Richard III (jeu)
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Richard III est un jeu de l'histoire par William Shakespeare , est soup??onn?? d'avoir ??t?? ??crit en 1591 environ, repr??sentant la Hausse machiav??lique au pouvoir et court r??gne ult??rieur de Richard III d'Angleterre . Le jeu est regroup?? entre les histoires dans le Premier Folio et est le plus souvent class?? comme tel. Parfois, cependant, comme dans le ??dition quarto, il est appel?? trag??die. Richard III de Shakespeare conclut premier t??tralogie (contenant aussi Pi??ces Henry VI 1-3). Il est largement consid??r?? comme l'un des plus grands jeux de Shakespeare.
Apr??s Hamlet, il est le plus long dans le jeu canon et est la plus longue de la Premier Folio, dont la version de Hamlet est plus courte que sa Quarto contrepartie. Le jeu est rarement effectu??e int??grale; souvent, certains personnages p??riph??riques sont enlev??s compl??tement. Dans de tels cas des lignes suppl??mentaires sont souvent ajout??s invent??s ou d'ailleurs dans la s??quence d'??tablir la nature des relations des personnages. Une raison de plus pour que Shakespeare abr??g?? est suppos?? que ses audiences seraient familiers avec le Henry VI joue, et fr??quemment fait des r??f??rences indirectes ?? des ??v??nements en eux, comme la assassiner de Richard Henry VI ou la d??faite de la reine de Henry Margaret.
Date et texte
Richard III est consid??r?? comme l'un des Premi??res pi??ces de Shakespeare, pr??c??d??s seulement par les trois parties de Henry VI et peut-??tre une poign??e de com??dies. Il est soup??onn?? d'avoir ??t?? ??crite c. 1591. Bien que Richard III a ??t?? inscrit dans le Registre de la Stationers Company le 20 Octobre, 1597, par le libraire Andrew Wise, qui a publi?? le premier quarto (Q1) plus tard cette ann??e (avec l'impression faite par Valentine Simmes), Christopher Marlowe Edward II, qui ne peut avoir ??t?? ??crit beaucoup plus tard que 1592 (Marlowe est mort en 1593) est pens?? pour avoir ??t?? influenc??s par elle. Un quarto seconde (Q2) suivie en 1598, imprim?? par Thomas Creede pour Andrew Wise, contenant une attribution ?? Shakespeare sur sa page de titre et peut avoir ??t?? un reconstruction m??morial. Q3 est apparu en 1602, en 1605 Q4, Q5 en 1612, et Q6 en 1622; la fr??quence attestant de sa popularit??. Le Premi??re version Folio suivi en 1623.
Performance
La premi??re se est produite certaine performances le 17 Novembre 1633, lorsque Charles Ier et Reine Henriette-Marie a regard?? ?? l'anniversaire de la Reine. Pourtant, manifestement il avait ??t?? accompli de nombreuses fois avant. Le Journal d' Philip Henslowe enregistre une pi??ce populaire qu'il appelle Buckingham, r??alis??e en D??cembre 1593 et Janvier 1594, qui aurait pu ??tre la pi??ce de Shakespeare.
Colley Cibber produit le plus r??ussi de la adaptations de restauration de Shakespeare avec sa version de Richard III, au Drury Lane ?? partir de 1700. Cibber jouait lui-m??me le r??le jusqu'?? 1739, et sa version ??tait sur sc??ne pour le prochain si??cle et demi. Il contenait la ligne immortelle "Off avec sa t??te; beaucoup pour Buckingham" -probablement le plus c??l??bre ligne de Shakespeare que Shakespeare n'a pas ??crit. La version originale de Shakespeare retourn?? dans une production ?? Wells Theatre Sadler en 1845.
Dramatis Personae
(Nota: Les liens sont ?? des articles sur les personnages historiques r??els, qui peuvent ne pas correspondre enti??rement ?? la repr??sentation de Shakespeare d'entre eux, en particulier en ce qui concerne le caract??re de titre, Richard III.)
