Privacy Policy Cookie Policy Terms and Conditions

[HOME PAGE] [STORES] [CLASSICISTRANIERI.COM] [FOTO] [YOUTUBE CHANNEL]


Excalibur

Excalibur

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Excalibur (homonymie).
Excalibur
[[Fichier:Excalibur ur the Sword, Howard Pyle 1902.jpg|lang=fr|200px|alt=Image illustrative de l'article Excalibur|]]
L'Épée Excalibur, illustration d'Howard Pyle, 1902.
Présentation
Pays d'origine Royaume de l'île de Bretagne
Type Épée
Époque fin du Ve siècle ou début du VIe siècle
Propriétaire(s) le Roi Arthur
Accessoire(s) Sa gaine rend son porteur invincible.
Autre(s) nom(s) « Caledfwlch » en gallois, « Excalibor », « Escalibor », « Excaliber », « Calibourne »

Excalibur est l'épée magique légendaire du roi Arthur, le roi des Bretons, dans les textes de la légende arthurienne de la matière de Bretagne rédigés à l'époque du Moyen Âge.

Certains considèrent qu'Excalibur et l’Épée du Rocher (preuve du lignage d'Arthur) ne sont qu'une seule et même arme, mais dans la plupart des versions de la légende ce sont bien deux épées distinctes.

Excalibur a la réputation d'être incassable et de trancher toute matière. Son fourreau protège son porteur de toute blessure. Le roi Arthur, détenant les deux artéfacts, était donc invincible sur les champs de bataille.

Étymologie et historique

La première mention de l'épée d'Arthur sous cette forme[Laquelle ?] est due à Chrétien de Troyes. L'étymologie de ce nom ancien, connu sous plusieurs variantes (Excalibor, Escalibor, Excaliber, Calibourne) n'est pas déterminée avec certitude, d'autant que « Excalibur » n'est pas le seul nom connu pour cette épée : par exemple, dans le conte Le Chevalier au papegau, elle s'appelle Chastiefol. Le mot « Excalibur » semble une altération savante d’éléments linguistiques issus du brittonique.

Cependant aucune des différentes étymologies celtes ne fait l’unanimité ; c’est la raison pour laquelle a été proposée[1] une étymologie grecque, non pas de la Grèce classique, mais des terres situées au sud-est du Pont-Euxin sur les rivages desquels les Grecs de la métropole avaient de longue date établi des comptoirs commerciaux. C’est là qu’ils entrèrent en contact avec les Chalybes, qui passaient pour avoir inventé l’acier et lui avoir donné leur nom (chalybs). Ces Chalybes n’étaient pas à proprement parler un peuple, mais une caste de forgerons nomades très habiles. C’est pourquoi les Grecs, mais aussi les Romains, ont par antonomase utilisé leur nom pour désigner une arme d’excellente qualité. Cette renommée s’est conservée jusqu’au Moyen Âge, où l’on retrouve leur nom sous diverses formes, mais toujours avec le même sens.

L'épée d'Arthur s'appelle Caledfwlch en gallois (prononcé kalètvoulr), à rapprocher du breton Kaledvoulc'h ou Kaled foulch (« Dure-entaille »). Ces mots sont composés de caled, kalet qui signifie « dur » et de bwlch, boulc'h, qui signifie « entaille ». Ce terme se rapproche phonétiquement de l'irlandais Caladbolg / Galatbrog (« dure-foudre »), qui selon la légende fut le nom de l'épée de Nuada, roi des dieux de l'Irlande, les Tuatha Dé Danann. Pour Bromwich et Evans, spécialistes de la littérature médiévale galloise, ces deux variantes du nom ont une origine commune[2]. L'un des plus anciens documents donnant Caledvwlch comme nom à l'épée d'Arthur est le texte gallois du XIe siècle Culhwch ac Olwen (Culhwch et Olwen), qui la présente comme une des plus précieuses possessions du roi breton.

