Burundi
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R??publique du Burundi
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Devise:
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Hymne: Burundi bwacu Notre Burundi | ||||||
Capital et plus grande ville | Bujumbura 3 ?? 30'S 30 ?? 00'E | |||||
Langues officielles |
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Les langues v??hiculaires |
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Groupes ethniques |
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Demonym | Burundais | |||||
Gouvernement | R??publique | |||||
- | Pr??sident | Pierre Nkurunziza | ||||
- | 1er vice-pr??sident | Terence Sinunguruza | ||||
- | 2e vice-pr??sident | Gervais Rufyikiri | ||||
Corps l??gislatif | Parlement | |||||
- | Chambre haute | S??nat | ||||
- | Chambre basse | Assembl??e Nationale | ||||
Statut | ||||||
- | Partie de Ruanda-Urundi ( Nations Unies de territoire sous tutelle) | 1945-1962 | ||||
- | Ind??pendance | 1 Juillet 1962 | ||||
- | R??publique | 1 Juillet 1966 | ||||
Zone | ||||||
- | Total | 27834 km 2 ( 145e) 10 745 km carr??s | ||||
- | Eau (%) | 7,8 | ||||
Population | ||||||
- | 2012 estimation | 8749000 ( 89e) | ||||
- | Recensement de 2008 | 8053574 | ||||
- | Densit?? | 314,3 / km 2 ( 45e) 814,2 km / sq | ||||
PIB ( PPP) | Estimation 2011 | |||||
- | Total | $ 5,184,000,000 | ||||
- | Par habitant | $ 614 | ||||
PIB (nominal) | Estimation 2011 | |||||
- | Total | $ 2,356,000,000 | ||||
- | Par habitant | $ 279 | ||||
Gini (1998) | 42,4 moyen | |||||
IDH (2010) | 0,282 faible ?? 166e | |||||
Monnaie | Franc burundais (FBU) ( BIF ) | |||||
Fuseau horaire | CAT ( GMT + 2) | |||||
- | Summer ( DST) | non observ??es ( GMT + 2) | ||||
Drives sur le | droit | |||||
Indicatif t??l??phonique | 257 | |||||
Code ISO 3166 | BI | |||||
TLD Internet | .bi | |||||
a. | "Ganza Sabwa" avant 1966. |
Burundi (prononc?? / Bəɹʊndɨ /), officiellement la R??publique du Burundi ( Kirundi: Republika y'u Burundi, [Buɾundi]; Fran??ais : R??publique du Burundi, [Byʁyndi]), est un pays enclav?? dans le Grands Lacs r??gion de l'Afrique de l'Est, bord?? par Rwanda au nord, la Tanzanie ?? l'est et au sud et la R??publique d??mocratique du Congo ?? l'ouest. Sa capitale est Bujumbura. Bien que le pays est enclav??, une grande partie de la fronti??re sud-ouest est ?? c??t?? de lac Tanganyika .
Le Twa, Tutsis et hutus peuples ont v??cu au Burundi pendant au moins cinq cents ans et, pendant plus de deux cent ans, Burundi a ??t?? statu?? que un royaume. Au d??but du XXe si??cle, cependant, L'Allemagne et la Belgique ont occup?? la r??gion et le Burundi et le Rwanda sont devenus une colonie europ??enne connue sous le nom Ruanda-Urundi. Les diff??rences sociales entre les Tutsis et les Hutus ont depuis contribu?? ?? l'instabilit?? politique dans la r??gion, ce qui conduit ?? la guerre civile au milieu du XXe si??cle. Actuellement, le Burundi est r??gi comme un pr??sidentiel d??mocratique repr??sentatif r??publique.
Le Burundi est l'un des cinq pays les plus pauvres dans le monde. Il poss??de l'un des plus bas PIB par habitant de toute nation dans le monde et une faible produit int??rieur brut en grande partie due ?? la guerre, la corruption, le manque d'acc??s ?? l'??ducation et les effets du VIH / sida. Burundi est dens??ment peupl??e et conna??t substantielle l'??migration. Selon un indice de connectivit?? DHL Global 2012, le Burundi est le moins globalis?? de 140 pays ??tudi??s.
