Euroligue de basket-ball
Sport | Basket-ball |
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Création | 1958 |
Organisateur(s) | ULEB |
Catégorie | Plus haut niveau européen |
Périodicité | Annuelle |
Lieu(x) | Europe |
Participants | 24 équipes |
Statut des participants | Professionnel |
Site web officiel |
(en) Site officiel |
Tenant du titre | Real Madrid (9) |
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Plus titré(s) | Real Madrid (9) |
Euroligue de basket-ball 2015-2016
L’Euroligue (ULEB Euroleague) ou actuellement Turkish Airlines Euroleague est la compétition de club de basket-ball la plus importante en Europe et regroupe 24 équipes. Cette compétition est semi-fermée. En effet, certains clubs ont une place assurée pendant quelques années. Un premier tour se déroule sous forme de championnat par groupes de 6 équipes, en match aller-retour. À l’issue de ce premier tour les 16 meilleures formations sont réparties dans 4 nouveaux groupes.
Jusqu’en 2004, les vainqueurs des 4 groupes étaient qualifiés pour le Final Four (finale à quatre). Désormais, les 4 premiers rencontrent les 4 deuxièmes en 1/4 de finale pour accéder au Final Four, qui se déroule dans une ville définie à l'avance.
Historique
La naissance de la Coupe des Champions
Le journal l'Équipe est généralement considéré comme l'initiateur de l'idée d'une compétition européenne des clubs. Des discussions se déroulent pendant le championnat d'Europe 1957 qui a lieu en Bulgarie. Ces discussions se déroulent au sein d'une commission regroupant le Yougoslave Borislav Stanković, l'Espagnol Raimundo Saporta, le Français Robert Busnel, le Tchécoslovaque Miloslav Kříž et le Soviétique Nikolaï Semachko.
Le résultat de cette commission est la création d'une compétition regroupant les clubs champions de leur championnat national. Le journal fournit le trophée pour la première édition, dont la finale se déroule en 1958, et qui regroupe 22 équipes. le club soviétique de ASK Riga est le premier vainqueur, battant en deux manches le représentant bulgare Academic Sofia[1]. Dès cette première édition, la politique internationale a des répercussions sur la compétition: lors des demi-finales, le Real Madrid n'est pas autorisé par Franco à se rendre en URSS. La FIBA déclare le club soviétique vainqueur de la série par 2 victoires à 0.
La deuxième édition voit de nouveau des événements extra sportifs décider du vainqueur: Simenthal Milan est déclaré vaincu en deux manches par le club égyptien de Gezira of Cairo. Cette décision de la FIBA fait suite au refus des italiens d'évoluer sur un terrain en extérieur en Égypte. La finale oppose les deux finalistes de la première édition, Riga et Sofia. Riga remporte les deux rencontres et conserve son trophée.
Lors de la troisième édition, un deuxième club soviétique est autorisé à participer à la compétition. C'est le club de Dinamo Tbilissi qui bénéficie de cette nouveauté. la finale voit s'opposer les deux clubs d'URSS, toujours au bénéfice du club de Riga qui remporte son troisième trophée consécutif.
La saison suivante, la FIBA trouve enfin une solution aux problèmes politiques. Les matchs posant problème sont ainsi disputé sur terrain neutre: c'est ainsi que le Real Madrid échoue en demi-finale face au club de Riga : le match aller, disputé à Paris, voit la victoire du club espagnol mais le club soviétique refait son retard lors du match retour à Prague et s'impose aisément, s'octroyant ainsi le droit de disputer sa quatrième finale consécutive. De nouveau, celle-ci oppose deux clubs d'URSS, le CSKA Moscou qui met un terme à la domination du club de Riga sur le basket-ball européen.
La saison suivante, la montée en puissance du Real sur la scène européenne se confirme : le club espagnol atteint la finale. Mais, de nouveau le club madrilène se voit confronter à des problèmes politiques, Franco refusant toujours de donner l'autorisation au Real de se rendre sur le sol soviétique pour affronter Tibilissi. Cet obstacle est finalement contourné par le versement de la somme de 200 000 dollars par le club espagnol au club soviétique afin que celui-ci accepte de disputer le titre sur une finale disputée sur une seule rencontre et sur terrain neutre. La rencontre se dispute finalement à Genève, Tbilissi, par sa victoire 90-83 confirmant la domination du basket-ball soviétique sur la scène européenne.
Le Real retrouve la finale lors de la saison suivante. Il se voit opposer à un autre club soviétique, le CSKA Moscou. La finale aller, disputée à Madrid, voit le Real prendre un avantage conséquent grâce à une victoire de 17 points. Le match retour est le premier d'un club espagnol sur le sol soviétique : Moscou remporte la partie mais surtout comble son retard, l'emportant également de 17 points. Une belle, disputée de nouveau à Moscou le lendemain du match retour donne le titre au CSKA[2].
