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Sociobiologie

Sociobiologie

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Figures comparées d'homme et de cochon, 1820[note 1].

La sociobiologie est, en sciences du vivant, l'étude des bases biologiques présumées des comportements sociaux répertoriés dans le règne animal. En sa qualité de synthèse, elle fait appel à un vaste rassemblement des savoirs sur l'évolution des espèces. De la sélection naturelle à la coévolution gène-culture, en passant par l'eusocialité, l'effet Westermarck, l'altruisme réciproque, la consilience, entre autres, la sociobiologie interpelle tant les sciences de la vie que les sciences exactes, humaines et sociales.

De la molécule d'ADN à la cellule vivante.

Née aux États-Unis, dans les années 1970, la sociobiologie a pour mauvaise fortune de raviver des guerres d'idées d'une extrême intensité. Les hostilités à la fois les plus vivaces et les plus universelles portent sur la théologie, l'eugénisme, le nazisme, le racisme, l'élitisme et le sexisme.

Après la seconde guerre mondiale, suivie de la participation des États-Unis à la guerre du Viêt Nam, les tensions sociales se traduisent par des rafales de contestations populaires. En 1969, le groupe Science for the People suivi en 1975 du Sociobiology Study Group (en) puis du ralliement Sociobiology Study Group of Science for the People (en) se forment. Ce dernier est revendiqué par des experts, académiciens et étudiants rattachés de près et de loin à l'Université Harvard où enseigne le professeur Edward Osborne Wilson, chef de file de la sociobiologie. Des théoriciens aujourd'hui réputés, tels que des Gould, Lewontin et Sahlins, ont tôt fait de se liguer contre son schéma explicatif dont ils dénoncent les effets pervers tant socio-politiques que scientifiques.


Au XXIe siècle, après bientôt cinquante ans d'existence, il arrive encore que la sociobiologie et son fondateur subissent des affrontements cuisants. Certaines disciplines, dont l'écologie comportementale par exemple, tendent à s'en dissocier pour cause de réputation contaminée. Certains épistémologues et historiens des sciences humaines et sociales, ainsi que des anthropologues, biologistes et généticiens, continuent de fustiger la sociobiologie en raison de différends dans l'approche et la méthodologie.

Il existe sans conteste différentes lectures de la sociobiologie. Cet éventail de points de vue appelle une analyse plurielle de sa valeur scientifique. En ce début de XXIe siècle, la sociobiologie loge à l'enseigne des sciences de la vie. Elle tend à s'intégrer aux sciences humaines et sociales. La sociobiologie en tant que science sollicite et accepte par avance toute critique susceptible d'enrichir la matière par un éclairage d'appoint.

Origine du concept

En France et aux États-Unis, le néologisme « sociobiologie », en anglais « sociobiology », est rencontré sous différentes formes et graphies vers la fin du XIXe siècle.

En France, à partir des années 1890, apparaissent les occurrences « sociologie biologique », « bio-sociologie », « socio-biologie » et « biosociologie » [2]. La proche occurrence « socio-biologie » est utilisée dans le titre de trois études du médecin Georges Auguste Morache, en 1902, 1904 et 1906[3],[4],[5]. Ces notions font l'objet de querelles récurrentes : « Le procès de la Sociologie biologique est encore pendant. Tous les ans, à son sujet, le Congrès International de l'Institut de Sociologie ramène les mêmes réquisitoires et les mêmes plaidoyers » [6]
Aux États-Unis, le mot « sociobiologie » dans sa graphie des XXe et XXIe siècles surgit, ici et là, par intermittence. Environ une dizaine d'auteurs scientifiques y font appel depuis les années 1940, bien que sans définition ni correspondance sémantique établies[7],[8],[9].

En 1971, le biologiste myrmécologue Edward Osborne Wilson, professeur à l'Université Harvard du Massachusetts aux États-Unis, s'approprie le mot « sociobiologie ». À ce moment-là, il le mute en concept pour désigner et développer une nouvelle science qui porte, depuis, le nom de sociobiologie[10],[2].

Mise en perspective

Article connexe : Histoire de la pensée évolutionniste.

La sociobiologie est pressentie aux États-Unis au sortir de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Après un période d'incubation, elle finit par voir le jour dans les années 1970-1980 dans un climat de rébellion populaire dû à la participation active des États-Unis à la Guerre du Viêt Nam [11].

Durant cette période, une explosion de l'intérêt pour les sciences éclate au pays[12],[13]. D'où une fragmentation grandissant des connaissances [14]. En sciences de la vie, le fourmillement des idées et les résultats de recherches fusent tantôt de sciences attestées, comme la biologie et la génétique, et tantôt en voie de l’être, comme la paléogénétique et la biogéographie insulaire, pour ne citer que ces exemples[15].

