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Google Chrome

Google Chrome

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Chrome (homonymie) et Google Chrome OS.
    Google Chrome
    Logo
    Logo

    Capture d'écran sous Windows 8.
    Capture d'écran sous Windows 8.

    Développeur Google
    Première version
    Dernière version 46.0.2490.71 m () [+/-]
    Version avancée 48.0.2535.0 dev-m (Beta) ( (beta)) [+/-]
    Écrit en Assembly, C++, Java, JavaScript, Python
    Environnement Windows, Mac OS, GNU/Linux,
    Android, iOS
    Langue Multilingue
    Type Navigateur web
    Licence Google Chrome exécutable : licence propriétaire[1]

    Source et exécutable Chromium (sauf chromium 5 beta) : BSD
    Source et exécutable Chromium 5 beta : BSD avec des parties propriétaire (il intègre Adobe Flash Player 19.0.0.185[2])

    Site web www.google.com/chrome

    Chrome est un navigateur web privateur développé par Google basé sur le projet libre Chromium fonctionnant sous Windows, Mac, Linux, Android et iOS. Google Chrome est identique à Chromium hormis un logo différent et quelques fonctionnalités en moins ou en développement[3].

    Il est annoncé le dans une bande dessinée de Scott McCloud[4], la veille de la sortie de la première version beta. La première version stable est quant à elle dévoilée le . Selon l'institut StatCounter, Google Chrome devient en juin 2012 le navigateur le plus utilisé dans le monde, avec environ un tiers des utilisateurs[5].

    Développement

    Contexte

    Les premières lignes de code ont été écrites dans une ferme similaire à celle-ci au Danemark.

    Partant du constat que le temps passé sur internet est en constante augmentation, Google a décidé de créer un navigateur qui soit rapide, dynamique et innovant, afin d'économiser du temps d'une part, mais également d'être adapté au contenu des pages web qui évoluent et se complexifient année après année[6]. En effet, Chrome ne se veut pas être un simple navigateur, mais un logiciel destiné à optimiser le fonctionnement des services en ligne et, à terme, à promouvoir le cloud computing[7].

    Depuis début 2007 (voire bien avant[8]), des rumeurs concernant la conception d'un navigateur Internet par Google circulaient sur Internet. Google avait acheté le nom de domaine « Gbrowser.com », ce qui signifie « navigateur internet G », la lettre G renvoyant à Google comme pour Gmail[9].

    Néanmoins, on apprendra lors d'une conférence en juillet 2009 qu'Eric Schmidt, le PDG de Google, a déclaré que depuis six ans, il était contre la volonté des cofondateurs Sergey Brin et Larry Page de construire un navigateur Web indépendant et un système d'exploitation. Il a expliqué que la société était faible à l'époque et qu'il ne voulait pas subir les dégâts d'une guerre concurrentielle avec les grands navigateurs alors présents. Par la suite, les fondateurs ont embauché plusieurs développeurs de Firefox et ont construit une version de démonstration de Chrome. Depuis, Eric Schmidt, s'est ravisé puis est devenu un grand partisan de Chrome et de Chrome OS[10].

    Le projet a dès lors été imaginé et conceptualisé dans une ferme danoise dès le début 2007, par Lars Bak qui ne voulait pas s'expatrier du Danemark pour travailler au Googleplex en Californie. Il affirma : « Mais ma femme et moi voulions que nos filles grandissent en Danoises[11] ».

    Après plus d'un an et demi de travail, l'annonce de sortie était programmée le 3 septembre 2008, et une bande dessinée par Scott McCloud devait être envoyée aux journalistes et blogueurs en expliquant les caractéristiques et les motivations du nouveau navigateur, mais à la suite d'un incident, l'annonce et la publication de la BD se firent deux jours plus tôt, le 1er septembre 2008.

    Émergence d'un nouveau navigateur

    Article connexe : Évolution du marché des navigateurs Internet.
    Sad Tab

    Le a été publiée une bande dessinée[4] créée par le dessinateur Scott McCloud expliquant les différentes fonctionnalités du navigateur et les évolutions que celui-ci apporte en termes de performance par rapport à ceux existants à l'heure actuelle sur le marché. Elle met en scène les développeurs du logiciel. La sortie du navigateur a été une surprise générale[12],[13], puisque Google est resté silencieux jusqu'à la publication de la BD, et n'a pas « préparé le terrain ».

    La première version bêta est disponible depuis le pour les systèmes Microsoft Windows version XP SP2 et ultérieurs[14]. Sa compilation nécessite Microsoft Visual Studio[15]. Lors de sa sortie, le jeune navigateur était en concurrence avec Internet Explorer 7 qui allait prendre sa retraite en mars 2009, et Safari 3, bientôt remplacé par la version 4 fin février 2009, ainsi que Mozilla Firefox 3 principalement. Des versions Linux et Mac ont été lancées début décembre 2009.