- King Edward IV
- Edward, prince de Galles, apr??s Edward V , fils du roi
- Richard, duc d'York, fils du roi
- George, duc de Clarence, fr??re du roi
- Richard, duc de Gloucester, apr??s le roi Richard III , fr??re du roi
- Edward, comte de Warwick, le jeune fils de Clarence
- Henry, comte de Richmond, apr??s le roi Henri VII
- Thomas Cardinal Bourchier, archev??que de Canterbury
- Thomas Rotherham, Archev??que de York
- John Morton, ??v??que de Ely
- Duc de Buckingham
- Duc de Norfolk
- Comte de Surrey, son fils
- Earl Rivers, fr??re de la reine Elizabeth
- Marquis de Dorset, fils de la reine Elizabeth
- Seigneur Richard Grey, fils de la reine Elizabeth
- Comte d'Oxford
- Lord Hastings
- Lord Stanley, futur comte de Derby
- Seigneur Lovel
- Monsieur Thomas Vaughan
- Monsieur Richard Ratcliffe
- Monsieur William Catesby
- Monsieur James Tyrrell
- Monsieur James Blount
- Sir Walter Herbert
- Monsieur William Brandon
- Monsieur Robert Brackenbury, lieutenant de la Tour
- Christopher Urswick, un pr??tre
- Un autre pr??tre ( Ralph Shaa)
- Hastings, un poursuivant
- Tressel et Berkeley, messieurs assister sur le Lady Anne
- Keeper dans la Tour
- Lord Maire de Londres ( Sir Edmund Shaa)
- Sh??rif de Wiltshire ( Henry Long)
- Elizabeth Woodville, reine d'Edouard IV
- Marguerite d'Anjou, veuve de Henri VI
- Duchesse de York, la m??re du roi Edouard IV, Clarence, et Gloucester
- Lady Anne Neville, veuve d'??douard, prince de Galles (le fils de Henry VI), ensuite mari?? ?? Gloucester
- Margaret Plantagenet, comtesse de Salisbury, jeune fille de Clarence
- Fant??mes de ceux assassin??s par Richard III, lords et autres agents; un poursuivant, Scrivener, citoyens, les meurtriers, les messagers, soldats, Messieurs avec hallebardes, gardes, etc.
Synopsis
La pi??ce commence avec Richard d??crivant l'accession au tr??ne de son fr??re, le roi Edouard IV d'Angleterre , fils a??n?? du d??funt Richard, duc d'York.
- Ce est maintenant l'hiver de notre d??plaisir
- Fabriqu?? en glorieux ??t?? par ce soleil d'York;
- Et tous les nuages qui lour'd sur notre maison
- Dans le sein profond de l'oc??an enterr??.
("Soleil de York" est une r??f??rence de calembour ?? l'insigne du "soleil de plomb??, qui a adopt?? Edouard IV, et "fils de York", ce est ?? dire, le fils du duc d'York.)
Le discours de Richard r??v??le la jalousie et l'ambition, comme son fr??re, le roi Edouard IV gouverne le pays avec succ??s. Richard est un vilain bossu, se d??crivant comme "grossi??rement est grav??e" et "d??form??, unfinish'd", qui ne peuvent pas "se pavaner devant un amble aveugle nymphe. "Il r??pond ?? l'angoisse de son ??tat avec un paria de credo: ??Je suis d??termin?? ?? prouver une m??chant / et la haine les vains plaisirs de ces jours "Richard parcelles d'avoir son fr??re Clarence, qui se tient devant lui dans la ligne de succession, conduit ?? la. Tour de Londres sur une proph??tie qu'il introduit au Roi; que ??G d'Edward h??ritiers le meurtrier doit ??tre ", que le roi interpr??te comme se r??f??rant ?? G eorge de Clarence (bien que le public peut se rendre compte plus tard, de l'amour de Richard d'ironie que ce ??tait peut-??tre une r??f??rence ?? lui-m??me, Richard G loucester).