À l'instar de la physique, de la chimie et des mathématiques, les répercussions de cet engouement rejoignent toutes les branches de la biologie, notamment la biologie moléculaire et la génétique des populations [16]. Du côté des sciences humaines et sociales, un morcellement concomitant des connaissances se fait sentir[note 2],[17] :

« Les sciences sociales progressent vers une spécialisation croissante qui entraîne une fragmentation des disciplines formelles. Les spécialités se recombinent, créant de nouveaux domaines hybrides. Comme ce ne sont pas des disciplines entières qui se croisent, la notion d'interdisciplinarité apparaît comme fallacieuse. Les innovations scientifiques se produisent aux intersections entre les spécialités, et en conséquence la notion de paradigme ne semble pas appropriée pour les sciences sociales. Ce processus est décrit pour cinq disciplines classiques : histoire, géographie, science politique, sociologie et science économique[15]. »

Depuis les années 1950, zoologie, éthologie, sociologie, anthropologie, écologie comportementale, génétique des populations, mathématiques, physique, chimie et philosophie des sciences composent le paysage scientifique de la sociobiologie en devenir. Mais une dégradation de la cohérence d’ensemble pourrait freiner l'avancement des sciences et en favoriser les dérives[18]. La nécessité de regrouper les expertises pour en faire la synthèse semble s'imposer à l'esprit scientifique, comme le dit Wilson « C'était dans l'air du temps »[18].

Qu'est-ce que la sociobiologie ?

Plusieurs ambiguïtés soulevées par la sociobiologie au regard de la science appellent quelques pistes de réflexion. D'abord, la sociobiologie n'est ni une science exacte, ni un courant de pensée révolutionnaire rappelle souvent la communauté scientifique. Plus précisément, explique le Pr James D. Cadien[19] :

« À plusieurs égards, la sociobiologie ne constitue pas une révolution. Elle s'établit sur les principes de base qui remontent aux années 1700 avec Érasme Darwin, puis à la naissance de la biologie et du transformisme avec Lamarck, et à l'élaboration du principe de sélection naturelle avec Darwin et Wallace[20]. » Bref, de clarifier Pierre Jaisson, réputé sociobiologiste français, la « sociobiologie n’est pas une idéologie. Ce n’est pas non plus une théorie[21]. »
À l'heure actuelle, soit en 2016 , une multitude de disciplines scientifiques étudient les comportements sociaux des humains dans le cadre de la théorie moderne de l'évolution[note 3],[note 4]. Les éléments spécialisés qui les distinguent de la sociobiologie ne sont pas abordés dans cet article[note 5].

Par ailleurs, un rappel avisé du généticien Horowitz semble incontournable. Il souligne que la science s'est développée à une rapidité telle depuis les années 1900 que les histoires des sciences sont souvent rédigées du vivant des chercheurs. De surcroît, plusieurs de ceux-ci sont encore actifs[25]. Or, à ce propos justement, le chef de file de la sociobiologie, Edward Osborne Wilson (85 ans en 2015), poursuit allègrement son parcours de savant, professeur, chercheur, auteur, conférencier, vulgarisateur. Ces activités l'amènent à réviser et modifier, sur une base permanente, les fondements et les éléments théoriques de la sociobiologie[26].

Il serait donc prématuré de prendre pour acquises les définitions formulées depuis les années 1970 par son fondateur, ses adhérents et par la relève. La rapidité des découvertes scientifiques survenues depuis appelle un ajustement constant des hypothèses et des concepts mis à l'épreuve en sciences, a fortiori en sociobiologie, étant donné son déploiement transversal[27].

Définition de base

Wilson commence à exposer les bases de la sociobiologie en 1971 dans son ouvrage, pour ainsi dire fondateur, The Insect Societies[28]. L'auteur y révèle vouloir créer, sous le nom de « sociobiologie », une nouvelle discipline scientifique[29]. Sachant que ce mot est déjà connu dans l'univers académique, il rapporte l'avoir choisi dans le but d'éviter la confusion et, par là, faciliter l'acceptation par ses pairs de sa nouvelle démarche[30]. C'est donc sans équivoque qu'il attribue le titre de « The Prospects for a unified Sociobiology » au dernier chapitre de projet. Wilson y expose une première description de la sociobiologie, de ses enjeux et de sa fécondité attendue[31].

Puis, en 1975, il en officialise l'envol. Dans la publication de son nouvel ouvrage au titre annonciateur Sociobiology : The New Synthesis, il confère d'office à la sociobiologie le double statut de science et de synthèse. Il en produit alors une définition sommaire : « la sociobiologie est l'étude systématique des bases biologiques de tous les comportements sociaux »[32].

En 1978, dans son ouvrage « Sociobiology : On human Nature » , Wilson précise que la sociobiologie doit être considérée comme une « extension de la biologie des populations et de la théorie de l'évolution aux organisations sociales ». Il ajoute ce qu'il conçoit comme étant le rôle de la sociobiologie dans l'univers de la biologie : « la sociobiologie est une branche importante de la biologie comportementale, laquelle devrait être reliée à la biologie des populations »[33].

Problématique

En sciences de la vie, plusieurs biologistes, généticiens et mathématiciens s'intéressent de près aux mécanismes de l'évolution. Ainsi en va-t'il de la sociobiologie. L'évolution des espèces y est abordée sous l'angle de la biologie. La question à l'examen porte sur ce qui serait le moteur principal ainsi que sur les autres facteurs attribuables et reliés à l'évolution. Pour le dire plus simplement, c'est-à-dire à la manière du biologiste Yves Christen[34] dans son ouvrage « L'heure de la sociobiologie » ainsi que résumée par l'analyste Laurent Dobuzinskis :

« l’hypothèse centrale de la sociobiologie consiste en ceci que les comportements animaux (et humains) ont une origine génétique et donc qu’ils résultent des effets de la sélection naturelle; « autrement dit, la sociobiologie étudie comment des comportements peuvent assurer aux individus qui les possèdent de meilleures chances de succès évolutif [34] ». Les comportements répondant à cette définition sont ceux qui permettent à un individu de réaliser la pérennité de son capital génétique[35]. »

