Université Paris-Sorbonne
« Paris IV » redirige ici. Pour le 4e arrondissement de Paris, voir 4e arrondissement de Paris. |
Université Paris-Sorbonne | ||||||||||||
Devise | Hic et ubique terrarum (Ici et partout sur la terre) | |||||||||||
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Informations | ||||||||||||
Fondation | , à la suite de la division de l'université de Paris | |||||||||||
Type | Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel | |||||||||||
Régime linguistique | Français (anglais et langues germaniques selon spécialisations) | |||||||||||
Budget | 118,8 millions d'euros (salaires compris)[1] | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Coordonnées | 48° 50′ 55″ N 2° 20′ 34″ E / 48.848611, 2.34277848° 50′ 55″ Nord 2° 20′ 34″ Est / 48.848611, 2.342778 | |||||||||||
Ville | Paris | |||||||||||
Pays | France | |||||||||||
Région | Île-de-France | |||||||||||
Campus | Paris et Abou Dhabi | |||||||||||
Direction | ||||||||||||
Président | Barthélemy Jobert | |||||||||||
Chiffres clés | ||||||||||||
Personnel | 774 (personnels non enseignants) | |||||||||||
Enseignants | 1 300 (enseignants et enseignants-chercheurs)[2] | |||||||||||
Étudiants | 23 271 | |||||||||||
Premier cycle | 13 900 | |||||||||||
Deuxième cycle | 6 916 | |||||||||||
Troisième cycle | 2 508 répartis en sept écoles doctorales | |||||||||||
Divers | ||||||||||||
Affiliation | Sorbonne Universités | |||||||||||
Site web | www.paris-sorbonne.fr | |||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Paris
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L’université Paris-Sorbonne[3] (Paris-IV)[4] est l'une des universités parisiennes héritières de l'ancienne Sorbonne. C'est le plus grand établissement français d'enseignement supérieur entièrement consacré aux lettres, langues, civilisations, arts, sciences humaines et sociales[5].
Elle participe, depuis 2010, au projet Sorbonne Universités avec l'université Pierre-et-Marie-Curie, le Museum National d'Histoire Naturelle et l'INSEAD. Cette alliance est à l'origine de la création du Collège de la Sorbonne, pour les licences, du Collège doctoral de la Sorbonne, pour les doctorants, ainsi que de nombreux projets de mutualisation pour augmenter la polyvalence et la visibilité internationale des formations proposées.
Histoire
Scission de l'université de Paris
Paris-Sorbonne est née à la suite de la réforme de l'université préparée par Edgar Faure en 1968. À cette date, l'université de Paris, divisée en cinq facultés, fut fractionnée en plusieurs universités interdisciplinaires. Certaines, dont l'université Paris-Sorbonne, conservèrent le nom de Sorbonne et des locaux au centre historique de l'université de Paris, essentiellement dévolus jusqu’alors aux facultés des lettres et des sciences. L'établissement a été créée par le décret du 23 décembre 1970, confirmé par le décret du 17 juillet 1984
Création de l'université
Les professeurs étant libres de se répartir comme ils l'entendaient, beaucoup se réunirent dans un premier temps selon leur couleur politique, notamment face aux événements de Mai 68. Paris-Sorbonne regroupa ainsi surtout les professeurs "de droite" par opposition à Paris I Panthéon-Sorbonne, qui était marquée "à gauche". C'est ce qui explique leurs orientations scientifiques divergentes. Pour prendre l'exemple de l'histoire des sociétés, Paris-Sorbonne s'illustra ainsi par une historiographie suivant les thèses de Roland Mousnier et marqua toujours une distance à l'égard de l'analyse marxiste de Boris Porchnev, à l'honneur à Paris I Panthéon-Sorbonne.
En dépit du renouvellement des générations de professeurs et d'étudiants, l'université Paris-Sorbonne a conservé sa réputation que la dureté des grèves du printemps 2009 dans cette université n'a pas écornée. Depuis octobre 2009, elle est membre fondateur avec Paris II Panthéon-Assas et l'université Pierre-et-Marie-Curie du PRES Sorbonne Universités[6]".Les trois fondateurs ont déposé ses statuts au début de l'année 2010 et le PRES a été reconnu par décret ministériel le 22 juin 2010 sous la forme d'une fondation de coopération scientifique. Depuis le 4 février 2012, l'ensemble Sorbonne Universités a été sélectionné comme lauréat de la deuxième vague des initiatives d'excellence.
