Grande Loge suisse Alpina
Forme juridique | Association |
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But | Obédience maçonnique |
Zone d’influence | Europe |
Fondation | 1844 |
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Origine | Suisse |
Siège | 1 rue du petit Beaulieu - 1004 Lausanne |
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Président | Maurice Zahnd |
Affiliation internationale | GLUA, AMI |
Membres | 4 000 (2015) |
Site web | Freimaurerei.ch |
La Grande Loge suisse Alpina (GLSA ou G∴L∴S∴A∴ en typographie maçonnique) est une obédience maçonnique suisse fondée en 1844. Travaillant depuis son origine « À la gloire du Grand Architecte de l'Univers », elle est reconnue par la Grande Loge unie d'Angleterre. La particularité de l'histoire de l'obédience se trouve en la volonté de celle-ci de tisser des liens entre la maçonnerie dite « régulière » et celle dite « libérale » ou « adogmatique » . En ce sens, en octobre 1921, la GLSA développe l'Association maçonnique internationale (AMI).
Description
La Grande Loge suisse Alpina représente en Suisse la maçonnerie dite « régulière », exclusivement masculine, reconnue par la Grande Loge unie d'Angleterre (qui ne reconnait qu'une seule obédience par pays). Elle a été fondée en 1844 en tant qu'association selon l'article 60 du code civil suisse. Elle possède sa propre constitution, ses statuts et ses règlements.
Si la plupart des obédiences régulières postulent que pour devenir maçon il faut impérativement croire en « Dieu, Grand Architecte de l'Univers », et bien qu'appartenant au groupe de reconnaissance mutuelle de la Grande Loge unie d'Angleterre (GLUA), qui travaille « À la gloire du Grand Architecte de l'Univers », contrairement à la plupart des grandes loges de ce courant, « elle respecte toutes les convictions sincères et réprouve toute opposition à la liberté de pensée[1]. » On peut donc dire qu'elle s'inscrit dans le principe de liberté absolue de conscience propre à la maçonnerie dite « adogmatique » ou « libérale ».
De fait, la GLSA a longtemps tenté d'être un pont entre les maçonneries anglaise et française[2] , séparées par la querelle du Grand Architecte de l'Univers et elle a été dans ce sens à l'origine de la création de l'Association maçonnique internationale (AMI). Après la Seconde Guerre mondiale, sur ordre de la Grande Loge unie d'Angleterre, l'AMI a été obligée de se dissoudre.
Représentation
En 2015, la GLSA compte près de 4 000 membres répartis en 83 loges (47 de langue française, 28 de langue allemande, 5 de langue italienne et 3 de langue anglaise)[3].
Rites pratiqués
Les maçons de la Grande Loge suisse Alpina pratiquent les trois grades de la franc-maçonnerie bleue (apprenti, compagnon, maître) d'après les rites suivants :
- Rite écossais ancien et accepté (de manière majoritaire)
- Rite Ecossais Rectifié
- Rite de Schroeder
- Rite émulation (en anglais "Masonry Universal Lodge" no 40 à Genève, "Cosmopolitan Lodge" no 43 à Zurich, "Saint Andrew's Lodge" no 83 à Bâle, en allemand la loge "Bon Accord" no 41 à Berne et en français la loge "Hiram" no 80 à Genève)
- Rite ancien et primitif de Memphis Misraim (en français)
- Rite français (en français, la loge "Post Tenebras Lux" no 52 à Zurich)[4].
Liste des grands maîtres de la GLSA
- 1844 à 1850 : Johann Jacob Hottinger (1783-860), professeur d'histoire à l'Université de Zurich[5].
- 1850 à 1856 : Karl Gustav Jung (1794-1864), recteur de l'Université de Bâle, grand-père du psychanalyste homonyme[6].
- 1856 à 1862 : Abram Daniel Meystre (1813-1870), avocat, Conseiller d'État vaudois[7].
- 1862 à 1868 Ernst F. Gelpke (1807-1870), professeur de théologie à l'Université de Berne[8].
- 1868 à 1871 : Johann Jakob Rüegg (1830-1884), directeur de banque argovien[9].
- 1871 à 1874 Aimé Humbert (1819-1900), recteur de l'Académie et président du Conseil d'État de Neuchâtel[10]
- 1874 à 1878 : Karl Tscharner (1812) journaliste, rédacteur en chef du journal bernois Bund'[11].
- 1878 à 1884 : John Cuénod (1822-1900), directeur de la Police de Genève[12].
- 1884 à 1890 : Ernst Karl Jung (1841-1912), architecte, fils de Karl Gustav Jung[13].