Altruisme

Le casse-tête de l'altruisme, de longue date soulevé par Darwin et Wallace (1858-1859), reste d'actualité (2015)
Il se résume, pour l'essentiel, en ces termes :

« Comment l'altruisme, lequel par définition diminue la capacité d'adaptation, peut-il possiblement évoluer par sélection naturelle ? [trad 1] ,[note 6] »


L'élément principal à retenir porte sur le mot « altruisme » lui-même. Ici, le problème majeur consiste à rencontrer ce mot dans le vocabulaire courant et savoir spontanément ce qu'il veut dire. Or, utilisé dans le cadre de la biologie ce mot est tout à fait différent et de portée particulière. Cela étant, reste donc à développer la profondeur et l'étendue de la problématique, sa signification concrète ou hypothétique, diversement envisagée par tel et tel chercheur scientifique.

Modèles empiriques

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Cadre théorique

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Méthodologie

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Démarche heuristique

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Trajectoire de la sociobiologie

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Interrelations

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Notes et références

Notes

  1. Illustration par Charles Lebrun d'une considération physiognomoniste de Giambattista della Porta rapportée par Gaspard Lavater[1].
  2. « Les sciences humaines et sociales contemporaines vivent un double processus de dispersion de leurs travaux : un découpage disciplinaire qui fait que certaines disciplines s’occupent prioritairement de dimensions spécifiques du monde social (l’économie, la politique, le droit, l’éducation, la vie psychique, la langue, l’art, la religion, etc.) et un découpage sous-disciplinaire qui prend la forme d’une hyper-spécialisation (e.g. sociologie urbaine, sociologie de l’éducation, sociologie des sciences, sociologie de la culture, sociologie de l’art, sociologie politique, sociologie des religions, etc.)... Les chercheurs eux-mêmes finissent par perdre complètement le sens des totalités sociales et des liens d’interdépendance qui existent entre des domaines différents de la pratique et découpent l’acteur individuel en autant d’improbables et abstraits homo œconomicus, juridicus, politicus, psychiatricus, linguisticus, etc. Ils se trouvent, du même coup, dans l’incapacité de fournir aux lecteurs non spécialistes une image un tant soit peu claire de la société dans laquelle ils vivent »[15].
  3. Notamment en anthropologie évolutive, écologie comportementale, éthologie évolutive, biologie de l'évolution, génétique des populations, sociologie de l'évolution, philosophie éthique, philosophie morale.
  4. Références issues de disciplines mitoyennes : anthropologie évolutive ou éco-anthropologie[22], évolution socioculturelle, anthropologie évolutive des comportements humains[23], éthologie évolutive[24], évolutionnisme.
  5. L'objectif de cet article consiste à fournir une description succincte des éléments essentiels qui se rapportent directement à la sociobiologie
  6. Contexte situant la problématique centrale de la sociobiologie. « In the process of natural selection, any device that can insert a higher proportion of certain genes into subsequent generations will come to caracterize the species [...] As more complex social behavior by the organism is added to the gene's techniques for replicating themselves, altruism becomes increasingly prevalent and eventually appears in exaggerated forms. This brings us to the central theoretical problem of sociobiology » 1964, 1971. William Donald Hamilton (1936-2000)}

Références

  1. Gaspard Lavater, L'art de connaître les hommes par la physionomie, t. 9, Dépélafol, (lire en ligne), p. 135
  2. 1 2 Guillaume 1985, p. 139.
  3. Morache 1902.
  4. Morache 1904.
  5. Morache 1906.
  6. Richard (1900), Bouglé (1900) et Célestin Bouglès (1900)
  7. Synthese. Journal coverage 1936-2011 et 2012-2015; Mannoury, G. Sociobiology dans Synthese, volume 5, No 11, pages 522-525, 1947 (frais de consultation requis) ; 1946. John Paul Scott (en), zoologue et généticien, rapporté par Wilson dans Gregory 1978, chapitre 1 ; 1948. Charles F. Hockett (en) linguiste évolutionniste, rapporté par Wilson dans Gregory 1978, chapitre 1.
  8. Altmann 1962, p. 330-435.
  9. Buettner-Janusch 1962, p. 183.
  10. Wilson, p. 400-403..
  11. « Les États-Unis de Truman à Carter », cours de premier cycle 2013-2014 à l'Université Laval du Québec
  12. Jorland 1998, p. 91-92.
  13. Kay 1993, p. 929-930.
  14. Jorland 2002, p. 731-735.
  15. 1 2 3 Dogan 1994, p. 37-53
  16. Horowitz 1993, Book review of Kay, 1993, p. 929-930.
  17. Lahire 2012, paragraphe 6 et 7.
  18. 1 2 Wilson 2001, p. 3.
  19. Anthropology, Univ. Arizona, Tucson 1974 The Genetics Center and Southwest Biomedical Research Institute Tempe, Arizona
  20. Cadien 1979, p. 758
    « In many ways sociobiology is not a revolution, that its basic claims have roots far back in biology and evolutionary thought, and that this is merely the time which some scientists feel is right to dredge them to the surface again »
  21. Jaisson 1993, Entrevue.
  22. « Anthropologie évolutive », sur CNRS : Ecoanthropologie et ethnobiologie,
  23. « Anthropologie évolutive des comportements humains », sur L'anthropologie au Collège Ahuntsic
  24. « Éthologie évolutive : évolution, cognition et organisations sociales », sur Institut pluridisciplinaire Hubert Curien
  25. Horowitz 1993, p. 929
    « Science has advanced so rapidly in our century that histories of science are often written while participants in the events described are still living, some still active »
  26. Wilson et Wilson 2007 2007
  27. Moczek, A. P. (2009). "Endless forms most strange: a review of The Superorganism: the Beauty, Elegance, and Strangeness of Insect Societies, by Bert Hölldobler and Edward O. Wilson." Evolution & Development 11(6): 754-756
  28. Wilson 1971.
  29. Wilson 1971, Chapitre 22, p. 400-403.
  30. Wilson 1978, p. 2.
  31. Wilson 1971, Chapitre 22.
  32. Wilson, p. 4
    « Sociobiology is the systematic study of the biological basis of all social behavior »
  33. Wilson 1978, p. X
    « This important branch of behavioral biology should be joined with population biology. »
  34. 1 2 Christen 1981, p. 44.
  35. Dobuzinskis 1981, p. 171.
  36. Wilson 1980, p. 3.

