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Jean-Honoré Fragonard

Jean-Honoré Fragonard

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Fragonard.
Jean-Honoré Fragonard

L'Inspiration, 1769, Musée du Louvre
(Autoportrait de Jean-Honoré Fragonard).

Naissance

Grasse (France)
Décès
(à 74 ans)
Paris (France)
Nom de naissance
Jean-Honoré Nicolas Fragonard[1]
Nationalité
Français
Activité
Peintre, dessinateur
Formation

Académie de France à Rome

Chardin, Boucher et Charles André van Loo

Élève
Jean-Baptiste Le Brun +
Mouvement
Distinction
Prix de Rome
Œuvres réputées
Les Hasards heureux de l'escarpolette
La Liseuse
Le Verrou

Jean-Honoré Nicolas Fragonard (né le à Grasse et mort le à Paris) est un des principaux peintres français du XVIIIe siècle. Peintre d'histoire, de genre et de paysage, il se spécialise assez rapidement dans le genre libertin et les scènes galantes, comme le montre son célèbre tableau Le Verrou.

Biographie

Détail du Monument à Jean-Honoré Fragonard (1907) par Auguste Maillard à Grasse.

Jean-Honoré est fils de François Fragonard, garçon gantier, et de Françoise Petit. Après le décès à dix mois de son petit frère Joseph, il reste enfant unique. Jean Honoré Fragonard quitte sa ville natale à l'âge de six ans pour s'installer avec sa famille à Paris, où se déroule la plus grande partie de sa carrière[2].

Les dispositions artistiques de Fragonard sont précoces et c'est le notaire chez qui il devient clerc à treize ans qui remarque ses dons artistiques. Après avoir quelque temps travaillé avec Jean Siméon Chardin, il entre comme apprenti, à l'âge de quatorze ans, dans l'atelier de François Boucher. C'est grâce à lui que le jeune Fragonard affirme ses dons et apprend à copier les maîtres. Boucher le présente bientôt au prestigieux Grand prix de Peinture de l'Académie royale qu'il remporta en 1752 grâce à son tableau Jéroboam sacrifiant aux idoles[3]. Une carrière dans la peinture d'histoire lui semble alors toute tracée. Il entre ainsi durant trois années à l'École royale des élèves protégés alors dirigée par le peintre Carle Van Loo. Fragonard effectue son Grand Tour et part en 1756 pour l'Académie de France à Rome en compagnie de son ami Hubert Robert (un autre peintre ayant remporté le prix de Rome) et l'architecte Victor Louis. Il y résidera jusqu'au mois d'avril 1761 et y est notamment influencé par le peintre Giambattista Tiepolo et le style baroque de Pierre de Cortone, mais il s'épuise à pasticher les grands maîtres selon un style encore académique. Jean-Claude Richard de Saint-Non devient, à cette époque, son protecteur et principal commanditaire. Il quitte dès lors la Ville éternelle pour la France durant un long périple achevé en septembre à travers les villes de Florence, Bologne et Venise notamment[4].

Il obtient un atelier au Louvre où il vit et est chargé de décorer la galerie Apollon[5]. En 1765, son tableau Corésus et Calirrhoé, commandé pour la manufacture des Gobelins pour la tenture des amours des dieux, le fait entrer à l'Académie[6]. Mais, désespérant d'atteindre le premier rang dans ce genre classique, il le quitte pour le genre érotique, dans lequel ses toiles galantes obtiennent le plus grand succès auprès de la Cour licencieuse de Louis XV. Il devient bientôt le peintre à la mode, peint des paysages illusionnistes et des portraits puis des tableaux de cabinets. En 1769, il se marie avec Marie-Anne Gérard (1745-1823), une peintre en miniature aussi originaire de Grasse, belle-sœur de Marguerite Gérard. Cette même année nait leur première fille Rosalie (1769-1788).