Richard lui-m??me ingratiates suivante avec "la Dame Anne" - Anne Neville, veuve du Lancastre ??douard de Westminster, Prince de Galles. Richard confie ?? l'auditoire:
"Je ??pouserai La plus jeune fille de Warwick.
Que, si je kill'd son mari et son p??re? "
Malgr?? le ha??r au d??part, Anne est conquis par ses moyens d'amour et de repentir et accepte de l'??pouser. Quand elle quitte, Richard exulte dans son avoir conquis, malgr?? tout ce qu'il a fait pour elle, et dit ?? l'auditoire qu'il va lui jeter une fois qu'elle a servi son but.
L'atmosph??re ?? la cour est toxique: les nobles ??tablies sont en contradiction avec les parents vers le haut mobiles Queen Elizabeth, une hostilit?? aliment??e par les machinations de Richard. Queen Margaret, la veuve de Henry VI, retourne au m??pris de son bannissement et avertit les nobles querelleurs sur Richard. Queen Margaret maudit Richard et le reste qui ??taient pr??sents. Les nobles, tous les Yorkistes, unissez-r??flexe contre cette derni??re Lancastre, et l'avertissement tombe dans l'oreille d'un sourd.
Richard ordonne deux meurtriers de tuer son fr??re Clarence dans la tour. Clarence, quant ?? lui, concerne un r??ve ?? son gardien. Le r??ve comprend langage extr??mement visuelle d??crivant Clarence tombant d'un vaisseau imaginaire ?? la suite de Gloucester, qui ??tait tomb?? dans les trappes, en lui frappant. Sous l'eau Clarence voit les squelettes de milliers d'hommes "que les poissons rongeaient sur." Il voit aussi "coins d'or, de grandes ancres, des tas de perles, des pierres, des bijoux inestimables non ??valu??es." Tous ces ??l??ments sont "saupoudr?? dans le fond de la mer." Clarence ajoute que certains des bijoux ??taient dans les cr??nes des morts. Clarence imagine alors mourir et d'??tre tourment?? par les fant??mes de son p??re-fr??re (Warwick, le p??re d'Anne) et son fr??re-fr??re (Edward, ex-mari de Anne).
Apr??s Clarence se endort, Brakenbury, lieutenant de la Tour de Londres, entre et observe que, entre les titres de princes et les bas de noms roturiers il n'y a rien diff??rent, mais la ??notori??t?? ?? l'ext??rieur", ce qui signifie qu'ils ont tous les deux "labeur int??rieur?? si riche ou pauvre. Lorsque les assassins arrivent, il lit de leur mandat (??mis au nom du roi), et se termine avec le gardien, qui d??sob??it ?? la demande de Clarence se tenir par lui, et laisse les deux meurtriers les touches.
Clarence se r??veille et plaide avec les assassins, disant que les hommes ne ont aucun droit d'ob??ir ?? d'autres demandes pour assassiner des hommes, parce que tous les hommes sont sous le r??gne de Dieu de ne pas commettre assassiner. Les meurtriers impliquent Clarence est un hypocrite parce que, comme on dit, ??tu ... unripped'st les entrailles de fils de ton souverain [Edward] que tu as ??t?? asserment?? ?? ch??rir et d??fendre." Tactiquement essayer de les gagner, il leur dit d'aller ?? son fr??re Gloucester, qui les r??compensera mieux pour sa vie que Edward sera pour sa mort. Un meurtrier insiste Gloucester se les envoya ?? accomplir l'acte sanglant, mais Clarence ne le croit pas. Il rappelle l'unit?? de Richard duc d'York b??nissant ses trois fils avec son bras victorieux, ench??rir son fr??re Gloucester ?? ??penser ?? ce sujet et il va pleurer." Sardonique, un meurtrier dit Gloucester pleure meules-??cho commentaire pr??c??dent de Richard ?? propos de ses propres yeux les assassins pleurant meules plut??t que ??larmes folles" (Act I, Sc. 3).