Documentation thématique

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages et documents fondateurs

  • (en) Edward Osborne Wilson, The Insect Societies, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of the Harvard University Press, , 562 p. (ISBN 978-0-674-4549-03, présentation en ligne)
  • (en) Edward Osborne Wilson, « The Prospects for a Unified Sociobiology », dans Edward Osborne Wilson, The Insect Societies, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of the Harvard University Press, , 562 p. (ISBN 0-674-45490-1 et 9780674454903, présentation en ligne), « 22 », p. 400-403 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Edward Osborne Wilson, « The Prospects for a Unified Sociobiology : This important branch of behavioral biology should be joined with population biology », American Scientist, Sigma Xi, The Scientific Research Society, vol. 59, no 4, , p. 400-403 (lire en ligne) Inscription ou Frais de consultation requis. Consulté le 2015-05-20. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Edward Osborne Wilson, Sociobiology : The New Synthesis, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of Harvard University Press, , 697 p. (ISBN 0674816218) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Traduction, 1989. Edward Osborne Wilson (auteur) et Paul Couturiau (traducteur), La sociobiologie [« Sociobiology : The New Synthesis (1975) »], Monaco, Le Rocher, , 697 p. (ISBN 0-674-00089-7 et 978-2-2680-0536-2, OCLC 42289674)
  • (en) Edward Osborne Wilson, « Man : From Sociobiology to Sociology », dans Edward Osborne Wilson, Sociobiology : The New Synthesis, Cambridge, Massachusetts, Belknap Press of the Harvard University Press, (lire en ligne [PDF]), « 27 », p. 547-575 (1975) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (fr+en) Richard Dawkins (auteur), Robert Trivers (Préface, édition 1976) et Laura Ovion (traducteur), Le Gène égoïste [« The Selfish Gene »], Odile Jacob (ISBN 978-2-7381-1243-9)
    1989 pour une seconde édition revue et enrichie. ISBN 0-19-286092-5. Le Gène égoïste, d'abord publié en 1976, contient onze chapitres, une préface de l'auteur et un avant-propos de Robert Trivers. La seconde édition est refondue et parait en 1989 augmentée d'une nouvelle Introduction et de deux chapitres. De nombreuses notes aux chapitres précédents ont été ajoutées. Aussi augmentée d'une seconde préface de l'auteur. L'avant-propos de Trivers n'y figure pas.
  • (en) David P. Barash (auteur) et Edward O. Wilson (Préface), Sociobiology and Behavior, New York, Elsevier, , XV + 378 p. (présentation en ligne)
  • (en+fr) Edward Osborne Wilson (auteur) et Roland Roland Bauchot (traducteur), L'humaine nature (essai de sociobiologie) [« On Human Nature (1978) »], vol. 38, Paris, Stock, coll. « Le monde ouvert », , 317 p. (ISBN 9-782-2340-1059-8 et 2234010594) Préface de Alexandre Dorozynski
    • Seconde édition 2004.(en) Edward Osborne Wilson, On Human Nature : With a New Preface, Revised Edition, Cambridge, Massachusetts, Harvard University Press, 1978, 2004 (ISBN 9-780-6740-1638-5)
  • (en) Michael Steven Gregory, Anita Silvers et Diane Sutch, Sociobiology and Human Nature : An interdisciplinary critique and defense, San Francisco, USA, Jossey-Bass, , xix+326 p. (ISBN 0-875-89384-8 et 978-0-87589-384-6, présentation en ligne) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article Résultats de la conférence Sociobiology : implications for human studies tenue à l'université d'État de San Francisco, les 14-15 juin 1977. Avec index. Bibliographie : p. 295-316. Librairies Australia ID 1305237.
  • (en) Edward Osborne Wilson, « Introduction : What is Sociobiology ? », dans Gregory Michael Steven, Anita Silvers, Diane Sutch (1978), Sociobiology and Human Nature : An interdisciplinary critique and defense, (lire en ligne), « 1 », p. 1-12. Résultats de la conférence Sociobiology : implications for human studies tenue à l'université d'État de San Francisco, les 14-15 juin 1977. Avec index. Bibliographie : p. 295-316. Librairies Australia ID 1305237. Consulté le 10 janvier 2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Charles J. Lumsden (auteur) et Edward Osborne Wilson (co-auteur), Genes, Mind and Culture : The Coevolutionary Process, Cambridge, Mass, Harvard Universityy Press, , xiv+428 p.
    Traduction 1983. Michel Veuille, « Compte-rendu : C.J. Lumsden et E.O. Wilson. Genes, Mind and Culture. The Coevolutionary Process. 1981 », l'Homme, vol. 23, no 1, , p. 151-153 Consulté le 30 août 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en+fr) Charles J. Lumsden (auteur), Edward Osborne Wilson (co-auteur) et Paul Alexandre (traducteur), Le feu de Prométhée : Réflexions sur l'origine de l'esprit [« Promethean Fire. Reflections on the Origin of Mind, 1983 »], Paris, Mazarine, , 222 p.

