Jean-Jacques Goldman
Jean-Jacques Goldman en concert au Zénith de Paris, mai 2002.
Surnom | O. Menor, Sam Brewski, Sweet Memories, First Prayer |
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Naissance |
Paris, France |
Activité principale |
Auteur-compositeur-interprète producteur de musique |
Genre musical | Variété, pop |
Instruments | Chant, guitare, basse, piano, harmonica, oud, flûte, violon |
Années actives | depuis 1975 |
Labels |
WEA (1975-1979) Epic-Sony Music (depuis 1981) |
Jean-Jacques Goldman, né le dans le 19e arrondissement de Paris, est un auteur-compositeur-interprète français, également producteur, de variété et de pop rock principalement.
Il a d'abord joué dans le groupe des Red Mountain Gospellers, puis avec The Phalanster et enfin avec Taï Phong. Toutefois, c'est principalement sa carrière solo qui lui a permis de s'imposer comme l'un des chanteurs les plus populaires de sa génération, avec des titres comme Quand la musique est bonne (1982) ou Je te donne (1985). Il a ensuite mis de côté sa carrière en solo pendant la première partie des années 1990 pour fonder le trio Fredericks Goldman Jones, avec le Franco-Gallois Michael Jones et l'Américaine Carole Fredericks.
Outre les chansons qu'il interprète, Goldman a écrit et composé pour de très nombreux autres artistes, parmi lesquels Céline Dion ou Johnny Hallyday. Il a également composé des bandes originales de films et génériques d'émissions télévisées. C'est enfin un artiste qui s'est considérablement engagé auprès d'œuvres humanitaires ou caritatives, notamment les Restos du Cœur, via les Enfoirés dont il est l'un des fondateurs, qu'il a parrainés pendant six ans, et dont il reste le membre le plus assidu.
Selon un sondage de décembre 2012, il est la personnalité préférée des Français[1], classement confirmé par un sondage du JDD en août 2013, et un sondage IFOP de juillet 2014[2]. Ce regain d’intérêt pour le chanteur et ses œuvres intervient au moment où un collectif d'artistes sort l'album de reprise Génération Goldman rendant hommage à Jean-Jacques Goldman. Le disque se vend à plus de 800 000 exemplaires. Fin 2012, il est le troisième artiste ayant vendu le plus de disques en France, cumulant près de 33 millions de vente d'albums et de singles[3].
Biographie
Famille et formation
Jean-Jacques Goldman nait le à Paris 19e[n 1], troisième d'une famille juive de quatre enfants[5]. Sa mère, Ruth Ambrunn, (1922-2008) ; son père, Alter Mojze Goldman (en) (1909-1988) communiste, né à Lublin (Pologne), a participé à la Résistance française[6]. Son frère cadet Robert est auteur-compositeur sous le pseudo J.Kapler, et sa sœur Évelyne née en 1950, est médecin.
Il avait également un demi-frère, Pierre Goldman, militant d'extrême gauche très soutenu par de grandes figures telles Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir ou encore Simone Signoret, auteur de trois braquages qu'il a reconnus, et pour lesquels il a été condamné à 12 ans de réclusion effectués ; condamné à perpétuité en 1974 pour l'affaire de la pharmacie du boulevard Richard-Lenoir et acquitté en 1976 pour les mêmes faits, il est assassiné en 1979. L'acte, revendiqué par un mystérieux groupe clandestin d'extrême droite, Honneur de la Police, demeure à ce jour non élucidé.
Alors que ses parents tiennent un magasin d'articles de sport à Montrouge, il passe une enfance assez heureuse mais solitaire jusqu'à ce qu'il s'ouvre aux autres en étant aux Vaillants et aux Vaillantes de 8 à 16 ans, mouvement scout laïc proche du parti communiste qui se nommera plus tard les Pionniers de France. De 1958 à 1968, il prend des cours de piano puis de violon mais il est surtout passionné par la guitare qu'il a découverte au coin du feu chez les Vaillants[7].
Malgré des études médiocres au collège de Montrouge puis, à partir de 1966, au Lycée François-Villon parisien, il décroche son baccalauréat D avec mention en 1969. Après la prépa HEC, il intègre en 1970 l'EDHEC (une école supérieure de commerce à Lille), dont il sort en 1973. En parallèle, il s'inscrit en faculté de sociologie pour deux ans[8].
Avec son frère Robert, qui est d'ailleurs devenu son manager, il a fondé la maison de production JRG.
Vie privée
Jean-Jacques Goldman se marie le 7 juillet 1975 avec Catherine Morlet, psychologue, avec qui il a trois enfants : Caroline (en 1975), Michael (en 1979) et Nina (en 1985). Caroline est devenue psychologue pour enfants comme sa mère, Michael Goldman est depuis 2007 cofondateur et président du label My Major Company et Nina exerce comme pédiatre[9].
Divorcé en 1997, il se remarie en octobre 2001 avec une fan née en 1979[10], Nathalie Thu Huong Lagier, d'origine franco-vietnamienne, alors étudiante en mathématiques. Elle obtient l'agrégation de mathématiques en 2003[11], puis un doctorat de mathématiques pures en juin 2007[12]. Ils ont trois filles : Maya (en 2004), Kimi (en 2005) et Rose (en 2007)[13].
Nathalie étant originaire de Marseille, il s'installe avec elle dans un appartement à Plan-de-Cuques, puis depuis 2011 dans une villa du Roucas-Blanc, quartier chic de la cité phocéenne[13].
Carrière
Les Red Mountain Gospellers
À quatorze ans, Jean-Jacques Goldman entre dans la chorale de l'église de Montrouge, les « Red Mountain Gospellers » (traduction littérale de « chanteurs de gospel de Montrouge »), formation musicale dans laquelle il joue du tout nouvel orgue électrique acquis par la paroisse et s'impose rapidement comme le leader[14].
Les premiers pas de Jean-Jacques Goldman dans un studio d'enregistrement, se font en 1966 au sein de ce groupe paroissial constitué de sept membres. Le disque est autoproduit par le père Dufourmantelle, prêtre et directeur de la chorale. Les Red Mountain Gospellers enregistrent ce 45 tours de gospel complété d’une reprise de Donovan : Colours. Jean-Jacques qui a alors 18 ans, y joue de la guitare, de l'harmonica et de l'orgue. Il existe 1 000 exemplaires de ce 45 tours collector coté 800 euros en 2014[15].