Ensuite, l'un des assassins explique que son fr??re Gloucester le d??teste, et les envoya ?? la Tour de le tuer. Finalement, une assassin donne ?? son de conscience et ne participe pas, mais l'autre tueur poignarde Clarence et le noie dans ??le Malvoisie fesses l'int??rieur ??. Le premier acte se termine par l'auteur besoin de trouver un trou pour enterrer Clarence.
Edward IV meurt peu, laissant comme Protecteur son fr??re Richard, qui se met ?? ??liminer les derniers obstacles ?? son adh??sion. Il rencontre son neveu, le jeune Edward V , qui est en route pour Londres pour son couronnement accompagn??e par des proches de la veuve d'Edward (Lord Rivers, Lord Grey, et Sir Thomas Vaughan). Ces arrestations Richard et (??ventuellement) d??capite, et a une conversation avec le Prince et son jeune fr??re, le duc d'York, puis. Les deux princes d??jouer facilement Richard et correspondent ?? ses jeux de mots et l'utilisation de la langue facilement. Richard est nerveux ?? leur sujet, et la menace potentielle qu'ils sont. Le jeune prince et son fr??re sont amen??es (Par Richard) dans un s??jour prolong?? ?? la Tour de Londres . Le prince et son fr??re le duc d'York se av??rer extr??mement caract??res intelligents et charismatiques, hardiment d??fier et d??jouer Richard et se moquant de lui ouvertement.
Assist?? par son cousin Buckingham, Richard monte une campagne pour se pr??senter comme le v??ritable h??ritier du tr??ne, en faisant semblant d'??tre un homme pieux modeste aucune pr??tention ?? la grandeur. Lord Hastings, qui se oppose ?? l'ascension de Richard, est arr??t?? et ex??cut?? sur une fausse accusation. Ensemble, Richard et Buckingham courir le bruit que les deux fils d'Edward sont ill??gitimes, et ne ont donc aucun droit l??gitime du tr??ne, assist?? de Catesby, Ratcliffe et Lovell. Les autres seigneurs sont cajol??s ?? accepter comme roi Richard, en d??pit de la survie de ses neveux (la Princes de la Tour).
Richard demande Buckingham pour garantir la mort des princes, mais Buckingham h??site. Richard recrute ensuite les James Tyrrell, qui tue deux enfants et plus tard ??prouve culpabilit?? mineure. Quand Richard Buckingham nie une concession de terre avant-promis, Buckingham se retourne contre Richard et d??fauts sur le c??t?? de Henry, comte de Richmond , qui est actuellement en exil. Richmond a son oeil sur la ni??ce de Richard, princesse Elizabeth et poisons Lady Anne, afin qu'il puisse ??tre libre de s??duire la princesse. La duchesse de York et Queen Elizabeth pleurent la mort des princes, lorsque la reine Margaret arrive. Queen Elizabeth, comme pr??vu, demande l'aide de la reine Marguerite dans la mal??diction. Plus tard, la duchesse se applique cette le??on et maudit son seul fils survivant avant de quitter. Richard tente sa vieille dissimulation d'entrer dans "le nid de spicery" princesse Elizabeth, mais sa m??re ne est pas pris en charge par son ??loquence, et m??me r??ussit ?? tromper et caler lui.
En temps voulu, le plus parano??aque Richard perd ce popularit?? qu'il avait. Il a rapidement fait face ?? des r??bellions d'abord par Buckingham et par la suite dirig??s par le Richmond envahir. Buckingham est captur?? et ex??cut??. Les deux parties arrivent ?? une bataille finale Bosworth. Avant la bataille, Richard est visit?? par les fant??mes de ses victimes, (-Prince-??douard Lancaster, le roi Henri VI, Clarence, rivi??res, Gris, Vaughan, Hastings, les princes, son ex-??pouse Anne, et son ancien meilleur ami Buckingham) tous dont lui dire de "d??sespoir et de mourir!" Il se r??veille en hurlant pour " Jesu "pour l'aider, r??alisant lentement qu'il est tout seul dans le monde, et ne peut m??me pas piti?? lui-m??me.
