École du Louvre
École du Louvre | ||||||||||||
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Informations | |||||||||||
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Fondation | 1882 | |||||||||||
Fondateur | Jules Ferry, Louis Courajod, Louis Nicod de Ronchaud | |||||||||||
Type | Établissement public à caractère administratif | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Coordonnées | 48° 51′ 39″ N 2° 19′ 56″ E / 48.8608, 2.3322248° 51′ 39″ Nord 2° 19′ 56″ Est / 48.8608, 2.33222 | |||||||||||
Ville | Paris | |||||||||||
Pays | France | |||||||||||
Direction | ||||||||||||
Directeur | Philippe Durey | |||||||||||
Divers | ||||||||||||
Affiliation | Membre associé de heSam Université | |||||||||||
Site web | http://www.ecoledulouvre.fr/ | |||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Paris
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L'École du Louvre est un établissement d'enseignement supérieur du ministère de la Culture et de la Communication qui dispense un enseignement en histoire de l'art, archéologie, épigraphie, histoire des civilisations, anthropologie et muséologie. Elle est située à Paris, dans l'Aile de Flore du palais du Louvre.
Historique
Fondée en 1882 dans l'aile Mollien du musée, selon le grand dessein de Jules Ferry, sa mission est alors de « tirer des collections, pour l'instruction du public, l'enseignement qu'elles renferment et de former les conservateurs, les missionnaires et les fouilleurs ». L'École du Louvre a d'abord pour but d'enseigner l'archéologie. Cependant, l'enseignement se développa bientôt vers d'autres domaines de l'histoire de l'art et, dès 1920, fut mise en place l'histoire générale de l'art, qui constitue encore aujourd'hui la base de l'enseignement de l'établissement. De nouveaux types de cours virent peu à peu le jour : cours du soir pour les personnes salariées (1921), cours d'été (1952), cours de la ville de Paris (1959), cours en région (1978). Dès 1927, l'école créa également une chaire de muséographie. Le 25 novembre 1997, l'école devient par décret ministériel un Établissement public à caractère administratif[1].
Actuellement
Depuis 1972, l'école est située dans l'aile de Flore du palais du Louvre, aménagée en 1998 par l'architecte Antoine Stinco, et dispose, depuis 1994, d'un amphithéâtre dans une autre aile, l'amphithéâtre Rohan. Sa bibliothèque dispose de l'un des plus riches fonds bibliothécaires en matière d'histoire de l'art, accessible uniquement aux élèves et aux chercheurs. Elle publie aussi plusieurs types d'ouvrages, tels que manuels d'histoire de l'art, mémoires, actes de colloques et une revue de recherche en ligne.
Il existe en outre des cours en régions, dans 24 villes partenaires, telles que Marseille, Roubaix et Dijon, par cycles de trois ans, réservés aux auditeurs libres et ne délivrant pas de diplôme.
Depuis 2002, Philippe Durey, conservateur général du patrimoine, est directeur de l'école.
Les effectifs
Grâce à l'instauration du test probatoire en 1994, les effectifs de l'école demeurent à peu près constants. « Avec les redoublants, nous avons 460 étudiants en première année, environ 250 en deuxième et troisième années et seulement 130 -140 qui ayant obtenu 14 de moyenne en spécialité passent en second cycle. »[2]
Cursus et durée des études
Établissement d’enseignement supérieur sous tutelle du ministère chargé de la culture, l’École du Louvre dispense des enseignements d’histoire de l’art et des civilisations, mais aussi des techniques de sauvegarde, de conservation et de mise en valeur du patrimoine culturel. L’enseignement dispensé en majorité par des conservateurs et des professionnels du patrimoine s’appuie sur l’étude des sites, édifices, œuvres et objets patrimoniaux.
Le cursus scolaire comporte trois cycles d’études, sur le schéma européen LMD (Licence, Master, Doctorat).