Le Real remporte enfin son premier trophée dans cette compétition la saison suivante, en 1964. Il remporte la finale face au club tchèque de Spartak de Brno. Le Real grâce à une victoire de 20 points lors du match retour à Madrid comble son retard de 11 points. Lors de cette même saison, la compétition souffre de l'absence du CSKA Moscou, dont les joueurs composent la majorité de l'Équipe d'URSS. Or celle-ci a réquisitionné ces joueurs pour préparer la prochaine échéance olympique de Tokyo.
Le Real, en conservant son trophée lors de la saison suivante, confirme sa prise du pouvoir au sein du basket-ball européen. Cela est d'autant plus convaincant que les Madrilènes battent le CSKA de retour sur la scène européenne.
À partir de la saison suivante, la finale se dispute sur une seule rencontre. Celle-ci oppose deux équipes inédites à ce stade de la compétition, Simenthal Milan et le club du Slavia Prague. La finale disputée en Italie à Bologne, voit la victoire du club de Milan sur le score de 77 à 72.
Milan rejoint de nouveau la finale la saison suivante. Le club italien se voit opposer au Real. Celui a l'avantage d'évoluer à domicile, la finale se déroule à Madrid, et remporte son troisième titre sur le score de 91 à 83.
Dès la saison suivante, le Real enrichit son palmarès d'un quatrième titre en battant le Spartak de Brno.
Puis, en 1969, une nouvelle rencontre CSKA-Real figure au programme de la finale de Barcelone. Cette fois, le titre revient aux Soviétiques qui remportent la rencontre sur le score de 103 à 99 après une double prolongation[2].
Les années 1970-1980 : le grand Varèse
La finale de 1970 à Sarajevo voit un nouveau venu, le club italien de Ignis Varèse atteindre le stade final de la compétition. Les Italiens se voient opposer un habitué des finales, le CSKA Moscou, mais remportent finalement leur premier trophée sur le score de 79-74[3].
Cette première victoire est le début de la domination du club italien sur le basket-ball européen. Varèse dispute dix finales consécutives, remportant au passage cinq titres. Le pivot italien Dino Meneghin dispute ces dix finales. L'un des principaux rivaux est le CSKA : celui-ci prend sa revanche lors de l'édition de 1971, puis perd en 1973[3].
En 1973, c'est le club yougoslave de Yugoplastika Split qui dispute le titre aux Italiens, ceux-ci l'emportant d'un seul point à Tel-Aviv.
L'autre grand rival de Varèse durant cette période est le Real. Les deux clubs se disputent le titre les trois finales suivantes, le Real remportant l'édition de 1974, Varèse les deux suivantes.
En 1977, un nouveau club s'inscrit au palmarès de la compétition : le Maccabi Tel-Aviv bat Varèse sur le score de 78 à 77.
Une nouvelle finale Real-Varèse figure au programme de l'édition 1978. Le Real remporte son sixième titre, devenant le club le plus titré de la compétition.
La finale de 1979 est la dernière finale de Varèse. Lors de celle-ci, le club italien échoue face au Bosna Sarajevo.
Le Real retrouve de nouveau le stade de la finale la saison suivante, rencontrant le Maccabi Tel-Aviv. Grâce à une victoire 89 à 85 à Berlin, le Real remporte son septième titre européen.
Les années 1980-1990
La saison suivante, le Maccabi arrive à remporter le titre face à un club italien, Sinudyne Bologne. C'est le début d'une domination du basket-ball italien sur le basket-ball européen. Les deux saisons suivantes, Cantu remporte le titre face au Maccabi puis face à un autre club italien Billy Milan[4]. C'est ensuite au tour de Banco di Roma d'ajouter son nom au palmarès, face au FC Barcelone.
Le Cibona Zagreb, avec Dražen Petrović, remporte les deux titres suivants, face au Real Madrid, club qu'il rejoint en 1986, et le Žalgiris Kaunas de l'autre star du basket-ball européen, Arvydas Sabonis. La confrontation entre les deux stars tourne à l'avantage de Petrović qui réussit 22 points alors que Sabonis reçoit cinq fautes lors de la première mi-temps.
L'année suivante, la finale voit s'affronter deux clubs habitués de ce stade de la compétition : les Italiens de Tracer Milan sont opposés aux Israéliens du Maccabi Tel-Aviv. Ces deux équipes ont terminé en tête de la poule de six au cours de laquelle la surprise est venue d'un tout petit village français, Orthez (8 000 habitants)[réf. nécessaire], qui a battu à domicile ses 5 concurrents mais aussi s'impose sur la parquet du Real de Madrid (95-87, avec en particulier 9 paniers à 3 points du meneur Freddy Hufnagel), échouant de peu à se qualifier pour la finale. La victoire est finalement remportée par les Italiens sur le score de 71 à 69.
À partir de la saison 1987-1988, la compétition se termine par un Final Four. La première édition de ce Final Four se déroule à Gand et voit s'affronter le Maccabi Tel-Aviv face au Partizan Belgrade d'une part, et Milan face à l'Aris Salonique d'autre part. Le Maccabi et Milan se qualifient pour la finale. Comme la saison précédente, le club italien remporte la rencontre[4].
