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Natixis

Natixis

Natixis
Description de l'image Natixis nouveau logo.gif.
Création 2006
Dates clés 2006 Fusion des banques d'investissement IXIS CIB, Ixis AM (Groupe Caisse d'épargne) et Natexis Banques Populaires (Banque populaire) et de filiales du groupe Caisse d'Épargne
Personnages clés

François Pérol président du conseil d'administration et de l'actionnaire majoritaire (issu de la fusion CNCE et BFBP)

Laurent Mignon, Directeur Général
Forme juridique SA à Direction Générale et Conseil d'Administration
Siège social  Paris (France)
Actionnaires

BPCE : 72,3 %

Flottant : 27,7 %
Activité Banque
Société mère BPCE (Caisses d'épargne—Banque populaire)
Filiales implantations dans 68 pays
Effectif 22 000 (2010)
20 451 (2011)
20 198 (2012)
19 632 (2013)
Site web www.natixis.com
Capitalisation 7,61 Mds € (09 septembre 2012) 15,66 Mds € (18 Avril 2014)
Chiffre d’affaires 6.7 Mds € (2011)
6.1 Mds € (2012)
7.2 Mds € (2013)
Résultat net 1.732 Mds € (2010)
1.562 Mds € (2011)
901 M € (2012)
884 M € (2013)

Natixis, créée en 2006, est la banque de financement, de gestion et de services financiers du groupe BPCE, issue de la fusion des groupes Caisse d'épargne et Banque populaire. L’entreprise intervient dans les métiers de la banque grande clientèle, de l’épargne et des services financiers spécialisés et intègre des équipes de recherche en économie.

Histoire

Natixis sur le quai de la Rapée, à gauche de la gare de Lyon à Paris

Natexis Banques populaires

En 1996, Natexis SA est créée à la suite de la fusion de la BFCE (Banque française du commerce extérieur) et du Crédit national. Le nom regroupe nat de Crédit national, et ex de commerce extérieur[1].

En 1998, le groupe Banque populaire rachète amicalement Natexis SA puis en 1999 lui apporte les activités opérationnelles de la Caisse centrale des Banques populaires (CCBP); c'est-à-dire quasiment tout le personnel[2]. (La structure juridique de la CCBP servira par ailleurs à construire la Banque fédérale des banques populaires qui reprendra les prérogatives de la chambre syndicale des Banques populaires organe central du groupe Banques Populaires).

IXIS Corporate & Investment Bank

En 1999, CDC IXIS est fondée par une volonté de la Caisse des dépôts (et du gouvernement de l'époque) de séparer les activités concurrentielles de l'institutionnel. En 2001, CDC IXIS va être apportée par la CDC à la coentreprise EULIA fondée à quasi parité par la Caisse des dépôts et consignations et la CNCE. En 2004, dans des conditions rocambolesques, la CNCE va prendre le contrôle total de CDC IXIS renommée IXIS[3]. (La banque de financement étant IXIS CIB)

La fusion

En , le groupe Caisse d'Épargne et le groupe Banque populaire annoncent un projet de rapprochement, dans un premier temps limitée au périmètre de leurs banques d'investissement, respectivement Ixis CIB et Natexis Banques populaires[4]. À cette occasion, Natexis devient Natixis[4].

La nouvelle entité prend le nom de Natixis et a été mise sur le marché le 25 octobre 2006 avec un prix d'introduction de 19,55 euros. Natixis est alors détenue à parité avec 35 % du capital chacune par la Caisse nationale des Caisses d'Épargne et la Banque Fédérale des Banques Populaires, le reste du capital étant en bourse.

Elle est alors dirigée par Philippe Dupont[5] et Dominique Ferrero[6].

Une banque touchée par ses erreurs de gestion durant la crise de 2008

Affectée par ses choix de gestion, notamment durant la crise des subprimes, l'action Natixis a en moins de deux ans perdu près de 95 % de sa valeur, en passant sous le seuil de 1 euro en mars 2009, stabilisée autour de 3,5 € en 2010[7].