- 1890 à 1895 : Elie Ducommun (1833-1906), genevois, prix Nobel de la paix[14].
- 1895 à 1900 : Caspar Friedrich Hausmann (1845-1920), pharmacien de Saint-Gall[15] ,[16].
- 1900 à 1905 : Édouard Quartier-la-Tente (1855-1925), conseiller d'État du canton de Neuchâtel[15].
- 1905 à 1910 : Hermann Häberlin (1862-1938), médecin et chirurgien, pacifiste, conseiller national zurichois[17] ,[18].
- 1910 à 1915 : Jacques Oettli (1843-1927), professeur de chimie à l'Université de Lausanne[19].
- 1915 à 1920 : Jakob Schwenter (1857-1938), médecin, privat-docent à l'Université de Berne[20].
- 1920 à 1925 : Isaac Reverchon (1868-1927), genevois, professeur d'histoire et de français au Collège de Genève, président de l'Eglise vieille-catholique[21].
- 1925 à 1930 : Fritz Brandenberg (1865-1942), médecin zougois[22].
- 1930 à 1935 : Auguste Jeanneret (1867-1947), avocat, membre du Grand Conseil neuchâtelois[23].
- 1935 à 1939 : Kurt von Sury (1882-1977), psychologue bâlois[24].
- 1939 à 1942 : Edmond Jomini (1900-1956), dentiste lausannois[25].
- 1942 à 1947 : Josef Böni (1895-1974), d'abord théologien et recteur de l'Église catholique de Saint-Gall, devenu protestant en 1926, ensuite directeur d'une école de jeunes filles à Chexbres[26].
- 1947 à 1952 : Albert Natural (1880-1960), genevois, directeur d'une entreprise de transports[27].
- 1952 à 1957 : Walther Kasser (1886-1977), pédagogue et musicien bernois[28].
- 1957 à 1961 : Theodor Hinnen (1904-1961), grand maître jusqu'au 26 janvier date de sa mort d'une rupture de l'aorte, zurichois, directeur d'une fabrique familiale de meubles[29].
- 1961 à 1962 : Harald Ziegler (1906-1977), zurichois, termine le mandat du précédent[30].
- 1962 à 1966 : Charles Sthioul (1898-1988), haut fonctionnaire des Chemins de fer fédéraux (CFF)[31].
- 1966 à 1969 : Walter Winter (1890-), chimiste, docteur de l'École polytechnique fédérale de Zurich, directeur de Hoffmann-La Roche à Bâle[32].
- 1969 à 1970 : Gubert Giger (1903-1982), zougois, employé à la Banque cantonale de Coire et ensuite à la Société de banque suisse (SBS) à Bâle[33].
- 1970 à 1974 : Willy Wyser (1923), neuchâtelois[34].
- 1974 à 1978: Paul Bauhofer (1909), commerçant et homme politique thurgovien[35].
- 1978 à 1982 : Orazio Schaub (1922), né à Bellinzona, Tessin[36].
- 1982 à 1984 : Alain Marti (1944), avocat genevois, il démissionne de sa charge en cours de mandat et de 1984 à 1986 sa fonction est exercée par le grand maître adjoint, Rudolf Fischer[37].
- 1986 à 1990 : Walter von Ins (1922), né à Bienne, ingénieur en bâtiments diplômé de l'École polytechnique fédérale de Zurich, militaire de carrière, commandant du Régiment du Génie 4[38].
- 1990 à 1994 : André Binggeli (1925), né à Yvonand (Vaud), hôtelier, conseiller communal de Lausanne[39].
- 2010 à 2014 : Jean-Michel Mascherpa (1942), avant-dernier grand maître de la GLSA[40]. Genevois, originaire de Bioggio (Tessin), il a grandi en Algérie jusqu’à son départ en 1960. Il a fait des études de biologie à Genève, et a obtenu un doctorat puis un certificat de spécialisation en informatique. Il a été chargé de cours en biologie à l’Université de Genève et chargé de recherches au Jardin botanique. En 1985, il a été nommé directeur du Centre horticole[41] de Lullier, puis il est devenu codirecteur à la Direction générale de l’environnement, avec Claude Haegi comme conseiller d’État, ensuite il est devenu membre du Comité directeur de la HES-SO. Il est marié, sans enfants.
- Depuis 2014 : Maurice Zahnd, bernois, élu lors de la 163e assemblée annuelle de l'Alpina, les 14-15 juin 2014 à Bienne[42].
