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Société générale

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Logo[n 1] de la Société générale

Création
Dates clés  : privatisation
Personnages clés Paulin Talabot, Eugène Schneider
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : GLE
Slogan Développons ensemble l'esprit d'équipe
Siège social  29, boulevard Haussmann
75009 Paris[2] (France)
Direction Frédéric Oudéa (directeur général) - Lorenzo Bini Smaghi (président)[3]
Actionnaires Septembre 2011 :
Salariés 7,24 %
Capital Research and Management Company 5,23 %
Groupama 4,25 %
Autodétention et autocontrôle 2,85 %
Caisse des dépôts et consignations 2,25 %
Meiji Yasuda Life Insurance 1,48 %
CNP 1,46 %
Activité Banque, assurance, finance, conseil
Filiales Crédit du Nord, Rosbank, Boursorama, ALD Automotive Franfinance
Effectif 148 300
Site web societegenerale.com
Capitalisation 31,61 mds d'€ (26 juin 2014)
Fonds propres (Part du groupe) 55,2 mds d'€ (2014)[4]
Chiffre d’affaires 23 6 mds d'€ (2014, Produit net bancaire)[5]
Résultat net (part du groupe) 2,692 milliards d'€ (2014)[5]
Code banque (BIC) SOGEFRPP
Code établissement (IBAN) 30003
ISIN FR0000130809

La Société générale est une des principales banques françaises et une des plus anciennes. Elle fait partie des trois piliers de l'industrie bancaire française non mutualiste (aussi appelés « les Trois Vieilles ») avec LCL (Crédit lyonnais) et BNP Paribas.

Histoire

Origines : 1864 - 1893

À sa création, la banque est le premier poids lourd de la banque française. Elle est fondée par un groupe d'industriels (dont Paulin Talabot qui en fut le premier directeur) et la famille Rothschild sous le Second Empire, le , « pour favoriser le développement du commerce et de l'industrie en France ». Le premier président de la banque est l’influent industriel Eugène Schneider (1805-1875), suivi par Guillaume Deninger, dit Denière, puis par l’Écossais Edouard Blount. La banque développe alors son réseau de manière importante en France, pour posséder un total de 32 postes en province en 1870 dont 15 à Paris[réf. nécessaire]. L’année suivante, la Société générale ouvre un bureau à Londres.

La banque commence à se constituer une clientèle de PME et de particuliers grâce à son réseau. Le siège parisien suit quant à lui les grandes entreprises. Cette même année 1871, la banque accède au marché des émissions publiques françaises. La France connaît cependant une période de marasme économique entre 1871 et 1893, entraînant la faillite de plusieurs établissements bancaires. La Société générale continue son développement et possède 148 guichets en 1889[réf. nécessaire].

Début du XXe siècle : 1894 - 1936

Verrière en charpente métallique du siège parisien de la Société générale, œuvre de Jacques Hermant.

À partir de 1894, la banque se structure comme un grand établissement de crédit moderne. Le groupe ne se contente plus de la collecte des dépôts des entreprises et de particuliers, mais s’oriente de manière importante vers les crédits d'exploitation à court terme destinés aux industriels et négociants, ainsi que vers le placement des titres dans le grand public, les emprunts privés français et enfin les emprunts russes.

À la Belle Époque, c'est la 4e capitalisation de la Bourse de Paris, qui compte 4 banques parmi les 6 premières, grâce à une expansion de l’actionnariat, qui passe de 14 000 en 1895 à 122 000 en 1913, et aux bonnes performances de la banque.

Après des années difficiles lors de la Première Guerre mondiale, la Société générale devient la première banque française dans les années 1920. Elle accroît son réseau, notamment en province, qui passe de 260 guichets périodiques en 1910, puis 864 en 1930 et enfin 1 457 en 1933 (y compris ceux de la Sogenal).

L’embellie de la fin des années 1920 sera de courte durée. Les années 1930 sont marquées par un repli des affaires, que ce soit en France ou à l’international. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, le réseau a diminué au niveau de 1922.

En 1936, c'est la septième capitalisation boursière française, après la montée en puissance des sociétés industrielles françaises à la Bourse, alors que la banque était encore 3e en 1913.

Société Lyonn des eaux CP d'élect B. de France Crédit Lyonn EELM Air liquide Société générale Rhône-Poulenc Saint-Gobain Alais Froges Kuhlmann U d'élect Elect de Mar.
Capitali (mds de f)[6] 1,6 1,4 1,3 1 1 1 1 0,9 0,82 0,8 0,8 0,79 0,76

Le rôle de son directeur Henri Ardant, pendant la guerre, ne lui a pas porté préjudice.[réf. nécessaire]

De la nationalisation à la privatisation : 1945 - 1990

Agence Société générale à Paris.

À la sortie de la guerre, la Société générale est nationalisée. La banque profite de la forte croissance de l’après-guerre pour se développer en France. Dans le même temps le groupe continue son expansion internationale, en Afrique, en Italie ou encore au Mexique. À partir de 1966, les groupes bancaires n’ont plus besoin d’autorisation préalable pour ouvrir des agences, ce qui favorise le développement du groupe en France.

