Aussois
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Aussois | |||||||||||
![]() Plateau et village d'Aussois vus depuis la Norma (fév. 2011). |
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Administration | |||||||||||
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Pays | ![]() | ||||||||||
Région | Rhône-Alpes | ||||||||||
Département | Savoie | ||||||||||
Arrondissement | Saint-Jean-de-Maurienne | ||||||||||
Canton | Modane | ||||||||||
Intercommunalité | Terra Modana | ||||||||||
Maire Mandat |
Alain Marnézy 2014-2020 | ||||||||||
Code postal | 73500 | ||||||||||
Code commune | 73023 | ||||||||||
Démographie | |||||||||||
Gentilé | Aussoyens | ||||||||||
Population municipale |
646 hab. (2012) | ||||||||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||||||||
Géographie | |||||||||||
Coordonnées | 45° 13′ 38″ N 6° 44′ 32″ E / 45.227167, 6.74233345° 13′ 38″ Nord 6° 44′ 32″ Est / 45.227167, 6.742333 | ||||||||||
Altitude | Min. 1 120 m – Max. 3 600 m | ||||||||||
Superficie | 41,94 km2 | ||||||||||
Localisation | |||||||||||
Liens | |||||||||||
Site web | aussois.com | ||||||||||
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Aussois (prononcé [o.swɑː ]) est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Rhône-Alpes. Ses habitants s'appellent les Aussoyens. En arpitan savoyard, la commune s'appelle Ohely (prononcé [o.e ] ) et ses habitants sont désignés sous le nom de Oherins[1].
Géographie
Situation
Station de sports d'hiver et d'été, située sur un plateau aux portes du Parc national de la Vanoise en Maurienne, dans le département de la Savoie.
Autrefois village traditionnel de montagne.
Latitude : 45° 13' N, Longitude : 6° 44' E, Altitude : 1 489 m.
Aussois | |||||||||||
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Administration | |||||||||||
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Pays | ![]() | ||||||||||
Site web | www.aussois.com | ||||||||||
Géographie | |||||||||||
Coordonnées | 45° 13′ 38″ Nord 6° 44′ 32″ Est / 45.227167, 6.742333 | ||||||||||
Massif | Massif de la Vanoise | ||||||||||
Altitude | 1 500 m | ||||||||||
Altitude maximum | 2 675 m | ||||||||||
Altitude minimum | 1 530 m | ||||||||||
Ski alpin | |||||||||||
Lié à | - | ||||||||||
Domaine skiable | Aussois | ||||||||||
Téléphériques | 0 | ||||||||||
Télécabines | 0 | ||||||||||
Télésièges | 6 | ||||||||||
Téléskis | 4 | ||||||||||
Débit | - (personnes/heure) | ||||||||||
Pistes | |||||||||||
Nombre de pistes | 21 | ||||||||||
Noires | 3 | ||||||||||
Rouges | 7 | ||||||||||
Bleues | 6 | ||||||||||
Vertes | 5 | ||||||||||
Total des pistes | 55 km | ||||||||||
![]() Nouvelles glisses |
1 boarder cross, 1 snow park | ||||||||||
Ski de fond | |||||||||||
Nombre de pistes | 5 | ||||||||||
Noires | 0 | ||||||||||
Rouges | 2 | ||||||||||
Bleues | 1 | ||||||||||
Vertes | 2 | ||||||||||
Total des pistes | 30 km | ||||||||||
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La station est gérée par une régie communale : 21 pistes balisées entre 1530 et 2 675 m d'altitude, 55 km de pistes au pied de la Dent Parrachée (3 697 m). La station, exposée au sud, souffre parfois d'un manque d'enneigement, qui est néanmoins compensé par un bon équipement en neige de culture et la possibilité de skier à partir de la station intermédiaire, située à un peu plus de 2 150 mètres d'altitude.
En 1970 est construite la route D215 à partir de Modane, menant ainsi directement au village et évitant ainsi l'ancienne route (D215 e, f & g) en corniche des forts de l'Esseillon, désormais fermée l'hiver.
En 2005, la station a réorganisé une partie importante de son domaine d'altitude par le remplacement d'un des plus longs téléskis de France (550 de dénivelée et plus de 2 km de long) par un télésiège débrayable 6 places. Le tracé étant différent, l'altitude maximale de la station a été réduite de quelque 20 mètres. Le sommet actuel de la station se trouve au sommet du télésiége 2 places de la Fournache à 2 675 m d'altitude.
