet pas de donner l'indépendance sans le consentement de la population. La consultation mahoraise était négative, à l'inverse des autres îles, Mayotte sera maintenue dans le statu quo ante. Mayotte étant française depuis 1841, elle pouvait être maintenue française.

Cette différence d'appréciation demeure depuis un sujet de tensions diplomatiques récurrentes entre les deux États.

Indépendance

Drapeau des Comores (de 1975 à 1978)
Articles détaillés : République des Comores, république fédérale islamique des Comores et Liste des chefs d'État comoriens.

Alors que Mayotte votait de nouveau en 1976 pour un rattachement définitif à la République française, la République fédérale islamique des Comores s'enfonçait dans une longue période d'instabilité politique et de coups d'État. Durant cette période trouble, deux personnages marquent les mémoires. Ali Soilih, dictateur socialiste visionnaire, et Bob Denard, mercenaire français agissant tour à tour au nom de la France ou pour son propre compte. Se succèdent alors des régimes non démocratiques et coups d'État.

Drapeau de la République fédérale islamique des Comores (de 1996 à 2001)

En février 1999, le colonel Azali Assoumani prend le pouvoir de Grande Comore en renversant le président intérimaire Tadjidine Ben Said Massounde, un Anjouanais. Il poursuit des négociations plus fructueuses avec le colonel Mohamed Bacar d'Anjouan afin de résoudre la crise.

Le , par référendum et après d'âpres négociations qui ont abouti à la suite de la signature des accords de Fomboni de 2000/2001 qui relance ainsi le processus de réconciliation nationale, les trois îles forment à nouveau une entité avec une nouvelle constitution sous l'égide de l'OUA : l'Union des Comores. Conformément à la constitution, le pays a organisé des élections en 2006 qui ont été remportées par Ahmed Abdallah Sambi, un religieux sunnite surnommé l'« Ayatollah ».

Article détaillé : Invasion d'Anjouan de 2008.

Francophonie

Le système éducatif, judiciaire et administratif utilise les langues arabe et française. Il est envisagé cependant de passer le cours préparatoire (deux ans, CP1 et CP2) dans les différentes langues locales (une par île) afin de faciliter l'alphabétisation.

Les médias audiovisuels nationaux utilisent principalement le shimassiwa, dans ses différents dialectes, la presse écrite est en arabe et français. RFI est diffusée en FM dans les principales villes, et les chaînes de télévision françaises par satellite sont les plus regardées.

Il y a des alliances franco-comoriennes (Alliance française) à Moroni, Fomboni et Mutsamudu et des CLAC (OIF) dans une quinzaine de localités.

Géographie

Carte de l'archipel des Comores
Vue satellite de Grande-Comore, Anjouan et Mohéli
Cratère du Karthala
Article détaillé : Géographie des Comores.

L'archipel des Comores est constitué de quatre îles (Grande-Comore, Mohéli, Anjouan et Mayotte) à l'entrée du canal du Mozambique au nord-ouest de Madagascar et face au Mozambique. Les routes maritimes transportant le pétrole provenant du Proche-Orient à destination de l'Europe et des États-Unis passent par les Comores. La superficie totale de l'Union des Comores est de 2 236 km2. La capitale, Moroni, se situe sur la plus grande des îles, la Grande Comore.

Cette même île compte un volcan (2 361 mètres) actif appelé le Karthala. C’est un volcan strombolien encore en activité dont la dernière coulée de lave date de 2005. Un lac occupant l'un des cratères constituant une caldeira de 3 km de diamètre, la plus grande caldeira en activité du monde à l'époque, a été vaporisé, début 2005. La porosité du sol de la Grande Comore explique l'inexistence de cours d'eau, contrairement aux autres îles.

Les terres sont à 45 % agricoles. 9 % est recouvert par la forêt et 7 % du territoire est inexploité. Les îles sont assez proches (75 km au plus) et les fonds marins comportent beaucoup de coraux, lesquels ont fait les frais d'El Niño il y a quelques années et sont également victimes de pêche à la dynamite. La grande variété de la faune sous-marine pâtit elle aussi des destructions occasionnées par la nature et les hommes: de moins en moins de requins, de moins en moins de tortues – proies faciles dont la viande est gratuite -, ou encore de moins en moins d'holothuries ou « concombres de mer » – appréciés de certaines populations qui les ramassent et en font le commerce, sans forcément mesurer l'impact que cette « pêche » intensive pourrait avoir, l'archipel constituant l'une des zones de réensemencement de l'Afrique de l'Est.

