Conflit isra??lo-palestinien
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Conflit isra??lo-palestinien | |||||||
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Partie de la Conflit isra??lo-arabe | |||||||
Central Isra??l ?? c??t?? de la Cisjordanie et de la bande de Gaza , 2007 | |||||||
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Les bellig??rants | |||||||
Isra??l | Toute la Palestine gouvernement (1948-1959) OLP (1964-1993) | ||||||
Accidents et pertes | |||||||
14 500 victimes (1948-2009) | |||||||
Processus de paix Accords de Camp David ?? Conf??rence de Madrid Les pr??occupations de n??gociation primaires Incitations antis??mites ?? Colonies isra??liennes |
Le conflit isra??lo-palestinien est la lutte permanente entre Isra??liens et Palestiniens qui ont commenc?? au d??but du 20??me si??cle. Le conflit est vaste, et le terme est ??galement utilis?? en r??f??rence aux phases ant??rieures du m??me conflit, entre le sioniste yishouv et la population arabe vivant dans Palestine sous Ottoman et de la r??gle britannique de l'??poque. Il fait partie de la plus large Conflit isra??lo-arabe. Les questions cl??s restantes sont: la reconnaissance mutuelle, les fronti??res, la s??curit??, les droits de l'eau, le contr??le de J??rusalem, Colonies de peuplement isra??liennes, La libert?? de mouvement des Palestiniens et de trouver une solution ?? la question des r??fugi??s. La violence r??sultant du conflit a pouss?? les actions internationales, ainsi que d'autres probl??mes de s??curit?? et de droits de l'homme, ?? l'int??rieur et entre les deux parties, et ?? l'??tranger. En outre, la violence a frein?? l'expansion du tourisme dans la r??gion, qui est plein de sites historiques et religieux qui sont d'int??r??t pour beaucoup de gens ?? travers le monde.
De nombreuses tentatives ont ??t?? faites pour n??gocier un solution ?? deux Etats, impliquant la cr??ation d'un organisme ind??pendant Etat palestinien aux c??t??s ind??pendant Etat juif ou ?? c??t?? de l'Etat d'Isra??l (apr??s la cr??ation d'Isra??l en 1948). En 2007, une majorit?? des Isra??liens et des Palestiniens, selon un certain nombre de sondages, a pr??f??r?? la solution ?? deux Etats sur toute autre solution comme un moyen de r??soudre le conflit. En outre, une majorit?? consid??rable de la population juive voit la demande des Palestiniens d'un Etat ind??pendant comme juste, et pense qu'Isra??l peut accepter l'??tablissement d'un tel ??tat. Une majorit?? des Palestiniens et des Isra??liens afficher la Cisjordanie et la bande de Gaza comme un endroit acceptable de l'Etat palestinien hypoth??tique dans une solution ?? deux Etats. Cependant, il ya des domaines importants de d??saccord sur la forme d'un accord final et ??galement en ce qui concerne le niveau de cr??dibilit?? de chaque c??t?? voit dans l'autre en confirmant les engagements de base.
Dans la soci??t?? isra??lienne et palestinienne, le conflit g??n??re un grande vari??t?? de points de vue et opinions. Cela met en ??vidence les profondes divisions qui existent non seulement entre Isra??liens et Palestiniens, mais aussi au sein de chaque soci??t??. Une caract??ristique du conflit a ??t?? la niveau de violence observ??e pour pratiquement toute sa dur??e. Les combats ont ??t?? men??es par des arm??es r??guli??res, des groupes paramilitaires, des cellules terroristes et des individus. Victimes ne ont pas ??t?? limit??e ?? l'arm??e, avec un grand nombre de morts dans la population civile des deux c??t??s. Il ya des acteurs internationaux de premier plan impliqu??s dans le conflit.
Les deux parties engag??es dans la n??gociation directe sont les Gouvernement isra??lien, actuellement dirig??e par Benjamin Netanyahu, et le Organisation de lib??ration de la Palestine (OLP), actuellement dirig?? par Mahmoud Abbas . Les n??gociations officielles sont m??di??s par un contingent international connu sous le nom Quatuor sur le Moyen-Orient (le Quartet) repr??sent?? par une sp??ciale ??missaire qui se compose des ??tats-Unis, la Russie, l'Union europ??enne, et les Nations Unies. La Ligue arabe est un autre acteur important qui a propos?? un plan alternatif de paix. Egypte, un membre fondateur de la Ligue arabe, a historiquement ??t?? un participant cl??.
Depuis 2003, la partie palestinienne a ??t?? fractur?? par conflit entre les deux principales factions: Le Fatah, parti traditionnellement dominante, et son challenger ??lectorale plus tard, Hamas. Apr??s Hamas prise du pouvoir dans la bande de Gaza en Juin 2007, le territoire contr??l?? par le Autorit?? nationale palestinienne (le gouvernement int??rimaire palestinienne) est divis?? entre le Fatah en Cisjordanie, et le Hamas dans la bande de Gaza. La division de la gouvernance entre les parties a effectivement abouti ?? l'effondrement de la gouvernance de la bipartite Autorit?? nationale palestinienne (PA). Un cycle de n??gociations de paix a commenc?? ?? Annapolis, Maryland, ??tats-Unis , en Novembre 2007. Ces entretiens visaient ?? avoir une r??solution finale ?? la fin de 2008. Les n??gociations directes entre le gouvernement isra??lien et le leadership palestinien a commenc?? en Septembre 2010 visant ?? parvenir ?? un r??glement officiel sur le statut final.
Histoire
Le conflit isra??lo-palestinien a ses racines dans la fin du 19e et d??but du 20e si??cle, avec la naissance de grands mouvements nationalistes parmi les Juifs et chez les Arabes, ?? la fois orient?? vers la r??alisation la souverainet?? de leurs peuples au Moyen-Orient. La collision entre ces deux forces dans le sud Levant et l'??mergence de la Nationalisme palestinien dans les ann??es 1920, finalement d??g??n??r?? en conflit isra??lo-palestinien en 1947, et ??tendu dans le plus large conflit isra??lo-arabe plus tard.
Avec le r??sultat de la Premi??re Guerre mondiale, les relations entre le sionisme et le mouvement national arabe semblaient ??tre potentiellement sympathique, et le Faisal-Weizmann accord a cr???? un cadre pour les aspirations de coexister sur les anciens territoires de l'Empire ottoman. Cependant, avec la d??faite et la dissolution du Royaume arabe de Syrie en Juillet 1920, suite ?? la Guerre franco-syrienne, une crise tomba sur le mouvement national arabe bas?? ?? Damas. Retour de plusieurs ligne dure palestiniens nationalistes arabes, sous la direction des ??mergents Haj Amin al-Husseini, de Damas ?? Palestine mandataire a marqu?? le d??but de Lutte nationaliste arabe palestinienne vers l'??tablissement d'un foyer national pour les Arabes de Palestine. Amin al-Husseini, l'architecte du mouvement national arabe palestinien, imm??diatement marqu?? mouvement national juif et l'immigration juive en Palestine comme le seul ennemi ?? sa cause, le lancement des ??meutes ?? grande ??chelle contre les Juifs d??s 1920 dans J??rusalem et en 1921 ?? Jaffa. Parmi les r??sultats de la violence a ??t?? la mise en place de la force paramilitaire juive de Haganah. En 1929, une s??rie de violents ??meutes anti-juives a ??t?? initi?? par les dirigeants arabes. Les ??meutes ont fait des victimes juives massives ?? H??bron et Safed, et l'??vacuation des Juifs de H??bron et Gaza.
Au d??but des ann??es 1930, la lutte nationale arabe en Palestine avait attir?? de nombreux militants nationalistes arabes ?? travers le Moyen-Orient, notamment Cheikh al-Qassam Izaddin de la Syrie, qui a ??tabli le groupe militant Main Noire et avait pr??par?? les motifs de la r??volte arabe 1936. Apr??s, la mort d'al-Qassam aux mains des Britanniques ?? la fin de 1935, les tensions ont ??clat?? en 1936 dans la gr??ve g??n??rale arabe et boycott g??n??ral. La gr??ve se est rapidement d??t??rior??e dans la violence et la r??volte sanglante contre les Britanniques et les Juifs. Dans la premi??re vague de violence organis??e, durable jusqu'au d??but de 1937, la plupart des gangs arabes ont ??t?? vaincus par les Britanniques et une expulsion forc??e de la plupart des dirigeants arabes a ??t?? effectu??e. La r??volte a conduit ?? la cr??ation de la Commission Peel en direction de partage de la Palestine, mais a ensuite ??t?? rejet??e ?? la fois par les Juifs palestiniens et Arabes palestiniens. Le regain de violence, qui avait sporadiquement a dur?? jusqu'au d??but de la Seconde Guerre mondiale, a termin?? avec pr??s de 5000 bless??s, la plupart du temps du c??t?? arabe. Avec l'??ruption de la Seconde Guerre mondiale, la situation en Palestine mandataire se est calm??. Il a permis une ??volution vers une position plus mod??r??e chez les Arabes palestiniens, sous la direction du clan Nashashibi et m??me la cr??ation de la jud??o-arabe Palestine R??giment sous commandement britannique, la lutte contre les Allemands en Afrique du Nord. La faction plus radicale en exil d'al-Husseini cependant tendance ?? la coop??ration avec l'Allemagne nazie, et a particip?? ?? la mise en place de la machine de propagande pro-nazi dans le monde arabe. D??faite des nationalistes arabes en Irak et en d??placement subs??quent d'al-Husseini ?? l'Europe occup??e par les nazis attach?? les mains concernant les op??rations sur le terrain en Palestine, mais il a exig?? r??guli??rement les Italiens et les Allemands de bombarder Tel-Aviv. ?? la fin de la Seconde Guerre mondiale, une crise sur le sort des survivants de l'Holocauste de l'Europe a conduit ?? un regain de tensions entre le Yishouv et la direction arabe palestinienne. quotas d'immigration ont ??t?? ??tablis par les Britanniques, tandis que sur l'autre l'immigration clandestine ?? la main et de l'insurrection sioniste contre les Britanniques a ??t?? de plus en plus.
