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Euroligue de basket-ball

Euroligue de basket-ball

Article connexe : Euroligue féminine de basket-ball.
ULEB Euroleague
Description de l'image Euroleague.gif.
Généralités
Sport Basket-ball
Création 1958
Organisateur(s) ULEB
Catégorie Plus haut niveau européen
Périodicité Annuelle
Lieu(x) Europe
Participants 24 équipes
Statut des participants Professionnel
Site web officiel

(en) Site officiel

Palmarès
Tenant du titre Real Madrid (9)
Plus titré(s) Real Madrid (9)

pour la compétition à venir voir :
Euroligue de basket-ball 2015-2016

L’Euroligue (ULEB Euroleague) ou actuellement Turkish Airlines Euroleague est la compétition de club de basket-ball la plus importante en Europe et regroupe 24 équipes. Cette compétition est semi-fermée. En effet, certains clubs ont une place assurée pendant quelques années. Un premier tour se déroule sous forme de championnat par groupes de 6 équipes, en match aller-retour. À l’issue de ce premier tour les 16 meilleures formations sont réparties dans 4 nouveaux groupes.

Jusqu’en 2004, les vainqueurs des 4 groupes étaient qualifiés pour le Final Four (finale à quatre). Désormais, les 4 premiers rencontrent les 4 deuxièmes en 1/4 de finale pour accéder au Final Four, qui se déroule dans une ville définie à l'avance.

Historique

La naissance de la Coupe des Champions

Le journal l'Équipe est généralement considéré comme l'initiateur de l'idée d'une compétition européenne des clubs. Des discussions se déroulent pendant le championnat d'Europe 1957 qui a lieu en Bulgarie. Ces discussions se déroulent au sein d'une commission regroupant le Yougoslave Borislav Stanković, l'Espagnol Raimundo Saporta, le Français Robert Busnel, le Tchécoslovaque Miloslav Kříž et le Soviétique Nikolaï Semachko.

Le résultat de cette commission est la création d'une compétition regroupant les clubs champions de leur championnat national. Le journal fournit le trophée pour la première édition, dont la finale se déroule en 1958, et qui regroupe 22 équipes. le club soviétique de ASK Riga est le premier vainqueur, battant en deux manches le représentant bulgare Academic Sofia[1]. Dès cette première édition, la politique internationale a des répercussions sur la compétition: lors des demi-finales, le Real Madrid n'est pas autorisé par Franco à se rendre en URSS. La FIBA déclare le club soviétique vainqueur de la série par 2 victoires à 0.

La deuxième édition voit de nouveau des événements extra sportifs décider du vainqueur: Simenthal Milan est déclaré vaincu en deux manches par le club égyptien de Gezira of Cairo. Cette décision de la FIBA fait suite au refus des italiens d'évoluer sur un terrain en extérieur en Égypte. La finale oppose les deux finalistes de la première édition, Riga et Sofia. Riga remporte les deux rencontres et conserve son trophée.

Lors de la troisième édition, un deuxième club soviétique est autorisé à participer à la compétition. C'est le club de Dinamo Tbilissi qui bénéficie de cette nouveauté. la finale voit s'opposer les deux clubs d'URSS, toujours au bénéfice du club de Riga qui remporte son troisième trophée consécutif.

La saison suivante, la FIBA trouve enfin une solution aux problèmes politiques. Les matchs posant problème sont ainsi disputé sur terrain neutre: c'est ainsi que le Real Madrid échoue en demi-finale face au club de Riga : le match aller, disputé à Paris, voit la victoire du club espagnol mais le club soviétique refait son retard lors du match retour à Prague et s'impose aisément, s'octroyant ainsi le droit de disputer sa quatrième finale consécutive. De nouveau, celle-ci oppose deux clubs d'URSS, le CSKA Moscou qui met un terme à la domination du club de Riga sur le basket-ball européen.

La saison suivante, la montée en puissance du Real sur la scène européenne se confirme : le club espagnol atteint la finale. Mais, de nouveau le club madrilène se voit confronter à des problèmes politiques, Franco refusant toujours de donner l'autorisation au Real de se rendre sur le sol soviétique pour affronter Tibilissi. Cet obstacle est finalement contourné par le versement de la somme de 200 000 dollars par le club espagnol au club soviétique afin que celui-ci accepte de disputer le titre sur une finale disputée sur une seule rencontre et sur terrain neutre. La rencontre se dispute finalement à Genève, Tbilissi, par sa victoire 90-83 confirmant la domination du basket-ball soviétique sur la scène européenne.

