Syracuse
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Syracuse | |||||||||||
Fontaine d'Aréthuse (plante de papyrus au centre) |
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Noms | |||||||||||
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Nom italien | Siracusa | ||||||||||
Nom sicilien | Sarausa | ||||||||||
Administration | |||||||||||
Pays | Italie | ||||||||||
Région | Sicile | ||||||||||
Province | Syracuse | ||||||||||
Maire | Giancarlo Garozzo 2008-2013 | ||||||||||
Code postal | 96100 | ||||||||||
Code ISTAT | 089017 | ||||||||||
Code cadastral | I754 | ||||||||||
Préfixe tel. | 0931 | ||||||||||
Démographie | |||||||||||
Gentilé | siracusani aretusei | ||||||||||
Population | 123 850 hab. (31-12-2010[1]) | ||||||||||
Densité | 607 hab./km2 | ||||||||||
Géographie | |||||||||||
Coordonnées | 37° 05′ 00″ N 15° 17′ 00″ E / 37.08333, 15.2833337° 05′ 00″ Nord 15° 17′ 00″ Est / 37.08333, 15.28333 | ||||||||||
Altitude | Min. 17 m – Max. 17 m | ||||||||||
Superficie | 20 400 ha = 204 km2 | ||||||||||
Divers | |||||||||||
Saint patron | Santa Lucia | ||||||||||
Fête patronale | 13 décembre | ||||||||||
Localisation | |||||||||||
Liens | |||||||||||
Site web | http://www.comune.siracusa.it/ | ||||||||||
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Syracuse (Siracusa en Italien, Sarausa en sicilien) est une ville italienne d'environ 123 000 habitants située sur la côte, au sud-est de la Sicile.
Syracuse fut fondée au VIIIe siècle av. J.-C. par des colons grecs venant de Corinthe. Elle est aujourd'hui la principale ville de la province de Syracuse. Cicéron la présenta comme la plus grande et la plus belle des villes grecques. Depuis 2005, son centre historique fait partie du patrimoine mondial de l'humanité établi par l'Unesco.
Géographie
Syracuse est située au sud-est de la Sicile, bordée par la mer Ionienne.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 7,7 | 8,4 | 9,3 | 10,8 | 12,4 | 17,7 | 19,9 | 21,1 | 18,2 | 15,4 | 12,2 | 11,1 | 13,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 15,7 | 15,8 | 17,7 | 20,9 | 23,3 | 28,7 | 31,3 | 31,7 | 28,4 | 24,3 | 19,6 | 16,6 | 22,8 |
Histoire
Antiquité
Les colons grecs partis de Corinthe fondèrent cette ville en 734 avant av. J-C sur l'île d'Ortygie. L'expédition est menée par Archias de la famille des Bacchiades. Cette famille cherche à se poster le long des routes qui traversent la mer Méditerranée. D'ailleurs au même moment, un autre Bacchiade, Chersicratès, fonde Corcyre sur une route maritime préexistante allant de la côte illyrienne à la côte orientale de la Sicile[3].
L'expédition trouve une aiguade du nom d'Aréthuse, voisine de cette « Pierre aux mouettes » que les Phéniciens avaient nommée Sour-ha-Koussim, et dont elle tire le nom de Syracuse[4]. L'île est dotée d'une source abondante nommée Aréthuse, de sites protégés pour deux ports au débouché de la plaine fertile de l'Apanos[5]. En prenant possession des terres autour de Syracuse, les Corinthiens rentrent en conflit avec les populations locales non grecques[3].
La ville se développe rapidement grâce aux riches plaines de la région pour devenir l'une des colonies grecques les plus brillantes d'occident. Syracuse essaime en Sicile et fonde plusieurs cités : Akrai en -664, Kasmenai-Casmene en -643, Camarina en -589…
Gélon, le tyran de Gela se rend maître de Syracuse en 485 av. J.-C. Il y transfére son pouvoir, laissant son frère Hiéron Ier commander Géla. Sous son règne, Syracuse devient la puissance hellénique dominante de l'époque ; les Grecs de la grande terre recherchent son aide contre la Perse, mais se désistent devant ses ambitions. Allié à Théron, tyran d'Acragas (Agrigente), il bat à Himère, en 480, une grande expédition carthaginoise, selon la tradition, le jour même où les Grecs battent les Perses à Salamine.