Admission
L'entrée en première année de premier cycle est conditionnée par la réussite d'un test probatoire, accessible dès la fin des études secondaires. De nombreux étudiants entrent néanmoins avec un niveau plus élevé (après une classe préparatoire aux grandes écoles ou une première expérience universitaire). Pour le test probatoire, « Il ne s’agit pas tant de contrôler des connaissances en histoire de l’art, que de s’assurer des acquis en histoire, en géographie, en français de nos futurs étudiants. Aujourd’hui 1/5 des candidats sont admis, parmi eux les futurs bacheliers ne représentent que 1/3 des effectifs. Les autres ont derrière eux une hypokhâgne et khâgne ou une ou deux années de fac », a précisé Philippe Durey, le directeur de l’école dans une interview accordée en 2009 au magazine Télérama[3].
Nombre d'inscrits | Nombre de présents | Nombre de reçus | % du nombre d'inscrits | % du nombre de présents | |
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2014 | 1966 | 1847 | 396 | 20,1 % | 21,4 % |
2013 | ? | 2014 | 383 | ? % | 19 % |
2012[4] | 2191 | 2064 | 378 | 17,3 % | 18,3 % |
2011 | 2332 | 2188 | 382 | 16,4 % | 17,45 % |
2010 | 2348 | 2226 | 422 | 18 % | 19 % |
2008 | 1874 | 1782 | 395 | 21,1 % | 22,2 % |
2007 | 2013 | 1893 | 392 | 19,5 % | 20,7 % |
2006 | 1929 | 1811 | 402 | 20,8 % | 22,2 % |
2005 | 1759 | 1668 | 489 | 27,8 % | 29,3 % |
2004 | 1740 | 1610 | 501 | 28,8 % | 31,1 % |
2003 | 1724 | 1651 | 577 | 33,5 % | 34,9 % |
2002 | ? | ? | ? | ? | ? |
2001 | ? | ? | ? | ? | ? |
2000 | 1768 | 1665 | 450 | 25,5 % | 27 % |
1997 | 2373 | 2211 | 728 | 30,7 % | 32,9 % |
1996 | 2388 | 2188 | 734 | 30,7 % | 33,5 % |
Il est également possible d'entrer dans les autres années du cursus par équivalence, après examen du dossier de l'étudiant demandeur et selon le nombre de places disponibles.
Premier cycle
Durant le premier cycle, l'élève suit un enseignement d'« histoire générale de l'art » qui couvre la plupart des époques et aires géographiques.
En première année
- L'archéologie nationale (de la Préhistoire à l'époque mérovingienne)
- L'archéologie orientale (Mésopotamie, Anatolie, Levant, Elam, Bactriane etc…, du Néolithique à la chute de l'empire perse achéménide).
- L'archéologie de l'Égypte ancienne (de l'époque de Nagada à l'époque romaine).
- L'archéologie de la Chine (de la Chine néolithique aux Tang), et arts du Japon
- L'archéologie de l'Inde (du Chalcolithique à l'empire Gupta)
- L'archéologie grecque (du Néolithique à la fin de la période hellénistique)
- L'archéologie étrusque et romaine
- L'archéologie chrétienne
En deuxième année
- L'art de Byzance (du règne de Justinien à la fin de l'empire en 1453)
- Les arts précolombiens
- Les arts de l'Inde et du monde indianisé (Viêt Nam, Java, Bali, Cambodge...) (du VIIe au XIIIe siècle)
- Les arts de la Chine et du Japon
- Les arts de l'Islam
- L'art du Moyen Âge européen
- L'art de la renaissance européenne
En troisième année
- L'art du XVIIe siècle européen
- L'art du XVIIIe siècle occidental
- L'art du XIXe siècle occidental
- L'art du XXe siècle
- L'art populaire français
- Les arts d'Afrique et d'Océanie
Les cours en amphithéâtre sont approfondis par des « Travaux dirigés devant les œuvres » (TDO) dans les différents musées et monuments parisiens (Louvre, musées de Cluny, Guimet, Orsay, Centre Pompidou, Quai Branly etc.) et de la région parisienne (par exemple à Versailles, Ecouen et Saint-Germain-en-Laye). D'autres cours généraux concernant les techniques de création, l'iconographie, et l'histoire des collections sont également dispensés.
