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Plan Marshall

Saviez-vous ...

SOS Enfants, un organisme de bienfaisance de l'??ducation , a organis?? cette s??lection. M??res SOS chaque regard apr??s une une famille d'enfants parrain??s .

Carte de l'??re de la Guerre froide en Europe et le Proche-Orient montrant pays qui ont re??u l'aide du Plan Marshall. Les colonnes rouges montrent la quantit?? relative de l'aide totale par nation.

Le plan Marshall (?? partir de sa promulgation, officiellement le programme europ??en pour la relance, ERP) ??tait le plan principal de l' ??tats-Unis pour la reconstruction et la cr??ation d'une base plus solide pour les pays alli??s de l'Europe , et de repousser le communisme apr??s la Seconde Guerre mondiale . L'initiative a ??t?? nomm?? pour Secr??taire d'??tat George Marshall et ??tait en grande partie la cr??ation de Fonctionnaires du D??partement d'Etat, en particulier William L. Clayton et George F. Kennan.

Le plan de reconstruction ??labor?? lors d'une r??union des Etats europ??ens participants a ??t?? ??tablie sur 12 juillet, 1947 . Le plan Marshall a offert la m??me aide ?? l' URSS et de ses alli??s, mais ils ne ont pas l'accepter en raison de la pression diplomatique et politique aux ??tats-Unis universellement appliqu?? en ??change de son aide. Le plan a fonctionn?? pendant quatre ans ?? compter de Juillet 1947. Durant cette p??riode, certains USD 13 milliards dans l'assistance ??conomique et technique ont ??t?? donn??s pour aider ?? la reprise des pays europ??ens qui avaient rejoint dans la Organisation pour la coop??ration ??conomique europ??enne. Aide avait ??t?? donn?? ?? de nombreux pays europ??ens avant que le plan Marshall depuis 1945, toujours avec la pression politique d'accompagnement (France, par exemple, a ??t?? n??cessaire pour montrer les films hollywoodiens en ??change de la r??ception de l'aide financi??re am??ricaine, paralysant l'industrie cin??matographique fran??aise).

Au moment o?? le plan ??tait venu ?? son terme, le ??conomie de chaque Etat participant, ?? l'exception de l'Allemagne , avait augment?? les niveaux d'avant-guerre bien pass??es. Au cours des deux prochaines d??cennies, de nombreuses r??gions Europe de l'Ouest serait profiter de la croissance et de prosp??rit?? sans pr??c??dent. Le plan Marshall a ??galement longtemps ??t?? consid??r??e comme l'un des premiers ??l??ments de L'int??gration europ??enne, comme il effac?? tarif les barri??res commerciales et les institutions mises en place pour coordonner l'??conomie au niveau continental.

Au cours des derni??res ann??es, les historiens ont remis en cause ?? la fois la motivation sous-jacente et l'efficacit?? globale du plan Marshall. Certains historiens soutiennent que les avantages du Plan Marshall effectivement r??sult?? de nouvelle politiques de laisser-faire qui ont permis de stabiliser les march??s par la croissance ??conomique. Il est maintenant reconnu que les Nations Unies De secours et de l'Administration du r??tablissement, qui a aid?? des millions de r??fugi??s de 1944 ?? 1947, a ??galement jet?? les bases d'une reprise d'apr??s-guerre europ??enne.

Avant le Plan Marshall

B??timents incendi??s-out apr??s la bombardements de Hambourg

Apr??s six ann??es de guerre, une grande partie de l'Europe a ??t?? d??vast??e avec des millions tu??s et bless??s. Combats avaient eu lieu dans une grande partie du continent, englobant une superficie beaucoup plus grande que dans la Premi??re Guerre mondiale . bombardements a??riens soutenue signifiait que la plupart des grandes villes avaient ??t?? gravement endommag??s, la production industrielle particuli??rement touch??e. Beaucoup des plus grandes villes du continent, y compris de Varsovie et Berlin , ??tait en ruines. D'autres, comme Londres et Rotterdam , avaient ??t?? gravement endommag??s. La structure ??conomique de la r??gion a ??t?? ruin??e, et des millions de sans-abri avait ??t?? faite. Bien que le La famine hollandaise de 1944 avait diminu?? ?? un afflux de l'aide, la d??vastation g??n??rale de l'agriculture a conduit ?? des conditions de la famine dans plusieurs r??gions du continent, qui devait ??tre exacerb??e par l'hiver particuli??rement rigoureux de 1946-1947 en Europe du nord-ouest. Surtout endommag?? ??tait le transport des infrastructures, comme les chemins de fer , ponts , et routes avaient tous ??t?? fortement cibl??s par frappes a??riennes, alors que l'exp??dition beaucoup marchand avaient ??t?? coul??s. Bien que la plupart des petites villes et villages en Europe occidentale ne avaient pas subi autant de d??g??ts, la destruction de transport les a laiss??s ??conomiquement isol??e. Aucun de ces probl??mes pourrait ??tre facilement r??solu, comme la plupart des nations engag??es dans la guerre avaient ??puis?? leurs tr??sors dans son ex??cution.

Apr??s la Premi??re Guerre mondiale, l'??conomie europ??enne a aussi ??t?? grandement endommag??e, et un r??cession profonde et durable dans les ann??es 1920 a conduit ?? l'instabilit?? et un ralentissement mondial g??n??ral. Les Etats-Unis, en d??pit d'une r??surgence de isolationnisme, avait tent?? de promouvoir la croissance europ??enne, principalement ?? travers des partenariats avec les grandes banques am??ricaines. Lorsque l'Allemagne a ??t?? incapable de payer sa les r??parations, les Am??ricains sont ??galement intervenus en ??tendant un pr??t important ?? l'Allemagne, une dette que les Am??ricains se sont retrouv??s avec lorsque le nous a rejoint la guerre en 1941.

A Washington, il y avait un consensus que les ??v??nements apr??s la Premi??re Guerre mondiale devrait pas ??tre r??p??t??e. Le D??partement d'Etat en vertu Harry S. Truman et Robert Rosemont a ??t?? consacr??e ?? la poursuite d'une politique ??trang??re activiste, mais le Congr??s a ??t?? un peu moins int??ress??s. ?? l'origine, on esp??rait que peu auraient besoin d'??tre fait pour reconstruire l'Europe et que le Royaume-Uni et de France , avec l'aide de leurs colonies, seraient rapidement reconstruire leurs ??conomies. En 1947, il ??tait cependant encore peu de progr??s,. Une s??rie d'hivers froids aggrav?? une situation d??j?? mauvaise. Les ??conomies europ??ennes ne semblent pas ??tre de plus en plus aussi haut p??nuries de ch??mage et des denr??es alimentaires ont conduit ?? les gr??ves et les troubles dans plusieurs pays. En 1947, les ??conomies europ??ennes ??taient encore bien en dessous de leurs niveaux d'avant-guerre et montraient quelques signes de croissance. La production agricole a ??t?? de 83% de 1938 niveaux, la production industrielle a ??t?? de 88%, et les exportations de seulement 59%.

