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Vars (Hautes-Alpes)

Vars (Hautes-Alpes)

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Vars
Le village en hiver.
Le village en hiver.

Blason
Administration
Pays  France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Canton Guillestre
Intercommunalité Communauté de communes du Guillestrois
Maire
Mandat
Jean-Pierre Boulet
2014-2020
Code postal 05560
Code commune 05177
Démographie
Gentilé Varsincs
Population
municipale
706 hab. (2012)
Densité 7,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 45″ N 6° 41′ 26″ E/44.5958, 6.690644° 35′ 45″ Nord 6° 41′ 26″ Est/44.5958, 6.6906
Altitude Min. 1 320 m  Max. 3 381 m
Superficie 92,2 km2
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes

Vars

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Vars

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Vars

Géolocalisation sur la carte : France

Vars
Liens
Site web vars.com

    Vars est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Elle est connue comme station de sports d'hiver.

    Ses habitants sont appelés les Varsincs.

    Géographie

    Situation

    Fin d'après-midi hivernal.

    Vars est une commune alpestre située sur l'axe qui relie les communes de Guillestre et de Barcelonnette, par le col de Vars à 2 108 m. Du haut du col, en regardant vers le sud, il est possible de distinguer les gorges de l'Ubaye.

    Relief et géologie

    Vars se situe aux portes du parc naturel régional du Queyras. Une partie de la commune, la réserve du val d'Escreins, une des premières réserves municipales de France créée en 1964, a été intégrée au parc depuis sa création en 1977 jusqu'en 2010.

    À 3 385 m d'altitude, la Font Sancte est le point culminant de la commune.

    Vars constitue, avec Risoul, le domaine de la Forêt Blanche entre 1 650 m et 2 780 m d'altitude. Ce domaine compte environ 180 kilomètres de pistes, plus de 100 pistes et environ 55 remontées mécaniques dont 1 télécabine, 1 télépulsé et 7 télésièges débrayables.

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune est composée de quatre hameaux : Saint-Marcelin (altitude : 1 500 m), Sainte-Marie (altitude : 1 650 m), Sainte-Catherine (altitude : 1 750 m) et les Claux. Ce dernier hameau, qui constitue le cœur de la station de ski actuelle, s'étage entre 1 800 m et 1 950 m.

    Toponymie

    Toponyme Vars

    La commune est nommée Varsea et Varz en 1101 et 1168[1], Varcium en 1153 et 1177[2], Castrum Varcii en 1295[3], Castrum de Varsio ou Varcio[4] en 1310, Castrum Varcii[5], Varcium en 1450[6], Vercium en 1516 & Varcium en 1520, Vars en 1568[7].

    Plusieurs hypothèses tentent d'expliquer l'étymologie[interprétation personnelle] :

    • Il s'agirait d'un oronyme qui viendrait du pré-celtique « var », signifiant « rocher ». A aussi donné « Varsi », « Varsie » (avec le suffixe « -ia » qui est un collectif), « Varces »[réf. nécessaire] ;
    • Une autre hypothèse oronymique de Vars dériverait du latin Varcum, qui voudrait dire col, passage[réf. nécessaire] ;
    • Une autre version lie cette étymologie « lieu de sépultures antiques ». En effet nombre[Qui ?] affirmèrent qu'ont en ait trouvé plusieurs là. A part la nécropole du Panacelle de l'age du Bronze, aucune autre n'ont été découvertes. Il semblerait qu'il y ai un amalgame. En effet, une étude[Laquelle ?] sur les Gaulois, qui fit référence (cinq volumes, 1727), cite une découverte archéologique de sépulture en 1541 à Vars[8] au nord d'Angoulême[9]. Malgré tout en Ubaye, il y a des nom de familles « De Vars ». François Arnaud, érudit du XIXe siècle, publie en 1897 dans Tribulations d'un notaire de Barcelonnette sous la terreur[10]: « Vars » est le nom donné aux caveaux de famille se trouvant dans l'église de Barcelonnette et il dit que le nom du col de Vars à la même étymologie. Mais F. Arnaud semble se tromper de lieu pour les découvertes archéologiques (âge du fer) qui auraient été faites (docteur Antoine Ollivier 1823-1905 Ubayette, Serenne etc). Exposition au musée de Barcelonnette[11].