Subdivisions

Article détaillé : Subdivisions des Comores.

Le territoire de l'Union des Comores est divisé en îles autonomes et celles-ci en communes (Loi n° 11-006/AU du 2 mai 2011, promulguée le 21 juillet 2011). Pour des raisons administratives les communes sont groupées en préfectures, réparties comme il suit :

  • Grande Comore (ou Ngazidja), chef-lieu : Moroni - 8 préfectures.
  • Anjouan (ou Ndzuwani), chef-lieu : Mutsamudu - 5 préfectures.
  • Mohéli (ou Mwali), chef-lieu : Fomboni - 3 préfectures.
  • Mayotte (ou Maore), chef-lieu : Pamandzi.

Mayotte (ou Maore), qui est revendiquée par les gouvernements successifs de l'État comorien unitaire ou fédéral depuis 1975, est considérée par les Français comme une région française. L’État comorien considère que l’île de Mayotte relève de sa souveraineté en accord avec la résolution 3385 de l’ONU du . C’est ce qui explique pourquoi cet État affirme que l’Assemblée générale des Nations Unies rejette « toutes autres consultations qui pourraient être organisées ultérieurement en territoire comorien de Mayotte par la France ». À noter que le litige territorial n'a jamais fait l'objet d'une résolution du Conseil de sécurité (qui serait contraignante, les résolutions de l'assemblée générale n'étant que facultatives) tant en raison du véto français que de la pratique de cet organe de systématiquement tenir compte des référendums lorsqu'ils sont démocratiques.

Par ailleurs, en 1980, outre Mayotte, le président de la République islamique des Comores revendiquait les îles Glorieuses ainsi que le Banc du Geyser.

Politique

Article détaillé : Politique aux Comores.

Le régime actuel a été adopté par un référendum en décembre 2001.

Les institutions actuelles sont marquées par la crise de 1997. L'Union, ainsi que chacune des trois îles, a un président qui est également chef du gouvernement. Les prérogatives du président de l'Union sont la politique extérieure et la défense. Les îles disposent d'une large autonomie portant sur l'économie, les impôts, la santé, la justice... Le franc comorien est rattaché à l'euro et n'est pas une monnaie indépendante.

La chambre législative est appelée assemblée et possède 33 membres dont 24 élus (4 à Moheli, 9 à Anjouan et 11 à la Grande Comore) et 9 représentants élus au suffrage indirect (en raison de 3 élus par île). Ces élus sont des conseillers de l'assemblée des îles). Les membres sont élus pour cinq ans (députes et conseillers).

  • L'assemblée de Grande Comore compte 20 membres.
  • L'assemblée d'Anjouan compte 25 membres.
  • L'assemblée de Mohéli compte 10 membres.

Des élections législatives ont lieu aux Comores le .

Des primaires en vue de l'élection du président de L'union des Comores ont eu lieu le 7 novembre 2010 à Mohéli, les 3 élus à ces primaires ont été présentés au suffrage de l'union le . Le ont eu lieu les élections des gouverneurs des îles constituant l'Union.

Système juridique

Le système juridique est un héritage du droit musulman, du droit coutumier et du droit français. Les anciens du village règlent la plupart des litiges. Le judiciaire est indépendant du législatif et de l'exécutif. La cour suprême est la haute juridiction[4]. La cour constitutionnelle[4] en place depuis septembre 2006 est chargée de veiller au bon déroulement des élections et d'arbitrer en cas d'accusation de malversation du gouvernement. Elle est constituée de deux membres choisis par le président de l'Union, de deux personnalités élues par l'assemblée fédérale, et un par l'assemblée de chaque île.