Université Paris-Sorbonne - Abu Dhabi
En février 2006, l'établissement et les Émirats arabes unis ont signé un accord de coopération pour la création d'une nouvelle université, baptisée "université Paris-Sorbonne-Abu Dhabi" (la capitale du pays), inaugurée le 18 novembre de la même année. Cet accord (article 1-3) garantit à cette université l'exclusivité de l'usage du nom "Sorbonne" pour l'ensemble du Proche et du Moyen-Orient. C'est la première fois qu'une université française s'implante à l'étranger, suivant ainsi le mouvement d'internationalisation de l'enseignement supérieur. Le président, Jean-Robert Pitte, avait alors déclaré envisager la création d'autres antennes à l'étranger, aux États-Unis et en Asie de l'Est.
Historique des présidents
Depuis sa création, sept présidents ont dirigé l'établissement pour huit mandats exécutés :
Liste des présidents de l’université Paris Sorbonne :
• Alphonse Dupront | 1971–1976 |
• Raymond Polin | 1976–1981 |
• Jacques Bompaire | 1981–1988 |
• Michel Meslin | 1988–1993 |
• Jean-Pierre Poussou | 1993–1998 |
• Georges Molinié | 1998–2003 |
• Jean-Robert Pitte | 2003–2008[7] |
• Georges Molinié | 2008-2012[7] |
• Barthélemy Jobert | 2012-en cours |
Fusion des universités Paris 6 et Paris 4
Les universités Pierre-et-Marie-Curie et Paris-Sorbonne seront fusionnées. Cette nouvelle université sera effective début 2018 [8],[9],[10],[11],[12].
Composantes
L'université est structurée en unité de formation et de recherche pour les enseignements de 1er et de 2e cycle et des écoles doctorales. Elle compte une école interne : l'École des hautes études en sciences de l'information et de la communication (CELSA) et des laboratoires de recherche tels l'ENeC en géographie.
Unités de formation et de recherche - UFR
L'établissement se présente comme l'héritière de la faculté de lettres de Paris. De ce fait, ses formations sont axées sur les humanités et les sciences humaines en général, comme le montre la liste des unités de formation et de recherche :
- Arts :
- histoire de l'art et archéologie,
- musique et musicologie.
- Langues :
- études anglophones,
- études arabes et hébraïques,
- études germaniques et nordiques,
- études ibériques et latino-américaines,
- études italiennes,
- études slaves,
- langues Étrangères Appliquées (LEA).
- Lettres :
- grec,
- latin,
- langue française,
- littérature française et comparée.
- Sciences Humaines :
- géographie et aménagement,
- histoire,
- philosophie
- sociologie et informatique pour les sciences humaines,
- institut des recherches sur les civilisations de l’Occident moderne (IRCOM, qui forme une UFR dérogatoire pluridisciplinaire).
- Communication :
- information et communication (CELSA).
- Enseignement :
- ESPE.
Écoles doctorales
L'université de Paris-Sorbonne possède sept écoles doctorales membres du Collège doctoral de la Sorbonne :
- mondes anciens et médiévaux ;
- histoire moderne et contemporaine ;
- littératures françaises et comparée ;
- civilisations, cultures, littératures et sociétés ;
- concepts et langages ;
- histoire de l'art et archéologie ;
- géographie.