En 1773, après un voyage en Flandre pendant l'été, le fermier général Pierre-Jacques-Onésyme Bergeret de Grandcourt lui propose d'être son guide pour un voyage en Italie, puis en Europe centrale, qui débutera en octobre. Bergeret de Grandcourt était comte de Nègrepelisse, et l'itinéraire du voyage, à l'aller, passe par cette localité, où la petite troupe de voyageurs séjourne une quinzaine de jours. Fragonard y dessine le château, propriété de Bergeret[7]. Le voyage prend fin en septembre 1774 après les visites successives de Vienne, Prague, Dresde, Francfort et enfin Strasbourg.

En 1780, le couple Fragonard donne naissance à un nouvel enfant Alexandre-Évariste Fragonard (1780-1850), qui deviendra lui aussi artiste. Huit ans plus tard meurt leur fille Rosalie à seulement 19 ans au château de Cassan en région parisienne. Durant la Révolution, il séjourne à Grasse (1790-91) chez son cousin Alexandre Maubert (cette bastide est devenue la villa-musée Jean-Honoré Fragonard en 1977)[8]. Fragonard devient membre de la Commune des Arts en 1793. Par la suite, Fragonard est nommé l'un des conservateurs du musée du Louvre par l'Assemblée nationale à la suite de l'intervention de Jacques-Louis David.

En 1805, tous les artistes résidents, dont Fragonard, sont expulsés du Louvre par décret impérial, consécutif à la réorganisation de l'édifice en musée Napoléon. La disparition de l'aristocratie commanditaire (ruinée ou exilée) lui fait perdre sa grande fortune. Il s'installe alors chez son ami Veri, au Palais Royal. L'année suivante, il meurt, apparemment terrassé par une congestion cérébrale dans son nouveau logement situé aux galeries du Palais-Royal, dans l'indifférence quasi-totale de ses contemporains[9]. Les funérailles sont célébrées à l'église Saint-Roch. Il est inhumé dans l'ancien cimetière de Montmartre, où sa tombe remplacée a disparu vers le milieu du XIXe siècle, une plaque cénotaphe en marbre étant apposée sur le mur de l'emplacement où se trouvait sa tombe (19e division)[10].

Famille

La famille de Fragonard comprenait de nombreux artistes :

  • Marguerite Gérard, sa belle-sœur et élève peintre intimiste ;
  • Marie-Anne Gérard, son épouse, miniaturiste ;
  • Alexandre-Évariste Fragonard, son fils ;
  • Théophile Fragonard, son petit-fils, fils d'Alexandre.

Son cousin, Honoré Fragonard, est un anatomiste célèbre dont les « écorchés » sont conservés dans le musée Fragonard (École Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort).

Il est l'arrière-grand-oncle de l'artiste-peintre Berthe Morisot, une célèbre impressionniste du siècle suivant.

Œuvre

À l'instar de François Boucher, Fragonard est considéré comme le peintre de la frivolité, du Rococo, bien qu'il ait peint dans de nombreux autres registres : grands paysages inspirés de peintres hollandais, peintures religieuses ou mythologiques, ou scène de bonheur familial notamment.

Le Chat angora (vers 1783-1785) - Wallraf museum, Cologne

D'un trait virtuose, Fragonard savait montrer le tourbillonnement du monde par des gestes expressifs et gracieux ou des drapés pleins de vigueur. Fragonard est le dernier peintre d'une époque sur le déclin, ses scènes de genre seront bientôt rendues obsolètes par la dureté néoclassique de David, par la cruauté de la Révolution et celle de l'Empire.