Cobalt et le cuivre sont parmi les ressources naturelles du Burundi, tandis que le caf?? et le sucre sont deux de ses principales exportations.
Histoire
Royaume du Burundi
La derni??re monarchie burundaise est dit avoir commenc?? ?? la fin du 17??me si??cle.
P??riode coloniale
Apr??s sa d??faite lors de la Premi??re Guerre mondiale, l'Allemagne a remis le contr??le d'une partie de l'ex- Allemand Afrique de l'Est ?? la Belgique . Le 20 Octobre 1924, cette terre, qui se composait de moderne-jour Rwanda et le Burundi, est devenu un Belge Soci??t?? des Nations territoire sous mandat, en termes pratiques partie de la Empire colonial belge, connu sous le nom Ruanda-Urundi. Cependant, les Belges admis Ruanda-Urundi de poursuivre sa dynastie royaut??.
Apr??s la Seconde Guerre mondiale, le Ruanda-Urundi ??tait un territoire sous tutelle des Nations Unies sous l'autorit?? administrative belge. Durant les ann??es 1940, une s??rie de politiques a provoqu?? des divisions dans tout le pays. Le 4 Octobre 1943, les pouvoirs ont ??t?? r??partis dans la division l??gislative du gouvernement du Burundi entre les chefferies et les chefferies inf??rieurs. Chefferies ??taient en charge de la terre, et sous-chefferies inf??rieurs ont ??t?? ??tablis. Les autorit??s autochtones avaient aussi des pouvoirs. En 1948, la Belgique a permis ?? la r??gion de former des partis politiques. Ces factions seraient l'une des principales influences pour l'ind??pendance du Burundi en Belgique.
Ind??pendance et la guerre civile
Le 20 Janvier 1959, la r??gle du Burundi Mwami Mwambutsa IV demand?? au ministre belge des Colonies un s??paration du Burundi et du Rwanda et de la dissolution du Ruanda-Urundi. Six mois plus tard, les partis politiques ont ??t?? form??s pour attirer l'attention sur l'ind??pendance du Burundi de l'Europe et de s??parer Rwanda du Burundi. Le premier de ces partis politiques ??tait le Union pour le progr??s national (UPRONA).
La pouss??e du Burundi pour l'ind??pendance a ??t?? influenc??e dans une certaine mesure par l'instabilit?? et la pers??cution ethnique qui a eu lieu au Rwanda. En Novembre 1959, Hutu rwandais ont attaqu?? les Tutsi et massacr??s par milliers. De nombreux Tutsis ??chapp?? ?? l'Ouganda et le Burundi pour trouver la libert?? de la pers??cution. Le Hutu a pris le pouvoir au Rwanda en remportant les ??lections belges terme en 1960.
L'UPRONA, un parti de l'unit?? multiethnique dirig?? par le prince Louis Rwagasore et le Parti d??mocrate chr??tien (PDC) sont devenus des organisations les plus en vue dans tout le Burundi-Urundi. Apr??s la victoire de l'UPRONA aux ??lections l??gislatives, le Prince Rwagasore a ??t?? assassin?? le 13 Octobre en 1961, avec l'aide pr??sum??e de l'administration coloniale belge.
Le pays selon l'ind??pendance le 1er Juillet 1962, et a l??galement chang?? son nom de Ruanda-Urundi au Burundi. Mwami Mwambutsa IV a ??t?? nomm?? roi. Le 18 Septembre 1962, un peu plus de deux mois apr??s la d??claration d'ind??pendance de la Belgique, le Burundi a rejoint les Nations Unies.