Le Final Four de 1989 voit le club de Yugosplatika Split atteindre le Final Four. Les experts donnent peu de chance à cette équipe, composée de jeunes joueurs de pouvoir inscrire son nom au palmarès face à de grands clubs européens comme Barcelone, que Split doit rencontrer en demi-finale, ou les Grecs de Salonique de Níkos Gális qui rencontrent le Maccabi. Split se débarrasse de Barcelone puis remporte la finale face au Maccabi sur le score de 75-70.
L'équipe de Božidar Maljković, avec des individualités comme Toni Kukoč, Dino Rađa ou Velimir Perasović confirme dès la saison suivante, remportant le Final Four de Saragosse. En demi-finale Split élimine sèchement les Français de Limoges avant d'empêcher Barcelone de remporter pour la première fois cette compétition.
Les années 1990-2000
Malgré quelques départs, dont Rađa, Split se présente de nouveau au Final Four de 1991. Après avoir éliminé les Italiens de Pesaro, Split retrouve de nouveau Barcelone, qui a battu le Maccabi. Barcelone est dirigé par l'ancien entraîneur de Split Maljković, mais cela n'empêche pas ce dernier club de remporter son troisième titre consécutif. Cet exploit a seulement été réalisé par Riga dans le passé et n'a toujours pas été refait depuis.
Le basket-ball yougoslave remporte un quatrième titre avec la victoire du Partizan Belgrade au Final Four d'Istanbul. Ce dernier est d'autant plus remarquable que Belgrade, en raison des événements politiques en Yougoslavie, doit disputer toutes ses rencontres à domicile en dehors de la Yougoslavie. Le Partizan disputera finalement une seule rencontre à Belgrade, lors du quart de finale. Le club, grâce à ses deux arrières Predrag Danilović et Aleksandar Djordjević remporte la finale sur un dernier « jump shoot » à 3 points à la sirène de ce dernier.
Le Final Four de 1993 à Athènes voit Maljković emmener un troisième club, le CSP Limoges, à ce stade de la compétition. le Real Madrid échoue en demi-finale face aux Français, alors qu'un ancien joueur de Maljković, Kukoč, qualifie son club de Benetton Trévise dans l'autre demi-finale qui l'oppose au club grec de Salonique. Dans une finale hyper défensive, le CSP Limoges remporte le premier titre français dans cette compétition. Kukoč se console avec un troisième titre de MVP du Final Four.
L'année suivante, Željko Obradović, qui avait déjà remporté le titre avec le Partizan, remporte le titre avec le club espagnol de la Joventut Badalona face à l'Olympiakós le Pirée, premier club grec à atteindre la finale. Il remporte de nouveau la compétition l'année suivante avec un autre club espagnol, le Real Madrid, de nouveau face à l'Olympiakós. Le Real remporte son huitième titre, conduit sur le terrain par Arvydas Sabonis qui remporte le titre de MVP du Final Four[5].
L'année suivante voit un club grec s'inscrire pour la première fois au palmarès de l'épreuve. Cet honneur est réservé au Panathinaïkos, dirigé par Maljković qui remporte son quatrième titre, avec trois clubs différents. Ce dernier titre est toutefois l'objet d'une controverse, Stojko Vranković contrant à l'ultime seconde un dernier tir de Barcelone. Or, le ballon ayant auparavant touché le panneau, le panier aurait dû être accordé, ce qui aurait donné le titre aux Espagnols[6]
Le basket-ball grec assoit sa domination sur la scène européenne avec la victoire des rouges de l'Olympiakos en 1997. Le club grec élimine Union Olimpija en demi-finale puis le FC Barcelone sur le score sans appel de 73 à 58. Cette édition est la première où la compétition porte le nom d'Euroligue.
Le club italien de Kinder Bologne, dirigé par Ettore Messina, qui a dominé la phase régulère, ajoute un nouveau nom au palmarès de la compétition en 1998.
L'année suivante, c'est la club lituanien de Žalgiris Kaunas qui empêche le club d'Ettore Messina de réaliser le doublé.
En 2000, le final four de l'Euroligue se dispute en Grèce, à Thessalonique. Le Panathinaïkós y remporte son 2e titre européen en venant à bout du Maccabi Tel-Aviv (73-67).
La bataille FIBA - ULEB
En 2000, un nouvel organisme prend de l'ampleur : l'ULEB. Celui-ci, qui est une association des ligues professionnelles européennes, se plie bien souvent à la volonté de la plupart des très grands clubs européens, plus particulièrement les italiens et les espagnols. Cette ligue, indépendante de la FIBA, crée pour la saison 2000-2001 une nouvelle compétition, l'Euroligue.
Celle-ci verra la victoire du Kinder Bologne tandis que la compétition toujours organisée par la FIBA, la Suproligue, verra la victoire du Maccabi Tel-Aviv.