Les scènes de genre de Fragonard sont volontiers égrillardes, comme Les Hasards heureux de l'escarpolette, fantasme d'un commanditaire libidineux (M. de Saint-Julien, receveur général des biens du clergé) qui donna à l'artiste des conseils de mise en scène : « Je désirerais que vous peignissiez Madame sur une escarpolette qu'un évêque mettrait en branle. Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant et mieux même, si vous voulez égayer votre tableau. »

Mais même ces scènes effectivement frivoles peuvent être lues à un niveau différent, on peut y voir percer, souvent, une inquiétude, un sentiment de fin de fête parfois (et cela rappelle Watteau ou encore le roman Point de lendemain par Vivant Denon), ou encore une menace diffuse : les couples dans l'intimité, les belles qui s'épouillent, les endormies, tout ce petit monde de grâce et de sympathie est observé par un peintre qui nous rappelle que la jeunesse ne dure pas et que les moments de tendresse lascive sont fugaces et rares.

Fragonard avait travaillé notamment avec Hubert Robert (1733-1808), leur collaboration fit l'objet d'une exposition à Rome à la Villa Médicis[11].

Le Verrou

Le Verrou, (vers 1774-1778) - musée du Louvre, Paris.

Malgré les multiples analyses effectuées sur ce tableau, conservé au musée du Louvre, il n'y a pas eu une explication concise, mais plusieurs éventualités, quant à sa signification. S'agit-il d'un viol, ou d'une scène d'amour ?

Une esquisse de taille réduite (26 × 32,5 cm) de ce tableau a été vendue chez Christie's le pour la somme de £5 281 500, lot no 95, soit environ 8 080 000[12].

La version originale du Verrou a été acquise[13] par le musée du Louvre en 1974. Elle fut conçue par le peintre comme pendant à l'Adoration des bergers (offerte au Louvre en 1988 par monsieur et madame Roberto Polo[14]). Sont ainsi opposés l'amour sacré et l'amour profane.

Le verrou a fait l'objet d'un arrêt classique de la première chambre civile de la Cour de cassation du 24 mars 1987, qui a fait jurisprudence sur la théorie de l'erreur en Droit des obligations français.

Les Progrès de l'amour dans le cœur d'une jeune fille

Ce projet fut commencé en 1771 à la suite d'une commande de Madame du Barry, la dernière maîtresse de Louis XV. Il consistait en quatre tableaux intitulés La Poursuite, La Surprise (ou La Rencontre), L'Amant couronné et La Lettre d'amour et destinés à être installés au pavillon de Louveciennes dans le salon de forme ovale (appelé aujourd'hui le salon Fragonard). Mais, quelque temps après l'installation, les tableaux furent rejetés car ils ne s'accordaient pas avec le style d'architecture néoclassique du pavillon.

Ainsi, Fragonard conserva tous les tableaux dans son atelier et les apporta avec lui quand il retourna à Grasse, sa ville natale. Il décida alors de les installer dans l'un des salons de la villa de son cousin, mais les murs restant encore vides après cette installation, Fragonard décida de peindre dix tableaux supplémentaires afin de meubler l'espace.

Les panneaux qui sont aujourd'hui à Grasse, dans la villa qui est devenue le musée Jean-Honoré Fragonard, sont des copies réalisées par Auguste de La Brély, avant la vente des originaux au collectionneur américain Pierpont-Morgan (ensuite achetés par Frick en 1915, ils se trouvent aujourd'hui dans la collection Frick de New York).

Cela fait au total quatorze tableaux que l'on peut diviser en trois groupes.

  • Six scènes d'amour :
    • La Poursuite
    • La Surprise ou La Rencontre
    • L'Amant couronné
    • La Lettre d'amour
    • L'Abandonnée
    • L'Amour triomphant
  • Quatre allégories des amours :
    • L'Amour en sentinelle
    • L'Amour folie
    • L'Amour poursuivant une colombe
    • L'Amour assassin
  • Quatre peintures décoratives.

