Alexandre VI
Alexandre VI | ||||||||
Biographie | ||||||||
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Nom de naissance | Roderic Llançol i de Borja | |||||||
Naissance | Xàtiva, Royaume de Valence | |||||||
Ordination sacerdotale | 1468 | |||||||
Décès | (à 72 ans) Rome, États pontificaux | |||||||
Pape de l’Église catholique | ||||||||
Élection au pontificat | 11 août 1492 (61 ans) | |||||||
Intronisation | ||||||||
Fin du pontificat | (10 ans 11 mois et 23 jours) | |||||||
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Cardinal de l’Église catholique | ||||||||
Créé cardinal |
par le pape Calixte III | |||||||
Titre cardinalice |
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Évêque de l’Église catholique | ||||||||
Consécration épiscopale | ||||||||
Doyen du Collège des cardinaux | ||||||||
1483 – 1492 | ||||||||
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Évêque d'Urgell, coprince d'Andorre | ||||||||
1466 – 1472 | ||||||||
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Archevêque de Valence | ||||||||
1458 – 1492 | ||||||||
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Rodrigo de Borja, né Roderic Llançol i de Borja le à Xàtiva (Royaume de Valence, couronne d'Aragon), mort le , devenu Rodrigo Borgia après son arrivée en Italie, fut pape sous le nom d’Alexandre VI de 1492 à 1503.
Il est connu pour ses mœurs dissolues. Son pontificat est marqué par la bulle Inter caetera qui partageait le Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal.
Biographie
Issu d'une famille noble installée dans le royaume de Valence après que celle-ci eut participé à sa Reconquista, Rodrigo de Borja est le neveu et fils adoptif du pape Calixte III (Alphonse de Borja). Il fut le père de six enfants reconnus (il en aurait eu sept[1] ou huit de trois ou quatre maitresses différentes).
Le pape Calixte III le fait venir en Italie où il lui offre la meilleure éducation avec l'humaniste Gaspard de Vérone. Il obtient son doctorat en droit civil et canonique à Bologne[2].
Homme d'église
En 1456, âgé de vingt-cinq ans, il est nommé archevêque titulaire de Valence et créé cardinal par son oncle au grand scandale du Sacré Collège puis, l'année suivante, fait camerlingue et vice-chancelier de l'Église romaine (le poste le plus élevé du Saint-Siège, après le pape, puisqu'il n'y avait pas de chancelier) ; il le restera jusqu'à son élévation au souverain pontificat.
Il représentera le pape Sixte IV en qualité de légat en Castille et en Aragon pour arbitrer les différends familiaux au couronnement de Ferdinand II d'Aragon. En 1462 il est chargé de ramener la relique de Saint-André depuis Patras jusqu'au Saint-Siège.
En 1468, douze ans plus tard, il est ordonné prêtre.
Le , il est élu pape à la majorité canonique des deux tiers des cardinaux réunis en conclave. Il n'est pas improbable qu'il ait acheté certains votes. Il est couronné le 26 août de la même année. En tant que pape, il prend le nom d'Alexandre VI, alors qu'Alexandre V, pape de Pise, est aujourd'hui considéré comme un antipape, ce qui crée un hiatus dans la liste officielle des souverains pontifes.
Bulles
(liste non exhaustive)
- 1493 : Inter caetera qui partage le Nouveau Monde entre l'Espagne et le Portugal.
- 1503 - du 16 des Calendes de juin - données au Cardinal d'Amboise Légat en France pour faire réformer les Monastères de Provence[3]
Vie privée
Un des témoins les plus crédibles de la conduite scandaleuse du pape Alexandre Borgia est Johann Burchard (ou Jean Burckhardt), de Strasbourg. Ce prélat, maître des cérémonies de la cour pontificale, tint de 1483 à 1508 un journal très précis, jour par jour, parfois même heure par heure, de tous les événements qui se déroulèrent au Vatican[4].