Parallèlement, les élèves de premier cycle sont tenus de choisir une ou deux spécialités parmi 31 matières :
- Archéologie de l'Europe préhistorique
- Archéologie de la Gaule
- Archéologie égyptienne
- Archéologie orientale
- Histoire de l'art et archéologie du monde grec
- Histoire de l'art et archéologie du monde étrusque et italique
- Histoire de l'art et archéologie du monde romain
- Archéologie chrétienne
- Patrimoine et archéologie militaires
- Histoire des arts de l'Extrême-Orient
- Art et archéologie de l'Inde et des pays indianisés de l'Asie
- Histoire des arts de l'Islam
- Histoire des arts d'Afrique
- Histoire des arts d'Océanie
- Arts des Amériques
- Histoire de l'architecture occidentale
- Histoire de la sculpture du Moyen Âge, de la Renaissance et des Temps modernes
- Architecture, décor et ameublement des grandes demeures
- Histoire des arts décoratifs
- Histoire de la mode et du costume
- Histoire de la peinture (école française)
- Histoire de la peinture (écoles étrangères)
- Histoire du dessin
- Histoire de l'estampe
- Histoire de l'art au XIXe et au début du XXe siècle
- Art du XXe siècle
- Art contemporain
- Histoire de la photographie
- Histoire du cinéma
- Anthropologie sociale et culturelle de l'Europe
- Patrimoine technique et industriel
Ces cours se composent d'un cours magistral, dit « organique », qui est la base même de la spécialité, d'un cours de synthèse et d'un cours de travaux pratiques visant à approfondir des notions, des lignes directrices et à entrer dans les détails du cours organique. En septembre 2007 a débuté le cours d'histoire de la mode et du costume.
Des cours d'épigraphie (akkadien, copte, égyptien hiéroglyphique, hiératique, élamite, sémitique, sumérien, vieux perse, hittite, grec), d'héraldique, de numismatique, d'iconographie et de dessin archéologique, facultatifs, permettent d'enrichir le parcours général des élèves.
Des cours de langues vivantes (anglais, allemand, espagnol, italien, français-langue étrangère) sont désormais obligatoires.
Le diplôme délivré à l'issue du premier cycle s'intitule « diplôme de premier cycle de l'École du Louvre » et ouvre, pour son possesseur, au titre d'« ancien élève de l'École du Louvre ».
Deuxième cycle
Plus court, le second cycle correspond aux débuts de la recherche et à des visées plus professionnelles. En première année, le tronc commun se compose de plusieurs cours pour le premier semestre:
- Introduction à la médiation et aux publics
- Les sources de la recherche
- Principe de Conservation-Restauration
- Administration et gestion des musées et du patrimoine
- Historiographie (archéologie, ethnologie, histoire de l'art)
- Histoire de l'art: sujet diachronique
- Histoire des collections, des musées et du patrimoine en Europe
- Histoire et fondements de la muséologie
Dans le deuxième semestre, l'élève est tenu de choisir une dominante, entre « Objets » et « Médiation », et doit rédiger un mémoire d'une cinquantaine de pages. Cette année mène au « diplôme de muséologie de l'École du Louvre », certifié au niveau II node NSF 342 V au répertoire national des certifications professionnelles par un arrêté du 23 février 2007 (JO du 3 mars 2007).
En deuxième année de deuxième cycle sont proposés cinq parcours :
- Deux parcours « recherche »
- en histoire de l'art appliquée aux collections
- en muséologie
- Trois parcours « professionnalisants »
- métiers du patrimoine
- médiation culturelle
- marché de l'art
Les cours sont dispensés en séminaires. L'élève est astreint à un stage de deux mois, et doit remettre un mémoire dont la taille et les objectifs varient selon le parcours : mémoire de recherche de cent cinquante pages pour les parcours recherche, mémoire de stage d'une cinquantaine de pages pour les parcours professionnalisants. Cette seconde année se solde par l'obtention d'un « diplôme de deuxième cycle de l'École du Louvre[5] ». Ce diplôme a été habilité au grade de Master par un arrêté du 17 octobre 2006 pour une durée de deux ans (JO du 27 octobre 2006).
Troisième cycle
Ce cycle, d'une durée de trois ans, correspond à la rédaction d'un mémoire de recherche approfondie rédigé sous la conduite d'un professeur de l'École. Des séminaires sont organisés, et un « diplôme de recherche approfondie » couronne la fin de ce cycle et du cursus à l'école du Louvre.