La compétition est depuis lors coorganisée par la FIBA bien que ce soit l’ULEB qui en soit majoritairement représentative, au point que l'on appelle parfois la compétition ULEB Euroleague.
Les années 2000
Après la saison 2000-2001 avec deux compétitions majeures, le retour à une compétition unique voit les clubs du Panathinaïkos, du Maccabi, du Benetton Trévise et le Kinder Bologne atteindre le Final Four de Bologne. Le Panathinaïkos remporte la finale face à Bologne[7]. Željko Obradović devient l'entraîneur le plus titré dans la compétition majeure en Europe en remportant son cinquième titre.
Le Final Four de 2003 se déroule à Barcelone. Le club local, dirigé par Dejan Bodiroga, en profite pour inscrire enfin son nom au palmarès. Les Catalans battent le CSKA Moscou en demi-finale, puis le Benetton Trévise en finale sur le score de 76 à 65[8].
Tel-Aviv est le club hôte du Final Four de 2004. Le Maccabi parvient à se qualifier pour celui-ci. En demi-finale, il élimine le CSKA puis écrase la Fortitudo Bologne en finale[9].
La saison suivante, certains estiment que le CSKA Moscou va remporter la compétition, d'autant plus que le Final Four se déroule à Moscou. Mais les Espagnols de Tau Vitoria éliminent le club russe en demi-finale avant d'échouer en finale face au Maccabi qui réalise le doublé, ce qui n'a plus été réalisé depuis les victoires de Split[10].
En 2006, Molten est choisi pour réaliser le ballon officiel de la compétition. Le CSKA Moscou prend sa revanche en remportant cette édition, mettant fin aux espoirs du Maccabi de réaliser le triplé[11].
Le CSKA Moscou est de nouveau au rendez-vous du Final Four en 2007, Final Four qui a lieu dans la salle du Panathinaïkos. Celui-ci, dirigé par Željko Obradović, remporte la finale face au CSKA Moscou sur le score de 93-91[12].
Le Final Four 2008 de Madrid abrite les festivités commémorant le cinquantenaire de la compétition, voit le CSKA Moscou d'Ettore Messina reprendre son trophée en triomphant du Maccabi[13].
2009 marque l'année de la domination du Panathinaïkos en remportant son cinquième titre en finale face au CSKA Moscou (73-71).
Format de la compétition
Les 24 équipes sont regroupées en 3 poules, appelées Poule A, Poule B et Poule C. Au terme de la saison régulière (les 8 équipes de chaque groupe s'affrontent toutes 2 fois, 1 à la maison, 1 à l'extérieur), les 5 premiers de chaque poule sont qualifiés ainsi que le meilleur sixième (le meilleur bilan de victoires ou de défaites).
Le « Top16 » regroupe 4 poules de 4 où, encore une fois, chaque équipe joue toutes les équipes de sa poule deux fois. Au terme de ces rencontres, les 2 premiers de chaque poule vont en quart de finale.
Les quarts de finale se jouent au meilleur des 3 manches, c'est-à-dire l'équipe qui atteint 2 victoires. Les équipes qui ont terminé à la première place de leur groupe rencontre une équipe ayant terminé deuxième. Elle a de plus l'avantage de disputer la troisième rencontre, si celle-ci s'avère nécessaire, à domicile.
Puis, sur un terrain désigné avant la saison, se déroule le Final Four : c'est-à-dire les demi-finales et finales en 3 jours. Celui qui gagne sa demi-finale et la finale remporte l'Euroligue.
Format actuel
À compter de la saison 2008-09, l'ULEB propose un nouveau format, changement qui se traduit par[14] :
- un premier tour de quatre groupes de six équipes au lieu de trois groupes de huit équipes, les années précédentes. Cela réduit le nombre de rencontres de la phase régulière de 14 à 10.
- depuis la saison 2012-2013, le top 16 est passé de 4 poules de 4 à 2 poules de 8.
- les quarts de finale se déroulent sous la forme de série disputée au meilleur des cinq rencontres, et non plus au meilleur des trois matchs comme les quatre dernières saisons.
- le Final Four est conservé.