    Pour les développeurs ayant la volonté de réutiliser tout ou partie de la technologie à la base du navigateur de Google, le code source a été mis intégralement, gratuitement et librement à disposition de la communauté open source sous le nom de code de « Chromium », mais sous des licences diverses[16].

    La version 1.0, c'est-à-dire celle définitive et stable, a été lancée le 25 décembre 2008, sans apporter d'innovation[17].

    Montée d'un concurrent, fruit d'une politique novatrice

    En moins d'un mois, les statistiques ont montré que Chrome avait acquis 1 % des utilisateurs. Cet afflux s'explique par le buzz généré par un tel événement, et se confirme lorsqu'une fois l'hystérie passée, Chrome a affiché une légère baisse[18]. Dès ses premiers jours Chrome bénéficie d'un accord avec Sony qui l'installe dorénavant sur ses PC en tant que navigateur par défaut au détriment d'Internet Explorer[19].

    Lors de chaque nouvelle version, les performances du navigateur s'accroissent, principalement en termes de vitesse. Ainsi, depuis sa première version, on a constaté sur la bêta de la version 5 un gain de cette vitesse compris entre 213 % et 305 %[20]. L'essoufflement d'Internet Explorer couplé au succès du navigateur le font passer devant Safari aux États-Unis, ce qui lui offre la troisième position en part de marché[21].

    La politique de Google semble être grandement responsable du succès de Chrome. En effet, face à une évolution rapide d'internet et de son contenu, ainsi qu'au matériel informatique, Google a opté pour un rythme de développement très rapide; chaque version étant espacée d'un mois. Contrairement à la concurrence qui préfère intégrer des grosses évolutions dans des versions de leurs navigateurs, dont les versions sont publiées moins d'une fois par an. À titre d'exemple, entre les versions 6 et 7 d'Internet Explorer, il s'est écoulé 5 ans. Du point de vue de Google, une lenteur du cycle de développement entraîne un fossé technologique qui n'est pas compatible avec une évolution du web incessante. Pour s'assurer de la mise à jour rapide de son navigateur, les développeurs ont écarté l'opération humaine de ce processus en incluant un mécanisme de mise à jour automatique silencieuse. Chrome est en permanence à jour, sans intervention de l'utilisateur, qui n'est même pas informé du processus. Cette mise à jour permanente renforce la sécurité du navigateur[22]. Parallèlement, Google promeut un Store qui permet d'ajouter de nombreuses possibilités et services via des extensions, applications et jeux. Enfin, pour s'adapter à la croissance du marché de l'internet mobile soutenu par la diffusion massive de smartphones et de tablettes, Google a décliné Chrome pour Android et iOS.

    Ainsi, le navigateur a vu ses parts de marché augmenter de plus de 0,5 % par mois, mettant progressivement les plus grands concurrents en situation difficile. Fin 2011, selon certains sites d'analyse, Chrome a une part de marché supérieure à celle de Mozilla Firefox[23]. Ce choc médiatique est d'autant plus grand lorsqu'en mai 2012, il talonne Internet Explorer et le dépasse périodiquement, jusqu'à avoir raison de lui pendant l'été, devenant ainsi le navigateur le plus utilisé au monde.

    Historique des versions

    Légende :

  1.      Ancienne version
  2.      Version stable actuelle
  3.      Version bêta actuelle
  4.      Version dev actuelle
  5. Google Chrome Canary, la version Alpha du logiciel

    Depuis 2010 pour Windows, 2011 pour Mac OS et enfin 2013 pour Android, la version Alpha de Google Chrome est disponible en téléchargement sur le site officiel de Google sous le nom de Google Chrome Canary. Tout utilisateur averti de l'instabilité particulière de cette version du logiciel peut désormais utiliser les dernières fonctionnalités en cours de développement[39]. Google Chrome et Google Chrome Canary peuvent être exécutés simultanément. Cette version alpha de ce logiciel est partiellement en français[40].

    Aspects du navigateur

    Interface graphique

    Zone d'affichage, barres multiples, ascenseur, menu et favoris.

    L'aspect du logiciel de Google se conforme aux logiques d'esthétisme des fenêtres des systèmes d'exploitation dans lequel il est installé. Quel que soit l'environnement, le design se veut simple et épuré[6], selon l'habitude de son concepteur[41]. Sous Microsoft Windows, Chrome applique l'interface Luna (en) de Windows XP et Windows Aero de Vista et 7. Sous Mac OS X, Chrome se fond également dans l'interface.