Débouchés
Les débouchés professionnels de l’École du Louvre s’ordonnent autour de nombreux axes :
- les métiers du Patrimoine : conservation et restauration des objets et monuments. L’École du Louvre prépare aux concours organisés par le ministère de la Culture, pour la formation de conservateurs, attachés de conservation, chargés d’étude (musées, monuments historiques, inventaire, documentation, archives).
- les métiers de la médiation culturelle : administration et gestion culturelle, conférenciers de monuments historiques, organisateurs d’expositions et de salons.
- les métiers du marché de l’art : pour les galeries, les salles des ventes (commissaire-priseur), l’expertise d’objet d’art.
- les métiers de la presse et de l’édition : journalistes d’art, éditeurs, iconographes.
- les métiers de l’enseignement et de la recherche en histoire de l’art et archéologie.
- les métiers du mécénat et du marketing culturels.
« Sans passion, cela n’a pas de sens de s’engager dans ce type d’études. Il est nécessaire pour se former l’œil de visiter des musées, des monuments, des expositions : de voir encore et toujours des œuvres. Les jeunes manquent de plus en plus de repères historiques et iconographiques, aussi ces filières deviennent très difficiles à aborder. Les jeunes ne doivent pas sous-estimer les difficultés. Le directeur d’un musée est un historien de l’art mais il est également un chef d’entreprise. »[6]
Classe préparatoire aux concours de conservateur du patrimoine
En 1991, une classe a été constituée afin de préparer les élèves aux concours de conservateur du patrimoine de l'INP, (spécialités « archéologie », « musées » et « monuments historiques et inventaire »). Les cours se décomposent en :
- cours magistraux
- devoirs sur table
- langues
Il s'agit de l'une des deux seules classes préparatoires aux concours de l’INP.
2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | |
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Concours d'état : Nombre d'admis/nombre de postes | 5/6 (83 %) | 3/7 (43 %) | 4/8 (50 %) | 5/6 (83 %) | 8/13 (62 %) | 4/10 (40 %) | 9/17 (53 %) | 6/10 (60 %) | 7/12 (58 %) | 10/14 (71 %) |
Concours territorial : Nombre d'admis/nombre de postes | 5/15 (33 %) | 4/10 (40 %) | 5/10 (50 %) | 5/9 (56 %) | 5/9 (56 %) | 5/7 (71 %) | 7/18 (39 %) | 8/13 (62 %) | 7/12 (58 %) | 4/10 (40 %) |
Auditeurs
Les auditeurs assistent à certains cours (cours organiques) avec les élèves, mais d'autres leur sont spécifiquement réservés (cours d'histoire générale de l'art et TDO). Ils ne passent pas d'examen, mais sont en général présents pour leur plaisir, afin d'enrichir leur culture. Ils choisissent les cours auxquels ils veulent assister, n'étant pas tenus par un quelconque planning, et certains fréquentent l'école pendant plusieurs dizaines d'années.
Cours du soir Fondation Rachel Boyer
Par décret du 20 juillet 1921, la fondation de la comédienne Rachel Boyer permet l'ouverture de cours du soir d'histoire de l'art[8],[9]. La rente constituée par cette fondation assure la tenue de plusieurs cours à destination d'adultes hors cursus en échange d'une participation aux frais minime[10]. Aux cours d'initiation à l'histoire générale de l'art, s'ajoutent depuis plusieurs années deux nouveaux cycles thématiques : Représenter l'humain, représenter le sacré, "Initiation aux techniques de création et aux principes de restauration des œuvres d'art".
Sont également proposés des cours d'été ainsi que des cours en régions (plus de 25 villes et musées partenaires).
Partenariats
À l'échelle nationale, l'école du Louvre a signé un partenariat de double-diplôme avec l'ESSEC en 2010.
L'École du Louvre a également développé plusieurs partenariats avec des organismes étrangers. Depuis 1997, l'université de Montréal accueille chaque année de juillet à septembre un petit groupe d'étudiants en muséologie. Elle organise aussi, en partenariat avec l'Instituto Veneto des séminaires sur l'histoire de l'art vénitien. Un programme d'échange avec l'université de Heidelberg (depuis 2006) permet à quelques étudiants de deuxième cycle d'obtenir un master international en histoire de l'art et muséologie. Depuis 2010, l'École adhère par ailleurs au programme Erasmus.