Après la mort de Gélon, son frère Hiéron Ier lui succède, commence une politique de mécénat et invite à sa cour les poètes grecs Simonide de Céos, Eschyle et Pindare. Ce dernier compose en son honneur la Première Pythique.
- En -474, Syracuse bat les Étrusques à la bataille de Cumes.
- En -466, il est renversé et un régime démocratique fut installé pour soixante ans.
- En -453, Syracuse bat de nouveau les districts miniers étrusques en Corse et sur l'île d'Elbe.
L'expédition de Sicile
Au Ve siècle av. J.-C., dans le contexte de la guerre du Péloponnèse, Athènes voulait contrer la puissance grandissante de Syracuse et prendre pied en Sicile pour s'assurer le contrôle total de la mer. L'expédition de Sicile prit la mer sous le commandement de Nicias, d'Alcibiade et de Lamachos en juin 415. Les Syracusains recherchèrent l'appui de Sparte, la cité ennemie d'Athènes. En 413 av. J.-C., Syracuse fut assiégée par les Athéniens qui sont défaits au cours d'une bataille navale dans la rade, grâce au génie tactique d'Hermocrate.
En 410, des négociations pour rétablir la paix entre Agrigente (alors Akragas) et les Elymiens échouent déclenchant une longue série de conflits avec Carthage (qui ne se terminera qu'en 340 av. J-C).En 406, Carthage profite de ce contexte pour attaquer Agrigente, Gela et Syracuse, mais elle est arrêtée par une épidémie de peste. La paix est signée en 405. Les guerres reprendront ensuite de 398 à 393, de 383 à 376, de 367 à 366 et de 345 à 341. Dans l'ensemble, l'équilibre des forces sur l'île n'est pas remis en cause.
Sous le règne du tyran Denys l'Ancien (-405,-367), Syracuse envoie des mercenaires pour aider le perse Cyrus le Jeune dans sa révolte contre le souverain achéménide Artaxerxès II Mnèmon. Les anecdotes sur Denys l'Ancien sont innombrables et l'on peut encore voir dans les environs de la ville, la fameuse « Oreille de Denys », une anfractuosité par laquelle le tyran pouvait surprendre les conversations de ses prisonniers enfermés dans une grotte. Denys l'Ancien conquit une grande partie de la Sicile et leva des tributs qui lui permirent de renforcer son arsenal. En -384, Denys en profite pour piller le site de Pyrgi.
Platon
Le tyran Denys l'Ancien fait venir Platon à Syracuse. Le philosophe grec se noue d'amitié avec son neveu Dion. Dion est exilé par son neveu Denys le jeune en 366, il part vivre en Grèce et prend la tête de l'opposition. Il s'empare du pouvoir en -357 puis meurt assassiné en -354.
Début du déclin
En 315 av. J-C, le tyran Agathocle déclenche une nouvelle guerre contre les Carthaginois. Il réussit en 309 à envahir l'Afrique du Nord mais ne peut vaincre les murs de Carthage. Il est vaincu en 307 laissant la cité punique devenir la principale puissance de la région .
Première guerre punique (264-241 av. J.-C.)
En raison de sa position géographique entre la péninsule italienne, aux mains des Romains, et l'Afrique du Nord, contrôlée par Carthage, la Sicile fut un enjeu majeur entre les deux puissances. En 269 av. J.-C., Hiéron II, le tyran de Syracuse, attaque les Mamertins, anciens mercenaires d'Agathoclès qui occupent Messine. Ceux-ci appellent au secours Rome et Carthage. En 264 av. J.-C., les Carthaginois prennent la ville de Messine. Le général romain Appius Claudius Caudex traverse le détroit de Messine et prend par surprise la garnison punique de Messine : c'est le casus belli (la cause directe) de la première guerre punique. Hiéron II s'allie à Rome contre Carthage, ce qui permet à la cité de conserver son territoire et son indépendance.