En 1470, alors qu'il a déjà été ordonné prêtre, Rodrigo Borgia fait la connaissance de Vannozza Cattanei, jeune patricienne romaine, qui lui donnera quatre enfants (Jean ou Juan, César, Lucrèce, et Geoffroi ou Joffre). En 1489, nouvelle liaison avec la jeune et jolie Giulia Farnèse qui n'a que 15 ans. Rodrigo Borgia a alors 58 ans. De leur union naîtra une fille, Laura, qui sera présentée comme l'enfant légitime d'Orso Orsini, époux officiel de Giulia Farnèse. Il avait déjà eu un fils, Pedro-Luis de Borja, légitimé par Sixte IV.
Selon l'historien Ferdinand Gregorovius, Il aurait également deux autres filles, nées de mères inconnues, Girolama de Borja et Isabelle[5].
En 1494, un parti de prélats à la tête duquel se trouve Giuliano Della Rovere, le futur pape Jules II, tente de faire déposer ce pontife qu'ils accusent, non sans raisons, de simonie et de corruption de toute sorte. Sa vie privée fait aussi scandale : Francesco Guicciardini rapporte un épisode au cours duquel le pape attire au Château Saint-Ange le jeune et beau Astorre Manfredi, seigneur de Faenza, qu'il viole et fait jeter dans le Tibre[6]. Mais il pourrait également s'agir de César Borgia qui tenait prisonniers les deux frères Manfredi.
Alexandre VI s’est rendu célèbre par la fameuse orgie du pendant laquelle ses convives ont été invités à faire preuve de la plus grande virilité auprès d’une cinquantaine de danseuses dévêtues. La compétition a été arbitrée par les propres enfants d’Alexandre VI, ce qui déclencha l'un des plus grands scandales de la chrétienté[réf. nécessaire].
Quoi qu'il en soit, le népotisme et les scandales n'en continuent pas moins au Saint-Siège, et ce malgré les remontrances du frère Jérôme Savonarole[2]. Sans scrupules, ni remords, Alexandre VI fait face : Savonarole est arrêté, torturé et exécuté le . Selon Jean Burckhart, témoin muet, mais indigné, la débauche du pape Alexandre et de sa progéniture atteint son paroxysme en cette nuit orgiaque du avec l'évocation de la danse de cinquante prostituées entièrement nues et d'un concours arbitré par César et Lucrèce pour évaluer et récompenser les prouesses de virilité des assistants. Les dépêches envoyées aux cours d'Europe par leurs ambassadeurs et figurant dans de nombreuses archives diplomatiques confirment l'incroyable témoignage du Père Burckhardt. On comprend dès lors pourquoi tant de récits faisant référence à des pactes avec le Diable ont pu circuler à la mort d'Alexandre VI [réf. nécessaire].
Politique
Avec la mort en 1492 de Laurent le Magnifique, le garant de la paix de Lodi disparaît et Jérôme Savonarole prophétise qu'un pape débauché va s'asseoir sur le trône de Pierre.
Le , par le traité de Tordesillas, conclu entre les rois catholiques et Jean II de Portugal, le pape divise le Nouveau Monde en attribuant le Brésil au Portugal et le reste de l'Amérique latine à l'Espagne, les autres nations ayant été écartées. Cette décision ne sera pas sans conséquences lorsque éclatera la Réforme.
Pour Alexandre VI, cet arbitrage doit affirmer l'autorité papale face aux puissances. En 1495, pour lutter contre la présence française en Italie, il forme avec Milan, Venise, l'empereur Maximilien et les rois catholiques d'Espagne la Ligue de Venise qui connut une lourde défaite à la bataille de Fornoue, remportée par Charles VIII grâce à la supériorité de son artillerie. César Borgia, fait duc de Valentinois par Louis XII, prototype du Prince de Machiavel, conquerra néanmoins la Romagne, puis Urbino et Camerino. Dépouillant les unes après les autres les grandes familles romaines, les Colonna, les Savelli, les Caëtani, les Orsini, il ne vise rien moins que la royauté sur l'Italie. Pour mener toutes ces guerres il faut de l'argent. L'année 1500 proclamée année sainte par le souverain pontife, va renforcer les finances avec les revenus du pèlerinage. Quant à la vente du chapeau de cardinal, elle rapporte de gros revenus au pape et à ses bâtards. « Offrir la pourpre à un candidat rapportait gros. L'assassiner ensuite encore davantage, tous les biens d'un cardinal revenant de droit au pape. Enfin, il y avait l'apport régulier des indulgences »[7].