Un changement de réglementation en 1966-1967 permet à la Société générale de se diversifier grâce à l’atténuation de la distinction entre banque de détail et banque d’affaire, et par la création d’un marché hypothécaire. Le groupe va tirer profit de cette nouvelle réglementation, en créant de nouvelles filiales spécialisées, notamment dans le crédit-bail avec ses filiales Sogelease, Sogebail, Sofinabail…

Au cours des années 1970 et 1980, la banque adopte les nouvelles techniques et évolutions du secteur comme l’informatique, les distributeurs automatiques ou les cartes bleues, notamment avec sa filiale spécialisée SG2. Dans le même temps le groupe continue son développement international et rachète des filiales spécialisées pour compléter son offre.

Le , la Société générale fait partie des trois grandes banques privatisées grâce à ses bonnes performances.

En 1988, une tentative d'OPA du groupe de Georges Pébereau menée à l'initiative du gouvernement socialiste de l'époque[7] conduit à l'affaire de la Société générale[8].

Années 1990 et 2000

Agence de la filiale bulgare Expres Bank, à Plovdiv.

Le groupe va se développer autour de trois grands pôles : banque de détail, gestions d’actifs (SGAM - Société Générale Asset Management) et banque de financement et d’investissement (SGCIB - Société Générale Corporate & Investment Banking). Ce développement va se traduire par de la croissance externe et interne.

En 1995, la banque prend possession des tours jumelles Chassagne et Alicante à La Défense, et en fait son nouveau siège social. En 1997, la branche banque de détail est renforcée par l’acquisition du Crédit du Nord. Elle intègre également l'activité du réseau la Sogénal. En 1998, la Société générale crée la « Direction de la Banque de Détail hors France métropolitaine », qui est l’un des axes stratégiques majeurs de développement du groupe.

En 1999, une bataille a lieu pour la prise de contrôle de Paribas, qui finalement sera acquise par la Banque nationale de Paris. La même année, des acquisitions sont réalisées à l’international, en Roumanie (Banque Roumaine pour le Développement, actuellement BRD), en Bulgarie (Expres Bank) et à Madagascar.

En 2001, la stratégie de développement à l’international continue surtout en Europe centrale avec l'achat de la Komerční banka en République tchèque et de la SKB Banka en Slovénie. La même année, le chef du service central de traitement et de compensation des chèques de la Société générale et le plus haut responsable de la lutte contre le blanchiment d'argent au sein de l'enseigne se voient reprocher par le juge d'instruction Isabelle Prévost-Desprez de graves défaillances dans les mécanismes de contrôle interne de la banque, en liaison avec l'affaire du Sentier II où plus de 120 personnes avaient participé à une importante cavalerie financière[9].

Fin 2007, la Société Générale signe un Protocole d'Accord avec La Banque Postale en vue de mutualiser leur monétique dans une filiale commune, Transactis

2008-2009, années de crises

Janvier 2008 : l’affaire Kerviel

Article détaillé : Crise financière de janvier 2008 à la Société générale.

Déjà affaiblie par la crise des subprimes, Société générale annonce le avoir été victime d'une fraude sur le marché des contrats à terme initiée par l’un de ses opérateurs de marché, Jérôme Kerviel. Le montant des positions secrètes prises par M. Kerviel serait de 50 milliards d’euros[réf. nécessaire]. Le débouclement des positions engendre 4,9 milliards d'euros de perte[10], soit presque l'équivalent du bénéfice net dégagé en 2006 (5,2 milliards d'euros). Si l’on impute à Jérôme Kerviel la responsabilité de la perte de 4,9 milliards enregistrée à l'issue de la liquidation de ses positions, celle-ci serait la fraude la plus élevée de tous les temps qui ait été causée par un « rogue trader », employé d'un établissement financier[11].

À la suite de cette crise, la banque annonce le 17 avril 2008 le départ de Daniel Bouton du poste de président-directeur général et sa nomination au poste de président du conseil d'administration[12], Frédéric Oudéa devenant directeur général{{#tag:ref|Mouvement effectif le 12 mai 2008 [13]. Jean-Pierre Mustier, alors responsable de la banque de financement et d'investissement (BFI) de la Société générale, quitte également ses fonctions, remplacé par un ancien dirigeant de Bear Stearns, Michel Peretié.

Le , à la suite de cette perte de 4,9 milliards d'euros, la banque annonce qu'elle va recevoir de la part de l'administration fiscale française un milliard d'euros[14], au titre d'un trop-perçu d'impôt sur les sociétés[n 2].

Février 2008 : le procès du Sentier II

Le , débute à Paris le procès du Sentier II, un important procès pour blanchiment d'argent qui met en cause plusieurs dirigeants de l'enseigne. Le , le parquet de Paris a requis la relaxe de la Société générale et de quatre de ses dirigeants, dont le président Daniel Bouton dans l'affaire du Sentier. Le , le tribunal correctionnel de Paris suit le réquisitoire du parquet de Paris en relaxant la Société générale et de quatre de ses dirigeants[15].

Évolution de l'action et de la note

L'action Société générale a perdu 61 % sur l'année 2008 et 20 % depuis le début de l'année 2009. Les titres concurrents BNP Paribas et Crédit agricole ont légèrement progressé en 2009.

