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Illettrisme

Illettrisme

L'illettrisme désigne l'état d'une personne qui a été instruite (par une scolarisation ou autre) mais que cet apprentissage n'a pas conduit à la maîtrise de la lecture, de l'écriture et du calcul ou que cette maîtrise a été perdue[1]. L'illettrisme est une forme particulière de l'analphabétisme. L'illettrisme relève de l'accès au sens des écrits. Le texte que l'illettré ne comprend pas est accessible lorsque le texte est lu.

L'illettrisme engendre souvent des problèmes d'employabilité.

La notion voisine d'innumérisme s'applique aux personnes ayant des difficultés à maitriser les nombres, le raisonnement et le calcul.

Définition

Le mot illettrisme est un néologisme créé en 1978 à partir du terme « illettré » (issu du latin illitteratus signifiant « ignorant ») afin de désigner les seuls Français[2], sortis en situation d'échec de l'école, ayant une connaissance insuffisante de l'écrit, perdue faute de pratique, par désocialisation ou aliénation (emploi dégradant)[citation nécessaire], et de les différencier des autres catégories de personnes en difficulté avec la langue[3].

En 1995, le Groupe permanent de lutte contre l'illettrisme (GPLI) propose la définition suivante[4] : « Le GPLI considère comme relevant de situations d’illettrisme, des personnes de plus de seize ans, ayant été scolarisées, et ne maîtrisant pas suffisamment l’écrit pour faire face aux exigences minimales requises dans leur vie professionnelle, sociale, culturelle et personnelle. Ces personnes qui ont été alphabétisées dans le cadre de l’école, sont sorties du système scolaire en ayant peu ou mal acquis les savoirs premiers pour des raisons sociales, familiales ou fonctionnelles, et n’ont pu user de ces savoirs et/ou n’ont jamais acquis le goût de cet usage. Il s’agit d’hommes et de femmes pour lesquels le recours à l’écrit n’est ni immédiat, ni spontané, ni facile, et qui évitent et/ou appréhendent ce moyen d’expression et de communication ».

En 2003 l'ANLCI reformule la définition[5] : « L’illettrisme qualifie la situation de personnes de plus de 16 ans qui, bien qu'ayant été scolarisées, ne parviennent pas à lire et comprendre un texte portant sur des situations de leur vie quotidienne, et/ou ne parviennent pas à écrire pour transmettre des informations simples. Pour certaines personnes, ces difficultés en lecture et écriture peuvent se combiner, à des degrés divers, avec une insuffisante maîtrise d'autres compétences de base comme la communication orale, le raisonnement logique, la compréhension et l’utilisation des nombres et des opérations, la prise de repères dans l’espace et dans le temps, etc. Malgré ces déficits, les personnes en situation d'illettrisme ont acquis de l'expérience, une culture et un capital de compétences en ne s'appuyant pas ou peu sur la capacité à lire et à écrire. Certaines ont pu ainsi s'intégrer à la vie sociale et professionnelle, mais l'équilibre est fragile, et le risque de marginalisation permanent. D'autres se trouvent dans des situations d'exclusion où l'illettrisme se conjugue avec d'autres facteurs. »

Histoire du concept

En 1977 le père Joseph Wresinski, fondateur d'ATD Quart Monde et inventeur du mot, lance un défi : « [...] que dans dix ans, il n'y ait plus un seul illettré dans nos cités. Que tous aient un métier en mains. Que celui qui sait apprenne à celui qui ne sait pas. » Dans le rapport moral du mouvement ATD quart monde, publié en 1978, il invente le mot « Illettrisme »[6]. Le mot est préféré à celui d'« analphabétisme », jugé péjoratif, et le mot « alphabétisation » est abandonné car utilisé pour les immigrés alors que le père Wresinski constate que les personnes rencontrées dans les cités et autres bidonvilles, qui sont en difficulté avec la langue sont souvent d'origine française et scolarisées en France.