Des accords particuliers, conclus avec des stations alentours, permettent de skier à La Norma, Valfréjus, Val Cenis et Val Thorens grâce à la télécabine d'Orelle.
La station profite d'une évolution économique très positive par la construction de plusieurs ensembles résidentiels de tourisme de standing, à proximité immédiate des pistes.
Communes limitrophes
Aussois est situé au sud du Massif de la Vanoise dans la vallée de la Maurienne. Elle est limitrophe au nord à la commune de Pralognan-la-Vanoise situé au nord du Massif de la Vanoise dans la vallée de la Tarentaise. Seul un sentier passant par le Col d'Aussois et traversant le Parc national de la Vanoise permet de relier les deux communes.
Les communes de Villarodin-Bourget et Termignon sont reliées par des sentiers traversant le Parc national de la Vanoise respectivement par le Col de la Masse et par le Col de Labby.
Bramans peut être relié directement via un chemin de terre.
Les communes d'Avrieux et de Sollières-Sardières sont reliées par des routes goudronnées.
Voies de communication et transports
La commune d'Aussois est reliée :
- vers l'ouest à Modane (à 7,5 km) par la route départementale D215. De là, en continuant vers l'ouest, on peut emprunter en direction de Chambéry l'autoroute à péage A43 (E70) ou la route D1006 (anciennement "RN6"), qui lui est parallèle. De Modane, on peut aussi se rendre en Italie (Bardonnèche, à 21 km) par le tunnel du Fréjus.
- vers l'est par la D83 à Sardières (à 4,5 km) puis à Sollières (Aérodrome de Sollières-Sardières). De Sollières, on rejoint la route D1006 qui remonte la vallée de l'Arc, vallée qu'elle quitte à Lanslebourg pour atteindre la frontière italienne, via le col du Mont-Cenis (fermé en hiver).
Toponymie
Ohely (prononcé [o.e ] ) est le nom du village d'Aussois en arpitan savoyard et les Oherins désignaient ses habitants[1]. Parfois le nom du village est écrit phonetiquement avec les conventions du français: « Ohéy » ou « Oé »[2]. "L'Arche d'Oé" et "Les ânes d'Oé' sont d'ailleurs le nom donné respectivement au XXIème au musée de la vie du village, et à une activité touristique locale. « Ohely » viendrait de solely[3] (soleil) reflétant l'orientation méridionale de la station, alors que la plupart des villages ou stations des environs sont situés en fond de vallée (Modane, Bramans, etc.) ou sur le flanc nord (La Norma, Valfréjus).
Le nom d'Aussois est lui davantage discuté, mais proviendrait du nom féminin Alseda[4]. Il pourrait également correspondre au chef-lieu Ocellum des Graiocèles.
Histoire
Près du village, le parc archéologique des Lozes témoigne par ses gravures sur roche (plusieurs centaines de signes) d'une occupation depuis au moins 1000 ans av. J.-C., et jusqu'au Moyen Âge.
Il est possible qu'avant la conquête romaine (fin du Ier av. J.-C. - début du Ier après J.-C.), Aussois ait été Ocellum, capitale du peuple gaulois des Graiocèles.
C'est ici, auprès d'un berger, que le roi Charles II le Chauve a trouvé refuge, affaibli par une fièvre qui va lui donner la mort en 877.
En 1802, le Piémont, occupé par les troupes de Bonaparte, est annexé au territoire français et divisé en six départements.
Après la chute de Napoléon, au congrès de Vienne (1815) la France doit renoncer à la Savoie. Réintégrée au royaume de Piémont-Sardaigne, la commune bénéficie alors (1819-1834) de la construction des forts de l'Esseillon (ou barrière de l'Esseillon), destinés à se protéger d'une attaque française.
Sous le second Empire, en 1859, la campagne d'Italie, qui voit l’armée franco-piémontaise affronter celle de l’Empire d'Autriche pour la deuxième guerre d'indépendance italienne, est l'occasion d'une alliance entre France et Piémont.
En contrepartie de cette aide, l'année suivante, le traité de Turin (1860) scelle le rattachement de la Savoie (correspondant aux 2 Savoies actuelles) à la France, rendant alors la barrière de l'Esseillon caduque.