Au XIIe siècle, Geoffroy de Monmouth est le premier auteur à nommer cette épée dans une autre langue que le gallois[3]. Dans son Historia regum Britanniae, il latinise le nom en Caliburnus, terme qui pourrait être apparenté à chalybs, mot latin signifiant « acier »[4]. Le mot est repris par les poètes français peu après, et la forme évolue en Escalibor puis Excalibur. L'altération de l'initiale en Ex- est faite d'après le latin Ex cal[ce] liber[atus] (« libéré du caillou »)[5].

Cette invention est destinée à donner à la dynastie des Plantagenêts, rois d'Angleterre d’origine continentale, une légitimité prestigieuse en Grande-Bretagne, opposant à Charlemagne, l’ancêtre des rois de France, un mythique roi Arthur : le roi Henri II fait chercher le tombeau d'Arthur à Glastonbury et des moines assurent l'avoir trouvé. Ils prétendent aussi avoir trouvé Excalibur, l'épée du roi Arthur.

Selon Roger de Hoveden, le roi d'Angleterre Henri Beauclerc l'aurait donnée au comte d'Anjou Geoffroy Plantagenêt en l'adoubant en 1127. Elle serait passée aux descendants de celui-ci, Henri II Plantagenêt, puis Richard Cœur de Lion. Sur la route de la croisade, Richard séjourna en Sicile pendant l'hiver 1190 / 1191 et y conclut une alliance avec le roi Tancrède, scellée par les fiançailles à venir de celui qu'il désigna pour son héritier, le jeune duc Arthur de Bretagne, avec l'une des filles de Tancrède. Et Richard lui céda aussi l'épée Calibourne pour l'octroi d'une vingtaine de navires qui lui étaient nécessaires pour la croisade. À la mort de Tancrède, l'empereur Henri VI s'en empara.

Description

Deux traditions légendaires racontent cet événement : soit Arthur retire l'épée d'un rocher dans lequel elle est enfichée, soit il reçoit cette arme de la Dame du Lac.

L'épée dans le rocher

Représentation d'Excalibur fichée dans son rocher. Musée du cinéma de Londres (en).

C'est Robert de Boron qui raconte le premier cet épisode, à la fin du XIIe siècle dans Merlin. Le trône du royaume de Bretagne était vacant et convoité par de nombreux nobles qui se battaient fréquemment pour se l'approprier. Devant cette discorde, le magicien Merlin convoque les barons du royaume à Logres pour la veille de Noël. Dans la nuit, apparaît mystérieusement un bloc de pierre carré supportant une enclume dans laquelle est plantée une épée. Sur la lame est écrit que celui qui parviendrait à l'en retirer deviendrait le roi de toute la Bretagne. Personne n'y parvint, sauf le jeune Arthur.

C'est la version, reprise notamment dans le livre L'Épée dans la pierre de l'écrivain britannique Terence Hanbury White, qui inspira le célèbre dessin animé de Walt Disney, Merlin l'Enchanteur en 1963.

La légende de la Dame du Lac

La Dame du Lac offrant Excalibur à Arthur. Gravure d'Alfred Kappes (1880).

L'autre variante met en scène la Dame du Lac ou fée Viviane : selon Sir Thomas Malory, un chevalier anglais du XVe siècle qui condensa en un seul ouvrage une grande partie de la geste arthurienne, notamment des écrits français, elle aurait été donnée par la première Dame du Lac, qui aurait précédé Viviane, l'épée retirée de la stèle de granit ayant été auparavant brisée dans un combat contre le roi Pellinor, le père de messire Lamorak (considéré comme le troisième chevalier au monde, après Messires Lancelot du Lac et Tristan) et de Perceval le Gallois.