L'illettrisme est un concept franco-français[7],[8]. Il segmente ce qu'il est convenu d'appeler analphabétisme fonctionnel (notamment par l'UNESCO) en distinguant les personnes en difficulté de maîtrise de la langue vernaculaire selon leur origine. Ce concept ne s'est pas répandu à l'étranger, pas même dans les pays francophones[9]. Son invention résulte de la prise de conscience, en France, que la difficulté de maîtrise de la langue française n'est pas réservée aux allophones et aux analphabètes, elle touche aussi les personnes ayant été scolarisées.

Auparavant, la définition de l'UNESCO de l'analphabétisme ne permettait pas de faire cette distinction[10], mais la définition de l'UNESCO n'a pas été modifiée.

Le concept fut ensuite développé pour aboutir à la création en 1984 du GPLI groupe permanent de lutte contre l'illettrisme[11] puis en 2000 de l'ANLCI Agence nationale de lutte contre l'illettrisme. Le mot fut redéfini en 2003 par l'ANLCI, puis « Agir ensemble contre l’illettrisme » fut Grande cause nationale 2013.

Causes et conséquences

La ruralité, la pauvreté et le manque de développement du système éducatif d'un pays sont parmi les principaux facteurs d'illettrisme dans sa population. Ainsi, les pays du tiers-monde dans le monde arabe, l'Amérique centrale et l'Afrique subsaharienne ont le taux d'illettrisme le plus élevé, tandis qu'en Europe, aux États-Unis et au Japon, ce taux est le plus faible.

Au XIXe siècle, Max Weber et Auguste Comte ont émis l'hypothèse que la disparition de l'illettrisme allait de pair avec la fin des religions [12]. Or, à la suite des interrogations d'André Malraux, les sociologues modernes ont remis en question la thèse de la fin des religions, notamment en observant la situation aux États-Unis, où le sentiment religieux demeure fort malgré le niveau d'instruction élevé des habitants.

Dans les pays occidentaux, comment expliquer le fait qu’il y ait encore aujourd’hui des adultes illettrés alors que l’école est obligatoire depuis plus de 80 ans ?

L’illettrisme est un phénomène complexe. Les causes sont multiples et souvent cumulées dans l’histoire d’un individu :

  • Rapport qu’entretient la famille avec l’école : De manière générale, l’attitude des parents face à l’écrit participe à la valorisation ou à la dévalorisation du mode de communication mis en avant dans l’apprentissage scolaire.
  • Corrélation entre les chances de réussite scolaire et le milieu socioéconomique d’origine de l’élève : Si l’enseignement s’est progressivement démocratisé en s’ouvrant aux élèves d’origines sociales diverses, cette ouverture cache de fortes inégalités dans les chances de réussite. Vu sous cet angle, l’École n’est pas « producteur » d’illettrisme mais plutôt reproducteur de positions sociales.
  • Enseignement inadéquat : L’enseignement peut faire obstacle à l’apprentissage de la lecture lorsqu’il manque de souplesse et n’est pas adapté aux conditions d’apprentissage de chaque enfant.
  • Difficultés personnelles : Des problèmes relevant de la médecine ou de la psychologie peuvent troubler la scolarité d’un individu.
  • Compétences oubliées : Faute d’entrainement et de pratique, certaines personnes désapprennent la lecture et l’écriture.
  • Contextes sociaux défavorables à la maitrise des savoirs de base : Parmi les facteurs socioculturels jouant sur la maitrise de l’écrit, on retrouve, par exemple, le statut de la langue orale et écrite dans le milieu familial et social de l’enfant, l’importance que prend l’image à travers les médias par rapport à l’écrit…
  • Facteurs socio-historiques et géopolitiques : Conflits, guerres, exodes sont des évènements qui ont des répercussions sur l’apprentissage des enfants, soit par un arrêt de la scolarité, soit par des traumatismes psychologiques ou des drames familiaux.
  • Augmentation des exigences de la société : L’illettrisme est à considérer comme un problème qui va en s’aggravant. La société exige de plus en plus de compétences liées à l’information écrite et les places de travail ne demandant pas l’utilisation de l’écrit se font de plus en plus rares[13].

Les difficultés de lecture et d'écriture rendent l'insertion de l'adulte illettré dans son groupe et dans la société en général très difficile, notamment pour l'accès au marché du travail.