Entre autres exemples, Natixis avait choisi d'être actionnaire de CIFG, société créée en mai 2002 dans l'État de New-York, mais qui a depuis son siège aux Bermudes. CIFG est l'un des huit premiers rehausseurs de crédit (monolines) aux États-Unis, chargés de transformer les créances hypothécaires risquées (les subprimes) en placements recevant la meilleure notation financière, soit AAA. Les deux maisons-mères de Natixis, le Groupe Caisse d'Épargne et le Groupe Banque populaire, ont été contraintes de racheter CIFG le 20 novembre 2007 et de le recapitaliser de 1,5 milliard d'euros. L'encours de CIFG a été chiffré à 70 milliards d'euros par Nicolas Merindol, directeur des Caisses d'Épargne, lors d'une audition officielle[8].

Natixis avoue également faire partie des banques touchées par l'escroquerie de Bernard Madoff[9].

Juste avant l'annonce des pertes, du 4 au , la mise sur le marché de 1,7 milliard de titres a permis une augmentation de capital de 3,7 milliards d'euros[10], ce qui porte le nombre total d'actions à 2,9 milliards. Néanmoins, avec un cours de 2,55 € au moment de l'annonce, la capitalisation totale espérée n'est plus que de 7,4 G€.

Le 29 septembre 2008 à 15 h 50, prise dans ses erreurs de gestion à la suite de la crise des « subprimes », la valeur de l’action atteint un plus bas à 1,75 € soit une perte de 91,04 % par rapport à sa valeur d’introduction[11].

Le vendredi noir du 24 octobre 2008, l'action atteint brièvement un nouveau plus bas à 1,24 €, valeur qu'elle retrouve en décembre 2008 après l'annonce de provisions d'un montant de 450 millions d'euros à la suite de l'affaire Madoff[9].

Le vendredi 19 décembre 2008, le conseil de surveillance annonce parmi diverses mesures la suppression de 15 % des postes de la BFI, Banque de Financement et d'Investissement, et l'arrêt des activités les plus risquées. L'objectif affiché est la réduction des sources de pertes[12].

Natixis est désormais cité en référence à l'égal d'Eurotunnel[réf. nécessaire]. Les pertes pour l'exercice 2008 seraient de l'ordre de 2 milliards d'euros. Le 19 janvier 2009, la valeur du titre est de 1 €, soit 5 % du coût initial.

Le discours officiel du Groupe vise à faire endosser par "la crise" les errements de Natixis ; pourtant, cette banque est la plus touchée parmi les établissements français[13][réf. insuffisante].

L'État français soutiendra, pour plus de 7 milliards de d'euros, le plan d'assainissement de Natixis et de ses actionnaires, les banques populaires et les caisses d'épargne, pour l'essentiel[14].

L'impasse dictée par ces difficultés s'est propagée aux maisons mères, les Caisses d'Épargne et les Banque populaire, affectées par de considérables moins-values. Mais le fonds de garantie des dépôts, mécanisme européen, est censé permettre aux clients des banques d'être protégés et remboursés en cas de problème à hauteur de 100 000 euros en France[15].

Le 26 février 2009, les comptes de l'année indiquent une perte de 2 622 M€[16].

Le 6 mars 2009, sous l'impulsion du gouvernement, Bernard Comolet et Bruno Mettling[17] démissionnent (Bernard Comolet reconnaitra à la radio que c'est normal). Bruno Mettling, arrivé des Caisse d'épargne aux banques populaires en 2004[18], en avait pris la stratégie, puis la direction générale, sous l'autorité de Philippe Dupont[19].

François Pérol qui a contribué à la création de Natixis[20], soutenu par le Président de la République, est nommé Président du conseil de surveillance[21].

Le cours du titre Natixis (KN) vaut alors moins de 1 euro. Les actionnaires floués portent plainte[22][réf. insuffisante].

La banque envisage le départ volontaire de 166 salariés[23] dans l'activité titres et 130 autres dans l'activité de banque de financement et d'investissement (BFI)[24]. Le président de son Conseil de surveillance, M. François Pérol, ne touchera que 550 000 euros annuels sans bonus en 2009[25]. Le magazine Les Échos révèle dans son édition du 27 mars 2009 que 90 millions d'euros vont être distribués aux traders de la société sous forme de primes[réf. nécessaire].

Le 30 avril 2009, l'assemblée générale a été accompagnée par des CRS. Une action de « lancer de pantoufles » a été provoquée par le Collectif Sauvons les Riches[réf. nécessaire][26],[27]. Lors de cette AG est annoncée la possible présence dans le bilan de 50 milliards d'euros d'actifs douteux[28].