Débats épistolaires d'origine

  • (en) C. H. Waddington, « Mindless Societies : Book Review. Sociobiology : The new synthetis », The New York Review of Books, @nybooks, no 1975-08-07, Consulté le 2014-11-15 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Sociobiology Study Group of Science for the People (Collectif), Stephen Jay Gould (Co-auteur), Richard C. Lewontin (Co-auteur), Bertram Bruce, Robin Crompton et Val Dusek et al., « Against Sociobiology : In response to : Mindless Societies August 07 Issue », The New York Review of Books, Consulté 2014-11-15 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Edward Osborne Wilson, « For Sociobiology : In response to : Against Sociobiology 1975.11.13 », The New York Review of Books, New York, (lire en ligne) Consulté le 2014-12-26. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Sociobiology Study Group of Science for the People (Collectif), Stephen Jay Gould (Co-auteur), Richard C. Lewontin (Co-auteur), Bertram Bruce, Robin Crompton et Val Dusek et al., « Dialogue. The Critique : Sociobiology : : Another Biological Determinism », BioScience, BioScience Oxford University Press et Amewrican Institute of Biological Sciences, vol. 26, , p. 182+184-186. (présentation en ligne)(frais de consultation requis) Consulté le 10 février 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Edward Osborne Wilson, « Dialogue. The Response: Academic Vigilantism and the Political Significance of Sociobiology », BioScience, BioScience Oxford University Press et Amewrican Institute of Biological Sciences, vol. 26, no 3, , p. 183–190 (lire en ligne) (frais de consultation requis) Consulté le 10 février 2015Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Stuart Hampshire, « The Illusion of Sociobiology : On Human Nature, E.O. Wilson, 1978 », The New York Review of Books, New York, (lire en ligne) Consulté le 10 février 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Stephen Jay Gould, Joseph Alper et Bertram Bruce, « The politics of Sociobiology : In response to : The Illusion of Sociobiology, October 12, 1978 », The New York Review of Books, (lire en ligne) Consulté le 10 février 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Quelques documents et analyses critiques

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  • Daniel Baril, « La démagogie est-elle génétique ? : Réplique à Ruelland (2005), à l'invitation des Sceptiques du Québec », Le Québec sceptique, vol. 58, , p. 17-23 (lire en ligne [PDF]) Consulté le 2015-01-15 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Thomas Lepeltier, « Book Review : L'empire des gènes. Histoire de la sociobiologie », Sciences humaines, . Mis à jour 2011-06-15. Consulté le 2015-10-31 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Richard C. Lewontin, « Sociobiology : Another Biological Determinism », Int J Health Serv, vol. 10, no 3, , p. 347-363 (présentation en ligne). Consulté le 2015-07-23 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Entrevues scientifiques

  • François Jacob (Interviewé) et André Laganey (Intervieweur), « Spécial : L'Histoire de la vie : Genèse et actualité de la théorie de l'évolution », La Recherche, . Consulté le 2015-02-10. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Sébastien Lemerle (Interviewé) et Éric Aeschimann (Interviewer), « Entretien. La biologie est-elle un humanisme ? », Le Nouvel Observateur, France, . La génétique et la neuroscience font resurgir la tentation d'expliquer la nature humaine par la biologie. Le sociologue Sébastien Lemerle s'inquiète du retour du scientisme. Entretien . Consulté le 2015-02-10. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Patrick Tort (Interviewé) et Sylvestre Huet (journaliste, intervieweur), « Darwin et le darwinisme social », Blog sciences, (lire en ligne) Consulté le 2015-05-11. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Frans Roes, « Speak Darwinist's : Entrevues avec Robert Trivers , William Hamilton, Richard Dawkins, Martin Daly & Margo Wilson, Richard Alexander, George Williams, Edward O. Wilson, Sarah Blaffer Hrdy, Napoleon Chagnon, Randolph Nesse, Randy Thornhill, Glenn Weisfeld », . Entrevues consultées en février 2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Edward Osborne Wilson, « Achievement E.O. Wilson interview. Wilson Father of Sociobology », Academy of Science Achievement, (lire en ligne). Révision 2007. Consulté le 14 février 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Audiographie

  • [audio] Régis Meyran et Georges Guille-Escuret, « Quand la sociobiologie américaine met le feu aux poudres : Pomme de discorde et controverses », France Culture. La marche des sciences, . Durée 30 minutes. Écouté le 10 juillet 2014. Réécouté (podcast) 2015-10-20 Document utilisé pour la rédaction de l’article