Implantation
L'enseignement et la recherche se divisent entre plusieurs centres géographiques :
- la Sorbonne, rue Victor-Cousin, Ve arrondissement ;
- maison de la recherche, rue Serpente VIe arrondissement avec notamment le laboratoire de géographie Espaces, Nature et Culture (ENeC);
- le centre Malesherbes (anciens locaux d'HEC), boulevard Malesherbes, XVIIe arrondissement ;
- le centre Clignancourt, rue Francis de Croisset, XVIIIe arrondissement, dont la reconstruction est très décriée[réf. nécessaire] ;
- l'institut d'Art et d'Archéologie (Centre Michelet), 3, rue Michelet, VIe arrondissement ;
- l'institut national d'histoire de l'art (INHA), IIe arrondissement ;
- institut de Géographie et de l'Aménagement, Rue Saint-Jacques, Ve arrondissement ;
- institut d’Études Ibériques, rue Gay-Lussac, Ve arrondissement ;
- centre d'Études Catalanes, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, IVe arrondissement ;
- centre d'Études Slaves, rue Michelet, VIe arrondissement ;
- centre international d'études francophones, Paris IV, rue Victor Cousin, 5e arrondissement de Paris ;
- école des Hautes Études en Sciences de l’Information et de la Communication (CELSA), rue de Villiers, Neuilly-sur-Seine ;
- institut d'urbanisme et d'aménagement, rue Serpente, VIe arrondissement ;
- l'école supérieure du professorat et de l'éducation de Paris, XVIe arrondissement, dépend administrativement de Paris IV.
De façon générale, et comme les autres universités parisiennes, Paris Sorbonne manque de place (voir le rapport Larrouturou) : les surfaces sont émiettées, les implantation sont sur plusieurs sites, entre le centre de Paris, Clignancourt et Neuilly. La campagne de restauration du Grand Palais, dans les années 1990 et 2000, a privé l'université de surfaces occupées alors par son centre d'études slaves et germaniques. La nouvelle campagne de restauration de la Sorbonne a duré de 2010 à 2015. La nature même du chantier a consommé de façon définitive une partie des surfaces, notamment pour remanier le plan d'évacuation, pour la protection contre les incendies et pour mettre aux normes le bâtiment historique. Le résultat des rénovations est spectaculaire et permet aux étudiants de travailler dans les meilleures conditions et offre une belle vitrine appréciée des étudiants étrangers. L'inauguration de la bibliothèque refaite, classée monument historique, a eu lieu le 15 novembre 2013 en présence du Maire de Paris Bertrand Delanoë[13].
Bibliothèques
Le service commun de la documentation (SCD) de l'université est réparti sur plusieurs sites :
- bibliothèque Malesherbes : ouverte en 1999, spécialisée dans les langues, littératures et civilisations étrangères des domaines germanique, néerlandais, nordique, slave, italien et roumain avec une collection de 250 000 ouvrages ;
- bibliothèque Clignancourt : généraliste, 70 000 ouvrages
- bibliothèque Serpente, au sein de la Maison de la Recherche : spécialisée en Histoire (ancienne, moderne et contemporaine) et en Sciences Humaines (Humanités, Sciences sociales et politiques), 55 000 ouvrages ;
- bibliothèque Marcel-Bataillon, pour les études ibériques et latino-américaines ;
- bibliothèque Michelet, au centre Michelet : spécialisée en art et archéologie, musique et musicologie, elle a été créée en 1996 et prend la succession de la bibliothèque d’art et d’archéologie Jacques-Doucet. Environ 100 000 volumes.
Plusieurs bibliothèques sont associées au SCD (bibliothèque du CELSA, bibliothèque d'études catalanes, bibliothèque de l'Institut d'études augustiniennes, etc.). Il existe également des bibliothèques d'UFR. Enfin, les étudiants ont accès aux différentes bibliothèques interuniversitaires de Paris : Bibliothèque de la Sorbonne, Bibliothèque Sainte-Barbe, Bibliothèque Sainte-Geneviève, etc.
Les Presses de l'université Paris-Sorbonne (PUPS)
Les PUPS sont un service général de l’établissement dirigé par un professeur des universités, François Moureau. Elles ont pour fonction première de diffuser la recherche issue de ses Écoles doctorales et des Centres de recherche qui y sont associés. Avec ses 62 collections, les livres des PUPS concernent l'histoire, la géographie, les littératures, la linguistique, la sociologie, la religion, la musique et l'histoire de l'art.
Enseignement et recherche
Formation
Pour compléter les cursus plus classiques, l'établissement délivre, en association avec ses partenaires du PRES Sorbonne Universités, des doubles licences associant ses spécialités, notamment l'Histoire, et celles de ces partenaires. Ces coopérations s'articulent dans le projet du Collège de la Sorbonne et à plus grande échelle du Collège doctoral de la Sorbonne[14].