La p??nurie de nourriture ??tait l'un des probl??mes les plus aigus. Avant la guerre, l'Europe occidentale avait d??pendu sur les importants exc??dents alimentaires de l'Europe de l'Est, mais ces routes ont ??t?? largement coup?? par le Rideau de fer . La situation ??tait particuli??rement mauvaise en Allemagne o??, selon Alan S. Milward ?? la moyenne de 1946 ?? 1947 apport kilocalories par jour ne ??tait que 1800, une quantit?? insuffisante pour la sant?? ?? long terme. D'autres sources indiquent que l'apport kilocalories dans ces ann??es a vari?? entre aussi bas que 1000 et 1500 (voir Eisenhower et prisonniers de guerre allemands). William Clayton a rapport?? ?? Washington que ??des millions de personnes meurent de faim lentement." Aussi important pour l'??conomie globale ??tait la p??nurie de charbon, aggrav??e par le froid de l'hiver 1946-1947. En Allemagne, les maisons sont all??s non chauff??e et des centaines sont morts de froid. Dans le Royaume-Uni , la situation ne ??tait pas aussi grave, mais la demande int??rieure signifiait que la production industrielle se est arr??t??e. Le d??sir humanitaire pour mettre fin ?? ces probl??mes ??tait une motivation pour le plan.

L'Allemagne a re??u de nombreuses offres de pays d'Europe occidentale au commerce alimentaire pour le charbon et l'acier ont d??sesp??r??ment besoin. Ni les Italiens, ni les N??erlandais pourraient vendre les l??gumes qu'ils avaient d??j?? vendus en Allemagne, avec la cons??quence que les Hollandais avaient ?? d??truire des proportions consid??rables de leur r??colte. Danemark a offert 150 tonnes de saindoux un mois; Turquie a offert noisettes; La Norv??ge a propos?? poisson et huile de poisson; La Su??de a offert des quantit??s consid??rables de mati??res grasses. Les Alli??s ne ont cependant pas pr??t ?? laisser le commerce Allemands. Compte tenu de l'augmentation des pr??occupations en g??n??ral Lucius D. Clay et de la Chef d'??tat-major mixte sur l'influence communiste croissante en Allemagne, ainsi que de l'??chec du reste de l'??conomie europ??enne ?? r??cup??rer sans la base industrielle allemande sur laquelle il avait pr??c??demment ??t?? ?? charge, ?? l'??t?? 1947 Secr??taire d'Etat George Marshall g??n??ral , citant "raisons de s??curit?? nationale" a finalement ??t?? en mesure de convaincre le pr??sident Harry S. Truman d'annuler la directive punitive de l'occupation am??ricaine JCS 1067, et le remplacer par JCS 1779. En Juillet 1947 JCS 1067, qui avait dirig?? les forces am??ricaines d'occupation en Allemagne ?? "... ne prendre aucune mesure en regardant vers la r??habilitation ??conomique de l'Allemagne", a donc ??t?? remplac?? par JCS 1779 qui, au lieu soulign?? que ??Une Europe prosp??re ordonn??e n??cessite la contribution ??conomique d'une Allemagne stable et productif." JCS 1067 avait alors ??t?? en vigueur pendant plus de deux ans. Les restrictions impos??es ?? la production allemande de l'industrie lourde ont ??t?? partiellement att??nu??s, les niveaux de production d'acier autoris??es ont ??t?? soulev??es ?? partir 25% de la capacit?? d'avant-guerre ?? une nouvelle limite plac?? ?? 50% de la capacit?? d'avant-guerre.

Le d??mant??lement de l'industrie allemande a continu??, et en 1949 Konrad Adenauer a ??crit aux Alli??s lui demandant de fin, citant la contradiction inh??rente entre encourager la croissance industrielle et la suppression des usines et aussi l'impopularit?? de la politique. Soutien pour le d??mant??lement ??tait par ce temps ?? venir principalement des Fran??ais et le Accord de Petersberg du Novembre 1949 r??duit consid??rablement les niveaux, bien que le d??mant??lement des usines mineures a continu?? jusqu'en 1951. Le premier ??niveau de l'industrie?? plan, sign?? par les Alli??s en 29 Mars 1946, avait d??clar?? que l'industrie lourde allemande devait ??tre r??duit ?? 50 1,938% de son niveau par la destruction de 1500 ??num??r??s usines de fabrication. En Janvier 1946, le Conseil de contr??le alli?? a jet?? les bases de la future ??conomie allemande en mettant un plafond sur l'allemand production de l'acier maximum autoris?? a ??t?? fix?? ?? environ 5,8 millions de tonnes d'acier par an, ??quivalent ?? 25% du niveau de production d'avant-guerre. Le Royaume-Uni, dans la zone de laquelle l'occupation majeure partie de la production d'acier a ??t?? localis??, avait plaid?? pour une r??duction de la capacit?? plus limit??e en pla??ant le plafond de production ?? 12 millions de tonnes d'acier par an, mais a d?? se soumettre ?? la volont?? des ??tats-Unis, la France et l'Union sovi??tique (qui avait plaid?? pour une limite de 3 millions de tonnes). Les aci??ries ainsi licenci??s devaient ??tre d??mantel??es. Allemagne devait ??tre r??duit ?? la norme de vie qu'elle avait connu ?? la hauteur de la Grande d??pression (1932). La production automobile a ??t?? fix?? ?? 10% des niveaux d'avant-guerre, etc.

La premi??re Plans "niveau de l'industrie allemande?? plan a ??t?? suivie par un certain nombre de nouveaux, le dernier sign?? en 1949. En 1950, apr??s l'ach??vement virtuel du par alors beaucoup arros??-out "niveau de l'industrie", l'??quipement avait ??t?? retir?? de 706 usines de fabrication en Allemagne de l'Ouest et de la production d'acier capacit??s ont ??t?? r??duites de 6,7 millions de tonnes. Vladimir Petrov conclut que les Alli??s "retard??s de plusieurs ann??es de la reconstruction ??conomique du continent d??chir?? par la guerre, une reconstruction qui a co??t?? la suite des milliards de dollars des ??tats-Unis." En 1951 Allemagne de l'Ouest a accept?? de se joindre ?? la L'acier (CECA) l'ann??e suivante europ??enne du charbon et. Cela signifie que certaines des restrictions ??conomiques sur les capacit??s de production et sur la production r??elle qui ont ??t?? impos??es par le Autorit?? internationale de la Ruhr ont ??t?? lev??es, et que son r??le a ??t?? repris par la CECA.

La seule grande puissance dont les infrastructures ne ont pas ??t?? l??s??s de mani??re significative ??tait aux ??tats-Unis. Il ??tait entr?? dans la guerre plus tard que la plupart des pays europ??ens, et ne avait subi des d??g??ts limit??s ?? son propre territoire. Am??ricain r??serves d'or ??taient encore intactes comme ce ??tait sa base agricole et la fabrication massif, le pays b??n??ficiant d'une ??conomie robuste. Les ann??es de guerre avaient vu la p??riode la plus rapide de la croissance ??conomique dans l'histoire de la nation, comme les usines am??ricaines soutenus ?? la fois son propre effort de guerre et celle de ses alli??s. Apr??s la guerre, ces plantes rapidement r????quip??es pour produire des biens de consommation, et la raret?? des ann??es de guerre a ??t?? remplac?? par un boom des d??penses de consommation. La sant?? ?? long terme de l'??conomie ??tait d??pendante du commerce, cependant, que la prosp??rit?? continue exigerait march??s d'exporter ces marchandises. Aide plan Marshall serait largement utilis?? par les Europ??ens pour acheter des biens manufactur??s et des mati??res premi??res des ??tats-Unis.