L'école participe aussi au programme « égalité des chances », promu par la fondation Culture & Diversité, afin de permettre à des lycéens de milieux défavorisés ayant choisi l'option histoire des arts de rejoindre les rangs de ses élèves. Ce programme consiste notamment en une découverte du milieu de l'histoire de l'art en seconde et première (visites de musées, rencontre avec des professionnels, tutorat par des élèves de muséologie), en stage de préparation au test probatoire pour les terminales et en un suivi, une fois le lycéen devenu élève[11].
Corps professoral et personnalités liées à l’École du Louvre
Fondateurs
- Louis Courajod
- Antonin Proust
- Louis Nicod de Ronchaud
Présidents du Conseil d'administration
- 1998 - 2003 : Nicole Briot ;
- 2003 - 2007 : Jean Guéguinou ;
- 2007 - 2009 : Bruno Bourg-Broc ;
- 2009 - 2013 : Catherine Colonna ;
- 2014 - 2015 : Didier Boulaud[12]
Directeurs
- 1882 - 1887 : Louis de Ronchaud ;
- 1887 - 1904 : Albert Kaempfen ;
- 1904 - 1911 : Théophile Homolle ;
- 1912 - 1913 : Eugène Pujaret ;
- 1913 - 1919 : Henry Marcel ;
- 1919 - 1926 : Jean d'Estournelles de Constant ;
- 1926 - 1940 : Henri Verne ;
- 1940 - 1944 : Jacques Jaujard ;
- 1944 - 1957 : Georges Salles ;
- 1957 - 1960 : Edmond Sidet ;
- 1960 - 1962 : Henri Seyrig ;
- 1962 - 1974 : Jean Chatelain ;
- 1975 - 1977 : Emmanuel Jacquin de Margerie ;
- 1977 - 1987 : Hubert Landais ;
Directeurs des études
- 1942 - 1955 : Marcel Aubert ;
- 1955 - 1959 : Paul Deschamps ;
- 1959 - 1969 : Pierre Pradel ;
- 1969 - 1974 : pas de directeur des études ;
- 1974 - 1977 : Jean Leymarie ;
- 1977 - 1978 : pas de directeur des études ;
- 1978 - 1982 : Dominique Ponnau ;
- 1982 - 1990 : pas de directeur des études ;
- 1990 - 2000 : Thérèse Picquenard ;
- 2000 - 2002 : Claude Pétry ;
- 2003 - 2011 : Claire Barbillon ;
- Depuis 2011 : Sophie Mouquin ;
Anciens élèves
Les élèves qui y étudient se font appeler « édéliens » et « édéliennes ».[réf. nécessaire]
Bibliographie
Henri Verne, Edmond Pottier, Alfred Merlin, et alii L'École du Louvre, 1882-1932, Paris : Bibliothèque de l'École du Louvre, 1932.
Voir aussi
Notes et références
- ↑ Texte du décret du 25 novembre 1997, sur légifrance.fr.
- ↑ entretien accordé à l'hebdomadaire Télérama en 2009 dans un numéro consacré aux Métiers de la Culture, de l'Art et du Patrimoine (www.telerama.fr)
- ↑ Télérama, 2009
- ↑ http://www.ecoledulouvre.fr/webmaster/newsletter/Lettre062012.html
- ↑ Arrêté du 16 août 2010, art. 16
- ↑ entretien accordé à l'hebdomadaire Télérama, 2009 consacré aux Métiers de la Culture, de l'Art et du Patrimoine
- ↑ Statistiques sur le site officiel de l'école du Louvre
- ↑ http://www.ecoledulouvre.fr/enseignements/etre-auditeur/cours-soir/rachel-boyer
- ↑ http://www.association-ecoledulouvre.fr/auditeurs/rachel-boyer-visites-90-minutes-au-musee
- ↑ Magdeleine Hours, Une Vie au Louvre, Paris : Robert Laffont, 1987.
- ↑ http://www.fimalac.com/mecenat/FCD-partenariat-ecole-louvre.html
- ↑ Décret du 3 juillet 2014]
Articles connexes
- Liste des élèves célèbres de l’École du Louvre
- Liste des enseignants de l’École du Louvre
Lien externe
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