Bien parler une langue mais ne pas savoir l’écrire reste difficile à dire et provoque un sentiment de honte qui est un frein à un retour en apprentissage pour les adultes. Cependant diverses associations se mobilisent pour lever le tabou.

Par exemple, en Belgique, une association a réalisé en 2010 une campagne de sensibilisation du public[14].

En France, le collectif « Agir ensemble contre l’illettrisme »[15] qui regroupe 65 organisations nationales (du monde de l’éducation, de l’entreprise, de l’insertion, de la culture, de l’action sociale, des associations...) fédérées par l’Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI), qui avait présenté une candidature pour que l’illettrisme soit reconnu Grande Cause nationale de l'année 2013, travaille à sensibiliser le maximum de Français au phénomène de l'illettrisme.

Prévalence

Asie

Région autonome du Tibet (Chine)

Articles connexes : Enseignement dans la région autonome du Tibet et Éducation au Tibet.

Dans son ouvrage Education in Tibet : Policy and practice since 1950 (Zed Books (en), 1998) Catriona Bass révela que le taux d'illétrisme au Tibet était l'un des plus élevé au monde, atteignant 70 % dans la population rurale[16]. En 2001, le taux « d'illettrés et de semi-illettrés parmi les jeunes et les adultes » au Tibet était de 39 % selon le Quotidien du Peuple[17]. En 2004, selon des études officielles dont fait état l'économiste Andrew Martin Fischer, environ 41 % des résidents permanents adultes urbains de la région autonome du Tibet étaient illettrés. Cette situation était exceptionnelle en Chine[18]. Selon le livre blanc publié par le Bureau d'information du Conseil d'État en juillet 2011, les taux d'inaptitude à lire et à écrire pour les jeunes et les personnes d'âge mûr est tombé de 95 % à 1,2 % lors des six dernières décennies[19],[20].

Europe

En 1995, une étude de l'OCDE, Littéracie, économie et société, effectuée dans plusieurs pays développés, montre que la proportion de personnes de 16 à 65 ans éprouvant des difficultés pour l'écriture, la lecture, ou l'utilisation des informations serait de 40,1 % en France (la France est classée avant-dernière juste devant la Pologne), 20,7 % aux États-Unis, 16,6 % au Canada, 14,4 % en Allemagne, 10,5 % aux Pays-Bas, et 7,5 % en Suède. Cette étude, qui ne porte pas exactement sur l'illettrisme mais sur la littératie, c'est-à-dire, de façon plus générale et d'après l'OCDE, sur « l'aptitude à comprendre et à utiliser l'information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d'étendre ses connaissances et ses capacités. », n'a pas été diffusée par les autorités publiques en France[21].

Taux d'illettrisme des adolescents de 15 ans en Europe
Pays 2010[22]
Pays-Bas < 15 %
Suède < 15 %
Danemark 15,2 %
Portugal 17,6 %
Royaume-Uni 18,4 %
Allemagne 18,5 %
Espagne 19,6 %
France 19,8 %
Italie 21 %

Le taux d'illettrisme dans la population carcérale est estimé, en France, à 40 %. En Belgique, 75 % des détenus sont sans diplôme ou ont, pour unique diplôme, le certificat d'études de base (fin du cycle primaire).

Belgique

Une série d'indices montrent qu'en Belgique le taux de personnes analphabètes (ou illettrées) tourne autour de 10 %, mais il n'y a pas d'étude approfondie sur les compétences des adultes. La situation en Belgique serait la même que dans tous les pays industrialisés. Néanmoins, la Belgique présente des particularités liées à la diversité des langues officielles (français, néerlandais et allemand), en plus de l'usage du wallon et des autres dialectes. Cet aspect doit amener à étudier le phénomène de l'illettrisme en considérant la communauté linguistique dans laquelle il se présente.

