Organisation mondiale du commerce
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Organisation mondiale du commerce (anglais) Organisation Mondiale du Commerce (Fran??ais) Organizaci??n Mundial del Comercio (espagnol) | |
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Les membres actuels de l'OMC (en vert) | |
Formation | 1 Janvier 1995 |
Si??ge social | Gen??ve , Suisse |
Adh??sion | 152 Etats membres |
Langues officielles | Anglais , Fran??ais , Espagnol |
Directeur G??n??ral | Pascal Lamy |
Budget | 182 millions de francs suisses (141 millions d'env. USD ) |
Personnel | 625 |
Site Web | www.wto.int |
L'Organisation mondiale du commerce (OMC), (MOC - Fran??ais : Organisation Mondiale du commerce, espagnol : Organizaci??n Mundial del Comercio), est un organisation internationale visant ?? superviser et lib??raliser ??change international. A vu le jour sur l'OMC 1 er janvier 1995 , et est le successeur du Accord g??n??ral sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), qui a ??t?? cr???? en 1947, et a continu?? ?? fonctionner pendant pr??s de cinq d??cennies comme une de facto organisation internationale.
L'Organisation mondiale du commerce porte sur les r??gles du commerce entre les nations ?? un niveau quasi mondiale; il est responsable de la n??gociation et la mise en ??uvre de nouveaux accords commerciaux, et est en charge du maintien de l'ordre l'adh??sion de pays membres ?? tous les accords de l'OMC, sign??s par la majeure partie des nations commer??antes du monde et ratifi??s par leurs parlements. La plupart des travaux en cours de l'OMC vient de 1986-1994 les n??gociations dites du Cycle d'Uruguay, et de n??gociations ant??rieures du GATT. L'organisation est actuellement l'h??te ?? de nouvelles n??gociations, dans le cadre du Agenda de d??veloppement de Doha (DDA) lanc?? en 2001.
L'OMC est r??gi par une conf??rence minist??rielle, qui se r??unit tous les deux ans; un Conseil g??n??ral, qui met en ??uvre les d??cisions politiques de la conf??rence et est responsable de l'administration au jour le jour; et un directeur g??n??ral, qui est nomm?? par la Conf??rence minist??rielle. Le si??ge de l'OMC sont en Gen??ve , Suisse .
Histoire
ITO et du GATT de 1947
Le pr??d??cesseur de l'OMC, l'Accord g??n??ral sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), a ??t?? cr???? apr??s la Seconde Guerre mondiale dans le sillage d'autres nouvelles institutions multilat??rales consacr??es ?? la coop??ration ??conomique internationale - notamment les institutions de Bretton Woods maintenant connu sous le nom Banque mondiale et le Fond Mon??taire International. Bien qu'un accord couvrant le commerce n'a pas ??t?? n??goci?? au Bretton Woods, le Conf??rence a reconnu la n??cessit?? d'une institution internationale comparable. En D??cembre 1945, le Royaume-Unis a invit?? ses alli??s du temps de guerre ?? entamer des n??gociations pour conclure un accord multilat??ral pour la r??duction r??ciproque des droits de douane sur le commerce des marchandises. Sur la proposition des ??tats-Unis, l' Organisation des Nations Unies Comit?? ??conomique et social a adopt?? une r??solution, en F??vrier 1946, appelant ?? une conf??rence de r??diger une charte pour une Organisation internationale du commerce (OIC). Un comit?? pr??paratoire a ??t?? cr????e en F??vrier 1946, et a travaill?? jusqu'en Novembre de 1947 sur la charte d'une organisation internationale pour le commerce. En Octobre 1947, une entente sur le GATT a ??t?? conclu ?? Gen??ve, et 30 octobre 1947 vingt-trois pays ont sign?? le ??Protocole d'application provisoire de l'Accord g??n??ral sur les tarifs douaniers et le commerce".
En Mars 1948, les n??gociations sur la charte de l'OIC ont pas ??t?? achev??es avec succ??s dans Havane ( Charte de La Havane). La Charte pr??voit la cr??ation de l'ITO, et ??nonce les r??gles standard pour le commerce international et d'autres questions ??conomiques internationales. La charte de l'OIC, cependant, ne est jamais entr?? en vigueur; alors soumis ?? plusieurs reprises pour le Congr??s am??ricain, il n'a jamais ??t?? approuv??. L'argument le plus habituelle contre la nouvelle organisation ??tait qu'il serait impliqu?? dans les questions ??conomiques internes. Sur 6 d??cembre 1950 le pr??sident Truman a annonc?? qu'il ne chercherait plus l'approbation du Congr??s de la charte de l'OIC. En l'absence d'une organisation internationale pour le commerce, le GATT serait au fil des ans "se transformer" en un de facto organisation internationale.
GATT cycles de n??gociations
Le GATT ??tait le seul instrument multilat??ral r??gissant le commerce international de 1948 ?? l'OMC a ??t?? cr????e en 1995. En d??pit des tentatives dans le milieu des ann??es 1950 et 1960 afin de cr??er une certaine forme de m??canisme institutionnel pour le commerce international, le GATT continu?? de fonctionner pendant presque un demi-si??cle comme un semi-institutionnalis?? multilat??rale r??gime du trait?? sur une base provisoire.
De Gen??ve ?? Tokyo
Sept s??ries de n??gociations ont eu lieu dans le cadre du GATT. Les premiers cycles de n??gociations commerciales du GATT concentr??s sur la r??duction des tarifs plus loin. Ensuite, le Kennedy Round au milieu des ann??es soixante a provoqu?? une GATT Accord antidumping et une section sur le d??veloppement. Le Tokyo Round pendant les ann??es soixante-dix a ??t?? la premi??re grande tentative de se attaquer aux barri??res commerciales qui ne prennent pas la forme de droits de douane, et ?? am??liorer le syst??me, l'adoption d'une s??rie d'accords sur les obstacles non tarifaires, qui dans certains cas interpr??t??es r??gles existantes du GATT, et dans d'autres bris?? un terrain enti??rement nouveau. Parce que ces accords plurilat??raux ne ont pas ??t?? accept??es par l'ensemble des membres du GATT, ??taient souvent officieusement appel?? ??codes??. Plusieurs de ces codes ont ??t?? modifi??s dans le Cycle d'Uruguay, et transform??e en engagements multilat??raux accept??s par tous les membres de l'OMC. Seulement quatre sont rest??s plurilat??ral (celles sur les march??s publics, de la viande bovine, les a??ronefs civils et les produits laitiers), mais en 1997 les membres de l'OMC ont convenu de r??silier les accords de viande et de produits laitiers de l'esp??ce bovine, ne laissant que deux.