Le Real retrouve la finale lors de la saison suivante. Il se voit opposer à un autre club soviétique, le CSKA Moscou. La finale aller, disputée à Madrid, voit le Real prendre un avantage conséquent grâce à une victoire de 17 points. Le match retour est le premier d'un club espagnol sur le sol soviétique : Moscou remporte la partie mais surtout comble son retard, l'emportant également de 17 points. Une belle, disputée de nouveau à Moscou le lendemain du match retour donne le titre au CSKA[2].

Le Real remporte enfin son premier trophée dans cette compétition la saison suivante, en 1964. Il remporte la finale face au club tchèque de Spartak de Brno. Le Real grâce à une victoire de 20 points lors du match retour à Madrid comble son retard de 11 points. Lors de cette même saison, la compétition souffre de l'absence du CSKA Moscou, dont les joueurs composent la majorité de l'Équipe d'URSS. Or celle-ci a réquisitionné ces joueurs pour préparer la prochaine échéance olympique de Tokyo.

Le Real, en conservant son trophée lors de la saison suivante, confirme sa prise du pouvoir au sein du basket-ball européen. Cela est d'autant plus convaincant que les Madrilènes battent le CSKA de retour sur la scène européenne.

À partir de la saison suivante, la finale se dispute sur une seule rencontre. Celle-ci oppose deux équipes inédites à ce stade de la compétition, Simenthal Milan et le club du Slavia Prague. La finale disputée en Italie à Bologne, voit la victoire du club de Milan sur le score de 77 à 72.

Milan rejoint de nouveau la finale la saison suivante. Le club italien se voit opposer au Real. Celui a l'avantage d'évoluer à domicile, la finale se déroule à Madrid, et remporte son troisième titre sur le score de 91 à 83.

Dès la saison suivante, le Real enrichit son palmarès d'un quatrième titre en battant le Spartak de Brno.

Puis, en 1969, une nouvelle rencontre CSKA-Real figure au programme de la finale de Barcelone. Cette fois, le titre revient aux Soviétiques qui remportent la rencontre sur le score de 103 à 99 après une double prolongation[2].

Les années 1970-1980 : le grand Varèse

Ottorino Flaborea brandit le premier trophée de Varese en 1970.

La finale de 1970 à Sarajevo voit un nouveau venu, le club italien de Ignis Varèse atteindre le stade final de la compétition. Les Italiens se voient opposer un habitué des finales, le CSKA Moscou, mais remportent finalement leur premier trophée sur le score de 79-74[3].

Cette première victoire est le début de la domination du club italien sur le basket-ball européen. Varèse dispute dix finales consécutives, remportant au passage cinq titres. Le pivot italien Dino Meneghin dispute ces dix finales. L'un des principaux rivaux est le CSKA : celui-ci prend sa revanche lors de l'édition de 1971, puis perd en 1973[3].

En 1973, c'est le club yougoslave de Yugoplastika Split qui dispute le titre aux Italiens, ceux-ci l'emportant d'un seul point à Tel-Aviv.

L'autre grand rival de Varèse durant cette période est le Real. Les deux clubs se disputent le titre les trois finales suivantes, le Real remportant l'édition de 1974, Varèse les deux suivantes.

En 1977, un nouveau club s'inscrit au palmarès de la compétition : le Maccabi Tel-Aviv bat Varèse sur le score de 78 à 77.

Une nouvelle finale Real-Varèse figure au programme de l'édition 1978. Le Real remporte son sixième titre, devenant le club le plus titré de la compétition.

La finale de 1979 est la dernière finale de Varèse. Lors de celle-ci, le club italien échoue face au Bosna Sarajevo.

Le Real retrouve de nouveau le stade de la finale la saison suivante, rencontrant le Maccabi Tel-Aviv. Grâce à une victoire 89 à 85 à Berlin, le Real remporte son septième titre européen.

Les années 1980-1990

La saison suivante, le Maccabi arrive à remporter le titre face à un club italien, Sinudyne Bologne. C'est le début d'une domination du basket-ball italien sur le basket-ball européen. Les deux saisons suivantes, Cantu remporte le titre face au Maccabi puis face à un autre club italien Billy Milan[4]. C'est ensuite au tour de Banco di Roma d'ajouter son nom au palmarès, face au FC Barcelone.

Le Cibona Zagreb, avec Dražen Petrović, remporte les deux titres suivants, face au Real Madrid, club qu'il rejoint en 1986, et le Žalgiris Kaunas de l'autre star du basket-ball européen, Arvydas Sabonis. La confrontation entre les deux stars tourne à l'avantage de Petrović qui réussit 22 points alors que Sabonis reçoit cinq fautes lors de la première mi-temps.