Deuxième guerre punique
Lors de la deuxième guerre punique, après que Syracuse s'est brièvement alliée à Hannibal, alors positionné à Capoue, les Romains, dirigés par le consul Marcus Claudius Marcellus, assiègent la ville en 213 av. J.-C.[6]. La ville de Syracuse résiste pendant plus d'un an, grâce notamment aux machines conçues par son habitant le plus célèbre : Archimède.
Archimède
La légende veut qu'Archimède ait mis au point des miroirs géants pour réfléchir et concentrer les rayons du soleil dans les voiles des navires romains pour ainsi les enflammer. L'historien romain Tite-Live (XXIV-34) décrit le rôle important d'Archimède comme ingénieur dans la défense de sa ville (aménagement des remparts, construction de meurtrières, construction de petits scorpions et différentes machines de guerre), mais il ne dit pas un mot de ces fameux miroirs. De même, il raconte la prise de Syracuse, organisée pendant la nuit non par crainte du soleil, mais pour profiter du relâchement général lors de trois jours de festivités (généreusement arrosées) en l'honneur de la déesse Artémis. (XXV-23)
Domination romaine
Quoi qu'il en soit, en -212, les Romains s'emparent de la ville et la mettent à sac. À cette occasion, un soldat désobéit aux ordres et tue Archimède dans sa maison, tandis qu'il contemplait des figures géométriques.
Martyre de sainte Lucie
Au début du IVe siècle, martyre de la syracusaine sainte Lucie (ou sainte Luce) : les Romains la firent brûler vive. La légende raconte qu'elle ne mourut pas et qu'il fallut la transpercer avec un glaive. Elle est la patronne de Syracuse.
Fouilles archéologiques
Depuis les années 1950, beaucoup de fouilles sous-marines ont aussi été conduites en Sicile et notamment dans la région de Syracuse. Des fouilles dans le port de Syracuse ont révélé des vestiges de l’ancien petit port, ou lakkios, un môle, ainsi que des murs du port. Dans l’isthme, beaucoup d’objets de l’époque classique ont été trouvés. Des caniveaux en marbre grec de l’époque classique, et des colonnes en marbre ont aussi été trouvées. Thucydide mentionne le port dans ses Histoires (14.42). Ce port a été connu sous le nom ‘le port en marbre’ dans certains écrits. L’historien romain Florus nous le décrit dans son livre (Book II, Ch. 6, section 34) et Cicéron dans son cinquième discours contre Verrès nous décrit le port (Ch. 37, section 95)).
Moyen Âge
Devant le risque de voir les Sarrasins envahir la Sicile, l'empereur byzantin Constant II prend en 663 la décision historique de transférer sa capitale à Syracuse. Il meurt assassiné en 668 dans sa retraite occidentale et après un échec à Bénévent devant les Lombards du roi Grimoald Ier de Bénévent. Les musulmans conquirent la ville en 878. Les dynasties des Aghlabides et Kalbites règnent sur la Sicile jusque dans la seconde moitié du XIe siècle. En 1086 la ville est prise par les Normands de Roger de Hauteville et de son fils Jourdain. En 1194, le nouveau roi de Sicile, Henri le Cruel, occupe Syracuse. Sous le roi Frédéric de Hohenstaufen la ville ainsi que l'ensemble de l'île retrouvent leur prospérité. Au XIIIe siècle, les Syracusains reçoivent des privilèges de la part des princes aragonais en récompense de leur soutien contre les Angevins.
Époque moderne
La ville fut détruite par les tremblements de terre de 1542 puis de 1693. L'épidémie de 1729 n'épargna pas les Syracusains.
Après le désastreux tremblement de terre de 1693 (qui toucha aussi la ville de Noto), la ville a connu une renaissance de son architecture. Les nouveaux bâtiments et les églises ont été construits pour rendre à la ville son ancienne splendeur. Les familles nobles ont pris en charge l'architecture avec une série de bâtiments, tels que le Palazzo Impellizzeri, la Palazzo del Bosco Beneventano de l'Archevêque et plusieurs églises, comme l'église de l'Immaculée Conception, église de Saint-Joseph, l'église des Capucins, Église des Noirs St. Philip, l'église de Sainte-Lucie à l'abbaye, l'église du collège, etc.
Enfin, a été réalisé le Palace Vermexio (Hôtel de Ville), siège du gouvernement de la ville.
