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Wicca

Wicca

Le pentacle, un des principaux symboles des wiccans.

La Wicca est un mouvement religieux basé sur l'« Ancienne Religion » définie par Gerald Gardner et incluant des éléments de croyances telles que le chamanisme, le druidisme, et les mythologies gréco-romaine, slave, celtique et nordique. Ses adeptes, les wiccans, prônent un culte envers la nature, et s'adonnent à la magie. La Wicca est un culte à mystères.

Sens du terme

Le terme « wicca » a été créé par Gerald Brousseau Gardner au XXe siècle, qui affirmait qu’il voulait dire « sagesse » en vieil anglais. En réalité, sorcellerie en anglais ancien se dit wiccacraeft (d'où le terme actuel witchcraft) et wicca est le masculin de sorcier (le féminin étant wicce et le pluriel wiccan). Ces mots dérivent du verbe wiccian qui signifie « ensorceler, pratiquer la magie. »

Pour Gardner, wicca avait à l’origine le sens d’« art des sages ». Sa thèse fut soutenue par l’ethnologue Margaret Murray qui écrivit le chapitre sur la sorcellerie dans l’édition de 1957 de l’Encyclopædia Britannica, où elle précise : « La signification du terme sorcière (witch) est liée à celle du mot savoir (wit) ». Elle peut être renforcée par l’analyse du mot wizard (étymologiquement « celui qui sait »), qui signifie lui aussi le sorcier et qui tire son origine du bas anglais wys/wis qui veut dire « sage », à rapprocher de « wise », qui veut dire « sage », de la même racine que le mot allemand, « wissen » signifiant « savoir ».

D’autres étymologies concurrentes sont cependant apparues. Robert Graves, dans La Déesse blanche, traitant du saule, un arbre qui dans la Grèce antique était dédié à Hécate écrit : « Ses liens avec les sorcières sont si forts dans l’Europe du Nord que les termes sorcière (witch) et criminel (wicked) dérivent du mot utilisé pour nommer l'osier (wicker). » Margot Adler, dans Drawing Down the Moon, rattache wicca à l’indo-européen wic/weik dont la signification recouvre les sens de soumettre et de changer. Elle estime donc qu’une « sorcière aurait été une femme habile à imaginer, à soumettre et à changer la réalité ».

Histoire

Origines

La Wicca s'inscrit dans la mouvance européenne du néopaganisme de la première moitié du XXe siècle. Elle consiste en un syncrétisme popularisé par le Britannique Gérald Gardner dans deux livres : Witchcraft Today, publié en 1954 et The Meaning of Witchcraft en 1959.

Le Livre des Ombres, ouvrage de référence de la Wicca gardnérienne, fut écrit à l'origine par Gérald Gardner (certains, comme Danielle Hemmert et Alex Roudene suggèrent également une collaboration rétribuée d'Aleister Crowley, le célèbre occultiste fondateur de la philosophie Thélémite), il fut partiellement réécrit par Doreen Valiente (née le dans le Mitcham dans le nord de Londres, sous le nom de Doreen Edith Dominy) selon certains auteurs[Qui ?] à la demande de Gardner, selon d'autres[Qui ?] de sa propre initiative après le décès de l'auteur initial. Chaque wiccan possède théoriquement son propre Livre des Ombres. Celui-ci récapitule les croyances et les rituels du lignage pour les traditions initiatiques. Chez les wiccans éclectiques, qui sont aujourd'hui majoritaires, il s'agit d'un journal religieux écrit ou compilé par l'adepte lui-même pour son seul usage.

Évolution du mouvement

D'abord confinée à un cercle restreint, la Wicca s'est progressivement développée dans les pays anglo-saxons où elle constitue la principale forme de néopaganisme. Diffusée par les milieux féministes américains dans le contexte général de la contreculture des années 1970, elle s'est progressivement transformée et diversifiée, acquérant une dimension écologiste qu'elle n'avait pas au départ. Parallèlement aux structures initiatiques issues de la lignée de Gardner ou d'Alex Sanders, s'est créée une Wicca éclectique dont les membres pratiquent en dehors de toute initiation formelle. Leurs croyances et pratiques divergent considérablement suivant les individus et la frontière entre la Wicca proprement dite et les autres formes de néopaganisme est souvent floue.

La diversité des pratiques, l'absence de structure centrale – et souvent de structure tout court – rendent le nombre des wiccans difficile à déterminer[1]. En 1990, l'étude NSRI avait estimé le nombre des wiccans aux États-Unis à 8 000. L'étude suivante ARIS, réalisée en 2001, en trouve 134 000 auxquels il faut ajouter une part significative des 140 000 Américains se définissant comme païens[2]. L'enquête du Pew Forum, réalisée en 2008 place à environ 1,2 million le nombre d'Américains pratiquant des religions New Age. La majorité d'entre eux seraient wiccans ou fortement influencés par la Wicca. Ces chiffres sous-estiment probablement la taille réelle du mouvement, une part significative des wiccans pratiquant en secret par crainte des discriminations. Une évolution similaire se constate dans tous les pays anglo-saxons. Les wiccans éclectiques sont, dans l'ensemble, largement majoritaires même si leur domination est moins prononcée en Grande-Bretagne.

Le divin

Statues de la Grande Déesse et du Dieu cornu sur un autel, lors d'un rituel wiccan.