    Structurellement, les fenêtres de Chrome conservent une structure similaire aux principaux navigateurs concurrents. L'interface utilisateur est composée d'une zone d'affichage gérée sous forme d'onglets. Les pages de format spécial sont manipulées à l'aide de barre de défilement. Les fonctions page précédente, page suivante, actualiser, page d'accueil, et ajouter aux favoris restent aux emplacements traditionnels.

    Google apporte cependant plusieurs innovations dès la première version : premièrement, les barres d'outils et de menu sont réduites à deux icônes dans le coin supérieur droit ; deuxièmement, la barre de titre reste toujours vierge ; et enfin, les barres d'adresse et le champ de recherche fusionnent au profit d'une barre intelligente, dite omnibox. Pour les langues dont l'écriture s'aligne à gauche, l'interface graphique du navigateur est horizontalement inversée.

    Le comportement du logiciel est par ailleurs très plastique. Il est possible de « sortir » un onglet pour en faire une fenêtre, et inversement, de fusionner des fenêtres en glissant les onglets dans une même fenêtre. Ceux-ci se repositionnent si l'utilisateur les place de manière inadéquate, et peuvent se rétrécir en les écrasant sur la gauche avec la souris. Le navigateur tout entier peut être comprimé en une moitié d'écran si on laisse le pointeur cliqué sur le front, qu'on déplace la fenêtre entière sur le milieu des côtés de l'écran. Cette innovation sera reprise dans l'interface graphique de Windows 7.

    Depuis la version 3.0, le navigateur offre une possibilité de personnalisation visuelle inédite, par le biais de thèmes téléchargeables et parfois conçus par des particuliers[42]. Lors du lancement de cette nouvelle version, 29 thèmes étaient utilisables[43]. Pour la version suivante, Google a sollicité plusieurs artistes pour étoffer sa galerie de thèmes, et 95 nouveaux skins ont été ajoutés[44].

    Dix exemples de thèmes appliqués au navigateur. Le premier est le thème original, présent depuis la première utilisation. Les trois suivants (de haut en bas : Vivienne Westwood / Matt W. Moore / Anna Sui) sont des thèmes d'artistes, et les suivants des thèmes créés par Google (de haut en bas : Desktop / Grass / Minimal / Brushed / Topography / Late Night).

    Fonctionnalités et caractéristiques techniques

    Mode de navigation privée, caractérisée par la présence d'un espion et de la couleur assombrie.

    Chrome a été conçu à partir de 25 bibliothèques de code différentes. Ces dernières proviennent de Google ou de tiers, tels que les bibliothèques « Netscape Portable Runtime », « Network Security Services », « NPAPI » de Mozilla, ainsi que la base de donnée SQLite et de nombreux autres projets open-source[45]. La machine virtuelle JavaScript a été considérée comme un projet suffisamment important pour que son développement et sa gestion soient assurés par une équipe distincte au Danemark coordonnée par Lars Bak à Aarhus.

    Selon Google, les implémentations de JavaScript existantes ont été conçues « pour de petits programmes, où la performance et l'interactivité du système n'étaient pas si importantes » [réf. souhaitée], alors que les applications Web telles que Gmail « utilisent beaucoup plus le navigateur Web quand il s'agit de manipulations du DOM et de JavaScript » [réf. souhaitée]. De ce fait, le navigateur bénéficierait grandement d'un moteur JavaScript qui lui permettrait de fonctionner plus vite.

    Comme la plupart des navigateurs, Chrome a été testé en interne avant sa mise à disposition des testeurs. Les tests automatisés ont affiché 99 % de réussite. Le fonctionnement des nouvelles versions du navigateur est automatiquement mis à l'épreuve sur des dizaines de milliers de sites Web fréquemment consultés à l'intérieur de l'index Google pendant 20 à 30 minutes[4].

    Chrome intègre par défaut Google Gears, une API permettant d'accéder tout en étant hors connexion à ses données (par exemple la suite bureautique en ligne Google Documents), et permet l'accès à des applications web hors du navigateur. Google Chrome emprunte également des fonctionnalités à ses concurrents tels un système d'accès aux favoris proche du Speed Dial d'Opera et une barre d'adresse intelligente appelée omnibox[46], innovation majeure d'Opera déjà reprise par Mozilla Firefox à partir de sa version 3.0 et Internet Explorer 8. Depuis Google Chrome 4 Beta, le navigateur propose un gestionnaire d'extensions. Les extensions permettent d'ajouter des fonctionnalités en tout genre au navigateur.

    Fin mars 2010, Chrome annonce son intention d'intégrer la technologie Flash d'Adobe dans son navigateur, ce qui a provoqué la déception de la communauté des logiciels libres, dénonçant une consommation de ressources importantes[47] ainsi qu'une politique visant à maintenir le Flash comme indispensable pour une partie du web.