Un autre facteur important de motivation pour les Etats-Unis, et une diff??rence importante de l'??re post Premi??re Guerre mondiale, a ??t?? le d??but de la guerre froide . Certains dans le gouvernement am??ricain avait grandi profond??ment m??fiant des sovi??tiques actions. George Kennan, un des chefs de file dans l'??laboration du plan, a d??j?? pr??dit une division bipolaire du monde. Pour lui, le plan Marshall ??tait la pi??ce ma??tresse de la nouvelle doctrine de confinement. Il convient de noter que lorsque le plan Marshall a ??t?? lanc??, les alliances en temps de guerre ??taient encore un peu intacte et la guerre froide ne ont pas encore vraiment commenc??, et pour la plupart de ceux qui a ??labor?? le Plan Marshall, la peur de l'Union sovi??tique ne ??tait pas la pr??occupation majeure il serait dans les ann??es ult??rieures.

Pourtant, la puissance et la popularit?? des partis communistes autochtones dans plusieurs pays d'Europe occidentale se inqui??tent les Etats-Unis. En France et en Italie , la pauvret?? de l'apr??s-guerre avait fourni du carburant pour leurs partis communistes, qui avait ??galement jou?? un r??le central dans les mouvements de r??sistance de la guerre. Ces partis avaient vu le succ??s ??lectoral important dans les ??lections d'apr??s-guerre, avec les communistes devenant le plus grand parti unique en France. Bien que la plupart des historiens se sentent aujourd'hui la menace de la France et de l'Italie de tomber aux communistes ??tait ??loign??, il a ??t?? consid??r?? comme une possibilit?? tr??s r??elle par les d??cideurs am??ricains ?? l'??poque. Le gouvernement am??ricain de Harry Truman a commenc?? ?? croire ?? cette possibilit?? en 1946, notamment avec le discours rideau de fer de Churchill, donn??e en pr??sence de Truman. Dans leur esprit, les Etats-Unis devaient adopter une position d??finitive sur la sc??ne mondiale ou la peur de perdre sa cr??dibilit??. La nouvelle doctrine de confinement a fait valoir que les ??tats-Unis devaient aider sensiblement les pays non-communistes pour arr??ter la propagation de l'influence sovi??tique. Il y avait aussi un peu d'espoir que les nations d'Europe orientale seraient adh??rer au r??gime, et donc ??tre retir?? du bloc sovi??tique ??mergente.

M??me avant que le Plan Marshall, les ??tats-Unis de d??penser beaucoup pour aider l'Europe ?? sortir. Environ 9 milliards ont ??t?? d??pens??s au cours de la p??riode allant de 1945 ?? 1947. Une grande partie de cette aide est indirecte, venant sous la forme de la poursuite pr??t-bail accords, et ?? travers les nombreux efforts d??ploy??s par les troupes am??ricaines pour r??tablir les infrastructures et aider les r??fugi??s. Un certain nombre d'accords d'aide bilat??rale a ??t?? sign??, peut-??tre le plus important de ce qui ??tait le L'engagement de doctrine Truman de fournir une assistance militaire ?? la Gr??ce et la Turquie. L'enfant des Nations Unies a ??galement lanc?? une s??rie d'efforts humanitaires et de secours presque enti??rement financ??s par les Etats-Unis. Ces efforts ont eu des effets importants, mais ils ne avaient aucune organisation centrale et de la planification, et a omis de r??pondre ?? de nombreux besoins plus fondamentaux de l'Europe. D??j?? en 1943, l'Office de secours et de r??habilitation Administration des Nations Unies (UNRRA) a ??t?? fond??e pour fournir des secours dans les zones lib??r??es de Puissances de l'Axe apr??s la Seconde Guerre mondiale. UNRRA fourni des milliards de dollars d'aide de r??habilitation, et a aid?? environ 8 millions de r??fugi??s. Il a cess?? ses activit??s dans le Camps de personnes d??plac??es de l'Europe en 1947, en pr??vision du Plan Marshall am??ricain dirig??e. Beaucoup de ses fonctions ont ??t?? transf??r??es ?? plusieurs agences de l'ONU.

Les premi??res id??es

Bien avant le discours de Marshall un certain nombre de chiffres avait soulev?? l'id??e d'un plan de reconstruction pour l'Europe. Secr??taire d'Etat am??ricaine James F. Byrnes a pr??sent?? une premi??re version du plan lors d'un discours, " Retraitement de la politique sur l'Allemagne "tenue ?? l' Stuttgart Op??ra sur 6 septembre 1946 . Dans une s??rie de rapports appel?? Mission ??conomique du Pr??sident de l'Allemagne et de l'Autriche, command??e par Harry S. Truman , ancien pr??sident Herbert Hoover a pr??sent?? un regard tr??s critique sur le r??sultat de la politique d'occupation actuelles en Allemagne. Dans les rapports Hoover fourni propositions pour un changement fondamental de la politique d'occupation. En outre, le g??n??ral Lucius D. Clay demand?? industriel Lewis H. Brown pour inspecter l'Allemagne d'apr??s-guerre et le projet " Un rapport sur l'Allemagne ??en 1947, contenant des faits de base relatives aux probl??mes en Allemagne avec des recommandations pour la reconstruction. Secr??taire d'Etat Dean Acheson avait prononc?? un discours majeur sur la question, qui avait ??t?? la plupart du temps ignor??, et vice-pr??sident Alben W. Barkley avait ??galement soulev?? l'id??e.

La principale alternative ?? de grandes quantit??s de l'aide am??ricaine ??tait de prendre de l'Allemagne. En 1944, cette notion est devenu connu comme le Le plan Morgenthau, nomm?? d'apr??s le secr??taire au Tr??sor des ??tats-Unis Henry Morgenthau Il a pr??conis?? l'extraction massif r??parations de guerre de l'Allemagne pour aider ?? reconstruire ces pays, il avait attaqu??, et aussi pour emp??cher l'Allemagne d'??tre jamais reconstruit. ??troitement li??e ??tait le plan d'bureaucrate fran??ais de Monnet Jean Monnet qui a propos?? donnant le contr??le sur les zones France de charbon allemandes de la Ruhr et Sarre et utiliser ces ressources pour ramener la France ?? 150% de la production industrielle d'avant-guerre. En 1946, les puissances occupantes ont convenu de mettre des limites strictes sur la rapidit?? avec laquelle l'Allemagne pourrait reindustrialize. Des limites ont ??t?? plac??s sur la quantit?? de charbon et de l'acier pourraient ??tre produites. Le premier plan industriel allemand, aussi connu comme le "niveau d'accord de l'industrie", a ??t?? sign?? au d??but de 1946 et a d??clar?? que l'industrie lourde allemande devait ??tre r??duit ?? 50% de ses 1938 niveaux par la destruction de 1500 ??num??r??s usines de fabrication Les probl??mes inh??rents ?? ce plan est devenu ??vident ?? la fin de 1946, et l'accord a ??t?? r??vis?? ?? plusieurs reprises, la derni??re fois en 1949. D??mant??lement des usines a toutefois continu?? en 1950. L'Allemagne a longtemps ??t?? le g??ant industriel de l'Europe, et son la pauvret?? retenait la reprise g??n??rale europ??enne. La raret?? continu?? en Allemagne a ??galement conduit ?? des d??penses consid??rables pour les puissances occupantes, qui ont ??t?? oblig??s d'essayer de combler les d??ficits les plus importants. Ces facteurs, combin??s ?? la condamnation publique g??n??ralis??e des plans apr??s leur fuite ?? la presse, ont conduit au rejet de facto des plans Monnet et Morgenthau. Certaines de leurs id??es, cependant, ne vivent en partie dans Joint Chiefs of Staff directive 1067, un plan qui ??tait effectivement la base de la politique des ??tats-Unis Occupation jusqu'en Juillet 1947. Les centres industriels riches en min??raux Sarre et Sil??sie ont ??t?? retir??s de l'Allemagne, un certain nombre d'industries civiles ont ??t?? d??truites afin de limiter la production, et de la R??gion de la Ruhr ??tait en danger d'??tre enlev?? aussi tard que 1947. En Avril 1947, cependant, Truman, Marshall et secr??taire d'Etat Dean Acheson ??taient convaincus de la n??cessit?? de quantit??s substantielles de l'aide des ??tats-Unis.