Un double Master mention Relations internationales en partenariat avec Panthéon-Assas est proposé aux étudiants des deux universités. Cette formation complète les cursus en Études internationales que les étudiants de l'université peuvent trouver dans l'UFR d'Histoire[15].
Paris-Sorbonne propose également un ensemble de doubles-cursus au niveau licence cohabilités avec l'IEP de Paris[16],[17] auquel s'ajoute depuis l'année 2011 un partenariat avec HEC Paris pour les étudiants qui souhaitent suivre les cours sur le campus de Jouy en Josas [18].
Relations internationales
L'université compte plusieurs types de conventions signées avec d'autres universités étrangères. Dans le cadre de programmes européens, l'établissement compte des accords bilatéraux avec 190 universités, pour 830 places offertes. En 2008, 243 étudiants sont partis à l'étranger dans ce cadre. L'établissement compte aussi d'autres types de partenariats avec 140 universités étrangères, et 75 accords bilatéraux d’échanges[1].
L'université compte pour l'année 2009 4 660 étudiants étrangers de 144 nationalités, dont 41,8 % venant d'un pays de l'Union européenne. Parmi ces 1 948 étudiants européens, les italiens viennent en première position avec 17,1 % des effectifs, suivis des allemands avec 17,1 %, et des polonais avec 10,6 % des effectifs. Parmi les 2 712 étudiants non issus de l'Union européenne, les étudiants en provenance des États-Unis (13,3 %), de la Russie (7,5 %), et de l’Algérie (7,3 %) sont les plus nombreux[1].
Elle compte aussi trois cursus intégrés avec les universités de Bonn (4 étudiants sortants et 24 entrants) et de Varsovie (1 étudiant sortant, et 7 entrants)[1], et l'Université de Florence[19]. Pour l'année 2009, 74 cotutelles de thèses étaient en cours[1].
Recherche
L'université de Paris-Sorbonne axe sa politique de recherche sur les Arts et Humanités. Il n'en reste pas moins possible d'effectuer des recherches portant sur d'autres aspects (Géographie, Histoire de l'art, Relations internationales, Droit, Économie, Construction Européenne, etc.), les étudiants sont alors inscrits dans l'une des 7 Écoles doctorales. Ces dernières comptent 750 enseignants-chercheurs qui supervisent les 2300 doctorants dont 40 en cotutelle internationales de thèses[réf. nécessaire].
Scientométrie
L'université a été évaluée en novembre 2009 par l'AERES. Le rapport d'évaluation pointe comme points positifs le niveau de sa recherche et de son enseignement, ainsi que le niveau de sa vie culturelle, mais pointe aussi les problèmes de locaux et la structuration de l'université[20]. Une campagne de restauration de la Bibliothèque de la Sorbonne ainsi que des locaux du Bâtiment principal de la Sorbonne devant durer jusqu'en 2015 a été lancé en 2011. Ces travaux s'accompagnent de l'ouverture du nouveau centre pour les licences sur le site de Clignancourt en 2011.
Le classement Times Higher Education World University Rankings ne mentionne pas l'université de Paris IV dans son classement Arts and Humanities signifiant sa non-appartenance du top 100 mondial.
En 2013, le classement QS World University Ranking lui accorde la 32e place dans le classement Arts and Humanities, ce qui en fait la deuxième université française, derrière Paris I[21]. En 2010, elle se situait à la 13e place au niveau mondial pour le domaine des Arts and Humanities[22], à la 17e place[22] en 2011 et 2012.
Vie étudiante
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
Personnalités liées
Enseignants
- Reynald Abad, histoire de la France, XVIIe-XVIIIe siècles, prix Guizot de l'Académie française (2003).
- Jean Baechler, sociologie historique, membre de l'Académie des sciences morales et politiques depuis 1999.
- Dominique Barbéris, romancière, littérature française.
- Yves-Marie Bercé, histoire des révoltes à l'époque moderne, prix Madeleine Laurain-Portemer de l'Académie des sciences morales (1998) et membre de cette dernière (2007).
- Janine Chanteur, philosophe, prix Biguet de l'Académie française.
- Jean-Claude Cheynet, histoire byzantine, Collège de France.
- Antoine Compagnon, littérature française, professeur au Collège de France.