The Phalansters
Dans les années lycée, Jean-Jacques Goldman découvre le rock et les protest songs de Bob Dylan. Il joue comme guitariste dans plusieurs groupes dans les bals et les discothèques. Il fonde alors « The Phalansters » dont le nom lui est inspiré par les travaux du philosophe Charles Fourier. Le groupe se produit même au Golf Drouot, tremplin du rock français, mais ne survit pas à son départ pour Lille en 1971 pour y intégrer l'EDHEC[16]. À cette époque, il se produit dans des foyers d'étudiants et des MJC et interprète des chansons d'Elton John, du folk et du blues.
Taï Phong
Après son service militaire dans l'armée de l'air en 1974, Jean-Jacques Goldman commence sa carrière au sein du groupe Taï Phong en 1975. Au départ, il ne devait pas chanter avec le groupe, mais il a remplacé le chanteur, qui était malade. Le succès est bientôt au rendez-vous avec la chanson Sister Jane, mixée par Andy Scott, tirée du premier album du groupe.
En 1976, c’est le réel commencement, après avoir assisté à un concert de Léo Ferré. Goldman, déclarera : « Et là, je me suis retrouvé cloué sur ma chaise. Je n'ai pas compris ce qui m'arrivait. Et puis j'ai compris que c'était possible en français, qu'il y a des mots qui peuvent tuer. Il m'a vraiment eu. Il est inhumain. Devant Ferré, qui que tu sois, tu es un petit garçon. Tous les mots comme poésie, mysticisme, dont quinze ans d'Éducation nationale avaient réussi à me dégoûter, je les ai compris. La force des mots, le choc des notes ! »[17]. Goldman est alors persuadé que l’on peut chanter en français et il sort un premier 45 tours en solo en 1976 qui contient deux titres : C’est pas grave papa et Tu m'as dit.
Il sort un deuxième 45 tours en 1977 : Les nuits de solitude et Jour bizarre.
En 1978, Goldman ne souhaite pas participer à une tournée de Taï Phong, c’est un nouveau qui débarque pour le remplacer : Michael Jones. Il sort en revanche un troisième 45 tours en solo avec Laëtitia et Back To The City Again.
En 1979, Taï Phong se sépare ; « Le groupe s’est arrêté parce que les groupes, ça meurt » déclarera Goldman[18].
Il suffira d'un signe
En 1981 il sort son premier album solo. Il souhaitait appeler cet album Démodé, mais la maison de disques ayant refusé ce titre, il restera sans nom. C’est avec la chanson Il suffira d'un signe que Jean-Jacques Goldman commence à connaître le succès. Le second extrait de l'album, Quelque chose de bizarre, sera toutefois un échec commercial. Le chanteur envisage encore de tenir le magasin familial Sport 2000 avec son frère Robert en cas d'échec par la suite, et continue d'y travailler jusqu'en décembre 1982[19].
Sa maison de disques, Epic, le presse de sortir un autre album, toujours sans nom avec des titres comme Quand la musique est bonne, Comme toi, Au Bout de mes rêves ou encore Je ne vous parlerai pas d’elle.
Quand la musique est bonne
En 1982, après les tubes de l’album, rebaptisé officieusement par certains Quand la musique est bonne, avec ses 200 000 exemplaires vendus (son titre officieux est Minoritaire, mais lui aussi fut refusé par la maison de disques car pas assez positif), Jean-Jacques continue et donne enfin un titre officiel à son troisième disque, qu'il intitule Positif, par réaction au refus des noms des deux premiers albums par la maison de disques. L'album se vend à plus d'un million d'exemplaires[20].
Pour sa tournée, l’auteur-compositeur-interprète fait appel à un musicien qu’il connaît : Michael Jones. C’est à partir de ce moment que la complicité entre les deux artistes commence réellement alors que les deux se connaissaient depuis les années Taï Phong. En effet, Goldman ne voulait pas quitter son travail pour partir en tournée avec le groupe et c'est Jones qui l'a remplacé après les auditions.
Je te donne
En 1985, Je marche seul est la chanson qui annonce un nouvel album : Non homologué. Cet album contient un duo français/anglais avec Michael Jones : Je te donne, qui reste huit semaines au sommet du top 50. L'album Non homologué contient également le tube Pas toi que Goldman a hésité à sortir en single, compte tenu du succès phénoménal de l'album qui se vend à 1,3 millions d'exemplaires[20]. Le titre figurera dans les cinq premières places du top 50. Cet album sera joué en tournée et entraînera la sortie du 1er album enregistré en public de l'artiste dont le single La vie par procuration s'imposera comme le premier titre enregistré en public à atteindre le sommet du top 50. C'est au cours de cette tournée que l'on découvrira Carole Fredericks, alors choriste de studio (elle continuera notamment pour François Feldman). Elle donna notamment de la voix sur Long Is The Road (Américain).
Entre gris clair et gris foncé
En 1987, Jean-Jacques Goldman sort un double album, Entre gris clair et gris foncé, avec des titres comme Elle a fait un bébé toute seule, Puisque tu pars, ou encore un duo avec Sirima, Là-bas (Goldman et Sirima enregistreront deux ans plus tard un duo en anglais, I Need To Know, paru sur l'unique album de Sirima[21]). Entre gris clair et gris foncé contient notamment des chansons écrites depuis le milieu des années 1970.
C'est aussi le premier album pour lequel Goldman collabore avec Carole Fredericks : elle prête sa voix, alors uniquement en tant que choriste, sur le premier titre du double vinyle, (intro) À quoi tu sers, ainsi que sur Quelque part, quelqu'un. L'album se vend à plus de 2 millions d'exemplaires[20].
Fredericks Goldman Jones
À la suite de la tournée Entre gris clair et gris foncé au cours de laquelle Jean-Jacques Goldman met en avant ses musiciens, lors de la création de l'album suivant, ce sont des chansons à plusieurs voix qui s'imposent naturellement. En 1990, débute une nouvelle phase dans la carrière de l'artiste : il s'entoure en effet de ses amis Carole Fredericks et Michael Jones. Ils signent un premier album à leurs noms : Fredericks Goldman Jones, qui devient par extension le nom du trio. Le titre initial envisagé était Récréation, à entendre sous la sonorité « Re-création ». L'album se vend à plus de 2 millions d'exemplaires[20].
En 1993, paraît l'album Rouge. Le trio profite de la chute du rideau de fer pour aller enregistrer une partie de son album à Moscou. L'album se vend à près de 1,3 million d'exemplaires[20].
Les tournées du trio Fredericks Goldman Jones alternent des concerts avec plusieurs milliers de personnes au Zénith et d'autres avec seulement une petite centaine dans des salles de province. L'enregistrement qui suivra cette deuxième tournée du groupe donnera naissance à l'album Du New Morning au Zénith, qui retrace les ambiances bien différentes des spectacles.
En passant
En 1997, Goldman revient à des mélodies brutes, acoustiques et blues. Son nouvel album en solo, En passant, connaît un succès retentissant avec des chansons comme On ira, Nos mains, Bonne idée.