Palmarès
Année | Lieu de la finale | Vainqueur | Finaliste | 1re manche | 2e manche | 3e manche | 4e manche | 5e manche |
Coupe d’Europe des clubs champions : finale en 2 manches aller-retour | ||||||||
1958 | - | ASK Riga (1) | Academic Sofia | *86-81 | 84-*71 | - | ||
1959 | - | ASK Riga (2) | Academic Sofia | *79-58 | 69-*67 | - | ||
1960 | - | ASK Riga (3) | Dinamo Tbilisi | 61-*51 | *69-62 | - | ||
1961 | - | CSKA Moscou (1) | ASK Riga | *61-66 | 87-*62 | - | ||
1962 | Genève | Dinamo Tbilissi (1) | Real Madrid | 90-83 | - | |||
1963 | - | CSKA Moscou (2) | Real Madrid | 69-*86 | *91-74 | *99-80 | - | |
1964 | - | Real Madrid (1) | Spartak Brno | 99-*110 | *84-64 | - | ||
1965 | - | Real Madrid (2) | CSKA Moscou | 81-*88 | *76-62 | - | ||
Coupe d’Europe des clubs champions : finale à 4 (Final Four) | ||||||||
1966 | Bologne | Olimpia Milan (1) | Slavia Prague | 77-72 | - | |||
1967 | Madrid | Real Madrid (3) | Olimpia Milan | 91-83 | - | |||
Coupe d’Europe des clubs champions : finale en 1 manche sèche | ||||||||
1968 | Lyon | Real Madrid (4) | Spartak Brno | 98-95 | - | |||
1969 | Barcelone | CSKA Moscou (3) | Real Madrid | 103-99 (a.2p.) | - | |||
1970 | Sarajevo | Ignis Varèse (1) | CSKA Moscou | 79-74 | - | |||
1971 | Anvers | CSKA Moscou (4) | Ignis Varèse | 67-53 | - | |||
1972 | Tel-Aviv | Ignis Varèse (2) | Jugoplastika Split | 70-69 | - | |||
1973 | Liège | Ignis Varèse (3) | CSKA Moscou | 71-66 | - | |||
1974 | Nantes | Real Madrid (5) | Ignis Varèse | 84-82 | - | |||
1975 | Anvers | Ignis Varèse (4) | Real Madrid | 79-66 | - | |||
1976 | Genève | Mobilgirgi Varèse (5) | Real Madrid | 81-74 | - | |||
1977 | Belgrade | Maccabi Tel-Aviv (1) | Mobilgirgi Varèse | 78-77 | - | |||
1978 | Munich | Real Madrid (6) | Mobilgirgi Varèse | 75-67 | - | |||
1979 | Grenoble | Bosna Sarajevo (1) | Emerson Varèse | 96-93 | - | |||
1980 | Berlin | Real Madrid (7) | Maccabi Tel-Aviv | 89-85 | - | |||
1981 | Strasbourg | Maccabi Tel-Aviv (2) | Synudine Bologne | 80-79 | - | |||
1982 | Cologne | Squibb Cantù (1) | Maccabi Tel-Aviv | 86-80 | - | |||
1983 | Grenoble | Ford Cantù (2) | Olimpia Milan | 69-68 | - | |||
1984 | Genève | Banco di Roma (1) | FC Barcelone | 79-73 | - | |||
1985 | Athènes | Cibona Zagreb (1) | Real Madrid | 87-78 | - | |||
1986 | Budapest | Cibona Zagreb (2) | Žalgiris Kaunas | 94-82 | - | |||
1987 | Lausanne | Olimpia Milan (2) | Maccabi Tel-Aviv | 71-69 | - | |||
Coupe d’Europe des clubs champions : retour au Final Four | ||||||||
1988 | Gand | Olimpia Milan (3) | Maccabi Tel-Aviv | 90-84 | - | |||
1989 | Munich | Jugoplastika Split (1) | Maccabi Tel-Aviv | 75-69 | - | |||
1990 | Saragosse | Jugoplastika Split (2) | FC Barcelone | 72-67 | - | |||
Ligue des champions d’Europe | ||||||||
1991 | Paris | Pop 84 Split (3) | FC Barcelone | 70-65 | - | |||
1992 | İstanbul | Partizan Belgrade (1) | Joventut de Badalone | 71-70 | - | |||
1993 | Athènes | CSP Limoges (1) | Benetton Trévise | 59-55 | - | |||
1994 | Tel-Aviv | Joventut de Badalone (1) | Olympiakós Le Pirée | 59-57 | - | |||
1995 | Saragosse | Real Madrid (8) | Olympiakós Le Pirée | 73-61 | - | |||
1996 | Paris | Panathinaïkós Athènes (1) | FC Barcelone | 67-66 | - | |||
Euroligue | ||||||||
1997 | Rome | Olympiakós Le Pirée (1) | FC Barcelone | 73-58 | - | |||
1998 | Barcelone | Kinder Bologne (1) | AEK Athènes | 58-44 | - | |||
1999 | Munich | Žalgiris Kaunas (1) | Kinder Bologne | 82-74 | - | |||
2000 | Thessalonique | Panathinaïkós Athènes (2) | Maccabi Tel-Aviv | 73-67 | - | |||
Euroligue (ULEB) et Suproligue (FIBA Europe) | ||||||||
2001 | Paris | Maccabi Tel-Aviv (3) | Panathinaïkós Athènes | 81-67 | - | |||
Kinder Bologne (2) | Tau Vitoria | *68-85 | *94-73 | 80-*60 | 79-*96 | *82-74 | ||
ULEB Euroligue | ||||||||
2002 | Bologne | Panathinaïkós Athènes (3) | Kinder Bologne | 89-83 | ||||
2003 | Barcelone | FC Barcelone (1) | Benetton Trévise | 76-65 | ||||
2004 | Tel-Aviv | Maccabi Tel-Aviv (4) | Skipper Bologne | 118-74 | ||||
2005 | Moscou | Maccabi Tel-Aviv (5) | Tau Vitoria | 90-78 | ||||
2006 | Prague | CSKA Moscou (5) | Maccabi Tel-Aviv | 73-69 | ||||
2007 | Athènes | Panathinaïkós Athènes (4) | CSKA Moscou | 93-91 | ||||
2008 | Madrid | CSKA Moscou (6) | Maccabi Tel-Aviv | 91-77 | ||||
2009 | Berlin | Panathinaïkós Athènes (5) | CSKA Moscou | 73-71 | ||||
2010 | Paris | FC Barcelone (2) | Olympiakós Le Pirée | 86-68 | ||||
2011 | Barcelone[15] | Panathinaïkós Athènes (6) | Maccabi Tel-Aviv | 78-70 | ||||
2012 | Istanbul | Olympiakós Le Pirée (2) | CSKA Moscou | 62-61 | ||||
2013 | Londres | Olympiakós Le Pirée (3) | Real Madrid | 100-88 | ||||
2014 | Milan | Maccabi Tel-Aviv (6) | Real Madrid | 98-86ap | ||||
2015 | Madrid | Real Madrid (9) | Olympiakós Le Pirée | 78-59 |
Lors des finales à plusieurs manches, le signe * précède le score de l’équipe jouant à domicile.