- Philippe Contamine, histoire médiévale, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres.
- Denis Crouzet, histoire de la Renaissance, prix Madeleine Laurain-Portemer de l'Académie des sciences morales (2008).
- Marc Fumaroli, membre de l'Académie française, et enseignant au Collège de France.
- Jean Favier, histoire médiévale, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, président de la Commission française pour l'UNESCO.
- Nicolas Grimal, égyptologie, Prix Gaston Maspero de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et membre de cette dernière, Prix Diane Potier-Boes de l'Académie française.
- Claude Lecouteux, littérature médiévale allemande, prix Strasbourg de l'Académie française.
- Jean-Luc Marion, philosophie, membre de l'Académie française depuis le 2008.
- François Moureau, littérature française du XVIIIe siècle, directeur des Presses de l'université Paris-Sorbonne (PUPS).
- Danièle Pistone, musicologue, membre de l'Académie des beaux-arts.
- Jean-Robert Pitte, géographie, membre de l’Académie des sciences morales et politiques depuis le 2008.
- Jean-Yves Tadié, littérature française, grand prix de l'Académie française.
- Jean Tulard, histoire du Premier Empire, membre de l’Académie des sciences morales et politiques.
Anciens étudiants
- Etel Adnan : écrivaine.
- Carlos Alvarado Larroucau : écrivain.
- Sophie Boissard : directrice adjointe du cabinet de Christine Lagarde, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi.
- Jean-François Delmas : archiviste paléographe, directeur de la Bibliothèque Inguimbertine et des musées de Carpentras.
- Xavier de Moulins : journaliste.
- Benoît Yvert : directeur du livre et de la lecture au ministère de la Culture et de la Communication et président du Centre national du livre depuis 2005.
- Frédéric Le Moal, historien.
Liens externes
- Site officiel Université de Paris Sorbonne
Sources
Références
- 1 2 3 4 5 Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur novembre 2009, p. 6
- ↑
- ↑ Nom d’usage dont s'est doté l'établissement par délibération de son conseil d’administration
- ↑ selon le décret no 2000-250 du 15 mars 2000 portant classification d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel et la circulaire no 2006-202 du 8-12-2006
- ↑
- ↑ site officiel du PRES
- 1 2 « Georges Molinié président de la Sorbonne », Le Figaro, 15 mars 2008, consulté sur www.lefigaro.fr le 10 juillet 2010
- ↑ http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/09/15/l-universite-pierre-et-marie-curie-et-paris-iv-sorbonne-fusionnent_4758207_3224.html
- ↑ http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75005/les-universites-paris-sorbonne-et-pierre-et-marie-curie-pretes-a-fusionner-16-09-2015-5098455.php
- ↑ http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/paris-sorbonne-et-pierre-et-marie-curie-vont-se-fondre-en-une-seule-universite-16757/
- ↑ http://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/021328935147-les-universites-pierre-et-marie-curie-et-paris-sorbonne-vont-fusionner-1155854.php
- ↑ http://www.letudiant.fr/educpros/actualite/universite-l-upmc-et-paris-sorbonne-sur-la-route-de-la-fusion.html
- ↑ Figaro
- ↑ site officiel du PRES
- ↑ http://www.paris-sorbonne.fr/nos-formations/les-ufr/sciences-humaines/histoire/cursus-et-diplomes-3116/
- ↑ http://www.paris-sorbonne.fr/fr/spip.php?article12316
- ↑ http://www.paris-sorbonne.fr/fr/spip.php?article11395
- ↑ http://www.paris-sorbonne.fr/vous-etes-navigation-par-profils/partenaires/
- ↑ http://www.gruendungsmythen-europas.uni-bonn.de/fr-1/
- ↑ Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur novembre 2009, p. 36
- ↑ http://www.topuniversities.com/university-rankings/faculty-rankings/arts-and-humanities/2013
- 1 2
- ↑ Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
- ↑ Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
- ↑ Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
- ↑ Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
Bibliographie
- Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, Rapport d'évaluation de l'Université Pais Sorbonne - Paris IV, Paris, , 50 p. (lire en ligne)
- EKIND, Livre Blanc sur la Qualité de Vie à Paris-Sorbonne, Paris Sorbonne, , 63 p. (lire en ligne)
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