Le 29 Novembre 1947, l' Assembl??e g??n??rale des Nations Unies a adopt?? R??solution 181 (II) de recommander l'adoption et la mise en ??uvre d'un plan de partage de la Palestine en un Etat arabe, un Etat juif et la ville de J??rusalem. Le lendemain, la Palestine ??tait d??j?? balay?? par la violence, avec des milices arabes et juifs ex??cution d'attaques. La Ligue arabe a appuy?? la lutte arabe en formant le b??n??vole base Arm??e de lib??ration arabe, soutenant la arabe palestinienne Arm??e de la guerre sainte, sous la direction de Abd al-Qadir al-Husseini et Hassan Salameh. Du c??t?? juif, la guerre civile a ??t?? g??r??e par les grandes milices souterraines - la Haganah, Irgoun et L??hi, renforc?? par de nombreux anciens combattants juifs de la Seconde Guerre mondiale et des volontaires ??trangers. Au printemps 1948, il ??tait d??j?? clair que les forces arabes ??taient presque un effondrement total, tandis que les forces du Yishouv ont gagn?? de plus en plus de territoire, la cr??ation d'une grande ??chelle probl??me des r??fugi??s des Arabes palestiniens. Le soutien populaire aux Arabes palestiniens dans le monde arabe a conduit ?? des violences sporadiques contre les communaut??s juives de Moyen-Orient et Afrique du Nord, la cr??ation d'une face vague r??fugi??s. Suivant le D??claration de la cr??ation de l'Etat d'Isra??l le 14 mai 1948, la Ligue arabe a d??cid?? d'intervenir au nom des Arabes palestiniens, marchant leurs forces dans l'ancienne Palestine britannique, le d??but de la phase principale de la 1948 Guerre isra??lo-arabe. Les combats globale, conduisant ?? pr??s de 15 000 victimes, d??bouch?? sur des accords d'incendie et de cessez armistice de 1949, avec Isra??l en maintenant une grande partie de l'ancien territoire sous mandat, la Jordanie occupant et annexant plus tard, la Cisjordanie et l'Egypte en prenant sur la bande de Gaza, o?? le Toute la Palestine gouvernement a ??t?? d??clar??e par la Ligue arabe le 22 Septembre, 1948.
Pendant les ann??es 1950, la Jordanie et l'Egypte ont appuy?? la Militants palestiniens fedayins ??de attaques transfrontali??res en Isra??l, tandis qu'Isra??l r??alis??e op??rations de repr??sailles dans les pays d'accueil. Le 1956 Crise de Suez a abouti ?? l'occupation isra??lienne ?? court terme de la bande de Gaza et l'exil de la Toute la Palestine gouvernement, qui a ensuite ??t?? restaur?? avec le retrait isra??lien. Le Toute la Palestine gouvernement a ??t?? compl??tement abandonn?? par l'Egypte en 1959, officiellement la fusion dans le R??publique arabe unie, un coup dur pour le mouvement national palestinien. En 1964, cependant, une nouvelle organisation de la lib??ration de la Palestine Organisation a ??t?? cr???? par Yasser Arafat. Il a imm??diatement gagn?? le soutien de la plupart des gouvernements de la Ligue arabe et a remport?? un si??ge de la Ligue arabe. Le 1967 Guerre des Six Jours a ??t?? un coup dur pour le nationalisme palestinien, Isra??l a pris la Cisjordanie de la Jordanie et de la bande de Gaza depuis l'Egypte, en supprimant pratiquement toute la capacit?? de l'OLP ?? ??tablir un contr??le sur le terrain. L'OLP donc ??tabli son si??ge en Jordanie, o?? vivent des centaines de milliers de Palestiniens, et soutenu l'arm??e jordanienne au cours de la Guerre d'usure, notamment le Bataille de Karameh. La base palestinienne en Jordanie, cependant, se est effondr?? avec le La guerre civile jordano-palestinienne en 1970. La d??faite de l'OLP par les Jordaniens caus?? la plupart des militants palestiniens d??m??nagerais dans le sud du Liban, o?? ils ont pris rapidement sur de grandes surfaces, la cr??ation de la soi-disant "Fatahland". Insurrection palestinienne au Liban-Sud a atteint un sommet au d??but des ann??es 1970, le Liban a ??t?? utilis?? comme une base pour lancer des attaques sur le nord d'Isra??l et des campagnes avion de d??tournement ?? travers le monde, qui a attir?? des repr??sailles isra??liennes. Pendant le Libanais guerre civile, des militants palestiniens ont continu?? ?? lancer des attaques contre Isra??l tout en luttant contre les opposants au Liban. En 1978, le Massacre de la route c??ti??re a conduit ?? l'invasion ?? grande ??chelle isra??lienne connue sous le nom Op??ration Litani. Les forces isra??liennes, cependant, rapidement retir?? du Liban, et les attaques contre Isra??l ont repris. En 1982, apr??s une tentative d'assassinat sur un de ses diplomates par des Palestiniens, le gouvernement isra??lien a d??cid?? de prendre parti dans la guerre civile libanaise, et de la 1982 Guerre du Liban a commenc??. Les premiers r??sultats pour les Isra??liens ont r??ussi. La plupart des militants palestiniens ont ??t?? d??faits en quelques semaines, Beyrouth a ??t?? captur??, et le si??ge de l'OLP ont ??t?? ??vacu??s vers la Tunisie en Juin par la d??cision de Yasser Arafat. Cependant, l'intervention isra??lienne dans la guerre civile a ??galement conduit ?? des r??sultats impr??vus, y compris les conflits ?? petite ??chelle entre Isra??l et la Syrie. En 1985, Isra??l se est retir?? ?? un 10 km bande occup??e du Sud-Liban, tandis que le conflit de faible intensit?? avec des militants chiites escalade. Ces groupes iraniens chiites soutenus progressivement consolid??s dans le Hezbollah et Amal, exploit?? contre Isra??l, et alli?? avec les restes de palestinienne organisations de lancer des attaques sur Galil??e ?? travers la fin des ann??es 1980. Dans les ann??es 1990, les organisations palestiniennes au Liban ??taient en grande partie inactive.
Le premier soul??vement palestinien a commenc?? en 1987, comme une r??ponse ?? la stagnation r??gionale. Au d??but des ann??es 1990, les efforts internationaux pour r??gler le conflit ont commenc??, ?? la lumi??re du succ??s du trait?? de paix isra??lo-??gyptien de 1982. Finalement, le Processus de paix isra??lo-palestinien a conduit ?? la Accords d'Oslo de 1993, permettant l'OLP ?? d??m??nager de la Tunisie et de prendre du terrain dans la Cisjordanie et la bande de Gaza , instituant la Autorit?? nationale palestinienne. Le processus de paix a ??galement eu une forte opposition parmi les ??l??ments islamiques radicaux de la soci??t?? palestinienne, comme le Hamas et le Jihad islamique palestinien, qui a imm??diatement lanc?? une campagne d'attaques visant des Isra??liens. Apr??s des centaines de victimes et une vague de propagande anti-gouvernement radical, le Premier-ministre isra??lien Rabin a ??t?? assassin?? par un fanatique isra??lien qui se est oppos?? ?? la politique du gouvernement. Cette frapp?? un coup s??rieux au processus de paix, ?? partir de laquelle le gouvernement nouvellement ??lu d'Isra??l en 1996 a recul??. Apr??s plusieurs ann??es de n??gociations infructueuses, le conflit a ??clat?? de nouveau en tant que Deuxi??me Intifada en Septembre 2000. La violence, d??g??n??rer en un conflit ouvert entre les forces de s??curit?? de l'Autorit?? palestinienne et l'arm??e isra??lienne, a dur?? jusqu'en 2004/2005 et a conduit ?? pr??s de 6000 morts. Apr??s le soul??vement, le Premier ministre isra??lien Sharon-d??cid?? sur le plan de d??sengagement de Gaza, mis en ??uvre en 2005, la suppression des colons isra??liens, mais pas lib??rer le territoire de l'occupation isra??lienne. Un an plus tard le parti Hamas a pris le pouvoir aux ??lections palestiniennes, alors qu'Isra??l a r??pondu qu'il ne continuerait pas les n??gociations de paix tant que le Hamas participe dans le gouvernement palestinien. Les affrontements entre Isra??l et le Hamas en 2006 a conduit Isra??l d'imposer un blocus naval sur la bande de Gaza, et la coop??ration avec l'Egypte ont permis un blocus terrestre de la fronti??re ??gyptienne. Apr??s la lutte politique interne palestinienne entre le Fatah et le Hamas ont ??clat?? dans le Bataille de Gaza (2007), le Hamas a pris le contr??le de la zone. Les tensions entre Isra??l et le Hamas, qui a remport?? accro??tre le soutien financier et politique de l'Iran, escalade jusqu'?? la fin de 2008, quand Isra??l a lanc?? l'op??ration Plomb Durci (la Guerre de Gaza). En F??vrier 2009, un cessez-le-feu a ??t?? sign?? avec la m??diation internationale entre les parties, bien que petites et sporadiques ??ruptions de violence ont continu??.
En 2011, une tentative de l'Autorit?? palestinienne pour gagner adh??sion ?? l'ONU comme un Etat pleinement souverain a ??chou??. Dans la bande de Gaza contr??l??e par le Hamas, les tirs de roquettes sporadiques sur Isra??l et des raids a??riens isra??liens ont encore lieu.
Processus de paix
Accords d'Oslo (1993)
En 1993, les responsables isra??liens dirig??s par Yitzhak Rabin et les dirigeants palestiniens de la Organisation de lib??ration de la Palestine dirig??e par Yasser Arafat se est efforc?? de trouver une solution pacifique ?? travers ce qui est devenu connu comme le processus de paix d'Oslo. Une ??tape cruciale dans ce processus ??tait la lettre d'Arafat de la reconnaissance du droit d'Isra??l ?? exister. En 1993, les Accords d'Oslo ont ??t?? finalis??s comme un cadre pour les futures relations isra??lo-palestiniennes. Le point crucial de l'accord d'Oslo ??tait qu'Isra??l serait progressivement c??der le contr??le des territoires palestiniens plus aux Palestiniens en ??change de la paix. Le processus d'Oslo ??tait d??licate et a progress?? par ??-coups, le processus a pris un tournant ?? la assassinat de Yitzhak Rabin et finalement d??m??l?? quand Arafat et Ehud Barak n'a pas r??ussi ?? parvenir ?? un accord ?? Camp David en Juillet l'an 2000. Robert Malley, adjoint sp??cial au pr??sident am??ricain Bill Clinton pour les affaires isra??lo-arabes, a confirm?? que, bien que Barak n'a fait aucune offre ??crite formelle ?? Arafat, les Etats-Unis fait concepts actuels pour la paix qui ont ??t?? examin??s par le c??t?? isra??lien encore laiss??e sans r??ponse par Arafat "le principal d??faut des Palestiniens, ce est que depuis le d??but du sommet de Camp David en avant ils ??taient incapables soit de dire oui aux id??es am??ricaines ou de pr??senter une contre-proposition convaincante et sp??cifique de leur propre ". Par cons??quent, il existe diff??rents comptes des propositions examin??es.
Sommet de Camp David (2000)
En Juillet 2000, le pr??sident am??ricain Bill Clinton a convoqu?? un sommet de paix entre le dirigeant palestinien Yasser Arafat et le Premier ministre isra??lien Ehud Barak. Barak aurait mis en avant ce qui suit comme ??bases de n??gociation??, via les ??tats-Unis le leader palestinien; 92% de la Cisjordanie et toute la bande de Gaza, ainsi que d'une capitale palestinienne ?? J??rusalem-Est, et que les 69 colonies juives (qui comprennent 85% des colons juifs de la Cisjordanie) serait c??d??e ?? Isra??l. Il a ??galement propos?? ??temporaire contr??le isra??lien "ind??finiment sur un autre 10% du territoire une zone-Cisjordanie, y compris beaucoup plus de colonies juives. Selon des sources palestiniennes, la zone restante serait sous contr??le palestinien, mais certaines zones serait bris??e par les routes et les points de contr??le de contournement isra??liennes. Selon la fa??on dont les routes de s??curit?? seraient configur??s, ces routes isra??liennes pourraient entraver la libre Voyage par les Palestiniens au long de leur nation propos?? et de r??duire la capacit?? d'absorber les r??fugi??s palestiniens.
