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BASE jump

BASE jump

BASE jumping depuis une antenne.

Le BASE jump est un sport extrême consistant à sauter depuis des objets fixes en parachute et non depuis des aéronefs. Il combine de nombreuses autres disciplines (parachutisme, parapente, alpinisme, précision d'atterrissage, voltige, etc.).

Il y a dans le monde entre 8 000 et 10 000 pratiquants réguliers, et environ 200 en France. Une douzaine de BASE jumpers se tuent chaque année[1].

La hauteur de la plate-forme du départ est souvent comparable à celle d'un saut à l'élastique et varie d'environ 50 mètres à plus de 1 500 mètres[réf. souhaitée] (les temps de chute peuvent alors atteindre presque une minute). La vitesse du parachutiste, ou base jumper, augmente progressivement sous l'effet de la gravité, avant de se stabiliser aux alentours des 200 km/h à cause des frottements de l'air (vent relatif) et c'est ensuite qu'il ouvre son parachute. Certains sont équipés de wingsuit leur permettant d'atteindre des vitesses de 250 km/h pendant la descente, voire 300 km/h.

Terminologie et étymologie

Le terme provient de l'anglais BASE jumping. «BASE» est un acronyme des termes anglais pour quatre catégories de points fixes “Buildings, Antennas, Spans, Earth : saut en parachute à partir d'immeubles, d'antennes, de ponts ou de falaises. Ce sont les américains Carl Boenish, sa femme Jean Boenish, Phil Smith et Phil Mayfield qui ont inventé ce terme, plus communément écrit « base » aujourd'hui. En France, « base » se prononce généralement à la française.

En français, les formes rencontrées sont BASE jump, B.A.S.E jump, B.A.S.E Jump, Base jump, Base Jump, Base-jump ou Base-Jump.

L'Office québécois de la langue française propose en 2006 deux traductions en français, saut extrême et chute libre extrême[2].

Historique

Carl Boenish, un Américain, est souvent considéré comme le père du BASE jump sportif après ses sauts depuis El Capitan en 1978[3]. Il s'est tué en 1984 lors d'un saut en Norvège[3].

En France, Jacques Doyen en 1961, fut le premier dans les Alpes à sauter en tant que moniteur du Para Club Genevois. D’autres jeunes Genevois inventent le BASE jump local en s’élançant du pont Butin en parachute (1964). Ils s’entraînent ainsi au saut sans le recours d’un avion, sous un ciel cantonal déjà bien occupé. Erich Beaud a ouvert de très nombreuses falaises et est indiscutablement parmi les grands pionniers français de cette activité. Pendant les années 1980 et le début des années 1990, il n'existait pas de fabricant de matériel. Aussi chaque BASE jumper doit lui-même bricoler un parachute classique pour l'adapter aux spécificités du BASE jump (drisse d'extraction rallongée, suppression du pod, technique de pliage, etc..).

C'est grâce à Jacques Malnuit que les premiers matériels de BASE jump sont importés puis fabriqués en France. Il est aussi le fondateur de la French Base Association. C'est une époque de pionniers à laquelle on doit la fiabilité des matériels actuels. L'arrivée sur le marché de parachutes de BASE jump « prêts à l'emploi », vers le milieu des années 1990, permet à de nombreuses personnes de débuter plus facilement.

Risques

Le base est un sport spectaculaire que le grand public associe à une grande prise de risque. En termes d'accidentologie, le basejumper Jacques Malnuit indique en 1997 que la pratique serait dix fois plus risquée que le parachutisme depuis un avion[4]. Le danger principal est de heurter l'objet duquel on vient de sauter une fois le parachute ouvert. Ceci peut se produire en cas d'orientation à 180° de la voile à l'ouverture. Ces orientations, rares, sont en partie aléatoires et peuvent survenir même si tout a été correctement mis en œuvre. Fort heureusement, le BASE jumper alerte pourra le plus souvent corriger ces orientations, afin d'éviter l'impact. Il pourra encore minimiser ce risque d'impact en mettant en place des techniques et vêtements de dérive qui vont lui permettre de prendre de la vitesse horizontale afin de s'éloigner de la paroi.