Cycle d'Uruguay
Bien avant le 40e anniversaire de GATT, ses membres ont conclu que le syst??me du GATT tendait ?? se adapter ?? une nouvelle mondialisation ??conomie mondiale. En r??ponse aux probl??mes identifi??s dans la D??claration minist??rielle de 1982 (des d??ficiences structurelles, les impacts de d??bordement de la politique de certains pays sur le commerce mondial GATT ne pouvait pas g??rer etc.), la huiti??me ronde du GATT - connu comme le Cycle d'Uruguay - a ??t?? lanc?? en Septembre 1986, Punta del Este, en Uruguay . Ce ??tait le plus grand mandat de n??gociation sur le commerce n'a jamais accept??: les pourparlers allaient ??tendre le syst??me commercial dans plusieurs nouveaux domaines, notamment le commerce des services et la propri??t?? intellectuelle, et de r??former le commerce dans les secteurs sensibles de l'agriculture et les textiles; tous les articles du GATT initial devaient ??tre r??examin??s.
Les n??gociations devaient se terminer en D??cembre 1990, mais les ??tats-Unis et l'UE en d??saccord sur la fa??on de r??former le commerce agricole et a d??cid?? de prolonger les pourparlers. Enfin, en Novembre 1992, les ??tats-Unis et de l'UE install??s la plupart de leurs diff??rences dans une affaire connue officieusement comme "l'accord de Blair House", et 15 avril 1994 , l'accord a ??t?? sign?? par les ministres de la plupart des 123 gouvernements participants ?? une r??union ?? Marrakech, Maroc . L'accord a cr???? l'Organisation mondiale du commerce, qui est entr?? en ??tant, d??s son entr??e en vigueur 1 er janvier 1995 et a remplac?? le GATT en tant qu'organisation internationale. Il est largement consid??r?? comme la plus profonde r??forme institutionnelle du syst??me commercial mondial depuis la cr??ation du GATT.
Le GATT subsiste en tant que trait??-cadre de l'OMC pour le commerce des marchandises, mis ?? jour ?? la suite des n??gociations du Cycle d'Uruguay (une distinction est faite entre le GATT de 1994, les parties mises ?? jour du GATT et le GATT de 1947, l'accord originel qui est toujours au c??ur du GATT de 1994). Le GATT de 1994 ne est cependant pas le seul accord juridiquement contraignant inclus dans l'acte final; une longue liste de quelque 60 accords, annexes, d??cisions et accords a ??t?? adopt??e. Les accords se inscrivent dans une structure avec six parties principales:
- L'Accord instituant l'OMC
- Produits et investissements - les Accords multilat??raux sur le commerce des marchandises, y compris le GATT de 1994 et Mesures concernant les investissements li??es au commerce
- Services - la Accord g??n??ral sur le commerce des services
- Propri??t?? intellectuelle - la Accord sur les aspects commerciaux des droits de propri??t?? intellectuelle (ADPIC)
- Le r??glement des diff??rends (M??morandum d'accord)
- Critiques des politiques commerciales (MEPC des gouvernements)
Cycle de Doha
L'OMC a lanc?? le cycle actuel de n??gociations, le Programme de Doha pour le d??veloppement (PDD) ou Cycle de Doha, lors de la quatri??me Conf??rence minist??rielle de Doha, au Qatar en Novembre 2001. Le cycle de Doha devait ??tre un effort ambitieux pour rendre la mondialisation plus inclusive et aider le pauvres dans le monde, en particulier en r??duisant les barri??res et les subventions ?? l'agriculture. L'ordre du jour initial compos?? ?? la fois une plus grande lib??ralisation du commerce et nouvelle r??gle de d??cision, soutenue par des engagements ?? renforcer une aide substantielle aux pays en d??veloppement.
Les pourparlers ont ??t?? tr??s controvers??e et l'accord n'a pas ??t?? atteint, malgr?? les intenses n??gociations au cinqui??me Conf??rence minist??rielle en Canc??n en 2003. Beaucoup de progr??s ont ??t?? r??alis??s dans l'ann??e suivante, comme cela a ??t?? r??fl??chi par l'adoption de la Paquet de juillet (aussi appel?? le ??pacte Ao??t ') sur 2 ao??t 2004 . Cela a marqu?? le consensus sur les questions ?? l'discut??es et r??gl??es par les Membres de l'OMC dans le prochain Sixi??me Conf??rence minist??rielle de Hong Kong ?? partir de 13 d??cembre - 18, 2005 . La Conf??rence minist??rielle a adopt?? une D??claration qui a fix?? des ??ch??ances pour les n??gociations ?? conclure. Certains d'entre eux ont ??t?? adopt??s sans d??lai, comme celle sur l'??limination de toutes les formes de subventions ?? l'exportation et des disciplines concernant toutes les mesures ?? l'exportation par 2013 et la date limite pour l'??tablissement de modalit??s pour les nouveaux negotiattions ??tant situ?? sur 30 Avril, 2006 . Cependant, les ??v??nements ont pris une tournure lorsque ces d??lais pass??s par sans accords concluants entre les membres.
Sur 24 juillet 2006 , ?? la fin d'une autre rencontre futile des ministres du commerce ?? Gen??ve, Pascal Lamy, le de l'OMC Directeur g??n??ral, a officiellement suspendu les n??gociations. N??anmoins, dans son rapport au Conseil g??n??ral de l'OMC sur les 7 f??vrier 2007 , M. Lamy a d??clar?? que ??les conditions politiques sont maintenant plus favorable pour la conclusion du cycle qu'elles ne l'ont ??t?? pendant une longue p??riode". Il a ensuite ajout?? que "les dirigeants politiques du monde entier nous demandent clairement ?? reprendre pleinement aux affaires, bien que nous ?? leur tour besoin de leur engagement continu".