Mécène et administrateur
Aimant s'entourer d'œuvres d'art et d'objets précieux, Alexandre VI fut un mécène généreux ; il protégea les artistes (Pinturicchio, notamment, à qui il commande le célèbre décor des appartements Borgia, au Vatican) et montra de grandes capacités dans la remise en ordre de l'administration de l'Église.
La fin
Plusieurs hypothèses entourent la mort du pape Alexandre VI. En effet, le , il aurait dîné avec son fils César chez le cardinal Adriano da Corneto. Tous deux furent pris par la fièvre. La première hypothèse accorde ce mal à la malaria, très présente à Rome à cette époque. L'autre hypothèse est que le pape aurait voulu se débarrasser de certains de ses ennemis. Il aurait lui-même empoisonné le vin et serait donc tombé dans son propre piège. Cependant, on peut se référer au témoignage de Johann Burchard, qui organisa un certain nombre de cérémonies de 1483 à sa mort en 1503. Les responsabilités de Burchard étaient de surveiller l'application du protocole et des procédures lors des cérémonies officielles. Il tint un journal détaillé de ses expériences et nous donne, en même temps, un aperçu du règne des Borgia. Il était présent lors de la mort d'Alexandre VI. Il témoigne :
« Le samedi matin, le 12 août, le pape se sentit mal, et à 3 heures de l'après-midi il devint fiévreux. […] Tôt le 17 août, on lui donna des médicaments mais son état empira et à 6 heures le lendemain matin, il fit ses dernières confessions à Don Pietro Gamboa, l'évêque de Carinola, qui a ensuite célébré la messe en présence de Sa Sainteté. Après s'être communié, il donna au pape l'hostie et continua la messe. Le service était suivi par cinq autres évêques : Serra, Francesco Borgia, Giovanni Castelar, Casanova et Loris de Constantinople, à qui sa Sainteté déclara qu'il était tombé malade. À la dernière heure, l'évêque de Carinola lui donna l'extrême-onction et il mourut en présence de l'évêque, des cardinaux et serviteurs qui étaient là. Son corps avait tellement enflé qu'on ne put le mettre dans le cercueil qu'on lui destinait. On le roula ainsi provisoirement dans un tapis, pendant que ses appartements furent livrés au pillage. »
Postérité
Alexandre VI laisse dans la chrétienté un grave malaise qui s'amplifiera avec les années. Même parmi les historiens chrétiens, il ne trouva pas de véritable défenseur. Le nom de Borgia, notamment par la vie de son fils César qui a inspiré Le prince de Machiavel, est devenu synonyme d'ambition et d'absence de scrupules[8]. Rome, sous le pape Alexandre VI, ne connaît ni loi, ni divinité ; [mais] l'or, la violence et l'empire de Vénus[9].
Le problème de l’esclavage
Alors que les explorateurs de l'Espagne et du Portugal se hâtaient d’asservir les peuples autochtones qu’ils rencontraient en Afrique et dans le Nouveau Monde[10], certains papes se prononcèrent contre cette pratique. En 1435, le pape Eugène IV publia une condamnation de l'esclavage dans sa bulle Sicut Dudum par laquelle étaient frappés d'excommunication tous ceux qui se livraient à la traite des esclaves. Une forme de servitude était cependant permise, analogue aux obligations d'un serf envers son seigneur en Europe.