Liste de personnalités membres de la GLSA
- Jean-Daniel Blavignac (1817-1876), architecte et historien genevois.
- Johann Caspar Bluntschli (de) (1808- 1881), juriste zurichois, professeur à l'Université de Zurich[43], théoricien du fédéralisme[44].
- Jean-Jacques Caton Chenevière (1783-1871), pasteur et professeur genevois[45].
- Georges Favon (1843-1902), juriste genevois, conseiller d'état et président du Conseil national suisse[46].
- Adolphe Fraisse (1835-1900), architecte suisse d'origine française[47].
- Emil Frey (1838-1922), homme politique bâlois, conseiller fédéral[48].
- Jonas Furrer (1805-1861), juriste zurichois, premier président de la Confédération suisse.
- Jean-B.-G. Galiffe (1818-1890), député au Grand Conseil genevois, consul général du Danemark, professeur d'histoire nationale à l'Académie de Genève[49],[50].
- Alexandre Gavard (1845-1898), professeur et conseiller d'État genevois[51],[52].
- Adrien Lachenal (1849-1918), politicien genevois, président de la Confédération suisse.
- Émile Paccaud (1836-1915), fonctionnaire vaudois, député au Grand Conseil du canton de Vaud.
- Louis Ruchonnet (1834-1893), avocat vaudois, président de la Confédération suisse[53].
- Felix Sarasin (1797-1862), bourgmestre bâlois[54],[55].
- Philippe Suchard (1797-1884), chocolatier neuchâtelois[56].
- Wilhelm Wackernagel (1806-1869), philologue bâlois[54],[57].
- Franz Waller (de) (1803-1879), juriste, conseiller d'État et conseiller national argovien[58].
- Johann Heinrich Daniel Zschokke (1771-1848), écrivain et historien argovien d'origine allemande[59].
- Robert Amadou (1924-2006), écrivain et ésotériste français.
- Alain Bernheim (1931), pianiste français, spécialiste de la franc-maçonnerie.
- Brenno Bertoni (it) (1860-1945), avocat tessinois, député au Grand Conseil tessinois, conseiller national et au Conseil des États[60],[61],[62].
- André Chédel (1915-1984), philosophe neuchâtelois[63].
- Jean-Noël Cuénod (1948), journaliste genevois[64].
- Augusto Giacometti (1877-1947), artiste peintre grison.
- Grock (Charles Adrien Wettach, 1880-1959), clown bernois[65].
- Hans Hausamann (1897-1974), photographe et officier de renseignement bâlois[66].
- Károly Kerényi (1897-1973), historien des religions hongrois d'expression allemande.
- Hans Jossi (1928-2004), entrepreneur thurgovien[67].
- Joseph Mittey (1853-1936), artiste peintre d'origine française, introducteur de l'Impressionnisme en Suisse[68].
- François Ruchon (1897-1953), historien genevois[69].
- Arnold Hans Schwengeler (1906-1981), "pape de la culture bernoise"[70].
- Theodor Tobler (de) (1876-1941), chocolatier bernois, inventeur du Toblerone, pacifiste[71],[72].
- Jacques Chirac (1932), dans leur livre Les Frères invisibles Ghislaine Ottenheimer et Renaud Lecadre affirment qu'il aurait été membre de cette obédience. Les vérifications menées par la GLSA n'ont trouvé aucune trace de cette appartenance, mais évoquent un quasi-homonyme, Jacques Chibrac, pour expliquer cette confusion.
Publications
L'obédience Alpina publie l'Alpina, revue maçonnique suisse, sur abonnement. Fondée en 1874, la revue est publiée à Lausanne en allemand, français et italien.
Le Groupe de recherche Alpina publie Masonica, une revue sur abonnement qui réunit les résultats de ses recherches.
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Grande Loge suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993.
- Catherine Courtiau et Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, Berne, Ed. de la Société d’histoire de l’art en Suisse, (ISBN 978-3-03797-132-1)[73].
Notes et références
- ↑ « Principes maçonniques généraux de la Grande Loge Suisse Alpina », art. 4.
- ↑ "La question des inter-visites « irrégulières » (les autres critères n'ayant pas été remis en cause) a également joué dans ces incidents avec la GLUA, mais moins qu'on ne le croit: la Grande Loge suisse Alpina fut inquiétée et les relations avec Londres suspendues pour douze à quinze mois, en 1965 puis en 1971, pour cette raison. Alpina donna à chaque fois l'assurance que cela ne se renouvellerait plus et la reconnaissance fut rétablie." Michel Barat, Alain Bauer, Roger Dachez, Les promesses de l'aube. Contre la guerre des obédiences, pour la franc-maçonnerie de la fraternité, Paris, Éditions Dervy, 2013, p. 39.