Arafat a rejet?? cette offre. Selon les n??gociateurs palestiniens l'offre n'a pas supprim?? la plupart des ??l??ments de l'occupation isra??lienne en ce qui concerne la terre, la s??curit??, les colonies et J??rusalem. Pr??sident Clinton aurait demand?? que Arafat faire une contre-offre, mais il a propos?? aucune. L'ancien ministre isra??lien des Affaires ??trang??res Shlomo Ben Ami, qui a tenu un journal des n??gociations d??clar?? dans une interview en 2001, lorsqu'on lui a demand?? si les Palestiniens ont fait une contre-proposition: ??Non. Et ce est le c??ur de la question Jamais, dans les n??gociations entre nous et les Palestiniens, y avait-il une contre-palestinienne ". Dans une interview s??par??e en 2006 Ben Ami a d??clar?? qu'il ??tait un Palestinien, il aurait rejet?? l'offre Camp David.
Aucune solution tenable a ??t?? con??u qui satisferait les deux demandes isra??liennes et palestiniennes, m??me sous la pression am??ricaine intense. Clinton a accus?? Arafat de l'??chec du sommet de Camp David. Dans les mois suivants le sommet, Clinton a nomm?? l'ancien s??nateur am??ricain George J. Mitchell pour diriger un comit?? d'enqu??te qui a publi?? plus tard, le Rapport Mitchell vise ?? restaurer le processus de paix.
D??veloppements suivante Camp David
Apr??s l'??chec du sommet n??gociateurs palestiniens et isra??liens ont continu?? ?? se r??unir en petits groupes par le biais Ao??t et Septembre 2000 ?? essayer de combler le foss?? entre leurs positions respectives. Les Etats-Unis a pr??par?? son propre plan pour r??soudre les questions en suspens. La pr??sentation de Clinton des propositions am??ricaines a ??t?? retard??e par l'av??nement de la Deuxi??me Intifada ?? la fin de Septembre.
Le plan de Clinton, ??ventuellement pr??sent?? le 23 D??cembre 2000, a propos?? la cr??ation d'un Etat palestinien souverain dans la bande de Gaza et 94 ?? 96 pour cent de la Cisjordanie ainsi que l'??quivalent de 1-3 pour cent de la Cisjordanie en ??change de terres de la pr??-1967 Isra??l. Sur le plan de J??rusalem a d??clar?? que ??le principe g??n??ral est que les zones arabes sont palestinienne et que les quartiers juifs sont isra??liens." Les lieux saints devaient ??tre r??partis sur la base que les Palestiniens la souverainet?? sur le sanctuaire du Mont du Temple / Noble, alors que les Isra??liens auraient souverainet?? sur le Mur occidental. Sur le plan r??fugi??s a sugg??r?? un certain nombre de propositions, y compris une compensation financi??re, le droit de retour ?? l'Etat palestinien et la reconnaissance d'Isra??l des souffrances caus??es aux Palestiniens en 1948. propositions de s??curit?? vis??es ?? un Etat palestinien "non-militaris??", et d'une internationale vigueur pour la s??curit?? des fronti??res. Les deux parties ont accept?? le plan de Clinton et il est devenu la base pour les n??gociations lors du sommet de Taba paix du Janvier suivant.
Sommet de Taba (2001)
L'??quipe de n??gociation isra??lienne a pr??sent?? une nouvelle carte ?? la Sommet Taba en Taba, en Egypte en Janvier 2001. La proposition a retir?? les zones "contr??l??es" temporairement isra??liens, et la partie palestinienne a accept?? cela comme une base pour la poursuite des n??gociations. Avec les ??lections isra??liennes qui se profilent les discussions ont pris fin sans un accord, mais les deux parties ont publi?? une d??claration conjointe attestant les progr??s qu'ils avaient fait: "Les parties d??clarent qu'elles ne ont jamais ??t?? plus pr??s de parvenir ?? un accord et il est donc de notre conviction partag??e que le reste lacunes pourraient ??tre combl??es avec la reprise des n??gociations apr??s les ??lections isra??liennes ". Le mois suivant la Candidat du parti Likoud Ariel Sharon, Ehud Barak, a vaincu dans les ??lections isra??liennes et a ??t?? ??lu en tant que Premier ministre isra??lien sur le nouveau gouvernement ?? 7 F??vrier 2001. Sharon a choisi de ne pas reprendre les pourparlers de haut niveau.
Feuille de route pour la paix
Une proposition de paix, pr??sent?? par le Quatuor de l'Union europ??enne, la Russie, les Nations Unies et les ??tats-Unis le 17 Septembre 2002, a ??t?? la Feuille de route pour la paix. Ce plan n'a pas tent?? de r??soudre les questions difficiles telles que le sort de J??rusalem ou des colonies isra??liennes, mais a laiss?? que d'??tre n??goci?? dans les phases ult??rieures du processus. La proposition n'a jamais fait au-del?? de la premi??re phase, qui a appel?? ?? un arr??t de la construction de colonies isra??liennes et l'arr??t de la violence isra??lienne et palestinienne, dont aucun n'a ??t?? atteint.
Initiative de paix arabe
L'Initiative de paix arabe ( arabe : مبادرة السلام العربية Mubādirat As-Salam al-'Arabiyyah) a d'abord ??t?? propos?? par le prince h??ritier Abdallah d'Arabie saoudite dans le Sommet de Beyrouth. L'initiative de paix est une solution propos??e au conflit isra??lo-arabe dans son ensemble, et le conflit isra??lo-palestinien en particulier.
{{L'initiative a ??t?? initialement publi??e le 28 Mars 2002, au Sommet de Beyrouth, et approuv?? de nouveau en 2007 dans le Sommet de Riyad.}}
Contrairement ?? la Feuille de route pour la paix, il ??nonc?? fronti??res "final solution" bas?? explicitement sur les fronti??res des Nations Unies ??tablis avant 1967 Guerre des Six Jours. Il a offert la pleine normalisation des relations avec Isra??l, en ??change du retrait de ses forces de tous les territoires occup??s, y compris la Golan Heights, ?? reconna??tre "un Etat palestinien ind??pendant avec J??rusalem-Est comme capitale" en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, ainsi que d'une ??solution juste?? pour les r??fugi??s palestiniens.
Un certain nombre de responsables isra??liens ont r??pondu ?? l'initiative ?? la fois avec le soutien et la critique. Le gouvernement isra??lien a exprim?? des r??serves sur ??ligne rouge??, des questions telles que le probl??me des r??fugi??s palestiniens, les pr??occupations de s??curit?? int??rieure, et de la nature de J??rusalem. Toutefois, la Ligue arabe continue de soulever comme une solution possible, et les r??unions entre la Ligue arabe et Isra??l ont eu lieu.
Situation actuelle
Le processus de paix a ??t?? fond??e sur une ??solution ?? deux Etats" ?? ce jour, mais des questions ont ??t?? soulev??es ?? la volont?? des deux parties de mettre fin au litige. Un article de S. Daniel Abraham, un entrepreneur am??ricain et fondateur du Centre pour la paix au Moyen-Orient ?? Washington, ??tats-Unis, publi?? sur le site du magazine Atlantique en Mars 2013, a cit?? les statistiques suivantes: ??En ce moment, le nombre total de Juifs et Arabes vivant en Isra??l ..., la Cisjordanie et la bande de Gaza est un peu moins de 12 millions de personnes. En ce moment, une nuance de moins de 50 pour cent de la population est juive ".
La politique de colonisation d'Isra??l
Isra??l a eu sa croissance et politiques colonisation dans les territoires palestiniens a s??v??rement critiqu?? par le Union europ??enne citant saper que de plus en plus la viabilit?? de la solution ?? deux Etats et l'ex??cution contrairement ?? l'engagement isra??lo-indiqu?? de reprendre les n??gociations. En D??cembre 2011, tous les groupements r??gionaux au Conseil de s??curit?? l'ONU nomma le continu?? la construction de colonies et la violence des colons n??faste pour la reprise des pourparlers, un appel vu par la Russie comme une "??tape historique". En Avril 2012 indignation internationale suite aux mesures isra??liennes visant ?? p??renniser davantage les colonies juives en Cisjordanie et ?? J??rusalem-Est, qui comprend la publication des appels d'offres pour de nouvelles maisons des colons et le plan de l??galiser des avant-postes de colons. La Grande-Bretagne a d??clar?? que le mouvement ??tait une violation des engagements isra??liens dans la feuille de route ?? geler toute expansion des colonies dans le territoire captur?? depuis 1967. Le ministre britannique des Affaires ??trang??res a d??clar?? que l'activit?? "syst??matique, ill??gale isra??lienne r??glement constitue la menace la plus importante et en direct ?? la viabilit?? de la solution ?? deux Etats ". En mai 2012, les 27 ministres des Affaires ??trang??res de l' Union europ??enne ont publi?? une d??claration qui condamne la violence continue des colons isra??liens et l'incitation. Dans un mouvement similaire, le Quatuor "exprim?? sa pr??occupation devant la violence des colons et l'incitation continue en Cisjordanie", appelant Isra??l "?? prendre des mesures efficaces, y compris traduire les auteurs de ces actes en justice." L'agence Ma'an Nouvelles palestinienne a rapport?? la d??claration du cabinet de l'AP sur la question a d??clar?? que la Cisjordanie et J??rusalem-Est voyaient ??une escalade dans l'incitation et de la violence des colons contre notre peuple avec une protection claire de l'arm??e d'occupation. Le dernier qui ??tait les milliers de colons mars ?? J??rusalem-Est, dont des slogans incitant ?? tuer, la haine et la violence prend en charge ".
L'incitation palestinienne
Les responsables isra??liens et d'autres personnalit??s politiques ont s??v??rement critiqu?? ce qu'ils consid??rent comme Palestiniens incitation ?? la violence contre les Juifs et Isra??l.
En 2011, le Premier ministre isra??lien Benyamin N??tanyahou a d??clar?? que l'incitation promulgu?? par l'Autorit?? palestinienne a ??t?? d??truit la confiance d'Isra??l, et il a condamn?? ce qu'il consid??rait comme la glorification des meurtriers de la Famille Fogel ?? Itamar ?? la t??l??vision PA. L'auteur de ces meurtres avait ??t?? d??crit comme un ??h??ros?? et un ??l??gende?? par les membres de sa famille, au cours d'une ??mission hebdomadaire. Cela se est produit peu de temps apr??s l'Autorit?? palestinienne officielle Mufti de J??rusalem lire publiquement un Etat islamique hadith qui dit que les Juifs ont tu?? permettra d'acc??l??rer le rachat, qui a ??t?? critiqu?? par le ministre du Royaume-Uni pour le Moyen-Orient et Afrique du Nord comme potentiellement attiser "la haine et des pr??jug??s".