    Chrome utilise :

    • le moteur de rendu HTML utilisé par Chrome était WebKit (le moteur de rendu qu'utilise Safari) jusqu'en avril 2013 mais Google annonce alors que le navigateur utilisera Blink[48], qui est une version modifiée (dans le jargon un 'fork') de WebKit;
    • un nouveau moteur JavaScript baptisé V8 (Moteur Javascript), annoncé comme très performant grâce à :
      • une compilation à la volée du code JavaScript en langage machine ;
      • un accès immédiat aux attributs, obtenu grâce à une représentation interne sophistiquée (orientée objet et typée dynamiquement) des éléments JavaScript ;
      • un ramasse-miettes efficace, par des pointeurs et des objets clairement identifiés[49] ;
    • un espace mémoire et un processus exclusif pour chaque composant ou onglet afin de gagner en vitesse et en sécurité ;
    • une barre d'adresse qui propose des sites ou des suggestions grâce au complètement automatique ;
    • une page d'accueil dynamique avec un visuel des 8 sites les plus visités, des derniers favoris, des derniers onglets fermés et des dernières recherches ;
    • un mode de navigation privée, où rien ne sera conservé une fois l'application arrêtée ;
    • une ségrégation des droits entre différents onglets.

    Extensions

    Ajout de quelques extensions sur Chrome. Celles-ci se placent à droite.

    Google Chrome dispose d'un système de gestion d'extensions (actif depuis la version 4 Beta) permettant d'ajouter de nombreuses fonctionnalités au navigateur. Cette fonction répond au manque critiqué depuis sa sortie. Les extensions permettent par exemple de bloquer la publicité des sites Web, d'afficher la météo, de fournir des outils d'aide au développement Web, etc. Les extensions se mettent à jour automatiquement et de façon transparente. Il n'y a pas besoin de redémarrer le navigateur lors de l'installation ou la mise à jour d'une extension.

    Il est relativement facile de créer une extension pour Google Chrome car elles sont écrites avec les mêmes langages utilisés pour créer une page Web : le HTML et le JavaScript. Les extensions de Google Chrome sont lancées dans un processus indépendant. Ainsi, une extension boguée ne pourra pas faire planter le navigateur.

    Google a mis à disposition une galerie d'extensions (= add-ons) dans plusieurs langues[50]. Le 4 mars 2010, la galerie en proposait plus de 3 000[51]. En plus des extensions, cette galerie permet de télécharger des nouveaux thèmes graphiques[52].

    Le mardi 20 avril 2010 a été détecté un cheval de Troie par l'équipe de BitDefender qui se faisait passer pour une extension de Google Chrome (Trojan.Agent.20577)[53].

    Applications

    Google ne veut pas simplement améliorer son navigateur avec l’apparition des extensions, il veut aller beaucoup plus loin en proposant une galerie d'applications, qui seront en réalité des sites internet qui répondent à des besoins et des services précis. Ces applications web sont logées dans un onglet sur la gauche du navigateur, avec un logo plus gros. Elles feront leur apparition avec la version 7 ou 8 de Chrome ainsi que la première version de Chrome OS, et certaines seront accessibles hors ligne. Certaines seront gratuites, et d'autres payantes. Google prend une commission de 5 % sur chaque vente.

    Internationalisation et raccourcis clavier

    Adaptation de Chrome dans l'ordre suivant : français, anglophone (US), russe, chinois, hindi, arabe, hébreu.

    Google Chrome est proposé au téléchargement en plus de 40 langues, qui peuvent être changées dans le menu Options[54].

    Liste des adaptations « régionales » :

    • Arabe
    • Bengali
    • Portugais (Brésil)
    • Bulgare
    • Catalan
    • Chinois (simplifié et traditionnel)
    • Croate
    • Tchèque
    • Danois
    • Néerlandais
    • Anglais (États-Unis/Royaume-Uni)
    • Estonien
    • Philippin
    • Finnois
    • Français
    • Allemand
    • Grec
    • Gujarati
    • Hébreu
    • Hindi
    • Hongrois
    • Indonésien
    • Italien
    • Japonais
    • Kannada
    • Coréen
    • Letton
    • Lituanien
    • Malayalam
    • Marathi
    • Norvégien
    • Oriya
    • Polonais
    • Portugais
    • Roumain
    • Russe
    • Serbe
    • Slovaque
    • Slovène
    • Espagnol
    • Espagnol (Amérique latine)
    • Suédois
    • Tamoul
    • Telugu
    • Thaï
    • Turc
    • Ukrainien
    • Vietnamien

    Principaux raccourcis clavier[55] :