L'année suivante, la finale voit s'affronter deux clubs habitués de ce stade de la compétition : les Italiens de Tracer Milan sont opposés aux Israéliens du Maccabi Tel-Aviv. Ces deux équipes ont terminé en tête de la poule de six au cours de laquelle la surprise est venue d'un tout petit village français, Orthez (8 000 habitants)[réf. nécessaire], qui a battu à domicile ses 5 concurrents mais aussi s'impose sur la parquet du Real de Madrid (95-87, avec en particulier 9 paniers à 3 points du meneur Freddy Hufnagel), échouant de peu à se qualifier pour la finale. La victoire est finalement remportée par les Italiens sur le score de 71 à 69.

À partir de la saison 1987-1988, la compétition se termine par un Final Four. La première édition de ce Final Four se déroule à Gand et voit s'affronter le Maccabi Tel-Aviv face au Partizan Belgrade d'une part, et Milan face à l'Aris Salonique d'autre part. Le Maccabi et Milan se qualifient pour la finale. Comme la saison précédente, le club italien remporte la rencontre[4].

Le Final Four de 1989 voit le club de Yugosplatika Split atteindre le Final Four. Les experts donnent peu de chance à cette équipe, composée de jeunes joueurs de pouvoir inscrire son nom au palmarès face à de grands clubs européens comme Barcelone, que Split doit rencontrer en demi-finale, ou les Grecs de Salonique de Níkos Gális qui rencontrent le Maccabi. Split se débarrasse de Barcelone puis remporte la finale face au Maccabi sur le score de 75-70.

L'équipe de Božidar Maljković, avec des individualités comme Toni Kukoč, Dino Rađa ou Velimir Perasović confirme dès la saison suivante, remportant le Final Four de Saragosse. En demi-finale Split élimine sèchement les Français de Limoges avant d'empêcher Barcelone de remporter pour la première fois cette compétition.

Les années 1990-2000

Malgré quelques départs, dont Rađa, Split se présente de nouveau au Final Four de 1991. Après avoir éliminé les Italiens de Pesaro, Split retrouve de nouveau Barcelone, qui a battu le Maccabi. Barcelone est dirigé par l'ancien entraîneur de Split Maljković, mais cela n'empêche pas ce dernier club de remporter son troisième titre consécutif. Cet exploit a seulement été réalisé par Riga dans le passé et n'a toujours pas été refait depuis.

Le basket-ball yougoslave remporte un quatrième titre avec la victoire du Partizan Belgrade au Final Four d'Istanbul. Ce dernier est d'autant plus remarquable que Belgrade, en raison des événements politiques en Yougoslavie, doit disputer toutes ses rencontres à domicile en dehors de la Yougoslavie. Le Partizan disputera finalement une seule rencontre à Belgrade, lors du quart de finale. Le club, grâce à ses deux arrières Predrag Danilović et Aleksandar Djordjević remporte la finale sur un dernier « jump shoot » à 3 points à la sirène de ce dernier.

Le Final Four de 1993 à Athènes voit Maljković emmener un troisième club, le CSP Limoges, à ce stade de la compétition. le Real Madrid échoue en demi-finale face aux Français, alors qu'un ancien joueur de Maljković, Kukoč, qualifie son club de Benetton Trévise dans l'autre demi-finale qui l'oppose au club grec de Salonique. Dans une finale hyper défensive, le CSP Limoges remporte le premier titre français dans cette compétition. Kukoč se console avec un troisième titre de MVP du Final Four.

L'année suivante, Željko Obradović, qui avait déjà remporté le titre avec le Partizan, remporte le titre avec le club espagnol de la Joventut Badalona face à l'Olympiakós le Pirée, premier club grec à atteindre la finale. Il remporte de nouveau la compétition l'année suivante avec un autre club espagnol, le Real Madrid, de nouveau face à l'Olympiakós. Le Real remporte son huitième titre, conduit sur le terrain par Arvydas Sabonis qui remporte le titre de MVP du Final Four[5].

L'année suivante voit un club grec s'inscrire pour la première fois au palmarès de l'épreuve. Cet honneur est réservé au Panathinaïkos, dirigé par Maljković qui remporte son quatrième titre, avec trois clubs différents. Ce dernier titre est toutefois l'objet d'une controverse, Stojko Vranković contrant à l'ultime seconde un dernier tir de Barcelone. Or, le ballon ayant auparavant touché le panneau, le panier aurait dû être accordé, ce qui aurait donné le titre aux Espagnols[6]

Le basket-ball grec assoit sa domination sur la scène européenne avec la victoire des rouges de l'Olympiakos en 1997. Le club grec élimine Union Olimpija en demi-finale puis le FC Barcelone sur le score sans appel de 73 à 58. Cette édition est la première où la compétition porte le nom d'Euroligue.