Le 14 mai 2009, alors que certaines banques annoncent des bénéfices pour le 1er trimestre 2009, Natixis annonce 1,9 milliard de pertes[29].

Le 19 mai 2009, une perquisition est ordonnée au siège de la banque à la suite des plaintes en cours des actionnaires estimant avoir été trompés[30].

Concernant la fusion des actionnaires majoritaires (projet Sequana), le projet de loi est accepté le 20 mai 2009 par les députés et sera vu le 8 juin par les sénateurs. Les syndicats font appel à divers experts afin de les aider à juger du projet[31]. Le cabinet Secafi rend son rapport le 26 mai[32].

Le 5 juin 2009, les Comités d'entreprise informent de leurs intentions de déposer un recours en justice pour défaut d'information[33].

Le 9 juin 2009, les sénateurs approuvent le rapprochement des deux banques par 187 voix pour et 154 contre. Le secrétaire d'État au Commerce Hervé Novelli indique que la création du « nouvel organe central pourra être effective dès le mois de juillet »[34].

Le 26 août 2009, Natixis annonce la mise en place d'une garantie de sa maison mère, BPCE, issue du rapprochement des groupes Banque Populaire et Caisse d'Épargne, sur environ 35 milliards d'euros d'actifs dits en jargon interne "de GAPC" (en clair : le montant des actifs pourris acquis par la banque). La valeur s'envole de 33,26 %, sans dépasser 3,07 euros à l'ouverture de la séance. Fort de la mise en place de la garantie apportée par la BPCE, Natixis confirme ses objectifs de croissance et de retour à la rentabilité attendu pour le second semestre 2009 (les actifs compromis ne sont plus comptabilisés comme éléments de cette rentabilité).

La tentative de redressement

Entre août 2009 et août 2010, le cours du titre oscille entre 3 et 4 euros.

Dès son arrivée à la tête du groupe BPCE, des syndicats portent plainte, les conditions de l'arrivée de François Pérol font l'objet d'une information pour « prise illégale d'intérêts » :

  • Le 24 septembre 2010, on annonce l'ouverture d'une information judiciaire à la demande de l'ADAM, afin d'éclaircir divers points :
    • Les déclarations et les comptes de la banque auprès des autorités et des actionnaires
    • Les conditions de vente par des conseillers clientèle incitant à la fermeture d'un livret A (placement sécurisé) au profit de l'achat de titres spéculatifs à risques.
  • Le 31 décembre 2010, le cabinet DEMINOR porte plainte au nom de 730 actionnaires pour "diffusion d'informations fausses, mensongères ou trompeuses".

Les audiences publiques du Tribunal correctionnel se tiennent du 22 juin au 2 juillet 2015[35]. Elles sont l'occasion de décrire « un système poreux entre sphère privée et sphère publique »[36] selon les journalistes, de critiquer la présidence de Nicolas Sarkozy[37] ou encore, plus substantiellement, de dénoncer la proximité entre les grands corps de l'État et les banques[38] [39]

Les réquisitions du Parquet sont sévères : deux années de prison (avec sursis) et 30 000 euros d'amende. La procureure affirme : « il nous appartient donc d'affirmer la responsabilité de celui qui a transgressé la valeur fondamentale qui est l'impartialité de celui qui agit dans la sphère publique au nom de l'intérêt de l'État », ajoutant « ce niveau de responsabilité appelait une exemplarité sans faille et rien ne vient justifier l'entorse commise. Elle n'en est que plus grave »[40].

En septembre 2010, Natixis entre dans la composition du CAC 40. À cette occasion, le cours évolue favorablement et parvient presque a 5 € en octobre.

Le titre chute au cours de l'année 2011 puis oscille entre 1,60 et 2,60 euros en 2012. En 2013, le titre évolue autour de 3,60 euros[41].

Sur un autre plan, en décembre 2012, Natixis a été condamné pour discrimination raciale[42].

En 2013, il est prévu de réduire l'entreprise de 700 postes [43]. En avril 2014,Natixis annonce la suppression de 136 postes supplémentaires[44].

Le 6 février 2014, Le juge Roger Le Loire fait mettre en examen François Pérol pour prise illégale d’intérêts [45].

En août 2014, Natixis annonce la nomination comme directeur, d'un ancien conseiller du premier ministre[46],[47].