Vidéographie

  • [vidéo] Yves Christen, « La logique du vivant : Conférence Cercle Ernest Renan », Daily Motion, . Durée 11 min 56 s. Visionné le 2015-01-30. Document utilisé pour la rédaction de l’article        Vulgarisation scientifique fiable
  • [vidéo] Yves Christen, « L'animal est-il une personne ? », Daily Motion Flamarion, . Durée 7 min 27 s. Visionné le 2015-01-30. Document utilisé pour la rédaction de l’article         Vulgarisation scientifique fiable
  • [vidéo] (en) Edward Osborne Wilson, « On the Relation of Science and the Humanities » [Universitaire], At home. Harvard Education, (consulté le 31 octobre 2014)
  • [vidéo] (en) Edward Osborne Wilson. (2008). Synergism Between Science and the Humanities. Californie: You Tube. Mise en ligne le 2008-01-31. Frontiers of Knowledge. ID: 6434. Visionné le 2015-02-06.Document utilisé pour la rédaction de l’article

Filmographie

  • Mon oncle d'Amérique, Alain Resnais, France, 1980, 125 min. Commenté par Pr Henri Laborit. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Ratopolis. Documentaire Office national du film du Canada. Directeur Gilles Thérien. Producteur François Quévillon, 1973. 56 min 40s. Document utilisé pour la rédaction de l’article

Bibliographie générale

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

En français

Traductions de l'anglais vers le français incluses

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  • Denis Buican, Darwin dans l'histoire de la pensée biologique, France, Éditions Ellipses, coll. « Culture scientifique », , 232 p. (ISBN 978-2-7298-4006-8, présentation en ligne) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Denis Buican et Cédric Grimoult, L'Évolution : Histoire et controverses, Paris, CNRS Éditions, coll. « Le Banquet scientifique, dirigée par Jean Audouze », , 248 p. (ISBN 978-2-271-07320-4, présentation en ligne) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Denis Buican et Cédric Grimoult, « 8. Évolution synergique des comportements et de la connaissance », dans L'Évolution. Histoire et controverses, Paris, CNRS Éditions, coll. « Le Banquet scientifique, dirigée par Jean Audouze », , 248 p. (ISBN 978-2-271-07320-4, présentation en ligne), Sociobiologie et éthologie comparée Consulté le 2015-06-24 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Alan Francis Chalmers (auteur) et Michel Biezuski (traducteur), Qu'est-ce que la science ? Popper, Kuhn, Lakatos, Feyerabend : Récents développements en philosophie des sciences [« What is This Thing Called Science ? An Assement of the Nature and Status of Science and its Methods (1976, 1982) »], France, Le Livre de Poche, coll. « Biblio essais. La Découverte », 1987 pour la traduction française, 287 p. (ISBN 9-782253-055068) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article          Référence scientifique majeure     
  • Chandler Davis, « La sociobiologie et son explication de l'humanité », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, vol. 36, no 4, , p. 531-571 (lire en ligne). Consulté 2015-05-22 Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • Charles Darwin (auteur), Thierry Hoquet (Traduction, présentation, annotations) et Jean-Marc Lévy Leblond (Sous la direction de), L'origine des espèces : Texte intégral de la première édition de 1859 [« On the Origin of Species by Means of Natural Selection , or the Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life (1859, 1st edition) »], Paris, Seuil, coll. « Sources du savoir », 1971, 2013 pour cette édition, 516 p. (ISBN 978-2-02-105959-5) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Charles Darwin (auteur), Patrick Tort (directeur nouvelle traduction) et Michel Prum (coordonnateur de traduction), La Filiation de l'homme et la Sélection liée au sexe [« The Descent of Man, and selection in relation to Sex (1871) »], Institut Charles Darwin International, coll. « Champions classiques. Essais », 1871, 2013 (ISBN 978-2-7453-2685-0) Précédé de « L'anthropologie inattendue de Charles Darwin » de Patrick Tort.
  • Charles Darwin (auteur) (trad. Samuel Pozzi et René Benoit), L'expression des émotions chez l'homme et les animaux [« The expression of the emotions in man and animals 1872. Text Image PDF F1142 »], Paris, C. Reinwald et Cie, , 404 p. (lire en ligne)