Pour gagner l'épée, Arthur fait une promesse à la Dame du Lac mais ne tient pas parole, celle-ci ayant été décapitée sous ses yeux dans son château. Merlin aurait demandé à Arthur : « Qui des deux est le plus précieux ? L'épée ou le fourreau ? » Arthur répondit : « L'épée, assurément. — Faux, c'est le fourreau car, tant que tu le posséderas, tes ennemis ne pourront te tuer. » La sœur du roi, ayant eu vent de cela, fit dérober le fourreau et le donna à son amant, avec pour mission de tuer Arthur. Cependant, grâce à l'intervention de messire Hector des Mares, le demi-frère de Lancelot de Bénoïc, celui-ci fut sauvé et put retrouver son précieux fourreau.

Disparition de l'épée

Digne fils d'Uther Pendragon, avec Excalibur au côté, le roi Arthur a réuni et pacifié les deux Bretagnes. À sa mort, l'épée est jetée dans un lac magique par Bedivere. Dans La mort du roi Arthur, une main (de la Dame du Lac ?) sort alors du lac et s'empare de l'épée[6].

Excalibur dans la culture populaire

Le nom « Excalibur » a été réutilisé maintes fois dans un bon nombre de domaines, voir l'article : Excalibur Page d'aide sur l'homonymie (homonymie).

En littérature

  • Excalibur est le titre du 3e tome de La Saga du roi Arthur de Bernard Cornwell, paru en 2001, traduit par Pierre-Emmanuel Dauzat[7] ;
  • Le Dragon et l’Épée est le 1er tome de L'Apprentie de Merlin de Fabien Clavel, paru en 2010[8] ;
  • Les Secrets de l'immortel Nicolas Flamel est une série de 6 tomes écrit par Michael Scott mêlant diverses mythologies ;
  • Excalibur de L. Ron Hubbard.
Excalibur fichée dans une enclume, comme dans le dessin animé de 1963 Merlin l'Enchanteur (Parc Hong Kong Disneyland, Chine, 2006).

Au cinéma

  • Excalibur, l'épée magique, un dessin animé américain réalisé en 1998 par Frederik Du Chau ;
  • La Dernière Légion, film réalisé en 2007 par Doug Lefler, qui s'inspire de la vie du dernier empereur romain d’Occident, Romulus Augustule, et propose une hypothèse sur l'origine d’Excalibur.

