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Deuil

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William Bouguereau, Premier deuil, 1888 (Musée national des beaux-arts d'Argentine).
Ivan Kramskoy, Chagrin inconsolable, 1884.

Le deuil est une réaction et un sentiment de tristesse éprouvée à la suite de la mort d'un proche. Souvent associé à la souffrance, le deuil est aussi considéré comme un processus nécessaire de délivrance, nommé résilience. Lorsqu'un événement provoque une crise dans la vie d'un individu, un changement radical est opéré dans la situation établie jusqu'alors. Le deuil possède aussi le sens de « perte définitive » d'un objet auquel un individu peut tenir.

Le deuil est un processus actif, dit « faire le deuil ». L'individu en deuil peut sembler ataraxique, et souffrir d'un état dépressif plus ou moins intense, mais un cheminement intérieur se fait. Dans un premier temps, il n'est donc pas simple de distinguer ce qui en est positif pour la personne.

Généralités

Le mot deuil vient du bas-latin dolus (« douleur »), par l'ancien français duel (« douleur », « affliction causée par la mort de quelqu'un »)[1].

D'une manière générale, le deuil permet de surmonter un événement critique de la vie. Il est souvent associé à la mort : « la mort d'une image parfaite des parents lorsque ceux-ci divorcent », « la mort de la confiance en une personne », « la mort d'une relation amoureuse lors d'une séparation », « la mort de quelqu'un ». Ce processus peut également entrer en action dans le cas où un proche perd la mémoire ou la raison. Le deuil nécessite souvent le soutien d'autrui faisant preuve d'empathie (comprendre la souffrance de l'autre sans se l'approprier ou sans « souffrir avec »)[2].

Le deuil peut être réalisé par le biais de tous moyens d'expressions directement créatifs ou délégués (construction de monuments, funéraires ou non, commandes d'œuvres spécifiques en hommage à la personne disparue auprès d'artistes, etc.). Ainsi, l'événement n'est pas oublié mais commémoré et la douleur qu'il a suscitée s'atténue voire disparaît.

Étapes

Elisabeth Kübler-Ross a élaboré un modèle qui est très diffusé, sans qu'il ait été cependant démontré scientifiquement. Il fait l'objet de nombreuses transpositions et adaptations très contestées. Il s'agit d'un cycle théorique composé de cinq étapes :

  1. Choc, déni : cette courte phase du deuil survient lorsqu'on apprend la perte. La personne refuse d'y croire. C'est une période plus ou moins intense où les émotions semblent pratiquement absentes. La personne affectée peut s'évanouir et peut même vomir sans en être consciente. C'est en quittant ce court stade du deuil que la réalité de la perte s'installe.
  2. Colère : phase caractérisée par un sentiment de colère face à la perte. La culpabilité peut s'installer dans certains cas. Période de questionnements.
  3. Marchandage : phase faite de négociations, chantages…
  4. Dépression : phase plus ou moins longue du processus de deuil qui est caractérisée par une grande tristesse, des remises en question, de la détresse. Les endeuillés dans cette phase ont parfois l'impression qu'ils ne termineront jamais leur deuil car ils ont vécu une grande gamme d'émotions et la tristesse est grande.
  5. Acceptation : Dernière étape du deuil où l'endeuillé reprend du mieux. La réalité de la perte est beaucoup plus comprise et acceptée. L'endeuillé peut encore ressentir de la tristesse, mais il a retrouvé son plein fonctionnement. Il a aussi réorganisé sa vie en fonction de la perte.

Les cinq phases ci-dessus peuvent être linéaires mais il arrive souvent qu'un endeuillé puisse faire des retours en arrière avant de recommencer à avancer. Une bonne façon de traverser un deuil est de comprendre ce que l'on vit et de partager ses sentiments et émotions avec des proches ou des gens qui vivent également un deuil. Ces étapes ne se succèdent pas forcément. Il ne s'agit pas d'un mécanisme inévitable. Certaines personnes peuvent quitter un deuil et passer à l'ultime étape de liberté d'action, sans que les sentiments qu'elles pouvaient porter puissent être considérés comme négligeables.