Sa dette long terme Senior a été abaissée à la note A+ par Standard & Poor's le , Aa3 par Moody's le et A+ par Fitch le [16].

AIG

Fin 2008, l'assureur American International Group (AIG) réussit à rendre 12 milliards de dollars qu'il devait à la Société générale, qui lui avait acheté des produits dérivés[17]. Le groupe AIG a pu payer grâce à un renflouement de la Réserve fédérale américaine, à la suite duquel l'État américain est devenu propriétaire à 80 % du groupe[17].

Prêt de l’État français

Le , la Société générale bénéficie d’un emprunt de l'État d’un montant de 1,7 milliard d'euros. Elle bénéficie d’un second emprunt d’un montant similaire le . Au total, l’État a prêté une vingtaine de milliards d'euros à six grands réseaux bancaires français pour les aider à reconstituer leurs fonds propres après la crise financière. Le , la Société générale rembourse l’intégralité du montant de cet emprunt, soit 3,4 milliards d'euros, plus les intérêts[18],[19].

Bonus 2008

Daniel Bouton et Frédéric Oudéa ont annoncé mi-janvier 2009 avoir renoncé à leur bonus pour 2008, au même titre que l'ensemble des dirigeants des grandes banques françaises, à la demande de l'État qui s'était porté au secours du secteur bancaire[20].

Stock-options 2009

4 800 collaborateurs du groupe, en France et à l'étranger ont bénéficié des plans de distribution d'actions gratuites de janvier et mars 2009. 20 % seulement de ces actions (627 000 sur 3 090 000) sont soumises à des conditions de performance (progression du cours de l'action et dividendes).

Une attribution de stock-options à quatre dirigeants de la Société générale a été projetée en mars 2009. Ces stock-options concernent Frédéric Oudéa, directeur général, Daniel Bouton, président de la banque, qui devaient recevoir respectivement 150 000 et 70 000 titres, Didier Alix et Séverin Cabannes, directeurs généraux délégués, 50 000 titres[21].

Le prix d'exercice étant fixé à 24 euros, proche des bas niveaux actuels du cours de l'action, ce procédé permettrait aux quatre dirigeants d'empocher la différence éventuelle entre ce chiffre et la valeur du titre dans trois ans, délai fixé par la Société générale pour leur exercice.

Cette attribution a suscité l'indignation du président Nicolas Sarkozy et de l'ensemble du monde politique. Les dirigeants de la Société générale ont dû renoncer temporairement à convertir leurs stock-options. Les dirigeants n'ont pas renoncé à recevoir ces stock-options mais seulement à les convertir en actions tant que la banque bénéficiera de l'appui de l'État, qui lui a déjà prêté 1,7 milliard d'euros et lui permet de bénéficier de la Société de financement de l'économie française (SFEF) pour emprunter sur les marchés. Ils pourront les convertir en actions lorsque la banque n'aura plus besoin du soutien de l'État[20].

Pertes de SGAM-AI

Lundi 27 avril 2009, le quotidien Libération publie un dossier sur des pertes de 5 milliards d’euros qu'aurait subi SGAM-AI, un département de la filiale de gestion d’actifs de la banque, Société Générale Asset Management (SGAM)[22]. (Voir Affaire de la SGAM-AI)

En 2009, le SGAM fusionne avec CAAM dans une coentreprise nommée Amundi (CAAM : 75 %, SGAM : 25 %). Cette fusion signifie que toutes les activités nécessaires au bon fonctionnement du groupe Société générale et de ses filiales devront être reproduites ou achetées à l'extérieur.

2010, année de rebond ?

Après deux années de crise liées tout d’abord à la révélation de la fraude Kerviel, puis à l’éclatement de la crise financière mondiale, la banque semble avoir tourné la page en 2010.

Procès Kerviel

Cet article ou cette section est lié à une affaire judiciaire en cours (4 juin 2012).
Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. N’oubliez pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
N’hésitez pas à participer ni à citer vos sources.

   

Le procès de Jérôme Kerviel s’est ouvert le 8 juin 2010, au Palais de Justice de Paris, pour se clôturer le 25 juin. Société générale était partie civile du procès. L’ancien trader de la Société générale était représenté par maître Olivier Metzner, tandis que la banque était représentée par maîtres Jean Veil, Jean Reinhart et François Martineau.

Ce procès a suscité un engouement médiatique important, avec notamment un record de demandes d’accréditations de journalistes[23].

Après plus de deux semaines de débats très techniques et beaucoup tournés autour de la personnalité de Jérôme Kerviel, le procureur de la République a requis cinq ans d’emprisonnement dont trois ans ferme contre l’ancien trader, qui plaidait la relaxe[24].

Le jugement du procès a été rendu le 5 octobre 2010, à 11h00. Jérôme Kerviel a été reconnu coupable des trois chefs d'accusation requis à son encontre : abus de confiance, introduction frauduleuse de données dans un système informatique et faux et usage de faux. Jugé seul responsable de la perte record subie début 2008 par Société générale, il a été condamné à cinq ans de prison dont trois ferme, ainsi qu'à verser des dommages et intérêts de 4,9 milliards d'euros à la banque[25]. Le jugement rendu dédouane intégralement la Société Générale de toute responsabilité alors que des carences graves du système de contrôle interne ont été confirmées à Bercy par plusieurs hauts fonctionnaires de la direction du Trésor[26].