Enfin la pratique de la chute libre classique est vivement conseillée avant de commencer le base, car une cause importante d'accident reste l'instabilité en chute (ce qui augmente considérablement le risque d'orientation à 180° ou d'impact de la paroi). On constate aussi beaucoup de traumatismes des membres inférieurs[5] dus à des posés violents. En effet les zones de posé ne sont pas toujours de bonne qualité, et il n'est pas dans la philosophie du sport de débroussailler ou de modifier l'environnement naturel. Un relief accidenté contribue aussi à ce genre de blessures, car le vent y sera très irrégulier et imprévisible.

L'utilisation d'un parachute monovoile ne fait pas partie des facteurs de risque, ce matériel ayant évolué depuis les antiques parachutes ronds qui pouvaient se « mettre en torche ». À l'heure actuelle les voiles de base sont de type secours et parfaitement fiables (contrairement aux voiles principales classiques, qui ne sont pas fiables à 100 %)[réf. nécessaire]. Ceci est confirmé par une analyse de l'accidentologie[Laquelle ?]. C'est pourquoi le Sorcerer (sac double voile, spécifique au base et commercialisé par Vertigo) n'a jamais eu le succès escompté car il n'est pas considéré comme apportant une sécurité supplémentaire.

En conclusion, les trois garants principaux d'une bonne sécurité sont : bon pliage, absence de vent et bonne position du corps à l'ouverture.

Il existe une liste recensant de manière non exhaustive les décès et les circonstances de ces accidents, débutée en 1981[6]. L'augmentation récente de ce nombre s'explique par la relative popularisation de ce sport et l'augmentation du nombre de pratiquants.

Comparaisons avec d'autres genres de sauts sécurisés

L'ouverture en base-jump doit être déclenchée manuellement après le saut beaucoup plus tôt qu'un saut en parachute, laissant peu de temps de marge de manœuvre.

Par rapport au départ d'un parapente, celui-ci peut s'effectuer aussi depuis une falaise, mais la voile plus grande est déjà ouverte en courant dès le passage au dessus du vide, alors que le parachute nécessite de sauter et acquérir une vitesse verticale avant l'ouverture. Un saut en parachute à ouverture automatique directe d'un avion ne risque pas de heurter d'obstacle à son ouverture et le parachute s'ouvre automatiquement par détachement du cordage attaché à l'avion.

Enfin, le base-jump peut s'effectuer à défaut d'une installation de saut à l'élastique, mais celui-ci est installé à des endroits réglementaires sécurisés, et retient systématiquement le sauteur, pouvant être même novice.

Matériel

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Le base se pratique avec un seul parachute, de type parachute de secours, là où le parachutisme classique en requiert deux (le parachute principal et le parachute de secours). En effet, la durée des sauts est si courte que la présence d'un parachute de secours s'avère inutile.

Le matériel de base est maintenant assez standardisé et spécifique. Le sac peut se fermer par velcro ou, plus couramment maintenant, par deux aiguilles. Les voiles sont toujours des sept caissons (en comparaison avec les neuf caissons, cela diminue les performances de vol mais fiabilise les ouvertures) avec des suspentes permettant d'absorber les chocs à l'ouverture (en dacron). Pour éviter tout risque de blocage, la voile est pliée directement dans le sac (il n'y a pas de POD - Pocket of deployment - ni de fourreau) et les suspentes sont simplement lovées dans une pochette fermée par velcro et cousue sur le bord de fuite (c'est la tail-pocket). Pour les ouvertures à basse vitesse (moins de 3 secondes de chute), on laisse le glisseur en position basse (en position haute c'est un temporisateur d'ouverture). L'ouverture elle-même utilise uniquement l'énergie du vent relatif : pour ouvrir on lance à la main un « extracteur », qui est en fait un petit parachute rond dont le rôle est d'extraire la voile principale via une sangle. Sa taille doit être adaptée en fonction de la vitesse de chute, et donc de la hauteur du saut. Il ne s'agit pas tellement d'une question d'abaissement mais plutôt d'une question de qualité d'ouverture : bien choisir la taille de son extracteur augmentera, statistiquement, le nombre d'ouvertures dans l'axe. Replier la voile nécessite approximativement 30 minutes.