Cet album est résolument intimiste. Il traite en partie de l'existence (On ira, En passant, Bonne idée) et de l'amour (Sache que je, Quand tu danses, Les Murailles). On y retrouve quelques allusions personnelles (rares chez Goldman) comme dans Les Murailles ou Quand tu danses.
La tournée qui suit est, elle aussi, beaucoup plus intimiste et plus acoustique que la tournée précédente Rouge. On peut noter comme principaux titres enregistrés en public : Ne lui dis pas, Le Rapt (chanson du 1er album), Là-bas, À nos actes manqués, Au bout de mes rêves, Sache que je, Pour que tu m'aimes encore (ultime chanson du spectacle).
Chansons pour les pieds et dernière tournée
En 2001, Jean-Jacques se veut musicien pour les pieds (en d'autres termes, un auteur de chansons faites pour danser) avec des succès comme Ensemble et Tournent les violons. L'album acoustique aux percussions plus recherchées qu'était En passant fait place à un CD très simple musicalement, mais avec des arrangements différents à chaque chanson, chaque nouvelle danse. Zouk, gigue, disco côtoient les traditionnelles ballades « goldmaniennes ». L'album se vend à 1,6 millions d'exemplaires[20].
En 2002, il rappelle sa troupe de musiciens pour ce qui est sa dernière tournée en date. On retrouve sur scène les musiciens de toujours, Michael Jones (guitares) et Claude Le Péron (basse) mais également Christophe Nègre (Saxophone-Clavier-Flûtes), Jacky Mascarel (claviers), Christophe Deschamps (batteur). Au son on retrouve Andy Scott et aux lumières Frédéric Pévéri. Il s'agit de la même formation que lors de la tournée En passant en 1998-1999.
L'après Chansons pour les pieds
En 2004, il compose une chanson en l'honneur de Michael Jones sur l'album de ce dernier, Le Frère que j'ai choisi. En fin d'année sort le single La Chanteuse de bal, chanson écrite et composée par Jean-Jacques pour Liane Foly. On note en 2004 sa participation aux Francofolies de la Rochelle et au concert « Les vendanges du cœur » à Ouveillan. En 2005, il compose trois titres (textes et musique) et deux textes pour l'album de Patrick Fiori Si on chantait plus fort.
Le quotidien belge La Dernière Heure/Les Sports a prétendu, en septembre 2005, que Jean-Jacques Goldman s'apprêtait à arrêter sa carrière et que l'annonce serait faite dans un livre signé de Fred Hidalgo (directeur du magazine Chorus). L'auteur a démenti la sortie d'un livre et Jean-Jacques Goldman, à travers un démenti publié auprès de l'AFP, a déclaré « Je commence à lire des articles dans la presse prétendant que j'arrêterais la chanson, c'est faux. »
En 2006, il signe les paroles de Viens me chercher dans l'album de Garou intitulé Garou. En 2007, sort un trio composé par Goldman 4 Mots sur un piano chanté par Christine Ricol, Patrick Fiori et Jean-Jacques lui-même.
Dans une interview accordée au quotidien Le Figaro datée du , Jean-Jacques Goldman dément toute préparation d'album. Dans le même entretien, il déclare ne pas savoir quand il reviendra sur scène et que ce ne sera « en tout cas pas dans les années à venir ».
En 2009, il adapte deux chansons de Michael Jones, Comme un père et D'hôtel en hôtel. Le 26 juin 2009, Jean-Jacques Goldman a rendu hommage à Michael Jackson sur RTL, au micro de Laurent Boyer. En décembre 2009, il participe au concert de Patrick Fiori à Aix en Provence.
Jean-Jacques Goldman compose quatre titres et un texte sur le nouvel album de Patrick Fiori L'Instinct masculin, dont Peut-être que peut-être disponible en radio dès la fin août 2010. Il interprète La Promesse, en duo avec Grégoire, sur le nouvel album de celui-ci sorti en novembre 2010, Le même soleil. En trente ans de carrière, c'est la seconde fois qu'il interprète un duo sur une chanson originale, qu'il n'a ni écrite, ni composée. C'est d'ici que je vous écris est le premier extrait du best of de Calogero, V.O/ V.S, sorti le 22 novembre 2010. Ce titre inédit a été écrit par Goldman et composé par Calogero. Il s'agit de la deuxième collaboration entre les deux chanteurs, après C'est dit, sortie en 2009.
Initialement prévu à la composition de la bande originale du long métrage Titeuf le Film, (sortie en avril 2011), Goldman n'a finalement ni écrit ni composé. Il a malgré tout eu un rôle clé puisqu'il a réussi à inciter Zep à composer lui-même la musique, avec l'aide de Robert Goldman, Nicolas Neidhardt et Thierry Blanchard. On le retrouve tout de même sur le titre Les filles à quoi ça sert ?, accompagné par Bénabar, Francis Cabrel et Alain Souchon.
En , Jean-Jacques Goldman annonce qu'un retour n'est pas à l'ordre du jour, et qu'aucun album n'est prévu dans les années à venir[22]. À l'occasion du concert donné par Rockaway à l'Olympia le pour l'association ELA, il a interprété Border Song d'Elton John.Le , il donne un concert à Ouveillan pour les Vendanges du Cœur en compagnie de Patrick Fiori, parrain de la manifestation, et de Mickaël Miro.
Génération Goldman et « personnalité préférée des Français »
En novembre 2012, sort un album de reprises intitulé Génération Goldman, fondé par le Label My Major Company. Il se vend à plus 800 000 exemplaires, et devient l'un des albums les plus vendus des dernières années. Il relance l’intérêt de la jeune génération pour les chansons de Goldman.
Le 3 décembre 2012, sort le single des Enfoirés : Attention au départ, écrit et composé par Jean-Jacques Goldman.
En , un sondage du journal Le Parisien Magazine consacre Jean-Jacques Goldman « personnalité préférée des Français » parmi un choix de réponses spontanées[1], et ce malgré la complète absence d'album et de concert depuis une dizaine d'années[23]. Ce classement est notamment à mettre en parallèle avec la sortie et le succès de l'album Génération Goldman.
En mars 2013, Jean-Jacques Goldman participe à une action visant à promouvoir les activités de la communauté de l'Arche, qui accueille des personnes handicapées mentales[24].
Début août, le JDD publie le résultat de son classement des 50 personnalités préférées des Français, en réintégrant le nom de Jean-Jacques Goldman parmi les 58 propositions faites aux sondés. Le chanteur avait été exclu de la liste il y a 10 ans, à sa propre demande. Le résultat l'expose à la première place du classement[25]. Position qu'il gardera les trois top 50 suivants.
