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Gare de Paris-Montparnasse

Gare de Paris-Montparnasse

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Montparnasse.
Paris-Montparnasse
Image illustrative de l'article Gare de Paris-Montparnasse
La porte Océane.
Localisation
Pays France
Commune Paris
Quartiers Plaisance et Necker
Adresse Place Raoul-Dautry
75015 Paris
Coordonnées géographiques 48° 50′ 28″ N 2° 19′ 14″ E/48.841157, 2.32047448° 50′ 28″ Nord 2° 19′ 14″ Est/48.841157, 2.320474
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Services TGV Atlantique
Intercités Normandie
TER Basse-Normandie
TER Haute-Normandie
TER Centre-Val de Loire
TransilienLigne N du Transilien
Fret SNCF
Caractéristiques
Ligne(s) Paris-Montparnasse à Brest
Voies 28 + voies de service
Quais 15 (2 latéraux + 13 centraux)
Transit annuel 50 millions (2002) dont 26,5 grandes lignes (2011)
Zone 1 (tarification Île-de-France)
Altitude 63 m
Historique
Mise en service
Ouverture 1852 (bâtiment Lenoir/Flachat)
années 1930 (première gare du Maine)
années 1960 (gare actuelle)
Architecte Lenoir / Flachat (gare de 1852) ;
Pacon (gare du Maine des années 1930) ;
Beaudouin / Cassan / Marien / Lopez / Saubot (gare actuelle).
Correspondances
Métro (M)(4)(6)(12)(13)
Bus Oui

Géolocalisation sur la carte : France

Géolocalisation sur la carte : Île-de-France

Géolocalisation sur la carte : Paris

La gare de Paris-Montparnasse, dite aussi gare Montparnasse, est l'une des six grandes gares ferroviaires terminus parisiennes. Elle est située à Montparnasse sur la rive gauche de la Seine, à cheval sur les 14e et 15e arrondissements (respectivement dans les quartiers Plaisance et Necker).

Le premier « débarcadère » est mis en service en 1840, et le premier bâtiment important est ouvert en 1859. Plus tard, elle devient la grande gare de la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, puis de l'Administration des chemins de fer de l'État, avant d'intégrer en 1938 le nouveau réseau de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).

C'est une gare grandes lignes, terminus nord du TGV Atlantique assurant de multiples relations internationales avec l'Espagne et le Portugal, et nationales avec des destinations du Centre-Val de Loire, de l'ouest et du sud-ouest de la France. C'est également une gare régionale avec des relations TER Normandie et TER Centre-Val de Loire ainsi que la ligne N du Transilien.

Situation ferroviaire

Établie à 63 mètres d'altitude, la gare de Paris-Montparnasse est l'origine de la ligne de Paris-Montparnasse à Brest mais son kilomètre zéro est fixé à l'emplacement de l'ancienne gare Montparnasse. La gare actuelle (ancienne gare du Maine) est situé au point kilométrique (PK) 0,450 et la gare Vaugirard est située au PK 0,821. La première gare ouverte après Paris-Montparnasse est la gare de Vanves - Malakoff, précédée par la gare aujourd'hui fermée de Ouest-Ceinture.

Elle est également tête de ligne de la LGV Atlantique.

Histoire

Gare de l'Ouest

La première gare appelée « gare de l'Ouest - Rive gauche » est construite en 1840 au bord du boulevard du Montparnasse, place de Rennes (devenue place du 18-Juin-1940), face à la rue de Rennes, un peu au nord-est de l’emplacement de l’actuelle tour Montparnasse. Il s'agit d'un simple embarcadère dont on sait peu aujourd'hui[1].

Appartenant à la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, elle permet à la suite d'un accord, en 1886, à l'Administration des chemins de fer de l'État d'emprunter son réseau, alors que cette dernière prévoyait d'ouvrir une grande gare au Trocadéro.

Première gare Montparnasse

Article connexe : Accident ferroviaire de la gare Montparnasse.
Gare Montparnasse vers 1871 - Cliché de Charles Marville.
Gare Montparnasse vers 1871 - Cliché de Charles Marville.

Rapidement trop petite pour faire face au développement du trafic, la gare de l'Ouest est remplacée, au même emplacement, par une nouvelle gare construite en 1852 par l'architecte Victor Lenoir[2] et l'ingénieur Eugène Flachat. Cette seconde gare survivra jusqu'aux années 1960 malgré la Commune et les guerres. Elle est de style néoclassique.