1871 : ouverture du tunnel ferroviaire du Fréjus entre Bardonnèche et Modane ; Modane devient gare internationale et de nombreux Aussoyens y trouveront un emploi.
1938 : ouverture de l'Accueil Saint-Nicolas, un centre d'accueil géré par le clergé local.
En juillet 1940, après la défaite de la bataille de France, la population aussoyenne ayant été relativement épargnée, une statue est édifiée en reconnaissance, Notre Dame de la Paix, qui est inaugurée en aout 1942[5].
Entre 1950 et 1955, la construction de deux barrages EDF à Plan d'Aval et Plan d'Amont[6], au-dessus du village, lui assure un revenu régulier. En 1955, le chantier de Plan d'Amont sert de cadre au tournage de La Meilleure Part (1956), d'Yves Allégret, avec Gérard Philipe.
Fin des années 1950 : Aussois, qui n'est qu'à quelques kilomètres de la gare SNCF de Modane (Paris - Rome), s'ouvre au tourisme (maisons familiales Fleurs & Neige et La Vanoise ; Hôtel du Soleil).
En 1963, création du Parc national de la Vanoise (PNV) sur 28 communes ; une partie du territoire de la commune d'Aussois est en zone centrale, le village étant en zone périphérique. Le PNV a été un atout pour le tourisme - il n'est que de constater l'explosion démographique d'Aussois depuis les années 1960 - en particulier le tourisme d'été (randonnées, refuges, faune et flore) ; le Parc a cependant représenté un frein à l'extension de la station de ski alpin, en raison de l'interdiction d'équiper en remontées la zone centrale.
Une régie municipale est créée en 1969, pour l'exploitation des remontées mécaniques et des équipements touristiques.
En 1980, l'ouverture du tunnel routier du Fréjus, entre Modane et Bardonnèche, facilite la fréquentation de la station par des skieurs venant d'Italie.
Politique et administration
Aussois est une des sept communes du canton de Modane.
Liste des maires
Politique environnementale
Population et société
Démographie
Comme la plupart des communes des massifs alpins, Aussois connait :
- un maximum démographique au milieu du XIXe siècle, avec 766 habitants en 1861,
- un déclin démographique continu depuis la Première Guerre mondiale, avec le recul de l'activité agro-pastorale traditionnelle,
- un renouveau démographique depuis la 2° moitié du XXe avec le développement des sports d'hiver.
Un recensement officiel de la commune par l'INSEE s'est déroulé début 2011.
En saison touristique, la population est augmentée par l'affux de touristes, rendu possible par la construction de nouveaux hébergements.
Le prochain aménagement devrait concerner une zone résidentielle et tertiaire, dite « écoquartier de la Fintan »[7]
En 2012, la commune comptait 646 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[Note 1],[Note 2].
Manifestations culturelles et festivités
- La Fête-Dieu (procession, fête traditionnelle, en juin)
- Les Musicales d'Aussois - 31 juillet 2011[10]
- Le vivathlon (mois de juillet)
- La fête traditionnelle du 15 août
- La semaine culturelle (début juillet)
- Descente aux flambeaux
- La Grande Odyssée (étape sur la course internationale de chien de traîneaux)
- La compagnie des sapeurs-pompiers d'Aussois défile à l'occasion des principales festivités du village.
- La Onzième Conférence Internationale de Linguistique Austronésienne, 22-26 juin 2009
Économie
La commune a fait l'objet en 2001 d'un rapport de la Cour des Comptes[11] concernant notamment un endettement atteignant le plafond envisageable pour cette commune, notamment de par ses investissements touristiques.
Tourisme
La station
Hébergement et restauration
En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie-Mont-Blanc, est de 6 491 lits touristiques répartis dans 627 établissements[12]. Les hébergements se répartissent comme suit : 249 meublés ; 5 résidences de tourisme ; 2 hôtels ; 1 établissement d'hôtellerie de plein air ; 6 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse ; 6 gîtes ou gîtes d'étape, et 1 chambre d'hôtes[12].
Le domaine
Sports d'hiver :
- ski de piste
- ski de fond
- ski de randonnée
- luge, y compris snake gliss[13],[14]
- raquettes
- chiens de traineau
- snowtubing
L'hiver, un service de navette gratuite amène les skieurs au départ des remontées mécaniques.