Soutien aux œuvres humanitaires
Goldman a depuis longtemps mis son talent au profit d'œuvres humanitaires. On note notamment la participation au collectif pour les enfants d'Éthiopie (sous la direction de Daniel Balavoine et Renaud) et imposera à Renaud une modification du texte, les Restos du Cœur (pour lequel il compose la célèbre chanson des Restos), « Dernier matin d'Asie » (collectif Sampan) en faveur des boat people, Sidaction, Solidarité Asie, Solidarité inondation, etc.
En 1993, il chante Petite Marie avec Patrick Fiori et Jay dans l'album Les enfants de la Terre.
En 1995, en compagnie des vignerons d’Ouveillan, petit village audois, ils créent « les Vendanges du Cœur[26] » ; associant deux divinités mythiques, Apollon et Bacchus, ce geste de solidarité organisé chaque été au profit des « Restos du Cœur » débuta par un concert béni de Zeus.
Il est encore aujourd'hui l'une des personnes importantes des actions annuelles des Restos du Cœur. Jean-Jacques Goldman est l'initiateur et l'un des organisateurs de la soirée des Restos du Cœur qui rencontre chaque année un succès colossal et qui constitue 20 % (vente CD/DVD incluse) des recettes annuelles de l'association[27]. De 1986 à 1992, il sera d'ailleurs le parrain de l'association avant de passer le flambeau à Muriel Robin.
Le , sort le single des Enfoirés : Encore un autre hiver, coécrit par Jean-Jacques Goldman en collaboration avec Grégoire et composé par ce dernier. À l'été 2012 sort le premier single du groupe Circus, Sur un fil. Le groupe se compose des chanteurs Calogero, Stanislas et Philippe Uminski, ainsi que d'Elsa Fourlon et Karen Brunon. Le titre est composé par Calogero et Stanislas, le texte est signé Jean-Jacques Goldman.
Sorti le , le single qu'il a écrit pour les Enfoirés, Toute la vie, provoque une polémique en France au début du mois de [28]. Selon certaines critiques, le clip et les paroles de la chanson oppose les générations et donne une image fausse de la jeunesse, ce qui conférerait à la chanson un côté réactionnaire.
Influences
Pendant ses études à Lille, il craque pour Léo Ferré en allant voir le groupe Zoo qui fait sa première partie. « J'ai compris que c'était possible en français… La force des mots, le choc des notes. Ferré m'a eu ! » dira-t-il[29].
Il a été également influencé par Aretha Franklin et notamment la chanson Think à laquelle il fait référence dans la chanson 1,2,3 qu'il interprète avec Carole Fredericks et Michael Jones.
En 2012, dans un documentaire de France 5, Jean-Jacques Goldman témoigne de l'importance qu'eut le scoutisme dans sa jeunesse. C'est là qu'il empruntera pour la première fois une guitare, qu'il apprendra à accompagner un groupe qui chante[30].
Discographie
Au sein du groupe Taï Phong
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Au sein du trio Fredericks Goldman Jones |
Carrière solo
Albums studio |
Albums live
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Compilations |
Chansons hors albums
- Chansons issues des trois 45 tours enregistrés entre 1975 et 1979, sur le CD Les Années Warner :
- C'est pas grave papa
- Jour bizarre
- Tu m'as dit
- Laetitia
- Back to the City again
- Les Nuits de solitude
En plus de ces six chansons, ce CD contient également trois morceaux de l'époque Taï Phong : Sister Jane, When it's the season, End of an End)
- Ptit Blues Peinard (disponible en face B du 45 tours Américain (Long is the Road) et sur le CD Quelques choses bizarres de l'intégrale 81-91)
- La Chanson des Restos, pour l'association Les Restos du Cœur créée par Coluche (disponible sur le CD Quelques choses bizarres de l'intégrale 81-91)
- Slow Me Again (sorti en 1978 est disponible en 45 tours, maxi 45 tours et 2 versions maxi 45 tours promo)
- Just a dream (version anglaise de Les Nuits de solitude est disponible uniquement sur la face B du maxi 45 tours Slow Me Again sorti en 1978)
En 2004 il a participé au CD Agir Réagir en faveur des sinistrés du séisme qui a secoué la région d'Al Hoceïma, au Maroc le 24 février.
- L'Absence, enregistrée sur l'album Urgences en faveur de la lutte contre le sida en 1992, chanson d'abord écrite pour Rose Laurens.
- Medley (Quand la musique est bonne, Au bout de mes rêves, Comme toi, Long is the road, La vie par procuration, Pas toi) (Disponible en face B du 45 tours Il suffira d'un signe (sur scène) et en titre 2 sur le single du même nom
- Ici les Enfoirés pour le spectacle de 2009, intitulé Les Enfoirés font leur cinéma, sur la musique de In the Army Now (chanson écrite en 1981 par Rob et Ferdi Bolland et popularisée en 1986 par le groupe Status Quo).
- Si l'on s'aimait, si pour le spectacle de 2010, intitulé Les Enfoirés... la Crise de nerfs, sur la musique de I Was Made For Loving You du groupe Kiss, avec des paroles réécrites (en collaboration avec Bénabar).
- Encore un autre hiver pour le spectacle de 2012, intitulé Le Bal des Enfoirés, chanson entièrement composée et écrite par Jean-Jacques Goldman en collaboration avec Grégoire.
- Attention au départ pour le spectacle de 2013, intitulé La Boîte à musique des Enfoirés, composée et écrite par Jean-Jacques Goldman.
- La Chanson du bénévole pour le spectacle de 2014, intitulé Bon anniversaire les Enfoirés, écrite par Jean-Jacques Goldman et composée par Frédéric Château.
Participations
- Chanson d'amour sur l'album Maronnage de Malavoi (1998) (en duo avec Edith Lefel)
Chansons sorties en simples, 45 tours, ou diffusées en extrait promo
Entre parenthèses, le nom de l'album où se trouve le titre (sauf indication, album de Jean-Jacques Goldman).