La plupart des wiccans croient en une double déité représentée par une Grande Déesse et un Dieu cornu considérés comme des polarités complémentaires et l'incarnation des forces de la nature[3]. Les représentations divines sont multiples et variées, en fonction de la culture prégnante du groupe, par exemple Ceridwenn et Cernunnos, Isis et Osiris, Odin et Frigg, etc.

  • La Déesse mère : Elle symboliserait l'énergie féminine, la nuit, la magie, l'eau, la terre, la fertilité, le chaudron, le pentagramme, la coupe, le miroir. Elle est associée à la lune, astre dominant dans la Wicca, et à ses quatre phases. Les wiccans parlent de la triple déesse dans le sens où des quatre phases de la lune, trois seulement sont visibles :
    • La lune montante représenterait la jeune fille
    • La pleine lune : la mère
    • La lune décroissante : la vieille femme
    • La lune noire (nouvelle lune) : la mort

Un mythe attribuable tant à la tradition gardnérienne qu'alexandrienne que l'on peut trouver dans Progressive Witchcraft au chapitre 3, stipule que la Déesse, possédant toutes les connaissances (y compris celle de la mort) aurait séjourné dans le royaume de la mort de qui elle serait tombée amoureuse (la personnification de la Mort est masculine). Les wiccans voient dans la Mort une des manifestations du Dieu cornu.

La nouvelle lune est rarement incluse dans les rites wiccans. Lors de la nouvelle lune, la Déesse résiderait au royaume des ombres à des fins de régénération et les wiccans pratiquent à ce moment-là de la magie dite « passive » (méditation, voyance, etc.).

Ils croient que « Tout est Un » et que donc le Divin est partout et en toutes choses. Tout doit donc être honoré. En cela, la Wicca est l'une des assemblées de sorciers les plus tolérantes.

La philosophie

Elle se résume à ce seul conseil, mention finale du credo wiccan :

  • Fais ce qu'il te plaît tant que cela ne nuit à personne (« An'ye Harm None Do what Ye Wilt » en anglais archaïsant : « Si nul n'est lésé, fais ce que veux »).

Ce principe se retrouve aussi en Inde dans l’Ahiṃsā.

Les wiccans s'appuient sur le principe de tolérance, sur le respect de la nature. La Wicca se revendique art de vivre en harmonie avec son environnement, prônant le respect de l'autre ainsi qu'une démarche de partage avec celui-ci. Par ailleurs, les wiccans croient en l'existence de la magie, considérée comme « énergie cosmique » présente en chacun de nous et en chaque objet.

Un autre des principes phares de la Wicca est la Loi du Triple Retour : tout ce que l'on fait sera rendu trois fois, peu importe que cela soit positif ou négatif.

Les croyances

Les croyances wiccanes sont multiples, polymorphes et peuvent varier considérablement selon les individus. On trouve néanmoins quelques thèmes dominants :

  • L'existence de polarité : La Wicca postule que notre monde et notre conscience universelle sont bipolaires (féminin / masculin)[4].
  • Les dieux païens invoqués lors des cérémonies wiccanes sont empruntés des différentes mythologies, il n'y a pas de panthéon propre à la Wicca. Ces différentes divinités seraient des aspects de la déesse et du dieu, eux-mêmes partie intégrante d'une réalité plus vaste et intangible qu'ils appellent l'Un, le Divin ou l'Incréé ou l'Univers. L'humain lui-même ferait partie de cette globalité[5],[6].
  • La règle du triple retour : Certains wiccans croient au principe que toute cause à un effet que ce soit dans cette vie ou une autre (un peu comme le Karma ou le Wyrd).
  • La magie naturelle dont la dénomination ne semble pas faire consensus : Elle s'effectuerait comme la modification des énergies subtiles. Magie dont la manifestation la plus exemplaire et respectueuse est la magie de la Vie, manifestation du Divin. La magie peut aussi être dispensée par les entités divines.
  • Les symboles porteraient en eux une énergie proche des archétypes. Les wiccans dédient une énergie spéciale aux couleurs, pierres précieuses, herbes, encens, et par extension : potions, rituels, amulettes, etc.
  • Une énergie subtile provenant de mondes subtils : Plan éthérique, astral, etc. Selon les théories wiccanes, le corps serait le siège de l'âme, corps subtil.
  • La croyance dans les éléments : le feu, l'eau, la terre, l'air et l'esprit. Ces éléments sont ressentis comme ayant des propriétés mâles ou femelles, passives ou dominantes, positive ou négatives, etc.
  • La réincarnation : Les wiccans croient en la réincarnation. Certains adoptent une mythologie druidique nordique ou autre (The Summerland (en), Tír na nÓg, Sidh, Walhalla, etc.) pour évoquer l'après mort. Ces lieux seraient des lieux de repos, avant de passer à une autre incarnation.

Les wiccans font parfois appel à des disciplines magiques et des techniques naturelles diverses comme :

Reconnaissance

La Wicca est reconnue comme une religion aux États-Unis, y compris dans l'armée[7],[8],[9]. Elle l'est également au Canada et au Royaume-Uni.[réf. nécessaire]

Les pratiques

Il n'existe pas vraiment de pratique spécifique à la Wicca, celle-ci varie en fonction de la tradition adoptée. La plupart du temps, les rites se pratiquent en plein air, dans la nature, loin des regards. Actuellement, se développe une nouvelle forme de pratique, dite la pratique solitaire de la Wicca ou « Wicca de salon » (terme emprunté à Scott Cunningham) pour désigner les wiccans pratiquant chez eux, n'ayant pas la possibilité, ou le souhait, de le faire dehors.