Le club italien de Kinder Bologne, dirigé par Ettore Messina, qui a dominé la phase régulère, ajoute un nouveau nom au palmarès de la compétition en 1998.

L'année suivante, c'est la club lituanien de Žalgiris Kaunas qui empêche le club d'Ettore Messina de réaliser le doublé.

En 2000, le final four de l'Euroligue se dispute en Grèce, à Thessalonique. Le Panathinaïkós y remporte son 2e titre européen en venant à bout du Maccabi Tel-Aviv (73-67).

La bataille FIBA - ULEB

En 2000, un nouvel organisme prend de l'ampleur : l'ULEB. Celui-ci, qui est une association des ligues professionnelles européennes, se plie bien souvent à la volonté de la plupart des très grands clubs européens, plus particulièrement les italiens et les espagnols. Cette ligue, indépendante de la FIBA, crée pour la saison 2000-2001 une nouvelle compétition, l'Euroligue.

Celle-ci verra la victoire du Kinder Bologne tandis que la compétition toujours organisée par la FIBA, la Suproligue, verra la victoire du Maccabi Tel-Aviv.

La compétition est depuis lors coorganisée par la FIBA bien que ce soit l’ULEB qui en soit majoritairement représentative, au point que l'on appelle parfois la compétition ULEB Euroleague.

Les années 2000

Après la saison 2000-2001 avec deux compétitions majeures, le retour à une compétition unique voit les clubs du Panathinaïkos, du Maccabi, du Benetton Trévise et le Kinder Bologne atteindre le Final Four de Bologne. Le Panathinaïkos remporte la finale face à Bologne[7]. Željko Obradović devient l'entraîneur le plus titré dans la compétition majeure en Europe en remportant son cinquième titre.

Le Final Four de 2003 se déroule à Barcelone. Le club local, dirigé par Dejan Bodiroga, en profite pour inscrire enfin son nom au palmarès. Les Catalans battent le CSKA Moscou en demi-finale, puis le Benetton Trévise en finale sur le score de 76 à 65[8].

Tel-Aviv est le club hôte du Final Four de 2004. Le Maccabi parvient à se qualifier pour celui-ci. En demi-finale, il élimine le CSKA puis écrase la Fortitudo Bologne en finale[9].

Le Panathinaikos, lors de l'Euroligue 2007-08

La saison suivante, certains estiment que le CSKA Moscou va remporter la compétition, d'autant plus que le Final Four se déroule à Moscou. Mais les Espagnols de Tau Vitoria éliminent le club russe en demi-finale avant d'échouer en finale face au Maccabi qui réalise le doublé, ce qui n'a plus été réalisé depuis les victoires de Split[10].

En 2006, Molten est choisi pour réaliser le ballon officiel de la compétition. Le CSKA Moscou prend sa revanche en remportant cette édition, mettant fin aux espoirs du Maccabi de réaliser le triplé[11].

Le CSKA Moscou est de nouveau au rendez-vous du Final Four en 2007, Final Four qui a lieu dans la salle du Panathinaïkos. Celui-ci, dirigé par Željko Obradović, remporte la finale face au CSKA Moscou sur le score de 93-91[12].

Le Final Four 2008 de Madrid abrite les festivités commémorant le cinquantenaire de la compétition, voit le CSKA Moscou d'Ettore Messina reprendre son trophée en triomphant du Maccabi[13].

2009 marque l'année de la domination du Panathinaïkos en remportant son cinquième titre en finale face au CSKA Moscou (73-71).

Format de la compétition

Les 24 équipes sont regroupées en 3 poules, appelées Poule A, Poule B et Poule C. Au terme de la saison régulière (les 8 équipes de chaque groupe s'affrontent toutes 2 fois, 1 à la maison, 1 à l'extérieur), les 5 premiers de chaque poule sont qualifiés ainsi que le meilleur sixième (le meilleur bilan de victoires ou de défaites).

Le « Top16 » regroupe 4 poules de 4 où, encore une fois, chaque équipe joue toutes les équipes de sa poule deux fois. Au terme de ces rencontres, les 2 premiers de chaque poule vont en quart de finale.

Les quarts de finale se jouent au meilleur des 3 manches, c'est-à-dire l'équipe qui atteint 2 victoires. Les équipes qui ont terminé à la première place de leur groupe rencontre une équipe ayant terminé deuxième. Elle a de plus l'avantage de disputer la troisième rencontre, si celle-ci s'avère nécessaire, à domicile.

Puis, sur un terrain désigné avant la saison, se déroule le Final Four : c'est-à-dire les demi-finales et finales en 3 jours. Celui qui gagne sa demi-finale et la finale remporte l'Euroligue.