- Il suffira (d'un signe) (Jean-Jacques Goldman) - 1981
- Quelque chose de bizarre (Jean-Jacques Goldman) - 1982
- Quand la musique est bonne (Minoritaire) - 1982
- Comme toi (Minoritaire) - 1983
- Au bout de mes rêves (Minoritaire) - 1983
- Envole-moi (Positif) - 1984
- Encore un matin (Positif) - 1984
- Long Is the Road (Américain) (Positif) - 1984
- Je marche seul (Non homologué) - 1985
- Je te donne (Non homologué) - 1985
- Pas toi (Non homologué) - 1986
- La vie par procuration (En public) - 1986
- Medley (En public) - 1987
- Elle a fait un bébé toute seule (Entre gris clair et gris foncé) - 1987
- Là-bas (Entre gris clair et gris foncé) - 1987
- C'est ta chance (Entre gris clair et gris foncé) - 1988
- Puisque tu pars (Entre gris clair et gris foncé) - 1988
- Il changeait la vie (Traces) live - 1988
- Peur de rien blues (Traces) live - 1989
- Elle attend (Singulier) - Version studio légèrement différente de la version de l'album Non Homologué - 1996
- Les derniers seront les premiers (Album de Céline Dion Live à Paris) - 1996
- Sache que je (En passant) - 1997
- On ira (En passant) - 1997
- Quand tu danses (En passant) - 1998
- Le coureur (En passant) - 1998
- Bonne idée (En passant) - 1998
- Tout était dit (En passant) 1998
- Pas toi (Tournée en passant) - 1999
- Nos mains (Tournée en passant) - 1999
- Le rapt (Tournée en passant) - 1999
- Elle ne me voit pas (BO de Astérix et Obélix contre César) - 1999
- Bélénos (BO de Astérix et Obélix contre César) - 1999
- Ensemble (Chansons pour les pieds) - 2001
- Tournent les violons (Chansons pour les pieds) - 2002
- Les choses (Chansons pour les pieds) - 2002
- Je voudrais vous revoir (Chansons pour les pieds) - 2002
- Si je t'avais pas (Chansons pour les pieds) - 2003
- Et l'on n'y peut rien (Un tour ensemble) - 2003
- Envole-moi (Un tour ensemble) - 2003
- Petite fille (Un tour ensemble) - 2003
- 4 mots sur un piano avec Patrick Fiori et Christine Ricol - 2007
- La promesse avec Grégoire (La Promesse de Grégoire) - 2011
- À quoi ça sert ? (BO du film Titeuf) - 2011
Chansons écrites pour d'autres
Jean-Jacques Goldman a écrit et composé pour de très nombreux artistes ; il a particulièrement collaboré avec Johnny Hallyday pour qui il a entièrement écrit et composé l'album Gang en 1986, puis produit Lorada en 1995, et avec Céline Dion sur D'eux en 1995, S'il suffisait d'aimer en 1998 et Une fille et quatre types en 2003.
Outre les chansons écrites et composées pour les groupes dont il a fait partie, Jean-Jacques Goldman a ainsi depuis 1980 (co)écrit ou (co)composé 125 chansons (éventuellement sous des pseudonymes, voir plus bas), pour les interprètes Céline Dion (29 chansons), Johnny Hallyday (12), Patrick Fiori (10), Patricia Kaas (8), Carole Fredericks (5), Florent Pagny (4), Khaled (4), Marc Lavoine (4), Maurane (4), Garou (3), Christophe Willem (3), Anne-Marie Batailler (2), Dan Ar Braz (2), France D'Amour (2), J.L.B. (2), Lââm (2), Liane Foly (2), Michael Jones (2), Calogero (2), Audrey Sara (1), Catherine Ferry (1), Christine Ricol (1), Christophe Deschamps (1), Christopher Thompson (1), Danielle Messia (1), Elli Medeiros (1), Émile et Images (1), Émilie Bonnet (1), Gérald de Palmas (1), Gildas Arzel (1), Idir (1), Jane Surrey (1), Janic Prévost (1), Jeane Manson (1), Jean-Marie Bigard (1), Joe Cocker (1), Julie Zenatti (1), Linda Singer (1), Lorie (1), Maxime Le Forestier (1), Philippe Lavil (1), Poetic Lover (1), Ray Charles (1), Richard Cocciante (1), Robert Charlebois (1), Roch Voisine (1), Rose Laurens (1), Sabrina Lory (1), Stephan Eicher (1), Yannick Noah (1)[31] et Zaz (1).
Certaines des chansons qu'il a écrites pour les autres ont été faites en collaboration avec J. Kapler, pseudonyme de son frère Robert Goldman, notamment pour les chansons de Florent Pagny.
On peut y ajouter la Chanson des Restos, écrite et composée en 1986 pour Coluche et les Restos du Cœur[32], l'adaptation de Ici les Enfoirés en 2009[33], ainsi que plusieurs chansons écrites et composées pour le scoutisme ou une chorale.
Jean-Jacques Goldman a écrit la plupart de ces chansons en utilisant son propre nom, mais il a parfois fait usage de pseudonymes, dans le but, comme il le confiera, de s'effacer et de donner toute leur place à la chanson et aux interprètes[34]. De 1979 à 2004, Il a ainsi écrit sous les noms de[35] :
- « Sweet Memories » : deux chansons également interprétées par lui sous ce même pseudonyme en 1979, puis six autres chansons pour cinq interprètes de 1982 à 1984 ;
- « First prayer » : deux chansons également interprétées par lui sous ce même pseudonyme en 1980 ;
- « Sam Brewski » : sept chansons pour sept interprètes de 1991 à 2004 ;
- « O. Menor » : trois chansons pour Marc Lavoine en 1993 (ce pseudonyme est une transcription phonétique de « homme en or », jeu de mots avec la traduction de l'anglais gold man ; Marc Lavoine utilisa d'ailleurs pour l'occasion le pseudonyme « M. Oats », oats signifiant « avoine » en anglais).
Compositions
Jean-Jacques Goldman a composé plusieurs bandes originales de films :
- L'Union sacrée, cocomposé avec Roland Romanelli avec notamment le Thème de Lisa, en 1989 ;
- Pacific Palisades, avec entre autres une chanson avec Ray Charles. Générique chanté par Sabrina Lory, en 1990 ;
- Astérix et Obélix contre César, cocomposé avec Roland Romanelli, avec notamment la chanson Elle ne me voit pas, en 1999.
Il a également composé les génériques de plusieurs émissions :
- Taratata (une version ré-arrangée du solo de guitare figurant au milieu de la chanson Rouge) ; on notera à ce propos que, lors du 2e numéro de l'émission, Goldman est venu au secours de son ami Nagui en remplaçant l'invité principal, William Sheller, qui s'était décommandé à la dernière minute ;
- Les Aventures du bien.
La musique utilisée lors des meetings de la campagne présidentielle de Lionel Jospin en 1995 était une version ré-arrangée de la partie instrumentale de Il changeait la vie et Ensemble sur la campagne 2002.
Classement des titres classés
Note : le classement en Belgique francophone n'étant en fonction que depuis avril 1995, les ventes des titres antérieurs ne sont pas évaluées avant cette date.