France

En France, selon une enquête de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) réalisée entre 2011 et 2012, 7 % (soit environ 3 100 000 personnes) de la population française adulte âgée de 18 à 65 ans et ayant été scolarisée en France[23] est illettrée, soit 2 % de moins qu'en 2004. 6 % de ceux qui exercent une activité professionnelle et 10 % des demandeurs d’emploi sont confrontés à l’illettrisme. Cette même enquête montre qu'au total 11% de la population française adulte âgée de 18 à 65 ans sont en « situation préoccupante face à l'écrit »[24], 7% sont illettrés et 4% sont d'origine étrangère ou non scolarisés.

L'illettrisme touche plus les hommes (60,5 %) que les femmes (39,5 %). La proportion de personnes illettrées est relativement faible chez les jeunes (4 % des jeunes de 18 à 25 ans) mais plus importante chez les générations précédentes (53 % des illettrés ont plus de 45 ans). Ce taux important d'illettrisme n'empêche pas certaines de ces personnes d'avoir un emploi, 51 % étant dans la vie active et 23,5 % au chômage, en formation ou en inactivité. Cependant, 20 % des allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI) sont en situation d'illettrisme.

Concernant la répartition géographique, il n'y a pas de différence notable entre les zones rurales et urbaines, même si dans les zones urbaines sensibles, le taux d'illettrisme est deux fois plus important (14 %) que dans la population générale (7 %)[25].

Une autre statistique issue des enquêtes réalisées lors des journées défense et citoyenneté montre que « Les acquis en lecture sont très fragiles pour 9,6 % de jeunes français de 17 ans qui, faute de vocabulaire, n’accèdent pas à la compréhension des textes ». Et parmi eux, 4,1 % sont en situation d’illettrisme selon les critères de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI)[26].

L'illettrisme a été déclaré Grande Cause nationale de l'année 2013[27].

Suisse

Le dernier rapport national sur les compétences de base des adultes mentionne que 16 % des Suisses[28] ont de grandes difficultés en lecture et écriture.

Dans une société prônant l’efficacité et la rapidité, ne pas savoir suffisamment lire et écrire est un facteur évident d’exclusion économique, sociale et culturelle. Une étude[29] effectuée en 2007 démontre que l’illettrisme a un coût estimé à plus d’un milliard de francs par année en Suisse, en raison, notamment, du taux de chômage accru chez les personnes concernées.

