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Greenpeace

Greenpeace

Greenpeace
Logo de l'organisation
Carte de l'organisation
  •      Greenspace dans le monde (2011)

  • Région Monde
    Création
    Type Association à but non lucratif
    Organisation non gouvernementale internationale
    Siège Amsterdam, Pays-Bas
    Coordonnées 52° 21′ 01″ N 4° 49′ 57″ E/52.35022222, 4.8323888952° 21′ 01″ N 4° 49′ 57″ E/52.35022222, 4.83238889
    Langue Anglais
    Membres Plus de 3,2 millions
    Présidente Lalita Ramdas
    Directeurs généraux Bruno Rebelle
    Michèle Rivasi
    Pascal Husting
    Jean-Francois Julliard
    Personnes clés Kumi Naidoo
    Ana Toni
    Site web Greenpeace.org

    Greenpeace (Paix verte en anglais) est une ONGI de protection de l'environnement présente dans plus de quarante pays à travers le monde[1]. Fondé en 1971 par Jim Bohlen et Irving Stowe après le mouvement Don't Make a Wave Committee (en) visant à s'opposer aux essais nucléaires aux États-Unis, Greenpeace est un groupe de plaidoyer luttant contre ce qu'il estime être les plus grandes menaces pour l’environnement et la biodiversité sur la planète.

    Organisation

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    Action de Greenpeace contre Esso.

    Greenpeace naît à Vancouver en 1971 quand un groupe de quatorze militants pacifistes et écologistes (David McTaggart, John Cormack, Jim Bohlen, Paul Watson, Bill Darnell, Patrick Moore, Lyle Thurston, Dave Birmingham, Terry Simmons, Richard Fineberg, Bob Hunter, Ben Metcalfe, Bob Cummings et Bob Keziere) créent l'association "Don't Make a Wave Committee" et embarquent à bord d'un vieux chalutier, le Phyllis Cormack, pour empêcher les essais nucléaires américains sur le site d'Amchitka en Alaska. Dès 1972, les États-Unis cessent leurs essais nucléaires atmosphériques.

    Très vite, le groupe cherche un nom évocateur de sa double préoccupation : environnement et pacifisme. Les termes green (vert) et peace (paix) sont ceux qui résument le mieux leur démarche et le 4 mai 1972, le mouvement Don't Make a Wave Committee (en) change de nom pour devenir la Greenpeace Foundation.

    En 1979, Greenpeace devient une organisation internationale quand les bureaux d’Europe, du Pacifique et d’Amérique se réunissent pour constituer Greenpeace International. Depuis 1989, l'organisation a son siège basé à Amsterdam (Pays-Bas), d'où sont définies et coordonnées les campagnes de l'ONG.

    Adhérents

    En 2012, l'organisation affirme compter plus de 3 millions d'adhérents-donateurs et employer 1 500 salariés[2], pour un budget global d'environ 210 millions d'euros. Ses recettes proviennent exclusivement des dons de ses adhérents (notamment à travers des campagnes dites de street fundraising[3]) et de fondations[4].

    Méthode

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    La méthode de Greenpeace repose en partie sur des actions directes non-violentes parfois très médiatisées, qui ont fait sa renommée. S'appuyant sur les retombées de ces actions pour informer les médias et le public, l'organisation agit aussi en tant que lobby auprès des autorités politiques et des dirigeants d'entreprises afin de promouvoir les changements appropriés. L'organisation s'est également spécialisée dans l'expertise écologique[5].

    Derrière les actions spectaculaires de Greenpeace, il y aussi le travail essentiel d'expertise, d'investigations techniques et scientifique, de construction d'argumentaires qui fonde les campagnes de l'organisation. Greenpeace a ainsi contribué activement à l'élaboration de plusieurs traités internationaux qui protègent l'environnement[6][réf. insuffisante].