Vers la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, elle accueille de nombreux Bretons arrivant par la ligne de la Compagnie de l'Ouest, pour trouver du travail. Ainsi, beaucoup d'entre eux s'installent dans les quartiers environnants qui deviennent ainsi le « fief » des Bretons de Paris (et des habitants originaires du nord-ouest de la France en général). C'est aussi une des gares d'où partent en vacances les Parisiens pour la côte Atlantique[1].

Un accident, le , fait traverser la façade par une locomotive à vapeur d'un train Granville-Paris, dont le freinage à main (freins à air comprimé de la société Westinghouse) était défectueux.

La Revue générale des chemins de fer de 1889 note que la gare « compte sept quais principaux, dont deux avec deux voies sur le côté et deux avec trois voies (la troisième étant un retour central pour le dégagement des locomotives) au centre de la gare. Deux autres petits quais de service s'ajoutent à ce total très réduit ». En 1909, l'État rachète la Compagnie de l'Ouest, et de ce fait hérite pour la gare Montparnasse de nouvelles lignes, vers Tours, Nantes, Bordeaux, Saintes et La Rochelle. La gare est donc doublée en volume par la construction de l'avant-gare de Maine-Montparnasse, dont les travaux durent de l'après-Première Guerre mondiale jusqu'en 1934. En 1937, la ligne Le Mans-Maine-Montparnasse est électrifiée et utilise des locomotives de type 2D2, reléguant la gare Montparnasse historique au second plan. Seule la Seconde Guerre mondiale réactive le rôle de cette première gare, détruite en 1966[1].

À la fin des années 1930, est inaugurée la « gare du Maine » sur la place Bienvenüe. Le grand hall donnait sur la place et une aile en retour s'étendait le long du boulevard de Vaugirard. Elle est conçue par l'architecte Henri Pacon dans le style Art déco. Elle devient l'origine et le terminus des trains de grandes lignes et l'ancienne gare, devenue trop étroite et trop courte, est alors réservée aux trafics de banlieue.

Fait marquant de la libération de Paris, c'est à la gare Montparnasse où il a installé son poste de commandement que le général Leclerc reçoit le , à 15h 30, la reddition du général Von Choltitz, gouverneur militaire de la garnison allemande de la capitale, le 84e corps d'armée. Cet acte est contresigné par Henri Rol-Tanguy, chef régional des FTP-FFI (Francs-tireurs et partisans-Forces françaises de l'intérieur). Une heure plus tard, le général de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française, arrive à la gare et se voit remettre par Leclerc l'acte de capitulation.

Deuxième gare Montparnasse

La gare, le jardin Atlantique et les voies vers la banlieue, vus depuis le sommet de la tour Montparnasse.
La gare, le jardin Atlantique et les voies vers la banlieue, vus depuis le haut de la tour Montparnasse.

Dans les années 1960, la reconstruction de la gare est incluse dans une vaste opération de rénovation urbaine, du nom de Maine-Montparnasse, achevée au début des années 1970, et comprenant la nouvelle gare elle-même, un ensemble d'immeubles de bureaux et d'habitations de grande hauteur, la tour Montparnasse et ses bâtiments en base, ainsi qu'un gratte-ciel abritant l'hôtel Pullman Paris Montparnasse, sous cette appellation depuis 2011.

La nouvelle gare est conçue par les architectes Eugène Beaudouin, Urbain Cassan, Louis de Hoÿm de Marien, Raymond Lopez et Jean Saubot, et reconstruite sur l'emplacement de la gare du Maine, à quelques centaines de mètres en retrait par rapport au boulevard du Montparnasse, reprenant ainsi la configuration des projets d’extension déjà proposés dans les années 1930[3]. Cette situation l'éloigne des stations des lignes 4 et 12 du métro.

L'ensemble d'immeubles de bureaux et d'habitations de grande hauteur est organisé en forme de U, enserrant et dominant la nouvelle gare et la rendant totalement cachée de la voirie extérieure. La tour Montparnasse, le bâtiment C souvent désigné par le sigle CIT (pour Centre international du textile) et le bâtiment D ou tour Express, sont tous les trois construits sur l'emplacement de l'ancienne gare Montparnasse, avec à leur base un centre commercial , nommé, depuis 2015, « Montparnasse Rive Gauche ».

Dès septembre 1969, est inaugurée, dans le sous-sol de la nouvelle gare, la chapelle Saint-Bernard-de-Montparnasse.