    • Ctrl + N : Créer une nouvelle fenêtre.
    • Ctrl + Maj + N : Créer une nouvelle fenêtre en mode navigation privée.
    • Ctrl + T : Créer un nouvel onglet.
    • Ctrl + O : Ouvrir un fichier dans Google Chrome.
    • Ctrl + Maj + B : Afficher ou masquer la barre de favoris.
    • Ctrl + F : Ouvrir la barre de recherche.
    • Maj + Échap : Ouvrir le gestionnaire de tâches.
    • F11 : Passer en plein écran.
    • Ctrl + S : Enregistrer la page sous…
    • Ctrl + P : Imprimer…
    • Ctrl + H : Ouvrir la page d'historique.
    • Ctrl + J : Ouvrir la page des téléchargements.
    • F1 : Ouvrir la page d'aide.
    • Ctrl + + : Zoomer sur la page.
    • Ctrl + - : Dé-zoomer sur la page.
    • Ctrl + R ou F5 : Actualiser l'onglet actif.
    • Ctrl + D : Enregistrer la page Web en favori.
    • Ctrl + W : Fermer l'onglet.
    • Ctrl + Maj + T : Rouvrir le dernier onglet fermé.
    • Ctrl + Tab : Changer d'onglet.
    • Ctrl + E : Faire une nouvelle requête.
    • Ctrl + L ou F6 : Sélectionner l'adresse.
    • Ctrl + U : Voir le code source de la page.
    • Ctrl + Maj + I ou F12 : Ouvrir les outils de développement.
    • Ctrl + Maj + J : Ouvrir la console JavaScript.
    • Ctrl + Maj + SUPPR : Ouvrir l'onglet "Effacer les données de navigation.

    Licence

    Google Chrome lui-même n'est pas open source[56], les binaires officiels sont soumis à un contrat de licence utilisateur final (CLUF)[1] mais une grande partie de son code source est distribué sous licence BSD via le projet libre Chromium.

    Identité visuelle et logo


    Comme les quatre autres premiers navigateurs, Google Chrome a un logo circulaire, en référence à[réf. nécessaire] l'aspect mondial d'internet. Le logo de Chrome est le même que celui du projet Chromium qui est à sa base, mais les couleurs ont été mises à la norme du logo de l'entreprise Google. En effet, le bleu du centre est sensiblement similaire aux deux lettres « g », le jaune est celui du deuxième « o », le vert renvoie au « l », tandis que le rouge se retrouve dans le premier « o » et dans le « e » final du mot « Google ». Depuis la première version, et jusqu'à la V.10, ces couleurs formaient une coque divisée en trois parties luisantes, semblant recouvrir une sphère grise. Par ailleurs, des ouvertures étaient visibles sur la partie jaune.

    À partir de la version 11, le logo a été modifié avec un style graphique aplati et épuré pour gagner en simplicité. Il a été légèrement retouché à partir de la version 46, avec des teintes moins vives et la quasi-disparition des effets de relief.


    L'originalité de l'identité visuelle du navigateur a fait l'objet de plusieurs controverses. Certains soupçonnent Google d'avoir remanié le drapeau de Windows[57] afin peut-être de bénéficier de l'aspect mondialement connu de celui-ci. Ce logo serait aussi basé sur d'autres objets ou logos très célèbres[58], comme celui de ThinkFree Office, logo avec lequel certains trouvent des ressemblances troublantes[59] ou de Simon, le premier jeu électronique grand public[60]. L'architecture circulaire en trois parties isométriques ressemble également au logo du recyclage.

    Depuis la première version sortie fin 2008, le logo n'a pas évolué. Au début de l'été 2009, Google a lancé un concours vidéo pour la réalisation du logo de son navigateur, invitant les participants à faire preuve d'originalité[61].

    Médiatisation et communication

    Performance aux tests

    La première version de Chrome a passé les tests Acid1 et Acid2 à 100 %, mais pas Acid3, la dernière version. Il a en effet obtenu un score de 79 points sur les 100 sous-tests. Ces résultats restent honorables pour une première version. Les concurrents principaux à l'époque de sa sortie atteignaient les scores suivants : Internet Explorer 7, 14/100 ; Firefox 3, 71/100 ; Safari 3, 75/100 ; et Opera 9, 83/100[62]. Cependant, la version 2.0 de Chrome passe les 100 sous-tests. Idem lors de sa maturation en 3.0, toutefois, un « X » est apparu dans le coin supérieur droit, pour des raisons des polices téléchargeables, désactivées par mesure de sécurité[63]. Google a communiqué que son navigateur en version 4.0 était à nouveau supérieur en performance, et de ce fait, qu'il avait passé avec succès Acid 3, sans rencontrer le problème mineur précédent[64].