Lors de la bataille de Bosworth, Lord Stanley (qui est aussi le beau-p??re de Richmond) et ses partisans d??sertent c??t?? de Richard, (seuls alli??s de Richard ?? la fin sont Norfolk, Catesby, et Ratcliffe), apr??s quoi Richard appelle ?? l'ex??cution de George Stanley, Lord Stanley fils. Cela ne arrive pas, que la bataille bat son plein, et Richard est laiss?? dans une situation d??savantageuse. Richard est bient??t d??sar??onn?? sur le terrain ?? l'apog??e de la bataille, et prononce la ligne souvent cit??, "Un cheval, un cheval, mon royaume pour un cheval!" Richmond tue Richard dans le duel final. Par la suite, Richmond succ??de au tr??ne comme Henry VII, et ??pouse la princesse Elizabeth de la maison d'York.
Th??mes et motifs
??l??ments comiques
La pi??ce ??vite r??solument les manifestations de violence physique; seulement Clarence et Richard III meurent sur sc??ne, tandis que le reste (les deux princes, Hastings, Gris, Vaughan, Rivi??res, Anne, Buckingham, et King Edward) tous r??pondre ?? leurs extr??mit??s hors sc??ne. Malgr?? la nature malfaisante du personnage-titre et le sc??nario sombre, Shakespeare infuse l'action avec un mat??riau comique, comme il le fait avec la plupart de ses trag??dies. Une grande partie de l'humour se ??l??ve de la dichotomie entre la fa??on dont le personnage de Richard est connu et comment Richard tente d'appara??tre.
Richard lui-m??me fournit ??galement quelques remarques s??ches dans l'??valuation de la situation, comme quand il projette de se marier la fille de la reine Elizabeth: "Murder ses fr??res, puis l'??pouser; mani??re incertain du gain ...?? D'autres exemples de l'humour dans ce jeu comprennent meurtriers r??ticents de Clarence , et le duc du rapport de Buckingham sur sa tentative de convaincre les Londoniens ?? accepter Richard (??... je les offre qui a fait aimer le bien cri de leur pays, Dieu sauve Richard, roi royale de l'Angleterre!?? Richard: "Et ont-ils donc? "Buckingham:" Non, si Dieu me aide, ils parlaient pas un mot ... ") calembours, un aliment de base de Shakespeare, sont particuli??rement bien repr??sent??s dans la sc??ne o?? Richard tente de persuader la reine Elizabeth pour courtiser sa fille en son nom.
Le libre arbitre et le fatalisme
L'un des th??mes centraux de Richard III est l'id??e du sort, d'autant plus qu'il est vu ?? travers la tension entre le libre arbitre et le fatalisme dans les actions et les discours de Richard, ainsi que les r??actions ?? lui par d'autres caract??res. Il ne fait aucun doute que Shakespeare se inspire fortement Sir Thomas More de compte de Richard III comme un criminel et un tyran comme source d'inspiration pour son propre rendu. Cette influence, en particulier en ce qui concerne le r??le de la punition divine dans la r??gle de Richard d'Angleterre, atteint son apog??e dans la voix de Margaret. Janis Lull sugg??re que ??Margaret donne la parole ?? la croyance, encourag?? par la culture Calvinisme du ??re ??lisab??thaine, que les ??v??nements historiques individuelles sont d??termin??es par Dieu, qui punit souvent mal par (apparente) mal ??.