    Greenpeace est très connue pour l'utilisation de bateaux lors de ses campagnes de protestation et d'intervention directe. L'un d'entre eux, le Rainbow Warrior I, est devenu célèbre en 1985 dans ce qui a été appelé en France « l'affaire du Rainbow Warrior » ou « l'affaire Greenpeace » : les services secrets français l'ont fait couler avec deux mines magnétiques placées sous sa coque par des plongeurs de l'armée française dans le port d'Auckland alors que celui-ci se préparait à une croisière de protestation contre les essais nucléaires français de Moruroa. Au cours de cet attentat organisé par le gouvernement français, le photographe Fernando Pereira a été tué par l'explosion de la seconde mine magnétique.

    La flotte Arc-en-Ciel

    Le Beluga II, navire de Greenpeace.

    Dès sa création l'organisation a utilisé des navires pour mener des campagnes à travers toutes les mers du globe. S'il lui arrive d'affréter des bateaux, elle en a également acheté qu'elle transforme pour mener à bien ses missions. Le plus emblématique est certainement le Rainbow Warrior coulé en 1985 dans un attentat des services secrets français. En 2012, la flotte comprend trois navires :

    • le Rainbow Warrior III inauguré le 14 octobre 2011 ;
    • le MV Arctic Sunrise ;
    • le MV Esperanza.

    Anciens navires de la flotte :

    • le Rainbow Warrior I coulé en 1985 ;
    • l’Argus ;
    • le Moby Dick ;
    • le Beluga II ;
    • le Rainbow Warrior II cédé à une ONG du Bangladesh en 2011[7].

    Campagnes

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    Membres de Greenpeace.

    Après avoir consacré ses premières années à la lutte contre les essais nucléaires et à la défense des espèces (en particulier contre l'extinction des baleines), elle se consacre à de nombreux thèmes. Greenpeace demande :

    • une lutte efficace contre la pollution chimique (notamment par l'élimination des substances chimiques toxiques) ;
    • la protection des forêts anciennes et la lutte contre la destruction de l'Amazonie ;
    • une lutte efficace contre le réchauffement climatique ;
    • la préservation des mers et du milieu marin ;
    • la fin de la course aux armements, condition nécessaire à la paix ;
    • l'abandon de la culture des OGM en plein champ ;
    • la sortie du nucléaire (civil et militaire) ;
    • l'interdiction de l'immersion des déchets radioactifs ;
    • la promotion d'un modèle de développement durable.

    Elle soutient les énergies renouvelables et relaie les campagnes de sensibilisation sur l'application du protocole de Kyoto, en particulier aux États-Unis. Greenpeace milite également pour la sauvegarde de la biodiversité, contre les rejets toxiques et les organismes génétiquement modifiés.

    Greenpeace soutient le Chef Raoni dans son combat contre le Barrage de Belo Monte au Brésil.

    Greenpeace s'est également opposé à la filière nucléaire des réacteurs à neutrons rapides : voir à ce sujet Superphénix, réacteur en démantèlement sur le site nucléaire de Creys-Malville.