En harmonie avec le rede wiccan mentionné ci-dessus (première règle), le wiccan pratique de la façon qui lui convient le mieux. Certains font leurs rites avec nombre d'accessoires (pentacle, athamé, baguette, vêtements appropriés, etc.), d'autres pratiquent de façon épurée, l’essentiel étant de se sentir le plus à l'aise possible pour être en harmonie avec son environnement et pouvoir correctement canaliser « l’énergie » lors du rite. Bougies et symboles des quatre éléments sont cependant très souvent présents. Il n'y a pas de sacrifice, animal ou humain ou quel qu'il soit, le wiccan respectant avant tout l'autre et la nature, certains pratiquant même le végétarisme. Tout au plus quelques offrandes sont faites aux divinités, mais celles-ci sont souvent des éléments de la nature tels que fleurs, herbes fraîches, eau, etc.

Lors du rite, le wiccan trace un cercle pour s'isoler et garder prisonnière l'énergie qu'il va appeler, du doigt ou avec un outil, par la pensée ou physiquement. Comme la nature est son propre temple, il se crée un espace de prières, qu’il « effacera » ensuite.

Il pratique ensuite son rite, puis referme le cercle, c'est-à-dire l'efface.

Les fêtes

Sous le nom de « roue de l'année », la Wicca regroupe vingt-et-une réunions de coven pour célébrer la fluctuation des saisons. Il s’agit d’un calendrier qui prend en compte les cycles solaires et lunaires, ainsi que ceux propres à l’agriculture traditionnelle.

Les vingt-et-une célébrations sont les quatre sabbats majeurs (Samhain, Imbolc, Beltane et Lugnasadh), les quatre sabbats mineurs aux solstices et aux équinoxes (Yule ou solstice d'hiver, Ostara ou équinoxe de printemps, Litha ou solstice d'été, Mabon ou équinoxe d'automne) et les esbats qui sont les douze ou treize nuits annuelles de pleine lune.

Sabbats

Le calendrier des dates sacrées de la Wicca consiste en une hybridation de l'ancien calendrier des peuples germaniques avec celui des peuples celtiques. Finalement, huit fêtes rythment l'année wiccane. Celles-ci procèdent de rites de célébration de la Nature, se déroulant souvent la nuit et que certains dénomment sabbats (en guise de clin d'œil au folklore médiéval qui appelait « sabbats », les réunions de sorcières). Il y en a quatre majeurs et quatre mineurs.

  • Samhain était l’époque du Nouvel An chez les Celtes. Les wiccans considèrent que c’est le moment où le voile entre les mondes est le plus fin. Ils célèbrent la mort du dieu. C'est le début de la partie sombre de l’année. On se détache du poids du passé et des souvenirs. Samhain est fêté le 31 octobre, jour consacré aux morts.
  • Yule (germanique), correspond au solstice d'hiver, vers le 21 décembre. La Déesse met au monde le Dieu cornu. C'est un sabbat associé à l’espoir, à la renaissance après la mort du passé.
  • Imbolc (celte), le 1er ou le 2 février. Imbolc est aussi appelé Oimelc, ce qui en gaélique signifie « lait de brebis ». La Déesse se remet de la naissance du Dieu. C’est un sabbat de purification et de prospérité, associé au lait et au feu ; c’est aussi le Dieu qui prend force et annonce le retour de la lumière, les wiccans mettent une bougie le soir à leur fenêtre pour saluer le retour de la lumière (à Imbolc, on gagne une heure de soleil par rapport à Yule).
  • Ostara (germanique), l’équinoxe de printemps, vers le 21 mars. Ostara est un sabbat de croissance, tourné vers l’avenir : on sème, la nature se réveille (le Cornu grandit, pour les wiccans), c'est aussi l’équilibre des forces le jour égale la nuit et on entre dans le domaine temporel du Dieu-Soleil, qui prend des forces chaque jour davantage.
  • Beltane, le 30 avril, d’origine double : Le nom est celtique, mais la date correspond aussi à la nuit de Walpurgis du folklore allemand. Le Cornu a atteint l’âge d’homme. Il désire la Déesse et s’unit à elle. Un des grands sabbats de l’année, qui fait pendant à Samhain. Cette fête était autrefois célébrée par des feux et des unions sexuelles, tradition combattue par l’Église chrétienne.
  • Litha (germanique), le solstice d’été vers le 21 juin. On célèbre le Soleil/le Dieu qui est à son apogée en allumant des feux (voir la fête de la Saint-Jean).
  • Lugnasad (aussi appelé Lughnasadh, ou Lammas, celtique), le 1er août. Lugnasad est le moment des récoltes, alors que le soleil décline.
  • Mabon, l'équinoxe d'automne, vers le 21 septembre. Les jours raccourcissent, les forces du Dieu déclinent. C'est une période d'équilibre (notamment entre les durées de la nuit et du jour), de méditations et de réflexions. Chez certains, c’est le jour de la mort du Dieu.

Esbats

Les esbats ont lieu lors des douze ou treize nuits de pleine lune de l'année. La lune est le symbole de la Déesse et la pleine lune est le moment où celle-ci est dans sa plus grande puissance, ainsi les esbats sont principalement consacrés à glorifier la déesse par des hymnes et des invocations. C'est aussi durant ces esbats qu'ont lieu les travaux collectifs de Wicca opérative.