Références et notes

  1. définition par l'ANLCI
  2. par définition de l'ANLCI, voir référence ci-dessus
  3. « Rapport mondial de suivi sur l'éducation pour tous - Alphabétisation et alphabétisme, quelques définitions », Unesco, 2006 (consulté le 28 avril 2009), p. 156 (2 du PDF)
  4. La lutte contre l’illettrisme : repères. In: Agora débats/jeunesses, 15, 1999. Illettrisme les conditions d’une seconde chance. pp. 11-22. article de Jean Vogler
  5. Cadre national de référence, ANLCI, sept 2003)
  6. L'illettrisme Mieux comprendre pour mieux agir, Marie-Thérèse Geffroy et Valérie Grasset-Morel, Les essentiels Milan, Éditions Milan 2005, (ISBN 2-7459-1847-8), page 5.
  7. Bernard Lahire, L'invention de l'illettrisme, Paris, La découverte
  8. Citation : l’association caritative ATD Quart-monde conçut le terme « illettrisme » pour que les Français pauvres aux compétences limitées en lecture et en écriture n’aient pas le sentiment qu’on les compare aux travailleurs immigrés qualifiés d’analphabètes. Ainsi, le terme « illettrisme » en est venu à qualifier ceux qui avaient suivi en totalité ou en partie le cycle de l’école primaire française sans y acquérir les compétences requises. Rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous 2006, UNESCO Encadré 6.1 page 156
  9. Littératie, mot censé remplacer analphabétisme dans les zones francophones ne reprend d'ailleurs pas cette segmentation
  10. Thérèse Jamin, « Analphabétisme, alphabétisation et Education Permanente quelques éléments d'histoire », École supérieure d'action sociale de Liège (consulté le 7 octobre 2009)
  11. Hau-Rouchard, Marie-France. Le groupe permanent de lutte contre l'illettrisme. Bulletin des bibliothèques de France, n° 2, 1986 [consulté le 01 mai 2014] : notice
  12. voir le désenchantement du monde et la loi des trois états
  13. Comité subrégional de l’emploi et de la formation du Hainaut occidental et Lire et Écrire Hainaut occidental, APELE – Accueil Comité suisse de lutte contre l’illettrisme, Accès à la lecture et à l’écriture pour tous !, UNESCO, Berne 2005.
  14. Action de l'Association Lire et Écrire Belgique à l'occasion de la Journée internationale de l'alphabétisation.
  15. Collectif Agir ensemble contre l'illettrisme
  16. Jamyang Norbu Back to the Future: Enduring Phobias and Superstitions in Tibetan Society (Part Two) Phayul.com, 29 mars 2005 : « Catriona Bass’s, Education in Tibet: Policy and Practise Since 1950 (TIN 1998) reveals that Tibetans suffer from what is probably the lowest literacy rate in the world, with as much as 70 per cent of the rural population unable to read. »
  17. Le Quotidien du Peuple : Baisse du taux des illettrés au Tibet.
  18. L’économie politique de l’« aide boomerang » dans la Région autonome du Tibet
  19. (en) China pledges to send 3 out of every 10 Tibetan students to college, English.news.cn, 19 juillet 2011, p. 1 : « The region's illiteracy rate for young and middle-aged people has fallen from 95 percent to 1.2 percent over the last six decades, according to a white paper issued by the State Council Information Office in July. »
  20. (en) Full Text: Sixty Years Since Peaceful Liberation of Tibet, GOV.cn (p. 12 du texte du Livre blanc 2011 sur le Tibet).
  21. L'illettrisme honteux - L'Express, 19 décembre 1996
  22. (it) Italia, allarme della commissione Ue "Semianalfabeta un 15enne su cinque" - La Repubblica, 3 février 2011
  23. L'interprétation de cette étude doit prendre en compte qu'elle n'a pas été réalisée dans les prisons ni dans les foyers, où l'illettrisme est important
  24. article du journal Le Monde du 28.11.2013
  25. « L’évolution de l’illettrisme en France », Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI), (consulté le 4 mai 2013) [PDF]
  26. Note d'information - DEPP MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE - N° 12 - avril 2014
  27. Illettrisme ? Grande Cause 2013 - Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI)
  28. Rapport national sur les compétences de base des adultes - Communiqué de presse de l'Office fédéral de la statistique, 25 juillet 2006 [PDF]
  29. Coûts économiques de l'illettrisme en Suisse - Étude du Bureau d'études de politique du travail et de politique sociale (BASS) sur mandat de l'Office fédéral de la statistique (OFS), avril 2007 [PDF]

Bibliographie

  • Besse J.-M. (2003). Qui est illettré ? Paris, Retz. 223 p.
  • El Hayek C. (Coord.). (2000). Illettrisme et monde du travail, Paris, La documentation française. 434 p.
  • Esperandieu V. & Volger J. (2000). L'illettrisme, Paris, Flammarion. 125 p.
  • Geffroy M.-T. & Grasset-Morel V. (2003). L'illettrisme. Mieux comprendre pour mieux agir, Toulouse, Éditions Milan. 63 p.
  • Lahire B. (2005). L'invention de l'illettrisme, Paris, La découverte. 370 p.
  • Leclercq V. (1999). Face à l'illettrisme, enseigner l'écrit à des adultes, Paris, ESF. 198 p.

Voir aussi

Articles connexes

  • Alphabétisation
  • Analphabétisme
  • Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI)
  • Illectronisme
  • Innumérisme
  • Littératie
  • Observatoire national de la lecture

Liens externes

  • Syndicat de la Presse Sociale (SPS) - Site référent sur l'illettrisme
  • Le Point du FLE - Apprendre à lire - Alphabétisation et lutte contre l'illettrisme
  • Cœurs à lire, réseau illettrisme d'Espace Bénévolat
  • Agence nationale de lutte contre l'illettrisme
  • Les compétences des adultes à l'écrit, en calcul et en compréhension orale, étude de l'INSEE
  • Bibliographie sur l'Illettrisme, Bibliothèque Publique d'Information Centre Pompidou
  • Inspection de Châteauroux
  • Portail de l’éducation
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