Années | Titres | Classement des ventes | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
FR [36] |
BEL/Wa [36] |
BEL/Fl [36] |
NL [36] |
CH [36] |
AUT [36] |
SE [36] |
NO [36] | ||
1984 | Long Is the Road (Américain) (Jean-Jacques Goldman) | 6 | — | — | — | — | — | — | — |
1985 | Je marche seul (Goldman) | 2 | — | — | — | — | — | — | — |
1985 | Je te donne (Goldman et Michael Jones) | 1 | — | — | — | — | — | — | — |
1986 | La Chanson des Restos (Les Enfoirés) | 2 | — | — | — | — | — | — | — |
1986 | Pas toi (Goldman) | 5 | — | — | — | — | — | — | — |
1986 | Je t'attends (Johnny Hallyday) | 23 | — | — | — | — | — | — | — |
1986 | La vie par procuration (Goldman) | 2 | — | — | — | — | — | — | — |
1987 | Elle a fait un bébé toute seule (Goldman) | 4 | — | — | — | — | — | — | — |
1987 | Là-bas (Sirima et Goldman) | 2 | — | — | — | — | — | — | — |
1987 | J'oublierai ton nom (Hallyday et Carmel) | 5 | — | — | — | — | — | — | — |
1987 | Je te promets (Hallyday) | 5 | — | — | — | — | — | — | — |
1987 | Laura (Hallyday) | 5 | — | — | — | — | — | — | — |
1988 | L'envie (Hallyday) | 15 | — | — | — | — | — | — | — |
1988 | C'est ta chance (Goldman) | 16 | — | — | — | — | — | — | — |
1988 | Puisque tu pars (Goldman) | 3 | — | — | — | — | — | — | — |
1988 | Il changeait la vie (Goldman) | 14 | — | — | — | — | — | — | — |
1989 | Peur de rien blues (Goldman) | 17 | — | — | — | — | — | — | — |
1990 | Nuit (Fredericks Goldman Jones) | 6 | — | — | 30 | — | — | — | — |
1991 | À nos actes manqués (Fredericks Goldman Jones) | 2 | — | — | — | — | — | — | — |
1991 | Né en 17 à Leidenstadt (Fredericks Goldman Jones) | 11 | — | — | — | — | — | — | — |
1991 | C'est pas d'l'amour (Fredericks Goldman Jones) | 11 | — | — | — | — | — | — | — |
1992 | Un, deux, trois (Fredericks Goldman Jones) | 8 | — | — | — | — | — | — | — |
1992 | Tu manques (Fredericks Goldman Jones) | 12 | — | — | — | — | — | — | — |
1992 | Il suffira d'un signe (Fredericks Goldman Jones) | 14 | — | — | — | — | — | — | — |
1993 | Rouge (Fredericks Goldman Jones) | 18 | — | — | — | — | — | — | — |
1993 | Il me dit que je suis belle (Patricia Kaas) | 5 | — | — | — | — | — | — | — |
1994 | Juste après (Fredericks Goldman Jones) | 32 | — | — | — | — | — | — | — |
1994 | Est-ce que tu me suis ? (Florent Pagny) | 45 | — | — | — | — | — | — | — |
1994 | Si tu veux m'essayer (Pagny) | 7 | — | — | — | — | — | — | — |
1995 | Fermer les yeux (Fredericks Goldman Jones) | 33 | — | — | — | — | — | — | — |
1995 | J'la croise tous les matins (Hallyday) | 7 | 21 | — | — | — | — | — | — |
1995 | Ne m'oublie pas (Hallyday) | 18 | 18 | — | — | — | — | — | — |
1995 | Quand le masque tombe (Hallyday) | 22 | — | — | — | — | — | — | — |
1995 | Pour que tu m'aimes encore (Céline Dion) | 1 | 1 | 2 | 4 | 17 | 30 | 3 | — |
1995 | Omdat ik zo van je hou (Gordon (artiest) (nl)) | — | — | — | 4 | — | — | — | — |
1995 | Je sais pas (Dion) | 1 | 1 | 39 | 34 | — | — | — | — |
1995 | Rester libre (Hallyday) | 28 | — | — | — | — | — | — | — |
1996 | Je te donne (Worlds Apart) | 3 | 3 | 35 | — | 16 | 16 | 16 | — |
1996 | Aïcha (Khaled) | 1 | 1 | 25 | 14 | 11 | — | — | — |
1997 | Quand j'ai peur de tout (Kaas) | 11 | 12 | — | — | 41 | — | — | — |
1997 | Le jour viendra (Khaled) | 24 | 12 | — | — | — | — | — | — |
1997 | J'attendais (Dion) | 46 | 22 | — | — | — | — | — | — |
1997 | Je voudrais la connaître (Kaas) | 20 | 9 | — | — | — | — | — | — |
1997 | Pas toi… (Melgroove) | 17 | 6 | — | — | — | — | — | — |
1997 | Sache que je (Goldman) | 19 | 18 | — | — | — | — | — | — |
1998 | Quand tu danses (Goldman) | 66 | — | — | — | — | — | — | — |
1998 | Bonne idée (Goldman) | 68 | — | — | — | — | — | — | — |
1998 | Zora sourit (Dion) | 20 | 12 | 48 | 67 | 25 | — | — | — |
1998 | Personne ne saurait (Carole Fredericks et Poetic Lover) | 7 | 12 | — | — | — | — | — | — |
1998 | S'il suffisait d'aimer (Dion) | 4 | 6 | 8 (tip) | — | — | — | — | — |
1999 | Hon ser inte mig (Peter Jöback) | — | — | — | — | — | — | 41 | — |
1999 | Ze ziet me niet staan (Marcel Kapteijn) | — | — | — | 77 | — | — | — | — |
1999 | Sie sieht mich nicht (Xavier Naidoo) | — | — | — | — | 5 | 11 | — | — |
1999 | On ne change pas (Dion) | 17 | 16 | 17 (tip) | — | — | — | — | — |
1999 | C'est la nuit (Khaled) | 29 | 35 | — | — | — | — | — | — |
2000 | Les chansons commencent (Kaas) | 70 | — | — | — | — | — | — | — |
2000 | J'en rêve encore (Gérald de Palmas) | 7 | 4 | — | — | — | — | — | — |
2002 | Pourquoi cette pluie ? (Idir) | 64 | — | — | — | — | — | — | — |
2003 | Aïcha (Outlandish) | — | — | 8 | 2 | 1 | 3 | 1 | 3 |
2003 | Je sais où aller (Patrick Fiori) | 13 | 2 (tip) | — | — | 86 | — | — | — |
2003 | Et l'on n'y peut rien (Goldman) | 7 | 37 | — | — | 61 | — | — | — |
2004 | Au bout de mes rêves (Nouvelle Star) | 22 | 4 (tip) | — | — | 45 | — | — | — |
2004 | Et je t'aime encore (Dion) | 16 | 14 | 17 (tip) | — | 31 | — | — | — |
2004 | C'est plus fort que moi (Lorie) | 15 | 18 | — | — | — | — | — | — |
2006 | Toutes les peines (Fiori) | 11 | 2 (tip) | — | — | 37 | — | — | — |
2007 | 4 mots sur un piano (Fiori, Goldman et Christine Ricol) | 1 | 7 | — | — | 40 | — | — | — |