Le deuil est une réaction personnelle et collective qui peut varier en fonction des sentiments et des contextes. Cette réaction commence par le déni et se termine par une acceptation plus ou moins libérée du sentiment d'attachement qu'éprouvait l'endeuillé.

  1. À l'annonce de sa propre mort, c'est au deuil de sa propre existence qu'il faut faire face.
  2. Confrontés à la mort d'un proche ou d'une personne aimée ou appréciée, c'est un deuil relationnel dans lequel nous sommes entraînés.
  3. Face à l'annonce ou au constat d'une rupture, le deuil relationnel peut provoquer des états comparables à ceux de la mort d'un proche.

Dans tous les cas, pour que le processus du deuil devienne actif, la condition est que le changement soit non-désiré. S'il s'agit d'un suicide, si le décès est espéré, si la rupture est attendue, le deuil est soit déjà passé, soit il n'y a pas lieu de parler de deuil, soit il viendra à retardement…

Mort d'un proche

Le deuil peut être défini comme la période qui suit la mort d'un être proche (parent, ami, animal familier). Il s'agit d'une notion à la fois psychologique et sociale :

  • psychologique : lorsqu'une personne est attachée à l'être perdu, elle entre dans une période de tristesse et de remise en cause, voire de dépression nerveuse ; il y a trois phases dans le processus de deuil :
    1. la phase de déni ou sidération pendant laquelle la mort de l'être cher n'est pas encore intégrée ; elle dure relativement peu de temps ;
    2. la deuxième phase est celle des états dépressifs avec des manifestations de douleur physique (perte du sommeil et de l'appétit, boule dans la gorge, courbatures etc.), et de douleur mentale (manque de concentration, perte de confiance en soi). La durée de cette phase est variable selon chacun.
    3. la phase de restructuration pendant laquelle on essaie de reprendre goût à la vie.
  • sociale :
    1. les sentiments individuels et l'état mental de la personne endeuillée affectent sa capacité de maintenir ou d'entrer en relation avec autrui (y compris dans le domaine des relations sexuelles), d'autre part le sujet en deuil peut développer des attentes nouvelles vis-à-vis de son entourage : besoin d'attention, de sollicitude, de calme, d'isolement, de distraction.
    2. selon les coutumes funéraires, qui sont souvent abandonnées dans les régions fortement urbanisées, il « faut » suivre un certain nombre de traditions (port d'habits spécifiques, interdiction de se remarier pendant un certain temps en cas de veuvage…) qui dépendent en général du degré de parenté et de l'importance sociale du défunt.

La mort peut être une délivrance dans le cas d'une personne tyrannique ou lorsque la mort conclut une longue maladie douloureuse. Cependant, à cette délivrance peuvent s'ajouter le remords et la culpabilité.

Soldat américain se recueillant sur les tombes de ses camarades tombés au combat dans un atoll près des Philippines.

Événements de perte sans valeur de deuil (facteurs blancs)

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Selon German Arce Ross[3], il y a des cas, notamment si on prend en compte la psychose maniaco-dépressive, où les événements de perte ne sont pas vécus par le sujet, qui les reconnaît intellectuellement pourtant, avec une véritable valeur affective de deuil. Dans cette forme de perte sans problématique de deuil, il ne s'agit pas d’un deuil pathologique supposé mélancolique, mais bien d’une non-reconnaissance de la perte, ni dans sa réalité psychique ni dans ses effets de souffrance affective. Contrairement au deuil pathologique, le sujet PMD n’a pas besoin de refuser la perte car, pour lui, il n’aurait rien perdu. Ces non-deuils, ou ces pertes sans aucune valeur affective, sont appelés du terme de facteurs blancs.

Les facteurs blancs sont des événements négatifs, tragiques ou catastrophiques, tels qu’une perte érotique, un décès, une rupture brutale des conditions habituelles de vie, qui ne comportent pas une valeur de perte d’objet pour le sujet et qui, de surcroît, réactualisent la valeur vide due à la forclusion de la fonction paternelle. Les facteurs blancs sont appelés de la sorte parce qu’ils constituent autant d’espaces blancs, ou de trous dans le déroulement de la chaîne signifiante, qui mobilisent dangereusement le rejet de l’inconscient. Ils créent, en effet, des espaces vides qui engagent l’expérience énigmatique vis-à-vis de laquelle le sujet s’accommode plus ou moins bien depuis la catastrophe que constitue sa naissance. Cependant, s’il n’est pas obligatoire que ces facteurs soient tragiques, souvent ils le sont.