Bilan
Bilans par club
Rang | Équipe | Titres | Finales | Années des victoires |
---|---|---|---|---|
1 | Real Madrid | 9 | 8 | 1964, 1965, 1967, 1968, 1974, 1978, 1980, 1995, 2015 |
2 | Maccabi Tel-Aviv | 6 | 9 | 1977, 1981, 2001, 2004, 2005, 2014 |
3 | CSKA Moscou | 6 | 6 | 1961, 1963, 1969, 1971, 2006, 2008 |
4 | Panathinaïkós Athènes | 6 | 1 | 1996, 2000, 2002, 2007, 2009, 2011 |
5 | Pallacanestro Varese | 5 | 5 | 1970, 1972, 1973, 1975, 1976 |
6 | Olympiakós Le Pirée | 3 | 4 | 1997, 2012, 2013 |
7 | Olimpia Milan | 3 | 2 | 1966, 1987, 1988 |
8 | ASK Riga | 3 | 1 | 1958, 1959, 1960 |
KK Split | 3 | 1 | 1989, 1990, 1991 | |
10 | FC Barcelone | 2 | 5 | 2003, 2010 |
11 | Virtus Bologne | 2 | 3 | 1998, 2001 |
12 | Pallacanestro Cantù | 2 | 0 | 1982, 1983 |
Cibona Zagreb | 2 | 0 | 1985, 1986 | |
14 | Dinamo Tbilissi | 1 | 1 | 1962 |
Joventut Badalona | 1 | 1 | 1994 | |
Žalgiris Kaunas | 1 | 1 | 1999 | |
17 | Bosna Sarajevo | 1 | 0 | 1979 |
Virtus Rome | 1 | 0 | 1984 | |
Partizan Belgrade | 1 | 0 | 1992 | |
CSP Limoges | 1 | 0 | 1993 | |
21 | Academic Sofia | 0 | 2 | |
BC ŽS Brno | 0 | 2 | ||
Benetton Trévise | 0 | 2 | ||
Tau Vitoria | 0 | 2 | ||
25 | Slavia Prague | 0 | 1 | |
AEK Athènes | 0 | 1 | ||
Fortitudo Bologne | 0 | 1 |
Bilan par pays
Rang | Pays | Titres | Finales perdues |
---|---|---|---|
1 | Italie | 13 | 13 |
2 | Espagne | 12 | 15 |
3 | Grèce | 9 | 5 |
4 | Israël | 6 | 9 |
5 | Russie | 6 | 6 |
6 | Croatie | 5 | 1 |
7 | Lettonie | 3 | 1 |
8 | Lituanie | 1 | 1 |
- | Géorgie | 1 | 1 |
- | Bosnie-Herzégovine | 1 | 0 |
- | France | 1 | 0 |
- | Serbie | 1 | 0 |
13 | République tchèque | 0 | 3 |
14 | Bulgarie | 0 | 2 |
Statistiques
- Plus grand nombre de victoires en finale : 9 Real Madrid
- Plus grand nombre de titres consécutifs : 3 / ASK Riga de 1958 à 1960 et / Jugoplastika Split de 1989 à 1991
- Plus grand nombre de participations à une finale : 17 Real Madrid
- Plus grand nombre de participations consécutives : 30 Élan béarnais de 1978 à 2008
- Plus grand nombre de finales consécutives (gagnées et perdues) : 10 Pallacanestro Varese de 1970 à 1979
- Nombre de finales opposant deux équipes du même pays : 1 Ford Cantù - Olimpia Milan en 1983
Bilans par entraîneur
- 8 victoires :
- Željko Obradović (1992, 1994, 1995, 2000, 2002, 2007, 2009, 2011)
- 4 victoires :
- 3 victoires :
- Aleksandar Nikolić (1970, 1972, 1973)
- 2 victoires :
- Dusan Ivković 1997, 2012,
Récompenses individuelles
Un certain nombre de récompenses individuelles sont décernées. Des titres de MVP de la semaine et du mois sont attribués au cours de la saison. Le meilleur joueur de la saison et le MVP du Final Four sont désignés en fin de saison. D'autres trophées existent, comme le trophée Alphonso Ford ou le trophée Aleksandr Gomelsky.