En 2012, le matériel peut être considéré comme extrêmement fiable s'il est utilisé correctement. Les statistiques montrent clairement[réf. nécessaire] que l'immense majorité des accidents est due à des erreurs humaines et non à des défaillances du matériel. Contrairement aux idées reçues, le risque que le parachute ne s'ouvre pas du tout est quasi nul (sauf si l'action sur la poignée est trop tardive bien sûr). D'ailleurs, si le pliage est si soigneux, ce n'est pas tellement « pour que cela s'ouvre », mais pour diminuer le risque d'orientation à l'ouverture. Ainsi on s'appliquera à faire un pliage bien symétrique, sauf pour les sauts depuis les ponts par exemple pour lesquels on peut très bien replier en 10 minutes en toute sécurité.

L'habit n'a pas beaucoup d'importance. Cependant, on trouvera souvent de bonnes chaussures, pour les randonnées et les posés difficiles, et un pantalon un peu large pour avoir une meilleure dérive. Cependant, il existe depuis quelques années des « wingsuits » ou « ailes » et des « vêtements de dérive ». Ces combinaisons possèdent des surfaces de toiles plus ou moins grandes dont le but est d'augmenter le déplacement horizontal. On peut ainsi s'écarter très vite de la paroi et voler à la manière d'un deltaplane ultra rapide (la finesse varie entre 0,5 et 3 et la vitesse sur axe reste proche de 200 km/h). Cela permet également de mieux exploiter le dénivelé de sites qui ne présentent qu'une faible partie verticale (typiquement une falaise au-dessus d'un long talus à 45°). Enfin, avec ces combinaisons, les vols sont beaucoup plus longs et peuvent atteindre plus d'une minute. Ces ailes sont particulièrement à la mode depuis le début des années 2000. Elles éliminent presque le danger des orientations, puisque les ouvertures se font souvent au-dessus de champs en fond de vallée. En revanche plusieurs décès sont dus à une mauvaise estimation des trajectoires, d'où des impacts en plein vol. En effet, les sensations maximales s'obtiennent en suivant le relief d'assez près mais, à plus de 200 km/h, un tel vol ne pardonne aucune erreur.

Débuter

Le BASE jump nécessite un apprentissage rigoureux. Il est déconseillé de débuter sans un bagage technique suffisant et sans avoir contacté d'autres BASE jumpers au préalable.

En France, il n'existe ni école ni moniteurs. Typiquement, la plupart des BASE jumpers ont commencé en apprenant le parachutisme classique, puis en lisant presque toute la documentation technique existante sur Internet, en achetant leur matériel, et enfin en apprenant seuls à bien plier.

Dans certains pays comme en Espagne, il existe des écoles qui demandent une expérience préalable en parachutisme[7]. L'Association de Paralpinisme propose différents documents afin d'orienter les pratiquants dans leur progression[8],[9].

Légalité

La question de la légalité du BASE jump est à examiner sous deux angles :

  • dans le domaine pénal : absence ou existence de lois interdisant la pratique ;
  • dans le domaine de la règlementation et de de la pratique sportive : dispositions réglementaires spécifiques à ce sport, possibilités d'assurances.

Nulle source n'indique qu'un pays a spécifiquement pris une législation interdisant le BASE jump.