Une refonte de l'espace intérieur est inaugurée en 1990 à l'occasion de la mise en service du TGV Atlantique ; elle mêle une nouvelle façade de verre, appelée la « porte Océane » qui permet de mieux identifier la présence de la gare et une architecture interne en béton. Une dalle est créée, recouvrant une grande partie des voies auparavant à l'air libre, et supportant un parc de stationnement avec, au-dessus, un espace vert appelé le jardin Atlantique. Pour le voyageur occasionnel, la gare ainsi réaménagée se complique un peu du fait de son aspect tridimensionnel et qu'on a vite fait de confondre deux niveaux distincts. Du fait de la généralisation du TGV, tous les trains de nuit ont disparu de la gare Montparnasse[4].

En 2002, elle est la quatrième gare de Paris par son trafic total, qui représente environ 50 millions de voyageurs annuel en 2002[5].

Le , la gare reçoit la certification NF service, attribuée par l'Afnor. Cette certification, que la gare Montparnasse est la première à recevoir à Paris (mais la 16e en France) s'appuie sur un référentiel qui a été défini en commun avec la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut), la Fédération nationale Léo-Lagrange (associations de consommateurs), l'Association des régions de France (ARF) représentant les autorités organisatrices de transport et le Syndicat des transports d'Île-de-France (STIF). Le référentiel compte 45 engagements précis qui portent sur la standardisation du service rendu, sa fiabilité et l'orientation vers un esprit de service[6].

La gare Montparnasse est une gare pilote en matière d’accueil des handicapés. Le président Jacques Chirac s’y est rendu le jeudi 18 mai 2006 pour saluer les efforts de la SNCF en la matière[7]. La gare Montparnasse traite environ 115 000 trains par an, soit en moyenne 315 trains par jour. Le flux de voyageurs s'établit en moyenne à 175 000 par jour, mais il peut monter les jours de grands départs en vacances à 400 000. Son trafic TGV annuel était de 25,6 millions de voyageurs en 2006, 25,7 millions de voyageurs en 2007 et 26,4 millions de voyageurs en 2008.

En 2011, tous trafics confondus, elle est la troisième gare parisienne en termes de trafic grandes lignes avec 26,5 millions de voyageurs[8].

Service des voyageurs

Accueil

Le personnel (guichets, accueil...) en contact avec la clientèle compte 300 agents. Pour la vente des billets, la gare comprend 85 guichets de vente et 73 distributeurs automatiques.

La gare est composée de trois zones :

  • Montparnasse I - Porte Océane, gare principale accessible depuis la place Raoul-Dautry et l'avenue du Maine, face à la tour Montparnasse, donnant accès au nord des quais principaux et reliée directement au métro ;
  • Montparnasse II - Pasteur, la zone Pasteur ou « gare Pasteur » donnant accès au sud des quais principaux accessible par une voie dépose-minute pour les automobiles et les taxis ainsi que par des tapis roulants situés sur le quai de la voie 24 ;
  • et Montparnasse III - Vaugirard, la zone Vaugirard ou « gare Vaugirard » située au sud du boulevard Pasteur, accessible également depuis la gare principale par les mêmes tapis roulants du quai de la voie 24. Elle possède cinq voies en cul-de-sac, non reliées aux voies des zones ci-dessus. En général, cette gare est affectée aux trains en provenance ou à destination d'Argentan ou Granville.

Desserte

La gare compte 28 voies à quai[9], ainsi que des voies de service qui sont affectées aux trains suivants : de 1 à 9 : TGV Atlantique ; de 10 à 17 : Transilien N ; de 18 à 24 : TER Centre-Val de Loire et TGV Atlantique ; et de 25 à 28 : TER Centre-Val de Loire, TER Basse-Normandie et Intercités Normandie. Les voies sous la dalle (1 à 24) sont réservées aux trains à traction électrique[10].

Les différentes zones desservies en fonction de la gare d'origine, celle de la gare de Montparnasse est en vert.

Les trains grandes lignes au départ ou à l'arrivée de la gare Montparnasse ont principalement pour origine ou destination les villes situées dans des régions des façades Atlantique et Manche. Les principales régions françaises desservies sont :

Vers les pays étrangers, les trains desservent :

  • l'Espagne (Irun) par TGV avec correspondance vers Saint-Sébastien et Madrid ;
  • le Portugal par la liaison Sud-Express assurée par TGV de Paris à Hendaye/Irun.