À la suite de l'arrivée de Christophe Colomb dans le Nouveau Monde, la monarchie espagnole demanda au pape Alexandre de confirmer qu’elle était bien propriétaire des terres nouvellement découvertes[11]. Les bulles publiées par le pape Alexandre VI : Eximiae devotionis (4 mai 1493), Inter Caetera (4 mai 1493) et Dudum siquidem (23 septembre 1493), accordèrent à l'Espagne sur les terres nouvellement découvertes dans les Amériques des droits semblables à celles que le pape Nicolas V lui avait précédemment conférés par les bulles Romanus Pontifex et Dum Diversas[12]. Morales Padron (1979) conclut que ces bulles donnaient le droit d'asservir les indigènes[13]. Minnich (2005) affirme que ce « commerce d'esclaves » était autorisé pour faciliter les conversions au christianisme[14]. D'autres historiens et des chercheurs du Vatican sont en désaccord total avec de telles accusations et affirment que jamais le pape Alexandre VI n'a donné son approbation à la pratique de l'esclavage[15]. Par la suite d'autres papes, comme Benoît XIV dans Immensa Pastorium (1741) et Grégoire XVI dans In Supremo Apostolatus (1839), ont renouvelé la condamnation de l'esclavage.
Thornberry (2002) affirme qu’Inter Caetera s’appliquait au Requerimiento qu’on devait lire aux Indiens d'Amérique (qui ne comprenaient pas la langue des colonisateurs) avant de commencer les hostilités contre eux. On leur laissait le choix entre accepter l'autorité du pape et de la couronne espagnole ou courir le risque d’être attaqués et subjugués[16]. En 1993, l'Institut de droit autochtone a appelé le pape Jean-Paul II à révoquer Inter Caetera et de faire amende honorable pour « cet évènement si triste dans l’histoire ». Appel qui a été suivi par un autre similaire en 1994 émanant du Parlement des religions du monde[17].
Dans les arts et la culture populaire
Littérature
- Alexandre Dumas, Les Borgia, roman appartenant aux vol. III et IV des Crimes célèbres, 1839
- Danny Saunders, La Dynastie Borgia : L'ascension du pape, Les Éditeurs réunis, 2011
- Henri Pigaillem, La Splendeur des Borgia, Télémaque, 2011
- Klabund, Les Borgia, le roman d'une famille, Max Milo Éditions, 2011
- Mario Puzo, Le Sang des Borgia Édition L'Archipel, 2001
- Eva Li, Le règne de Cendres, nouvelle de fantasy historique, Éditions Black-Out, 2013
- Manuel Vázquez Montalbán, Ou César ou rien, Edition du Seuil Collection Points, 1999
Cinéma et séries TV
- Les Borgia : ou le sang doré , réalisation Alain Dhenaut, scénario par Françoise Sagan, édité par Koba Films Vidéo, 2009,
produit en 1977 par Antenne 2.
- The Borgias, série américaine diffusée sur Showtime créée par Neil Jordan avec Jeremy Irons (Rodrigo Borgia), François Arnaud (Cesar Borgia) et Holliday Grainger (Lucrèce Borgia)[18].
- Borgia, série produite par Atlantique Productions, diffusée sur Canal+ en octobre 2011
- La Maîtresse du Pape, docu-fiction allemand de Jan Peter et Yury Winterberg, sorti en 2005
Jeux vidéo
- Assassin's Creed II met en scène Rodrigo Borgia en tant que principal ennemi du héros Ezio Auditore. Le jeu présente un Rodrigo très proche de la réalité : il atteint le Saint-Trône grâce à son argent et à son absence de scrupules, après avoir tenté d'assassiner Laurent de Medicis (ami proche de la famille Auditore) représenté à travers la conjuration des Pazzi. Il déclare même seulement se servir de son statut de pape pour avoir le pouvoir et ne croit plus en la Bible ; il est d'ailleurs laissé en vie par Ezio ce qui augmente donc encore plus la comparaison entre le jeu et la réalité.
- Assassin's Creed: Brotherhood met également en scène Rodrigo et, cette fois, son fils César. Encore une fois, ils gouvernent la ville de Rome et sont représentés dans toute leur cruauté et utilisant la corruption.