Du GATT et de l'OMC cycles de n??gociations commerciales | |||||
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Nom | D??but | Dur??e | Pays | Sujets abord??s | R??alisations |
Gen??ve | Avril 1947 | 7 mois | 23 | Les tarifs douaniers | Signature de GATT, 45 000 concessions tarifaires touchant 10 milliards de dollars d'??changes commerciaux |
Annecy | Avril 1949 | 5 mois | 13 | Les tarifs douaniers | Pays ont ??chang?? des 5000 concessions tarifaires |
Torquay | Septembre 1950 | 8 mois | 38 | Les tarifs douaniers | Pays ont ??chang?? des 8700 concessions tarifaires, couper les niveaux tarifaires 1948 de 25% |
Gen??ve II | Janvier 1956 | 5 mois | 26 | Les tarifs douaniers, admission du Japon | 2,5 milliards de dollars de r??ductions tarifaires |
Dillon | Septembre 1960 | 11 mois | 26 | Les tarifs douaniers | Les concessions tarifaires 4,9 milliards de dollars du commerce mondial |
Kennedy | Mai 1964 | 37 mois | 62 | Les tarifs douaniers, Anti-dumping | Les concessions tarifaires 40 milliards de dollars du commerce mondial |
Tokyo | Septembre 1973 | 74 mois | 102 | Tarifs, les mesures non tarifaires, "accords-cadres" | Les r??ductions tarifaires 300 milliards de valeur de plus de $ dollars obtenus |
Uruguay | Septembre 1986 | 87 mois | 123 | Les tarifs douaniers, les mesures non tarifaires, r??gles, services, propri??t?? intellectuelle, r??glement des diff??rends, textiles, agriculture, cr??ation de l'OMC, etc. | La ronde a conduit ?? la cr??ation de l'OMC, et a ??largi la gamme des n??gociations commerciales, conduisant ?? d'importantes r??ductions des droits de douane (environ 40%) et des subventions agricoles, un accord pour permettre un acc??s complet pour les textiles et les v??tements en provenance des pays en d??veloppement, et une extension de droits de propri??t?? intellectuelle. |
Doha | Novembre 2001 | ? | 141 | Les tarifs douaniers, les mesures non tarifaires, l'agriculture, les normes du travail, l'environnement, la concurrence, l'investissement, la transparence, les brevets, etc. | Le cycle ne est pas encore conclu. |
Mission, fonctions et principes
L'objectif d??clar?? de l'OMC est d'am??liorer le bien-??tre des habitants de ses pays membres, notamment en abaissant les barri??res commerciales et en fournissant une plate-forme de n??gociation du commerce. Sa mission principale est de ??veiller ?? ce que les flux commerciaux en douceur, pr??visible et libre que possible". Cette mission principale est pr??cis??e dans certaines fonctions de base de service et sauvegarde cinq principes fondamentaux, qui sont le fondement du syst??me commercial multilat??ral.
Fonctions
Parmi les diff??rentes fonctions de l'OMC, ils sont consid??r??s par les analystes comme le plus important:
- Il supervise la mise en ??uvre, l'administration et le fonctionnement des accords vis??s.
- Il offre un forum pour les n??gociations et de r??glement des diff??rends.
En outre, il est du devoir de l'OMC d'examiner les politiques commerciales nationales, et d'assurer la coh??rence et la transparence des politiques commerciales gr??ce ?? la surveillance dans la politique ??conomique mondiale. Une autre priorit?? de l'OMC est l'aide de d??veloppement, les moins avanc??s et des pays ?? faible revenu en transition ?? se adapter aux r??gles et disciplines de l'OMC par le biais de la coop??ration technique et la formation. L'OMC est aussi un centre de recherche ??conomique et de l'analyse: ??valuations r??guli??res de l'image du commerce mondial dans ses publications annuelles et rapports de recherche sur des sujets sp??cifiques sont produites par l'organisation. Enfin, l'OMC coop??re ??troitement avec les deux autres composantes du syst??me de Bretton Woods, le FMI et la Banque mondiale.
Principes du syst??me commercial
L'OMC ??tablit un cadre pour les politiques commerciales; elle ne d??finit pas ou pr??ciser les r??sultats. Autrement dit, il se int??resse ?? la d??finition des r??gles du jeu de la politique commerciale. Cinq principes rev??tent une importance particuli??re dans la compr??hension ?? la fois du GATT pr??-1994 et de l'OMC:
- La non-discrimination. Il comporte deux volets principaux: la la nation la plus favoris??e (NPF) r??gle et la politique nationale de traitement. Les deux sont noy??s dans les principales r??gles de l'OMC sur les biens, les services et la propri??t?? intellectuelle, mais leur port??e et la nature pr??cise diff??rent dans ces domaines. La r??gle NPF exige que membre de l'OMC doit appliquer les m??mes conditions sur tous les ??changes avec d'autres membres de l'OMC, soit un membre de l'OMC doit accorder les conditions les plus favorables dans lesquelles il permet le commerce dans un certain type de produit ?? tous les autres membres de l'OMC. ??Accordez ?? quelqu'un une faveur sp??ciale et vous devez faire de m??me pour tous les autres membres de l'OMC." Signifie le traitement national que biens import??s et produits localement doivent ??tre trait??s de mani??re ??gale (au moins apr??s les marchandises ??trang??res ont p??n??tr?? le march??) et a ??t?? introduit pour se attaquer aux obstacles non tarifaires au commerce (normes techniques, les normes de s??curit?? et al. Discrimination contre import??s marchandises).
- R??ciprocit??. Il refl??te ?? la fois une volont?? de limiter le champ d'application de free-riding qui peuvent survenir en raison de la r??gle NPF, et le d??sir d'obtenir un meilleur acc??s aux march??s ??trangers. Un point connexe est que pour une nation de n??gocier, il est n??cessaire que le gain de le faire soit sup??rieure au gain disponibles ?? partir de lib??ralisation unilat??rale; concessions r??ciproques ont l'intention de veiller ?? ce que ces gains se concr??tiseront.
- Reliure et des engagements ex??cutoires. Les engagements tarifaires pris par les membres de l'OMC dans une n??gociation commerciale multilat??rale et sur l'adh??sion sont ??num??r??s dans une liste (horaires) des concessions. Ces horaires ??tablir "consolidations de plafond": un pays peut modifier ses consolidations, mais seulement apr??s avoir n??goci?? avec ses partenaires commerciaux, ce qui pourrait signifier les indemniser pour la perte du commerce. Si la satisfaction ne est pas obtenue, le pays plaignant peut invoquer les proc??dures de r??glement des diff??rends de l'OMC.
- Transparence. Les membres de l'OMC sont tenus de publier leurs r??glementations commerciales, de maintenir des institutions permettant la r??vision des d??cisions administratives affectant le commerce, pour r??pondre aux demandes d'information par d'autres membres, et de notifier les changements dans les politiques commerciales ?? l'OMC. Ces exigences de transparence internes sont compl??t??es et facilit??es par des rapports par pays (p??riodiques critiques de la politique commerciale) par le biais du M??canisme d'examen des politiques commerciales (MEPC). Le syst??me de l'OMC tente ??galement d'am??liorer la pr??visibilit?? et la stabilit??, ce qui d??courage l'utilisation de quotas et autres mesures utilis??es pour fixer des limites sur les quantit??s d'importations.