2009 | C'est dit (Calogero) | — | 1 | — | — | 78 | — | — | — |
2010 | Peut-être que peut-être (Fiori) | — | 14 | — | — | — | — | — | — |
2010 | C'est d'ici que je vous écris (Calogero) | — | 25 | — | — | — | — | — | — |
2011 | À nos actes manqués (M. Pokora) | 8 | 16 | — | — | — | — | — | — |
2011 | Un peu de blues (Christophe Maé) | 29 | 24 | — | — | — | — | — | — |
2012 | Veiller tard (Shy'm) | 115 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Là-bas (Marie-Mai et Baptiste Giabiconi) | 96 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Au bout de mes rêves (Emmanuel Moire et Amandine Bourgeois) | 143 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Je marche seul (Christophe Willem) | 113 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | On ira (Florent Mothe et Judith) | 78 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Comme toi (Amel Bent) | 91 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Let's Talk About Love (Medley) (Irma et Zaz) | 170 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | L'envie (Hallyday) | 116 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Envole-moi (Goldman) | 150 | — | — | — | — | — | — | — |
2012 | Sur un fil (Circus) | 95 | 1 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2012 | Famille (Génération Goldman) | 49 | 5 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2012 | Je te donne (Leslie et Ivyrise) | 38 | 3 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2012 | Encore un autre hiver (Les Enfoirés) | 10 | 4 | — | — | 63 | — | — | — |
2012 | Je te promets (Les Enfoirés) | 62 | 40 | — | — | — | — | — | — |
2012 | Comme toi (Atef) | 55 | 44 | — | — | — | — | — | — |
2012 | Envole-moi (Pokora et Tal) | 5 | 7 | 87 (tip) | — | 39 | — | — | — |
2012 | Attention au départ (Les Enfoirés) | 5 | 3 | — | — | 49 | — | — | — |
2013 | Il changeait la vie (La Troupe de Robin des Bois) | 163 | — | — | — | — | — | — | — |
2013 | La vie par procuration (Leslie et Pauline) | 146 | — | — | — | — | — | — | — |
2013 | Encore un matin (Zaho) | 158 | — | — | — | — | — | — | — |
2013 | Confidentiel (Willem) | 151 | — | — | — | — | — | — | — |
2013 | Vole (Dion) | 67 | — | — | — | — | — | — | — |
2013 | Quand la musique est bonne (Bent et Soprano) | 40 | 5 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2013 | Nos mains (Génération Goldman 2) | 72 | 4 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2013 | Si (Zaz) | 34 | 3 (tip) | 36 (tip) | — | — | — | — | — |
2013 | Pas toi (Tal) | 39 | 9 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2013 | La Chanson du bénévole (Les Enfoirés) | 22 | 14 | — | — | — | — | — | — |
2014 | Du vent, des mots (Garou et Charlotte Cardin) | 131 | 7 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2014 | Elles (Fiori) | 136 | 11 (tip) | — | — | — | — | — | — |
2015 | Toute la vie (Les Enfoirés) | 16 | — | — | — | — | — | — | — |
Vidéographie
- Carnet de route 1981 à 1986 (1987)
- Vidéoclips 1981/1989 (1989)
- Traces (1989)
- Au New Morning (1995)
- Tours et détours (1995)
- En passant tournée 98 (1999)
- Souvenirs de tournées (2000)
- Du New Morning au Zénith (2000)
- Intégrale des clips 1981/2000 (2000)
- Chronique d'un album (2001) (DVD promotionnel interdit à la vente, inclus dans le programme de la tournée 2002)
- Un tour ensemble (2003)
- Comment tournent les violons (2004) réalisé par Gilbert Namiand (DVD promotionnel interdit à la vente)
Au cinéma
- 1989 : L'union sacrée
- 1990 : Pacific Palisades
- 1997 : Le cousin (Aïcha)
- 1999 : Astérix & Obélix contre César
- 1999 : Mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs (Elle a fait un bébé toute seule)
- 2000 : La ville est tranquille (Pas toi)
- 2002 : Les femmes... ou les enfants d'abord... (L'Envie)
- 2002 : La Mentale (Je te promets)
Récompenses
Il y a peu de chance de le voir venir chercher un prix car Jean-Jacques Goldman a déclaré au sujet des Victoires de la musique que « soit on vient et on l'a pas, ce qui est vachement décevant, ou on l'a et là c'est pire »[réf. nécessaire]. Il est toutefois venu aux Victoires de 1996 pour un duo surprise avec son ami Khaled. Il est également venu aux Victoires de 1998, pour un trio avec Johnny Hallyday et Pascal Obispo.
Notes et références
Notes
Références
- 1 2 « Jean-Jacques Goldman, personnalité préférée des Français », Le Nouvel Observateur, mis en ligne le 21 décembre 2012.
- ↑ « Jean-Jacques Goldman est encore la personnalité préférée des Français », sur lemonde.fr, (consulté le 10 août 2014)
- ↑ Infodisc : Les Ventes par Artiste de 1955 à fin 2012
- ↑ Bernard Violet, Jean-Jacques Goldman : Un homme bien comme il faut, J'ai Lu (ISBN 9782290031971), chap. 1 (« Chinois »), p. 15.
- ↑ Didier Varrod, Goldman : portrait non conforme, P.-M. Favre, 1987, p. 201
- ↑ Hervé Hamon et Patrick Rotman, Génération 1. Les années de rêve, Éditions du Seuil, collection « Points – essais », 2008, p. 148-150.
- ↑ Sandro Cassati, Jean-Jacques Goldman. Authentique, City Edition, 2014, p. 27
- ↑ Patrick Amine, Jean-Jacques Goldman : un monde à part, Bartillat, 2006, page 154.