Autres œuvres

L'Adoration des bergers, 1775 - Musée du Louvre, Paris.
  • Renaud dans les jardins d'Armide, huile sur toile, 72 × 90 cm, 1763, musée du Louvre, Paris.
  • L’Abreuvoir, 51 5 cm × 63 cm, vers 1765, musée des beaux-arts, Lyon
  • Les Hasards heureux de l'escarpolette, huile sur toile, 81 cm × 64 cm, 1767-1768, Wallace Collection, Londres.
  • Les Débuts du modèle, huile sur toile, 50 cm × 63 cm, 1769, musée Jacquemart-André, Paris.
  • Portrait de M. Meunier, dit autrefois Portrait de Diderot, vers 1769, huile sur toile, 81 × 65 cm, Musée du Louvre, Paris[15].
  • Jean-Claude Richard de Saint-Non habillé à l'espagnole, (v.1769), Musée national d'art de Catalogne, Barcelone.
  • L'Amour embrasant l'Univers, huile sur toile, 116 × 145 cm, vers 1770, Musée d'art, Toulon.
  • La Poursuite, huile sur toile, vers 1771, 67 × 38 cm, musée des beaux-arts, Angers.
  • La Surprise, huile sur toile, vers 1771, 67 × 38 cm, musée des beaux-arts, Angers.
  • La Liseuse, vers 1770–1772, National Gallery of Art, Washington.
  • L'Adoration des bergers, huile sur toile, 73 cm × 93 cm, 1775, musée du Louvre, Paris.
  • Le Rocher, 53 cm × 62 5 cm, vers 1780, musée des beaux-arts, Lyon
  • La Naissance de Vénus, Musée Grobet-Labadié, Marseille.
  • Le Baiser à la dérobée, Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
  • Jeune fille aux petits chiens, huile sur toile, 61 × 50 cm, collection particulière[16].
  • Conversation galante, huile sur toile, 62 * 74 cm, Wallace Collection, Londres

Galerie

  1. Contes de La Fontaine illustrés par Fragonard, Paris, Diane de Selliers, 1994.

Expositions récentes

  • Jean-Honoré Fragonard, dessins du Louvre, Musée du Louvre, du 3 décembre 2003 au 8 mars 2004[17].
  • Fragonard, les plaisirs d'un siècle, Musée Jacquemart-André, Paris, du 3 octobre 2007 au 13 janvier 2008 [18]
  • Les Fragonard de Besançon, musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon, du 8 décembre 2006 au 2 avril 2007[19].
  • Fragonard Dessinateur; Exposition au musée des beaux-arts de Caen du 17 octobre 2009 au 18 janvier 2010. Il s'agit sous un autre titre de l'exposition de Besançon en 2006-2007[20].
  • De Watteau à Fragonard, les fêtes galantes, Musée Jacquemart-André, Paris, du 14 mars au 21 juillet 2014 [21].
  • Fragonard amoureux, Musée du Luxembourg, Paris, du 16 septembre 2015 au 24 janvier 2016 [22].

Philatélie

  • En 1939, un premier timbre en faveur de la création d'un musée postal, d'une valeur de 40 centimes et surtaxe de 60 centimes, brun-lilas et brun et sépia, représentant l’Inspiration favorable d'après Fragonard[23] est émis par la poste. Il porte le n° YT 446
  • En 1962, deux timbres sont émis au profit de la Croix-Rouge, le premier, lilas-brun d'une valeur de 20 centimes et 10 centimes de surtaxe représente "Rosalie", et le second, vert, d'une valeur de 25 centimes et 10 centimes de surtaxe, représente "L'enfant en Pierrot". Ils sont mis en vente 1er jour le 8 décembre à Angoulême. Ils portent les n° YT 1366 et 1367.
  • En 1972, un timbre de 1 franc, polychrome, représentant "L'étude" est émis par la poste. Il est mis en vente 1er jour à Paris le 22 janvier. Il porte le n° YT 1702[24].