Sports d'été :
- randonnée (Vanoise et Maurienne)
- alpinisme
- escalade[15],
- canyoning
- parapente
- via ferrata du Diable[16] (cinq voies techniques, dont la plus longue de France)
- parcours acrobatique forestier avec une tyrolienne géante : le parc du Diable[17].
- VTT
- PTT (parc aménagé)
En été, le télésiège du Grand Jeu amène les piétons au Montana (2 150 m), en contrebas du GR 5 (sauf le samedi).
Deux musées d'art et traditions (Âme d'Art[18] et Arche d'Oé[19]), deux hôtels-restaurant, gîtes et chambres d'hôtes[20], camping, marché traditionnel savoyard en haute-saison.
Au centre de vacances Paul Langevin du CNRS, cité plus haut, s'ajoute un CCAS d'EDF.
Production agricole
Élevage d'ovins et caprins laitiers. Depuis quelques années, les éleveurs, confrontés au retour du loup dans la Vanoise, ont recours aux patous.
L'élevage de bovins est en forte régression, donnant lieu à fabrication du fromage de beaufort et de tomme de Savoie, à la coopérative laitière de Lanslebourg.
Bois, donnant notamment lieu à des affouages.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments


Barrière de l'Esseillon
- La Barrière de l'Esseillon est une série de cinq fortifications construites au XIXe siècle, pour protéger le Piémont d'une éventuelle invasion française. Elle comprend quatre forts et une redoute, qui portent les noms de membres de la famille de Savoie :
- Fort Victor-Emmanuel[21],
- Fort Marie-Christine[22],
- Fort Charles-Félix[23],
- Fort Charles-Albert,
- Redoute Marie-Thérèse[24], sur la rive gauche de l'Arc. Une passerelle, le Pont du Diable, relie la redoute aux forts (situés sur la rive droite) à 90 m au-dessus du torrent. À noter que l'actuel Pont a été construit par la France. Les Italiens en ont construit un, dont les ruines se trouvent en remontant les gorges de l'arc direction l'Italie.
- Un cimetière militaire sarde est situé au cœur de cet ensemble.
- Pyramide au hameau de l'Esseillon, rappelant la construction de 1889 à 1891 d'une route militaire en direction de la Loza (2 327 m), où il était prévu d'installer des batteries d'artillerie, dans l'éventualité d'une agression italienne.
Sites touristiques

Sites naturels

- Monolithe, 90 m de haut, à Sardières.
- La cascade Saint-Benoit, 80 m de haut, sur la commune d'Avrieux ; le ruisseau Saint-Benoit prend sa source au Fond d'Aussois.
- Gorges de l'Arc
- Le parc archéologique des Lozes (gravures rupestres à même le sol).
De façon générale la commune d'Aussois héberge quelques raretés botaniques, comme le sabot de Vénus, la sauge d'Éthiopie, la bruyère des neiges, la clématite des Alpes ou le marabout (Stipa pennata). Bois de pins cembro.
Édifices
- Fontaines et lavoirs sur la Place et dans la rue Saint-Nicolas
- Four banal, rue Saint-Nicolas
- L'église Notre-Dame de l'Assomption, au clocher de style piémontais (XVIIIe siècle), d'un aspect extérieur sobre, dispose de riches décorations intérieures (poutre de gloire, retables, fresques, tableaux), qui lui valent son inscription dans le circuit des "Chemins du Baroque"[25] des vallées de la Maurienne et de la Tarentaise.
- Chapelles :
- Saint-Nicolas, la plus ancienne, rue Saint-Nicolas
- Saint-Roch (XVIIe siècle), rue de Cambaz
- Notre-Dame de la Salette (1877), rue d’En-Haut
- Saint-Jean-Baptiste, à l'intérieur de l'église Notre-Dame de l'Assomption
- Notre-Dame-des-Neiges au Fond d'Aussois (XIXe siècle)
- Chapelle du Fort Victor-Emmanuel (XIXe siècle).
- Poste du télégraphe Chappe de la ligne Lyon-Turin-Venise (XIXe siècle). Aujourd'hui en ruine, il est situé entre la station de Saint-André et celle de Sollières-Sardières toutes deux restaurées en 2012.