Suivant le Itamar massacre et un attentat ?? J??rusalem, 27 s??nateurs am??ricains ont envoy?? une lettre demandant au Secr??taire d'Etat am??ricain pour identifier les ??tapes de l'administration de mettre fin ?? l'incitation palestinienne ?? la violence contre les Juifs et Isra??l qui se passait dans les "m??dias, les mosqu??es et les ??coles palestiniennes, et m??me par des individus ou des institutions affili??s ?? l'Autorit?? palestinienne ". surveillance des m??dias, Palestinian Media Watch (PMW), a rapport?? en Juin 2012 que les m??dias palestiniens diabolise continuellement Isra??l et les Juifs et d??roge histoire juive. Ils ont déclaré que les enfants palestiniens sont enseignés à la haine et à la violence contre les Juifs et les Israéliens et que seulement 7 pour cent des adolescents palestiniens accepter le droit d'Israël d'exister. Ils ont déclaré que la structure politique de paix est subordonnée à un processus de paix de l'éducation de procéder, qui fait défaut. Les enfants dans un jardin d'enfants de Gaza étaient habillés en uniforme de la branche armée de l' organisation palestinienne Jihad islamique. Ils ont reçu un jouet fusils et ont scandé des slogans anti-israéliens. Un enseignant a déclaré que cela était si les enfants «grandir à aimer la résistance et de servir la cause de la Palestine et le Saint-Jihad, ainsi que d'en faire des dirigeants et des combattants pour défendre la terre sainte de la Palestine." Le directeur du Centre d'études de sécurité nationale, Dan Shiftan, a déclaré que cela montrait un "message profond du rejet total d'Israël, légitimation de la terreur, et la victimisation profonde."
L'organisme des Nations Unies UNESCO a cessé de financer le magazine pour enfants parrainé par l'Autorité palestinienne qui a félicité l'assassinat de Hitler des juifs. Il a déploré cette publication comme contraire à ses principes de construction de tolérance et de respect des droits humains et la dignité humaine.
En 2013, pendant le Président Obama première visite officielle d 'Israël et dans les Territoires palestiniens , des manifestants palestiniens ont vandalisé les panneaux d'affichage avec l'image du président Obama. Les manifestants ont peint à la bombe le panneau d'affichage avec des croix gammées peintes sur le visage d'Obama et brûlé les bannières. Incidemment, dans le même temps un convoi de voitures américaines passaient, l'un des manifestants a jeté une chaussure sur le convoi et a fui.
ONU et de l'Etat palestinien
De l'OLP de la campagne pour le statut de membre à part entière pour l'Etat de la Palestine à l'ONU et avoir la reconnaissance sur les frontières de 1967 ont reçu un large soutien si elle a été critiquée par certains pays pour éviter purpotedly négociation bilatérale. Netanyahu a exprimé la critique des Palestiniens car il estimait qu'ils auraient essayé de contourner des négociations directes, alors que Abbas a fait valoir que la construction continue de colonies israéliennes juives a été «atteinte à la possibilité réaliste» de la solution à deux Etats.
Le soutien du public
les donn??es du scrutin a donn?? des r??sultats mitig??s en ce qui concerne le niveau de soutien parmi les Palestiniens pour la solution ?? deux Etats. Un sondage a ??t?? r??alis?? en 2011 par l'Universit?? h??bra??que; elle a indiqu?? que le soutien ?? une solution ?? deux Etats a ??t?? de plus en plus chez les Isra??liens et les Palestiniens. Le sondage a r??v??l?? que 58% des Isra??liens et 50% des Palestiniens en faveur d'une solution ?? deux Etats sur la base du Param??tres Clinton, contre 47% des Isra??liens et 39% des Palestiniens en 2003, la premi??re ann??e, le sondage a ??t?? r??alis??. Le sondage a ??galement r??v??l?? qu'un pourcentage croissant des deux populations soutenu un terme ?? la violence, 63% des Palestiniens et 70% des Isra??liens exprimant leur soutien pour mettre fin ?? la violence, une augmentation de 2% pour les Isra??liens et pour les Palestiniens 5% de la pr??c??dente ann??es.
Un sondage command?? par The Israel Project r??alis??e en Juillet 2011 par Greenberg Quinlan Rosner Research et align??e par le Centre palestinien pour l'opinion publique en Cisjordanie et ?? Gaza a indiqu?? un ??ventail d'opinions sur le processus de paix qui variait selon le libell?? des questions. Lorsqu'on leur a demand?? se ils ??acceptent une solution ?? deux Etats" 44% des r??pondants ont dit oui et 52% ont dit non. Lorsqu'on leur a demand?? se ils acceptaient le concept suivant: "Le pr??sident Obama a dit qu'il devrait y avoir deux ??tats: la Palestine comme la patrie du peuple palestinien et Isra??l comme la patrie du peuple juif" 34% ont accept?? et 61% rejet??e. Toutefois, lorsqu'on leur a demand?? se ils favorisaient ou oppos??s ?? une solution ?? deux Etats dans laquelle "la fronti??re entre Isra??l et la Palestine doit ??tre bas??e sur les lignes de 1967 avec des ??changes mutuellement convenues de terres pour tenir compte des r??alit??s sur le terrain afin que les deux parties peuvent parvenir ?? un assurer la paix et juste ??, 57% ont r??pondu oui et seulement 40% ont dit non. Lorsque la moiti?? des r??pondants ont eu le choix entre deux phrases (a. Isra??l a un droit permanent d'exister comme une patrie pour le peuple juif;. B Au fil du temps les Palestiniens doivent travailler pour revenir tout le pays pour un Etat palestinien) 84% ont choisi b. et 8% ont choisi un. L'autre moiti?? a ??t?? demand?? de choisir entre un. Je peux accepter d??finitivement une solution ?? deux Etats avec une une patrie pour le peuple palestinien vivant c??te ?? c??te avec Isra??l, une patrie pour le peuple juif, ou b. Le v??ritable objectif devrait commencer par une solution ?? deux Etats, mais ensuite passer ?? tout cela ??tant l'un Etat palestinien. 30% des personnes interrog??es a choisi la premi??re option tandis que 66% ont choisi la seconde. Lorsqu'on lui a demand?? de choisir entre un. Le plus beau but est pour une solution ?? deux Etats qui maintient deux Etats vivant c??te ?? c??te, et b. Le v??ritable objectif devrait ??tre de commencer avec deux Etats, mais ensuite passer ?? tout cela ??tant l'un Etat palestinien, 25% ont choisi un. tandis que 52% ont opt?? pour b.
Selon le m??me sondage, 65% des r??pondants pr??f??raient entretiens et 20% la violence pr??f??r??.Plus de 70% des personnes interrogées ont dit qu'ils croyaient un hadith, ou dire, attribuée à Mohammed qui est inclus comme une clause de la Charte du Hamas et déclare, "Le Jour du Jugement ne viendra pas tant que les musulmans ne combattent les Juifs". Le sondage en outre indiqué que «72% des Palestiniens a approuvé le déni de l'histoire juive à Jérusalem, 62% soutenu enlèvement des soldats de Tsahal et de les maintenir en otage et 53% étaient en faveur ou d'enseignement chansons sur la haine des juifs dans les écoles palestiniennes." Dans le même temps, seulement 29% soutiennent le meurtre d'une famille de colons à Itamar et 22% soutenu tirs de roquettes sur les villes israéliennes et les civils. appui de 64% demander la reconnaissance d'un Etat palestinien à l'ONU en dehors du cadre des négociations avec Israël et 85% croient qu'un gel de la colonisation devrait être un pré-requis pour la poursuite des négociations. 81% rejeté l'idée que le Premier ministre israélien Netanyahu était sérieux au sujet de vouloir la paix et d'une solution à deux Etats alors que seulement 12% ont accepté la notion. La méthodologie et la neutralité de ce sondage a été remis en question parPaul Pillar, écrivant dans l'intérêt national.
Les enjeux actuels en litige
Les positions décrites ci-après sont les positions officielles des deux parties; cependant, il est important de noter qu'aucune des parties détient une position unique. Tant l'israélien et du côté palestinien comprennent à la fois modérés et organismes extrémistes, ainsi que pacifistes et bellicistes organes.
Un des principaux obstacles à la résolution du conflit israélo-palestinien est un enfoncés et la méfiance croissante entre ses participants. Stratégies unilatérales et la rhétorique de la ligne dure factions politiques, couplé avec la violence et les incitations par des civils contre l'autre, ont favorisé l'amertume et l'hostilité mutuelle et une perte de confiance dans le processus de paix. Soutien parmi les Palestiniens pour le Hamas est considérable, et que ses membres appellent régulièrement à la destruction d'Israël et la violence demeure une menace, la sécurité devient une préoccupation majeure pour de nombreux Israéliens. L'expansion des colonies de peuplement israéliennes en Cisjordanie a conduit la majorité des Palestiniens de croire qu'Israël est pas engagé à parvenir à un accord, mais plutôt à une poursuite de l'instauration d'un contrôle permanent sur ??????ce territoire afin de fournir cette sécurité.
Jérusalem
La frontière de Jérusalem est une question particulièrement délicate, avec de chaque côté faire valoir des prétentions sur cette ville. Les trois plus grandes religions abrahamiques-le judaïsme, le christianisme et l'islam comprennent Jérusalem comme un cadre important pour leurs récits religieux et historiques. Israël affirme que la ville ne doit pas être divisée et doit rester unifiée sous le contrôle politique d'Israël. Palestiniens revendiquent au moins les parties de la ville qui ne faisaient pas partie d'Israël avant Juin 1967. En 2005, il y avait plus de 719 000 personnes vivant à Jérusalem; 465 000 étaient des Juifs (surtout vivant à Jérusalem-Ouest) et 232 000 étaient musulmans (principalement vivant à Jérusalem-Est).
Le gouvernement israélien, y compris la Knesset et de la Cour suprême, est centré dans la «ville nouvelle» de Jérusalem-Ouest et a été depuis la fondation d'Israël en 1948. Après Israël a conquis Jérusalem-Est sous contrôle jordanien dans la guerre des Six Jours, il a assumé complète contrôle administratif de Jérusalem-Est. En 1980, Israël a publié une nouvelle loi déclarant: «Jérusalem, complète et unie, est la capitale d'Israël."
Au Camp David et de Taba Sommets en 2000-01, les Etats-Unis a proposé un plan dans lequel les parties arabes de Jérusalem seraient donnés à l'Etat palestinien proposé tandis que les parties juives de Jérusalem ont été retenus par Israël. Tous les travaux archéologiques sous le Mont du Temple serait contrôlée conjointement par les gouvernements israélien et palestinien. Les deux parties ont accepté la proposition en principe, mais les sommets ont finalement échoué.