Jérôme Kerviel a immédiatement interjeté appel d'un « jugement déraisonnable » selon son avocat, maître Metzner[27]. Cet appel étant suspensif, il est présumé innocent jusqu'à la tenue du procès en appel, qui aura lieu du 4 au 28 juin 2012[28].

Le montant considérable des dommages et intérêts a suscité une grande vague d’émotions dans l’opinion publique et sur Internet. La condamnation d'un homme seul à rembourser une telle somme a suscité incompréhension et colère parmi les internautes[29]. La banque a annoncé avoir renoncé à demander l’intégralité des dommages et intérêts à Jérôme Kerviel[30].

Plan de transformation en cours et évolution

Côté activités, Société générale semble vouloir tourner la page et se transformer en profondeur en 2010. Le 15 juin, la banque présente aux investisseurs son programme Ambition SG 2015, dont l’objectif est de délivrer « une croissance à moindre risque » à l’horizon 2015, en tirant les leçons de la crise[31].

En 2010, les résultats financiers de l’entreprise se redressent. Au premier semestre, la banque présente un résultat net part du Groupe de 2,15 milliards d’euros[32].

Ces bons résultats sont présentés peu de temps après la publication des résultats des stress tests de résistance de 91 banques européennes, qui confirment notamment la solidité financière des quatre grandes banques françaises dont Société générale[33].

2011, la Société générale au cœur de la crise financière

Durant l’été 2011, les marchés financiers, craignant un effondrement de la zone euro lié à la crise de la dette souveraine européenne, connaissent de fortes secousses. Les valeurs boursières bancaires européennes et françaises chutent alors très fortement. C’est dans ce contexte que le quotidien britannique Mail on Sunday (Daily Mail) publie dimanche 7 août un article dans lequel il annonce la faillite imminente de la Société générale. Le journal publie rapidement un démenti et des excuses[34]. Malgré cela, la rumeur enfle[35], notamment sur les réseaux sociaux, entraînant une chute du cours de la Société générale ainsi que de la spéculation à la baisse.

La Société générale a porté plainte contre Associated Press (maison-mère du Mail on Sunday) pour atteinte à son image et au bon fonctionnement de ses affaires auprès de la justice britannique[36].

Le caractère baissier - influencé par la spéculation mais aussi la suspicion des investisseurs - reste dominant au niveau de l'action Société Générale jusqu’à fin 2011. Sur l'année, la valeur a perdu 57,22 % de sa valeur, soit la troisième pire performance du CAC 40 en 2011 (derrière Veolia et Peugeot)[37].

La Société générale est visée en mai 2011 par une plainte pour fraude déposée par l'Agence fédérale de financement du logement (FHFA) qu'elle considère avec 16 autres établissements financiers comme responsable de la crise des subprimes[38].

2012

Dans le cadre d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), la Société générale va supprimer plus de 1 200 postes au sein de Banque de financement et d'investissement, dont 880 en France. En réduisant ses effectifs, le groupe suit la même voie que ses concurrents BNP et Crédit agricole. L'entreprise dans un communiqué justifie ainsi cette décision : « définir un ensemble de mesures d'accompagnement et de garanties sociales pour les salariés concernés »[pertinence contestée][39].

Au cours du 3e trimestre la Banque a annoncé avoir vendu sa filiale grecque Geniki Bank à la banque hellène Piraeus Bank, transaction qui a été finalisée en décembre, la vente se soldant par une perte d'environ 100 millions dans les comptes. Toujours dans le cadre de sa restructuration, la banque annonce en décembre la vente de sa participation de 77 % dans sa filiale égyptienne National Société générale Bank (NSGB) à la Qatar National Bank pour 1,97 milliard de dollars et la vente par sa filiale Rosbank de l'établissement biélorusse Belrosbank au russe Alfa Bank.

2014

En mars 2014, la Société Générale, vend sa filiale de banque privée en Asie à l'entreprise singapourienne DBS Bank pour 158 millions de dollars[40],[41]. Le même mois, la Société Générale annonce l'acquisition des parts minoritaires, en dehors de la part de 21 % de La Caixa, dans Boursorama[42].

En 2014, Sogecap acquiert une partie des 126 galeries commerciales du groupe Carrefour, à travers la société foncière Carmila.

2015

Le 3 février 2015, Société Générale annonce la suppression de ses activités de crédits à la consommation au Brésil, entraînant une perte nette de 200 millions d'euros au 4e trimestre 2014[43]. En février 2015, Société Générale annonce son intention acquérir les 50 % dans Antarius, une entreprise d'assurance liée à Crédit du Nord[44],[45].

Présentation du Groupe

Le groupe Société Générale compte 148300 collaborateurs, de 121 nationalités présents dans 76 pays[46].

Société générale est une banque universelle. Le groupe se compose de trois grands piliers, soutenus par deux métiers[47].