Format actuel

À compter de la saison 2008-09, l'ULEB propose un nouveau format, changement qui se traduit par[14] :

  • un premier tour de quatre groupes de six équipes au lieu de trois groupes de huit équipes, les années précédentes. Cela réduit le nombre de rencontres de la phase régulière de 14 à 10.
  • depuis la saison 2012-2013, le top 16 est passé de 4 poules de 4 à 2 poules de 8.
  • les quarts de finale se déroulent sous la forme de série disputée au meilleur des cinq rencontres, et non plus au meilleur des trois matchs comme les quatre dernières saisons.
  • le Final Four est conservé.

Palmarès

Année Lieu de la finale Vainqueur Finaliste 1re manche 2e manche 3e manche 4e manche 5e manche
Coupe d’Europe des clubs champions : finale en 2 manches aller-retour
1958 - ASK Riga (1) Academic Sofia *86-81 84-*71 -
1959 - ASK Riga (2) Academic Sofia *79-58 69-*67-
1960 - ASK Riga (3) Dinamo Tbilisi 61-*51 *69-62 -
1961 - CSKA Moscou (1) ASK Riga *61-6687-*62 -
1962 Genève Dinamo Tbilissi (1) Real Madrid 90-83 -
1963 - CSKA Moscou (2) Real Madrid 69-*86*91-74*99-80 -
1964 - Real Madrid (1) Spartak Brno 99-*110*84-64 -
1965 - Real Madrid (2) CSKA Moscou 81-*88*76-62 -
Coupe d’Europe des clubs champions : finale à 4 (Final Four)
1966 Bologne Olimpia Milan (1) Slavia Prague 77-72 -
1967 Madrid Real Madrid (3) Olimpia Milan 91-83 -
Coupe d’Europe des clubs champions : finale en 1 manche sèche
1968 Lyon Real Madrid (4) Spartak Brno 98-95 -
1969 Barcelone CSKA Moscou (3) Real Madrid 103-99 (a.2p.) -
1970 Sarajevo Ignis Varèse (1) CSKA Moscou 79-74 -
1971 Anvers CSKA Moscou (4) Ignis Varèse 67-53 -
1972 Tel-Aviv Ignis Varèse (2) Jugoplastika Split 70-69 -
1973 Liège Ignis Varèse (3) CSKA Moscou 71-66 -
1974 Nantes Real Madrid (5) Ignis Varèse 84-82 -
1975 Anvers Ignis Varèse (4) Real Madrid 79-66 -
1976 Genève Mobilgirgi Varèse (5) Real Madrid 81-74 -
1977 Belgrade Maccabi Tel-Aviv (1) Mobilgirgi Varèse 78-77 -
1978 Munich Real Madrid (6) Mobilgirgi Varèse 75-67 -
1979 Grenoble Bosna Sarajevo (1) Emerson Varèse 96-93 -
1980 Berlin Real Madrid (7) Maccabi Tel-Aviv 89-85 -
1981 Strasbourg Maccabi Tel-Aviv (2) Synudine Bologne 80-79 -
1982 Cologne Squibb Cantù (1) Maccabi Tel-Aviv 86-80 -
1983 Grenoble Ford Cantù (2) Olimpia Milan 69-68 -
1984 Genève Banco di Roma (1) FC Barcelone 79-73 -
1985 Athènes Cibona Zagreb (1) Real Madrid 87-78 -
1986 Budapest Cibona Zagreb (2) Žalgiris Kaunas 94-82 -
1987 Lausanne Olimpia Milan (2) Maccabi Tel-Aviv 71-69 -
Coupe d’Europe des clubs champions : retour au Final Four
1988 Gand Olimpia Milan (3) Maccabi Tel-Aviv 90-84 -
1989 Munich Jugoplastika Split (1) Maccabi Tel-Aviv 75-69 -
1990 Saragosse Jugoplastika Split (2) FC Barcelone 72-67 -
Ligue des champions d’Europe
1991 Paris Pop 84 Split (3) FC Barcelone 70-65 -
1992 İstanbul Partizan Belgrade (1) Joventut de Badalone 71-70 -
1993 Athènes CSP Limoges (1) Benetton Trévise 59-55 -
1994 Tel-Aviv Joventut de Badalone (1) Olympiakós Le Pirée 59-57 -
1995 Saragosse Real Madrid (8) Olympiakós Le Pirée 73-61 -
1996 Paris Panathinaïkós Athènes (1) FC Barcelone 67-66 -
Euroligue
1997 Rome Olympiakós Le Pirée (1) FC Barcelone 73-58 -
1998 Barcelone Kinder Bologne (1) AEK Athènes 58-44 -
1999 Munich Žalgiris Kaunas (1) Kinder Bologne 82-74-
2000 Thessalonique Panathinaïkós Athènes (2) Maccabi Tel-Aviv 73-67 -
Euroligue (ULEB) et Suproligue (FIBA Europe)
2001 Paris Maccabi Tel-Aviv (3) Panathinaïkós Athènes 81-67 -
  Kinder Bologne (2) Tau Vitoria *68-85*94-7380-*6079-*96*82-74
ULEB Euroligue
2002 Bologne Panathinaïkós Athènes (3) Kinder Bologne 89-83
2003 Barcelone FC Barcelone (1) Benetton Trévise 76-65
2004 Tel-Aviv Maccabi Tel-Aviv (4) Skipper Bologne 118-74
2005 Moscou Maccabi Tel-Aviv (5) Tau Vitoria 90-78
2006 Prague CSKA Moscou (5) Maccabi Tel-Aviv 73-69
2007 Athènes Panathinaïkós Athènes (4) CSKA Moscou 93-91
2008 Madrid CSKA Moscou (6) Maccabi Tel-Aviv 91-77
2009 Berlin Panathinaïkós Athènes (5) CSKA Moscou 73-71
2010 Paris FC Barcelone (2) Olympiakós Le Pirée 86-68
2011 Barcelone[15] Panathinaïkós Athènes (6) Maccabi Tel-Aviv78-70
2012 Istanbul Olympiakós Le Pirée (2) CSKA Moscou62-61
2013 Londres Olympiakós Le Pirée (3) Real Madrid 100-88
2014 Milan Maccabi Tel-Aviv (6) Real Madrid 98-86ap
2015 Madrid Real Madrid (9) Olympiakós Le Pirée 78-59