    Les mêmes résultats sont affichés pour la version 5 sous Windows 7 en 64 bits, et en termes de rapidité, il était respectivement 14,2 fois plus rapide que les versions à jour d'Internet Explorer 8, 2,29 fois plus que Firefox 3.6.3, 1,48 fois plus que Safari 4.05, mais néanmoins 4 % plus lent qu'Opera 10.53. Outre la plateforme traditionnelle, le navigateur surpasse tous les autres sur MacOSX et Ubuntu 10.04[65].

    Passé les versions « jeunes » du navigateur « nouveau », les tests des nouvelles versions ont été de moins en moins publiées, probablement en raison de résultats très similaires d'une version à l'autre. Google s'exprime en mai 2011 au sujet des benchmarks pour les navigateurs en déplorant l'inefficacité de ceux-ci, vieillissants et plus adaptés face à la vitesse des évolutions (JavaScript, HTML5, CSS3, accélération matérielle…). Cet état de fait aurait pour conséquence une pénalisation des navigateurs rapides, et des résultats peu réalistes. Partant de ce constat, Google annonce avoir optimisé les tests Sunspider et Kraken[66],[67].

    Publicité

    Campagne publicitaire intense. Gare de l'Est, Paris, janvier 2010.

    Si la publicité de Chrome lors du lancement est restée relativement faible ou plutôt ciblée, limitée à la page d'accueil du moteur de recherche et de YouTube ou à un spot publicitaire aux États-Unis[68], une grande campagne publicitaire à grande échelle a commencé le 5 janvier 2010 dans huit pays européens[69]. La publicité est présente sur de très nombreux sites web, mais aussi matériellement sous forme d'affiches dans certaines stations de métro[70], ou dans certaines publications, à l'exemple de 20 minutes[70]. Cette politique intervient avant le ballot screen, une proposition à l'utilisateur de choisir son navigateur, Internet Explorer étant jusqu'alors proposé par défaut, sans laisser le choix à l'utilisateur basique. Celui-ci fait suite à une condamnation de Commission européenne, jugeant la situation comme une entrave à la concurrence[71].

    Ainsi, Google, comme il fournit la page d'accueil de son moteur de recherche, y appose un encadré fermable en haut à droite lors de l'affichage de cette page sous IE 6 et 7. Les utilisateurs sous Firefox reçoivent lors de l'anniversaire pour les 2 ans de Chrome début septembre une publicité juste en bas de la barre de saisie de recherche où il est marqué : Téléchargez la toute dernière version de Chrome, la plus rapide à ce jour. Enfin, détenant la plate-forme de partage de vidéos YouTube, un encadré bleu fermable apparaît sur les navigateurs autres que Chrome, montrant le logo ainsi que trois traits horizontaux faisant paraître le logo en train de se déplacer rapidement vers la droite muni du slogan : Essayez YouTube dans un nouveau navigateur Web. Télécharger Google Chrome [réf. souhaitée].

    Par contre, il n' y pas de diffusion large sur le temps important (plusieurs dizaines de minutes dans certains cas) requis pour mettre à jour Chrome : il vaut mieux éviter de lancer la mise à jour quand on a besoin rapidement de travailler avec Internet.

    Distinctions

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    Lors du Pwn2Own de 2010 à Vancouver, un concours légal de hacking destiné à sécuriser les systèmes informatiques, seul Google Chrome n'a pu être exploité ou manipulé d'une quelconque façon[72]. Les hackers ont affirmé qu'il avait bien quelques failles, mais qu'elles n'étaient qu'extrêmement difficiles à exploiter, et de ce fait, ne s'y sont pas attaqués[73].

    En revanche, en novembre 2010, le navigateur est nommé l'application la plus vulnérable de 2010 par le cabinet Bit9 puisqu'elle aurait comporté 76 failles critiques sur une période de dix mois[74]. Cette annonce n'a pas empêché Google de proposer 20 000 $ à qui hackera avec succès le navigateur, lors du Pwn2Own 2011[75]. Pour l'édition 2012, Google a élevé le budget à un million de dollars[76]. Les experts en sécurité de la société française VUPEN ont cette année réussi à prendre le contrôle du navigateur à distance[réf. nécessaire].

    Popularité

    Nombre de téléchargements

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    En 2011, lors de la conférence I/O de Google, on apprenait que le navigateur cumulait 160 millions d’utilisateurs actifs, contre 70 millions à la mi-2010[77]. En fin d'année, à la mi-octobre, le nombre était passé au-dessus de 200 millions[78].

    Part

    Article détaillé : Évolution de l'usage des navigateurs web.

    Suivant les régions étudiées, les statistiques évoquées varient considérablement. Ainsi, en mars 2010, en Tunisie, le navigateur affichait 20,56 % de part, ce qui le hissait à égalité avec Firefox[79]. Cette ascension le conduisit à frôler les 50 %, ce qui en 2011, fit de lui le premier navigateur du pays[80].