Apr??s l'ind??pendance du Burundi, une monarchie constitutionnelle a ??t?? ??tabli et les deux Hutus et les Tutsis ??taient repr??sent??s au parlement. Quand le roi Mwambutsa nomm?? un Premier ministre Tutsi, les Hutus, qui ??taient la majorit?? au parlement, se sont sentis trahis. Une tentative de coup qui a suivi par la police a ??t?? domin?? par les Hutus impitoyablement r??prim??e par l'arm??e, alors dirig??e par un officier Tutsi, le capitaine Michel Micombero. Quand le prochain Premier ministre hutu, Pierre Ngendandumwe, a ??t?? assassin?? en 1965, les Hutus engag?? dans une s??rie d'attaques contre des Tutsis, que le gouvernement a r??prim?? sans piti??, craignant les massacres de Tutsis par les Hutus, qui voulait suivre le "mod??le Rwanda??. La police et les militaires burundais ??taient d??sormais plac??es sous le contr??le des Tutsis.
Mwambutsa a ??t?? d??pos?? en 1966 par son fils, Ntare V-Prince, qui revendique le tr??ne. Cette m??me ann??e, Tutsi Premier ministre capitaine Michel Micombero d??pos?? Ntare, aboli la monarchie, et d??clare la nation une r??publique, si elle ??tait en vigueur un r??gime militaire.
En 1972, une toute organisation Hutu connu comme Umugambwe w'Abakozi b'Uburundi ou Parti des travailleurs du Burundi (UBU) a organis?? et men?? des attaques syst??matiques sur les Tutsis dans l'intention d??clar??e d'an??antir l'ensemble du groupe. Le r??gime militaire a r??pondu de repr??sailles ?? grande ??chelle ciblant Hutus. Le nombre total de victimes n'a jamais ??t?? ??tabli, mais les estimations pour le g??nocide des Tutsi et de la repr??sailles sur les Hutus ensemble sont dits d??passer 100 000 ?? tout le moins, avec un nombre similaire de demandeurs d'asile en Tanzanie et au Rwanda. En 1976, un autre Tutsi, le colonel Jean-Baptiste Bagaza, a men?? un coup sans effusion de sang et de promouvoir diverses r??formes. Une nouvelle constitution a ??t?? promulgu??e en 1981, en gardant Burundi un Etat ?? parti unique. En Ao??t 1984, Bagaza a ??t?? ??lu chef de l'Etat. Durant son mandat, Bagaza supprim??e opposants politiques et des libert??s religieuses.
Majeur Pierre Buyoya, un Tutsi, a renvers?? Bagaza en 1987 et suspendu la Constitution, dissout les partis politiques, et a r??tabli le r??gime militaire dans le cadre du Comit?? militaire de salut national (CSMN). La propagande anti-Tutsi ethnique diffus??es par les restes de l'UBU 1972, qui avait r??organis?? comme PALIPEHUTU en 1981, a conduit ?? des meurtres de paysans tutsis dans les communes du nord de Ntega et Marangara en Ao??t 1988. Le nombre de morts a ??t?? mis ?? 5,000 par le gouvernement, bien que certaines ONG internationales croient que ce sous-estime les pertes.
Le nouveau r??gime n'a pas lib??rer de dures repr??sailles (comme en 1972), mais il a gagn?? la confiance a ??t?? rapidement ??rod?? quand il a d??cr??t?? une amnistie pour ceux qui avaient appel?? ??, r??alis?? et pris de cr??dit pour les meurtres pour des raisons ethniques, qui se ??l??ve ?? g??nocide en droit international. De nombreux analystes consid??rent cette p??riode comme le d??but de la "culture de l'impunit??." Mais d'autres analystes consid??rent la ??culture de l'impunit??" ont commenc?? ?? partir de 1965 et 1972, lorsque la r??volte d'un petit et identifiable nombre de Hutus d??clench?? massacres de Tutsis sur l'ensemble du territoire.