- Les soupapes de s??curit??. Dans des circonstances sp??cifiques, les gouvernements sont en mesure de restreindre le commerce. Il existe trois types de dispositions dans ce sens: articles permettant l'utilisation de mesures commerciales pour atteindre des objectifs non ??conomiques; articles visent ?? assurer "une concurrence loyale"; et les dispositions permettant l'intervention dans le commerce pour des raisons ??conomiques ....
Structure formelle
Selon les r??gles de l'OMC, tous les membres de l'OMC peuvent participer ?? tous les conseils, comit??s, etc., ?? l'exception du Organe d'appel, Panneaux de r??glement des diff??rends, et comit??s plurilat??raux.
Plus haut niveau: Conf??rence minist??rielle
La plus haute instance d??cisionnelle de d??cision de l'OMC est la Conf??rence minist??rielle, qui doit se r??unir au moins tous les deux ans. Il rassemble tous les membres de l'OMC, qui sont tous des pays ou territoires douaniers distincts. La Conf??rence minist??rielle peut prendre des d??cisions sur toutes les questions relevant de tout les accords commerciaux multilat??raux.
Deuxi??me niveau: Conseil g??n??ral
Le travail quotidien de la conf??rence minist??rielle est assur??e par trois groupes: le Conseil g??n??ral, l'Organe de r??glement des diff??rends, et de l'Organe d'examen des politiques commerciales. Tous les trois se composent de la m??me composition - repr??sentants de tous les membres de l'OMC - mais chaque rencontre selon des r??gles diff??rentes.
1. Le Conseil g??n??ral, plus haut niveau de l'organe de d??cision de l'OMC ?? Gen??ve , se r??unit r??guli??rement pour exercer les fonctions de l'OMC. Il a des repr??sentants (habituellement, des ambassadeurs ou ??quivalent) de tous les gouvernements membres et a le pouvoir d'agir au nom de la conf??rence minist??rielle qui ne se r??unit environ tous les deux ans. Le conseil agit au nom du Conseil minist??riel, sur toutes les affaires de l'OMC. Le pr??sident actuel est Amb. Muhamad Noor Yacob ( Malaisie ).
2. L'Organe de r??glement des diff??rends est compos??e de tous les gouvernements membres, g??n??ralement repr??sent??s par des ambassadeurs ou ??quivalent. Le pr??sident actuel est SEM Bruce Gosper ( Australie ).
3. Le Conseil g??n??ral de l'OMC se r??unit aussi l'Organe d'examen des politiques du commerce (OEPC) de faire de la politique commerciale des Membres dans le cadre du TRPM. L'OEPC est donc ouvert ?? tous les Membres de l'OMC. Le pr??sident actuel est SE Mme Claudia Uribe ( Colombie ).
Troisi??me niveau: Conseils pour le commerce
Les conseils pour le commerce travaillent sous le Conseil g??n??ral. Il ya trois conseils - Conseil du commerce des marchandises, Conseil des aspects li??s au commerce des droits de propri??t?? intellectuelle, et le Conseil du commerce des services - chaque conseil travaille dans diff??rents domaines. En dehors de ces trois conseils, six autres organes rel??vent du Conseil g??n??ral des rapports sur des questions telles que les questions administratives commerce et le d??veloppement, l'??cologie, les accords commerciaux r??gionaux et.
1. Conseil du commerce des marchandises - Les travaux de la Accord g??n??ral sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), qui porte sur le commerce international des biens, sont de la responsabilit?? du Conseil du commerce des marchandises. Il est compos?? de repr??sentants de tous les pays membres de l'OMC. Le pr??sident actuel, que des 2007-02-13, est Amb. Frederick Agah Yonov ( Nigeria ).
2. Conseil pour Aspects li??s au commerce des droits de propri??t?? intellectuelle - Informations sur la propri??t?? intellectuelle ?? l'OMC, des nouvelles et des documents officiels des activit??s du Conseil des ADPIC, et les d??tails du travail de l'OMC avec d'autres organisations internationales dans le domaine.
3. Conseil du commerce des services - Le Conseil du commerce des services fonctionne sous la direction du Conseil g??n??ral et est charg?? de superviser le fonctionnement de la Accord g??n??ral sur le commerce des services (AGCS). Il est ouvert ?? tous les membres de l'OMC, et peut cr??er des organes subsidiaires selon les besoins.
Quatri??me niveau: organes subsidiaires
Il existe des organismes subsidiaires de chacun des trois conseils.
1. Le Conseil des marchandises - filiale dans le cadre du Conseil du commerce des marchandises. Il dispose de 11 comit??s compos??s de tous les pays membres, portant sur des sujets sp??cifiques tels que l'agriculture, l'acc??s aux march??s, les subventions, les mesures antidumping et ainsi de suite. Comit??s sont les suivants:
- Accord sur les technologies de l'information (ITA) Comit??
- Entreprises commerciales d'??tat
- Organe de supervision des textiles - compos?? d'un pr??sident et de 10 membres agissant ?? ce titre.
- Groupes se occupant de notifications - processus par lequel les gouvernements informent l'OMC sur les nouvelles politiques et mesures dans leurs pays.
2. Le Conseil des services - filiale dans le cadre du Conseil du commerce des services qui traite des services financiers, des r??glements int??rieurs et autres engagements sp??cifiques.
3. panneaux de r??glement des diff??rends et filiale Corps- appel au titre de l'Organe de r??glement des diff??rends pour r??gler les diff??rends et de l'Organe d'appel pour faire face aux appels.
Autres comit??s
- Comit??s sur
- Commerce et environnement
- Commerce et le d??veloppement (Sous-Comit?? des pays les moins avanc??s)
- Accords commerciaux r??gionaux
- Balance des paiements Restrictions
- Budget, des finances et de l'administration
- Des groupes de travail sur
- Accession
- Des groupes de travail sur
- Commerce, dette et finances
- Commerce et transfert de technologie
L'OMC fonctionne sur un, un seul syst??me de vote d'un pays, mais des votes r??els ne ont jamais ??t?? prises. La prise de d??cision est g??n??ralement par consensus, et la taille relative du march?? est la principale source de pouvoir de n??gociation. L'avantage de la d??cision par consensus est qu'il encourage les efforts pour trouver la d??cision la plus largement acceptable. Principaux inconv??nients comprennent des besoins importants en temps et de nombreux cycles de n??gociations pour ??laborer une d??cision par consensus, et la tendance des accords d??finitifs d'utiliser un langage ambigu sur des points litigieux qui rend l'interpr??tation future des trait??s difficiles.