Époque contemporaine
Après l’unité italienne, Syracuse a connu une émigration de masse vers le nord causée par le mauvais gouvernement par la nouvelle monarchie italienne ; pendant cette période, émergea la « Question méridionale ». La migration se dirigeait aussi vers les Amériques, le nord de l'Europe et l’Australie.
Par sa position géographique, sur la route entre l’Italie et l’Afrique, Syracuse joua un rôle important pour le régime fasciste. Benito Mussolini y viendra en visite deux fois et le roi Victor-Emmanuel III s'y rendra jusqu’en 1942. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la ville sera occupée par les Alliés le 9 juillet 1943 ; dans un premier temps, l’AMGOT, le gouvernement d'occupation allié, s’installera à Syracuse avant d'être déplacé à Palerme après la libération de la ville. Le 3 septembre 1943, l’Armistice entre l’Italie et les Alliés (États-Unis, Royaume-Uni et France) fut signé à Cassibile, un village à proximité de Syracuse.
Durant la seconde Guerre mondiale, Syracuse est une ville de grande importance pour le débarquement des Alliés, l'opération Husky et l'opération Ladbroke.
À la fin de la guerre, Syracuse connaitra une période de reconstruction et de nouvel espoir. Pendant les années 1960, l’industrie pétrochimique apportera une prospérité économique mais avec comme contrepartie, un impact écologique sur les villes de Priolo, Melilli et Augusta.
Monuments et patrimoine
On peut observer dans le centre de la ville comme en périphérie de nombreuses ruines antiques, dont un théâtre.
Monuments grecs
- Temple d'Apollon : construit vers -565, c'est le temple dorique le plus ancien de Sicile. Aujourd'hui, il n'en reste que des ruines.
- Temple d'Athéna (intégré à la cathédrale aujourd'hui) : construit par Gélon en -480.
- grand autel de Hiéron II construit vers -230, où l'on sacrifiait des bœufs. Près de 200 mètres de longueur.
- Théâtre grec : 15 000 spectateurs, c'est le plus vaste de l'île ; il est plus grand que le théâtre d'Épidaure en Grèce. Son plan est attribué à Democopos au Ve siècle av. J.-C. Diamètre : 138 mètres. Platon, Pindare et Euripide le fréquentèrent.
- Citadelle de Denys le Jeune
- Fontaine mythologique d'Aréthuse : la légende raconte qu'Alphée, dieu fleuve, poursuivit la nymphe Aréthuse (qui s'était baignée dans ses eaux) sous l'apparence d'un chasseur. Effrayée, elle s'enfuit jusqu'en Sicile, où elle se réfugia sur l'île d'Ortygie, près de Syracuse. Artémis la changea en source. Mais Alphée, déterminé, répandit ses eaux sous la mer jusqu'en Sicile, et émergea à Ortygie afin de fusionner avec Aréthuse.
Monuments romains
- Amphithéâtre de Syracuse taillé dans le roc (Ier siècle / IIIe siècle) : capacité de 20 000 spectateurs ; ellipse de 140 mètres * 119 mètres. Combats de fauves et de gladiateurs.
- Catacombes de Saint-Jean, IVe siècle
Autres monuments
- Basilica de Sainte-Lucie Basilica of Santa Lucia extra Moenia. Église byzantine construite, selon la tradition, sur le lieu même du martyre de Sainte Lucie en 303. L'aspect actuel de l'édifice date des XVe et XVIe siècles. Les parties les plus anciennes encore préservées comprennent le portail, les trois absides semi-circulaires et les deux premiers ordres du beffroi. Sous l'église sont les catacombes de Sainte-Lucie. Pour cette église Le Caravage peindra L'Enterrement de sainte Lucie, désormais installé dans l'église de Santa Lucia alla Badia.
- Église de la larme (Madonna delle lacrime)
- Église normande San Nicolò dei Cordari (XIe siècle) : elle se trouve un peu avant l'entrée du parc archéologique. Construite au XIe siècle sur une piscine romaine qui servait de réservoir d'eau à l'amphithéâtre tout proche, elle est divisée en trois nefs de 14 piliers et a gardé de sa structure originale le portail latéral et l'abside avec trois étroites fenêtres à meurtrières. Son nom est dû aux cordiers de chanvre qui non loin, dans la grotte des cordiers, selon une vieille tradition et ce jusqu'à la moitié du siècle dernier, nouaient les cordes de chanvre que l'humidité faisait se tortiller et se nouer immédiatement.