Sources

  • Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Jean-Honoré Fragonard » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (Wikisource)
  • Florian Rodari, Fragonard, l'instant désiré, (1994)
  • Jean-Pierre Cuzin, Fragonard, 2003

Bibliographie

Notes et références

  1. (fr) Philippe Houël de Chaulieu, « L'histoire en marche; Anniversaire : Jean-Honoré Fragonard », sur Google Books, (consulté le 19 septembre 2010).
  2. Marie-Anne Dupuy-Vachey, Fragonard : les plaisirs d'un siècle, Snoeck, 2007, p. 13
  3. Jean Pierre Cuzin, Dimitri Salmon, Fragonard. Regards croisés, Société des Editions Mengès, 2007, p. 110
  4. Jean Honoré Fragonard
  5. Marie-Anne Dupuy-Vachey, Fragonard : les plaisirs d'un siècle, Snoeck, 2007, p. 32
  6. Corésus et Calirrhoé
  7. En souvenir de cet arrêt, un collège de cette ville porte le nom de Fragonard.
  8. Dominique Auzias, Jean-Paul Labourdette, Côte d'Azur - Monaco, Petit Futé, 2013, p. 465
  9. Félix Naquet, Fragonard, Librairie de l'art, 1890, p. 70
  10. Jean Pierre Cuzin, Dimitri Salmon, Fragonard. Regards croisés, Société des Editions Mengès, 2007, p. 220
  11. Jean-Pierre Cuzin, références exactes à venir
  12. Sur quelles bases est faite cette conversion ? La valeur de la livre par rapport au franc en 1974, puis l'actualisation en euros, ou l'actualisation en livres puis la conversion en euros ?
  13. Pour 5 150 000 de francs du marchand François Heim qui l'avait acheté aux enchères 50 000francs environ, la majeure partie de la somme provenant d'une subvention exceptionnelle du ministère des Finances, alors dirigé par Valéry Giscard d'Estaing. Celui-ci, devenu candidat à la présidence de la République, n'apprécia pas vraiment d'être traité par la Presse de Pigeon de la rue de Rivoli.
  14. La société d'investissement fondée par Roberto Polo ayant fait faillite, ses créanciers essayèrent, vainement, de faire annuler ses donations, un diadème de l'Impératrice Eugénie avait été aussi offert.
  15. Nouveau titre donné à l'œuvre par le Musée du Louvre suite au travail de Carole Blumenfeld : Une facétie de Fragonard, les révélations d'un dessin retrouvé, éd. Gourcuff-Gradengo, 2013 (source : Grande Galerie - Le Journal du Louvre, mars/avril/mai 2013, n°23).
  16. Collection privée de Jeff Koons (journal Le Monde du 5 novembre 2011).
  17. http://www.lyc-fragonard-isle-adam.ac-versailles.fr/frago.pdf lien de l'exposition
  18. Musée Jacquemart-André, exposition "Fragonard, les plaisirs d'un siècle", du 3 octobre 2007 au 13 janvier 2008
  19. http://www.musee-arts-besancon.org/pages.php?idMenu=3&idPage=2&idExpo=8
  20. http://www.mba.caen.fr/expos/2009/DPFragonard.pdf
  21. http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/watteau-fragonard-fetes-galantes
  22. « Fragonard amoureux. Galant et libertin | Musee du Luxembourg », sur museeduluxembourg.fr (consulté le 22 septembre 2015)
  23. Gravé par Piel, d'après une estampe de Louis Michel Halbou reprenant plus chastement une composition peinte de Fragonard.
  24. Catalogue Yvert et Tellier, t. 1.
  25. La dédicace du catalogue est Gens, honorez Fragonard !

Liens externes

  • Notices d’autorité : Fichier d’autorité international virtuel International Standard Name Identifier Union List of Artist Names Bibliothèque nationale de France Système universitaire de documentation Bibliothèque du Congrès Gemeinsame Normdatei WorldCat
  • Visite en 3D de l'exposition imaginaire : Jean-Honoré Fragonard - Musée du Louvre
  • Jean-Honoré Fragonard - Site du ministère de la Culture
  • (en) Jean-Honoré Fragonard - Artcyclopedia
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