    Principales actions de Greenpeace

    Action de protestation dénonçant l’impact du Barrage de Belo Monte.
    • 1971 : à la suite de la première action de Greenpeace, les États-Unis stoppent leur campagne d'essais nucléaires à Amchitka, en Alaska[8].
    • 1978 : les actions de Greenpeace mettent fin au massacre des phoques, chassés pour leurs peaux, dans les Orcades, en Écosse[réf. nécessaire].
    • 1982 : à la suite des actions directes menées en mer contre les baleiniers, la Commission Baleinière Internationale adopte un moratoire sur la chasse commerciale. Greenpeace victories | Greenpeace International.
    • 1983: Moratoire sur le rejet en mer (dumping) de déchets radioactifs voté par la convention du dumping de Londres[6].
    • 1989 : Adoption par les Nations Unies d’un moratoire sur l'utilisation des filets dérivants. Greenpeace avait révélé le caractère destructif de cette méthode de pêche[réf. nécessaire].
    • 1991: Signature du traité de l'Antarctique interdisant l'exploitation minière pour 50 ans[6].
    • 1994 : la convention de Bâle interdit l’exportation de déchets toxiques, des pays OCDE vers des pays non OCDE[réf. nécessaire].
    • 1995 : Shell se résigne à ne pas couler la plateforme pétrolière de Brent Spar en Atlantique après les actions de Greenpeace[6].
    • 1997 : après une longue campagne initiée en 1988 avec d'autres ONG, les ministres des pays industrialisés adoptent le Protocole de Kyoto qui doit permettre de limiter les émissions de gaz à effet de serre[réf. nécessaire].
    • 2000 : après plusieurs années de pression, le groupe Saint-Gobain – Lapeyre s’approvisionnera à 100 % fin 2005 en produits FSC (conseil de bonne gestion forestière)[réf. nécessaire].
    • 2002 : à la suite de dix années de campagne en Amazonie, l'exploitation de l'acajou fait enfin l'objet d'un moratoire, et est inscrit à la CITES (la convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction). Cette inscription permettra d'assurer la survie de cet arbre, son commerce étant mieux contrôlé[réf. nécessaire].
    • 2001-2006 : en avril 2001, à la suite des actions de Greenpeace, un accord est conclu avec le gouvernement de Colombie-Britannique et les exploitants forestiers pour protéger 20 vallées de forêts primaires et suspendre temporairement les coupes dans 68 autres vallées. Début 2006, ce sont plus de 2 millions d’hectares de forêts primaires qui sont enfin protégées[9].
    • 2006 :
      • Première publication du Guide pour une électronique plus verte [10], destiné à évaluer les impacts environnementaux des principales entreprises des secteurs de l'électronique et de l'informatique.
      • Les multinationales du soja ont adopté un moratoire de deux ans sur l’achat de soja provenant de zones nouvellement déforestées en Amazonie[réf. nécessaire].
    • 2007: Apple accepte de retirer la plupart des substances toxiques contenues dans ses ordinateurs[6].
    • 2010 :
      • Nestlé rompt son partenariat avec Smart, auprès duquel il s'approvisionnait en huile de palme[11].
      • L’Association des produits forestiers du Canada (FPAC) et neuf organisations environnementales, dont Greenpeace, ont annoncé la signature d’un accord sans précédent sur la conservation de la forêt boréale canadienne. Cet accord porte sur 72 millions d’hectares de forêts publiques, actuellement sous concession des membres de la FPAC. Une fois pleinement mis en œuvre, il permettra de préserver une grande partie de l’immense forêt boréale canadienne, de protéger le caribou des bois (espèce en voie d’extinction) et de fournir un avantage compétitif aux entreprises signataires.[réf. souhaitée]
    • Le 8 novembre 2013, de nombreuses ONG dont Greenpeace et le WWF annoncent qu'elles quittent la conférence sur le changement climatique de Varsovie, au motif que celle-ci ne « débouche sur rien »[12].
    • Le Greenpeace créée une micronation au Chili, la République glaciaire (de son nom officiel República Glaciar en espagnol)[13], en prétendant que l'appropriation des glaciers est possible car la constitution chilienne ne les mentionne pas comme bien public devant être protégé[14].

    Réseaux

    Greenpeace a rejoint le collectif « Stop EPR » qui s'oppose aux projets d'un réacteur pressurisé européen à Olkiluoto (Finlande) et à Flamanville (Manche).

    Personnalités

    • Bob Hunter
    • David McTaggart
    • Kumi Naidoo
    • Patrick Moore
    • Paul Watson
    • Ben Metcalfe[15]

    Greenpeace France

    Greenpeace France est une association. Elle est issue de la fondation en 1977 d'un bureau français de Greenpeace, qui avait dû fermer entre 1987 et 1989[16], après la polémique consécutive à l'affaire du Rainbow Warrior. Elle compte 150 000 adhérents en 2012 et 65 salariés[17]. Son budget annuel est d'environ 12 millions d'euros en 2011, et ses ressources proviennent intégralement et exclusivement de donateurs privés. Elle ne perçoit donc aucune subvention ni de l'État, ni d'entreprise. Greenpeace France indique que le nombre de ses donateurs privés est passé de 23 000 en 1998 à 140 000 en 2011[18].