L'id??e d'un plan de reconstruction a ??galement ??t?? une excroissance du changement id??ologique qui avait eu lieu aux ??tats-Unis dans la Grande D??pression . La ruine ??conomique des ann??es 1930 a convaincu beaucoup que le libre march?? sans entraves ne pouvait pas garantir le bien-??tre ??conomique. Beaucoup de ceux qui avaient travaill?? sur la conception de la Programmes du New Deal pour relancer l'??conomie am??ricaine maintenant cherch?? ?? appliquer ces le??ons ?? l'Europe. Dans le m??me temps la Grande D??pression avait montr?? les dangers de tarifs et le protectionnisme, la cr??ation d'une forte croyance en la n??cessit?? du libre-??change et l'int??gration ??conomique europ??enne. D????u par les cons??quences Morgenthau-r??gime, dans un Mars 18, rapport de 1947 l'ancien pr??sident am??ricain Herbert Hoover remarquer:. "Il est l'illusion que le New Germany gauche apr??s les annexions peuvent ??tre r??duites ?? un?? ??tat pastorale "Il ne peut pas ??tre fait ?? moins nous exterminons ou d??placer 25.000.000 personnes hors de lui ". Politique a chang?? rapidement en quelques mois apr??s et a infirm?? la politique Morgenthau.

Le discours

Secr??taire d'Etat am??ricaine George Marshall

Les discussions publiques ant??rieures de la n??cessit?? pour la reconstruction avaient ??t?? largement ignor??es, comme il ne ??tait pas clair que ce ??tait d'??tablir la politique officielle de l'administration. Il a ??t?? d??cid?? que tout doute doit ??tre retir?? par un important discours par Secr??taire d'??tat George Marshall. Marshall a donn?? l'adresse ?? la classe de finissants de Universit?? Harvard sur 5 juin 1947 . Debout sur les marches de l'??glise du Souvenir dans Harvard Yard, il a offert l'aide am??ricaine pour promouvoir la reprise et la reconstruction europ??enne. Marshall a fait ??tat de pr??paration du gouvernement am??ricain pour contribuer ?? la relance europ??enne. "Il est logique", a d??clar?? Marshall, "que les Etats-Unis devrait faire tout ce qu'il est capable de faire pour aider au retour de la sant?? ??conomique normale au monde, sans laquelle il ne peut y avoir de stabilit?? politique et la paix assur??e. Notre politique ne est pas dirig??e contre aucun pays, mais contre la faim, la pauvret??, le d??sespoir et le chaos. Tout gouvernement qui est pr??t ?? aider ?? la r??cup??ration trouveront pleine coop??ration de la part des Etats-Unis "Marshall a ??t?? convaincu que la stabilit?? ??conomique serait d'assurer la stabilit?? politique Europe. Il offert de l'aide, mais les pays europ??ens ont d?? se organiser le programme.

Le discours, ??crit par Charles Bohlen, contenait pratiquement pas de d??tails et pas de chiffres. L'??l??ment le plus important de la parole ??tait l'appel pour les Europ??ens de se rencontrer et de cr??er leur propre plan de reconstruction de l'Europe, et que les Etats-Unis seraient alors financer ce plan. L'administration a estim?? que le plan serait probablement impopulaire parmi beaucoup d'Am??ricains, et le discours a ??t?? principalement destin?? ?? un public europ??en. Dans une tentative de garder le discours sur les journaux am??ricains journalistes ne ont pas ??t?? contact??s, et le m??me jour Truman convoqu?? une conf??rence de presse ?? emporter manchettes. En revanche Acheson a ??t?? envoy??e ?? contacter les m??dias europ??ens, en particulier les m??dias britanniques, et le discours a ??t?? lu dans son int??gralit?? sur la BBC .

Rejet par les Sovi??tiques

Secr??taire britannique des Affaires ??trang??res Ernest Bevin entendu le discours de radiodiffusion de Marshall et le ministre fran??ais des Affaires ??trang??res imm??diatement contact?? Georges Bidault pour commencer ?? pr??parer une r??ponse rapide europ??enne (et l'acceptation de) l'offre. Les deux ont convenu qu'il serait n??cessaire d'inviter les Sovi??tiques que l'autre grande puissance alli??e. Discours de George Marshall avait explicitement inclus une invitation ?? les Sovi??tiques, sentant que leur exclusion aurait ??t?? un signe tr??s clair de m??fiance. Fonctionnaires du D??partement d'Etat, cependant, savaient que Staline aurait presque certainement pas participer, et que tout plan qui envoyer de grandes quantit??s d'aide aux Sovi??tiques ??tait peu susceptible d'??tre approuv?? par le Congr??s.

Staline ??tait d'abord int??ress?? par le plan. Il a estim?? que l'Union sovi??tique ??tait en bonne position apr??s la guerre et serait en mesure de dicter les termes de l'aide. Il envoya donc ministre des Affaires ??trang??res Vyacheslav Molotov ?? Paris pour rencontrer Bevin et Bidault. La direction britannique et fran??aise partag?? le manque am??ricaine de v??ritable int??r??t dans la participation sovi??tique, et ils ont pr??sent?? Molotov aux conditions que les Sovi??tiques ne pourraient jamais accepter. La condition la plus importante est que tous les pays ?? adh??rer au r??gime aurait besoin d'avoir sa situation ??conomique ??valu??e de mani??re ind??pendante, l'examen auquel les Sovi??tiques ne pouvaient se entendre. Bevin et Bidault ??galement insist?? que toute aide soit accompagn??e par la cr??ation d'une ??conomie europ??enne unifi??e, quelque chose incompatible avec la stricte ??conomie de commandement sovi??tique. Molotov a quitt?? Paris, rejetant le plan.