En r??alit??, les n??gociations de l'OMC proc??dent pas par consensus de tous les membres, mais par un processus de n??gociations informelles entre petits groupes de pays. Ces n??gociations sont souvent appel??s n??gociations "de Green Room" (d'apr??s la couleur du bureau du Directeur g??n??ral de l'OMC ?? Gen??ve), ou ??mini-minist??rielles??, quand ils se produisent dans d'autres pays. Ces processus ont ??t?? r??guli??rement critiqu?? par beaucoup de d??veloppement des pays membres de l'OMC qui sont souvent totalement exclues des n??gociations.
Richard Steinberg (2002) fait valoir que bien que le consensus mod??le de gouvernance de l'OMC fournit fond?? sur le droit de n??gociation initiale, la n??gociation tours ?? proximit?? gr??ce ?? la n??gociation fond??e sur le pouvoir de favoriser l'Europe et aux ??tats-Unis , et peut ne pas conduire ?? Am??lioration de Pareto.
R??glement des diff??rends
" | Les moindres d??lais aux recommandations ou d??cisions de l'ORD est essentiel afin d'assurer la r??solution effective des diff??rends dans l'int??r??t de tous les Membres. | " |
- Organisation mondiale du commerce, l'article 21.1 du M??morandum d'accord |
En 1994, les membres de l'OMC ont convenu de l'accord sur les r??gles et proc??dures r??gissant le r??glement des diff??rends (M??morandum d'accord), annex?? au "Acte final" sign?? ?? Marrakech en 1994. Le r??glement des diff??rends est consid??r??e par l'OMC comme le pilier central de la n??gociation multilat??rale syst??me, et en tant que "contribution unique ?? la stabilit?? de l'??conomie mondiale". Membres de l'OMC ont convenu que, se ils estiment que d'autres membres enfreignent les r??gles du commerce, ils utiliseront le syst??me multilat??ral de r??glement des diff??rends au lieu de prendre des mesures unilat??rales.
Dur??e d'une proc??dure de r??glement des diff??rends | |
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Ces p??riodes approximatives pour chaque ??tape du r??glement d'un diff??rend proc??dure sont des chiffres cibles L'accord est flexible. En outre, les pays peuvent r??gler leur diff??rend eux-m??mes ?? tout moment. Les totaux sont aussi approximatifs. | |
60 jours | Consultations, m??diation, etc. |
45 jours | Groupe mis en place et pan??listes nomm?? |
6 mois | Rapport final du groupe sp??cial aux parties |
3 semaines | Rapport final du groupe sp??cial aux membres de l'OMC |
60 jours | Organe de r??glement des diff??rends adopte le rapport (si aucun appel) |
Total = 1 an (sans appel) | |
60-90 jours | rapport d'appel |
30 jours | Organe de r??glement des appels adopte rapport |
Total = 1 an 3 mois (avec appel) | |
Source: Comprendre l'OMC: R??glement des diff??rends - Une contribution unique |
Le fonctionnement du processus de r??glement des diff??rends de l'OMC implique les panneaux de l'ORD, l'Organe d'appel, le Secr??tariat de l'OMC, arbitres, experts ind??pendants et plusieurs institutions sp??cialis??es. Le conseil g??n??ral se acquitte de ses responsabilit??s en vertu du M??morandum d'accord par le Organe de r??glement des diff??rends (ORD). Comme le Conseil g??n??ral, l'ORD est compos?? de repr??sentants de tous les Membres de l'OMC. L'ORD est charg?? d'administrer le M??morandum d'accord, ce est ?? dire de superviser l'ensemble du processus de r??glement des diff??rends. Si un ??tat membre estime qu'une mesure adopt??e par un autre Etat membre l'a priv??e d'un avantage r??sultant pour elle de l'un des accords vis??s, il peut demander des consultations avec l'autre Etat membre. Si les consultations ne parviennent pas ?? r??gler le diff??rend dans les 60 jours suivant la r??ception de la demande de consultations, l'Etat plaignant peut demander l'??tablissement d'un groupe sp??cial. Il ne est pas possible pour l'Etat d??fendeur ?? pr??venir ou ?? retarder la mise en place d'un groupe sp??cial, ?? moins que l'ORD par consensus en d??cide autrement. Le panneau, normalement compos?? de trois membres nomm??s ad hoc par le Secr??tariat, se assoit pour recevoir des observations ??crites et orales des parties, sur la base de laquelle il est pr??vu de faire des constatations et des conclusions pour la pr??sentation ?? l'ORD. Les proc??dures sont confidentielles, et m??me lorsque les parties priv??es sont directement concern??s, ils ne sont pas autoris??s ?? assister ou pr??senter des observations s??par??s de ceux de l'??tat en question.
La version finale du rapport de la commission est d'abord distribu?? aux parties, et deux semaines plus tard, il est distribu?? ?? tous les membres de l'OMC. Le rapport doit ??tre adopt?? lors d'une r??union de l'ORD dans les 60 jours de sa circulation, ?? moins que l'ORD par consensus d??cide de ne pas adopter le rapport ou d'une partie au diff??rend donne un avis de son intention de faire appel. Une partie peut faire appel du rapport du groupe sp??cial ?? un Apellate corps debout, mais seulement sur des questions de droit et interpr??tations du droit donn??es par celui-ci. Les membres peuvent exprimer leurs vues sur le rapport de l'Organe d'appel, mais ils ne peuvent pas faire d??railler: un rapport Apellate administration doit ??tre adopt?? par l'ORD et accept?? sans condition par les parties, ?? moins que l'ORD ne d??cide par consensus dans les trente jours de sa circulation non ?? adopter le rapport.
Dans les trente jours suivant l'adoption du rapport, le membre concern?? est d'informer l'ORD de ses intentions; si le d??put?? explique qu'il est impossible de se conformer imm??diatement aux recommandations et d??cisions, ce est d'avoir un "d??lai raisonnable" dans lequel se conformer. Si aucun accord ne est atteint sur le d??lai raisonnable pour la conformit??, cette question est d'??tre l'objet d'un arbitrage ex??cutoire. Se il ya un d??saccord sur le caract??re satisfaisant des mesures adopt??es par l'Etat d??fendeur pour se conformer avec le rapport, que le d??saccord doit ??tre d??cid??e par un jury, si possible le m??me panneau qui a entendu le diff??rend initial, mais apparemment sans possibilit?? d'interjeter appel de la d??cision.
Si tout le reste ??choue, deux autres possibilit??s sont ??nonc??es dans le M??morandum d'accord:
- Si un membre ne ex??cute pas dans le "d??lai raisonnable" pour mener ?? bien les recommandations et d??cisions, il peut n??gocier avec l'??tat se plaindre pour une compensation mutuellement acceptable.