    Le directeur général de Greenpeace France a été Pascal Husting entre 2005 et 2011. Robert Lion a succédé en novembre 2008 à Katia Kanas à la présidence de l'association. Il quitta ses fonctions un an plus tard pour rejoindre Europe Écologie. Greenpeace France a été présidée par Céline Rodriguez, puis par Sylvain Breuzard depuis début 2012.

    En décembre 2009, Greenpeace s'introduit dans l'enceinte de l'Assemblée nationale pour peser sur les débats des députés à quelques jours du lancement du sommet de Copenhague. L'action suscitera de nombreuses réactions[19].

    Jean-François Julliard devient le directeur général de Greenpeace France le 1er février 2012[20].

    Directeurs généraux

    Année Nom
    1997-2003 Bruno Rebelle
    2003-2004 Michèle Rivasi
    2005-2011 Pascal Husting
    Depuis 2012 Jean-Francois Julliard

    Groupes locaux

    Greenpeace est présent dans plusieurs villes françaises à travers ses groupes locaux, dans une volonté d'être plus proche des citoyens et de mieux les informer[21].

    Critiques

    En 1976, l’écologiste canadien Patrick Moore, un des membres fondateurs de Greenpeace, se prononça en faveur de l’emploi de l’énergie nucléaire[22] après s’y être opposé[23],[24],[25]. Selon lui, elle est indispensable pour réduire l’utilisation des combustibles fossiles et l’émission des gaz à effet de serre[26],[23].

    Dans son livre Qui a tué l’écologie ?[27] Fabrice Nicolino dénonce l'évolution de Greenpeace vers une organisation capitaliste dirigée essentiellement par des professionnels et non plus par des militants. Il donne l'exemple de l'ancien directeur général de Greenpeace France, Pascal Husting[28], qui a longtemps travaillé dans le monde de la finance. Les « recruteurs d'adhérents » ne sont pas tous des bénévoles ni nécessairement des adhérents de Greenpeace, mais des salariés formés et rémunérés directement par Greenpeace[29].

    Greenpeace est aussi connue pour la manipulation et l'exagération alarmiste des chiffres qu'elle utilise pour dénoncer des faits. L'exemple le plus flagrant est sans doute le communiqué de presse du 15 juillet 2009 dans lequel Greenpeace a largement manipulé les chiffres de la fonte des glaces arctiques prétendant que la calotte glaciaire aurait disparu en 2030. Devant l'indignation de la communauté scientifique, Gerd Leipold, dirigeant de Greenpeace, a finalement été obligé d'admettre qu'« Il n'y a aucun moyen pour que la calotte glaciaire disparaisse » ainsi qu'il « ne pense pas qu’elle sera fondue en 2030… Cela pourrait avoir été une erreur »[30].

    Une autre affaire connue est celle de Brent Spar où le groupe de pression avait affirmé que près de 5 500 tonnes d'huiles restaient dans les soutes de cette station offshore que le groupe Shell envisageait de couler. Démenti par les faits, Greenpeace n’eut d'autre choix que de s'excuser publiquement auprès de Shell dans un communiqué le 5 septembre 1995[31].

    Greenpeace a lancé dans les années 1990 « cette étonnante histoire des moutons aveugles de Patagonie », selon laquelle les bergers de Patagonie et leurs moutons perdaient la vue en raison du fameux « trou » de la couche d’ozone. Un reporter américain mena alors son enquête en 1992 et ne trouva qu’un seul et unique ranch où se trouvaient des moutons aveugles. En outre, seuls 2 % du troupeau étaient touchés et non pas en raison de la couche d’ozone mais d’une maladie parasitaire[32].