- ↑ Éric Le Bourhis, Le mystère Goldman. Portrait d'un homme très discret, Éditions Prisma, 2014, p. 121
- ↑ « Notice Bibliographique de thèse: "Lagier, Nathalie Goldman (1979-….)" »
- ↑ « Agrégation de Mathématiques: Resultats », sur agreg.org (consulté le 7 octobre 2015)
- ↑ [PDF] Thèse de Mathématiques : « Terme constant de fonctions sur un espace symétrique réductif P-adique », Nathalie Lagier, Université de la Méditerranée, Faculté des Sciences de Luminy, thèse soutenue le 13 juin 2007 - sur le site univ-mrs.fr (consulté le 20 mars 2015)
- 1 2 Jean-Louis Beaucarnot, Frédéric Dumoulin, Dictionnaire étonnant des célébrités, First Éditions, 2015, p. 74
- ↑ Patrick Amine, Jean-Jacques Goldman : un monde à part, Bartillat, 2007, p. 45
- ↑ Éric Le Bourhis, Le mystère Goldman. Portrait d'un homme très discret, Éditions Prisma, 2014, p. 47
- ↑ Patrick Amine, Jean-Jacques Goldman : un monde à part, Bartillat, 2007, p. 46
- ↑ Chansons, no 10, été 1984
- ↑ RFM, 8 octobre 2000
- ↑ Éric Le Bourhis, Le mystère Goldman. Portrait d'un homme très discret, Éditions Prisma, 2014, p. 51
- 1 2 3 4 5 6 Infodisc : Les Meilleures Ventes de CD/Albums depuis 1968
- ↑ Site consacré à l'album de Sirima, avec les crédits des différentes chansons
- ↑ « Jean-Jacques Goldman dément tout projet d'album », 20minutes.fr, mis en ligne le 5 janvier 2011
- ↑ « Jean-Jacques Goldman, personnalité préférée des Français », Le Monde, (consulté le 18 mai 2014)
- ↑ Loup Besmond de Senneville, « Jean-Jacques Goldman participe à un clip en faveur de L’Arche », sur http://www.la-croix.com, La Croix, (consulté le 20 mars 2013).
- ↑ Top 50 : le grand retour de Goldman
- ↑ http://www.lesvendangesducoeur.com/
- ↑ Les chiffres, sur le site restosducoeur.org
- ↑ (en) « ‘Toute La Vie,’ Song for French Charity, Strikes Discordant Note », sur nytimes.com
- ↑ http://www.parler-de-sa-vie.net/ecrits/interviews/1994xx04.html
- ↑ Le documentaire complet de France 5 sur le scoutisme http://www.youtube.com/watch?v=wFZJM1tFYRo (voir de 0 min à 1min12s et de 30min08s à 30min53s)
- ↑ Paroles données, sur le site parler-de-sa-vie.net
- ↑ La Chanson des Restos sur le site officiel des Enfoirés
- ↑ Ici les Enfoirés ainsi que le single 2012 Encore un autre hiver composé entièrement par lui sur le site officiel des Enfoirés
- ↑ Dr Jean-Jacques, Mister Goldman : Ces chansons derrière lesquelles se cache la plume de Jean-Jacques Goldman, sur le site www.cestunechanson.fr, août 2013
- ↑ Pseudonymes, sur le site parler-de-sa-vie.net
- 1 2 3 4 5 6 7 8 « Jean-Jacques Goldman dans les classements internationaux », sur ultratop.be (consulté le 28 mars 2014)
Annexes
Bibliographie
- 1986 : Tout sur Goldman, Philippe Deboissy, Éditions Hyperstar
- 1987 : Goldman - Portrait non conforme, Christian Page et Didier Varrod, Éditions Pierre-Marcel Favre, Collection Presses Pocket
- 1988 : Goldman, Claude Gassian, Éditions Paul Putti – Éditeur
- 1991 : Jean-Jacques Goldman, Claude Gassian (avec des légendes de Didier Varrod), Éditions Jean-Pierre Tailandier
- 1991 : Jean-Jacques Goldman : le parcours d'une star, Catherine et Michel Rouchon, Éditions Rouchon
- 1992 : Jean-Jacques Goldman : il change la vie, Frank Andriat, Albine Asselman, Cathy Avai, Nicolas Franckx, Véronique Gilson, Yasmine Grebeude, Laurent Mammerickx, Agnès Mathieu, Richard Piret, Lina Prassas, Valérie Raye, Manuel Sanchez, Éditions Pré aux Sources
- 1993 : ROUGE, Sorj Chalandon / Jean-Jacques Goldman / Lorenzo Mattotti, Éditions Jean-Pierre Tailandier
- 1995 : Jean-Jacques Goldman, Patrick Amine, Éditions Albin Michel
- 1998 : Jean-Jacques Goldman - En Passant, Éditions Hit Diffusion
- 1999 : Les pères ont des enfants, Alain Etchegoyen / Jean-Jacques Goldman, Éditions Seuil
- 2002 : Jean-Jacques Goldman de A à Z, Mathias Goudeau, Éditions L'Express, Collection MusicBook
- 2002 : Chansons pour les pieds, Éditions Hit Diffusion
- 2003 : Voyage en guitare - Jean-Jacques Goldman, Éditions Hit Diffusion
- 2003 : Jean-Jacques Goldman - Tout simplement, Annie et Bernard Reval, Éditions France Empire
- 2004 : Jean-Jacques Goldman – Chansons pour les yeux (BD), Collectif, Éditions Delcourt G. Productions
- 2004 : Jean-Jacques Goldman - Des bouts de lui, François Rauzier, Éditions Favre Eds
- 2004 : Les chansonniers de la table ronde - Cabrel, Goldman, Simon, Souchon, Fred Hidalgo, Éditions Fayard
- 2004 : Créateur de l'ombre, dans le secret des chansons, Mathias Goudeau, préface de Jean-Jacques Goldman, Éditions Autrement, Collection Passions complices
- 2005 : Jean-Jacques Goldman de A à Z, Mathias Goudeau, Éditions Delcourt G. Productions
- 2005 : Jean-Jacques Goldman : Une vie en musiques, Mathias Goudeau, Éditions City
- 2006 : Jean-Jacques Goldman - Chansons pour les autres, Éditions Hit Diffusion
- 2006 : Le Roman de Daniel Balavoine, Didier Varrod, préface de Jean-Jacques Goldman, Éditions Fayard-Chorus
- 2007 : Jean-Jacques Goldman - Un monde à part, Patrick Amine, Éditions Bartillat
- 2009 : Les tubes de Jean-Jacques Goldman, l'histoire des singles de 1981 à 2007, Ludovic Lorenzi, Ludovic Lorenzi 2009
- 2010 : Jean-Jacques Goldman - Un homme bien comme il faut, Bernard Violet
- 2011 : Jean-Jacques Goldman - Le vent de l'histoire Emmanuel Bonini
- 2014 : Eric Le Bourhis, Le mystère Goldman, Prisma, , 288 p. (ISBN 978-2810413447, présentation en ligne)
Articles connexes
- Fredericks Goldman Jones
- Taï Phong
Lien externe
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