- Si aucun accord ne est atteint sur la r??mun??ration dans les vingt jours de l'expiration du "d??lai raisonnable", l'??tat qui pr??vaut peut demander l'autorisation de l'ORD de suspendre l'application au membre concern?? de concessions ou d'autres obligations au titre des accords vis??s. Contrairement ?? la pratique ant??rieure du GATT, l'autorisation de suspendre des concessions dans ce contexte est semi-automatique, en ce que l'ORD "accorde l'autorisation [...] dans les trente jours de l'expiration du d??lai raisonnable", ?? moins qu'il ne d??cide par consensus de rejeter la demande.
Le M??morandum d'accord pr??voit que d'autres membres devraient donner "une attention particuli??re" aux probl??mes et aux int??r??ts des pays en d??veloppement. Si une partie ?? un diff??rend est un pays en d??veloppement, ce parti a droit ?? au moins un ressortissant qui vient d'un pays en d??veloppement. En outre, si une plainte est port??e contre un pays en d??veloppement, le temps pour des consultations (devant un groupe sp??cial est r??uni) peuvent ??tre d??pens??s, et si le diff??rend va ?? un panneau, les d??lais pour le pays en d??veloppement ?? pr??senter ses observations peut ??tre assouplie. Les plaintes officielles contre les pays les moins avanc??s sont d??courag??s, et si les consultations ??chouent, le Directeur g??n??ral et le Pr??sident de l'ORD se tiennent pr??ts ?? offrir leurs bons offices avant qu'une demande formelle pour un panneau est fait. Quant au fond, le M??morandum d'accord pr??voit que "attention particuli??re" doit ??tre accord??e aux int??r??ts des pays en d??veloppement, et que le rapport de panneaux doit "indiquer explicitement?? comment a ??t?? tenu compte des dispositions "traitement diff??renci?? et plus favorable" de l'accord en vertu duquel la plainte est port??e. Afin d'aider les pays en d??veloppement ?? surmonter leur expertise limit??e dans le droit de l'OMC et de les aider dans la gestion des diff??rends commerciaux complexes, un Centre consultatif sur la l??gislation de l'OMC a ??t?? cr????e en 2001.
Adh??sion et participation
Le processus de devenir membre de l'OMC est unique ?? chaque pays candidat, et les conditions d'adh??sion sont d??pend du stade de d??veloppement ??conomique et r??gime commercial actuel du pays. Le processus prend environ cinq ans, en moyenne, mais il peut durer plus si le pays ne est pas enti??rement engag?? dans le processus ou si les questions politiques interf??rent. Comme il est typique des proc??dures de l'OMC, une offre d'adh??sion est administr?? qu'une fois le consensus est atteint entre les parties int??ress??es.
Le processus d'adh??sion
Un pays qui souhaite adh??rer ?? l'OMC pr??sente une demande au Conseil g??n??ral, et doit d??crire tous les aspects de ses politiques commerciales et ??conomiques qui ont une incidence sur les accords de l'OMC. La demande est soumise ?? l'OMC dans un m??moire qui est examin?? par un groupe de travail ouvert ?? tous les Membres de l'OMC int??ress??s. Apr??s toutes les informations de base n??cessaires a ??t?? acquis, le groupe de travail se concentre sur les questions de divergence entre les r??gles de l'OMC et commerciaux internationaux et nationaux des politiques et des lois de la requ??rante. Le groupe de travail d??termine les modalit??s et les conditions d'entr??e dans l'OMC pour la nation requ??rant, et pourrait envisager des p??riodes de transition pour permettre aux pays une marge de man??uvre pour se conformer aux r??gles de l'OMC. La phase finale de l'adh??sion implique des n??gociations bilat??rales entre la nation requ??rante et les autres membres des groupes de travail concernant les concessions et d'engagements sur les niveaux tarifaires et l'acc??s au march?? pour les biens et services. Les engagements du nouveau membre se applique ??galement ?? tous les membres de l'OMC en vertu des r??gles de non-discrimination normales, m??me se ils sont n??goci??s bilat??ralement.
Lorsque les pourparlers bilat??raux concluent, le groupe de travail envoie au Conseil g??n??ral ou ?? la Conf??rence minist??rielle une trousse d'adh??sion, qui comprend un r??sum?? de toutes les r??unions des groupes de travail, le protocole d'adh??sion (un projet de trait?? d'adh??sion), et les listes ("listes") des engagements de membre-??-??tre. Une fois que la Conf??rence minist??rielle ou du Conseil g??n??ral approuve les modalit??s d'adh??sion, le parlement de la requ??rante doit ratifier le Protocole d'adh??sion avant de devenir un membre.
Membres et observateurs
L'OMC compte 152 membres (la quasi-totalité des 123 pays participant à l'Uruguay Round signé lors de sa fondation, et le reste a dû obtenir l'adhésion). Les 27 Etats de l' Union européenne sont représentés également que les Communautés européennes. Membres de l'OMC ne doivent pas être pleins -nations souverains membres. Au lieu de cela, ils doivent être d'un territoire douanier en pleine autonomie dans la conduite de leurs relations commerciales extérieures. Ainsi Hong Kong (comme «Hong Kong, Chine" depuis 1997) est devenu partie contractante du GATT, et la République de Chine ( Taiwan ) a adhéré à l'OMC en 2002 sous le nom étendu plein de «Territoire douanier distinct de Taiwan, Penghu, Kinmen et Matsu ( Taipei chinois) ". Un certain nombre de non-membres ont été observateurs (30) à l'OMC et sont en train de négocier leur adhésion. À l'exception de la Saint-Siège, les observateurs doivent commencer les négociations d'adhésion dans les cinq ans de devenir observateurs. Certaines organisations internationales intergouvernementales sont également le statut d'observateur aux organes de l'OMC. 14 États et 2 territoires ont jusqu'à présent aucune interaction officielle avec l'OMC.
Accords
L'OMC supervise environ 60 accords différents qui ont le statut de textes juridiques internationaux. Les pays membres doivent signer et ratifier tous les accords de l'OMC sur l'adhésion. Une liste des accords de l'OMC peut être trouvé ici une discussion de certains des accords les plus importants suit.
Accord sur l'agriculture (AsA)
L'Accord sur l'agriculture est entré en vigueur avec la création de l'OMC au début de 1995 . L'AsA a trois concepts centraux, ou «piliers»: soutien interne, accès aux marchés et les subventions à l'exportation.