    En juin 2014, le journal The Guardian révèle qu'un haut responsable de Greenpeace prend l'avion pour faire le trajet entre son domicile au Luxembourg et son lieu de travail à Amsterdam[33], alors même que l'ONG estime que la réduction des émissions de CO2 passe par une baisse des voyages en avion. L'intéressé a reconnu qu'il avait fait « une erreur »[34].

    Opération coup de poing à Nazca

    En décembre 2014, alors que se tenait la conférence de Lima sur les changements climatiques, des activistes de Greenpeace se sont introduits illégalement sur le site archéologique de Nazca pour y déployer une banderole visant à sensibiliser à l'impact du réchauffement climatique[35].

    Selon les autorités locales, les activistes de Greenpeace auraient commis des dégradations sur le site en y entrant en simples chaussures de sport alors que des chaussures spéciales doivent être normalement utilisées pour ne pas endommager le site, très fragile[35]. Ils auraient notamment détruit en partie un animal gravé vieux de 2000 ans[36].Le ministère de la culture péruvien a parlé d'un « attentat » contre le patrimoine culturel[35]. Face au tollé, Greenpeace a finalement présenté ses excuses[37].

    Le gouvernement péruvien a déclaré que des poursuites judiciaires seraient engagées contre l'ONG[38]. En février 2015, le Pérou a fait auprès de l'Argentine une première demande d'extradition d'un des activistes impliqués pour qu'il y soit jugé[39].

    Notes et références

    1. (en)Site officiel Greenpeace
    2. la FAQ sur le site officiel France
    3. http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/36/52/80/PDF/THESESylvainLefevre.pdf
    4. Greenpeace International Annual Report 2009
    5. « Greenpeace présente sa contre-expertise sur le nucléaire français En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/02/20/greenpeace-presente-sa-contre-expertise-sur-le-nucleaire-francais_1645609_3244.html#UQr3ax7HmXVU9ysz.99 », sur Le Monde.fr, (consulté le 11 avril 2015)
    6. 1 2 3 4 5 « Greepeace victories », sur http://www.greenpeace.org
    7. Farewell to the Rainbow Warrior II, greenpeace.org, August 16, 2011
    8. http://aprn.org/2007/08/30/greenpeace-sails-to-amchitka-36-years-after-controversial-nuclear-bomb-test/
    9. « Historique des négociations », sur http://www.greenpeace.org
    10. Guide to Greener Electronics
    11. Fréderic Thérin, « Greenpeace, Nestlé et les orang-outans », sur Les Échos,
    12. « Climat: Greenpeace et WWF claquent la porte à Varsovie », sur La Libre.be,
    13. http://www.lesinrocks.com/2014/03/07/actualite/greenpeace-cree-nouveau-pays-la-republique-glaciaire-11486139/
    14. http://www.emol.com/noticias/nacional/2014/03/05/648033/greenpeace-aprovecha-vacio-legal-para-tomar-posesion-de-glaciares-en-territorio-chileno.html
    15. (en)Wolfgang Saxon, « Ben Metcalfe, the Founder of Greenpeace, Is Dead at 83 », sur The New York Times,
    16. « Le bureau français, lui, ouvre en 1977. Mais en 1987, deux ans après l'attentat contre le Rainbow Warrior et à la suite de la campagne de désinformation orchestrée par la France, il doit fermer ses portes. Greenpeace France rouvre finalement deux ans plus tard, en 1989. » : « Histoire & succès » (consulté le 29 janvier 2011)
    17. « Connaître Greenpeace France » (consulté le 16 décembre 2008)
    18. Site officiel Greenpeace France
    19. Yann Cohignac, « Action à l’Assemblée nationale : Greenpeace se défend », sur Développement durable.com,
    20. « Jean-François Julliard prend la tête de Greenpeace », sur L'Obs,
    21. Groupes locaux de Greenpeace France
    22. (en) Patrick Moore, Assault on Future Generations, Greenpeace report, p.47-49, 1976 - pdf.
    23. 1 2 (en) Patrick Moore, « Going Nuclear », Washington Post, (lire en ligne)
    24. (en) Going Nuclear, Washington Post, April 16, 2006.
    25. (en) Nuclear energy? Yes please!, The Independent.
    26. (en) Patrick Moore, Greenpeace is wrong — we must consider nuclear power], The Age, December 10, 2007].
    27. « Qui a tué l'écologie? », sur Éditions Les Liens qui Libèrent
    28. « Pascal Husting »
    29. http://www.greenpeace.org/france/fr/jobs/emplois/direct-dialogue/
    30. Greenpeace reconnait avoir menti sur le réchauffement climatique.... - pecqror sur LePost.fr (16:12).
    31. (en)Nicholas Schoon, « Greenpeace's Brent Spar apology », sur The Independant,
    32. La désinformation de Greenpeace
    33. « Greenpeace : un haut responsable allait au bureau... en avion », sur Le Parisien,
    34. « Greenpeace: plus d'avion pour un responsable », sur Le Figaro.fr,
    35. 1 2 3 « Le Pérou accuse Greenpeace d'avoir dégradé un site archéologique », sur BFM.TV,
    36. Vincent Noce, « Greenpeace gribouille des vestiges indiens ? », sur Libération,
    37. « Greenpeace aurait abîmé un site historique », sur 20 minutes,
    38. « Une action de Greenpeace a détérioré les lignes de Nazca, au Pérou », sur RTS Info,
    39. (en)« Peru seeks extradition of Greenpeace activist over Nazca damage », sur Reuters,