Les réfugiés palestiniens sont des gens qui ont perdu leur maison et leur moyens de subsistance par suite de 1948 conflit israélo-arabe et de 1967 Guerre des Six Jours. , le nombre de Palestiniens qui ont fui ou ont été expulsés d'Israël après sa création a été estimé à 711 000 en 1949. Les descendants de ces Réfugiés palestiniens originaux sont également admissibles à l'enregistrement et les services fournis par le Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), et à partir de 2010 Numéro 4,7 millions de personnes. Entre 350.000 et 400.000 Palestiniens ont été déplacés pendant la guerre de 1967 israélo-arabe. Un tiers des réfugiés vivent dans des camps de réfugiés reconnus en Jordanie , le Liban, la Syrie , la Cisjordanie et la bande de Gaza . Les autres vivent dans et autour des villes et villages de ces pays d'accueil.
La plupart de ces gens sont nés en dehors d'Israël, mais sont des descendants de réfugiés palestiniens d'origine. Négociateurs palestiniens, notamment Yasser Arafat, ont jusqu'ici publiquement insisté pour que les réfugiés ont le droit de retourner sur les lieux où ils vivaient avant 1948 et 1967, y compris ceux dans les lignes de 1949 d'armistice, citant le Déclaration universelle des droits de l'homme et l'Assemblée générale de l'ONU Résolution 194 comme éléments de preuve. Cependant, selon les rapports des négociations de paix privés avec Israël, ils ont le tolérer le retour de seulement 10.000 réfugiés et de leurs familles en Israël dans le cadre d'un règlement de paix. Mahmoud Abbas , le président actuel de l' Organisation de libération de la Palestine a été rapporté pour avoir dit en privé discussion qu'il est "illogique de demander à Israël de prendre 5 millions, voire 1 million. Cela signifierait la fin d'Israël." Dans une autre entrevue Abbas a déclaré qu'il n'a plus un droit automatique pour revenir à Safed dans le nord de la Galilée où il est né en 1935. Il a précisé plus tard que la remarque était son opinion personnelle et non politique officielle.
L'Initiative de paix arabe de 2002, a déclaré qu'il a proposé le compromis d'une "solution juste" du problème des réfugiés.
Auteurs palestiniens et internationaux ont justifié le droit au retour des réfugiés palestiniens sur plusieurs motifs:
- Quelques auteurs inclus dans les vastesnouveaux historiens affirment que les réfugiés palestiniens ont été chassés ou expulsés par les actions du Haganah, Lehi etl'Irgoun. Le Nouveaux Historiens citent indications de la volonté des dirigeants arabes pour la population arabe palestinienne de rester sur place.
Shlaim (2000) affirme que d'Avril 1948, les forces militaires de ce qui allait devenir Israël avait lancé une nouvelle stratégie offensive qui implique la destruction de villages arabes et le déplacement forcé de civils.
- L'Isra??lien Loi du Retour qui accorde la citoyenneté à toute Juifs de partout dans le monde est considéré par certains comme la discrimination contre les non-Juifs, en particulier les Palestiniens qui ne peuvent pas demander une telle citoyenneté ou de retourner sur le territoire où ils ont été expulsés de ou ont fui au cours de la la guerre de 1948.
- Selon le Résolution 194 des Nations Unies, adoptée en 1948, "les réfugiés qui souhaitent retourner dans leurs foyers et vivre en paix avec leurs voisins devraient être autorisés à le faire au plus tôt possible, et que la compensation devrait être accordée pour les biens de ceux qui décident de ne pas retour et de la perte ou des dommages aux biens qui, en vertu des principes du droit international ou en équité, doit être réparé par les Gouvernements ou autorités responsables. " résolution de l'ONU 3236 "réaffirme également le droit inaliénable des Palestiniens de retourner dans leurs foyers et la propriété à partir de laquelle ils ont été déplacés et déracinés, et demande leur retour ». Résolution 242 de l'ONU affirme la nécessité de «réaliser un juste règlement du problème des réfugiés»; Toutefois, la résolution 242 ne précise pas que le "règlement juste" doit ou devrait être sous la forme d'un droit palestinien littérale de retour.
Les arguments les plus courants de l'opposition sont:
- Le gouvernement israélien affirme que le problème des réfugiés arabes est largement causée par le refus de tous les gouvernements arabes à l'exception de la Jordanie à accorder la citoyenneté aux Arabes palestiniens qui résident à l'intérieur des frontières de ces pays. Ceci a produit une grande partie de la pauvreté et les problèmes économiques des réfugiés, selon les documents de l'AMF.
- La question des réfugiés palestiniens est gérée par une autorité distincte de celle de manutention d'autres réfugiés, qui est, par l'UNRWA et non le HCR. La plupart des personnes se reconnaissant comme réfugiés palestiniens auraient autrement été assimilés dans leur pays de résidence actuel, et ne serait pas de maintenir leur état ??????de réfugié si pas pour les entités distinctes.
- En ce qui concerne l'origine des réfugiés palestiniens, la version officielle du gouvernement israélien est que, pendant la guerre de 1948 le Haut Comité arabe et les Etats arabes encouragés Palestiniens à fuir afin de le rendre plus facile à mettre en déroute l'Etat juif ou qu'ils l'ont fait pour échapper aux combats par la peur. Le récit palestinien est que les réfugiés ont été expulsés et dépossédés par les milices juives et par l' armée israélienne, selon un plan établi avant même la guerre. Les historiens discutent encore les causes de l'exode palestinien de 1948.
- Étant donné qu'aucun des900 000 réfugiés juifs qui ont fui la violence antisémite dans le monde arabe n'a jamais été compensée ou rapatrié par leurs anciens pays de résidence à aucune objection de la part des dirigeants arabes-un précédent a été créé de sorte qu'il est de la responsabilité de la nation qui accepte les réfugiés pour les assimiler.
- Bien qu'Israël accepte le droit de la diaspora palestinienne à retourner dans un nouvel Etat palestinien, Israël insiste pour que leur retour dans l'état actuel d'Israël serait un grand danger pour la stabilité de l'Etat juif; un afflux de réfugiés palestiniens conduirait à la destruction de l'Etat d'Israël.
- Historien Benny Morris affirme que la plupart des 700 000 «réfugiés» de la Palestine ont fui à cause de la «fléau de la guerre» et devraient rentrer chez eux peu de temps après une invasion arabe succès. Il documente la façon dont tout autour de la Palestine, les dirigeants arabes conseillé l'évacuation de communautés entières comme cela est arrivé à Haïfa, 1948. Morris considère le déplacement le résultat d'un conflit national initié par les Arabes eux-mêmes.
- Selon Karsh les Palestiniens eux-mêmes étaient les agresseurs dans la guerre de 1948-49 qui ont tenté de "nettoyer" une communauté ethnique voisin. Eu la résolution des Nations Unies du 29 Novembre 1947 recommandant la partition en Palestine pas été renversé par la force par le monde arabe, il n'y aurait eu aucun problème de réfugiés en premier lieu. Il rapporte de grands nombres de réfugiés palestiniens qui quittent avant même le déclenchement de la guerre en raison de la désillusion et la privation économique 1948. Le haut-commissaire britannique pour la Palestine a parlé de la "effondrement moral arabe en Palestine" qu'il partiellement attribuable à la "tendance croissante de ceux qui devraient être les conduit à quitter le pays» et les évacuations considérables de la classe effendi arabe. Un grand nombre de Palestiniens ont également été expulsés par leur leadership pour les empêcher de devenir des citoyens israéliens et à Haïfa et Tibériade, des dizaines de milliers d'Arabes ont été évacués de force sur les instructions du Comité supérieur arabe.
Préoccupations de sécurité israéliennes
Tout au long du conflit, la violence palestinienne a été une préoccupation pour les Israéliens. Israël, avec les Etats-Unis et l'Union européenne, se référer à la violence contre des civils israéliens et les forces militaires par des militants palestiniens comme le terrorisme. Les motivations de la violence palestinienne contre des civils israéliens sont multiplex, et non tous les groupes palestiniens violents d'accord avec l'autre sur les détails, mais un motif commun est d'éliminer l'Etat juif et le remplacer par un Etat arabe palestinien. Le plus important groupes islamistes tels que le Hamas, voir le conflit israélo-palestinien comme un religieux djihad .
L'attentat-suicide est utilisé comme une tactique entre les organisations palestiniennes comme Hamas, le Jihad islamique, et l' Al-Aqsa Brigades des martyrs et certains attentats suicides ont reçu un soutien parmi les Palestiniens aussi élevés que 84%. En Israël, les kamikazes palestiniens ont ciblé des bus civils, des restaurants, des centres commerciaux, des hôtels et des marchés. De 1993-2003, 303 kamikazes palestiniens ont attaqué Israël.
Le gouvernement israélien a lancé la construction d'une barrière de sécurité suivant scores d'attentats-suicides et des attaques terroristes en Juillet 2003. Le gouvernement de coalition d'Israël a approuvé la barrière de sécurité dans la partie nord de la ligne verte entre Israël et la Cisjordanie. Depuis l'érection de la clôture, les actes terroristes ont diminué de plus de 90%.
Depuis 2001, la menace de roquettes Qassam tirées depuis les territoires palestiniens en Israël est aussi une grande préoccupation pour les responsables de la défense israélienne. En 2006, l'année suivante, le désengagement d'Israël de la bande-Gaza gouvernement israélien a enregistré 1726 ces lancements, plus de quatre fois les roquettes au total ont tiré en 2005. En Janvier 2009, plus de 8.600 roquettes avaient été lancées, provoquant un traumatisme psychologique et un bouleversement généralisés la vie de tous les jours. Plus de 500 roquettes et mortiers ont frappé Israël en Janvier-Septembre 2010 et plus de 1 947 roquettes ont touché Israël en Janvier-Novembre de 2012.
Selon une étude menée parl'Université de Haïfa, une personne sur cinq Israéliens ont perdu un parent ou un ami dans une attaque terroriste palestinienne.
Il est important débat en Israël sur la façon de traiter les problèmes de sécurité du pays. Des options ont inclus une action militaire (y compris les assassinats ciblés et les démolitions de maisons de terroristes), la diplomatie, les gestes unilatéraux vers la paix, et l'augmentation des mesures de sécurité telles que les postes de contrôle, barrages routiers et de barrières de sécurité. La légalité et la sagesse de toutes les tactiques ci-dessus ont été remis en question par divers commentateurs.
Depuis la mi-Juin 2007, le principal moyen d'Israël de répondre aux préoccupations de sécurité en Cisjordanie a été à coopérer et à permettre la formation des États-Unis-parrainé, l'équipement et le financement des forces de sécurité de l'Autorité palestinienne, qui avec l'aide israélienne ont largement réussi à réprimer les partisans du Hamas en Cisjordanie.
La violence palestinienne en dehors d'Israël
Certains Palestiniens ont commis des actes de violence dans le monde entier sous le prétexte d'une lutte contre Israël. Beaucoup d'étrangers, y compris les Américains et les Européens, ont été tués et blessés par des militants palestiniens. Au moins 53 Américains ont été tués et 83 blessés par la violence palestinienne depuis la signature des Accords d'Oslo.