    Ces chiffres sont à relativiser puisque la moyenne européenne affichée en juillet 2010 était de 10,13 % selon StatCounter, contre 9,88 % au niveau mondial. Ces hausses des parts en saison estivale peuvent s'expliquer par la non-utilisation des ordinateurs d'entreprises utilisant encore majoritairement le navigateur par défaut de Windows, ajoutée à l'augmentation de l'utilisation des ordinateurs personnels, avec lesquels les utilisateurs surfent plus souvent avec des navigateurs alternatifs[81].


    Évolution mensuelle de la part du navigateur à l'échelle mondiale selon StatCounter


    Les parts de marché des navigateurs Web toutes plates-formes confondues (septembre 2015 - mettre à jour)
    Source Chrome
    Google
    Safari
    Apple
    Internet Explorer
    Microsoft
    Firefox
    Mozilla
    Android
    Google
    Opera
    Opera Software
    Autres
    StatCounter (Monde - septembre 2015)[82] 45,83 % 12,10 % 10,99 % 9,83 % 6,03 % 6,26 % 8,96 %
    Net Marketshare (Monde - septembre 2015)[83] 31,35 % 13,00 % 40,23 % 8,98 % 3,07 % 2,11 % 1,26 %
    W3Counter (Monde - septembre 2015)[84] 45,2 % 19,7 % 13,6 % 12,4 % 2,8 % 3,1 % 3,2 %
    Akamai (Monde - septembre 2015)[85] 39,7 % 25,3 % 13,9 % 9,1 % 8,6 % 0,6 % 2,8 %
    AT Internet (Europe - octobre 2014)[86] 33,9 % 19,8 % 19,9 % 18,9 %      
    Moyenne générale (sans Net Marketshare, sans AT Internet) 43,6 % 19,0 % 12,8 % 10,4 % 5,8 % 3,3 % 5,0 %
    Les parts de marché des navigateurs mobiles (septembre 2015 - mettre à jour)
    Source Chrome
    Google
    Safari
    Apple
    Android
    Google
    Opera
    Opera Software
    IE Mobile
    Microsoft
    UC Browser
    UCWeb
    Firefox
    Mozilla
    Autres
    StatCounter(Monde - septembre 2015)[87] 34,38 % 16,78 % 13,59 % 13,32 % 1,99 % 16,82 % 0,28 % 2,84 %
    Net Marketshare (Monde - mobiles et tablettes - septembre 2015)[88] 36,44 % 39,49 % 13,29 % 4,71 % 2,44 % 0,00 % 0,71 % 2,92 %
    Akamai (Monde - septembre 2015)[89] 31,5 % 37,4 % 17,5 % 3,8 % 3,8 % 0,6 % 1,7 % 3,7 %
    Moyenne générale 34,1 % 31,2 % 14,8 % 7,3 % 2,7 % 5,8 % 0,9 % 3,2 %

    Réception et critiques

    Article connexe : Critiques de Google.

    L’annonce par Google de la sortie de ce nouveau navigateur a été accompagnée d’un buzz sur Internet. De nombreuses réactions ont suivi cette annonce.

    La présidente de la Fondation Mozilla, Mitchell Baker, a écrit qu'elle était également contente de voir naître un nouveau rival de Firefox. « Cela nous force à sortir un produit qui soit encore meilleur, a-t-elle affirmé. Firefox 3 est un navigateur remarquable, mais nous avons à peine commencé à exploiter tout son potentiel. »[90].

    Également, ce pas de plus effectué par le géant d'Internet a soulevé des inquiétudes chez de nombreuses personnes. L'informaticien français Daniel Glazman, par exemple, s’inquiète du monopole grandissant de Google[91].

    Les clauses du contrat de licence utilisateur ont également fait couler beaucoup d'encre sur la blogosphère et dans la presse électronique. Des inquiétudes ont ainsi été évoquées parmi lesquelles on peut noter la possibilité pour Google de « cibler le contenu des informations stockées sur les Services, les requêtes formulées à l'aide des Services ou d'autres informations » afin de diffuser des publicités, ou encore le « droit de prévisualiser, réviser, marquer, filtrer, modifier, refuser ou retirer tout ou partie du Contenu issu de tout Service ». Une autre clause semble aller plus loin, en indiquant que l'utilisateur du navigateur Google Chrome concède à Google « une licence permanente, irrévocable, mondiale, gratuite et non exclusive permettant de reproduire, adapter, modifier, traduire, publier, présenter en public et distribuer tout Contenu » qu'il aura « fourni, publié ou affiché sur les Services ou par le biais de ces derniers ». Bien entendu, les clauses légales d'un tel contrat d'utilisation sont sujettes à interprétation et Google a immédiatement réagi en indiquant que ce contrat d'utilisation serait révisé pour prendre en compte les remarques formulées sur Internet.