Les TGV Atlantique circulent à grande vitesse (300 km/h) sur la voie qui leur est dédiée (environ 200 km au départ de Paris (LGV Atlantique) avant de rejoindre les lignes classiques modernisées sur lesquelles ils peuvent atteindre, par endroit, jusqu'à 220 km/h. Des trains TER Centre-Val de Loire desservent Chartres, Nogent-le-Rotrou et Le Mans. Enfin, les trains de banlieue desservent une ligne comportant plusieurs embranchements vers Dreux, Rambouillet et Mantes-la-Jolie avec un tronc commun jusqu'à Saint-Cyr par Versailles-Chantiers.

Intermodalité

Le métro est accessible directement par le rez-de-chaussée du grand hall, la station Montparnasse-Bienvenüe est desservie par les rames des lignes 4, 6, 12 et 13. Les lignes 6 et 13, qui desservaient l'ancienne station « Bienvenüe » (Place Raoul-Dautry), sont les plus proches. En revanche, les lignes 4 et 12 qui desservaient la « station Montparnasse » (boulevard du Montparnasse) sont les plus éloignées, un long couloir construit à la fin des années 1930 et équipé ensuite d'un tapis roulant permet de compenser la distance.

La gare dispose en différents points de plusieurs arrêts de bus et cars des lignes : 28, 58, 88, 91, 92, 94, 95 et 96 du réseau de bus RATP ainsi que par les lignes 1 et 4 du réseau de bus Cars Air France et, la nuit, par les lignes N01, N02, N12, N13, N61, N62, N63, N66 et N145 du réseau de bus Noctilien.

Service des marchandises

Son annexe, la gare de Paris-Vaugirard, est ouverte au trafic du fret, le service étant limité aux transports sur installations terminales embranchées par train massif[11].

Tourisme

La gare en elle-même est à visiter, ainsi que, sur la dalle, le jardin Atlantique et un ensemble muséographique sur la Résistance constitué par le musée du Général-Leclerc-de-Hauteclocque-et-de-la-Libération-de-Paris – musée Jean-Moulin, double musée consacré à ces deux personnalités. Dans le hall principal de la gare, on peut voir de grandes compositions murales Op Art du peintre Victor Vasarely.

À proximité de la gare, on peut voir :

  • à l’est : le quartier du Montparnasse et ses lieux de loisirs (cinémas, théâtres, etc.) ;
  • au nord-ouest : L'Adresse Musée de La Poste au 34, boulevard de Vaugirard ;
  • au nord-est : la tour Montparnasse, dont la terrasse et le 56e étage, seuls espaces ouverts au public, permettent d'observer un panorama sur Paris.

Films tournés à la gare Montparnasse

  • 1986 : Maine Océan (Jacques Rozier). Au début du film, Dejanira (Rosa-Maria Gomes) court du hall de la gare vers le quai du train rapide « Maine-Océan », dont le départ est imminent.
  • 1987 : Quatre aventures de Reinette et Mirabelle (Éric Rohmer). Dans le troisième conte, Le Mendiant, le cleptomane, l'arnaqueuse, l'arnaqueuse (Marie Rivière) aborde Reinette (Joëlle Miquel) dans le hall de la gare pour lui demander de l'argent, afin prétendument d'acheter son titre de transport.
  • 1998 : Le Dîner de cons. François Pignon (Jacques Villeret) et Jean Cordier (Edgar Givry) arrivent à la gare au début du film.
  • 2001 : La Tour Montparnasse infernale. Vers la fin du film, un hélicoptère s'écrase sur la façade vitrée de la gare (porte Océane) ; ses occupants en ressortent indemnes.
  • 2007 : Hitman de Xavier Gens. Une partie d'une des scènes est censée se passer dans une gare de Saint-Pétersbourg, qui n'est autre que la gare Montparnasse.
  • 2011 : Hugo Cabret (Martin Scorsese). Le film présente une reconstitution approximative de la gare dans les années 1920 en s'inspirant de documents d'époque et surtout de la gare du Nord[12].

Dans la culture populaire

La gare Montparnasse figure comme une case dans la version originelle française du jeu de société Monopoly.