Système éducatif

Le système d’éducation aux Comores semble avoir vu le jour avec l’avènement de l’Islam dans l’archipel, aux alentours du XIIe siècle, et a connu plusieurs évolutions depuis cette période. Ces évolutions n’ont pas été continues, mais cette histoire sera essentiellement marquée par l’évolution institutionnelle de l’archipel et un accès de plus en plus large à l’instruction depuis la proclamation de l’indépendance jusqu’à nos jours. Le système éducatif est hérité du système coutumier (école coranique privée) et du système éducatif français basé sur la gratuité. Pratiquement tous les enfants suivent d'abord l'enseignement dans les medersas où ils apprennent à lire l’arabe (avec le coran), et suivent ensuite, pour la plupart, un enseignement « à l'occidentale ». L’enseignement à l’occidentale se fait en français au moins jusqu’au baccalauréat, reconnu par la France. Les enfants des classes sociales les plus aisées et les plus occidentalisées suivent, à Moroni surtout, un schéma d'éducation à l’occidentale et un enseignement musulman à part.

Longtemps cantonné dans l’instruction des valeurs religieuses de l’Islam ainsi que de l’apprentissage des rudiments nécessaires à la vie d’alors (agriculture, élevage et tâches ménagères), le système d’éducation allait connaître son premier grand bouleversement avec l’introduction de l’école coloniale, laïque au début du XXe siècle. Ce modèle longtemps réservé à une certaine élite, va connaître une démocratisation importante après l’indépendance du pays en 1975. Mais depuis cette époque, la question de l’accès, toujours d’actualité, a été l’une des problématiques auxquels les autorités publiques devraient répondre eu égard à la fonction « d’ascenseur social » assignée à l’école.

Les difficultés de trésorerie des différents gouvernements, qui n'ont pas pu payer les salaires des fonctionnaires, ont touché aussi le système éducatif. Aussi, entre 1997 et 2001, les professeurs de l'enseignement public, non payés, se sont mis en grève. Seul le privé fonctionnait.

Entre 1978 et 2000, les étudiants désirant acquérir une formation complémentaire (post bac) devaient s'expatrier. Une université a été recréée depuis 2000 dans quelques domaines.

Économie

Essai de 100 francs représentant une barque de pêche traditionnelle, Comores (1977).
Retour de pêche à la Grande Comore
Article détaillé : Économie des Comores (pays).

La plus grande partie de la population est rurale et vit de culture vivrière ou de la pêche. Les îles exportent néanmoins de la vanille, de l'ylang-ylang et des girofliers. Le pays n'est pas autosuffisant sur le plan alimentaire.

Un rapport de la Banque mondiale suggère que les campagnes organisent également la pénurie alimentaire des produits locaux afin de soutenir les prix.

Religions

Habitant de la Grande Comore

L'islam sunnite est la religion dominante, mais sur ces îles vivent également de façon permanente de très petites communautés endogamiques d'Indiens chiites qui ont une très grande influence en détenant une bonne part du commerce.

Des Chrétiens sont également présents[5].

Démographie

Article détaillé : Démographie des Comores (pays).
Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.

Selon le dernier recensement (2004) la population est estimée à 646 400 personnes sur les trois îles (31 200 à Mohéli, 363 200 à la Grande Comore, 252 000 à Anjouan), mais la diaspora en France métropolitaine (Marseille, Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Dunkerque, Nice surtout)[réf. nécessaire] ainsi qu'à la Réunion et Mayotte compterait au moins autant de personnes.

Culture

Article détaillé : Culture des Comores.

La culture des trois îles, bien que semblable, reste cependant différente sur chacune des îles. Les Comoriens ont une forte tendance à se regrouper par communauté d'origine et de village.

Fêtes et jours fériés
Date Nom français Nom local Remarques
6 juillet Fête de l'Indépendance Sherehi Ya Wuhuru Wa Massiwa Proclamation de l'indépendance reconnue plus tard par la France.

Langues

Article détaillé : Langues aux Comores.

Traditions et coutumes

On retrouve dans les traditions et les coutumes comoriennes des influences arabes, africaines et indiennes dans le vêtement traditionnel : lesso, chiromanie (châle), kändou, kofia (bonnet pour les hommes). Mais aussi dans la gastronomie traditionnelle (samoussa, embrevade, curry, mardouf) ainsi que dans quelques rites de la vie quotidienne (la prière, les repas...). La société est matrilinéaire à la Grande Comore et à Mohéli, tandis qu'à Anjouan et à Mayotte la filiation est indifférenciée.