- Palais Montalto (XIVe siècle)
- Palais Vermexio (XVIIe siècle) : est le siège de l'hôtel de ville. Il naît au début du XVIIe siècle comme siège du Sénat et c'est l'architecte d'origine espagnole G.Vermexio qui le réalisa. Sous les fondations se trouvent les vestiges d'un temple ionique. À l'intérieur, une voiture du Sénat datant du XVIIe siècle qui aujourd'hui encore, tirée par six chevaux, précède l'idole de la sainte patronne Sainte Lucie lors de sa procession, le 13 décembre.
- Palais Lanza (XVe siècle)
- Palais Beneventano del Bosco
- Palais Bellomo (XIIIe siècle - XVe siècles) : abrite aujourd'hui la Galerie Régionale
- Château Maniace, citadelle du XIIIe siècle.
- Cathédrale (Duomo) : construite sur les ruines de plusieurs lieux de culte, selon les plans d'Andrea Palma, à partir de 1693
- Église Sainte-Lucie (Santa Lucia)
Gastronomie
La gastronomie syracusaine fait partie de la cuisine méditerranéenne basée donc principalement sur les céréales, poisson, viandes, légumes frais et secs et agrumes.
Syracuse est connue pour sa pâtisserie.
Parmi ses plats plus connus il y a : ravioli de ricotta en sauce (une typique sauce de tomate, morceaux de porc et saucisses), spaghetti à la syracusaine (anchois et chapelure torréfiée), spaghetti à la poutargue de thon, pâtes à l’espadon, lapin à la stemperata (avec câpres, olives, tomates, céleri branche), saucisses aux grains de fenouil, vin blanc et poivre ou piment, thon a la ghiotta (avec pommes de terre, tomates, poivrons et oignons), soupe de poisson, caponata (aubergines, tomates, oignons, olives, céleri branche en aigre-douce), aubergines et poivrons grillés.
Administration
Hameaux
Belvedere, Cassibile Fontane Bianche, Isola, Santa Teresa Longarini Scalo, Targia
Communes limitrophes
Avola, Canicattini Bagni, Floridia, Melilli, Noto, Palazzolo Acréide, Priolo Gargallo, Solarino
Évolution démographique
Habitants recensés
Renommée
En France, Syracuse, est une invitation au voyage, grâce à la chanson d'Henri Salvador.
Voir aussi
Bibliographie
- Victor Bérard, La colonisation grecque de l'Italie méridionale et de la Sicile dans l'Antiquité. L'histoire et la légende, Paris, Presses Universitaires de France, 1957.
- John Boardman, Les Grecs outre-mer. Colonisation et commerce, traduit en français par Michel Bats, Études II, Naples, Centre Jean Bérard, 1995.
- (en) Robert Leighton, Sicily before History. An archeological survey from the Paleolithic to the Iron Age, London, Duckworth, 1999.
Articles connexes
- Liste des villes italiennes de plus de 25 000 habitants
- Conjecture de Syracuse
Liens externes
- (en) Greek Merchant Ships BC (blogue sur les navires marchands de la Grèce antique)
Notes et références
- ↑ (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
- ↑
- 1 2 Biollet (Pierre-Yves), Barat (Claire), Costanzi (Michela), Les diasporas grecques du VIIIe s. au IIIe s. avant J.-C, Paris, 2012 (Dunod), p. 103
- ↑ Victor Bérard, La colonisation grecque de l'Italie méridionale et de la Sicile dans l'Antiquité. L'histoire et la légende, Paris, P.U.F.
- ↑ Biollet (Pierre-Yves), Barat (Claire), Costanzi (Michela), Les diasporas grecques du VIIIe s. au IIIe s. avant J.-C, Paris, 2012 (Dunod), p. 102
- ↑ F. W. Walbank, A Historical Commentary on Polybius, II, Oxford, 1970, p. 62
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