Sur Le 12 juillet, une r??union a ??t?? convoqu??e plus grande ?? Paris. Chaque pays de l'Europe a ??t?? invit??, ?? l'exception de l'Espagne (qui ??taient rest??s sur la Seconde Guerre mondiale et qui avaient sympathis?? avec le Puissances de l'Axe) et les petits ??tats de l'Andorre , San Marin , Monaco et le Liechtenstein . L'Union sovi??tique a ??t?? invit?? ?? la compr??hension qu'il refuserait. Les ??tats de l'avenir Bloc de l'Est ont ??galement ??t?? approch??, et la Tch??coslovaquie et la Pologne a accept?? d'assister. Dans l'un des signes les plus clairs de contr??le sovi??tique sur la r??gion, le ministre des Affaires ??trang??res de Tch??coslovaquie, Jan Masaryk, a ??t?? convoqu?? ?? Moscou et r??primand?? par Staline d'avoir pens?? ?? rejoindre le Plan Marshall. Le Premier ministre polonais Josef Cyrankiewicz a ??t?? r??compens?? par Staline pour le rejet polonais du Plan. Russie r??compens?? avec la Pologne un accord commercial ??norme de 5 ans, 450 millions dans le cr??dit, 200 000 tonnes de c??r??ales, de la machinerie lourde et les usines. Staline a vu le r??gime comme une menace importante pour le contr??le sovi??tique de l'Europe de l'Est et a estim?? que l'int??gration ??conomique avec l'Occident permettrait ?? ces pays de se ??chapper conseils sovi??tique. Les Am??ricains ont partag?? ce point de vue et esp??re que l'aide ??conomique pourrait contrer l'influence sovi??tique croissante. Ils ne ??taient pas trop surpris, donc, lorsque la Tch??coslovaquie et les d??l??gations polonaises ont ??t?? emp??ch??s d'assister ?? la r??union de Paris. Les autres pays d'Europe orientale ont imm??diatement rejet?? l'offre. La Finlande a ??galement diminu?? pour ??viter antagoniser les Sovi??tiques. ??L'alternative?? de l'Union sovi??tique au plan Marshall, qui a ??t?? cens?? impliquer subventions et le commerce avec l'Europe occidentale sovi??tiques, est devenu connu sous le nom Plan Molotov, et plus tard, le COMECON. Dans un discours 1947 ?? l'Organisation des Nations Unies, vice-ministre des Affaires ??trang??res sovi??tique Andrei Vychinski dit que le plan Marshall a viol?? les principes des Nations Unies. Il a accus?? les Etats-Unis de chercher ?? imposer sa volont?? ?? d'autres Etats ind??pendants, alors que dans le m??me temps en utilisant les ressources ??conomiques r??partis comme soulagement aux nations n??cessiteuses comme un instrument de pression politique.

N??gociations

Tourner le plan des n??gociations de r??alit?? n??cessaire ?? la fois entre les pays participants, et aussi pour obtenir le plan par le Congr??s am??ricain . Ainsi seize nations se sont r??unis ?? Paris pour d??terminer la forme que l'aide am??ricaine serait prendre, et comment il serait divis??. Les n??gociations ont ??t?? longues et complexes, chaque nation ayant ses propres int??r??ts. La principale pr??occupation de la France ??tait que l'Allemagne ne peut ??tre reconstruit ?? sa pr??c??dente puissance mena??ante. Le Pays du Benelux, en d??pit de la souffrance aussi sous les nazis, ont longtemps ??t?? ??troitement li??e ?? l'??conomie allemande et senti leur prosp??rit?? d??pend de sa renaissance. Les pays scandinaves, notamment en Su??de , ont insist?? pour que leurs relations commerciales de longue date avec les pays de l'Est ne soient pas perturb??es et que leur neutralit?? ne sera pas transgress??. La Grande-Bretagne a insist?? sur le statut sp??cial, craint que si elle ??tait trait??e ?? ??galit?? avec les puissances continentales d??vast??es qu'il recevrait pratiquement aucune aide. Les Am??ricains poussaient l'importance du libre-??change et de l'unit?? europ??enne pour former un rempart contre le communisme. L'administration Truman, repr??sent?? par William Clayton, a promis aux Europ??ens qu'ils seraient libres de structurer le plan eux-m??mes, mais l'administration a ??galement rappel?? aux Europ??ens que pour le plan ?? mettre en ??uvre, il devrait passer Congr??s. La majorit?? du Congr??s a ??t?? commise au libre-??change et de l'int??gration europ??enne, et aussi ??taient r??ticents ?? passer trop de l'argent ?? l'Allemagne.

Un accord a ??t?? finalement atteint et les Europ??ens envoy?? un plan de reconstruction ?? Washington. Dans ce document, les Europ??ens ont demand?? 22 milliards de dollars d'aide. Truman coup?? ce 17 milliards de dollars dans le projet de loi qu'il a mis au Congr??s. Le plan a rencontr?? une vive opposition au Congr??s, la plupart du temps de la partie de la Parti r??publicain qui a pr??conis?? une plus politique isolationniste et ??tait las de d??penses gouvernementales massives. Repr??sentant le plus ??minent de ce groupe ??tait Robert A. Taft. Le plan a ??galement eu adversaires sur la gauche, avec Henry A. Wallace un adversaire fort. Wallace a vu le plan comme une subvention pour les exportateurs et assurer ?? polariser le monde entre l'Est et l'Ouest am??ricain. Cette opposition a ??t?? consid??rablement r??duite par le choc du renversement du gouvernement d??mocratique de la Tch??coslovaquie en F??vrier 1948. Peu de temps apr??s un projet de loi accordant une premi??re $ 5,000,000,000 pass?? Congr??s avec un fort soutien bipartisan. Le Congr??s finirait par don 12,4 milliards de dollars d'aide au cours des quatre ann??es du plan.

Truman a sign?? le Plan Marshall en droit sur 3 avril 1948 , instituant la Economic Cooperation Administration (ECA) pour administrer le programme. ECA a ??t?? dirig??e par l'administrateur de la coop??ration ??conomique Paul G. Hoffman. Dans la m??me ann??e, les pays participants (Autriche, Belgique, Danemark, France, Allemagne de l'Ouest, Grande-Bretagne, Gr??ce, Islande, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Norv??ge, Su??de, Suisse, Turquie et Etats-Unis) ont sign?? un accord cr??ation d'une agence financi??re ma??tre-aide-de coordination, le Organisation europ??enne de coop??ration ??conomique (plus tard appel?? l'Organisation de coop??ration et de d??veloppement, ??conomiques de l'OCDE), qui a ??t?? dirig?? par Fran??ais Robert Marjolin.

Ex??cution

Premi??re page du plan Marshall

La premi??re aide substantielle est all?? ?? la Gr??ce et la Turquie en Janvier 1947, qui ont ??t?? consid??r?? comme ??tant sur les lignes de front de la bataille contre l'expansion communiste et ont d??j?? aid?? dans le cadre du Doctrine Truman. Initialement, le Royaume-Uni a soutenu les factions anti-communistes dans ces pays, mais en raison de sa situation ??conomique d??sastreuse, il a demand?? aux ??tats-Unis ?? poursuivre ses efforts. Le CEA a d??but?? officiellement service en Juillet 1948. Son officielle ??nonc?? de mission ??tait de donner un coup de pouce ?? l'??conomie europ??enne: promouvoir la production europ??enne, pour soutenir la monnaie europ??enne, et de faciliter le commerce international, en particulier avec les ??tats-Unis, dont les droits ??conomiques int??r??t requis l'Europe de devenir assez riche pour importer des marchandises des ??tats-Unis. Un autre objectif officieux de la CEA (et du Plan Marshall) ??tait l'endiguement de l'influence sovi??tique croissante en Europe, d'autant plus ??vident dans la mont??e en puissance des partis communistes en Tch??coslovaquie, en France et en Italie.

L'argent Plan Marshall a ??t?? transf??r??e aux gouvernements des nations europ??ennes. Les fonds ont ??t?? administr??s conjointement par les gouvernements locaux et le CEA. Chaque europ??enne capitale avait un envoy?? de la CEA, g??n??ralement un homme d'affaires am??ricain de premier plan, qui serait charg?? de conseiller sur le processus. La r??partition des fonds de coop??ration a ??t?? encourag??e, et les panneaux de gouvernement, les entreprises et les dirigeants syndicaux ont ??t?? convoqu??s pour examiner l'??conomie et de voir o?? l'aide ??tait n??cessaire.