Ainsi, il semble possible que Shakespeare, en se conformant ?? la culture "Tudor mythe?? de la journ??e, ainsi que la prise en compte de nouvelles th??ologies de l'action divine et la volont?? humaine de devenir populaire dans le sillage de la R??forme protestante, a cherch?? ?? peindre Richard que la mal??diction finale de Dieu sur l'Angleterre en punition pour le d??p??t de Richard II en 1399. Irving Ribner a fait valoir que ??le mauvais chemin de Richard est une op??ration de nettoyage dont les racines du mal sur la soci??t?? et restaure le monde enfin ?? la bont?? de Dieu ordonn?? inscrit dans la nouvelle r??gle de Henry VII".
Marxiste ??rudit Victor Kiernan ??crit que cette interpr??tation est en parfaite ad??quation avec la perspective sociale anglaise de l'??poque de Shakespeare: "Une extension est en cours de l'assurance d'une classe privil??gi??e d'un traitement pr??f??rentiel dans l'autre monde que dans ce domaine, ?? la condamnation d'une nation la plus favoris??e d'avoir Dieu sur de son c??t??, des Anglais ??tant ... le nouveau peuple ??lu ". Comme l'Angleterre ??lisab??thaine a ??t?? colonise lentement le monde, la population a embrass?? la vue de son propre droit divin et la nomination de le faire, autant que Richard fait dans la pi??ce de Shakespeare.
Toutefois, le fatalisme historique ne est qu'un c??t?? de l'argument du destin contre libre arbitre. Il est ??galement possible que Shakespeare destin?? ?? d??peindre Richard comme ??... une personnification de la machiav??lique vue de l'histoire que la politique de puissance ". Dans cette vue, Richard agit enti??rement de sa propre volont?? ?? prendre brutalement la main sur le tr??ne d'Angleterre. Kiernan pr??sente ??galement de ce c??t?? de la m??daille, notant que Richard "b??n??ficie ?? nous de sa finesse dans la dissimulation et la tromperie avec des morceaux de l'??criture pour masquer sa ??vilenie nu?? (I.iii.334-8) ... Machiavel , que Shakespeare peut vouloir nous rendre compte, ne est pas un guide s??r de la politique pratique ".
Kiernan sugg??re que Richard agit simplement comme si Dieu est de d??terminer chacun de ses pas dans une sorte de manipulation machiav??lique de la religion comme une tentative de contourner la conscience morale de ceux qui l'entourent. Par cons??quent, le d??terminisme historique ne est qu'une illusion perp??tr??e par l'affirmation de Richard de son plein gr??. La lecture machiav??lique de la pi??ce trouve des preuves dans les interactions de Richard avec le public, comme quand il mentionne qu'il est "d??termin?? ?? prouver un m??chant" (Ii30). Cependant, bien qu'il semble Richard lui-m??me consid??re comme totalement en contr??le, Lull sugg??re que Shakespeare utilise Richard ?? l'??tat "la conception tragique de la pi??ce dans une blague. Son sens premier est qu'il contr??le sa propre destin??e. Son jeu de mots a ??galement une seconde , sens qui contradictoires sa vilenie est pr??destin?? et la forte providentialisme du jeu approuve finalement ce sens ".
Critique litt??raire Paul Haeffner ??crit que Shakespeare avait une grande compr??hension de la langue et le potentiel de chaque mot qu'il a utilis??. Un mot que Shakespeare a donn?? potentiel ??tait ??joie??. Ce est employ??e dans l'Acte I, Sc??ne III, o?? il est utilis?? pour voir "effet ??motionnel d??lib??r??e". Un autre mot qui est Haeffner souligne ??genre??, qu'il sugg??re est utilis?? avec deux d??finitions diff??rentes.
La premi??re d??finition est utilis?? pour exprimer un ??doux et affectueux" ??tant, qui Clarence utilise pour d??crire son fr??re Richard aux meurtriers qui ont ??t?? envoy??s pour le tuer. Cette d??finition ne est pas vrai, comme Richard utilise une fa??ade doux pour se emparer du tr??ne. La deuxi??me d??finition pr??occupations "vrai de la nature de la personne ... Richard seront en effet utilisent Hastings bont??, ce est, comme il a l'habitude d'utiliser les personnes-brutalement".