Bande dessinée
- Une série en quatre albums, Borgia, écrite par Alejandro Jodorowsky et dessinée par Milo Manara, raconte de manière romancée la vie d'Alexandre VI et de sa progéniture :
- Borgia - Du sang pour le pape : 1er tome, Albin Michel, 2004
- Borgia - Le Pouvoir et l'Inceste :2e tome, Albin Michel, 2006
- Borgia - Les Flammes du bûcher :3e tome, Glénat, 2008
- Borgia - Tout est vanité :4e tome, Glénat, 2010
Notes et références
- ↑ « ALEXANDRE VI, RODRIGO BORGIA (1431-1503) pape (1492-1503) », sur Encyclopaedia Universalis, (consulté le 2 mars 2015)
- 1 2 Guy Le Thiec, Les Borgia : Enquête historique, Tallandier, , 236 p. (ISBN 2847348115)
- ↑ Hugues Du Tems, Le Clergé de France, ou tableau historique et chronologique des archevêques, ..., chez Delalain, Paris, 1774, p. 56.
- ↑ Journal de Jean Burchard, évêque et cérémoniaire au Vatican, trad. introd. et notes de Joseph Turmel, Paris, éd. Rieder, 1933.
- ↑ Clément, Augustin, Les Borgia : histoire du pape Alexandre VI, de César et de Lucrèce Borgia (1882), Bar-le-Duc, Imprimerie de l’œuvre de Saint Paul, , 662 p. (lire en ligne), https://archive.org/stream/lesborgiahistoir00cl#page/566/mode/2up
- ↑ Guicciardini relate que le meurtre aurait été commis saziata prima la libidine di qualcuno sans préciser le qualcuno.
- ↑ Jean Mathieu-Rosay, La véritable histoire des papes, Paris, GRANCHER, 1991.
- ↑ B. Truchman, The March of Folly
- ↑ selon Égide de Viterbe, (1465 - 1532), vicaire général des Augustiniens, cité par B. Truchman, in The March of Folly.
- ↑ Encomienda or Slavery? The Spanish Crown's Choice of Labor Organization in Sixteenth-Century Spanish America. (PDF). Latin American Studies.
- ↑ Stogre, p. 69–70
- ↑ Raiswell, p. 469, Black Africans in Renaissance Europe, p. 281, Luis N. Rivera, 1992, p. 25–28
- ↑ cité par Luis N. Rivera, 1992, p. 28
- ↑ Black Africans in Renaissance Europe, p. 281
- ↑ Patrick Madrid, Pope Fiction
- ↑ Thornberry 2002, p. 65; Luis N. Rivera, 1992, p. 37
- ↑ Thornberry 2002, p. 65
- ↑ « Dans les coulisses de The Borgias… » sur Allociné. Consulté le 3 juin 2010.
Voir aussi
Bibliographie
- Notices d’autorité : Fichier d’autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat
- Johannes Burckard, Dans le secret des Borgia, Journal du cérémoniaire du Vatican, édité par I. Cloulas, Paris, Tallandier, 2003 (ISBN 2-84734-042-4)
- Machiavel, Histoires florentines, édité par E. Barincou, Paris, Gallimard, coll. Pléiade, 1952
- Francesco Guicciardini, Histoire d'Italie 1492-1534, Paris, Laffont, coll. Bouquins, 1996
- Guy Le Thiec, Les Borgia. Enquête historique, Paris, Tallandier, 2011
- Ivan Cloulas, Les Borgia, Paris, Fayard, 1987
- Ivan Cloulas, Savonarole, Paris, Fayard, 1994
- Ivan Cloulas, Vito Castiglione et Joseph Turmel, Dans le secret des Borgia, Paris, Tallandier, 2003
- Ivan Cloulas, César Borgia, fils de Pape et aventurier, Paris, Tallandier, 2005
- Fred Bérence Les Papes de la Renaissance Éditions du Sud & Albin Michel, Paris, 1966
- (en) Barbara W. Tuchman, The March of Folly: From Troy to Vietnam, éd. Abacus, 1985 (ISBN 978-0-345-30823-8)
Articles connexes
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