    Cette dernière étymologie étayée par de mauvais arguments rejoint peut-être la seconde. Le patois local emploie bien le mot « Vars » pour les sépultures dans les actes notariés. Cette acception pourrait-être parallèle au sens du « passage terrestre ». Par extrapolation dans le sens chrétien de la mort : un passage, au sens de « porte d'entrée dans la vie éternelle », les deux se rejoindraient par ce lieu même, au sens de l'unité de l'église avec le tout premier évêché régional Embrun ! Le passage, ce col, comme le Montgenèvre, aurait eu une grande importance dans le lien trans-alpin constitutif de notre unité culturelle européenne, diffusant ce sens de la vie « passage » !

    Hydronyme Chagne

    La pertinence de cette section est remise en cause, considérez son contenu avec précaution. En discuter ?

    Ce toponyme Chagne est souvent berrichon et poitevin désignant un bois de chênes, une chênaie. Mais on le trouve aussi en PACA: Torrent et casses de Chagnard, 05500, La Motte-en-Champsaur; Chagnard, 05350, Arvieux; Chagnarde, 05000, La Freissinouse; la Chagno, 06420, Tournefort; les Chagnardes, 84600, Richerenches.

    Histoire

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (avril 2015). Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [Comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    Saint-Marcellin est le village le plus ancien de la commune. On y pratiquait[Quand ?] principalement des activités pastorales qui ont majoritairement disparu au profit d'activités touristiques. Les activités pastorales demeurent toujours, principalement sur le flanc sud aux environs de Sainte-Catherine. La commune s'est ensuite étendue vers Sainte-Marie et Sainte-Catherine. C'est à partir de ce premier hameau qu'ont été construites les premières remontées mécaniques[Quand ?] et les premiers hôtels, créés pour la plupart dans les anciens chalets. Enfin, à partir de 1962, Les Claux ont été construits autour des activités sportives et principalement du ski alpin. Aujourd'hui, les villages historiques ne se développent plus au profit des Claux qui continue sa croissance vers le col.

    Une nécropole dite du « Panacelle », de l'âge du Bronze, fut découverte en 1849[réf. nécessaire], montrant des hommes de grande taille avec des parures. On[Qui ?] conclut alors des Gaulois[Quoi ?]. Le site est situé à la limite nord de la commune, vers Guillestre, rive gauche de la rivière « La-Chagne » (dernier confluent du Guil en face du versant de « Peyre-haute » (une petite route et un pont existent, dit du Panacelle) une découverte archéologique[Quoi ?][12]. Les chercheurs[Lesquels ?] rapprochent cette découverte de l'immense borne du plateau de Guillestre qui a les caractéristiques d'un menhir avec ce qui serait peut-être un autel druidique[évasif].

    Une des nombreuses théories sur le passage des Alpes par Hannibal avance que son armée et ses éléphants de combat seraient passés le col de Vars, en 218 av. J.-C.[réf. nécessaire]. Les plus récentes recherches[Lesquelles ?] décrivent aujourd'hui ce passage comme improbable, au profit d'autres propositions[Lesquelles ?].

    Du Ier siècle av. J.-C. jusqu'à nos jours, Vars reste un lieu de passage déterminant entre la France et l'Italie. Ainsi, ses habitants verront s'y succéder de nombreuses batailles[Lesquelles ?]. Les Sarrasins sont chassés des Hautes Alpes au Xe siècle. Les armées de François Ier sont passées par le col de Vars pour attaquer l'Italie et gagner la bataille de Marignan en 1515.

    À partir du XVIe siècle, les protestants prennent en fief le village de Vars[réf. nécessaire]. En paisible coexistence avec les catholiques, les Huguenots font de Vars un refuge et édifient un temple. En 1684, une répression s'abat par ordre du Dauphin, Louis VI dit le Grand-Dauphin, fils aîné de Louis XIV. Le temple est fermé et la cloche donnée au chapitre de Gap[13].