Au lendemain des meurtres, un groupe d'intellectuels hutus a ??crit une lettre ouverte ?? Pierre Buyoya, demandant une plus grande repr??sentation des Hutus dans l'administration. Les signataires ont ??t?? envoy??s en prison. N??anmoins, seulement quelques semaines plus tard, Buyoya nomm?? un nouveau gouvernement avec un nombre ??gal de Hutus et les Tutsis, et un Hutu, Adrien Sibomana, en tant que Premier ministre. Buyoya a ??galement cr???? une commission charg??e d'examiner la question de l'unit?? nationale. En 1992, une nouvelle constitution qui pr??voyait syst??me multipartite a ??t?? promulgu??e, et une guerre civile se leva du noyau de Burundi.
On estime que 250 000 personnes sont mortes entre 1962 et 1993. Depuis l'ind??pendance du Burundi en 1962, il ya eu deux ??v??nements appel??s g??nocides dans le pays. Les 1972 des massacres de Hutus par l'arm??e domin??e par les Tutsis, et les 1 993 massacres de Tutsis par la population Hutu sont tous deux d??crits comme un g??nocide dans le rapport final de la Commission d'enqu??te internationale pour le Burundi pr??sent?? au Conseil de s??curit?? des Nations Unies en 2002 .
Premi??re tentative de la d??mocratie
En Juin 1993, Melchior Ndadaye, leader des Hutu-domin?? Front pour la d??mocratie au Burundi (FRODEBU), a remport?? la premi??re ??lection d??mocratique et est devenu le premier chef d'Etat hutu, t??te d'un gouvernement pro-Hutu. Cependant, en Octobre 1993, des soldats tutsis ont assassin?? Ndadaye, qui a commenc?? de nouvelles ann??es de violence entre Hutus et Tutsis. On estime que quelque 300.000 personnes, la plupart des civils, ont ??t?? tu??s dans les ann??es suivantes l'assassinat.
Au d??but de 1994, le parlement ??lu Cyprien Ntaryamira, ??galement un Hutu, au bureau du pr??sident. Lui et le pr??sident du Rwanda ?? la fois morts ensemble lorsque leur avion a ??t?? abattu. Plus de r??fugi??s ont commenc?? ?? fuir vers le Rwanda. Un autre Hutu, le pr??sident du parlement Sylvestre Ntibantunganya a ??t?? nomm?? pr??sident en Octobre 1994. En quelques mois, une vague de violence ethnique a commenc??, en commen??ant par le massacre de r??fugi??s hutus dans la capitale, Bujumbura, et le retrait de l'Union principalement Tutsi pour le progr??s national du gouvernement et du parlement.
En 1996, Pierre Buyoya, un Tutsi, a pris le pouvoir par un coup d'??tat. Il a suspendu la constitution et a pr??t?? serment en tant que pr??sident en 1998. En r??ponse aux attaques des rebelles, la population a ??t?? forc??e par le gouvernement d??m??nagerais dans les camps de r??fugi??s. Sous son r??gne, les pourparlers de paix ont commenc?? longues, m??di??e par l'Afrique du Sud. Les deux parties ont sign?? des accords de Arusha, Tanzanie et Pretoria , Afrique du Sud, de partager le pouvoir au Burundi. Les accords ont pris quatre ans pour planifier, et le 28 Ao??t 2000, un gouvernement de transition pour le Burundi a ??t?? pr??vu dans le cadre de l'Accord de paix et de r??conciliation d'Arusha et. Le gouvernement de transition a ??t?? plac??e sur une base d'essai pour cinq ans. Apr??s plusieurs tr??ves avort??es, un accord de 2001 plan de paix et de partage du pouvoir a ??t?? relativement efficace. Un cessez-le-feu a ??t?? sign?? en 2003 entre le gouvernement burundais tutsi-contr??l?? et le plus grand groupe rebelle hutu, le CNDD-FDD (Conseil national pour la d??fense de la d??mocratie-Forces pour la D??fense de la D??mocratie).