Toutefois, certains sauts peuvent avoir lieu depuis des structures et autres lieux considérés comme des propriétés privées. Certains pays, comme les États-Unis disposent d'une législation pénale restreignant tout accès à une propriété privée[Note 1], tandis que d'autres, comme la France[10] et la Belgique[11],[Note 2], ne protègent que le seul domicile. Certains sites peuvent également être des réserves naturelles.

En France, le BASE jump est considéré comme une activité de montagne ; les pratiquants peuvent devenir membres de l'association de paralpinisme, elle-même affiliée à la Fédération française des clubs alpins et de montagne. Ils sont dès lors assurés pour les sauts depuis des falaises[réf. souhaitée].

Mentalité

Bien que le base soit techniquement assez proche du parachutisme classique, il faut noter une nette différence de mentalité entre ces deux disciplines, en particulier dans des pays comme la France où les sauts se font surtout en montagne. En effet, le parachutisme classique, dans l'optique de minimiser les risques, a opté pour une politique d'encadrement strict des pratiquants par des moniteurs. En revanche le base laisse une totale autonomie car il n'existe aucune règlementation en la matière et seule importe la responsabilité personnelle des parachutistes. Cela rapproche donc plus le base des sports de montagne[12].

Cette absence de règlementation offre une liberté totale quant à la gestion des risques. Cela ne signifie pas qu'un BASE jumper prendra des risques à la légère, bien au contraire, mais simplement qu'il sera lui-même son propre juge. Il devra lui-même évaluer les risques et progresser en fonction des conseils qu'il aura demandés. C'est une spécificité du base, chère aux pratiquants, et qui en fait une véritable école de responsabilité et d'autonomie. Cependant l'inconvénient de cette philosophie est, pour des raisons de sécurité, une plus grande difficulté pour débuter et donc un accès plus limité pour le grand public.

La plupart des sauts, particulièrement sur les spots nouveaux ou peu connus, sont précédés de longues reconnaissances.

Pratiquants notables

  • Felix Baumgartner
  • Erich Beaud
  • Sam Beaugey
  • Jean-Marc Boivin
  • Gary Connery
  • Jeb Corliss
  • Géraldine Fasnacht
  • Julien Meyer
  • Valery Rozov
  • Jokke Sommer
  • Dwain Weston (en)

Le BASE jump en vidéo

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De nombreux BASE jumpers filment leurs sauts. La caméra GoPro est appréciée et permet une vue en première personne des sauts réalisés.

Une émission de télévision, Nitro Circus, proposant diverses cascades et sports extrêmes, dont du BASE jump, est diffusée entre 2006 et 2009, avec la participation du BASE jumper Erik Roner[13].

Le BASE jump dans les œuvres de fiction

Le jeu vidéo AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA!!! - A Reckless Disregard for Gravity est un jeu indépendant publié en 2009 de simulation de BASE jump ; il offre une vue en première personne et permet de sauter du toit d'un immeuble[14],[15]. Le jeu est bien accueilli par la critique, avec un score de 81% sur l’agrégateur Metacritic[16]. Une suite, AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA!!! for the Awesome, publiée en 2011, est distribuée en 2014 dans le cadre de l'Humble Mozilla Bundle[17], et est également offert en 2013 en démonstration pour l'Oculus Rift[18].

D'autres jeux vidéo choisissent d'intégrer du BASE jump dans le gameplay, sans que cela ne soit le cœur du jeu. Ainsi, Grand Theft Auto: The Ballad of Gay Tony, seconde extension du jeu GTA IV, contient une mission de saut en parachute depuis le haut d'un gratte-ciel[19]. Un jeu similaire, Saints Row 2, permet au joueur de faire du BASE Jump en open sandbox depuis un hélicoptère ou avion à basse altitude[20] ; nonbostant l'usage du terme BASE jumping au sein du jeu, ce mode de jeu s'apparente plus à une chute opérationnelle avec ouverture à basse altitude, hors contexte militaire.