- L'Arche d'Oé, (XXIe siècle), musée agro-pastoral, rue de l'Église

Structures touristiques
- Voir plus bas l'économie touristique
- Centres de vacances. À Aussois se trouve en particulier :
- le centre de vacances Paul Langevin du CNRS[26]. En dehors des congés scolaires, ce centre accueille de nombreux colloques scientifiques rassemblant des chercheurs du CNRS, de l'INRA, d'universités et d'autres organismes de recherche publics et privés, comme les colloques biennaux de phytopathologie organisées par la Société française de phytopathologie, l'INRA et le CIRAD (Rencontres de Virologie Végétale[27], Rencontres Plantes-Bactéries[28], Rencontres de Mycologie Végétale[29]), ainsi que, en 2005, une conférence internationale sur le projet de recherche fondamentale Memphys[30], lié au proche laboratoire souterrain de Modane.
- Un CCAS d'EDF
Sites industriels
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- Les deux barrages EDF de Plan d'Amont et de Plan d'Aval construits entre 1948 et 1955. Plan d'Aval draine, outre le Saint-Benoit, toutes les eaux des alentours, en particulier celles des torrents issus des glaciers de la Vanoise (dent Parrachée, dôme de Chasseforêt, via une conduite forcée depuis Entre-Deux-Eaux), ainsi qu'une partie du torrent de Polset[31].
- Les conduites forcées et les 2 centrales hydro-électriques de Plan d'Aval.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de la Savoie
Liens externes
- Site de l'Office du tourisme
- Aussois sur le site de l'Institut géographique national
- Aussois sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- 1 2 frp:Ohely sur l’édition de Wikipédia en langue arpitane.
- ↑ http://www.aussois.com/liste.php?id=118
- ↑ Alain Favre, Diccionèro de fata: Savoyârd - Francês / Français - Savoyard, « Solely » p. 242, Yoran Embanner, Spézet, 2005.
- ↑ http://books.google.fr/books?id=JV-hg4Ul-iEC&pg=PA39&lpg=PA39&dq=toponymie+aussois#v=onepage
- ↑ http://www.aussois.com/liste.php?id=124
- ↑ http://www.sabaudia.org/v2/dossiers/barrages/public4.php
- ↑ http://www.savoie.pref.gouv.fr/sections/l_etat_en_savoie/recueil_des_actes_ad/2011/1108_-_janvier_2011/downloadFile/attachedFile/JANVIER_2011.pdf%3fnocache=1296740968.7 Savoie Recueil des actes administratifs Cf. page 25
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2011, 2012.
- ↑ Fêtes musicales
- ↑ Cour des comptes : Rapport d'observations définitives (2002)
- 1 2 « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en janvier 2015) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergement (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- ↑ Maison d'Aussois
- ↑ Train de luges
- ↑ Bureau des guides
- ↑ Maison d'Aussois
- ↑ Parc du Diable - Parcours aventure et culturel dans les arbres (Fort Marie-Thérèse - Aussois)
- ↑ Ame d'Art - Ame d'art - la maison des metiers d'art)
- ↑ L'Arche d'Oé
- ↑ La Roche du Croué
- ↑ « Notice no PA00118318 », base Mérimée, ministère français de la Culture : Forts de l'Esseillon : Fort Victor-Emmanuel
- ↑ « Notice no PA00118188 », base Mérimée, ministère français de la Culture : Forts de l'Esseillon : Fort Marie-Christine
- ↑ « Notice no PA00118187 », base Mérimée, ministère français de la Culture : Forts de l'Esseillon : Fort Charles-Félix
- ↑ « Notice no PA00118192 », base Mérimée, ministère français de la Culture : Forts de l'Esseillon : Redoute Marie-Thérèse
- ↑ voir http://www.savoie-patrimoine.com/
- ↑ http://next.caes.cnrs.fr/Vacances/Explorer/Aussois
- ↑ http://rvv2015.cirad.fr/index.php/rvv2015
- ↑ https://colloque4.inra.fr/aussoisplantebacterie
- ↑ https://colloque6.inra.fr/jjc2014
- ↑ Next Generation of Nucleon Decay and Neutrino Detectors IN2P3 7-9/04/2005
- ↑ Grands barrages des Alpes de Savoie (cache)
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