Soutien interne
Le premier pilier de l'Accord sur l'agriculture est "soutien interne". Les structures de l'AsA soutien interne ( subventions) en trois catégories ou «boîtes»: une boîte verte, une boîte ambre et une boîte bleue. La Green Box contient des paiements fixes aux producteurs pour les programmes environnementaux, tant que les versements sont "découplés" des niveaux de production actuels. La boîte orange contient subventions nationales que les gouvernements ont convenu de réduire, mais pas éliminer. La boîte bleue contient des subventions qui peut être augmentée sans limite, tant que les paiements sont liés aux programmes de limitation de la production.
Système de soutien interne de l'Accord sur l'agriculture permet actuellement l'Europe et l' USA à dépenser $ 380 000 000 000 chaque année en subventions agricoles seul. "Il est encore souvent valoir que les subventions sont nécessaires pour protéger les petits agriculteurs, mais, selon la Banque mondiale, plus de la moitié de l'UE un soutien passe à 1% des producteurs alors que dans les Etats-Unis 70% des subventions vont à 10% des producteurs, principalement les agro-entreprises ". L'effet de ces subventions est d'inonder les marchés mondiaux avec des produits inférieurs aux coûts, baisser les prix et de la sous-cotation des producteurs dans les pays pauvres - une pratique connue sous le nom dumping.
Accès au marché
"L'accès au marché" est le deuxième pilier de l'AsA, et se réfère à la réduction des tarifs (ou non tarifaires) obstacles au commerce par les membres de l'OMC. 1995 Les réductions tarifaires AoA exigée de:
- Réduction moyenne de 36% parles pays développés, avec une réduction minimale par ligne tarifaire de 15% sur cinq ans.
- Réduction moyenne de 24% parles pays en développement avec une réduction minimale par ligne tarifaire de 10% sur neuf ans.
Pays les moins avancés (PMA) ont été exemptés de réductions tarifaires, mais soit dû convertir les obstacles non tarifaires aux tarifs-un processus appelétarification ou "consolider" les droits de douane, la création d'un "plafond" qui ne pouvait être augmentée à l'avenir.
Subventions à l'exportation
"Subventions à l'exportation" est le troisième pilier de l'Accord sur l'agriculture. L'AsA 1995 nécessaire pays développés à réduire les subventions à l'exportation d'au moins 35% (en valeur) ou par au moins 21% (en volume) sur les cinq ans à 2000.
Critique
L'AsA est critiqué pour la réduction des protections tarifaires pour les petits agriculteurs - une source importante de revenus pourles pays en développement - tout en permettant aux pays riches de continuer à payer leurs agriculteurs des subventions massives que les pays en développement ne peuvent se permettre.
Accord général sur le commerce des services (AGCS)
Aspects liés au commerce des droits de propriété intellectuelle (ADPIC)
(SPS) sanitaires et phyto-sanitaires
L'Accord sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires- également connu sous le nomAccord SPSa été négocié au cours de la Uruguay Round du Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, et est entré en vigueur avec la création de l'OMC au début de 1995.
Selon l'accord SPS, l'OMC définit des contraintes sur les politiques relatives à la sécurité alimentaire (contaminants bactériens, les pesticides, l'inspection et l'étiquetage) ainsi que santé animale et végétale (des ravageurs et des maladies importées) des membres.
SPS et les organismes génétiquement modifiés (OGM)
En 2003, les États-Unis ont contesté un certain nombre de lois européennes restreignant l'importation des organismes génétiquement modifiés (OGM), en faisant valoir qu'ils sont "injustifiable" et illégale en vertu de l'accord SPS. En mai 2006, le comité de règlement des différends de l'OMC a rendu une décision complexe qui a contesté certains aspects de la réglementation des OGM de l'UE, mais a rejeté la plupart des demandes formulées par les États-Unis
Critique
Politiques quarantaine jouent un rôle important pour assurer la protection de la santé de la plante humaine, animale et. Pourtant, en vertu de l'accord SPS, les obstacles de quarantaine peuvent être un «obstacle au commerce technique» utilisée pour empêcher les concurrents étrangers.
L'accord SPS de l'OMC donne le pouvoir de passer outre l'utilisation de l'un pays principe de précaution - un principe qui leur permet d'agir sur le côté de la prudence en l'absence de certitude scientifique sur les menaces potentielles pour la santé humaine et l'environnement. Dans les mesures communautaires concernant les viandes et les produits carnés (hormones) WT / DS / 26 / AB / R l'Organe d'appel de l'OMC a jugé qu'il était "moins clair" si le principe de précaution avait cristallisé dans un principe de droit international coutumier, ( paragraphe 123 CE-Hormones) et même si elle avait, il ne pouvait pas l'emporter sur les dispositions des articles 5.1 et 5.2 de l'Accord sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires (Accord SPS) qui exigent des membres à fonder leurs mesures sur une évaluation des risques. (CE-Hormones paragraphes 123, 124 et la discussion 125.See K Kennedy "Résolution sanitaire internationale et litiges phytosanitaires de l'OMC: Leçons et orientations futures" (2000) Volume 55 Food and Drug Law Journal 81 à 95) L'Organe d'appel a également souligné que le principe n'a pas été écrit dans l'Accord SPS, bien que l'Organe d'appel a reconnu que le principe a été reflétée dans le sixième paragraphe du préambule de la SPSA, ainsi que des articles 3.3 et 5.7. (CE-Hormones paragraphe 124) l'article 3.3 permet aux membres de mettre en ??uvre des mesures de quarantaine plus élevés que ceux trouvés dans les normes internationales, tant que les mesures sont conformes contraire à l'Accord SPS; tandis que l'article 5.7 permet des mesures provisoires où il ya suffisamment de preuves scientifiques. En outre, le Organe d'appel a reconnu que l'article 5.7 ne épuise pas nécessairement la pertinence du principe de précaution et que, là où il ya des risques de dommages irréversibles, les gouvernements agissent souvent du point de vue de la prudence . (CE-Hormones paragraphe 124)
En vertu des règles sanitaires et phytosanitaires, la charge de la preuve est sur ??????les pays de démontrer scientifiquement que quelque chose est dangereux avant qu'il puisse être réglée, même si les scientifiques conviennent qu'il est impossible de prévoir toutes les formes de dommages posés par les insectes ou les plantes nuisibles.
Accord sur les obstacles techniques au commerce (OTC)
L' Accord sur les obstacles techniques au commerce - également connu comme l' Accord OTC est une organisation internationale traité de l'Organisation mondiale du commerce. Il a été négocié au cours de la Uruguay Round du Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, et est entré en vigueur avec la création de l'OMC à la fin de 1994.
L'objet de l'Accord OTC est de «veiller à ce que les négociations et les normes techniques, ainsi que des procédures d'essai et de certification, ne créent pas d'obstacles non nécessaires au commerce".