Les traditions

On peut trouver de nombreux mouvements dans la Wicca[10], dont :

  • Le Gardnérianisme (ou Wica / Wicca Gardnerian) : Découlant de Gerald Gardner. Cette pratique très stricte nécessite, pour être wiccan ou wiccane d'être obligatoirement en coven et d'avoir été initié par une lignée d'initiateurs remontant à un wiccan/e reconnu (en fait à Gardner). Celui-ci a initié la plupart des membres qui ont démarré ce mouvement. C’est la première des Wicca. Celle-ci est une filiation découlant de Gérald Gardner. C’est une tradition qui se dit « stricte » (en vue extérieur) mais qui se base avant tout sur le principe que la Wicca est une religion à mystère et initiatique. Des règles précises définissent les Wiccans. Un wiccan est une sorcière qui fût initié par une autre sorcière dans un cercle façonné comme veut la tradition, Un wiccan est une sorcière qui pratique en coven et dont son initiateur (ou initiatrice) peut prouver sa « descendance » initiatique de Gerald Gardner. Un wiccan est toujours initié par une personne de l’autre sexe. Il existe en tout trois degré dans la Wicca gardnerienne. Gerald Gardner a toujours dit qu’il fût lui-même initié par une certaine Lady Dorothy Clutterbuck, grand-prêtresse du « New Forest Coven » dans les années 1930-1940. Le célèbre Livre des Ombres (LDO) ou Book of Shadows en anglais (BOS) de Gérald Gardner est un des plus vieux documents du genre dont certains fragments semblent remonter au temps des bûchers et à l’Antiquité. Une version est exposée au musée de sorcellerie à Boscastle. Un des LDO de Gardner les plus précieux (la première version du BOS) fut acheté par des sorcières de Toronto qui l’ont « enfermé » dans un coffre.
  • L'Alexandrianisme (ou Wicca Alexandrian) : Fondé par un disciple de Gardner, Alexander Sanders, c'est un dérivé du précédent. La Wicca Alexandrienne est la deuxième branche de la wicca la plus connue. Son fondateur, Alex Sanders (1928-1988). C’était un personnage singulier qui disait avoir était initié à l’âge de 7 ans par sa grand-mère. On le surnomme « Roi des Sorciers ». Le coven d’Alex Sanders était beaucoup plus accessible au public (à l’inverse des Coven Gardneriens). Son enseignement était proche de Gardner, il remania aussi certaines parties qui montrent qu'il s'est inspiré des rites de la Golden Dawn et des rites kabbalistiques pour ses pratiques magiques. La Langue énochienne remplaça le Theban et l’angéologie est beaucoup utilisée dans ses rites.
  • La Wica Tradition (New-York Wica Tradition) : La Wica Tradition (ou Ne-York Wica Tradition) - abrégé : NYWT- est une tradition de la Wica traditionnelle créée dans les année 70 par Edmund Buczynski à New-York. Cette tradition est très active aux États-Unis. Maintenant le noyau originel de la Tradition gardnerienne (puisque la NYWT découle de la tradition Gardnerian), la Wica Tradition est une tradition "OUATHBOUND" (cela signifie que les initiés font un serment de garder secret les informations de la tradition, lors de leur initiation). Cette tradition suit le principe Gardnerian dans sa forme de pratique, ses degrés d'initiations et sa structure théologique. Mais contrairement aux autres traditions wiccannes traditionnalistes (Alexandrian ou Gardnerian). La NYWT permet au coven d'être dirigé par deux partenaires du même sexe. De plus, un homme peut initier un autre homme et une femme une autre femme. De plus (sous certaine condition), la pratique des rites peuvent être "Skyclad" ou en "Robe". Il existe une antenne en Louisiane qui est très active et une autre en Europe qui est naissante.
  • La Tradition aradrienne (ou Aradrian Tradition) : Cette forme de witchcraft (sorcellerie) n'a aucun lien avec la Wicca « initiale ». Fondé en 1999 par Charles Renaud, au Canada, ce mouvement décrit les divinités comme des parties indépendantes du Grand Dieu et de la Grande Déesse. Elles ont une indépendance d'esprit et d'action qui leur est propres, en opposition à d'autres mouvements qui les considèrent comme des parties intégrantes du Grand Dieu et de la Grande Déesse. Les wiccans aradriens reconnaissent clairement un Grand Dieu et une Grande Déesse, qui sont à leurs yeux égaux, bien que l'aspect féminin soit souvent privilégié. L'interaction entre les Hommes et les Divinités est décrit comme un moyen de connexion privilégié. Les wiccans aradriens décrivent, au sein de « forces énergétiques », un troisième joueur indépendant, le mal. Ceci différencie la Wicca aradrienne des autres mouvements, qui ne reconnaissent pas d'entité maléfique.