Le 7 novembre 2014, le parquet national financier décide du renvoi de François Pérol devant le tribunal correctionnel . Le 5 février 2015 , le tribunal décide le renvoi en correctionnelle pour prise illégale d'intérêts . Un procès est prévu pour les mois suivants[48].

Identité visuelle (logo)

Jusqu'en 2009, le logo[49] se composait de deux losanges : l’un, bleu, signifiait son appartenance à la Banque Populaire alors que le second, de couleur rouge, suggérait la couleur de la Caisse d’Epargne.

En décembre 2009, Natixis se pare d'une nouvelle identité visuelle[50]. Les deux losanges bleu et rouge disparaissent pour laisser place à un « N » stylisé d'un coup de pinceau, qui rappelle une signature d'un geste de la main. Le violet, du même ton que le logo de la nouvelle BPCE, fusionne le rouge de la Caisse d’Epargne. et le bleu de la Banque populaire.

Logo en écho à celui de BPCE, la maison mère, représentant un cercle de la même couleur violet.

Présentation de l'entreprise

Les métiers

Natixis est organisée autour de trois métiers[51]  :

  1. la Banque de Grande Clientèle (anciennement Banque de Financement et d’Investissement) propose une gamme diversifiée de financements et un accès aux marchés de capitaux.
  2. l’Épargne regroupe la gestion d'actifs (Natixis Global Asset Management), l’assurance (Natixis Assurances), la banque privée (Banque Privée 1818) et le capital investissement.
  3. les Services Financiers Spécialisés à destination des réseaux bancaires du Groupe BPCE, d’autres banques et établissements financiers avec  :
    • les financements spécialisés comprenant les activités de crédit à la consommation, affacturage, cautions et garanties, crédit-bail, financement du cinéma et de l’audiovisuel.
    • les services financiers regroupant les activités de paiements, titres et ingénierie sociale.

Natixis détient également 100 % de Coface[52], troisième assureur-crédit mondial.

Dans le monde

Natixis est présente dans 68 pays[51] répartis sur 3 grandes zones géographiques : les Amériques, l'Asie-Pacifique, l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique.

Activités

Banque de financement et d'investissement
  • Financement de projets (Europe)
  • Financement immobiliers (France)
  • Primaire obligataire corporate (France)
  • Emission de CDO (Europe)
  • Marché de l’euro en primaire obligataire
  • Trade finance (Afrique et Moyen-Orient)
  • Financement aéronautique
Gestion d'actifs
  • Gestion d'actifs (international)
Capital investissement et gestion privée
  • Capital investissement dédié aux PME
Services
  • Gestion d'Épargne salariale (France)
  • Assurance cautions (France)
  • Conservation institutionnelle
  • Conservation de détail (France)
  • Opérateur monétique (France) par l'intermédiaire de sa filiale Natixis Paiements
  • Bancassurance IARD (France)
Poste clients
  • Poste clients (France)
  • Affacturage (international)
  • Assurance-crédit
  • Gestion de créances
  • Information d’entreprise

Politique de développement durable

Dans ses activités

Spéculation sur les matières premières

En février 2013, dans un rapport intitulé « Ces banques françaises qui spéculent sur la faim », l’ONG Oxfam France indique que les quatre principales banques françaises – BNP Paribas, Société générale, Crédit agricole et Natixis (BPCE) – géraient, pour leurs clients, en novembre 2012, au moins 18 fonds qui spéculent sur les matières premières.La majorité de ces fonds ont été créés une fois qu’avait commencé en 2008 la crise alimentaire, dans le but manifeste de faire des profits en spéculant sur les aliments et d’autres commodities.

Énergies renouvelables

Par le biais de sa filiale Natixis Lease, Natixis a créé, dans les années 1990, Natixis Energéco[51], spécialisée dans le financement des énergies renouvelables. En 2012, cette structure a participé au financement de 18 projets répartis dans le photovoltaïque (10 projets), l’éolien (5 projets), la cogénération de biomasse (2 projets) et l’hydraulique (1 projet). Natixis compte également, avec Natixis Asset Management, un pôle d'expertise exclusivement dédié à l'investissement responsable, Mirova, pour proposer aux investisseurs des solutions créatrices de valeur sur le long terme intégrant les enjeux du développement durable. Mirova[53] s’organise autour de 4 piliers :

  • la gestion des actions cotées,
  • le financement des infrastructures,
  • la gestion à impact social et environnemental,
  • le conseil en vote et engagement.