Au cinéma, le film de 2009 Les Pieds dans le vide contient un saut depuis la Tour de la Bourse à Montréal[21] tandis que trois ans auparavant, Vacances sur ordonnance offre des sauts à Karlovy Vary en République tchèque, à la Nouvelle-Orléans et dans le Tyrol[22].

Notes et références

Notes
  1. Cette matière est traitée au niveau de chaque État.
  2. Si dans la plupart des cas, l'action relève de l'action civile, ce principe souffre toutefois d'exception. Ainsi, les communes disposent d'un pouvoir étendu de police, et peuvent ajouter dans le règlement communal l'interdiction de pénétrer dans des lieux comme des terrains vagues. Les sites d'anciennes mines et charbonnages font l'objet de lois spécifiques interdisant tout accès.
Références
  1. National Geographic France, numéro de septembre 2011, p. 75.
  2. « saut extrême », sur Grand dictionnaire terminologique, Office québécois de la langue française (consulté le 31 mai 2013)
  3. 1 2 (en) Nick Di Giovanni, « BASE Jumping History », (consulté le 26 septembre 2014) via Internet Archive.
  4. Jacques Malnuit, « L'art du BASE jump », ParaMag, Société d'Edition du Flocon, , p. 30 (lire en ligne) :
    « Le BASE jump est dix fois plus dangereux que le saut d'avion. C'est pourquoi il faut vraiment s'y consacrer et ne pas le considérer à la légère. »
    .
  5. Hervé Gallou, « CALCANéUM BASE CLUB » (consulté le 26 septembre 2014) via Internet Archive.
  6. (en) Nick DiGiovanni, Abbie Mashal, équipe rédactionnelle du BliNC Magazine, « BASE Fatality List », sur BLiNC Magazine (consulté le 26 septembre 2014).
  7. Site de K2Air
  8. http://www.paralpinisme.fr/dossiers/dossier.php?val=29_pre-requis+avant+commencer+paralpinisme
  9. http://www.paralpinisme.fr/dossiers/dossier.php?val=28_progression+type+debutant
  10. Code pénal, art. 226-4
  11. Code pénal, art. 439
  12. http://www.liberation.fr/sports/2013/11/10/de-l-aplomb-dans-l-aile_945970
  13. « Nitro Circus Athletes Travis Pastrana & Erik Roner BASE-jump off of MGM in Las Vegas », sur Supercross, (consulté le 18 octobre 2014)
  14. Chris Dahlen, « AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA!!! », sur The A.V. Club, (consulté le 18 octobre 2014)
  15. Adam Smith, « AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA!!! – A Reckless Disregard for Gravity », sur Rock, Paper, Shotgun, (consulté le 18 octobre 2014)
  16. « AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaAAAAA!!! - A Reckless Disregard for Gravity », sur Metacritic (consulté le 18 octobre 2014)
  17. Emil Protalinski, « Mozilla teams up with Humble Bundle to offer Firefox and Chrome users eight plugin-free games », sur VentureBeat, (consulté le 18 octobre 2014)
  18. « AaaaaAAaaaAAAaaAAAAaCULUS!!! », sur Oculus VR Share, (consulté le 18 octobre 2014)
  19. (en) Shaun McInnis, « GTAIV: The Ballad of Gay Tony Hands-On Impressions », sur GameSpot, (consulté le 25 octobre 2012)
  20. Michael Monette, « Mini-games - Saint's Row 2 », sur Super Cheats, (consulté le 18 octobre 2014)
  21. Carolyne Marengo, « Les pieds dans le vide — La grande aventure de Mariloup Wolfe », sur Canoé — Cartes virtuelles, (consulté le 18 octobre 2014)
  22. « Last Holiday (2006) — Goofs », sur IMDB (consulté le 18 octobre 2014)

Voir aussi

Documentaire radiophonique

  • Jean-Louis Rioual, Le base jump ou l'art de la chute, août 2004.
  • Portail du sport
  • Portail du parachutisme
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