Métiers

Les trois piliers de Société Générale, au cœur du développement du modèle de banque relationnelle, sont :

  • Les réseaux de détail en France (Société Générale, Crédit du Nord et Boursorama)
  • Les réseaux de détail à l'international (IBFS: International Banking and Financial Services)
  • La banque de financement et d’investissement (SG CIB) qui gère d’un côté la Banque de financement et les Fixed Income, le financement structuré, la dette, le forex, et de l'autre côté les Equity et les activités de conseil.

En soutien au développement de ses trois piliers, les deux autres lignes métiers du Groupe sont :

  • Services financiers spécialisés & assurances
  • Banque privée, Gestion d’actifs et Services aux investisseurs (19e mondial avec 1 512 milliards $ d'actifs gérés sous contrats[48])

Mécénat et parrainage

Le Groupe pratique une politique de soutien actif et le plus souvent très discret qui s'inscrit dans la durée[49]. Si le parrainage du rugby est connu, d'autres le sont moins, tels que le golf ou le handisport (en tant que partenaire officiel de la Fédération française de handisport). Le groupe est également un mécène culturel (musique classique et art contemporain) [50], ainsi qu'un acteur engagé sur le terrain de la solidarité, de l'enfance défavorisée [51] et de l'insertion professionnelle [52].

Amendes et condamnations

Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2014). Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [Comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

En juillet 2008, faisant suite aux récents troubles et notamment l'affaire Kerviel, la commission bancaire attribue un blâme à Société Générale, accompagné d'une amende de 4 millions d'euros pour des carences graves dans son système de contrôle interne[53].

En 2010, Société Générale est condamnée par l'autorité de la Concurrence. Le jugement concerne 11 banques françaises pour un montant global de 385 millions d'euros. Le motif incriminé concerne la mise en place par ces institutions de frais relatifs au traitement des chèques interbancaires. La sanction selon les banques mises en cause varie selon le rôle actif estimé, Société Générale est parmi celles soumises à la plus forte amende.

En août 2013, Société Générale est condamnée par l'Autorité de régulation des marchés financiers (AMF) a une amende de 500 000 euros pour des carences décelées dans ses systèmes d'audit concernant l'exercice 2010.

En décembre 2013, Société Générale est condamnée par la Commission européenne à une amende de 446 millions d'euros. Cette condamnation intervient dans un jugement concernant 6 banques pour avoir manipulé les taux interbancaires. Le montant total exigé est de 1,7 milliard d'euros. Ce montant cumulé constitue, pour l'heure, un record pour un cas d'entente et d'abus de position dominante.

Dispositifs de contrôle contre le blanchiment d'argent

La Société Générale présente en 2009 d'après la FED des « déficiences » en matière de blanchiment d'argent et lui a adressé un rappel à l'ordre[54]. Fin septembre 2011, l'Autorité de contrôle prudentiel a décidé d'ouvrir une enquête portant sur les dispositifs de contrôle de conformité et les dispositifs de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme[55]. Cette enquête a révélé que la majorité des établissements examinés n’était pas en conformité avec les obligations issues de l’ordonnance du 30 janvier 2009[56].

Paradis fiscaux

D'après une enquête réalisée par Alternatives économiques, la Société générale possédait 57 filiales dans des paradis fiscaux en 2008 soit 17 % du nombre total de sociétés dans le groupe[57]. Néanmoins le nombre de ses filiales sur le site de la Royale Bank of Scotland change constamment d'après une étude menée par CCFD-Terre Solidaire[58].

En 2013, cette organisation recense 1 filiale aux Antilles Néerlandaises, 5 en Belgique, 1 aux Bermudes, 4 à Hong-Kong, 8 en Irlande, 2 à Jersey, 1 au Liban, 14 au Luxembourg, 1 à Monaco, 8 aux Pays-Bas, 1 à Madère et 2 en Suisse[59].

Direction de l’entreprise

  • Lorenzo Bini Smaghi - Président
  • Frédéric Oudéa - Directeur général (revenus 2009 : 1 116 577 )[60]

Anciens présidents

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  • 1864-1869 : Eugène Schneider
  • 1869-1886 : Guillaume Deninger, dit Denière
  • 1886-1901 : Sir Edouard Blount
  • 1922-1932 : André Homberg
  • 1932-1940 : Joseph Simon
  • 1941-1944 : Henri Ardant
  • 1944-1958 : Pierre de Moüy
  • 1958-1967 : Maurice Lorain
  • 1967-1973 : Jacques Ferronnière
  • 1973-1982 : Maurice Lauré
  • 1967-1982 : Jacques Mailloux
  • 1986-1997 : Marc Viénot
  • 1997-2008 : Daniel Bouton
  • 2008-2015 : Frédéric Oudéa

Anciens directeurs généraux

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  • 1864-1867 : Adrien Delahante
  • 1867-1872 : Charles Herpin
  • 1872-1879 : Émile Huard
  • 1880-1890 : Octave Homberg
  • 1890- : Antoine Ségan
  • 1913-1919 : André Homberg
  • 1919-1925 : Joseph Simon
  • 1935-1944 : Henri Ardant
  • 1943-1958 : Maurice Lorain

Données financières et boursières

Données financières

Données financières en millions d'euros
Années 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Produit net bancaire 14 573 15 637 16 390 19 170 22 417 21 923 21 866 21 730 26 418 25 636 23 110 22 831
Résultat brut d’exploitation 4 000 5 069 5 328 7 014 8 714 7 618 6 338 5 964 9 873 8 600 6 672 6 432
Résultat net part groupe 1 397 2 492 3 281 4 446 5 221 947 2 010 678 3 917 2 385 774 2 175

La Société générale répond aux exigences de conformité au standard financier MSI 20000.