L'idée principale est que le rejet de l’inconscient fait retour avec force dans chaque facteur blanc et se connecte, par son intermédiaire, avec ce qui de la pulsion devient mortel. C’est ainsi que, dans les facteurs blancs, il n’y a pas à vrai dire un vécu affectif de perte et cette absence se retrouve aussi bien dans les conjonctures du déclenchement que dans la construction d’un délire de mort.

Deuil officiel

En France, un deuil « officiel » (à la suite du décès d'une personnalité importante ou d'un événement ayant marqué les esprits, comme un attentat), est marqué par la mise en berne des drapeaux (sur les bâtiments officiels, les drapeaux français sont hissés à mi-chemin ou bien serrés par un bandeau noir) et une minute de silence est observée dans les lieux publics, les écoles…

Durée et modalités

La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.

Autrefois, en France, la durée du deuil était généralement fixée, pour les conjoints, à un an pour le veuf et à deux ans pour la veuve. Lorsqu'il s'agissait du décès d'une personne n'ayant aucun lien de parenté, un deuil pouvait être respecté, uniquement par courtoisie, pendant une durée beaucoup plus courte. Pendant la période dite de « grand deuil » et qui durait généralement une année, la veuve ne devait porter que des vêtements de couleur noire. Encore ne devaient-ils être que de lainage ou de crêpe anglais. Pas de bijoux, excepté en bois noirci ou, plus tard, en jais. Le chapeau est accompagné d'un long voile de crêpe couvrant le visage et descendant jusqu'aux genoux. Il ne doit pas être levé avant six mois. Généreuse, la comtesse de Gencé précise toutefois dans "Savoir-vivre et usages mondains" qu'il est "permis, durant les grandes chaleurs, de ramener le voile sur l'épaule gauche"...

Passé ce délai, les conventions lui permettaient de revêtir du violet, du mauve ou du gris et ce, jusqu'au terme du deuil. C'est ce qu'on appelait la période de « demi deuil ». La veuve peut alors porter du velours ou du taffetas. Elle peut se remettre à porter des perles ou des améthystes...

Inutile de dire que, dans la France agricole, ces considérations n'ont pas cours... La parentèle est nombreuse, les décès fréquents, les revenus réduits, et le problème est résolu en s'habillant en noir durant la quasi-totalité de son existence.

Le veuf, quant à lui, devait porter des vêtements sombres, et éventuellement fixer un ruban de crêpe noir autour de son chapeau ou porter un bandeau noir autour du bras. Pour un militaire ou tout homme portant un uniforme (y compris les collégiens), c'est même la seule marque du deuil. La même comtesse de Gencé précise "que la hauteur du crêpe varie selon le degré de parenté". C'est dire jusqu'où allait le détail ! La Loi stipule que le veuf peut se remarier après six mois de veuvage (dix-huit mois pour la veuve...). Les manuels précisent que "les convenances mondaines interdisent formellement de profiter de cette tolérance".

Pour un autre membre de la famille (père, mère, enfant, frère, sœur…), les mêmes règles étaient appliquées mais dans des délais moindres. Néanmoins, le port du voile rabattu durant six mois est également imposé pour parents et enfants. Pour les frères et sœurs, il se porte rejeté sur l'épaule gauche ou enroulé en écharpe. Pour les parents plus lointains, le voile n'est pas exigé, sauf si l'on est héritière du défunt. À noter que l'on n'était pas tenu à un deuil sévère pour les enfants morts en bas-âge. Outre le deuil vestimentaire, aucune partie de plaisir, aucune fête, aucun dîner, aucun concert, aucune fleur ne sont autorisés durant les six premiers mois du deuil. Tout bruit est évité dans la maison, la musique proscrite, le piano fermé. Les activités sociales sont reprises à dose homéopathique durant la période de demi-deuil. Même le papier à lettres et les mouchoirs sont bordés d'une bande noire dont la largeur varie selon le degré du deuil.