Galerie de photographies

Notes et références

  1. 1 2 3 Clive Lamming, Paris au temps des gares, Parigramme, 2011, « La gare Montparnasse : des plages et des panamas », pages 88-91.
  2. Site cths.fr : Lenoir Benoit Victor (consulté le 19 février 2014).
  3. La gare Montparnasse, article du 5 avril 2007, sur roland.arzul.pagesperso-orange.fr. Consulté le 18 mai 2012.
  4. Carte des relations Intercités de nuit, montrant l'absence de desserte depuis ou vers Paris-Montparnasse. par trains Intercités de nuit, consultée le 10 février 2015.
  5. La saturation du réseau ferré francilien, Syndicat des transports d'Île-de-France.
  6. « Un label qualité pour la gare Montparnasse », sur leparisien.fr, article du 29 juin 2004 (consulté le 10 février 2015).
  7. [PDF] « Gare laboratoire de l'acessibilité – Présentation des résultats de l’expérimentation menée en gare Montparnasse », sur accessibilite.sncf.com, dossier de presse du 10 novembre 2006 (consulté le 10 février 2015) : « Le 18 mai 2006, après un travail préparatoire de neuf mois, la « Gare Laboratoire de l’Accessibilité » destinée aux personnes en situation de handicap a été inaugurée par le Président de la République et les présidents de la SNCF et de RFF (p. 4). ».
  8. Trafic: "La SNCF ne se cache plus", article du 19 janvier 2013, sur lexpress.fr. Consulté le 20 janvier 2013.
  9. Le nombre de voies sur le site officiel Gares en Mouvement.com
  10. [PDF] Conseil général de l'environnement et du développement durable : LGV Atlantique - Financement des investissements de capacité nécessaires à la mise en service des projets de LGV Sud-Europe-Atlantique (SEA) et Bretagne-Pays de la Loire (BPL), § 4.2.2 - Avant-gare Montparnasse, p. 16 du PDF, consulté le 8 novembre 2010.
  11. Site Fret SNCF : gare de Paris-Vaugirard.
  12. Philippe Romain, « Martin Scorsese duplique la gare du Nord à Londres », Le Figaro, (lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

  • Bruno Carrière, « Petite histoire des gares de Paris-Montparnasse en images », Historail,

Articles connexes

  • Liste de gares en France
  • Liste des gares du réseau Transilien
  • Liste des gares de Paris
  • Ligne de Paris-Montparnasse à Brest
  • Ligne de Paris à Granville (relation)
  • Chapelle Saint-Bernard-de-Montparnasse
  • Jardin Atlantique
  • Maine-Montparnasse

Liens externes

  • La gare de Paris-Montparnasse sur Gares en mouvement, un site officiel de la SNCF
  • La gare de Paris-Montparnasse, sur le site officiel Transilien de la SNCF
  • [PDF] CGEDD – Avis délibéré de l’Autorité environnementale sur les aménagements de l'avant­-gare de Paris-­Montparnasse (75, 92)
  • Photos des gares Montparnasse


Origine Arrêt précédent Train Arrêt suivant Destination
Bordeaux-Saint-Jean Massy-TGV
Vendôme - Villiers-sur-Loir TGV
Saint-Pierre-des-Corps
TGV Terminus Terminus
Arcachon Poitiers TGV Terminus Terminus
Toulouse-Matabiau
Tarbes
Hendaye / Irun
Bordeaux-Saint-Jean TGV Terminus Terminus
Tours Vendôme - Villiers-sur-Loir TGV TGV Terminus Terminus
La Rochelle Poitiers TGV Terminus Terminus
Rennes
Saint-Malo
Massy-TGV
Le Mans
TGV Terminus Terminus
Quimper
ou Brest
Le Mans TGV Terminus Terminus
Nantes
Les Sables-d'Olonne
Massy-TGV
Le Mans
TGV Terminus Terminus
Saint-Nazaire
Le Croisic
Le Mans TGV Terminus Terminus
Granville Dreux Intercités Normandie Terminus Terminus
Granville Versailles-Chantiers Intercités Terminus Terminus
Argentan Dreux TER Basse-Normandie Terminus Terminus
Le Mans Versailles-Chantiers TER Centre-Val de Loire Terminus Terminus
Chartres
Nogent-le-Rotrou
Versailles-Chantiers TER Centre-Val de Loire Terminus Terminus
Dreux Versailles-Chantiers Transilien Ligne N du Transilien Terminus Terminus
Mantes-la-Jolie
Plaisir - Grignon
Rambouillet
Vanves - Malakoff
Sèvres-Rive-Gauche
Viroflay-Rive-Gauche
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