Pendant les années 1960, l'OLP est devenu de plus en plus tristement célèbre pour son utilisation de la terreur internationale. Dans la seule année 1969, l'OLP était responsable de détournement de 82 avions. Compagnies aériennes El Al est devenu une cible régulière de détournement. Le détournement du vol Air France 139 par le Front Populaire pour la Libération de la Palestine a culminé au cours d'une mission de sauvetage d'otages, où les forces spéciales israéliennes secourus avec succès la majorité des otages.
Cependant, l'un des actes terroristes les plus connus et les plus notoires était la capture et éventuelleassassiner des 11 athlètes israéliens lors desJeux Olympiques de 1972.
La violence palestinienne contre d'autres Palestiniens
Combats entre les mouvements palestiniens et arabes rivales a joué un rôle crucial dans l'élaboration de la politique de sécurité d'Israël envers les militants palestiniens, ainsi que dans les propres politiques de la direction palestinienne. Dès les années 1930, des révoltes en Palestine, les forces arabes se sont battus les uns des autres tout en escarmouches avec les forces sionistes et britanniques, et les conflits internes continuent de nos jours. Pendant le guerre civile libanaise, baasistes palestiniens a éclaté de la Organisation de libération de la Palestine et allié avec les chiites Amal Mouvement, une guerre civile sanglante qui a tué des milliers de Palestiniens.
Dans le Première Intifada, plus de mille Palestiniens ont été tués dans une campagne lancée par l' Organisation de libération de la Palestine à sévir contre les présumés informateurs et de collaborateurs des services de sécurité israéliens. Le Autorité palestinienne a été vivement critiquée pour son traitement des présumés collaborateurs, des groupes de défense des droits plaint que ces collaborateurs marquées se sont vu refuser un procès équitable. Selon un rapport publié par les droits de l'homme Groupe palestinien de surveillance, moins de 45 pour cent des personnes tuées étaient effectivement coupable de l'information pour Israël.
Les politiques à l'égard des collaborateurs présumés enfreignent les accords signés par la direction palestinienne. Article XVI (2) des États de l'Accord d'Oslo II:
«Les Palestiniens qui ont maintenu le contact avec les autorités israéliennes ne seront pas soumis à des actes de harcèlement, de violence, de vengeance, ou de poursuites."
La disposition a été conçu pour empêcher les dirigeants palestiniens d'imposer des représailles sur d'autres Palestiniens qui avaient travaillé pour le compte d'Israël pendant l'occupation de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.
Dans la bande de Gaza , les responsables du Hamas ont tué et torturé des milliers de membres du Fatah et d'autres Palestiniens qui opposent leur règle. Pendant le Bataille de Gaza, plus de 150 Palestiniens sont morts sur une période de quatre jours. La violence chez les Palestiniens a été décrit comme une guerre civile par certains commentateurs. En 2007, plus de 600 personnes palestiniens étaient morts au cours de la lutte entre le Hamas et le Fatah.
Statut international
Dans le passé, Israël a exigé un contrôle sur les passages frontaliers entre les territoires palestiniens et en Jordanie et en Egypte, et le droit de définir les contrôles à l'importation et à l'exportation, affirmant que Israël et les territoires palestiniens sont un espace économique unique.
Dans les accords intérimaires conclus dans le cadre des Accords d'Oslo, l'Autorité palestinienne a reçu le contrôle de villes (zone A), alors que la campagne environnante a été placé sous la sécurité d'Israël et de l'administration civile palestinienne (zone B) ou le contrôle israélien complet (zone C) . Israël a construit des autoroutes supplémentaires pour permettre Israéliens à traverser la zone sans entrer villes palestiniennes. Les premiers domaines sous contrôle de l'Autorité palestinienne sont diverses et non contiguës. Les domaines ont changé au fil du temps en raison de négociations ultérieures, y compris Oslo II, Wye River et de Charm el-Cheikh. Selon les Palestiniens, les zones séparées, il est impossible de créer une nation viable et ne parvient pas à répondre aux besoins de sécurité palestiniennes; Israël a exprimé aucun accord au retrait de certaines zones B, résultant en aucune réduction dans la division des territoires palestiniens, et l'institution d'un système de passe en toute sécurité, sans points de contrôle israéliens, entre ces parties. Parce que de l'augmentation de la violence palestinienne à l'occupation de ce plan est en suspens.
L'occupation militaire israélienne de la Cisjordanie
Territoire palestinien occupé est le terme utilisé par les Nations Unies pour désigner la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, et la bande de Gaza et les territoires qui ont été capturés par Israël pendant la guerre de Six Jours de 1967, après avoir été autrefois contrôlé par l'Egypte et la Jordanie. Le gouvernement israélien utilise le terme territoires contestés , pour faire valoir que certains territoires ne peuvent pas être appelé occupée comme aucune nation a des droits clairs pour eux et il n'y avait aucun arrangement diplomatique opératoire quand Israël les a acquis en Juin 1967. La région est encore appelée Judée et Samarie par certains groupes israéliens, basée sur les noms régionaux historiques de l'Antiquité.
En 1980, Israël a annexé Jérusalem-Est. Israël n'a jamais annexé la Cisjordanie ou de la bande de Gaza, et les Nations Unies a exigé la «[t] ESILIATION de toutes les réclamations ou états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, l'intégrité territoriale et l'indépendance politique de chaque Etat de la région et leur droit de vivre en paix dans des frontières sûres et reconnues à l'abri de menaces ou d'actes de force »et que les forces israéliennes se retirent" des territoires occupés lors du récent conflit »- la signification et l'intention de cette dernière expression est contestée. Voir Interprétations.
Il a été la position d'Israël que les parties les plus peuplées-arabes de Cisjordanie (sans grandes colonies juives), et toute la bande de Gaza doivent finalement faire partie d'un État palestinien indépendant. Cependant, les frontières précises de cet état ??????sont en question. ?? Camp David, par exemple, alors Premier ministre israélien Ehud Barak a offert Yasser Arafat une occasion d'établir un État palestinien indépendant composé de 92% de la Cisjordanie, quartier arabe de Jérusalem-Est , et l'ensemble de la bande de Gaza et le démantèlement de la plupart des colonies. Yasser Arafat a rejeté la proposition sans fournir une contre-offre. Un règlement ultérieur proposé par le président Clinton a offert la souveraineté palestinienne sur 94 à 96 pour cent de la Cisjordanie, mais a été rejetée de façon similaire.
Certains Palestiniens affirment qu'ils ont droit à la totalité de la Cisjordanie, la Bande de Gaza, et de Jérusalem-Est. Israël affirme qu'il est justifié de ne pas céder tout ce pays, en raison de problèmes de sécurité, et aussi parce que l'absence de tout accord diplomatique en cours de validité au moment signifie que la propriété et les limites de cette terre est ouvert à la discussion. Palestiniens revendiquent toute réduction de cette revendication est une privation grave de leurs droits. Dans les négociations, ils affirment que toute mesure visant à réduire les limites de cette terre est un mouvement hostile à l'encontre de leurs intérêts clés. Israël considère cette terre comme en litige, et se sent l'objet de négociations est de définir ce que les frontières définitives seront.
D'autres groupes palestiniens, comme le Hamas, ont dans le passé a insisté pour que les Palestiniens doivent contrôler non seulement la Cisjordanie, la bande de Gaza, et de Jérusalem-Est, mais aussi tous Israël. Pour cette raison, le Hamas a vu le processus de paix », comme religieusement interdit et politiquement inconcevable».
Colonies de peuplement israéliennes en Cisjordanie
Selon DEMA, "Dans les années qui suivirent la guerre des Six-Jours, et surtout dans les années 1990 pendant le processus de paix, Israël communautés rétablis détruits en 1929 et 1948 ainsi que de nombreuses nouvelles colonies établies en Cisjordanie." Ces colonies sont, à partir de 2009, la maison à environ 301.000 personnes. DEMA a ajouté: «La plupart des colonies se trouvent dans les régions de l'ouest de la Cisjordanie, tandis que d'autres sont profondément en territoire palestinien, donnant sur ??????les villes palestiniennes. Ces colonies ont été le site de beaucoup de conflits intercommunautaires." La question des colonies israéliennes en Cisjordanie et, jusqu'en 2005, la bande de Gaza, ont été décrits par le Royaume-Uni et l' UEO comme un obstacle au processus de paix. L'Organisation des Nations Unies et l'Union européenne ont également appelé les colonies "illégales au regard du droit international . "
Cependant, Israël conteste; plusieurs chercheurs et commentateurs sont en désaccord avec l'évaluation que les colonies sont illégales, citant en 2005, les tendances historiques récentes pour sauvegarder leur argumentation. Ceux qui justifie la légalité des colonies utilisent des arguments fondés sur les articles 2 et 49 de la Quatrième Convention de Genève, ainsi que la résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies 242. Sur un plan pratique, certaines objections exprimées par les Palestiniens que les colonies sont détournent des ressources nécessaires par les villes palestiniennes , tels que les terres arables, l'eau et d'autres ressources; et, que les colonies de réduire la capacité des Palestiniens à se déplacer librement via les routes locales, en raison de considérations de sécurité.
En 2005, le plan de désengagement unilatéral d'Israël, une proposition avancée par le Premier ministre israélien Ariel Sharon, a été promulguée. Tous les résidents de colonies juives dans la bande de Gaza ont été évacuées, et tous les bâtiments résidentiels ont été démolies.
Différents médiateurs et divers accords proposés ont montré une certaine ouverture à Israël en conservant une certaine fraction des colonies qui existent actuellement en Cisjordanie; cette ouverture est basée sur une variété de considérations, comme le désir de trouver vrai compromis entre les revendications territoriales israéliennes et palestiniennes.
La position d'Israël qu'il doit conserver une certaine terres de Cisjordanie et les colonies comme un tampon en cas d'agression future, et la position d'Israël que certains établissements sont légitimes, comme ils ont pris forme quand il n'y avait pas d'arrangement diplomatique opératoire, et donc ils ne violaient aucun accord.
L'ancien président américain George W. Bush a déclaré qu'il ne prévoit pas à Israël de revenir entièrement aux lignes de 1949 en raison de l'armistice «nouvelles réalités sur le terrain." Un des principaux plans de compromis avancées par l'administration Clinton aurait permis à Israël de garder certaines colonies en Cisjordanie, en particulier ceux qui étaient dans les grands blocs près des frontières d'avant 1967 d'Israël. En retour, les Palestiniens ont reçu des concessions de terres dans d'autres parties du pays. L'actuelle administration américaine considère un gel complet de la construction dans les colonies en Cisjordanie comme une étape cruciale vers la paix. En Mai et Juin 2009, le président Barack Obama a déclaré, "Les Etats-Unis ne reconnaissent pas la légitimité de la continuation des colonies israéliennes», et le secrétaire d'État, Hillary Clinton, a déclaré que le président "veut voir un arrêt des colonies - pas une colonies, avant-postes, et non pas des exceptions »de croissance naturelle". "Toutefois, Obama a depuis déclaré que les Etats-Unis ne sera plus pression sur Israël pour arrêter la construction de colonies en Cisjordanie comme une condition préalable pour la poursuite des négociations de paix processus avec l'Autorité palestinienne.