Données boursières

  • Actions cotées à la Bourse de Paris
  • Membre de l'indice CA
  • Code valeur ISIN = FR0000130809
  • Valeur nominale au 31 décembre 2009 = 49,00 euros
  • Nombre d'action au 31 décembre 2009 : 739 806 265 titres
  • Capitalisation au 31 décembre 2009 : 36,2 Md€
  • Nombre de transactions quotidiennes : --- titres
  • Transaction courante

Responsabilité sociale

La Société générale a pris en compte sa responsabilité sociale et environnementale mais ne semble néanmoins pas certifiée respectant la norme ISO 14001[61].

Le salaire de son dirigeant représente 520 fois le salaire médian français[62], ce qui ne lui permet pas l'obtention de l'agrément "entreprise solidaire[n 3]".

Dans le monde

En Europe

  • Société Générale Albania (anciennement Banka Bopullore) rachetée en 2007 et dont le nom change en 2010.
  • Société Générale Expresbank rachetée en 1999
  • Société Générale Bank Cyprus
  • SG Splitska Banka, Split, Croatie : rachetée en 2006 à Bank Austria Creditanstalt pour 1 milliard d’euros, la banque possède 9 % de part de marché en Croatie avec 121 agences et 1 500 employés. C’est le 4e réseau du pays.
  • Bank Republic : en septembre 2006, la SG rachète 60 % du capital de cette banque qui possède 30 agences autour de Tbilissi et 180 000 clients. Bank Republic représente 11 % des dépôts, 8 % des crédits et 30 % des cartes de crédit.
  • SGBT Luxembourg (Société générale Bank & Trust Luxembourg) : établissement bancaire de droit luxembourgeois, filiale à 100 % de la Société générale. Implantée depuis 1893 au Grand-duché (plus ancienne implantation bancaire étrangère au Luxembourg), SGBT Luxembourg a accompagné dès son origine le développement de l'industrie luxembourgeoise et a contribué ainsi à l'émergence de la place financière du Grand-duché.
  • Ohridska Banka, Ohrid, Macédoine
  • Mobiasbanca : cinquième banque moldave en termes d'actifs. La Société générale a fait l'acquisition de 70,57 % de son capital en janvier 2007 pour 18,4 M €.
  • Société Générale Monténégro (anciennement Podgorička Banka a.d.), Podgorica, Monténégro[63],[64],[65],[66].
  • Komerční banka : avec 399 agences en 2012, 1,6 million de clients et 8200 employés, la Komerční banka est la première banque pour les entreprises et la seconde pour les particuliers en République tchèque. La Société générale a repris 60 % de la banque en 2001 pour 1,186 milliard €, en devenant ainsi actionnaire majoritaire. Le groupe opère également en Slovaquie sous le nom KB-Bratislava.
Le bâtiment historique de la Komerční banka, filiale tchèque de la Société générale, à Ostrava.
  • BRD : fondée en 1923, la BRD est la seconde banque de Roumanie en termes de dépôts. Elle possède 915 agences pour 2,5 millions de clients et 8 800 employés. C’est en 1998 que la Société générale entre à son capital pour y monter jusqu’à près de 60,00 % en 2009.
  • Rosbank : filiale russe dont la Société générale contrôle 92.4 % du capital[n 4]. Rosbank avec 600 agences a le premier réseau à capitaux privé de banque de détail en Russie et compte environ 3 millions de clients particuliers, 60 000 PME et 7 000 grandes entreprises et couvre l'ensemble du territoire avec une présence dans 90 % des villes de plus de 500 000 habitants. En 2011, Rosbank fusionne avec la Bank Sossiété jénéral vostok / Банк Сосьете женераль восток, filiale à 100 % de la Société générale et spécialisée dans tout le spectre des opérations bancaires depuis 1993.
  • DeltaCredit : filiale russe à 100 % de la Société générale, spécialisée dans le crédit immobilier.
  • Rusfinance : filiale russe à 100 % de la Société générale, spécialisée dans le crédit à la consommation.
  • Société générale Srbija qui compte 90 agences en Serbie.
  • SKB : c'est la quatrième banque de Slovénie avec ses 59 agences.
  • Société générale Private Banking Genève, Lausanne, Zurich, Lugano