- ↑ Liste des Loges de la GLSA par langue
- ↑ Loges de la GLSA, sur le site officiel de l'Alpina
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 38.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 43-44.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 48-50.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 50-51.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 52-54.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 54-58.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 60-62.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 62.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 62-54.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 69-71.
- 1 2 Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 71.
- ↑ Peter Müller, « Hausmann, Caspar Friedrich » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 71-74.
- ↑ Markus Bürgi, « Häberlin, Hermann » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 75-77.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 77-78.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 82.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 87-88.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 89-90.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 96-101.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 102.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 105-106.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 110-111.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 111-112.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 113-114.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 114.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 115.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 115-116.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 116.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 122-123.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 123-126.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 128.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 133-137.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 138-142.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 143-144.
- ↑ Pascale Zimmermann, "Un grand maître genevois pour les francs-maçons suisses", Tribune de Genève, 06.06.2010.
- ↑ Site du Centre horticole de Lullier
- ↑ "La nouvelle équipe de la GLSA", sur le site officiel de l'Alpina
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, p. 40.
- ↑ (de) Fabrizio Frigerio, "Bluntschli, Johann Kaspar", in: Schweizer Lexikon, Mengis & Ziehr Ed., Lucerne, 1991-1993 (6 vol.), v. I, p. 620.
- ↑ Jean-Jacques Caton Chenevière sur le Site officiel de la Loge "L'Union des Cœurs" de Genève
- ↑ Biographie et photos de Georges Favon sur le Site officiel de la Loge "Fidélité et Prudence" de Genève
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 79.
- ↑ (de) Emil Frey sur le Site officiel de la Loge "Zur Freundschaft und Beständigkeit" de Bâle
- ↑ Catherine Santschi, « Galiffe, Jean-Barthélemy-Gaïfre » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ J.-B.-G. Galiffe, La Chaîne symbolique, Origine, Développement et Tendances de l'Idée Maçonnique, introduction de Fabrizio Frigerio, Champion-Slatkine, Paris-Genève, 1986 (réimpression de l'édition de Genève de 1852)
- ↑ Biographie d'Alexandre Gavard sur le Site officiel de la Loge "Fidélité et Prudence" de Genève
- ↑ Jacques Barrelet, « Gavard, Alexandre » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Photo de Louis Ruchonnet sur le Site officiel de la Loge "Liberté" de Lausanne
- 1 2 Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 38.
- ↑ Thomas K. Kuhn, « Sarasin, Felix » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Vincent Callet-Molin, « Suchard, Philippe » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Thomas K. Kuhn, « Wackernagel, Wilhelm » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 18.
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 17.
- ↑ Grande Loge Suisse Alpina, Livre du 150e anniversaire, 1844-1994, Lausanne, 1993, "La Massoneria ticinese dagli inizi ai giorni nostri", p. 164-176.
- ↑ Andrea Ghiringhelli, « Bertoni, Brenno » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ (it) Photo de Brenno Bertoni sur le Site officiel de la Loge "Brenno Bertoni" de Lugano
- ↑ Quelques personnalités marquantes de la Franc-maçonnerie en Suisse sur le Site officiel de la Grande Loge suisse Alpina
- ↑ L'Hebdo, 7 avril 2011, Franc-maçons, leur vrai visage en Suisse, p. 60, par Philippe Lebé
- ↑ Célébrités FM
- ↑ (de) Biographie de Hans Hausamann sur le Site officiel de la Loge "Concordia" de Saint-Gall
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 97.
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 85.
- ↑ Biographie de François Ruchon sur le Site officiel de la Loge "Fidélité et Prudence" de Genève
- ↑ Catherine Courtiau - Michael Leuenberger, Loges maçonniques de Suisse, architecture et décors, SHAS, Berne, 2014, p. 46.
- ↑ Christian Lüthi, « Tobler, Theodor » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- ↑ (de) Theodor Tobler PDF
- ↑ Présentation de l'ouvrage sur le site de la Société d’histoire de l’art en Suisse
Annexes
Articles connexes
- Franc-maçonnerie en Suisse
- Obédience maçonnique
- Association maçonnique internationale
Liens externes
- Site officiel
- Groupe de recherche Alpina (GRA)
- Principes maçonniques généraux de la Grande Loge suisse Alpina
- Le grand maître Jean-Michel Mascherpa interviewé à la RTS le 26 avril 2012
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