  • La Tradition dianique : C’est une forme féministe de la Wicca qui met à l'honneur la déesse, favorisant son culte. Elle a été fondée par Zsuzsanna Budapest. Aucun lien initiatique relie la Tradition Dianique à la Wicca dite « traditionnelle ». La Wicca Dianique fût créer par Zsuzsanna Emese Budapest, une hongroise réfugiée à Los Angeles après la révolution de 1956 et Starhawk (Miriam SImos) une militante, activiste politique et écologiste. Cette tradition est à tendance féminine, favorisant le culte de la Déesse (en oubliant souvent le Dieu, voir en le supprimant littéralement des rituels). La Wicca Dianique fut créée dans les années 1970. L’ouvrage The Spiral Dance de Starhawk (publié en 79) est le texte le célèbre consacré au culte de la Déesse. Cette tradition fut célèbre grâce à Starhawk qui était très active. Elle créa des manifestations, des rituels de protestations énergétiques. À l’époque de la guerre du Viet-Nam, Starhawk réalisa un grand rituel de protestation devant plusieurs camps militaire (suivi par les journalistes) ou bien devant des centrales nucléaires. Starhawk manifesta aussi violemment en tant que sorcière contre l’Organisation mondiale du commerce à Seattle en 1999. Sachez que le mouvement de Wicca dianique basé sur la pratique de rituels de « protestations » est appeler RECLAMING (ou tradition RECLAMING). Zsuzsanna Budapest écrivis le célèbre livre The Holy Book of Women’s Mysteries (Le Saint Livre des mystères féminin) qui est un des ouvrages dianiques les plus célèbres. Ce mouvement (suivit par une Tradition) apparus grâce aux différentes études d’archéologue, folkloriste, historiens et ethnologues, ainsi que de l’influence de courants occultes et néo-païens non wiccans.
  • La Tradition faerique ou « pictish Wicca » : Cette tradition est un peu plus sombre que les autres puisqu'elle reconnaît la part obscure de chaque être et ne cherche pas à la nier. Elle s'inspire davantage de la culture celtique. Elle se base essentiellement sur la nature. Par exemple, dans la pictish Wicca il n'est pas nécessaire de fabriquer un pentacle : une pomme coupée dans le sens horizontal en offre un parfait. Certains de ses membres ne la reconnaissent pas comme une branche de la Wicca[11]. Cette Tradition se base sur la culture celtique, surtout écossaise. Cette branche de la wicca reconnaît la part sombre de chaque chose, ils ne la nient pas et l’utilisent aussi lors de leurs rituels. Les Pictish Wiccans se basent essentiellement sur le retour à la nature dans leur vie et dans leurs rituels. Les outils doivent être les plus purs possibles et donc les plus naturels possibles. Dans cette tradition certains outils sont éphémères (comme la nature), l’exemple le plus courant est le pentacle d’autel. Ils ne créent pas ou n’achètent pas de pentacle d’autel mais utilisent une pomme coupée en deux dans le sens horizontal (la disposition des pépins formant le tracé d'une étoile à cinq branches). Celle-ci donne un pentacle d’autel qui est parfait.
  • L'Eclectisme : Ce terme désigne les praticiens, croyants et covens n'appartenant à aucune tradition précise. Ce type de pratique est très ouvert. Elle peut s’inspirer des textes wiccans ainsi que de plusieurs éléments de diverses traditions et mythologies. La plupart des Wiccans Eclectiques pratiquent en solitaire, mais certains se regroupent et forment des Covens. Chaque personne ou coven possède ses propres règles. En conséquence, la hiérarchie traditionnelle (initié, prêtre, grand-prêtre) est soit inexistante, soit l'attribution est laissée au vote des membres du coven. La personne ayant créé et développé ce type de wicca est sans doute Scott Cunningham qui a écrit plusieurs livres sur la pratique de la wicca en solitaire, dont le best-seller La Wicca, guide de pratique individuelle. La Wicca éclectique permet de créer sa tradition, en fonction de ses affinités spirituelles, de son ressenti personnel et de ses préférences ou bien même de se calquer sur les traditions déjà existantes. Certaines personne solitaires poussent les recherches loin, en dehors des livres publiés uniquement sur la Wicca (documents universitaires, historiques, traitants de divers aspects des cultes préchrétiens, comme les spiritualités égyptiennes, celtes, scandinaves, etc.) pour pousser au plus sincère, l'envie de trouver un véritable chemin spirituel en adéquation avec ses aspirations. À noter que la Wicca éclectique est une forme de Wicca avec très peu de contraintes, tant sur le plan spirituel qu'initiatique, le Wiccan éclectique ne dépendant souvent d'aucun Coven, garde sa totale liberté individuelle sur tous les aspects, ce qui fait de cette branche de la Wicca, la plus populaire, la plus pratiquée et la plus appréciée.
  • La Tradition Reclaiming : est une sorte de mélange entre de la spiritualité wiccane et un activisme politique (écologie, féminisme, etc.). Elle a été fondée par Starhawk.
  • La Church of Wicca : Cette « tradition » est une sorte d'école qui propose des cours par correspondance. Leur vision de la Wicca exclut la Déesse. Cette tradition porte de nom de wicca que dans le titre. Fondée en 68. Leur structure est semblable à l’Église catholique. Ils ne croient qu’en une divinité unique et pratiquent le tantrisme sexuel.