En Afrique

  • BVF-SG (BVF - Société Générale) : une des plus grandes banques a Madagascar filiale a 70 % de la Société générale à la suite de sa privatisation en 1998.
  • Société générale Algérie : installée depuis 1999, c'est la première banque grand public française à s'installer (ou se réinstaller) en Algérie. Elle possède un réseau de 63 agences. En 2003, 29 % de son capital était détenu par El Khalifa Bank.
  • SGBBE (Société générale de banques au Bénin)
  • SGBB (Société générale de banques au Burkina) : filiale à 44,2 % de la Société générale à la suite du rachat en mai 1998 de la BFCI-B (Banque pour le financement du commerce et des investissements au Burkina). Elle est classée troisième établissement bancaire du Burkina Faso.
  • SGBC (Société générale de banques au Cameroun)
  • SGBCI (Société générale de banques en Côte d’Ivoire)
  • SG-SSB Ltd, Accra, Ghana, acquise en 2003.
  • SGBG (Société générale de banques en Guinée)
  • SGBGE (Société Générale de Banques en Guinée Équatoriale)
  • Société générale Maroc : créée en 1913, c'est l'un des principaux groupes financiers au Maroc. Elle détient 330 agences en 2011.
  • SGM (Société générale Mauritanie) acquise en 2007
  • SGBS (Société générale de banques au Sénégal)
  • SGT (Société générale Tchad)
  • SGC (Société générale Congo)
  • UIB (Union internationale de banques) : créée en 1964, l’UIB a été privatisée en novembre 2002 avec le rachat d'une partie de son capital par le groupe Société générale. Son objectif est d’appliquer le modèle de rentabilité Société générale en améliorant durablement les outils, les méthodes de travail et la qualité de service. Elle possède un réseau de 118 agences dans le pays.

Dans les DOM

  • SGBA (Société générale de banques aux Antilles), implantée en Guadeloupe et en Martinique.
  • SGCB (Société générale calédonienne de banques).
  • BDP (Banque de Polynésie).
  • BFCOI (Banque Française Commerciale Océan Indien), filiale à 50 % de la Société générale implantée à la Réunion et à Mayotte.

En Asie

  • Société générale de banques Jordanie
  • SGBL (Société Générale de Banques au Liban) : filiale libanaise de la Société générale depuis 1969 (à 25 % puis à 50 % en 1991), aujourd'hui la Société générale s'est partiellement désengagée et ne possède plus que 16 % de la SGBL. Elle compte près de 66 agences réparties sur l'ensemble du territoire libanais en 2011[68].
  • Société générale (China) Limited créée en 2008.
  • SG Mumbai créée en 1985.
  • Seabank, Hanoi, banque locale dans laquelle la Société générale contrôle 20 % du capital. La banque possède un réseau de plus de 100 agences dans le pays.

Notes et références

Notes

  1. Après avoir utilisé pendant plus d'un siècle le monogramme « SG », la Société générale se dote d'un véritable logo à la suite d'un concours remporté en 1969 par le dessinateur Noël Pasquier. Le « logo Pasquier » de forme ronde en spirale inversée s'inspire de l’art cinétique et symbolise une corne d'abondance. En 1990, l'agence de design Sopha du groupe RSCG crée un nouveau logo, un carré rouge et noir, symbole de solidité, avec « Société » en noir sur rouge et « Générale » en caractères plus accentués, en réserve blanche dans le noir. En 2005, le logo qui se veut plus lisible comprend une partie purement graphique à gauche et la raison sociale à droite. En 2011, le logo devient plus institutionnel avec l'apparition du bloc marque et le slogan : « Développons ensemble l’esprit d’équipe »[1].
  2. Lorsqu'un évènement exceptionnel survient avant la clôture définitive de l'exercice précédent, une société doit, par obligation légale, l'imputer sur cet exercice, en l'occurrence, 2007.
  3. au sens de l'article L.443-3-1 du code du travail
  4. La Société Générale est entrée au capitald e Rosbank en 2006. En octobre 2013, elle a racheté à VTB les 10 % que celle-ci détenait dans Rosbank, passant de 82,4 % à 92,4 % du capital[67].