À la télévision

  • Charmed est une série télévisée américaine. Elle consacre une place particulière à Excalibur. Piper Halliwell est la seule à parvenir à retirer l'épée légendaire de son rocher après la mort de la Dame du Lac. Elle découvrira par la suite qu'elle n'est pas réellement l'élue de l'épée mais seulement sa gardienne. Son fils Wyatt, à qui les prophéties accordaient d'immenses pouvoirs et un destin formidable, est en réalité l'être digne d'Excalibur. Alors qu'il n'est encore qu'un enfant, l'épée est entreposée dans le grenier du manoir, pourtant il s'en servira quelques fois à l'aide de son don de télékinésie, et les visions du futurs montrent aux sœurs qu'il sera plus tard très attaché à cette arme ;
  • Fate/stay night est un visual novel japonais, adapté ensuite en série animée, qui relate l'histoire d'âmes héroïques (les servants) invoquées par des mages (les masters) pour la guerre du Saint-Graal. On y retrouve ainsi le roi Arthur, sous une forme féminine dénommée Arthuria. La place d'Arthuria / Excalibur dans Fate/Stay night est relativement importante. Le jeu est composé de trois scénarios, l'un d'eux étant centré sur le personnage d'Arthuria. On voit ainsi, par les visions des souvenirs du servant, l'histoire du roi et de son épée légendaire, du retrait de l'épée de la roche, jusqu'à ce que celle-ci soit rendue à la Dame du Lac. Le scénario mélange les deux traditions légendaires, à savoir l'épée dans le rocher lorsque Arthuria retire l'épée, et la Dame du Lac lorsque Bedivere la jette dans le lac. Il existe également un film ou Arthuria et Excalibur sont plus en retrait que la série, Unlimited Blade Works, basé sur le second scénario du jeu. Une autre série animée est basée sur les mêmes principes que le jeu et lui servant de préquelle : Fate/zero ;
  • Fort Boyard est un jeu télévisé comprenant une épreuve dénommée « Excalibur ». Cette épreuve de force consiste pour le candidat une fois entré dans la cellule à retirer une épée profondément enfoncée dans une souche de bois. Après avoir extrait cette épée de 25 kg, il doit s'en servir pour couper un boute afin de libérer un anneau auquel est attaché une clé, celle-ci avec six autres permet le déverrouillage de la « salle du trésor » en fin d'émission ;
  • Kaamelott est une série télévisée française comique de fantasy historique créée par Alexandre Astier et Jean-Yves Robin, diffusée depuis le 3 janvier 2005 sur M6. La série s’inspire de la légende arthurienne, qui se passe sur l'île de Bretagne à la chute de l'Empire romain, sur laquelle règne le roi Arthur en son château de Kaamelott, entouré de ses Chevaliers de la Table ronde ;
  • Merlin est une série télévisée britannique qui retrace l'évolution du jeune druide Merlin destiné à guider le futur roi Arthur lors de son règne. Une épée forgée, à l'initiative de Merlin, par le souffle d'un dragon, semble dotée d'une force unique. Aucun nom ne lui est pour le moment donné mais le titre de l'épisode est bien « Excalibur ». Une inscription est gravée sur les deux versants de la lame : « prenez-moi » / « jetez-moi ». Seul Arthur a l'autorisation de l'utiliser, mais son père Uther s'en sert. Devant les risques qu'elle présente, Merlin lance l'épée au fond d'un lac ou elle semble prête à reposer pour un temps. Puis Merlin, pour redonner du courage à Arthur, va inventer la légende de l'épée dans la roche. Cela permet de faire concorder les deux légendes : celle du lac et celle du rocher;
  • Les Aventures de Flynn Carson : Le Mystère de la lance sacrée.
  • Sword Art Online : est une série télévisée japonaise qui parle d'un jeune homme, Kazuto, qui entre dans un jeu de rôle en ligne massivement multijoueur (MMORPG) en réalité virtuelle (VRMMORPG). Après sa rencontre avec une joueuse, Asuna Yuki, il découvre qu'il ne peut plus sortir du jeu, comme les autres joueurs. C'est dans le deuxième acte de la deuxième saison qu'on parle d’Excalibur dans une des quêtes ; il faut détacher l'épée d'un bloc de glace.

Dans la bande dessinée

  • Le Chant d'Excalibur est le titre d'une série humoristique de Christophe Arleston et Éric Hübsch (1998) ;
  • Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque), manga de Masami Kurumada (1986-1990) : Shura, le Chevalier d'Or du Capricorne est détenteur de l'épée Excalibur. Celle-ci n'a pas de forme matérielle, et ne se manifeste qu'au travers des coups extrêmement tranchants que porte à mains nues le chevalier. Dans Saint Seiya: The Lost Canvas, le prédécesseur de Shura, le chevalier d'Or du Capricorne El Cid, a affiné une attaque à l'épée (main nue) qu'il finit par nommer Excalibur ;
  • Soul Eater : l'arme la plus puissante au monde se nomme Excalibur. Il s'agit en réalité d'un petit être étrange vêtu d'un costume blanc et d'un haut-de-forme blanc cassé, ayant une personnalité tellement excentrique que jamais personne n'a pu devenir son « meister » (terme allemand, qui signifie « maître », dans le manga et l'anime) ;
  • Dans Fate Stay Night, Excalibur est le nom de l'attaque la plus puissante du Servant Saber ;
  • Inazuma Eleven : Excalibur est le nom de l'attaque d'Edgard Partinus, qui consiste à tirer droit au but en formant une épée ; l'attaque est plus dévastatrice quand elle est tirée de loin ;
  • Dans le manga High School DxD New, les « Épées Sacrées de Lumière » se nomment Excalibur.