L'aide du Plan Marshall a ??t?? principalement utilis?? pour l'achat de marchandises en provenance des ??tats-Unis. Les nations europ??ennes avaient tous, mais ??puis?? leur r??serves de change pendant la guerre, et l'aide du Plan Marshall repr??sentaient presque leur seul moyen de l'importation de marchandises de l'??tranger. Au d??but du plan ces importations ??taient principalement des agrafes plus que n??cessaires tels que la nourriture et le carburant, mais plus tard les achats tourn??s vers les besoins de reconstruction comme ce ??tait initialement pr??vu. Dans les derni??res ann??es, sous la pression du Congr??s des Etats-Unis et avec le d??clenchement de la Guerre de Cor??e, une quantit?? croissante de l'aide a ??t?? consacr?? ?? la reconstruction des forces arm??es de l'Europe occidentale. Sur les quelque $ 13000000000 allou?? ?? la mi-1951, 3,4 milliards de dollars avaient ??t?? d??pens??s sur les importations de mati??res premi??res et produits semi-manufactur??s; $ 3,2 milliards sur la nourriture, de fourrage et d'engrais; $ 1,9 milliards sur les machines, les v??hicules et l'??quipement; et 1,6 milliard de dollars en carburant.

??taient ??galement ??tabli fonds de contrepartie, qui a utilis?? l'aide du Plan Marshall ?? cr??er des fonds en monnaie locale. Selon la CEA r??gles 60% de ces fonds devait ??tre investi dans l'industrie. Ce ??tait importante en Allemagne, o?? ces fonds administr??s par le gouvernement ont jou?? un r??le essentiel de l'argent de pr??ts ?? des entreprises priv??es qui d??penser l'argent reconstruction. Ces fonds ont jou?? un r??le central dans la r??industrialisation de l'Allemagne. En 1949-1950, par exemple, 40% de l'investissement dans l'industrie houill??re allemande ??tait par ces fonds. Les entreprises ont ??t?? tenus de rembourser les pr??ts au gouvernement, et l'argent seraient ensuite pr??t??s ?? un autre groupe d'entreprises. Ce processus se poursuit ?? ce jour sous la forme de la propri??t?? de l'??tat Banque KfW. Le Fonds sp??cial, puis supervis?? par le Minist??re f??d??ral de l'??conomie, a rapport?? plus de 10 milliards de DM en 1971. En 1997, elle valait 23 milliards de DM. Gr??ce au syst??me de cr??dit renouvelable, le Fonds disposait ?? la fin de 1995 fait des pr??ts ?? faible int??r??t pour les citoyens allemands se ??levant ?? environ 140 milliards de DM. L'autre 40% des fonds de contrepartie ont ??t?? utilis??s pour rembourser la dette, de stabiliser la monnaie, ou investir dans des projets non-industrielles. La France a fait l'utilisation la plus large des fonds de contrepartie, de les utiliser pour r??duire le d??ficit budg??taire. En France, et la plupart des autres pays, l'argent du fonds de contrepartie a ??t?? absorb?? dans les recettes publiques g??n??rales, et non recycl?? comme en Allemagne.

Une initiative beaucoup moins cher, mais aussi tr??s efficace CEA ??tait le Programme d'assistance technique. Ce programme financé par des groupes d'ingénieurs et industriels européens à visiter les Etats-Unis et les mines de tournée, usines, fonderies et afin qu'ils puissent ensuite copier les progrès américains à la maison. Dans le même temps plusieurs centaines de conseillers techniques américains ont été envoyés en Europe.

Dépenses

Marshall Plan.png

L'aide du Plan Marshall a ??t?? r??parti entre les ??tats participants sur une base plus ou moins par habitant. Une plus grande quantité a été donnée aux grandes puissances industrielles, que l'opinion dominante était que leur réanimation était essentiel pour le réveil général européen. Un peu plus d'aide par habitant a également été dirigé vers les nations alliées, avec moins pour ceux qui avaient fait partie de l' Axe ou est restée neutre. Le tableau ci-dessous montre Plan Marshall d'aide par pays et par an (en millions de dollars) à partir du plan Marshall cinquante ans plus tard. Il n'y a pas de consensus clair sur les montants exacts, car différents chercheurs diffèrent sur ??????exactement quels éléments de l'aide américaine au cours de cette période était partie du Plan Marshall.

Étiquetage utilisé sur les paquets d'aide
Pays 1948-1949
(en millions de dollars)
1949-1950
(en millions de dollars)
1950-1951
(en millions de dollars)
Accumul??
(en millions de dollars)
Autriche 232 166 70 468
Belgiqueet Luxembourg 195 222 360 777
Danemark 103 87 195 385
France 1085 691 520 2296
Allemagne 510 438 500 1448
Gr??ce 175 156 45 366
Islande 6 22 15 43
Irlande 88 45 0 133
Italie et Trieste 594 405 205 1204
Pays-Bas 471 302 355 1128
Norv??ge 82 90 200 372
Portugal 0 0 70 70
Su??de 39 48 260 347
Suisse 0 0 250 250
Dinde 28 59 50 137
Royaume-Uni 1316 921 1060 3297
Totaux 4924 3652 4155 12721

Effets

Un d'un certain nombre d'affiches créées pour promouvoir le Plan Marshall en Europe. Le drapeau bleu et blanc entre ceux de l'Allemagne et de l'Italie est une version du drapeau Trieste.

Le plan Marshall a pris fin en 1953, comme prévu initialement. Tout effort visant à étendre a été interrompue par le coût croissant de la guerre de Corée et le réarmement. US républicains hostiles au régime avait également obtenu des sièges dans les élections au Congrès de 1950, et l'opposition conservatrice au plan a été relancé. Ainsi, le plan a pris fin en 1951, bien que diverses autres formes de l'aide américaine à l'Europe ont continué par la suite.

Les années 1948-1952 ont vu la période de croissance le plus dans l'histoire européenne. La production industrielle a augmenté de 35%. La production agricole a dépassé sensiblement les niveaux d'avant-guerre. La pauvreté et la famine des années d'après-guerre immédiates ont disparu, et l'Europe occidentale a entrepris un deux décennies de croissance sans précédent qui ont vu le niveau de vie augmenter de façon spectaculaire. Il ya un débat parmi les historiens sur combien cela doit être porté au crédit du plan Marshall. La plupart rejettent l'idée qu'elle seule miraculeusement relancé l'Europe, comme preuve montre qu'une reprise générale était déjà en cours. La plupart croient que le Plan Marshall a accéléré cette reprise, mais il n'a pas engagé.

Les effets politiques du plan Marshall ont pu tout aussi important que ceux économiques. Aide du plan Marshall a permis aux nations de l'Europe occidentale pour se détendre mesures d'austérité et le rationnement, la réduction de mécontentement et de ramener la stabilité politique. L'influence communiste sur l'Europe occidentale a été considérablement réduite, et dans toute la région partis communistes fané en popularité dans les années après le Plan Marshall. Les relations commerciales entretenues par le plan Marshall ont aidé à forger l'alliance de l'Atlantique Nord qui persistent tout au long de la guerre froide. Dans le même temps la non-participation des Etats de l'Europe de l'Est a été l'un des premiers signes clairs que le continent était maintenant divisé.