En 2003, leader Hutu membre du FRODEBU Domitien Ndayizeye a ??t?? ??lu pr??sident. Au d??but de 2005, des quotas ethniques ont ??t?? form??s pour d??terminer les positions dans le gouvernement du Burundi. Tout au long de l'ann??e, les ??lections pour le parlement et le pr??sident ont eu lieu et Pierre Nkurunziza, une fois le chef d'un groupe rebelle hutu, a ??t?? ??lu pr??sident. En 2008, le gouvernement burundais parle avec les Palipehutu-Forces nationales de lib??ration dirig?? par les Hutus (NLF) pour apporter la paix au pays.
Les accords de paix
Les dirigeants africains ont commenc?? une s??rie de pourparlers de paix entre les factions en guerre suite ?? une demande du Secr??taire g??n??ral des Nations Unies Boutros Boutros-Ghali pour eux d'intervenir dans la crise humanitaire. Les pourparlers ont ??t?? lanc??s sous l'??gide de l'ancien pr??sident tanzanien Julius Nyerere en 1995; apr??s sa mort, le pr??sident sud-africain Nelson Mandela a pris la barre. Comme les n??gociations ont progress??, pr??sident sud-africain Thabo Mbeki et le pr??sident am??ricain Bill Clinton a ??galement apport?? leur poids respectif.
Les pourparlers de paix ont pris la forme de Suivre je m??diations. Cette m??thode de n??gociation peut ??tre d??finie comme une forme de diplomatie impliquant des repr??sentants gouvernementaux ou intergouvernementaux, qui peut utiliser leur r??putation positifs, la m??diation ou la m??thode ??de la carotte et du b??ton" comme un moyen d'obtenir ou de forcer un r??sultat, souvent le long des lignes de " n??gociation ??ou?? gagnant-perdant ??.
L'objectif principal encadrant les pourparlers ??tait une transformation structurelle du gouvernement burundais et militaire comme un moyen de combler le foss?? ethnique entre Tutsis et Hutus. Ceci serait accompli de deux mani??res. D'abord, un partage du pouvoir le gouvernement de transition serait mis en place, avec les pr??sidents qui exercent des fonctions pour un mandat de trois ans. Le deuxi??me objectif implique une restructuration de l'arm??e, o?? les deux groupes seraient repr??sent??s ?? parts ??gales.
Comme la nature prolong??e des n??gociations de paix d??montr??, il y avait plusieurs obstacles auxquels sont confront??s les m??diateurs et les parties aux n??gociations. Tout d'abord, les responsables burundais ont per??u les objectifs que ??irr??aliste?? et consult?? le trait?? comme ambigu, contradictoire et d??routante. Deuxi??mement, et peut-??tre plus important encore, les Burundais croient que le trait?? ne serait pas pertinente sans cessez le feu d'accompagnement. Cela n??cessiterait des entretiens s??par??s et directs avec les groupes rebelles. Le principal parti hutu ??tait sceptique de l'offre d'un gouvernement de partage du pouvoir; ils ont all??gu?? qu'ils ont ??t?? tromp??s par les Tutsis dans les accords pass??s.
En 2000, le pr??sident burundais a sign?? le trait??, ainsi que 13 de la 19 Hutu et les factions bellig??rantes tutsis. Toutefois, des d??saccords ont persist?? sur lequel groupe pr??siderait le gouvernement naissant et lorsque le cessez-commencerait. Les spoilers de pourparlers de paix ??taient les jusqu'au-boutiste Tutsi et les groupes hutus qui a refus?? de signer l'accord; En cons??quence, la violence intensifi??e. Trois ans plus tard lors d'un sommet des dirigeants africains en Tanzanie, le pr??sident burundais et le groupe Hutu de l'opposition principale sign?? un accord pour mettre fin au conflit; les membres signataires ont obtenu des postes minist??riels au sein du gouvernement. Toutefois, de petits groupes militants hutus - tels que les Forces nationales de lib??ration - sont rest??s actifs.