Références

  1. En formes et en couleurs : histoire de l'identité visuelle de Société Générale, site de l'entreprise, consulté le 26 janvier 2015
  2. « Document de référence 2013 », sur Site institutionnel Société générale, Société Générale (consulté le 21 octobre 2013), p. 33
  3. Société Générale: Oudéa cède la présidence à Lorenzo Bini Smaghi, Challenges - 15.01.2015
  4. Document de référence 2015, , 573 p. (lire en ligne)
  5. 1 2 Document de référence 2015, , 573 p. (lire en ligne), p. 27
  6. "Le marché boursier et le financement des entreprises française (1890-1939)", Thèse de doctorat de Pierre-Cyrille Hautcoeur sous la direction de Christian de Boissieu, page 50, Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, 1994.
  7. Société générale : le procès d'un « raid » manqué, ladepeche.fr, 7 novembre 2002
  8. LES COFFRES DE LA GENERALE, humanite.fr, 16 juin 1990
  9. Beau linge et argent sale, Jean-Pierre Thiollet, p. 111, Anagramme éd., 2002
  10. Informations LCI du 24 janvier 2008
  11. (en) « Rogue traders », Financial Times, (consulté le 28 janvier)
  12. Dissociation des fonctions de président et de directeur général, Communiqué interne Société générale, 17 avril 2008[réf. obsolète]
  13. Société générale - Daniel Bouton n'est officiellement plus DG[réf. obsolète]|group=n}}
  14. « Société générale : Bercy va rembourser 1 MdE d'impôts » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  15. E24 avec AFP, « Daniel Bouton et la Société Générale relaxés dans l'affaire Sentier II », sur 20minutes.fr, (consulté le 26 janvier 2015)
  16. « Notations de la Société générale » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  17. 1 2 (en)Mary Williams Walsh, « A.I.G. Lists Firms It Paid With Taxpayer Money », sur nytimes.com, (consulté le 26 janvier 2015)
  18. Reuters avec Emmanuel Jarry, édité par Marc Joanny, « Société générale augmente son capital pour rembourser l'Etat », sur lepoint.fr, (consulté le 26 janvier 2015)
  19. AFP, « La Société Générale a remboursé l'État », sur lepoint.fr, (consulté le 26 janvier 2015)
  20. 1 2 Les dirigeants de la Société générale renoncent temporairement à convertir leurs stock-options, Le Monde, 20 mars 2009
  21. L'attribution de stock-options à des dirigeants de la Société générale provoque une polémique, Le Monde, 20 mars 2009
  22. Le nouveau fiasco à 5 milliards de la Société générale, Libération, 27 avril 2009
  23. Bloomberg BusinessWeek
  24. Quatre ans ferme requis contre Jérôme Kerviel[réf. insuffisante]
  25. Le jugement intégral en pdf
  26. L'Express, Jérôme Kerviel et les carences de la Société générale, Thomas Bronnec, 5 octobre 2010
  27. Me Metzner : "C'est déraisonnable pour la justice et la vérité", lepoint.fr, 5 octobre 2010.
  28. "L'ancien trader Jérôme Kerviel sera rejugé du 4 au 28 juin 2012", L'Express, publié le 03/10/2011
  29. Des internautes prennent fait et cause pour Kerviel, victime du système, RTLinfo.be
  30. La Société générale n'obligera pas Kerviel à s'endetter sur 177.000 ans, latribune.fr
  31. La Société générale veut rebondir
  32. Communiqué de presse, résultats T2 2010
  33. SocGen : Tier One à 10 % au stress test, Le Figaro
  34. Démenti et excuses du Mail on Sunday (Daily Mail)
  35. Le Figaro : Le trajet fou de la rumeur qui a secoué la Société Générale
  36. Zonebourse : Société générale porte plainte contre Associated Newspapers
  37. L'AGEFI : Bilan annuel du CAC40
  38. "Subprimes : la Société Générale poursuivie" Anne-Hélène Pommier Le Figaro publié le 03/09/2011
  39. La banque DBS rachète la filiale banque privée de la Société générale en Asie, Le Monde, 17 mars 2014
  40. Singapore's DBS agrees to buy SocGen's Asian private bank: sources, Saeed Azhar, Reuters, 14 mars 2014
  41. SocGen to buy out Boursorama online bank minorities, Reuters, 18 mars 2014
  42. http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0204131094446-societe-generale-arrete-le-credit-a-la-consommation-au-bresil-1089739.php
  43. Société générale va prendre 100% d'Antarius, Le Figaro, 25 février 2015
  44. SocGen buys 50 percent of insurer Antarius, Reuters, 25 février 2015
  45. « Infographie Société Générale »
  46. Site SG-Stratégie de groupe
  47. Classement WORLD'S 50 BIGGEST BANKS 2011 par Global finance
  48. Bulletins de l'année 2008 de l'Autorité de contrôle prudentiel
  49. "Blanchiment : la Société générale rappelée à l'ordre par la Fed" Lepoint.fr- Publié le 17/03/2009 à 17:16
  50. "Lutte contre le blanchiment : la Société générale visée par une procédure du régulateur" Le Monde.fr 16.03.2012
  51. Blanchiment : le rappel à l’ordre du régulateur français" CAROLINE LECHANTRE Les Échos 8 mars 2012
  52. "Enquête exclusive : la présence des entreprises du CAC 40 dans les paradis fiscaux" Christian Chavagneux et Marie-Salomé Rinuy, Alternatives économiques, 11 mars 2009
  53. Les Paradis fiscaux, enquête sur les ravages de la finance néolibérale, Nicholas Shaxson, André Versaille éditeur, 2012]
  54. http://ccfd-terresolidaire.org/IMG/pdf/banquesetpfbassedef.pdf
  55. http://www.edubourse.com/remuneration/societe-generale.php
  56. socgen
  57. Chiffre référencé par la SARL de presse Transnationale & Compagnie
  58. Njegoskij|org : la Société générale prend le contrôle de Podgoricka Banka a.d
  59. Njegoskij|org : Diplomatic clippings on the acquisition of Podgoricka Banka a.d. (en)
  60. Njegoskij|org : Official report on the privatization of Podgoricka Banka a.d. (en)
  61. Njegoskij|org : Podgoricka Banka will not suffer from the "Société générale affair" in France (en)
  62. « Société générale va monter à 92,4 % dans Rosbank », sur LesEchos.fr, Les Échos, (consulté le 14 octobre 2013)
  63. « Présentation de la SGBL » (consulté le 27 juin 2011)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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