Actions vers la stabilisation du conflit
En réponse à une tendance à la baisse de la violence palestinienne et la croissance de la coopération économique et de la sécurité entre Israël et l'Autorité palestinienne, l'armée israélienne a enlevé plus de 120 points de contrôle en 2010 et les plans sur dégageant de grandes agglomérations palestiniennes. Selon les FDI, l'activité terroriste en Cisjordanie a diminué de 97% par rapport à la violence en 2002.
Efforts PA-israéliennes en Cisjordanie ont "considérablement augmenté la confiance des investisseurs", et l'économie palestinienne a augmenté de 6,8% en 2009.
Depuis la Deuxième Intifada, les Israéliens juifs ont été interdits d'entrer dans les villes palestiniennes. Cependant, les Arabes israéliens sont autorisés à entrer villes de Cisjordanie le week-end.
L'Autorité palestinienne a demandé au militaire israélien pour permettre aux touristes juifs à visiter les villes de Cisjordanie comme "partie d'un effort" pour améliorer l'économie palestinienne. Général israélien Avi Mizrahi a parlé avec les agents de sécurité palestiniennes lors d'une tournée des centres commerciaux et terrains de soccer en Cisjordanie. Mizrahi a donné la permission d'autoriser les guides touristiques israéliens à Bethléem, un mouvement destiné à "contribuer à l'économie palestinienne et israélienne."
Reconnaissance mutuelle
?? partir de 1993 avec le Processus de paix d'Oslo, Israël reconnaît "l'OLP comme représentant du peuple palestinien." En retour, il a été convenu que les Palestiniens de promouvoir la coexistence pacifique, renoncer à la violence et de promouvoir la reconnaissance d'Israël parmi leur propre peuple. Malgré le renoncement officiel de Yasser Arafat du terrorisme et la reconnaissance d'Israël, certains groupes palestiniens continuent de pratiquer et de prôner la violence contre les civils et ne reconnaissent pas Israël comme une entité politique légitime. Palestiniens affirment que leur capacité à répandre l'acceptation d'Israël a été fortement entravée par les restrictions israéliennes sur les libertés politiques palestiniens, les libertés économiques, les libertés civiles et la qualité de vie.
Il est largement estimé parmi les Israéliens que les Palestiniens ne pas en fait de promouvoir l'acceptation du droit d'Israël à exister. L'une des principales réserves d'Israël en ce qui concerne l'octroi de la souveraineté palestinienne est sa préoccupation qu'il n'y a pas un véritable soutien du public par les Palestiniens pour la coexistence et l'élimination du terrorisme et de l'incitation. Certains groupes palestiniens, notamment le Fatah, le parti politique fondé par les dirigeants de l'OLP, d'abord affirmé qu'ils étaient prêts à favoriser la co-existence selon les Palestiniens étant régulièrement donné davantage de droits politiques et de l'autonomie. Cependant, en 2010, même les dirigeants du Fatah tels que Mahmoud Abbas a refusé de reconnaître Israël comme un Etat juif, tandis que le chef de Brigades des martyrs d'Al-Aqsa, qui est l'aile militaire du Fatah officielle, divulguée publiquement "but ultime" du Fatah d'être le la destruction de l'Etat juif, et que M. Abbas serait mentir au sujet de la reconnaissance d'Israël suite à "la pression sioniste et américaine" pour "calculs politiques" comme l'un des moyens d'atteindre l'objectif susmentionné. En 2006, le Hamas a remporté une majorité dans le Conseil législatif palestinien, où il reste le parti de la majorité. Le Hamas a ouvertement déclaré dans le passé qu'il oppose complètement le droit d'Israël à exister, et ses charter Unis cette. Après la libération de Gilad Shalit en 2011, Abbas a salué sa capture par le Hamas et a rassuré le public arabe qu'il «ne reconnaîtra jamais un Etat juif".
Israël cite dernières concessions telles que le désengagement d'Israël de la bande de Gaza en Août 2005, qui n'a pas conduit à une réduction des attaques et tirs de roquettes contre Israël, comme un exemple du peuple palestinien ne pas accepter Israël comme un Etat. Groupes palestiniens et des organisations des droits humains israéliens (notamment B'Tselem) ont souligné que, bien que l'occupation militaire de Gaza a pris fin, le gouvernement israélien conservait le contrôle de l'espace aérien, des eaux territoriales et les frontières de la bande de Gaza, ce qui en fait légalement toujours sous contrôle israélien. Ils disent aussi que principalement grâce à ces restrictions, la qualité de vie palestinien dans la bande de Gaza n'a pas améliorée depuis le retrait israélien.
Gouvernement
Le Autorité palestinienne est considérée comme corrompue par une grande variété de sources, y compris des Palestiniens. Certains Israéliens affirment qu'il fournit un soutien tacite pour les militants via sa relation avec le Hamas et d'autres mouvements islamistes, et que par conséquent, il est impropre à gouverner un Etat palestinien putatif ou (surtout en fonction de l'aile droite de la politique israélienne), même à la négociation sur le caractère d'un tel état. A cause de cela, un certain nombre d'organisations, y compris le pouvoir précédemment Likoud, a déclaré qu'ils ne seraient pas accepter un Etat palestinien sur la base du cours PA.
Les attitudes sociétales
Les attitudes sociétales à la fois Israël et la Palestine sont une source de préoccupation pour les promoteurs de la résolution des différends.
Selon un sondage mai 2011 effectué par le Centre palestinien pour l'opinion publique qui a demandé Palestiniens de la bande de Gaza et la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est », qui des moyens suivants est le meilleur pour mettre fin à l'occupation et conduire à l'établissement d'un Etat palestinien indépendant ", 5,0% soutenu« opérations militaires », 25,0% soutenu résistance non-violente populaire, 32,1% étaient favorables à des négociations jusqu'à ce qu'un accord pourrait être atteint, 23,1% ont préféré la tenue d'une conférence internationale qui imposerait une solution à toutes les parties, 12.4 % soutiennent la recherche d'une solution à travers l'Organisation des Nations Unies, et de 2,4% sinon. Environ les trois quarts des Palestiniens interrogés croyaient que l'escalade militaire dans la bande de Gaza serait dans l'intérêt d'Israël et 18,9% ont dit qu'il serait dans l'intérêt du Hamas. En ce qui concerne la reprise de lancer des missiles Al-Qassam depuis Gaza sur Israël, 42,5% ont dit "vivement opposés», 27,1% «plutôt contre», 16,0% «soutenir un peu", 13,8% "très favorables", et 0,2% ne se prononcent pas.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a exprimé la crainte que le Hamas promouvoir l'incitation contre et la non-acceptation globale d'Israël, y compris la promotion de la violence contre Israël.
Blocus de Gaza
Le gouvernement israélien affirme qu'il est justifiée en vertu de la loi internationale à imposer un blocus sur un ennemi pour des raisons de sécurité. Le pouvoir d'imposer un blocus naval est établi en vertu de la loi et international coutumier droit des conflits armés, et d'une commission des Nations Unies a jugé que le blocus de la sécurité d'Israël est "à la fois légale et appropriée." Le avocat général militaire d'Israël a fourni de nombreux raisonnements de la politique :
"L'Etat d'Israël a été engagé dans un conflit armé en cours avec les organisations terroristes opérant dans la bande de Gaza. Ce conflit armé a intensifié après que le Hamas violemment pris le contrôle de Gaza, en Juin 2007, et transformé le territoire sous son contrôle de facto dans un rampe de lancement de mortier et de tirs de roquettes contre les villes et villages israéliens dans le sud d'Israël ".
Selon Oxfam, en raison d'une interdiction d'import-export imposé à Gaza en 2007, 95% des opérations industrielles de Gaza ont été suspendues. Out de 35.000 personnes employées par 3.900 usines en Juin 2005, seulement 1.750 personnes étaient toujours employés par 195 usines en Juin 2007. En 2010, le taux de chômage de la bande de Gaza avait augmenté à 40% avec 80% de la population vivant avec moins de 2 dollars par jour. Continué terre, mer et air de blocage du Gouvernement israélien équivaut à une punition collective de la population, selon le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires
En Janvier 2008, le gouvernement israélien calculé combien de calories par personne étaient nécessaires pour éviter une crise humanitaire dans la bande de Gaza, et ensuite soustrait huit pour cent pour tenir compte de la «culture et de l'expérience" des Gazaouis. Les détails des calculs ont été libérés après l'organisation israélienne des droits humains demande de Gisha devant la haute cour. Le coordonnateur d'Israël des activités gouvernementales dans les territoires, qui a rédigé le plan, a déclaré que le régime n'a jamais été adopté formellement, cela n'a pas été accepté par Gisha.
À compter du 7 Février 2008, le gouvernement israélien a réduit l'électricité qu'elle vend directement à la bande de Gaza. Cela fait suite à la décision de la Haute Cour de la décision du juge, qui a tenu, d'Israël par rapport à la quantité de combustible industriel fourni à Gaza, que, "La clarification que nous avons fait indique que la fourniture de diesel industriel pour la bande de Gaza en hiver mois de l'année dernière était comparable à la quantité que les répondants engagent maintenant pour permettre à la bande de Gaza. Ce fait indique également que le montant est raisonnable et suffisante pour répondre aux besoins humanitaires vitaux de la bande de Gaza. "Militants palestiniens ont tué deux Israéliens dans le processus de livraison de carburant à la dépôt de carburant de Nahal Oz.
Le cabinet israélien a publié une déclaration exprimant qu'il ne souhaite pas les Palestiniens à construire une armée capable d'opérations offensives, estimant que la seule partie contre laquelle une telle armée pourrait être transformé dans un avenir proche est Israël lui-même. Cependant, Israël a déjà permis la création d'une police palestinienne qui peuvent mener des opérations de police et également effectuer guerre limitée échelle. Les Palestiniens ont déclaré que les Forces de défense israéliennes, une grande et moderne la force armée, pose une menace directe et pressante de la souveraineté d'un futur Etat palestinien, ce qui rend une force défensive d'un Etat palestinien, une question de nécessité. Pour cela, les Israéliens affirment que la signature d'un traité tout en construisant une armée est un spectacle de mauvaises intentions.
Depuis 2006, les États-Unis a été la formation, l'équipement et le financement des forces de sécurité de l'Autorité palestinienne, qui ont coopéré avec Israël à des niveaux sans précédent dans la Cisjordanie pour réprimer les partisans du Hamas, le groupe islamiste palestinien principal qui oppose des négociations directes avec Israël . Le gouvernement des États-Unis ont dépensé plus de 500 millions le renforcement et la formation des forces de sécurité et la Garde présidentielle palestinienne. L'armée israélienne estime que les forces US formés seront bientôt capables de "roue libre petits avant-postes de Tsahal et les communautés israéliennes isolées" dans le cas d'un conflit.
Décès 1948-2011
Une variété de différentes études fournissent des données sur les victimes pour le conflit israélo-palestinien. Selon le Stockholm International Peace Research Institute, 13 000 Israéliens et Palestiniens ont été tués dans des conflits avec l'autre entre 1948 et 1997. D'autres estimations donnent 14.500 tués entre 1948-2009. Victimes palestiniennes pendant la guerre du Liban en 1982 étaient 2.000 combattants de l'OLP tués en conflit armé avec Israël.