Implication de l'ONU
Entre 1993 et 2003, de nombreuses s??ries de pourparlers de paix, supervis??s par les leaders r??gionaux en Tanzanie , Afrique du Sud et l'Ouganda , progressivement mis en place des accords de partage du pouvoir pour satisfaire la majorit?? des groupes rivaux. Initialement, le Protection d??tachement de soutien sud-africain a ??t?? d??ploy??e pour prot??ger les dirigeants burundais rentrant d'exil, qui devint alors partie de la Mission de l'Union africaine au Burundi, d??ploy??e pour aider ?? superviser l'installation d'un gouvernement de transition. En Juin 2004, l'ONU est intervenu et a pris en charge les responsabilit??s de maintien de la paix comme un signal de plus en plus le soutien international pour le processus de paix d??j?? nettement avanc?? au Burundi.
Le mandat de la mission, sous Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, a ??t?? de suivre cessez-le-feu; r??aliser le d??sarmement, la d??mobilisation et la r??insertion des anciens combattants; soutenir l'aide humanitaire et de retour des r??fugi??s et des personnes d??plac??es; aider avec les ??lections; prot??ger le personnel international et civils burundais; surveiller les fronti??res g??nants du Burundi y compris les flux illicites d'armes h??sitants; et d'aider ?? r??aliser les r??formes institutionnelles, y compris celles de la Constitution, le pouvoir judiciaire, les forces arm??es et la police. La mission a ??t?? allou?? 5 650 militaires, 120 policiers civils, et environ 1 000 membres du personnel civil international et local. La mission a ??t?? fonctionne bien et a grandement b??n??fici?? de l'existence d'un gouvernement de transition assez fonctionnelle, qui est dans le processus de transition vers une entit?? plus l??gitime ??lu.
La principale difficult?? de l'op??ration face ?? premi??re ??tait la r??sistance continu au processus de paix par le dernier groupe rebelle hutu nationaliste. Cette organisation a poursuivi son conflit violent ?? la p??riph??rie de la capitale, malgr?? la pr??sence de l'ONU. En Juin 2005, le groupe avait cess?? de se battre et a ??t?? ramen?? dans le processus politique. Tous les partis politiques ont accept?? une formule de partage du pouvoir inter-ethnique, ce qui signifie qu'aucun parti politique ne peut avoir acc??s aux bureaux du gouvernement si ce ne est ethniquement int??gr??.
L'objectif de la mission de l'ONU avait ??t?? de consacrer les arrangements partage de pouvoir dans un populairement vot?? constitution, afin que les ??lections puissent avoir lieu et un nouveau gouvernement install??. D??sarmement, d??mobilisation et r??insertion ont ??t?? r??alis??es en tandem avec pr??paration des ??lections. En F??vrier 2005, la Constitution a ??t?? approuv??e avec plus de 90% du vote populaire. En mai, Juin et Ao??t 2005, trois ??lections s??par??es ont ??galement eu lieu au niveau local pour le Parlement et la pr??sidence.
Bien qu'il existe encore quelques difficult??s avec le retour des r??fugi??s et la s??curit?? des approvisionnements alimentaires ad??quats pour la population lasse de la guerre, la mission a r??ussi ?? gagner la confiance d'une majorit?? des dirigeants jadis antagonistes ainsi que la population en g??n??ral. Il a ??galement ??t?? impliqu?? dans plusieurs projets "?? impact rapide", y compris la r??habilitation et la construction d'??coles, les orphelinats, les centres de sant??, et la reconstruction des infrastructures telles que les lignes d'eau.
2006 ?? aujourd'hui
Les efforts de reconstruction au Burundi ont commenc?? ?? prendre effet pratiquement apr??s 2006. L'ONU ferm?? sa mission de maintien de la paix et re-concentre sur l'aide ?? la reconstruction. Vers la r??alisation la reconstruction ??conomique, Rwanda, R??publique D??mocratique du Congo et le Burundi ont relanc?? le bloc ??conomique r??gional: La Communaut?? ??conomique des pays des Grands Lacs. En outre, le Burundi, le long avec le Rwanda, a rejoint le Communaut?? d'Afrique de l'Est en 2007.