Dans son fonctionnement

Natixis applique sa politique de développement durable avec des actions visant à réduire son impact direct sur l’environnement telles que la réalisation d’un bilan carbone annuel, la certification ISO 14 001[54] pour l’exploitation de ses immeubles ou encore, la proposition depuis 2007 d’un plan de déplacements d’entreprise à destination de ses collaborateurs.

Mécénat et sponsoring

Domaine de la culture

L’entreprise œuvre en faveur de la conservation et de l’accessibilité du patrimoine culturel français et international. En 2012, Natixis a participé au financement de travaux de rénovation des bâtiments de la Comédie Française, notamment pour l’isolation acoustique de la Salle Richelieu[55].

Domaine du sponsoring sportif

Natixis est le parrain officiel du Racing Metro 92[56] depuis 2007.

Fondation d’entreprise Natixis

La Fondation d’entreprise Natixis pour la recherche quantitative est créée en 2006, avec le concours de son Comité Scientifique[57], elle œuvre en faveur de la recherche dans le domaine des mathématiques financières au niveau international. Le soutien de la Fondation se distingue à travers différentes actions telles que le financement de travaux de recherche universitaire, la remise de prix, tels que le Grand Prix Louis Bachelier Natixis – Académie des Sciences, la co-organisation et le sponsoring de conférences d’institutions universitaires internationales.