  • La Celtic Wicca est basée sur le panthéon celtique. Cette tradition est individualiste : chacun suit son chemin. Elle est principalement basée sur la guérison et la nature dans leurs rituels de groupe ou individuel pour honorer l'Ancien Lumineux (le Dieu) et la Terre (la Déesse). C'est une des voies dites celtisantes très populaire.
  • La Seax Wicca / Wica: La Seax-Wica est une tradition du néo-paganisme de la Wicca qui est largement inspirée de l'iconographie du paganisme historique anglo-saxon et qui, contrairement au Theodism, n'est pas une reconstruction de la religion médiévale, mais une réelle « nouvelle » branche de la Wicca. La tradition a été fondée en 1973 par Raymond Buckland, un grand prêtre d'origine anglaise et initié à la Wicca gardnerienne par Monique Wilson et qui a déménagé aux États-Unis dans les années 1970. Son livre, The Tree, a été rédigé avec l'intention d’être un guide de référence à la Seax-Wicca, et a été publié en 1974 par Samuel Weiser, puis réédité en 2005 sous le titre Buckland's Book of Saxon Witchcraft 1. Il y a aussi en ligne des Livres Ombres de la tradition sur des sites variés. La tradition honore principalement des divinités germaniques telles que Woden et Freya, qui sont considérées comme des représentations des divinités Wiccan du Dieu cornu et de la Déesse Mère. Elle utilise un ensemble minimal d’outils cérémoniels habituels, ainsi qu’une lance. Les runes sont une partie importante de la pratique et sont régulièrement discutées.
  • La Minoan Brotherhood (Fraternité minoenne) : La Minoan Brotherhood a été créé à New York par Eddie Buczynski (Lord Gwydion) au milieu des années 1970. La Fraternité reste exclusivement une Tradition pour les hommes Gay qui souhaite explorer le "Masculin Gay Sacré", et qui vise à reconnaître la divinité inhérente à chaque frère. Eddie Buczynski était un initié de la Tradition gardnerienne. Les rituels de la confrérie sont principalement ceux de la Tradition Gardnerien, quelques changements ont été faits pour accueillir une mythologie de base différente de celle de la tradition Gardnerian et personnalisée les rituels afin de les adapter à la pratique homosexuelle. Les divinités adorées sont ceux de l'ancienne Crète et de Mycènes: La Grande Mère de tous ce qui vie Rhéa, et son divin Fils (l'Unique Etoilé). La tradition Minoan Brotherhood est une tradition secrète, discrète et complémentaire à d'autres traditions wiccannes traditionalistes. Pour faire partie de la Fraternité il faut être initié par un Minos (prêtre Minoan), dont la lignée découle vers Lord Gwydion. Il existe trois degrés d'initiation, après la troisième l'individu est qualifié pour créer une nouvelle coven appelé GROVE (Bosquet). Les réunions ont lieu lors des pleines lunes et des sabbats, et sont traditionnellement SKYCLAD. Les rituels sont effectués en covens, en couple ou seul. Cette tradition est très active aux États-Unis. Il existe même une branche lesbienne appelé "Sororité minoenne" (Minoan Sisterhood). Cette tradition possède une antenne en Europe qui est naissante. On peut trouver de nombreux mouvements associer à la wicca n'en faisant pas officiellement parti, dont :
  • La Tradition nativiste Correllienne : Tradition wiccane présente un peu partout dans le monde, qui a été créé par Orpheis Caroline High-Correll.
  • La Wicca luciférienne : La Wicca luciférienne est une tradition qui est née en France et fut créée par Jacques Coutela et Diane Lucifera. Deux grands Covens existé de cette tradition. La Wicca internationale Witchcraft de Jack Coutela et Diane Lucifera. Coven qui fut arrêté dans les années 90. Le Cercle de la Licorne de Yul Rugga. Coven en sommeil. De nos jours la Wicca Luciférienne s’est développée à travers le monde, notamment en France et en Belgique. En France, la principale wicca luciférienne a été créée en 2011 par Stéphane Violet, Branis Galis et Estelle Mazzega (alias Lilith, grande prêtresse luciférienne). C'est la seule qui soit référencée comme association et inscrite au Journal officiel des associations. Elle comporte un coven et offre des cours par correspondance, et des ateliers sorciers ponctuels sont organisés dans leur obédience. En Belgique, la tradition est née au début du XXIe siècle et fut fondée par Khris Aéllitab (dit aussi Ravenèros ou Apophis). Cette tradition dite wiccane s’inspire de différentes traditions ésotériques. L’ordre du Scorpion noir (Ordo Scorpionis Nigri) se distingue des autres courants par une tradition gardnérienne et luciférienne. Cette wicca luciférienne reprend les enseignements du coven belge « Abraxas » qui était dirigé par Anubis et Nahema-Nephtis. Anubis (qui se faisait appeler « grand maître ») détenait sa filiation du Cercle de la Licorne. En plus de ces deux cercles officiels, existent des petits cercles officieux un peu partout en France et en Belgique.