Toutefois, les termes du cessez-Septembre 2006 entre le gouvernement et le dernier groupe arm?? d'opposition restante, le FLN (Forces nationales de lib??ration, aussi appel?? NLF ou FROLINA), ne ont pas ??t?? totalement mis en ??uvre, et les membres du FLN sup??rieurs par la suite quitt?? l'??quipe de surveillance de la tr??ve, affirmant que leur s??curit?? ??tait menac??e. En Septembre 2007, les factions rivales du FLN se sont affront??s dans la capitale, tuant 20 combattants et causant r??sidents commencent fuite. Raids rebelles ont ??t?? signal??s dans d'autres parties du pays. Les factions rebelles ??taient en d??saccord avec le gouvernement sur le d??sarmement et la lib??ration des prisonniers politiques. ?? la fin de 2007 et d??but 2008, les combattants du FLN attaqu?? des camps gouvernementaux prot??g?? o?? les anciens combattants vivaient. Les maisons des r??sidents des r??gions rurales ont ??galement ??t?? pill??s.
Le rapport 2007 de Amnesty International mentionne de nombreux domaines o?? des am??liorations se imposent. Les civils sont victimes d'actes de violence r??p??t??s effectu??s par le FLN. Ce dernier recrute ??galement des enfants soldats. Le taux de violence contre les femmes est ??lev??. Auteurs ??chappent r??guli??rement poursuite et la r??pression par l'Etat. Il ya un besoin urgent d'une r??forme du syst??me judiciaire. G??nocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanit?? restent impunis. La mise en place d'un Commission v??rit?? et r??conciliation et un sp??cial Tribunal pour enqu??te et poursuites n'a pas encore ??t?? mis en ??uvre. La libert?? d'expression est limit??e; les journalistes sont fr??quemment arr??t??s pour mener des activit??s professionnelles l??gitimes. Un total de 38 087 r??fugi??s burundais ont ??t?? rapatri??s entre Janvier et Novembre de 2007.
?? la fin de Mars 2008, le FLN a cherch?? pour le Parlement d'adopter une loi leur garantissant ??immunit?? provisoire?? contre l'arrestation. Cela couvrirait les crimes ordinaires, mais pas de graves violations du droit international humanitaire comme des crimes de guerre ou des crimes contre l'humanit??. M??me si le gouvernement a accord?? dans le pass?? aux personnes, le FLN a ??t?? incapable d'obtenir l'immunit?? provisoire.
Le 17 Avril 2008, le FLN bombard?? Bujumbura. L'arm??e burundaise a ripost?? et le FLN a subi de lourdes pertes. Un nouveau cessez-le feu a ??t?? sign?? le 26 mai 2008. En Ao??t 2008, le Pr??sident Nkurunziza a rencontr?? le leader du FLN Agathon Rwasa, avec la m??diation de Charles Nqakula, ministre sud-africain pour la s??curit?? et la s??curit??. Ce ??tait la premi??re rencontre directe depuis Juin 2007. Les deux conviennent de se rencontrer deux fois par semaine de cr??er une commission pour r??gler les diff??rends qui pourraient survenir au cours des n??gociations de paix.
Les camps de r??fugi??s sont maintenant ferment, et 450 000 r??fugi??s sont rentr??s. L'??conomie du pays est bris?? - ?? partir de 2011 Le Burundi a un des plus faibles revenus bruts par habitant dans le monde. Avec le retour des r??fugi??s, entre autres, les conflits de propri??t?? ont commenc??.
Burundi participe d??sormais ?? l'Union africaine missions de peackeeping, y compris la mission en Somalie contre les militants d'Al-Shahab.