MVP de l’Euroligue
Le trophée de MVP de l'Euroligue (All-Euroleague MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours de la saison régulière, du Top 16 et des playoffs. Il est attribué depuis la saison 2004-2005.
Année | Joueurs | Club |
2005 | Anthony Parker | Maccabi Tel-Aviv |
2006 | Anthony Parker | Maccabi Tel-Aviv |
2007 | Theódoros Papaloukás | CSKA Moscou |
2008 | Ramūnas Šiškauskas | CSKA Moscou |
2009 | Juan Carlos Navarro | FC Barcelone |
2010 | Miloš Teodosić | Olympiakós Le Pirée |
2011 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkos |
2012 | Andreï Kirilenko | CSKA Moscou |
2013 | Vassílis Spanoúlis | Olympiakós Le Pirée |
2014 | Sergio Rodríguez | Real Madrid |
2015 | Nemanja Bjelica | Fenerbahçe Ülkerspor |
MVP de la saison régulière de l’Euroligue
Le trophée de MVP de la saison régulière de l'Euroligue (Euroleague Regular Season MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours de la saison régulière. Il est décerné pour la première fois lors de la saison 2000-2001 et pour la dernière fois lors de la saison 2003-2004. Il est remplacé par le trophée de MVP de l'Euroligue à compter de la saison 2004-2005.
Année | Joueurs | Club |
2001 | Nate Huffman | Maccabi Tel-Aviv (Suproligue) |
2001 | Dejan Tomašević | KK Budućnost Podgorica (Euroligue ULEB) |
2002 | Mirsad Türkcan | CSKA Moscou |
2003 | Joseph Blair | Ülker İstanbul |
2004 | Arvydas Sabonis | Žalgiris Kaunas |
MVP du Top 16 de l’Euroligue
Le trophée de MVP du Top 16 de l'Euroligue (Euroleague Top 16 MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours du Top 16. Il est décerné pour la première fois lors de la saison 2001-2002 et pour la dernière fois lors de la saison 2003-2004. Il est remplacé par le trophée de MVP de l'Euroligue à compter de la saison 2004-2005.
Année | Joueurs | Club |
2002 | Dejan Bodiroga | Panathinaïkós Athènes |
2003 | Mirsad Türkcan | Montepaschi Sienne |
2004 | Arvydas Sabonis | Žalgiris Kaunas |
MVP du Final Four de l’Euroligue
Depuis l'instauration du Final Four, le trophée de MVP du Final Four de l'Euroligue (Euroleague Final Four MVP) est attribué au meilleur joueur du Final Four.
Toni Kukoč est le seul joueur à avoir obtenu ce titre à trois reprises, deux avec le club de Split et une fois avec le club italien de Benetton Trévise. Ce dernier est obtenu malgré la défaite en finale face au club français du CSP Limoges.
Le Serbe Dejan Bodiroga a pour sa part obtenu deux titres consécutifs et avec deux clubs différents, d'abord sous les couleurs du Panathinaikos puis avec le FC Barcelone.
Année | Joueurs | Club |
1988 | Bob McAdoo | Tracer Milan |
1989 | Dino Rađa | Jugoplastika Split |
1990 | Toni Kukoč | Jugoplastika Split |
1991 | Toni Kukoč | Pop 84 Split |
1992 | Predrag Danilović | KK Partizan Belgrade |
1993 | Toni Kukoč | Benetton Trévise |
1994 | Žarko Paspalj | Olympiakós Le Pirée |
1995 | Arvydas Sabonis | Real Madrid |
1996 | Dominique Wilkins | Panathinaïkós Athènes |
1997 | David Rivers | Olympiakós Le Pirée |
1998 | Zoran Savić | Kinder Bologne |
1999 | Tyus Edney | Žalgiris Kaunas |
2000 | Željko Rebrača | Panathinaïkós Athènes |
2001 | Ariel McDonald | Maccabi Tel-Aviv (FIBA Suproligue) |
2001 | Emanuel Ginóbili | Kinder Bologne (ULEB Euroligue) |
2002 | Dejan Bodiroga | Panathinaïkós Athènes |
2003 | Dejan Bodiroga | FC Barcelone |
2004 | Anthony Parker | Maccabi Tel-Aviv |
2005 | Šarūnas Jasikevičius | Maccabi Tel-Aviv |
2006 | Theódoros Papaloukás | CSKA Moscou |
2007 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2008 | Trajan Langdon | CSKA Moscou |
2009 | Vassílis Spanoúlis | Panathinaïkós Athènes |
2010 | Juan Carlos Navarro | FC Barcelone |
2011 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2012 | Vassílis Spanoúlis | Olympiakós Le Pirée |
2013 | Vassílis Spanoúlis | Olympiakós Le Pirée |
2014 | Tyrese Rice | Maccabi Tel Aviv |
Trophée Alphonso Ford
Le trophée Alphonso Ford récompense le meilleur marqueur par match de la saison d'Euroligue. Toutefois, pour obtenir le trophée, le joueur doit participer à au moins 50 % d'un total de matches défini ainsi : phase régulière, Top 16 et play-off.