    Annexes

    Sources et bibliographie

    • (en) Michael Brown et John May, The Greenpeace Story, Dorling Kindersley Publishers, 1989, 160 p. (ISBN 978-0863183287)
    • Philippe Lequenne, Dans les coulisses de Greenpeace, L'Harmattan, 1997, 204 p. (ISBN 978-2738453587)
    • Olivier Vermont, La face cachée de Greenpeace, Albin Michel, 1997, 368 p. (ISBN 978-2226087751)
    • Jean-Luc Ferrante et Pierre Auger, Greenpeace : Controverses autour d'une ONG qui dérange, La Plage, 2003, 170 p. (ISBN 978-2842211066)
    • (en) Rex Weyler, Greenpeace : How a Group of Ecologists, Journalists, and Visionaries Changed the World, Rodale Books, 2004, 432 p. (ISBN 978-1594861062)
    • Robert Hunter, Les combattants de l'arc-en-ciel : La première expédition de Greenpeace, Éditions Gallmeister, 2007, 246 p. (ISBN 978-2351780091)
    • Pierre Kohler, Greenpeace - Le vrai visage des guerriers verts, Presses de la Cité, 2008, 336 p. (ISBN 978-2258073548)
    • Pierre Gleizes, Rainbow Warrior mon amour : Trente ans de photos aux côtés de Greenpeace, Editions Gléna, 2011, 384 p. (ISBN 978-2723484558)

    Articles de presse

    • (en) Patrick Moore, « Why I Left Greenpeace », The Wall Street Journal, (consulté le 16 décembre 2008)
    • (fr) Collectif Radicalement anti-nucléaire, « GREENPEACE, ou la dépossession des luttes écologistes », 2012.

    Articles connexes

    • Affaire du Rainbow Warrior
    • European Renewable Energy Council
    • Fonds mondial pour la nature
    • Les Amis de la Nature.

    Liens externes

    • (en) Site officiel
    • (fr) Section belge francophone
    • (fr) Section canadienne francophone
    • (fr) Section suisse francophone
    • (fr) Section française
    • (fr) Greenpeace : Opération Plutonium
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