    À la fin du même siècle, le duc de Lesdiguières, futur connétable de France sous le règne d'Henri IV, y bat le duc de Savoie qui se résout à battre en retraite[réf. nécessaire]. Au cours des siècles[Lesquelles ?], la vallée sera plusieurs fois incendiée[réf. nécessaire] en représailles par les armées du duc de Savoie. Les Vaudois puis les protestants, dont la présence est très importante, seront persécutés jusqu'au XIXe siècle avec le rétablissement de la liberté de culte.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1958 septembre 1986 Marie François-Bénard UDSR  
    1986 1989 Raymond Rolland DVD  
    1989 2014 Pierre Eymeoud[14] UMP  
    mars 2014 en cours Jean-Pierre Boulet[15] S.E.  

    Population et société

    Démographie

    La population de Vars n'a cessé de décroître depuis le milieu du XIXe siècle. Cette chute s'explique principalement par l'abandon des zones rurales pendant la révolution industrielle et plus particulièrement par l'abandon des activités pastorales.

    Vars connait une croissance démographique importante vers le milieu du XXe siècle, date à laquelle les activités touristiques se sont largement développées. Elle atteignit alors près de 1 000 habitants.

    Aujourd'hui, malgré une légère baisse démographique depuis dix ans, la population s'est stabilisée et, en 1999, la commune de Vars comptait 637 habitants permanents[réf. nécessaire] :

    • Saint-Marcellin : 86 habitants ;
    • Sainte-Marie : 130 habitants ;
    • Sainte-Catherine : 129 habitants ;
    • Les Claux : 292 habitants.

    Cette démographie s'accroît considérablement durant l'hiver avec l'arrivée des saisonniers et des vacanciers.

    En 2012, la commune comptait 706 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[Note 1],[Note 2].

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7406118309711 0061 016954996908
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    910900852838832780772715726
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    660637595466408374342340254
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2012
    245433779897941637597708706
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2004[17].)

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Vars dépend de l'académie d'Aix-Marseille. Les élèves de la commune débutent leur scolarité à l'école primaire Sainte Catherine, au village, qui regroupe 42 enfants[18].

    Santé

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    Culte

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    Sports

    La principale activité de Vars réside dans le ski alpin dont le domaine skiable de La Forêt Blanche s'agrandit fréquemment - le domaine de Risoul fait partie de ce domaine skiable. La modernisation du parc de remontées mécaniques, le recours à l'enneigement artificiel, l'organisation d'évènements fédérateurs pour la jeunesse (Coupe du monde de snowboard, X-Games, ...) sont aujourd'hui les principaux investissements de la station.

    Malgré un abandon progressif ces dernières années, Vars reste un site majeur pour le ski de vitesse ou kilomètre lancé (KL). Sur une pente raide (maximum de 98 %, soit un angle proche de 45°), des skieurs s'élancent dans le but d’atteindre la vitesse la plus élevée possible. Vars détient depuis le le nouveau record du monde de la discipline : Simone Origone a battu son propre record avec 252,632 km/h sur la piste de Chabrières[19].

    Soucieux de diversifier ses activités, Vars développe depuis la fin des années 1990 de nombreux sports comme le ski nordique ou les sports estivaux à l'instar de la randonnée pédestre, de la grimpe d'arbres ou du VTT.

    Propice au cyclisme, le col de Vars a été franchi lors d'étapes parfois décisives du Tour de France.

    Hébergement touristique

    L'Office départemental des centres de vacances et de loisirs (Odcvl), société coopérative française créée en 1939, commercialise principalement des séjours de vacances en France et à travers le monde pour groupes et familles. Il dispose d'un centre permanent dans la comumne.