Le plan Marshall a également joué un rôle important dans l'intégration européenne. Les Américains et la plupart des dirigeants européens ont estimé que l'intégration européenne était nécessaire pour assurer la paix et la prospérité de l'Europe, et donc utilisé des lignes directrices du Plan Marshall pour favoriser l'intégration. À certains égards, cet effort a échoué, comme l' OECE n'a jamais grandi pour être plus qu'un agent de la coopération économique. Au contraire, il était le séparée européenne du charbon et de l'acier, qui a notamment exclu la Grande-Bretagne, qui finirait par devenir l' Union européenne . Cependant, l'OECE a servi à la fois un test et terrain d'entraînement pour les structures et les bureaucrates qui allait plus tard être utilisés par le Communaut?? ??conomique europ??enne. Plan Marshall, liés dans le système de Bretton Woods , le libre-échange a également mandaté pendant toute la région.

Alors que certains historiens modernes d'aujourd'hui se sentent certains des éloges pour le Plan Marshall est exagérée, il est toujours considéré favorablement et beaucoup estiment ainsi qu'un projet similaire aiderait d'autres régions du monde. Après la chute du communisme plusieurs proposé un «Plan Marshall pour l'Europe de l'Est» qui aiderait à relancer cette région. D'autres ont proposé un plan Marshall pour l'Afrique pour aider ce continent, et vice-président américain Al Gore a suggéré un Plan Marshall Global. «Plan Marshall» est devenu une métaphore pour toute très grand programme du gouvernement de l'échelle qui est conçu pour résoudre un problème social spécifique. Il est généralement utilisé lors de l'appel pour les dépenses du gouvernement fédéral pour corriger un échec perçu du secteur privé.

La reprise économique ouest-allemande était due en partie à l'aide économique fournie par le Plan Marshall, mais surtout elle était due à la réforme monétaire de 1948 qui a remplacé le Reichsmark avec le Deutsche Mark comme monnaie légale, stopper l'inflation galopante. Cet acte de renforcer l'économie allemande avait été explicitement interdit pendant les deux années que la directive de l'occupation JCS 1067 était en vigueur. Le démantèlement des forces alliées de l'industrie ouest-allemande de charbon et d'acier a finalement terminé en 1951. Le Plan Marshall était un seul de plusieurs forces derrière la reprise allemande. Même si, en Allemagne, le mythe du plan Marshall est toujours vivant. Selon Plan Marshall 1947-1997 A View allemand par Susan Stern, de nombreux Allemands croient encore que l'Allemagne était le bénéficiaire exclusif du plan, qu'il se composait d'un don gratuit de vastes sommes d'argent, et qu'il était le seul responsable de l'allemand la reprise économique dans les années 1950.

Remboursement

L'Organisation européenne de coopération économique a pris le rôle de leader dans l'allocation des fonds, et la CEA arrangé pour le transfert des marchandises. Le fournisseur américain a été payé en dollars, qui ont été imputées sur les fonds du Programme de relance européen appropriées. Le destinataire européenne, cependant, n'a pas donné les marchandises comme un cadeau, mais il fallait payer pour eux (mais pas nécessairement à la fois, sur le crédit, etc.) en monnaie locale, qui a ensuite été déposé par le gouvernement dans un fonds de contrepartie. Cet argent, à son tour, pourrait être utilisé par les pays de l'ERP pour d'autres projets d'investissement.

La plupart des gouvernements de l'ERP participants étaient au courant depuis le début qu'ils ne jamais avoir à retourner l'argent du fonds de contrepartie aux États-Unis; il a finalement été absorbé dans leurs budgets nationaux et «disparu». A l'origine l'aide américaine totale à l'Allemagne (à la différence de subventions accordées à d'autres pays en Europe) devait être remboursé. Mais en vertu de la dettes accord de Londres de 1953, le montant remboursable a été réduit à environ 1 milliard de dollars. L'aide accordée après 1 Juillet 1951 est élevé à environ 270 millions de dollars, que l'Allemagne devait rembourser $ 16,9 millions pour le Washington Export-Import Bank. En réalité, l'Allemagne n'a pas savoir jusqu'en 1953 exactement combien d'argent il aurait à rembourser aux États-Unis, et a insisté pour que l'argent a été donné uniquement sous la forme de prêts portant intérêt - d'un système de rotation assurant que les fonds seraient croître plutôt que rétrécir. Une banque de prêt a été chargé de superviser le programme. Prêts du Programme européen de relance ont été principalement utilisés pour soutenir les entreprises petites et moyennes. L'Allemagne a payé aux États-Unis en versements (la dernière vérification a été remis en Juin 1971). Cependant, l'argent n'a pas été payée par le fonds d'ERP, mais à partir du budget du gouvernement central.

Les zones sans le plan Marshall

De grandes parties du monde dévasté par la Seconde Guerre mondiale ne bénéficient pas du plan Marshall. La seule grande nation de l'Europe occidentale était exclu Francisco Franco Espagne. Après la guerre, il a poursuivi une politique d'auto-suffisance, le contrôle des changes, et les quotas, avec peu de succès. Avec l'escalade de la guerre froide, les Etats-Unis reconsidéré sa position, et en 1951 a embrassé l'Espagne comme un allié, encouragé par agressives de Franco politiques anti-communistes. Au cours de la prochaine décennie, une quantité considérable de l'aide américaine irait à l'Espagne, mais moins que ses voisins avaient reçu dans le cadre du Plan Marshall.

Tandis que la partie occidentale de l'Union soviétique avait été durement touchée que toute partie du monde par la guerre, la partie orientale du pays est en grande partie intacte et avait vu une industrialisation rapide pendant la guerre. Les Soviétiques également imposé de grandes réparations paiements sur les alliés de l'Axe qui étaient dans sa sphère d'influence. la Finlande , la Hongrie , la Roumanie , et surtout Allemagne de l'Est ont été forcés à payer des sommes énormes et expédier de grandes quantités de fournitures à l'URSS. Ces paiements de réparation signifiait que l'Union soviétique a reçu presque autant que tous les pays qui reçoivent l'aide du Plan Marshall.

Europe de l'Est a vu pas d'argent Plan Marshall, que leurs gouvernements ont rejeté l'adhésion au programme, et d'ailleurs reçu peu d'aide des Soviétiques. Les Soviétiques ont fait établir COMECON comme une réfutation au plan Marshall. Les membres du Comecon regardé à l'Union soviétique pour le pétrole; à leur tour, ils ont fourni des machines, équipements, produits agricoles, des biens industriels et des biens de consommation à l'Union soviétique. La reprise économique dans l'est était beaucoup plus lent que dans l'ouest, et les économies jamais complètement récupéré dans la période communiste, conduisant à la formation des économies de pénurie et un écart de richesse entre l'Est et l'Ouest. La Finlande, qui n'a pas rejoint le Plan Marshall et qui a été nécessaire pour donner de grandes réparations à l'URSS, a vu son économie à se redresser à des niveaux d'avant-guerre en 1947. La France, qui a reçu des milliards de dollars à travers le Plan Marshall, de même vu son retour en classe économique aux niveaux de 1947. avant-guerre avaient récupéré la mi-1948 la production industrielle en Pologne, la Hongrie, la Bulgarie, la Tchécoslovaquie et à un niveau un peu au dessus du niveau d'avant-guerre.