Haeffner ??crit ??galement sur la fa??on dont la parole est ??crit. Il compare les discours de Richmond et Richard ?? leurs soldats. Il d??crit le discours de Richmond comme "digne" et formelle, tandis que le discours de Richard est expliqu??e comme "argotique et imp??tueux". La d??sinvolture de Richard dans le discours est ??galement not?? par un autre ??crivain. Cependant, Lull ne fait pas la comparaison entre Richmond et Richard que Haeffner fait, mais entre Richard et les femmes de sa vie. Cependant, il est important pour les femmes part le langage formel qui utilise Richmond. Elle rend l'argument selon lequel la diff??rence dans le discours "renforce la division th??matique entre l'identification des femmes avec le groupe social et l'individualisme de Richard". Haeffner convient que Richard est "un individualiste, d??testant la dignit?? et la formalit??".
Janis Lull prend ??galement une mention sp??ciale des pleureuses. Elle sugg??re qu'ils sont associ??s ?? des "figures de r??p??tition comme anaphore en commen??ant chaque clause dans une s??quence avec le m??me mot-et-epistrophe r??p??tant le m??me mot ?? la fin de chaque article". Un exemple de la epistrophe peut ??tre trouv?? dans le discours de Margaret ?? l'Acte I, Sc??ne III. Haeffner se agit, selon quelques-uns des nombreux ??appareils et astuces de style?? qui se produisent dans le jeu, mettant en vedette la capacit?? de Shakespeare pour faire ressortir le potentiel de chaque mot.
Richard Anti Hero
Le personnage de Richard Tout au long du jeu, change constamment et les changements et, ce faisant, modifie la structure dramatique de l'histoire.
Richard ??tablit imm??diatement un lien avec le public avec son monologue d'ouverture. Dans le soliloque, il pr??sente son amoralit?? ?? l'auditoire et, mais en m??me temps les traite comme se ils ??taient co-conspirateurs dans son trac??; on peut tr??s bien ??tre s??duit par sa rh??torique tout en ??tant horrifi?? par ses intrigues. Richard montre son esprit ?? l'acte I, comme on le voit dans les ??changes avec Lady Anne (Acte I, sc??ne II) et son fr??re Clarence (Acte I, sc??ne I). Dans ses dialogues Acte I, Richard se r??f??re sciemment de pens??es, il n'a pr??alablement partag??s avec le public ?? garder le public l'??coute de lui et de ses objectifs. Dans la version 1.1, Richard raconte l'auditoire dans un soliloque fa??on dont il envisage de r??cup??rer son chemin vers le tr??ne de tuer son fr??re Clarence comme une ??tape n??cessaire pour y arriver. Cependant, Richard pr??tend ??tre l'ami de Clarence, faussement le rassure en disant, ??Je te d??livrerai, ou bien mentir pour vous" (1.1.115); o?? le public sait-et Richard nous dit apr??s la sortie de Clarence-est exactement le contraire de ce qu'il entend faire. Scholar Michael E. Mooney d??crit Richard comme occupant une position "figuratif"; il est capable de se d??placer dans et hors de lui en parler avec le public sur un seul niveau, et d'interagir avec d'autres personnages sur un autre.
Chaque sc??ne au premier acte est termin?? livre par Richard adressant directement au public. Cette action de la part de Richard non seulement le maintient dans le contr??le de l'action dramatique de la pi??ce, mais aussi de la fa??on dont le public le voit: dans une lumi??re plut??t positive, ou comme le protagoniste. Richard incarne effectivement le caract??re dramatique de "vice" de Medieval myst??re joue-avec laquelle Shakespeare ??tait tr??s familier de son temps avec son "espi??gle ?? l'humour diabolique". Comme vice, Richard est en mesure de pr??senter ce qui est laid et le mal-pens??es et ses objectifs, son point de vue d'autres personnages-dans ce qui est aimable et amusant pour le public.