Les traditions non wiccanes :

  • Clan Tubal Cain (1734) : La Tradition « Clan Tubal Cain » est une tradition non Wiccane qui se réclame de la vraie sorcellerie. Appelé aussi Tradition Sorcière, cette tradition fût créé par Robert Cochrane (1931-1966). La Tradition Tubal Cain est une tradition oral dont aucun écrit des pratiques « secrets » ne fût dévoilé. Cette tradition est une tradition de mystère apparue en Grande-Bretagne durant les années 1960. Cette tradition fût introduite aux États-Unis entre 1964 et 1966. Cette tradition était très développée lorsque Cochrane était vivant (à tel point que Doreen Valiente fut initié à cette tradition) mais à la mort de Cochrane, cette tradition c’est essoufflée. C’est que dans les années 76, qu’Ann et David Finnin, en se basant sur les écrits de Cochrane, ont tenté de recréer cette tradition dans un groupe dit « Expérimental » appelé « The Roebuck ». En 1982, le clan « The Roebuck » fut mis en contact avec Evan John Jones (dernier membre survivant du groupe originaire de Cochrane). Ann et David furent alors initiés par Evan John Jones pendant deux ans. Les pratiques des mystères de la tradition originaire de Cochrane et les pratiques modernes du The Roebuck furent fusionnées et créèrent alors la tradition moderne du Clan Tubal Cain qu’ils nommèrent 1734. Cochrane détestait Gardner (malgré le fait qu’il fût initié à la Wicca gardnérienne). En effet, on trouve des traces d’une initiation gardnérienne de Robert Cochrane via une certaine « C.S. ». Cochrane utilise le terme de Clan à la place de Coven. La tradition Tubal Cain se base essentiellement sur une forme de chamanisme européen (travail avec la visualisation et les sorties astraux et le channeling), des pratiques très peu ritualisées pratiquées en extérieur.
  • NROOGD (New Reformed Orthodox Order of the Golden Dawn) : La tradition « New Reformed Orthodox Order of the Golden Dawn » ou NROOGD est une tradition sorcière (non Wiccane) existant depuis 30 ans aux États-Unis. Cette tradition était avant tout un groupe d’étude occulte qui se transforma avec le temps en Coven sous le nom de « Full Moon Coven». Ce système qu’ils ont créé était basé sur les écrits de Gérald Gardner, de Robert Graves et sur les textes de l’OTO. Cette tradition fut créée à une époque où la Wicca et la sorcellerie étaient très secrets et dont aucun rite n'était public. Le Full Moon Coven créa alors beaucoup de rituels (symboliques) de sorcellerie. La NROOGD n’est pas une tradition secrète, elle a commencé en pratiquant des rituels publics. Le premier rituel de ce genre a eu lieu le 11 janvier 1968 à Muir Beach en Californie. Il n’existe pas de noms secrets, de mots de passe ou de rituels secrets (contrairement à d'autres traditions). La NROOGD suit le principe des cordes pour symboliser les différents niveaux de pratiques (se basant sur le livre Witchcraft: The Sixthe Sense dont un passage raconte que les anciennes sorcières utilisent le principe de cordes pour symboliser les degrés. En 1968, le groupe d’étude de la NROOGD a réfléchi sur les correspondances magiques. Ils étudièrent les correspondances rendues publiques (via les livres de Crowley) mais ils trouvèrent celle-ci trop judéo-chrétienne. Ils s’inspirèrent des écrits de Robert Graves et de l’évolution des couleurs d’un fruit (la Mûre). Blanche = Verte = Rouge = Noire. Ils utilisèrent alors cette symbolique pour les cordes. Les correspondances (EST / SUD / OUEST / NORD) sont aussi différentes, pour eux l’EST représente la couleur blanche et l’élément Eau, le SUD la couleur Verte et l’élément Terre, l’OUEST la couleur rouge et l’élément Feu et le NORD la couleur Noire et l’élément Air.

Les covens

Un coven peut être défini comme un regroupement de wiccans qui se rassemblent pour célébrer les sabbats. Il peut être mixte ou non, affilié à un rite reconnu ou pas. Les célébrants sont parfois nus (skyclad, littéralement « vêtus du ciel »), surtout dans les covens dits « traditionalistes ». Traditionnellement, le nombre maximum de « sorcières » dans un coven est de treize (13), dirigé par une grande grande-prêtresse et un grand-prêtre. Les hommes sont initiés par la grande-prêtresse et les femmes par le grand-prêtre. Il y a souvent trois degrés d'initiation dans un coven, le dernier donnant la possibilité d'être grand-prêtre ou grande-prêtresse et de fonder un nouveau coven. Les wiccans éclectiques pratiquent seuls, en dehors de toute hiérarchie et sans suivre de rite établi.

Bibliographie

Romans

  • Sorcière, la série de Cate Tiernan

Ouvrages en lien avec la Wicca

En français
  • Jean-Pascal Ruggiu, La Wichcraft, in XXX, Sexualité et ésotérisme, L’Autre Monde no 127, 1991 ;
  • Christian Bouchet, La Wicca, retour de la vieille religion ou mystification ?, Cahier du cercle Ernest Renan no 215, 2000 ;
  • Christian Bouchet, Wicca, Pardès, 2004 ;
  • Cristopher Wallace, La Magie wicca, De Vecchi, 2004 ;
  • Anne-Marie Lassalette-Carassou, L’aventure transatlantique du Wicca, in Bernadette Rigal-Cellard, Missions extrêmes en Amérique du Nord, Pleine page, 2005 ;
  • Olivier Michaud (Athénos), Charmes et sortilèges Wicca, Exclusif, 2005 (ISBN 9782848910451) ;
  • Scott Cunningham, La Wicca, Éditions du Roseau, 1999 ;
  • Scott Cunningham, La Wicca vivante, Éditions du Roseau, 2000 ;
  • Frederic Lamond, La Religion sans dogme, Publibook, 2003 extrait et recension ;
  • Starhawk, Femmes, magie et politique, (postface d’Isabelle Stengers), Les Empêcheurs de penser en rond, 2003 [Dreaming the Dark, en anglais] ;
  • Gerald Gardner, Le Livre des Ombres, Camion noir, 2007 ;
  • Marc-Louis Questin, Mystérieuse Wicca, Escalquens, éd. Trajectoire, 2008.
En anglais
  • Doreen Valiente, Witchcraft For Tomorow, ???, 1960-1970
  • Margot Adler, Drawing Down the Moon, Beacon Press, 1986.
  • Raymond Buckland, The Tree: Complete Book of Saxon Witchcraft, Samuel Weiser, 1974.
  • Raymond Buckland, Buckland's Complete Book of Witchcraft, Llewellyn, 1986.
  • Raymond Buckland, Wicca for Life, Citadel Press Books, 2001.
  • Vivianne Crowley, Wicca - The old religion in the New Age, The Aquarian Press, 1989.
  • Vivianne Crowley, Phoenix from the Flame, Pagan Spirituality in the Western World, Aquarian, 1994.
  • Ronald Hutton, The Triumph of the Moon, a History of Modern Pagan Witchcraft, Oxford University Press, 1999.
  • Prudence Jones & Nigel Pennick, A History of PAgan Europe, Londres, Routledge, 1995.
  • Aidan Kelly, Crafting the Art of Magic, A History of Modern Witchcraft, St Paul, Llewellyn Publications, 1991.
  • Leo Ruickbie, Witchcraft Out of the Shadows, Robert Hale, 2004.
  • James Aten, The Truth About Wicca And Witchcraft-Finding Your True Power, 2008.