Japon aussi, avait été gravement endommagé par la guerre. Cependant, le peuple américain et le Congrès étaient beaucoup moins de sympathie pour les Japonais qu'ils ne l'étaient aux Européens. Le Japon n'a pas non plus considéré comme ayant une grande importance stratégique ou économique aux États-Unis. Ainsi, aucun plan de reconstruction Grand était jamais créé, et la reprise économique japonaise avant 1950 était lent. Cependant, dès 1952, la croissance avait ramassé, tels que le Japon a continué, de 1952 à 1971 à croître dans le PNB réel à un taux annuel moyen de 9,6 pour cent. Les Etats-Unis en revanche, a progressé à un taux de 2,9 pour cent de 1952 à 1991. Le guerre de Corée peuvent avoir joué un rôle dans la croissance économique anticipée au Japon. Il a commencé en 1950 et le Japon est devenu le principal lieu de rassemblement pour l'effort de guerre des Nations Unies, et un fournisseur crucial de matériel. Un exemple bien connu est celui de la société Toyota. En Juin 1950, la société a produit 300 camions, et était sur ??????le point de sortir de l'entreprise. Les premiers mois de la guerre ont vu l'ordre militaire de plus de 5000 véhicules, et la compagnie a été relancé. Pendant les quatre années de la guerre de Corée, l'économie japonaise a vu un sensiblement plus grande injection d'argent que ce qui avait l'une des nations du Plan Marshall.

Canada , comme les États-Unis, a été peu endommagé par la guerre et en 1945 a été l'une des plus grandes économies du monde. L'économie canadienne a longtemps été plus dépendante que l'américain sur le commerce avec l'Europe, et après la guerre, il y avait des signes que l'économie canadienne a été en difficulté. En Avril 1948, le Congrès américain a adopté la disposition du régime qui a permis à l'aide pour être utilisé dans l'achat de marchandises du Canada. La nouvelle disposition a assuré la santé de l'économie de cette nation que le Canada a fait plus d'un milliard de dollars dans les deux premières années de fonctionnement. Ceci contrastait fortement avec le traitement Argentine , une autre grande économie dépendante de ses exportations de produits agricoles avec l'Europe, a reçu de la CEA, le pays a été délibérément exclu de la participation au régime en raison de divergences politiques entre les Etats-Unis, puis-président Perón. Cela endommager le secteur agricole argentin et aider à précipiter une crise économique dans le pays.

Critique

La critique pr??coce

La critique initiale du plan Marshall est venu d'un certain nombre d'économistes libéraux. Wilhelm Röpke, qui a influencé le chancelier allemand Ludwig Erhard dans son programme de relance économique, reprise cru serait trouvée dans l'élimination de la planification centrale et de la restauration d'une économie de marché en Europe, en particulier dans les pays qui avait adopté plus fascistes et des politiques économiques corporatistes. Röpke critiqué le plan Marshall pour prévenir la transition vers le marché libre en subventionnant le courant, systèmes défaut. Erhard mis la théorie de Röpke en pratique et plus tard créditer l'influence de Röpke pour le succès prééminent de l'Allemagne de l'Ouest. Henry Hazlitt a critiqué le Plan Marshall dans son 1947 livre Will Dollars sauver le monde? , arguant que la reprise économique passe par l'épargne, l'accumulation du capital et l'entreprise privée, et non par le biais d'importantes subventions en espèces. Ludwig von Mises a également critiqué le Plan Marshall en 1951, estimant que «Les subventions américaines permettent aux gouvernements [de l'Europe] de dissimuler partiellement les effets désastreux des diverses mesures socialistes qu'ils ont adoptées." Il a également fait une critique générale de l'aide étrangère, estimant qu'elle crée des ennemis idéologiques plutôt que des partenaires économiques en étouffant le marché libre.

La critique moderne

Critique du Plan Marshall est devenue importante parmi les historiens de l' école révisionniste, comme Walter LaFeber, pendant les années 1960 et 1970. Ils ont fait valoir que le plan économique américaine était l'impérialisme, et qu'il était une tentative de prendre le contrôle de l'Europe occidentale, tout comme les Soviétiques contrôlées Europe de l'Est. Dans une revue de l'économie de l'Allemagne de l'Ouest de 1945 à 1951, analyste allemand Werner Abelshauser a conclu que "l'aide étrangère n'a pas été cruciale dans le démarrage de la reprise ou à garder ça va." Les reprises économiques de la France, l'Italie et la Belgique, ont trouvé Cowen, également précédé le flux de l'aide américaine. Belgique, le pays qui a invoqué plus tôt et plus fortement sur ??????les politiques économiques de marché libre après sa libération en 1944, a connu la reprise la plus rapide et éviter les pénuries de logement et de nourriture sévères observées dans le reste de l'Europe continentale.

Ancien président des États-Unis de la Federal Reserve Bank , Alan Greenspan, donne plus de crédit à Ludwig Erhard pour la reprise économique de l'Europe. Greenspan écrit dans ses mémoires The Age of Turbulence que d'Erhard politiques économiques étaient l'aspect le plus important de l'après-guerre récupération Europe de l'Ouest, bien supérieurs aux contributions du Plan Marshall. Il affirme que ce sont les réductions d'Erhard dans régulations économiques qui ont permis la guérison miraculeuse de l'Allemagne, et que ces politiques ont également contribué à les recouvrements de nombreux autres pays européens. du Japon la reprise est également utilisé comme un contre-exemple, car il a connu une croissance rapide sans aucune aide que ce soit. Sa reprise est attribuée à des stimuli économiques traditionnels, tels que l'augmentation des investissements, alimentée par un taux d'épargne élevé et de faibles taxes. Le Japon a connu un grand afflux de liquidités au cours de la guerre de Corée, mais parce que cela est venu sous la forme de subventions d'investissement et non pas, il est avéré beaucoup plus bénéfique.

Critique du Plan Marshall vise également à montrer qu'il a commencé de désastreuses un héritage programmes d'aide étrangère. Depuis les années 1990, l'érudition économique a été plus hostile à l'idée de l'aide étrangère. Par exemple, Alberto Alesina et Beatrice Weder, résumant la littérature économique sur l'aide étrangère et la corruption, trouvent que l'aide est principalement utilisé inutilement et d'auto-servingly par des responsables gouvernementaux, et finit par augmenter la corruption gouvernementale. Cette politique de promotion d'un gouvernement corrompu est ensuite attribué retour à l'impulsion initiale du Plan Marshall.

Noam Chomsky a écrit que la quantité de dollars américains accordée à France et Pays-Bas égalé les fonds de ces pays utilisés pour financer leurs forces militaires en Asie du sud. Le plan Marshall a dit avoir "ouvert la voie à de grandes quantités d'investissement privé américain en Europe, en établissant la base pour les modernes sociétés transnationales. " Autre critique du Plan Marshall découlait de rapports que le Pays-Bas a utilisé une partie importante de l'aide qu'il a reçu pour essayer de reconquérir l'Indonésie dans la guerre d'indépendance indonésienne.

L'ERP en numismatique

L'ERP a laissé un tel héritage derrière cela a été le motif principal de nombreux collectionneurs et des pièces d'investissement. L'un des plus récents est l'??? 20 pièce période d'après-guerre, frappée en 17 Septembre 2003 Le revers de la médaille est basée sur la conception de deux affiches célèbres de l'époque:. la "Quatre dans une jeep» et l'ERP Les inscription en allemand "Wiederaufbau in Österreich" se traduit par "la reconstruction en Autriche", l'un des pays aidés par ce programme.

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