Notes et références

  1. Isabelle Chaepron et Pascal Henisse, « Le Crédit National-BFCE va s'appeler Natexis », sur Les Echos,
  2. « Histoire des Banques Populaires - Année 2000 sur le site du groupe Banques Populaire » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  3. voir p. 49 le récapitulatif historique : [PDF] Groupe Caisse des Dépôts - Rapport annuel 2003 - Activités concurrentielles
  4. 1 2 Alexandre Counis, « Natixis pourrait n'être qu'un premier pas pour l'Ecureuil et les Banques Populaires », sur Les Echos,
  5. Bertille Bayart, « Ma présidence est un facteur de cohérence », sur Le Figaro,
  6. Hector Chaunu, « Natexis : Dominique Ferrero mènera une mission de réflexion et de recommandations », sur Boursier.com,
  7. Matthieu Pecheberty, Natixis, enquête sur une faillite d'État, Éditions First, 2010
  8. « Audition sur la distribution du Livret A et le financement du logement social », sur Assemblee-nationale.fr,
  9. 1 2 « Madoff : Natixis pourrait perdre 450M€ », sur Le Figaro,
  10. « http://www.natixis.com/jcms/lead_117335/pr-25-09-2008 » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  11. « Dépêche d'Agence Option Finance » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  12. « http://www.natixis.fr/upload/docs/application/pdf/2008-12/cp_bfi_12_08_2008-12-19_08-14-15_619.pdf » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  13. Natixis touchée par la crise http://tempsreel.nouvelobs.com/tag/natixis-p2
  14. « Les banques françaises s'acquittent de leur dette envers l'État », sur La Tribune,
  15. « http://fr.news.yahoo.com/afp/20081005/tbs-usa-banque-finance-france-prev-f41e315.html » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  16. « http://www.natixis.com/upload/docs/application/pdf/2009-02/cp_resultats_vf_311208.pdf » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  17. Etats d'âme de Bruno Mettling http://www.challenges.fr/entreprise/20081013.CHA7228/exclusif-les-etats-d-ame-de-mettling-banques-populaires-et-merindol-ecureuil.html
  18. Bruno Mettling Banques Populaires http://www.lesechos.fr/12/07/2004/LesEchos/19198-138-ECH_bruno-mettling-aux-banques-populaires.htm
  19. Nomination de Bruno Mettling http://www.easybourse.com/bourse/financieres/article/4094/mettling-lhomme-providentiel-de-banque-populaire.html
  20. « Pérol a œuvré à la création de Natixis », sur 20 Minutes,
  21. « http://www.natixis.com/upload/docs/application/pdf/2009-03/cp_cs_060309.pdf » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  22. « Natixis: les petits actionnaires portent plainte », sur Mediapart
  23. « Natixis envisage de supprimer 166 emplois supplémentaires », sur Le Figaro,
  24. « http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/economie/la_crise_financiere/20090327.OBS0861/bonus_chez_natixis__fo_claque_la_porte_du_cce.html » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  25. Denis Demonpion, « 550.000 euros bruts annuels pour François Pérol, mais pas de bonus », sur Le Point,
  26. « http://sauvonslesriches.fr/?p=272 » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  27. « http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gnqbhehWha7bQdbS1FcxY2HO-6YA » (Archive Wikiwix Archive.is Google Que faire ?)
  28. Julie de la Brosse, « Revivez l'AG de Natixis, heure par heure », sur L'Express,
  29. « Natixis : 4ème trimestre consécutif dans le rouge », sur Boursier.com,
  30. http://www.latribune.fr/entreprises/banques-finance/banque/20090519trib000377920/perquisitions-aux-sieges-de-natixis-banques-populaires-et-caisses-depargne.html
  31. http://www.lesechos.fr/info/finance/4869620.htm
  32. http://www.challenges.fr/actualites/finance_et_marches/20090529.CHA4149/rapport_critique_sur_la_fusion_ecureuilbanque_populaire.html
  33. http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/06/06/trois-comites-d-entreprise-de-l
  34. http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hVG0BSXEmOx-TGumqidUywGWnapg
  35. Les Echos http://bourse.lesechos.fr/infos-conseils-boursiers/infos-conseils-valeurs/infos/le-proces-de-francois-perol-se-tiendra-du-22-au-24-juin-presse-1035360.php
  36. http://www.lesechos.fr/journal20150623/lec2_finance_et_marches/021155582769-proces-perol-un-systeme-poreux-au-coeur-des-debats-1130797.php
  37. http://blogs.mediapart.fr/edition/lagora-des-caisses-d-epargne-des-banques-populaires-et-de-natixis/article/110615/pourquoi-sud-bpce-renvoye-perol-de
  38. http://www.challenges.fr/challenges-soir/20150622.CHA7204/francois-perol-ou-les-ambiguites-d-uns-systeme-si-francais.html
  39. http://www.letemps.ch/Page/Uuid/4af78d1c-1f63-11e5-8d1d-5895281d1863/La_BPCE_cette_banque_fran%C3%A7aise_si_convoit%C3%A9e
  40. http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/bpce-requisitoire-severe-contre-francois-perol-899061.html
  41. Cours Natixis, Boursorama.com
  42. Natixis condamné pour discrimination raciale http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/12/27/natixis-condamne-pour-discrimination-raciale-envers-un-de-ses-cadres_1811035_3224.html
  43. « Natixis : "Ce sont 700 postes supprimés et pas 700 licenciements", dit un syndicaliste », sur RTL.fr,
  44. Alexandre Garabedian, « Natixis met la dernière main à son plan de départs en France », sur Agefi,
  45. Myriam Chauvot, « BPCE : François Pérol mis en examen pour prise illégale d’intérêts », sur Les Echos,
  46. Pantouflage chez Natixis http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/20140509trib000829110/un-ancien-conseiller-de-matignon-chez-natixis-nouvel-exemple-de-pantouflage-.html
  47. Nominations chez Natixis http://www.lesechos.fr/05/08/2014/LesEchos/21743-103-ECH_natixis---nicolas-namias--pierre-besnard-.htm
  48. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/02/19/97002-20150219FILWWW00146-perol-veut-garder-sa-place-chez-bpce.php
  49. Nouveau logo Natixis, Creads
  50. Nouveau logo Natixis, LaTribune.fr
  51. 1 2 3 Document de référence 2012, Natixis
  52. ICISA, mai 2012
  53. NATIXIS AM présente Mirova, un pôle d'expertise dédié à l'investissement responsable, LeFigaro.fr, 22 novembre 2012
  54. Natixis certifié ISO 9001 et 14001 pour l’exploitation de ses immeubles, www.qhseclub.com, 6 octobre 2009
  55. La Comédie-Française dans son nouvel écrin, Le Figaro, 28 janvier 2013
  56. Natixis : nouveau partenariat avec le Racing Metro 92, www.boursier.com, 2 avril 2013
  57. Fondation d’entreprise Natixis pour la recherche quantitative, www.natixis.com

Voir aussi

Articles connexes

  • Banque populaire
  • Coface
  • Groupe Caisse d'épargne
  • Chronologie des banques en Europe

Liens externes

  • Site officiel
  • Portail de la finance
  • Portail des entreprises
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