Ouvrages d'influence

  • Charles Godfrey Leland, Aradia, ou l'évangile des sorcières, Les Trois Parques.
  • Margaret Murray, Le Dieu des sorcières, Camion noir, 2011.

Les films représentant les wiccans

Cinéma

  • Dangereuse Alliance (ou The Craft), film de 1996 de Andrew Fleming
  • Les Ensorceleuses (ou Practical Magic), film de 1998 avec Sandra Bullock et Nicole Kidman
  • Les Brumes d'Avalon, d'après le roman The Mists of Avalon de Marion Zimmer Bradley, traduit en deux tomes, Les Dames du lac et Les Brumes d'Avalon
  • The Wicker Man, avec Nicolas Cage, 2006
  • The Wicker Man (film, 1973), avec Christopher Lee

Séries télévisées

  • Charmed
  • Buffy contre les vampires : Willow évolue tout au long de la série dans la pratique de la sorcellerie.
  • JAG dans Les Sorcières de Gulfport, épisode consacré à la place des wiccans dans l'armée américaine[12].
  • Boston Justice dans Chasse aux sorcières[13].
  • Mentalist dans Magie rouge et noire[14]. À noter que le titre anglais, Red Rum, est le mot murder écrit à l'envers. Cette astuce apparaît à plusieurs reprises dans le cinéma, par exemple dans Shining.
  • Flics toujours dans Wicca Work[15],[16].
  • True Blood : dans la saison 3, la serveuse Holly est une sorcière wiccane.
  • Bones dans Le Cercle de Moonwick[17],[18].
  • Les Simpson où Lisa tombe nez à nez avec des sorcières wiccanes dans l'épisode 7 de la saison 21, Les Apprenties sorcières.
  • Supernatural : un wiccan donne à Becky une potion d'amour dans l'épisode 8 de la saison 7[19].
  • The Secret Circle : série axée sur un cercle de jeunes sorciers et sorcières.
  • Witches of East End : série mettant en scène quatre sorcières.
  • American Horror Story Coven : saison 3

Notes et références

  1. (en) Bonewits, I (2005) How Many "Pagans" Are There?
  2. « American Religious Identification Survey », New York, City University of New York (consulté le 5 juin 2007)
  3. (en) Joanne Pearson et Roberts, Richard H ; Samuel, Geoffrey, Nature Religion Today : Paganism in the Modern World, Edinburgh, Edinburgh University Press, (ISBN 978-0-7486-1057-0, OCLC 39533917, LCCN 99487758, lire en ligne), p. 6
  4. Les principes de la Wicca, sur le site Willow Heart Wicca
  5. La voie de la déesse et des dieux anciens, par un membre de la Ligue wiccan eclectique
  6. La mouvance wiccane au Québec : un portrait de la sorcellerie contemporaine, Mireille Gagnon, 2003
  7. Compliance Manual Section 12 - Religious Discrimination
  8. Fort Bragg N.C. - Wiccan Beliefs
  9. Handbook of religious beliefs and practices, 2004
  10. Traditions et différents types de Witchcraft
  11. (en) Is Feri a Wiccan tradition ?
  12. (en) JAG - The Witches of Gulfport (2000), 21e épisode de la cinquième saison
  13. (en) Witches of Mass Destruction (2005), 6e épisode de la deuxième saison
  14. (en) Red Rum (2009), 12e épisode de la première saison
  15. (en) Wicca Work (2006), 5e épisode de la troisième saison
  16. (en) Wicca Work (2006) sur le site de la BBC
  17. (en) The Witch in the Wardrobe (2010), 20e épisode de la cinquième saison
  18. Le Cercle de Moonwick, sur M6.fr
  19. (en) Supernatural: Season 7, Time for a Wedding!

Articles connexes

Liens externes

  • La Mouvance wiccane au Québec : un portrait de la sorcellerie contemporaine, thèse de Mireille Gagnon, université Laval, 2003
  • (en) Site sur le fondateur de la tradition gardnérienne
  • Wicca et secte
  • Les wiccans, néo-païens de charme, Le Monde des religions, 5 mars 2014
  • Portail des religions et croyances
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