Lors des finales à plusieurs manches, le signe * précède le score de l’équipe jouant à domicile.

Bilan

Bilans par club

Rang Équipe Titres Finales Années des victoires
1 Real Madrid98 1964, 1965, 1967, 1968, 1974, 1978, 1980, 1995, 2015
2 Maccabi Tel-Aviv69 1977, 1981, 2001, 2004, 2005, 2014
3 CSKA Moscou66 1961, 1963, 1969, 1971, 2006, 2008
4 Panathinaïkós Athènes61 1996, 2000, 2002, 2007, 2009, 2011
5 Pallacanestro Varese55 1970, 1972, 1973, 1975, 1976
6 Olympiakós Le Pirée34 1997, 2012, 2013
7 Olimpia Milan32 1966, 1987, 1988
8 ASK Riga31 1958, 1959, 1960
KK Split31 1989, 1990, 1991
10 FC Barcelone25 2003, 2010
11 Virtus Bologne23 1998, 2001
12 Pallacanestro Cantù20 1982, 1983
Cibona Zagreb20 1985, 1986
14 Dinamo Tbilissi11 1962
Joventut Badalona11 1994
Žalgiris Kaunas11 1999
17 Bosna Sarajevo10 1979
Virtus Rome10 1984
Partizan Belgrade10 1992
CSP Limoges10 1993
21 Academic Sofia02
BC ŽS Brno02
Benetton Trévise02
Tau Vitoria02
25 Slavia Prague01
AEK Athènes01
Fortitudo Bologne01

Bilan par pays

Rang Pays Titres Finales perdues
1  Italie1313
2  Espagne1215
3  Grèce95
4  Israël 6 9
5  Russie 6 6
6 Croatie51
7 Lettonie31
8  Lituanie11
- Géorgie11
- Bosnie-Herzégovine10
-  France10
- Serbie10
13 République tchèque03
14 Bulgarie02

Statistiques

  • Plus grand nombre de victoires en finale : 9 Real Madrid
  • Plus grand nombre de titres consécutifs : 3 / ASK Riga de 1958 à 1960 et / Jugoplastika Split de 1989 à 1991
  • Plus grand nombre de participations à une finale : 17 Real Madrid
  • Plus grand nombre de participations consécutives : 30 Élan béarnais de 1978 à 2008
  • Plus grand nombre de finales consécutives (gagnées et perdues) : 10 Pallacanestro Varese de 1970 à 1979
  • Nombre de finales opposant deux équipes du même pays : 1 Ford Cantù - Olimpia Milan en 1983

Bilans par entraîneur

  • 8 victoires :
    • Željko Obradović (1992, 1994, 1995, 2000, 2002, 2007, 2009, 2011)
  • 4 victoires :
    • Božidar Maljković (1989, 1990, 1993, 1996)
    • Aleksandr Gomelsky (1958, 1959, 1960 et 1974)
    • Pedro Ferrándiz (1965, 1967, 1968 et 1974).
    • Ettore Messina (1998, 2001[16], 2006 et 2008)
  • 3 victoires :
    • Aleksandar Nikolić (1970, 1972, 1973)
  • 2 victoires :
    • Dusan Ivković 1997, 2012,

Récompenses individuelles

Un certain nombre de récompenses individuelles sont décernées. Des titres de MVP de la semaine et du mois sont attribués au cours de la saison. Le meilleur joueur de la saison et le MVP du Final Four sont désignés en fin de saison. D'autres trophées existent, comme le trophée Alphonso Ford ou le trophée Aleksandr Gomelsky.