Critique
La critique de gauche
Bien que l'objectif déclaré de l'OMC est de promouvoir le libre-échange et de stimuler la croissance économique, certains croient que les résultats commerciaux globalement libres dans les riches (les deux peuples et les pays) de devenir plus riche, tandis que les pauvres deviennent plus pauvres. Martin Khor, Directeur du Third World Network, fait valoir que l'OMC ne parvient pas à l'économie mondiale de façon impartiale, mais dans son fonctionnement a un biais systématique vers les pays riches et les multinationales, nuire petits pays qui ont moins de pouvoir de négociation. Il fait valoir que les pays en développement ont pas bénéficié des accords de l'Uruguay Round de l'OMC, parce que (entre autres raisons): l'accès au marché dans l'industrie n'a pas amélioré; ces pays ont eu pas encore les gains provenant de la suppression progressive des quotas textiles; les barrières non tarifaires telles que les mesures antidumping ont augmenté; et de soutien et de subventions à l'exportation pour les produits agricoles dans les pays riches restent élevés. Jagdish Bhagwati affirme cependant qu'il ya une plus grande protection tarifaire sur les fabricants dans les pays pauvres, qui sont également en train d'envahir les pays riches du nombre de procédures antidumping.
D'autres critiques prétendent que les questions de relations de travail et l'environnement sont fermement ignorées. Steve Charnovitz, ancien directeur de l'étude pour l'environnement mondial et du Commerce (GETS), estime que l'OMC "devrait commencer à aborder le lien entre le commerce et le travail et les préoccupations environnementales. " En outre, les syndicats condamnent le record des pays en développement des droits du travail, en faisant valoir que dans la mesure où l'OMC réussit à promouvoir la mondialisation, puis dans une égale mesure faire l'environnement et les droits des travailleurs souffrent. De l'autre côté, Khor répond que "si l'environnement et du travail étaient d'entrer dans le système de l'OMC [...] il serait conceptuellement difficile d'expliquer pourquoi d'autres questions sociales et culturelles doivent aussi ne pas entrer." Bhagwati est également critique envers "les lobbies des pays riches qui cherchent à imposer leurs programmes indépendants sur les accords commerciaux." Par conséquent, à la fois Bhagwati et Arvind Panagariya ont critiqué l'introduction de ADPIC dans le cadre de l'OMC, craignant que ces programmes non-commerciaux pourraient écraser la fonction de l'organisation.
La critique libertaire
Certains libertaires et conservateurs petite-gouvernementaux, par exemple, Ron Paul ainsi que les think tanks tels que l' Institut Ludwig von Mises opposent à l'Organisation mondiale du commerce. L'OMC est considérée comme une organisation bureaucratique et anti-capitaliste pas promotimg libre-échange, mais l'interventionnisme politique. Par exemple, Ron Paul dit des accords de libre-échange ne ??????doivent pas être 20.000 pages. Dans le numéro de Février 1994 du Marché Libre, l'institut Mises a fait valoir que "L'OMC va convertir le commerce pacifique dans l'impérialisme de la politique. Il permettra un échange économique avec certains pays dans les conditions approuvées, et d'imposer une variété de sanctions sur les autres. Les conditions incluront toute la législation aimé de US-libéraux de gauche, tels que les préférences pour les syndicats, artificiellement les coûts élevés de main-d'??uvre, les contrôles sur l'organisation de l'industrie, des impôts élevés sur le capital et le revenu, l'inflation de la banque centrale, la collecte de l'impôt invasive, et l'abolition de la financière la vie privée. L'objectif, comme avec Nafta, est de transformer tous les pays, développés ou en développement, dans une copie carbone de la social-démocratie Clintonian ".
Divers. critique
D'autres critiques ont caractérisé le faire à l'OMC comme compliqué, inefficace, non représentatif et non inclusive décision, et ils ont proposé la création d'un petit comité informel de direction (un «conseil consultatif») qui peut être déléguée la responsabilité de développer un consensus sur questions commerciales entre les pays membres. Le Third World Network a appelé l'OMC "la plupart des non-transparente des organisations internationales», parce que «la grande majorité des pays en développement ont très peu de voix réelle dans le système de l'OMC"; le Réseau souligne que « la société civile les groupes et les institutions doivent être donnés de réelles opportunités d'exprimer leurs opinions et d'influencer le résultat des politiques et des décisions. " Certaines organisations non gouvernementales, comme le Mouvement fédéraliste mondial, soutiennent que la participation démocratique à l'OMC pourrait être renforcée par la création d'une assemblée parlementaire, bien que d'autres analystes ont caractérisé cette proposition comme inefficace.
Les conférences ministérielles
Première conférence ministérielle
La conférence ministérielle inaugurale a eu lieu àSingapouren 1996. Les désaccords entre les économies largement développés et en développement ont émergé lors de cette conférence sur quatre questions initiées par cette conférence, qui a conduit à leur étant collectivement dénommés les "questions de Singapour ".
Deuxième conférence ministérielle
Troisième conférence ministérielle
La troisième conférence àSeattle, Washingtonsoldée par un échec, avec des manifestations massives et de la police et de la Garde nationale de contrôle de la foule efforts en attirant l'attention du monde entier.
Quatrième conférence ministérielle
A eu lieu àDohaDansgolfe Persiquenation duQatar.
Cinquième conférence ministérielle
La conférence ministérielle a eu lieu à Cancún, au Mexique , visant à forger un accord sur le cycle de Doha. Une alliance de 22 États du sud, le G20 (dirigé par l'Inde, la Chine et le Brésil), a résisté à la demande de la North pour les accords sur les soi-disant « questions de Singapour »et a appelé à la fin des subventions agricoles au sein de l'UE et les Etats-Unis. Les négociations ont été rompues sans progrès.
Sixième conférence ministérielle
La sixième Conférence ministérielle de l'OMC a eu lieu à Hong Kong du 13 d??cembre - 18 Décembre, 2005 . Il a été considéré comme vital si les quatre-année-vieux négociations du Programme de Doha pour le développement étaient d'avancer suffisamment pour conclure le cycle en 2006. Lors de cette réunion, les pays ont convenu d'éliminer toutes leurs subventions aux exportations agricoles d'ici la fin de 2013, et de mettre fin à tout subventions aux exportations de coton à la fin de 2006. D'autres concessions aux pays en développement inclus un accord pour introduire en franchise de droits, tarif libre accès aux marchandises des pays les moins avancés, à la suite de l'initiative Tout sauf les armes de l'Union européenne -, mais avec un maximum de 3% des lignes tarifaires exemptés. D'autres questions importantes ont été laissés pour de nouvelles négociations pour être complétée par la fin de 2006.