Dans les actes ant??rieurs de la pi??ce, aussi, le r??le de l'antagoniste est rempli par celle de l'ancienne reine de Lancastre, Margaret, qui est vilipend?? par les Yorkistes et dont Richard manipule verbalement et condamne l'acte I, sc??ne III.
Cependant, apr??s l'acte I, le nombre et la qualit?? des apart??s de Richard ?? l'auditoire diminuer de mani??re significative, ainsi que plusieurs sc??nes sont entrecoup??es qui ne comprennent pas Richard ?? tous, mais les citoyens moyens (acte II, sc??ne III), ou la duchesse de York et les enfants de Clarence (acte II, sc??ne II), qui sont aussi morale que Richard est mal. Sans Richard guider le public ?? travers l'action dramatique, le public est laiss?? ?? ??valuer pour lui-m??me ce qui se passe. Dans l'acte IV, sc??ne IV, apr??s la assassiner des deux jeunes princes et l'assassiner impitoyable de Lady Anne, les femmes de la play-Reine Elizabeth, la duchesse de York, et m??me Margaret-r??uniront pour pleurer leur Etat et ?? maudire Richard ; et il est difficile que le public ne compatir avec eux. Quand Richard entre ?? n??gocier avec la Reine Elizabeth pour la main-une sc??ne de sa fille dont la forme fait ??cho ?? la m??me dialogue rythme rapide que la sc??ne Lady Anne dans la loi I-qu'il a perdu sa vivacit?? et l'enjouement de la communication, et il est ??vident qu'il ne est pas le m??me homme.
?? la fin de la loi IV tout le monde dans le jeu, y compris la propre m??re de Richard, la duchesse, se est retourn??e contre lui, il ne interagit pas avec le public presque autant, et la qualit?? inspirant de son discours a diminu?? dans seulement donner et exigeant information. Comme Richard se rapproche de son illusion de la couronne, et enfin conclut en devenant roi, il se est enferm?? dans le monde du jeu; plus incarnant son mouvement facile dans et hors de l'action dramatique, il est maintenant coinc?? fermement en son sein. Ce est de l'acte IV que Richard commence vraiment son d??clin rapide en ??tre vraiment l'antagoniste. Shakespeare chercheur Stephen Greenblatt note la fa??on dont Richard se r??f??re ?? lui-m??me comme ??le vice formelle, l'iniquit???? (03/01/82), qui informe le public qu'il sait ce que son fonctionnement est; mais aussi comme vice dans les pi??ces de la moralit??, les destins vont tourner et obtenir Richard ?? la fin, dont le public ??lisab??thain auraient reconnu.
En outre, le caract??re de Richmond entre dans le jeu dans l'acte V de renverser Richard et enregistrer l'??tat de sa tyrannie, ??tant effectivement la nouvelle instantan??e protagoniste. Richmond est un contraste ??vident ?? caract??re antagoniste immorale de Richard, ce qui rend le public le voir comme tel.
Spectacles notables de Richard III
- F. Murray Abraham
- John Barrymore
- Simon Russell Beale
- Junius Brutus Booth
- John Wilkes Booth
- Kenneth Branagh
- Richard Burbage
- Peter Dinklage
- David Garrick
- Alec Guinness
- Ciar??n Hinds
- Ian Holm
- Edmund Kean
- Anton Lesser
- Ian McKellen
- Laurence Olivier
- Al Pacino
- Ian Richardson
- Antony Sher (le livre de Sher, L'Ann??e du roi, est un journal de sa pr??paration pour le r??le (qui il a jou?? sur des b??quilles) ?? Stratford en 1985.
- Barry Sullivan
- Donald Wolfit