MVP de l’Euroligue

Le trophée de MVP de l'Euroligue (All-Euroleague MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours de la saison régulière, du Top 16 et des playoffs. Il est attribué depuis la saison 2004-2005.

Année Joueurs Club
2005 Anthony Parker Maccabi Tel-Aviv
2006 Anthony Parker Maccabi Tel-Aviv
2007 Theódoros Papaloukás CSKA Moscou
2008 Ramūnas Šiškauskas CSKA Moscou
2009 Juan Carlos Navarro FC Barcelone
2010 Miloš Teodosić Olympiakós Le Pirée
2011 Dimítris Diamantídis Panathinaïkos
2012 Andreï Kirilenko CSKA Moscou
2013 Vassílis Spanoúlis Olympiakós Le Pirée
2014 Sergio Rodríguez Real Madrid
2015 Nemanja Bjelica Fenerbahçe Ülkerspor

MVP de la saison régulière de l’Euroligue

Le trophée de MVP de la saison régulière de l'Euroligue (Euroleague Regular Season MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours de la saison régulière. Il est décerné pour la première fois lors de la saison 2000-2001 et pour la dernière fois lors de la saison 2003-2004. Il est remplacé par le trophée de MVP de l'Euroligue à compter de la saison 2004-2005.

Année Joueurs Club
2001 Nate Huffman Maccabi Tel-Aviv (Suproligue)
2001 Dejan Tomašević KK Budućnost Podgorica (Euroligue ULEB)
2002 Mirsad Türkcan CSKA Moscou
2003 Joseph Blair Ülker İstanbul
2004 Arvydas Sabonis Žalgiris Kaunas

MVP du Top 16 de l’Euroligue

Le trophée de MVP du Top 16 de l'Euroligue (Euroleague Top 16 MVP) est attribué au joueur ayant réalisé les meilleures performances au cours du Top 16. Il est décerné pour la première fois lors de la saison 2001-2002 et pour la dernière fois lors de la saison 2003-2004. Il est remplacé par le trophée de MVP de l'Euroligue à compter de la saison 2004-2005.

Année Joueurs Club
2002 Dejan Bodiroga Panathinaïkós Athènes
2003 Mirsad Türkcan Montepaschi Sienne
2004 Arvydas Sabonis Žalgiris Kaunas

MVP du Final Four de l’Euroligue

Depuis l'instauration du Final Four, le trophée de MVP du Final Four de l'Euroligue (Euroleague Final Four MVP) est attribué au meilleur joueur du Final Four.

Toni Kukoč est le seul joueur à avoir obtenu ce titre à trois reprises, deux avec le club de Split et une fois avec le club italien de Benetton Trévise. Ce dernier est obtenu malgré la défaite en finale face au club français du CSP Limoges.

Le Serbe Dejan Bodiroga a pour sa part obtenu deux titres consécutifs et avec deux clubs différents, d'abord sous les couleurs du Panathinaikos puis avec le FC Barcelone.

Année Joueurs Club
1988 Bob McAdoo Tracer Milan
1989 Dino Rađa Jugoplastika Split
1990 Toni Kukoč Jugoplastika Split
1991 Toni Kukoč Pop 84 Split
1992 Predrag Danilović KK Partizan Belgrade
1993 Toni Kukoč Benetton Trévise
1994 Žarko Paspalj Olympiakós Le Pirée
1995 Arvydas Sabonis Real Madrid
1996 Dominique Wilkins Panathinaïkós Athènes
1997 David Rivers Olympiakós Le Pirée
1998 Zoran Savić Kinder Bologne
1999 Tyus Edney Žalgiris Kaunas
2000 Željko Rebrača Panathinaïkós Athènes
2001 Ariel McDonald Maccabi Tel-Aviv (FIBA Suproligue)
2001 Emanuel Ginóbili Kinder Bologne (ULEB Euroligue)
2002 Dejan Bodiroga Panathinaïkós Athènes
2003 Dejan Bodiroga FC Barcelone
2004 Anthony Parker Maccabi Tel-Aviv
2005 Šarūnas Jasikevičius Maccabi Tel-Aviv
2006 Theódoros Papaloukás CSKA Moscou
2007 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2008 Trajan Langdon CSKA Moscou
2009 Vassílis Spanoúlis Panathinaïkós Athènes
2010 Juan Carlos Navarro FC Barcelone
2011 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2012 Vassílis Spanoúlis Olympiakós Le Pirée
2013 Vassílis Spanoúlis Olympiakós Le Pirée
2014 Tyrese Rice Maccabi Tel Aviv