  • Jean-Pierre Desportes et Assomption Vloebergh, La recherche en éthologie : les comportements animaux et humains, Paris, Seuil, Éditions scientifiques, coll. « Points. Sciences », , 319 p. (ISBN 2-02-005080-3), chap. 517 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • M. Dogan, « Morcellement des sciences sociales et recomposition des spécialités autour de la sociologie : Fragmentation of social sciences and restructuration of specialities around sociology », Revue internationale des sciences sociales, France, Erès, Fenouillet, no 134, , p. 37-53 (ISSN 0304-3037, présentation en ligne) Consulté le 2015-09-26
  • Cédric Grimoult, Histoire de l'évolutionnisme contemporain en France : 1945-1995, Paris, Librairie Droz, Paris-Genève. Publié avec l'aide de l'Université de Paris X Nanterre, 616 p. (ISBN 2-600-00406-8, ISSN 0254-2808, présentation en ligne) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article          Référence scientifique majeure     
  • Ivan Guillaume (auteur du chapitre), « La biosociologie d'Espinas et la sociobiologie de Wilson : Deux systèmes de pensée comparables », dans Gérald Berthoud, Sciences sociales et défi de la sociobiologie, Genève, Librairie Droz, , p. 139-158 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Paul Hopkins, « La sociobiologie », dans Jean-Pierre Desportes, Assomption Vloebergh, La recherche en éthologie. Les comportements animaux et humains, , p. Chapitre 14. 288-304 Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Gilbert Hottois, « Sociobiologie », dans Gilbert Hottois et Jean-Noël Missa, Nouvelle encyclopédie de bioéthique : médecine, environnement, biotechnologie, Belgique, De Boeck & Larcier., coll. « Université », , 922 p. (ISBN 2-8041-3712-0, lire en ligne), p. 731-735 Consulté le 2015-04-03. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Gérard Jorland, « La notion de révolution scientifique aujourd’hui », Revue européenne des sciences sociales [Online], Librairie Droz, (ISSN 0048-8046, DOI 10.4000/ress.579) Consulté le 2015-06-07 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Gérard Jorland, « Les sciences dans l'histoire », Le Débat, vol. 5, no 102, , p. 91-98
  • Bernard Lahire, « Des effets délétères de la division scientifique du travail sur l’évolution de la sociologie », SociologieS (en ligne), vol. Débats. Situation actuelle de la sociobiologie, (lire en ligne) Pagraphes 6 et 7. Consulté le 13 octobre 2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Régis Meyran, « La culture est-elle dans les gênes ? », Pour la science, série Histoire des sciences sociales, no 428, (présentation en ligne, [academia.edu lire en ligne] [PDF]) 2015-10-22 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Jean-Noël Missa, « Eugénisme d'État. 2. Fondements théoriques de l'eugénisme d'État », dans Gilbert Hottois et Jean-Noël Missa, Nouvelle encyclopédie de bioéthique : médecine, environnement, biotechnologie, Belgique, De Boeck & Larcier., coll. « Université », , 922 p. (ISBN 2-8041-3712-0, lire en ligne), p. 422-425 Consulté le 2015-04-03. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Georges Auguste Morache, Le mariage : Étude de socio-biologie et de médecine légale, Charleston (SC) (USA), (1902 Félix Alcan pour l'original) ; Nabu Press pour la reproduction (2012), , 326 p. (ISBN 1275155294 et 978-1275155299)
  • Georges Auguste Morache, Naissance et mort : Étude de socio-biologie et de médecine légale (1904), Charleston (SC) (USA), (Félix Alcan pour l'original 1904) ; Nabu Press pour la reproduction (2012), , 292 p. (ISBN 1147969051) Reproduction exacte d'un livre publié avant 1923.
  • Georges Auguste Morache, La responsabilité : Étude de socio-biologie et de médecine légale (1906), Charleston (SC) (USA), (1902 Félix Alcan pour l'original) ; Nabu Press pour la reproduction (2012), , 292 p.
  • Odile Petit, « Éthologie », Encyclopædia Universalis [en ligne], Encyclopædia Universalis Inc., (présentation en ligne) (frais de consultation requis) Consulté le 2015-02-02.Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • André Pichot (auteur), A Leroux (Directeur) et P Livet (directeur), « Sur la notion d'évolution en biologie », dans Leçons de philosophie économique. Tome 3 : Science économique et philosophie des sciences, Economica, (lire en ligne [PDF]), p. 387-419 Consulté le 2015-09-29 Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • Jean Rostand, La Formation de l'être : Histoire des idées sur la génération, Hachette, , 222 p.          Référence scientifique majeure     

