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Institut français d'opinion publique

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Institut français d'opinion publique
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Logo de l'IFOP

Création
Fondateurs Jean Stoetzel
Slogan Connection creates value
Siège social  Paris (France)
Direction

Stéphane Truchi (président du directoire)
Laurence Parisot, (vice-présidente)[1]

Olivier Bauby (DG)
Activité Institut d'études Opinion et Marketing
Produits Solutions d'études Opinion et Marketing
Site web www.ifop.fr

L'Ifop, fondé en 1938, est le premier institut de sondages d'opinion et d'études marketing à avoir vu le jour en France[2]. Il reste aujourd'hui l'un des principaux acteurs de ce marché.

Outre trois pôles métiers (omnibus, panels, recueil téléphonique), l'Ifop est structuré autour de six secteurs : opinion et stratégies d'entreprise, grande consommation, services, médias et numérique, santé, luxe.

L’Ifop intervient dans une cinquantaine de pays à travers le monde, à partir de ses quatre implantations : Paris, Toronto, Buenos Aires et Shanghaï.

Histoire

L'Ifop a été fondé le par Jean Stoetzel, sociologue et ancien professeur à la Sorbonne, après sa rencontre avec George Gallup aux États-Unis.

Octobre 1938 : l'Ifop conduit la première enquête d'opinion publique en France : « Faut-il mourir pour Dantzig ? » ; ces premiers sondages sont publiés en juin, juillet et août 1939 par la revue Sondages appartenant à l'Ifop, avant que la publication de sondages ne soit interdite par la censure[3].

Septembre 1944 : première étude de l'après-guerre avec des questions sur les francs-tireurs, les FFI, le rôle de la Résistance.

En 1949, L'Ifop réalise les premières mesures d'écoute radio.

En 1956, première utilisation de l'analyse factorielle couplée à celle de l'ordinateur (un IBM 704) pour le dépouillement et le traitement des données d'une enquête sur la consommation des boissons alcoolisées.

L'Ifop, en réalisant la première estimation des résultats de l'élection présidentielle de 1965, annonce le ballottage du Général de Gaulle, confirmant les intentions de vote faites pendant la campagne présidentielle. En revanche, lors de l'élection 1974, l'Ifop (comme la Sofres) ne sera pas en mesure d'annoncer en début de soirée les résultats du second tour, tant l'écart de voix entre Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand était faible.

En 1961, premières enquêtes systématiques sur l'impact de la publicité dans les magazines.

En 1968, mise au point, pour la première fois en France, d'une typologie pour l'étude de marché d'une voiture bas de gamme, introduction de la méthode « vu et lu » pour mesurer les audiences dans la presse.

En 1973, à la demande du pétrolier Antar et en collaboration avec RTL, premières prévisions, toutes les demi-heures, des départs en vacances et de l'état d'encombrements des routes.

En 1983, l'Ifop effectue pour la première fois, à l'occasion des élections municipales, un sondage « sortie des urnes » avec RTL, en interrogeant les électeurs dès la sortie des bureaux de vote.

Laurence Parisot, qui fut à la fois présidente de l'IFOP de 1990 à 2007, de Gallup France de 1992 à 2002 et présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF) entre 2005 et 2013[4]. Elle en est la vice-présidente depuis 2007[5].

Notes et références

  1. http://www.ifop.com/?option=com_in_brief
  2. Hugues Cazenave, La Guerre des sondages, éditions Michalon, 2011, p. 102.
  3. Henri Amouroux, Le peuple du désastre, 1939-1940. Éditions Robert Laffont, S.A., Paris, 1976. Page 123. (ISBN 2-7242-8021-0).
  4. Béatrice Mathieu, « Laurence Parisot: "La France sous-estime son pouvoir de négociation en Europe" »
  5. « L'IFOP en quelques lignes — Laurence Parisot »

Lien externe

  • (fr) (en) Site officiel de l'Ifop
  • Portail de la sociologie
  • Portail des entreprises
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