Trophée Alphonso Ford

Le trophée Alphonso Ford récompense le meilleur marqueur par match de la saison d'Euroligue. Toutefois, pour obtenir le trophée, le joueur doit participer à au moins 50 % d'un total de matches défini ainsi : phase régulière, Top 16 et play-off.

Ce trophée porte ce nom en mémoire du joueur Alphonso Ford qui a été meilleur marqueur en 2001 et 2002 et qui est décédé de leucémie en 2004 [17].

Année Joueurs Club(s)
2005 Charles Smith Scavolini Pesaro
2006 Drew Nicholas Benetton Trévise
2007 Igor Rakočević Tau Vitoria
2008 Marc Salyers Chorale Roanne Basket
2009 Igor Rakočević Tau Vitoria
2010 Linas Kleiza Olympiakós Le Pirée
2011 Igor Rakočević Efes Pilsen
2012 Bo McCalebb Montepaschi Siena
2013 Bobby Brown Montepaschi Siena
2014 Keith Langford Olimpia Milan
2015 Taylor Rochestie BK Nijni Novgorod

Meilleur défenseur de l’Euroligue

Le trophée de meilleur défenseur de l'Euroligue (Euroleague Best Defender) est attribué au joueur ayant réussi les meilleures performances défensives au cours de la saison, jusqu'au Final Four. Il est décerné depuis la saison 2004-2005.

Année Joueurs Club(s)
2005 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2006 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2007 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2008 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2009 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2010 Viktor Khryapa CSKA Moscou
2011 Dimítris Diamantídis Panathinaïkós Athènes
2012 Andreï Kirilenko CSKA Moscou
2013 Stéphane Lasme Panathinaïkos Athènes
2014 Bryant Dunston Olympiakos
2015 Bryant Dunston Olympiakos

Meilleur espoir de l’Euroligue

Le trophée de meilleur espoir de l'Euroligue (Euroleague Rising Star) est attribué au meilleur joueur de 22 ans et moins. Il est décerné depuis la saison 2004-2005.

Année Joueurs Club(s)
2005 Erazem Lorbek Climamio Bologne
2006 Andrea Bargnani Benetton Trévise
2007 Rudy Fernández Joventut Badalona
2008 Danilo Gallinari Olimpia Milan
2009 Novica Veličković KK Partizan Belgrade
2010 Ricky Rubio FC Barcelone
2011 Nikola Mirotić Real Madrid
2012 Nikola Mirotić Real Madrid
2013 Kóstas Papanikoláou Olympiakós Le Pirée
2014 Bogdan Bogdanović Partizan Belgrade
2015 Bogdan Bogdanović Fenerbahçe Ülker

Notes et références

  1. (en) The Fifties: when it all began
  2. 1 2 (en) The Sixties: Real Madrid breaks through
  3. 1 2 (en) The Seventies: Varese dominates a decade
  4. 1 2 (en) The Eighties: Decade of the stars
  5. (en) The Nineties: a history Of European Club Champions
  6. (en) 1996 Final Four
  7. (en) BOLOGNA 2002: GREENS LIFT THIRD CROWN!
  8. (en) Barca ends 19 years of frustration!
  9. (en) TEL AVIV 2004: MACCABI BREAKS ALL RECORDS!
  10. (en) MOSCOW 2005: MACCABI WINS BACK-TO-BACK CROWNS
  11. (en) PRAGUE 2006: CSKA WINS AGAIN AFTER 35 YEARS
  12. (en) ATHENS 2007: THE GREENS WIN AT HOME
  13. (en) MADRID 2008: CSKA IS CHAMP AGAIN!
  14. (en) Euroleague changes, sur le site officiel de l'Euroligue
  15. http://www.lequipe.fr/Basket/breves2010/20100715_105711_turin-n-accueillera-pas-le-final-four.html
  16. EuroLeague ULEB 2001.
  17. (en) Alphonso Ford Top Scorer: Marc Salyers, Roanne

Voir aussi

Articles connexes

  • 50 meilleurs contributeurs de l'Euroligue
  • Euroligue féminine de basket-ball

Liens externes

  • (en) Site de l'Euroleague
  • (en) Site de l'ULEB
  • (en) FIBA Europe


  • Portail du basket-ball
  • Portail de l’Europe
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