    À la suite des multiples réactions, Google a décidé de modifier la licence utilisateur de son navigateur[92].

    L'autorité allemande de sûreté des techniques d'information (BSI) a mis en garde les consommateurs à propos de ce navigateur, en recommandant son usage dans des cas limités : « Google Chrome ne doit pas être employé pour un usage d'ordre général », a affirmé un porte-parole de l'autorité fédérale, Matthias Gärtner, dans le quotidien Berliner Zeitung. M. Gärtner a également déclaré : « Pour des raisons de sécurité technique, l'accumulation de données par un fournisseur pose problème »[93].

    Lors de l'installation, Google Chrome donne à l'exécutable Googleupdate.exe[réf. souhaitée] un droit d’exécution silencieuse avec élévation de privilèges dans Internet Explorer. Googleupdate.exe a ainsi le droit de passer outre les niveaux de protection définis dans Internet Explorer et de mettre le mode protégé à Medium lorsqu’il le décide. Ces modifications peuvent permettre l'envoi à Google d'informations sur les utilisateurs[94].

    En raison des nombreuses informations personnelles qui sont recueillies par Chrome, la société SRWare propose SRWare Iron sur la base du code source de Chromium, qui ne contient plus les fonctions problématiques[95],[96].

    Dès la mise en téléchargement de la version bêta, les testeurs puis les utilisateurs mêleront louanges et critiques. Alors que l'euphorie d'une révolution de la navigation était supposée par certains[Qui ?], les premiers contacts du monde avec le navigateur concluent à un logiciel basique, limité aux fonctions traditionnelles présentes chez les concurrents, sans innovation notable. On lui reprochera notamment cette limite, puis le manque d'innovation[97]. Les partisans de Firefox le critiqueront par exemple pour l'absence d'extensions (add-ons) (voir Extension (Mozilla)). Toutefois, petit à petit, les tests et l'utilisation révélèrent la vélocité du moteur de Chrome, et sa rapidité d'affichage des pages web. Cet atout fut apprécié, et contribua aux premiers pas de la renommée du navigateur de Google.

    Des comparatifs[98] placent Google Chrome comme le navigateur le plus rapide.

    Le navigateur a déjà été surnommé Big Browser, jeu de mot avec Big Brotherbrowser » désigne un navigateur web en anglais)[99].

    Chrome OS, le concept poussé plus loin

    Article détaillé : Chrome OS.

    Le , Google a annoncé la préparation de son système d'exploitation Chrome OS, basé sur l'interface graphique du navigateur Chrome et sur le noyau Linux[100]. Ce système fonctionnera en ligne de la même façon que ses applications (Google Documents, Gmail, etc.)[101], ce qui lui permet de n'exiger de l'ordinateur sur lequel il fonctionne qu'une faible puissance. Un petit espace de stockage est aussi suffisant. Ce système d'exploitation démarre en moins de 10 secondes, ce qui permet d'accéder rapidement au bureau. Cette vitesse et ses faibles exigences techniques sont un atout important qui lui permet d'être bien adapté aux miniportables (netbooks).

    Notes et références

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    27. Google Chrome Blog, « A Speedier Google Chrome for all users », chrome.blogspot.com, (consulté le 27 mars 2010).
    28. Google Chrome Releases: Stable Channel Update
    29. Dev Channel Update Google Chrome Releases, 2010-02-24
    30. David Feugey, « Chrome 6.0 : découverte des premières nouveautés », sur www.silicon.fr, (consulté le 21 juin 2010).
    31. Mike Jazayeri, Product Manager, « HTML Video Codec Support in Chrome », sur Chromium Blog, (consulté le 19 juin 2011).
    32. (en) PDF goodness in Chrome, Google Chrome Blog, 4 novembre 2010
    33. (en) Stable update
    34. A dash of speed, 3D and apps, Google Chrome Blog
    35. Prise en charge des effets 3D sous CCS à partir de la version 12
    36. Plusieurs profils disponibles à partir de la version 16
    37. Chromium Issue 48119: Feature request: optional permissions in Chrome extensions
    38. New senses for the web
    39. http://www.journaldunet.com/solutions/intranet-extranet/google-chrome-canary-pour-mac-0511.shtml
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    88. Parts de marché selon Net Marketshare
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    94. Google Chrome et son spyware, blogue de Korben, 5 septembre 2008.
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    100. (en) The Official Google Blog, « Introducing the Google Chrome OS », (consulté le 10 mars 2010).
    101. « Google targets Microsoft with new operating system », (consulté le 27 mars 2010).

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    • (mul) Site officiel de Chrome
    • (mul) Chrome Web Store
    • (mul) Chrome-Plugin.com
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