Ann??e | D??c??s | |
---|---|---|
Palestiniens | Israéliens | |
2011 | 118 (13) | 11 (5) |
2010 | 81 (9) | 8 (0) |
2009 | 1034 (314) | 9 (1) |
2008 | 887 (128) | 35 (4) |
2007 | 385 (52) | 13 (0) |
2006 | 665 (140) | 23 (1) |
2005 | 190 (49) | 51 (6) |
2004 | 832 (181) | 108 (8) |
2003 | 588 (119) | 185 (21) |
2002 | 1032 (160) | 419 (47) |
2001 | 469 (80) | 192 (36) |
2000 | 282 (86) | 41 (0) |
1999 | 9 (0) | 4 (0) |
1998 | 28 (3) | 12 (0) |
1997 | 21 (5) | 29 (3) |
1996 | 74 (11) | 75 (8) |
1995 | 45 (5) | 46 (0) |
1994 | 152 (24) | 74 (2) |
1993 | 180 (41) | 61 (0) |
1992 | 138 (23) | 34 (1) |
1991 | 104 (27) | 19 (0) |
1990 | 145 (25) | 22 (0) |
1989 | 305 (83) | 31 (1) |
1988 | 310 (50) | 12 (3) |
1987 | 22 (5) | 0 (0) |
Total | 7978 (1620) | 1503 (142) |
Note: Les chiffres incluent 1 593 victimes palestiniennes attribués à la violence intra-palestinienne. Les chiffres ne comprennent pas les 600 Palestiniens tués par d'autres Palestiniens dans la bande de Gaza depuis 2006.
Bellig??rant | Combattant | Civil | M??le | Femelle | Enfants | Enfants Homme | Enfants F??minin |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Palestinien | 41% | 59% | 94% | 6% | 20% | 87% | 13% |
Isra??lien | 31% | 69% | 69% | 31% | 12% | Indisponible | Indisponible |
Ann??e | D??c??s | Blessures | ||
---|---|---|---|---|
Palestiniens | Israéliens | Palestiniens | Israéliens | |
2008-26.12.08 | 464 (87) | 31 (4) | ||
2007 | 396 (43) | 13 (0) | 1843 (265) | 322 (3) |
2006 | 678 (127) | 25 (2) | 3194 (470) | 377 (7) |
2005 | 216 (52) | 48 (6) | 1260 (129) | 484 (4) |
Total | 1754 (309) | 117 (12) | 6297 (864) | 1183 (14) |
Tous les numéros renvoient aux victimes de conflit direct entre Israéliens et Palestiniens, y compris dans les opérations militaires de Tsahal, les tirs d'artillerie, de recherche et d'arrestation des campagnes, des démonstrations de barrière, les assassinats ciblés, la violence des colons, etc. Les chiffres ne comprennent pas les événements liés indirectement au conflit comme les accidents de munitions non explosées, etc., ou des événements lorsque les circonstances demeurent floues ou sont en litige. Les chiffres incluent toutes les victimes signalées de tous âges et des deux sexes.
Les chiffres comprennent à la fois des civils israéliens et des forces de sécurité blessés dansla Cisjordanie,de Gaza etIsraël.
Critique de statistiques sur les victimes
Tel que rapporté par le groupe israélien des droits de l'homme, B'Tselem, depuis le 29 Septembre 2000, un total de 7454 individus palestiniens et israéliens ont été tués en raison du conflit. Selon le rapport, 1317 des 6371 Palestiniens étaient des mineurs, et au moins 2996 n'a pas participé à des combats au moment du décès. Les Palestiniens ont tué 1 083 Israéliens, dont 741 civils. 124 des personnes tuées étaient des mineurs.
Le Institut de politique internationale pour la lutte contre le terrorisme a critiqué la méthodologie des groupes de l'homme fondées-palestinien, y compris B'tselem, et interrogé leur précision dans la classification des rapports civils / combattants.
Dans une étude publiée par Scholars pour la paix au Moyen-Orient, Elihu D. Richter et le Dr Yael Stein examinés méthodes B'tselem dans le calcul des pertes au cours de l'Opération Plomb Durci. Ils font valoir que le rapport de B'tselem contient "des erreurs d'omission, de commissions et de partialité de classification qui se traduisent par une surestimation de la proportion de non-combattants aux combattants." Stein et Richter prétendent les haut ratios hommes / femmes parmi les Palestiniens, y compris ceux dans leur milieu à la fin de l'adolescence, "suggère que les classifications de Tsahal sont statut de combattant et non-combattant sont probablement beaucoup plus précis que ceux de B'Tselem."
Dans une étude pour le compte de l' Institut de politique internationale pour la lutte contre le terrorisme, Don Radlauer suggéré que «presque tous les Palestiniens tués dans ce conflit ont été des hommes - et l'absence de toute autre explication raisonnable pour un tel motif non aléatoire de décès - ce qui suggère que grand nombre d'hommes et garçons adolescents palestiniens ont fait un choix pour affronter les forces israéliennes, même après un grand nombre de leurs compatriotes ont été tués dans ces affrontements ". L'Institut de politique internationale pour la lutte contre le terrorisme est basée en Israël; son site Web est - ict.org.il.
mines terrestres et des restes explosifs de victimes de la guerre
Un mécanisme de collecte exhaustive de recueillir les mines terrestres et des restes explosifs de guerre (REG) données sur les victimes ne existe pas pour les territoires palestiniens. En 2009, le Centre d'action antimines des Nations Unies a rapporté que plus de 2.500 mines et explosifs restes de victimes de la guerre ont eu lieu entre 1967 et 1998, à moins 794 victimes (127 tués, 654 blessés et 13 inconnue) survenus entre 1999-2008 et que 12 personnes ont été tuées et 27 blessées depuis la guerre de Gaza. Le Centre d'action antimines des Nations Unies a identifié les principaux risques comme venant de «restes explosifs de guerre a laissé derrière par les systèmes d'armes aériens et d'artillerie israéliens ou des caches de militants ciblés par les forces israéliennes." Il ya au moins 15 champs de mines confirmés en Cisjordanie, à la frontière avec la Jordanie. Le Forces nationales de sécurité palestiniennes ne disposent pas de cartes ou de registres des champs de mines.
Les attaques contre les missions diplomatiques et les Israéliens à l'étranger
De nombreuses ambassades et voyageurs israéliens ont été attaqués par des groupes de militants palestiniens au cours du conflit israélo-palestinien.
- 26 Décembre 1968: DeuxFront Populaire pour la Libération de militants palestiniensa attaqué un avion d'El Al sur le point de partir, tuant un Israélien et en blessant deux autres.
- 18 Février 1969: Trois israéliens El AlBoeing 707 membres d'équipage, dont le pilote, ont été tués par FPLP attaque deZurich.
- 10 Février 1970: 12 passagers d'El Al israéliens ont été tués et blessés parFront Démocratique pour la Libération de la Palestine attaque àMunichaéroport.
- 4 mai 1970: Un employé du consulat israélien au Paraguay a été tué par deux Palestiniens armés.
- 8 mai 1972: Quatre membres de Septembre Noir a détourné un avion de ligne belge au L'a??roport de Lod.cours de l'opération de sauvetage, cinq soldats israéliens et un passager ont été tués.
- 17 mai 1972: Trois membres de l'Armée de libération turc, une organisation militante liée à l'OLP, enlevé et consul général israélien Efraim Elrom exécuté dansIstanbul.
- 30 mai 1972: L'Armée rouge japonaisea tué huit Israéliens et 17 aux États-Unis citoyen et en a blessé 80 autres àl'aéroport de Lod, au nom du Front Populaire pour la Libération de la Palestine.
- 10 Septembre 1972: Un responsable israélien à l'ambassade d'Israël àBruxellesa été blessé par des militants du Fatah.
- 19 Septembre 1972: Ami Shachori, un conseiller en agriculture à l'ambassade d'Israël en Angleterre, a été assassiné par des militants de Septembre Noir.
- 1 Juillet 1973:Yosef Alon, armée de l'air attaché à l'ambassade d'Israël à Washington, a été abattu devant son domicile par Septembre Noir.
- 17 Décembre 1973: Cinq terroristes palestiniens ont tiré sur les passagers en attente dans un salon El Al Israel Airlines à l'aéroport de Rome, tuant deux civils. Ensuite, ils ont lancé des grenades incendiaires à un Pan-Am Boeing 707 en attente de décollage, tuant 29 passagers.
- 8 Septembre 1974: jet TWA avec 88 passagers voyageant entre Tel Aviv et Athènes écrasé dans la mer Ionienne après une FPLP exploser bombe cachée dans le compartiment à bagages, tuant tous ses occupants. Parmi les morts figurent 17 Américains et deux Israéliens.
- 13 Novembre 1979: l'ambassadeur d'Israël au Portugal Ephraïm Eldar a été blessé par des militants palestiniens. Un garde de sécurité a été tué et un chauffeur de l'ambassade et policier local ont été blessés.
- 10 août 1981: des Palestiniens ont lancé deux bombes dans une ambassade israélienne àVienne, blessant une femme âgée de 75 ans.
- 29 août 1981: Les Palestiniensont tué deux personnes et blessé 30 assister à uneBar Mitzvah à Vienne.
- 4 Juin 1982: l'ambassadeur d'Israël au Royaume-Uni Shlomo Argov a été blessé dans une tentative d'assassinat par des militants palestiniens, déclenchant la guerre du Liban en 1982. Argov est décédé plus tard de ses blessures en 2003.
- 23 Septembre 1982: Chargé d'Affaires israélienne dansMalteEsther Milo a été blessé dans une tentative d'enlèvement par des militants palestiniens.
- 23 Décembre 1982: des militants palestiniens ont fait exploser une bombe au consulat israélien à Sydney, blessant deux fonctionnaires Israéliens.
- 27 décembre 1985: les militants du Fatah ont attaqué El Al compteurs dans les aéroports de Rome et de Vienne, tuant 19 personnes.
- 2 Avril 1986: des militants palestiniens ont fait exploser une bombe sur unedes compagnies aériennes Trans World 727,tuant quatre Américains dont un bébé de neuf mois.
- 6 Septembre 1986: 22 Juifs turcs ont été tués par des terroristes palestiniens appartenant à l'Organisation Abou Nidal alors qu'il assistait à un service à lasynagogue Neve Shalom à Istanbul.
- 26 Juillet 1994: Un véhicule emballéavec 30 livres d'explosifs à l'ambassade d'Israël à Londres a explosé, blessant 20.
- 28 novembre 2002: Les kamikazes ont attaqué le Paradise Hôtel appartenant à des Israéliens au Kenya. 13 civils, dont trois Israéliens, ont été tués dans l'attaque. Dans le même temps, deux missiles sol-air ont été tirés sur un civil Boeing 757 avion de ligne appartenant à la base-Israël Arkia Airlines en tant qu'il a décollé de l'aéroport international de Moi.