En musique

  • Excalibur, la légende des Celtes est le nom donné à un spectacle musical d’Alan Simon (1998), avec plus de 100 musiciens dont Tri Yann, Gabriel Yacoub, Jean Reno, Didier Lockwood, Roger Hodgson, Dan Ar Braz, Denez Prigent, l'orchestre symphonique de Prague, Carlos Núñez, Fairport Convention, Nikki Matheson, Bohinta, Angelo Branduardi et Bruno Le Rouzic. Excalibur II, l'anneau des Celtes (2007) est le nom donné au deuxième volume du spectacle musical d’Alan Simon incluant Jon Anderson du groupe Yes, John Wetton ex King Crimson et leader du groupe Asia, Justin Hayward, la voix des Moody Blues, Alan Parsons, le groupe irlandais Flook, Karan Casey, Les Holroyd la voix de Barclay James Harvest, etc. ;
  • Excalibur III, the Origins (2012) est le dernier volet avec la participation de John Helliwell (Supertramp), Martin Barre (Jethro Tull), Fairport Convention, Johnny Logan, Moya Brennan, Jacqui McShee, John Wetton et les Tambours du Bronx. Excalibur, The Celtic Rock Opera est la version live de la trilogie musicale d'Alan Simon. Grand succès en Allemagne en janvier 2010 devant 100 000 spectateurs.

Dans les jeux vidéo

Statue représentant la Dame du Lac donnant Excalibur au roi Arthur. Lac de Kingston Maurward (en), Angleterre.

Dans le jeu vidéo The Legend of Zelda, Excalibur est désignée comme l'épée pourfendeuse du mal, bien que cette traduction soit due à une erreur, car en japonais l'épée est nommée « the master swordo », mais également « l'épée de Légende » :

  • le héros et personnage principal, Link, doit dans la plupart des épisodes récupérer cette épée afin de sauver le royaume d'Hyrule et la princesse Zelda. Il est le seul à pouvoir sortir Excalibur de son socle. Dans l'épisode A Link to the Past, Link récupère Excalibur afin de briser le sceau qui scellait l'antre du sorcier Aghanim. Dans Ocarina of Time, Link s'empare d'Excalibur afin d'éliminer Ganondorf (le méchant récurrent de la série).
  • l'épée lui sert également à voyager dans le temps. Dans The Wind Waker, Link réutilise une nouvelle fois Excalibur pour chasser Ganondorf. Dans Twilight Princess, Zelda conseille à Link de récupérer l'épée pour se défaire de la malédiction qui pèse sur lui, avant de se sacrifier pour soigner Midona.
  • la représentation de l'épée diffère selon les épisodes, et le nom Excalibur n'est pas toujours utilisé, là encore en fonction des épisodes. L'épée est également connue sous le nom de Master Sword[9].


Hormis Zelda, d'autres jeux vidéo reprennent le nom de l'épée :

  • dans Tomb Raider: Legend, Lara Croft récupère des reliques qui s'avèrent être des morceaux d'Excalibur ; à la fin du jeu, l'épée sera reconstituée entièrement grâce à une clé ;
  • dans Final Fantasy XI, Excalibur l'épée « Relic Weapons » est obtenue par la collecte de monnaies anciennes et d'objets rares en dynamis ;
  • dans Fire Emblem, Excalibur est un sort magique de vent légendaire ;
  • dans Tales Of Symphonia, Excalibur est une épée récupérable à Meltokio ;
  • dans Sonic et le Chevalier Noir, Excalibur est la fusion des Quatre Épées Sacrées, permettant à Sonic de se transformer en Excalibur Sonic ;
  • dans Magicka, Excalibur est une épée fournie avec son rocher ;
  • dans Might and Magic VI : Le Mandat céleste, Excalibur peut être arrachée d'un rocher par les aventuriers dans la région des Eaux des Anguilles (Eel Infested Waters);
  • Excalibur apparaît aussi dans le jeu Excalibur 2555 A.D, où elle est volée par des robots venu du futur ;
  • dans la série Golden Sun, Excalibur est une épée forgeable grâce à un minerai fantastique : le mithril.
  • dans Mystic Quest Legend, Excalibur est la plus puissante des épées, récupérée au sein de la tour de Pazuzu
  • dans la saga Assassin's Creed, Excalibur est un artefact de la première civilisation et sera utilisée, en plus d'Arthur, par d'autres personnages historique tel que Attila, Gengis Khan ou Jeanne d'Arc.