En Grande Comore, le grand mariage (arabe,"عدا", 'adâ, coutume; shingazidja âda) est une tradition incontournable. Il représente les économies de toute une vie et permet d'accéder au rang de grand notable. Cet évènement social est à l'origine de la grande précarité sociale de l'île et de la corruption généralisée d'un côté, mais d'une forte cohésion sociale et des revenus importants de la diaspora, de l'autre. On peut retrouver dans les vêtements de la fille à marier un sahar et un soubaya (vêtements officiels du mariage).

Pour les danses traditionnelles on peut trouver par exemple le sambé, chigoma, djalico, toirabou, etc. En ce qui concerne la nourriture, nous pouvons citer : madaba, ntsouzi, madjimbi, ntsambou, goudougoudou.

Sport

  • Championnat des Comores de football
  • Coupe des Comores de football
  • Fédération comorienne de football
  • Fédération comorienne de basket-ball
  • Fédération comorienne des échecs

Faune et flore

Articles détaillés : faune des Comores et flore des Comores.

22 espèces d'oiseaux sont propres à l'archipel, et 17 d'entre elles sont limitées à l'Union des Comores. Il s'agit notamment de :

  • otus pauliani en Grande Comore ;
  • otus capnodes à Anjouan ;
  • humblotia flavirostris.
Plongée sous-marine aux Comores : mérou céleste (Cephalopholis argus)

En partie en réponse à des pressions internationales dans les années 1990, les gouvernements sont devenus plus préoccupés par l'environnement. Des mesures ont été prises non seulement pour préserver la faune rare, mais aussi pour enrayer la dégradation de l'environnement, notamment sur Anjouan densément peuplée. Plus précisément, afin de minimiser l'abattage des arbres pour le carburant, le kérosène est subventionné, et des efforts sont en cours pour remplacer la perte de la couverture forestière causée par la distillation de l'ylang-ylang pour le parfum. Le Fonds de soutien au développement communautaire, parrainé par l'Association internationale de développement (IDA, une filiale de la Banque mondiale) et le gouvernement comorien, s'emploie à améliorer l'approvisionnement en eau dans les îles aussi.

Codes

Les Comores ont pour codes :

Principaux lieux

Villes

Articles sur les villes des Comores :

  • Moroni
  • Mutsamudu
  • Domoni
  • Fomboni
  • Mitsamiouli
  • Iconi
  • N'Tsoudjini
  • Foumbouni
  • Mbéni
  • m'kazi
  • Dembeni
  • Heroumbili
  • Koimbani
  • Ouani
  • Ouzio (Village de M'zé Marshall)
  • Sima
  • Salimani
  • N'tsaoueni
  • Séléa
  • Chézanie
  • Sadanie
  • Ivoini
  • Ivembéni

Notes et références

  1. L'aménagement linguistique dans le monde par Jacques Leclerc Site: http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/index.html
  2. Pierre Caminade, « Comores-Mayotte : une histoire néocoloniale », sur Survie (consulté le 28 mai 2015)
  3. « Document officiel des Nations Unies », sur www.un.org (consulté le 28 mai 2015)
  4. 1 2 site officiel de l'Union
  5. Onglet "people and society", sur le site cia.gov - consulté 25 aout 2012

Bibliographie

  • Maurice Mathieu, Un Mzungo aux Comores : journal 1945-1948, De mémoire d'homme, 1995

Voir aussi

Liens externes

Cet article ou cette section a trop de liens externes.
Les liens externes doivent être des sites de référence dans le domaine du sujet. Il est souhaitable — si cela présente un intérêt — de citer ces liens comme source et de les enlever du corps de l'article ou de la section « Liens externes ».
  • Enquête à indicateurs multiples (MICS 2000), Ministère du Plan de la RFIC
  • Catégorie Comores de l’annuaire DMOZ
  • Site officiel de la présidence de l'Union
  • Site du ministère des Affaires étrangères français sur l'Union des Comores
  • Site de l'ambassade de France auprès de l'Union des Comores
  • Centre national de documentation et de recherche scientifique des Comores
  • Site de la FAO sur les Comores
  • Site de l'Union des Gnadomboeniens en France (UGF) ressortissants du village de Gnadomboeni, Comores
  • Site de Al-watwan, premier journal des Comores
  • Portail de la langue française et de la francophonie
  • Portail des Comores
  • Portail du monde arabe
  • Portail de l’Afrique
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