Ce trophée porte ce nom en mémoire du joueur Alphonso Ford qui a été meilleur marqueur en 2001 et 2002 et qui est décédé de leucémie en 2004 [17].
Année | Joueurs | Club(s) |
2005 | Charles Smith | Scavolini Pesaro |
2006 | Drew Nicholas | Benetton Trévise |
2007 | Igor Rakočević | Tau Vitoria |
2008 | Marc Salyers | Chorale Roanne Basket |
2009 | Igor Rakočević | Tau Vitoria |
2010 | Linas Kleiza | Olympiakós Le Pirée |
2011 | Igor Rakočević | Efes Pilsen |
2012 | Bo McCalebb | Montepaschi Siena |
2013 | Bobby Brown | Montepaschi Siena |
2014 | Keith Langford | Olimpia Milan |
2015 | Taylor Rochestie | BK Nijni Novgorod |
Meilleur défenseur de l’Euroligue
Le trophée de meilleur défenseur de l'Euroligue (Euroleague Best Defender) est attribué au joueur ayant réussi les meilleures performances défensives au cours de la saison, jusqu'au Final Four. Il est décerné depuis la saison 2004-2005.
Année | Joueurs | Club(s) |
2005 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2006 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2007 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2008 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2009 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2010 | Viktor Khryapa | CSKA Moscou |
2011 | Dimítris Diamantídis | Panathinaïkós Athènes |
2012 | Andreï Kirilenko | CSKA Moscou |
2013 | Stéphane Lasme | Panathinaïkos Athènes |
2014 | Bryant Dunston | Olympiakos |
2015 | Bryant Dunston | Olympiakos |
Meilleur espoir de l’Euroligue
Le trophée de meilleur espoir de l'Euroligue (Euroleague Rising Star) est attribué au meilleur joueur de 22 ans et moins. Il est décerné depuis la saison 2004-2005.
Année | Joueurs | Club(s) |
2005 | Erazem Lorbek | Climamio Bologne |
2006 | Andrea Bargnani | Benetton Trévise |
2007 | Rudy Fernández | Joventut Badalona |
2008 | Danilo Gallinari | Olimpia Milan |
2009 | Novica Veličković | KK Partizan Belgrade |
2010 | Ricky Rubio | FC Barcelone |
2011 | Nikola Mirotić | Real Madrid |
2012 | Nikola Mirotić | Real Madrid |
2013 | Kóstas Papanikoláou | Olympiakós Le Pirée |
2014 | Bogdan Bogdanović | Partizan Belgrade |
2015 | Bogdan Bogdanović | Fenerbahçe Ülker |
Notes et références
- ↑ (en) The Fifties: when it all began
- 1 2 (en) The Sixties: Real Madrid breaks through
- 1 2 (en) The Seventies: Varese dominates a decade
- 1 2 (en) The Eighties: Decade of the stars
- ↑ (en) The Nineties: a history Of European Club Champions
- ↑ (en) 1996 Final Four
- ↑ (en) BOLOGNA 2002: GREENS LIFT THIRD CROWN!
- ↑ (en) Barca ends 19 years of frustration!
- ↑ (en) TEL AVIV 2004: MACCABI BREAKS ALL RECORDS!
- ↑ (en) MOSCOW 2005: MACCABI WINS BACK-TO-BACK CROWNS
- ↑ (en) PRAGUE 2006: CSKA WINS AGAIN AFTER 35 YEARS
- ↑ (en) ATHENS 2007: THE GREENS WIN AT HOME
- ↑ (en) MADRID 2008: CSKA IS CHAMP AGAIN!
- ↑ (en) Euroleague changes, sur le site officiel de l'Euroligue
- ↑ http://www.lequipe.fr/Basket/breves2010/20100715_105711_turin-n-accueillera-pas-le-final-four.html
- ↑ EuroLeague ULEB 2001.
- ↑ (en) Alphonso Ford Top Scorer: Marc Salyers, Roanne
Voir aussi
Articles connexes
- 50 meilleurs contributeurs de l'Euroligue
- Euroligue féminine de basket-ball
Liens externes
- (en) Site de l'Euroleague
- (en) Site de l'ULEB
- (en) FIBA Europe
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