La seconde guerre mondiale a signé le début du déclin du deuil, essentiellement avec les restrictions qui ne permettaient plus de se procurer les vêtements adaptés. Il a néanmoins continué d'être porté jusqu'à la fin des années soixante en zone rurale et dans les familles traditionnelles. Les évènements de 1968 et l'évolution des mœurs qui s'en est suivie lui ont porté le coup fatal.

Aujourd'hui, la couleur noire est portée par tout un chacun. Il n'y a en général plus de marque extérieure de deuil, et de fait plus de deuil social à proprement parler. Certains regrettent cet état de fait : si l'entourage est au courant de la situation de la personne, ce n'est en revanche pas le cas des autres personnes, ce qui peut conduire à un manque de tact et donc à une souffrance supplémentaire dans certaines situations.

Le port du deuil est recommandé par certains psychiatres à leurs clients en souffrance après la perte d'un être cher. C'est une façon d'extérioriser son chagrin. En général, ils s'en trouvent bien. Entre les excès des siècles précédents et celui du siècle actuel qui s'échine à nier la mort dans un combat perdu d'avance, il y a un équilibre à trouver.

Risques

Le deuil, étape aussi normale soit-elle que traverse un individu durant sa vie, comporte un risque dans la plupart des cas. De sévères réactions surviennent chez approximativement 10 à 15 % des individus endeuillés[4]. De sévères réactions surviennent chez les individus souffrant de dépression avant la perte d'un proche[4]. Ces réactions peuvent avoir des répercussions pour l'entourage de l'individu endeuillé. Des recherches montrent qu'un couple marié a un risque atténué de rompre après le décès de son enfant.

Couleurs

Robe de sortie pour une dame de la haute société en deuil, France, 4e quart du XIXe siècle

La couleur du deuil varie selon les cultures et mœurs.

  • Dans le monde occidental, cette couleur est généralement le noir
  • au Viêt Nam, en Corée du Sud ou en Inde, c'est le blanc.
  • au Japon, c'est le blanc et le noir.
  • en Chine, c'est souvent le noir combiné au blanc, cependant il y peut y avoir d’autres couleurs selon les différentes situations ou conditions des décédés. Par exemple, si la personne était très âgée, les proches peuvent considérer que le décès est une célébration joyeuse (puisqu’elle a mérité de vivre si longtemps), les couleurs rouge ou rose peuvent alors marquer le deuil.

On peut voir de nombreux symboles dans ces couleurs :

  • le noir est l'obscurité, associée à la fermeture des yeux, au sommeil nocturne (la mort est fréquemment perçue comme un sommeil éternel), à l'absence de lumière sous la terre (lieu de sépulture, domaine d'Hadès où vont les morts dans la tradition antique grecque, lieu où est supposé se trouver l'enfer) ;
  • le blanc évoque la pâleur du mort, la lumière céleste, la vérité (dans certaines cultures, l'âme du mort a accès à des connaissances hors de portée des humains).

Toutefois, on peut noter que, si le noir est la couleur la plus associée au deuil, en occident, du fait que c'est celle du grand deuil et, autrefois, de la liturgie des morts, d'autres couleurs de deuil sont admises : le violet (du lavande au mauve) — qui est aujourd'hui la couleur liturgique de la messe des morts —, le gris et le blanc. On remarquera également qu'autrefois, à la Cour de France, la Reine portait le deuil de son époux en blanc (le « Deuil Blanc », très rigoureux), et le Roi portait le deuil en violet.