Notes et références

  1. (de) François Muller (dir.), Angewandte Linguistik - Linguistique appliquée, Frankfurt am Main, Peter Lang, , 386 p. (ISBN 9783631634769), Eine griechische Etymologie von "Excalibur", pp 163-69
  2. (en) Rachel Bromwich & D Simon Evans, Culhwch and Olwen. An Edition and Study of the Oldest Arthurian Tale University of Wales Press, Cardiff, 1992, p. 65 ; voir aussi T. Green, Concepts of Arthur, Stroud : Tempus, 2007, p. 156
  3. « il ceignit son excellente épée, nommée Caliburn, forgée en l'île d'Avalon », traduction par Emmanuèle Baumgartner et Ian Short, La Geste du roi Arthur, éditions 10/18, Paris, 1993.
  4. (en) The American Heritage Dictionary of the English Language, 4e édition.
  5. (en) Dictionnaire Brewer's Phrase and Fable.
  6. Joël Grisward, « Le motif de l’épée jetée au lac : la mort d’Arthur et la mort de Batradz », Romania, 90, 1969, p. 289-340 et p. 473-514.
  7. « Excalibur : roman arthurien [Broché] », sur www.amazon.fr (consulté le 29 juillet 2013)
  8. (ISBN 978-2-7404-2720-0)
  9. (en) « Master Sword », sur Zelda Wiki (consulté le 30 juin 2012)

Voir aussi

Articles connexes

  • Portail des armes
  • Portail de la légende arthurienne
This article is issued from Wikipédia - version of the Sunday, November 01, 2015. The text is available under the Creative Commons Attribution/Share Alike but additional terms may apply for the media files.
Contents Listing Alphabetical by Author:
A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Unknown Other

Contents Listing Alphabetical by Title:
# A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W Y Z Other

Medical Encyclopedia

Browse by first letter of topic:


A-Ag Ah-Ap Aq-Az B-Bk Bl-Bz C-Cg Ch-Co
Cp-Cz D-Di Dj-Dz E-Ep Eq-Ez F G
H-Hf Hg-Hz I-In Io-Iz J K L-Ln
Lo-Lz M-Mf Mg-Mz N O P-Pl Pm-Pz
Q R S-Sh Si-Sp Sq-Sz T-Tn To-Tz
U V W X Y Z 0-9

Biblioteca - SPANISH

Biblioteca Solidaria - SPANISH

Bugzilla

Ebooks Gratuits

Encyclopaedia Britannica 1911 - PDF

Project Gutenberg: DVD-ROM 2007

Project Gutenberg ENGLISH Selection

Project Gutenberg SPANISH Selection

Standard E-books

Wikipedia Articles Indexes

Wikipedia for Schools - ENGLISH

Wikipedia for Schools - FRENCH

Wikipedia for Schools - SPANISH

Wikipedia for Schools - PORTUGUESE

Wikipedia 2016 - FRENCH

Wikipedia HTML - CATALAN

Wikipedia Picture of the Year 2006

Wikipedia Picture of the Year 2007

Wikipedia Picture of the Year 2008

Wikipedia Picture of the Year 2009

Wikipedia Picture of the Year 2010

Wikipedia Picture of the Year 2011