En anglais

Traductions vers le français placées dans la Section En français

  • (en) John Alcock, The Triumph of Sociobiology, États-Unis, Oxford University Press, , 1e éd., 272 p. (ISBN 0-19-514383-3, présentation en ligne) Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Stuart A. Altmann, « A Field Study of the Sociobiology of Rhesus Monkeys, Macaca Mulatta (1962) », Annals of the New York Academy of Sciences, vol. 102, , p. 330-435 (DOI 10.1111/j.1749-6632.1962.tb13650.x)
  • (en) John Buettner-Janusch, The Relatives of Man : Modern studies of the relation of the evolution of nonhuman primates to human evolution, vol. 102, The New York Academy of Science, , p. 183 et suivantes Recueil d'articles présentés au Congrès tenu les 27 et 28 avril 1962 sous l'égide de l'Académie des Sciences de New-York          Référence scientifique majeure     
  • (en) James D. Cadien, « Book Review. The Sociobiology Debate : Readings on Ethical and Scientific Issues », The American Journal of Human Genetics, vol. 31, no 6, , p. 758–759 (lire en ligne [PDF]) L'auteur : Univ. Arizona, Tucson 1974 The Genetics Center and Southwest Biomedical Research Institute Tempe, Arizona Consulté le 2015-04-19. Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Arthur L. Caplan, « Sociobiology as a strategy in science », The Monist, Hegeler Institute, vol. 67, no 2, , p. 143-160 Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Richard Chambers, Vestiges of the natural history of creation, Londres, John Churchill, (lire en ligne) Scanned, OCRed and corrected by John van Wyhe 1998. RN3. Autres versions sur Darwin on line. Explications. Version (1845)Explanations: A sequel to "Vestiges of the natural history of creation." By the author of that work Darwin Online;Vestiges en ligne, Version anonyme, scanned from an original text Electronic Scholarly Publishing.
  • (en) Catherine Driscoll, « Sociobiology », The Stanford Encyclopedia of Philosophy, Edward N. Zalta, (lire en ligne) Consulté le = 2015-01-10 Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Lee Allan Dugatkin, « Inclusive fitness Theory from Darwin to Hamilton », Genetics, vol. 176, no 3, , p. 1375-1380 (lire en ligne) Consulté le 2015-05-09. Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
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  • (en) William David Hamilton, « The Evolution of Altruistic Behavior », American Naturalist, no 97, , p. 354-356 Consulté le 2015-05-09          Référence scientifique majeure     
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  • (en) Jonathan H. Turner, Contemporary Sociological Theory : Livre numérique Google, Sage Publications, , 768 p. (ISBN 9781483307206, présentation en ligne)          Référence scientifique majeure     
  • (en) Jonathan H. Turner, « The Rise of Evolutionary and Ecological Theorizing », dans Contemporary Sociological Theory, Sage Publications, (présentation en ligne), « 6 » Consulté le 2015-05-19, Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Jonathan H. Turner, « Darwinian Inspired Evolutionary Theories », dans Contemporary Sociological Theory, Sage Publications, (lire en ligne), « 9 » Consulté le 2015-05-19, Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) David Sloan Wilson, « Richard Dawkins, Edward O. Wilson, And The Consensus Of The Many », This view of Life, The Evolution Institute org, (lire en ligne) Consulté le 2015-02-14. Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     
  • (en) Bill Zimmerman, Len Radinsy, Mel Rothenberg et Bart Meyers, « Towards A Science For The People : Science in Capitalist America; Science is Political; What is to be Done ? Political Organizing in the Health Fields. Postscript. Censorship by Science », sur Cursos, investigaciones y materiales de divulgación crítica, Coordinacion naturaleza ciencia y sociedad, Censuré par l'Association Américaine pour l'avancement des Sciences. Censorship by Science The preceding article, “Towards a Science for the People”, was censored out of the pages of Science, not a few paragraphs or a blue-pencilled phrase here and there, but the entire article. The journal’s editor, Philip Abelson, performed the surgery single-handed, against the advice of colleagues and in violation of precedent in effect for decades. How did this happen? And what does it mean ?Consulté 2014-2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article          Référence scientifique majeure     

Webographie

En français

  • Neimad de Projet 22, « Les théories de l'évolution », Consulté le 2015-08-25 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Centre national de la recherche scientifique (CNRS), « Dossier. Évolution : Mis à jour le 22 janvier 2015 », (consulté le 3 mars 2015).
  • Centre national de la recherche scientifique. CNRS le journal, « La médecine darwinienne, un autre regard sur la santé » (consulté le 28 septembre 2014)
  • Société française pour l'étude du comportement animal (SFECA), « Études du comportement animal », France, . Consulté le 27 octobre 2014.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • CNRS, Sagascience Collection de dossiers thématiques en ligne. Consulté le 27 octobre 2014.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Station de Recherche Pluridisciplinaire des Metz (SRPM), « Éthologie », France, Station des Metz, . Consulté le 2015-02-04. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • WorldCat : Sociobiologie Recension d'ouvrages et articles en français. Consulté 2014-2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • WorldCat : Edward Osborne Wilson . Catalogue de références et outils bibliographiques Consulté le 26 décembre 2014. Document utilisé pour la rédaction de l’article

En anglais

Encyclopédies
  • (en) Encyclopedia of Alabama : Edward O. Wilson. Mise en ligne le 26 octobre 2010. Consulté le 6 janvier 2015 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Stanford Encyclopedia of Philosophy. Sociobiology. Consulté 2014-2015. Document utilisé pour la rédaction de l’article
Banques de données
  • (en) The Indiana Philosophy Ontology project (InPhO), « Philosophy of Science and the Sciences » (consulté le 11 janvier 2015)
Revues
  • (en) Philosophy of Science Association . Revues, Archives et ressources en ligne. Consulté le 21 décembre 2014. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) PubMed Central, U.S. National Institutes Health's National Library of Medicine Biomedical and Life Sciences Journal. Consulté le 14 décembre 2014.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) The New York Review of Books. Consulté le 2015-01-01.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) The Quaterly Review of Biology, « Coverage 1926-2014 Volume 1-89 », The University of Chicago Press (ISSN 00335770, consulté le 14 décembre 2014).Document utilisé pour la rédaction de l’article
Centres de recherches et Universités
  • (en) University of California Museum of Paleontology, « Timeline of Evolutionary Thought », (consulté le 2 mai 2015). Copyright 1994–2006 by the Regents of the University of California, all rights reserved. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Indiana University Bloomington, « Philosophy of Science and the Sciences : Philosophies of the Particular Sciences », Indiana Philosophy Ontology project (InPhO), sur The Indiana Philosophy Ontology project (InPhO), The Trustees of Indiana University Bloomington, (consulté le 2 février 2015). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) « Site officiel Prix Crafoord » (consulté le 30 novembre 2014).Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) « Site officiel du Prix Nobel » (consulté le 6 janvier 2015). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (sv)(en) Site officiel Académie Royale des Sciences de Suède. Consulté le 29 novembre 2014.Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

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  1. [...] how can altruism which by definition reduces personal fitness, possibly evolve by natural selection ? [36]
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