Notes et références

  1. http://www.cnrtl.fr/definition/deuil
  2. Gamble et Gamble, Communiquer et interagir, Montréal, Chenelière éducation, 2011, 290 p.
  3. http://www.editions-beauchesne.com/product_info.php?cPath=72_120&products_id=879 Manie, mélancolie et facteurs blancs. ARCE ROSS, German.
  4. 1 2 (en) Bonanno, George A., « Loss, Trauma, and Human Resilience: Have We Underestimated the Human Capacity to Thrive After Extremely Aversive Events? », American Psychologist, vol. 59, no 1, , p. 20–8 (PMID 14736317, DOI 10.1037/0003-066X.59.1.20)

Annexes

  • Chagrin (humeur)
  • Mélancolie
  • Traumatisme psychologique
  • Trouble de stress post-traumatique

Articles connexes

  • Deuil chez les catholiques
  • Deuil dans le judaïsme
  • Relation d'aide
  • Relation d'aide en soins infirmiers
  • Travail de deuil

Bibliographie

  • Sigmund Freud, Deuil et mélancolie, Paris, Payot, coll. Petite Bibliothèque Payot, 2011 (ISBN 9782228906128). D'autres traductions sont également disponibles dans Métapsychologie (Folio) et dans le tome XIII des Œuvres complètes (PUF).
  • Melanie Klein, Deuil et dépression, Paris, Payot, coll. Petite Bibliothèque Payot, 2004, (ISBN 2228898139).
  • Claude Nachin, Le deuil d'amour, Paris, Éditions Universitaires, 1998.
  • Marie-Frédérique Bacqué, Michel Hanus, Le Deuil. PUF-Que sais-je ?, 2003, 2e édition, (ISBN 2130519334).
  • Michel Hanus, Élisabeth Baron, Emmanuel De Becker, Alain De Broca, et al., La mort d'un enfant : Approches de l'accompagnement et du deuil. Vuibert, 2006, Col.: Espace éthique, (ISBN 271177290X).
  • Michel Hanus et Pierre Cornillot, Parlons de la mort et du deuil. Frison Roche, Col.: Face à la mort, 1995, (ISBN 2876712644).
  • Michel Hanus : La mort d'un parent : le deuil des enfants, Ed.: Vuibert, 2008, Coll.: Espace éthique, (ISBN 2711714144)
  • Pascal Millet, Michel Debout, Michel Hanus, Jean-Jacques Chavagnat, Le deuil après suicide. L'Esprit du temps, Col.: Études sur la mort, no 127, 2005, (ISBN 2847950591).
  • Rosette Poletti, Barbara Dobbs, Vivre son deuil et Croître. Éditions Jouvence, (ISBN 2883533229).
  • Rosette Poletti, Barbara Dobbs, Vivre le deuil en famille. Éditions Saint-Augustin, (ISBN 2880112044).
  • Elisabeth Kübler-Ross, Accueillir la mort, Éditeur : Pocket, 2002, (ISBN 2266096427)
  • Revue Française de Psychosomatique. « Deuil et somatisations », 2007,no 30.
  • Jean Monbourquette Grandir : aimer, perdre et grandir. Bayard, 1994.
  • Jean Monbourquette Groupe d'entraide pour personnes en deuil : comment l'organiser et le diriger. Bayard, 1994.
  • Monique Seguin et Lucie Frechette,, Le deuil. Une souffrance à comprendre pour mieux intervenir, Coll. Mieux vivre, Montréal, Les éditions logiques, 1995, 208p.
  • Louis-Vincent Thomas Rites de mort: Pour la paix des vivants. Fayard, 1996 294pp (ISBN 221359807X)
  • Jean Allouch, Érotique du deuil au temps de la mort sèche, E.P.E.L., 1997.
  • Dr Christophe Fauré, Vivre le deuil au jour le jour, Albin Michel, 2004
  • ARCE ROSS, German. Manie, mélancolie et facteurs blancs. Préface du Professeur Georges Lantéri-Laura. Collection Le Miroir des savants. Beauchesne, Paris, 2009
  • Ginette Raimbault, Parlons du deuil, Paris, Payot, coll. Petite Bibliothèque Payot, 2007 (ISBN 9782228902557).
  • « Deuil » in Philippe Di Folco (s./dir.), Dictionnaire de la mort, Larousse, coll. « In Extenso », 2010, p. 327-331 (ISBN 978-2035848468).

Liens externes

  • Conférence de Jean Allouch : « Du deuil, aujourd'hui » (Centre Pompidou, 23 février 2006)
  • Portail de la psychologie
  • Portail de la mort
  • Portail des soins infirmiers
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