    Lieux de cultes

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    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le refuge Napoléon fut construit grâce à une donation de Napoléon Bonaparte (mis en œuvre 30 ans après sa mort). Ce dernier légua par testament une somme d’argent aux provinces qui avaient le plus souffert pendant les guerres napoléoniennes. Le refuge de Vars est construit en 1856 sous Napoléon III. Un gardien et sa famille y vivait toute l’année comme « retirés du monde », car le col était fermé du 1er décembre au 15 mai. En cas de tourmente ou de mauvais temps, le gardien sonnait la cloche à intervalle régulier et allumait un fanal pour guider les voyageurs à la tombée de la nuit. Le refuge Napoléon verra les balbutiements du tourisme de montagne et le développement de l'actuelle station de sports d'hiver, Vars-Les-Claux. Toujours là, le refuge est aujourd’hui devenu une auberge.
    • Le centre œcuménique à Vars Sainte-Marie fut inauguré en 1970. Il a été construit en lieu et place de l'église Sainte-Marie.
    • L'église de Vars Saint-Marcellin date vraisemblablement du XIIIe siècle, mais fut maintes fois détruite par les invasions et les guerres. Son portail comporte, comme à Guillestre, deux lions « stylophores » qui soutenaient autrefois des piliers.
    • La source « miraculeuse » et l'oratoire de la « Font Sancte » se trouvent dans le val d'Escrein à 2 358 m d'altitude.

    Personnalités liées à la commune

    • Le père Henri Caffarel (1903-1996) qui venait là en vacances, avait sa famille paternelle qui était originaire de Vars[réf. nécessaire]. C'est un prêtre catholique dont la béatification est en cours d'étude. Il a été le fondateur du mouvement de spiritualité des couples « Équipes Notre-Dame » qui se sont diffusées sur tous les continents.
    • L'abbé Paul Guillaume[pourquoi ?], archiviste et membre fondateur de la Société d'études des Hautes-Alpes[réf. nécessaire].
    • Le pasteur Jean-Louis Rostan[pourquoi ?], élève et successeur de Félix Neff[Qui ?], qui continua l'œuvre du réveil protestant dans les Hautes-Alpes[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'argent à trois aigles éployées de sable, armées, membrées et becquées de gueules posées 2,1.

    Galerie de photographies

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Vars, passage et refuge, par l'association Vars au fil du temps, 2010
    • Exemple d'exode de protestants Hauts-Alpins après la révocation de l'Édit de Nantes en 1685, Jean Seinturier, Monique David, Sybille A.Burggraf, 2013
    • De Guillestre à Vars, une base protestante dans les Hautes-Alpes au XIXe siècle, Bénédicte de Wailly [Bulletin de la société d'études des Hautes-Alpes, 2014][réf. souhaitée]

    Articles connexes

    • Liste des communes des Hautes-Alpes
    • Liste des stations de sports d'hiver des Alpes
    • Vars (Ontario)

    Liens externes

    • Site de la mairie
    • Vars sur le site de l'Insee

    Notes et références

    Notes

    1. Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et aux années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. (UEC)
    2. (Bulle 1145 Eugène III 1080-1153 et BN Ms latin 1758)
    3. (Histoire du Dauphiné-Valbonnais-II-176)
    4. (AGL)
    5. (AHA: archives des Hautes-Alpes)
    6. (Archive Chap. d'Embrun)
    7. (Pouillés Diocèse d’Embrun)
    8. http://www.mairie-vars16.fr/histoire.aspx
    9. "La Religion des Gaulois" Par Jacques Martin,Académie des sciences, belles-lettres et arts, volume 5 chapitre XI page 340 et 41.
    10. Imprimerie typographique A. Astoin
    11. Donation Gleize
    12. GUILLAUME P. . 1878 . La station préhistorique de Panacelle et les peuples anciens du bassin de Guillestre. . Scheuring, Lyon et Crugy, Bordeaux. 56 p
    13. "A la découverte du Guillestrois" Syndicat d'initiative 1985
    14. Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au format Excel)
    15. « Liste des maires du département des Hautes-Alpes », sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le 21 mars 2015).
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2011, 2012.
    18. école primaire
    19. (it) « Nouveau record pour Origone », sur circobianco.it, (consulté le 4 avril 2015)
    • Portail des Hautes-Alpes
    • Portail des communes de France
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