Politique
Syst??me politique du Burundi est celle d'un pr??sidentiel r??publique d??mocratique repr??sentative fond??e sur un ??tat multipartite. Le Pr??sident du Burundi est le chef de l'Etat et chef du gouvernement. Il ya actuellement 21 partis enregistr??s au Burundi. Le 13 Mars 1992, putschiste Tutsi Pierre Buyoya a ??tabli une constitution, qui pr??voyait un processus politique multipartite et refl??te la concurrence multipartite. Six ans plus tard, le 6 Juin 1998, la constitution a ??t?? modifi??e, l'??largissement Les si??ges de l'Assembl??e nationale et les dispositions de prise de deux vice-pr??sidents. ?? cause de la Accord d'Arusha, le Burundi a adopt?? un gouvernement de transition en 2000.
Branche l??gislative du Burundi est un Assembl??e bicam??ral, compos?? de l'Assembl??e nationale de transition et le S??nat de transition. En 2004, l'Assembl??e nationale de transition se compose de 170 membres, avec le Front pour la d??mocratie au Burundi tenant 38% des si??ges, et 10% de l'ensemble est contr??l?? par l'UPRONA. Cinquante-deux si??ges sont contr??l??s par d'autres parties. La repr??sentation des mandats de constitution du Burundi ?? l'Assembl??e nationale de transition pour ??tre coh??rent avec 60% Hutu, Tutsi 40%, et 30% de membres f??minins, ainsi que trois membres batwa. Les membres de l'Assembl??e nationale sont ??lus par le vote populaire et servent pour un mandat de cinq ans.
Le S??nat de transition a cinquante et un membres, et trois si??ges sont r??serv??s pour les anciens pr??sidents. En raison de dispositions dans la constitution du Burundi, 30% des membres du S??nat doivent ??tre des femmes. Les membres du S??nat sont ??lus par des coll??ges ??lectoraux, qui se composent de membres de chacune des provinces et des communes du Burundi. Pour chacun des dix-sept provinces du Burundi, un Hutu et un Tutsi s??nateur sont choisis. Un terme pour le S??nat de transition est de cinq ans.
Ensemble, branche l??gislative du Burundi ??lire le Pr??sident pour un mandat de cinq ans. Le pr??sident du Burundi nomme les officiels ?? son Conseil des ministres, qui fait ??galement partie de la branche ex??cutive. Le pr??sident peut ??galement choisir quatorze membres du S??nat de transition ?? si??ger au Conseil des ministres. Les membres du Conseil des ministres doivent ??tre approuv??s par les deux tiers de la l??gislature du Burundi. Le pr??sident choisit ??galement deux vice-pr??sidents. En 2010, le Pr??sident du Burundi est Pierre Nkurunziza. Le premier vice-pr??sident est Th??rence Sinunguruza, et le deuxi??me vice-pr??sident est Gervais Rufyikiri.
La Cour supr??me (Cour supr??me) est le plus haut tribunal du Burundi. Il ya trois cours d'appel directement en dessous de la Cour supr??me. Tribunaux de premi??re instance sont utilis??s comme les tribunaux judiciaires dans chacune des provinces du Burundi ainsi que 123 tribunaux locaux.
Les provinces, les communes et les collines
Burundi est divis?? en 17 provinces, 117 communes, et 2638 collines (collines). Les gouvernements provinciaux sont structur??es sur ces fronti??res. En 2000, la province qui englobe Bujumbura a ??t?? s??par?? en deux provinces, Bujumbura Rural et Bunjumbura Mairie.
Les provinces sont:
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G??ographie
Un des plus petits pays d'Afrique, le Burundi est enclav?? et a un climat ??quatorial. Le Burundi est une partie de la Albertine Rift, l'extension ouest de la Rift Est Africain. Le pays se trouve sur un laminage plateau dans le centre de l'Afrique. L'altitude moyenne du plateau central est 5600 pieds (1707 m), avec des altitudes inf??rieures aux fronti??res. Le pic le plus ??lev??, Mont Heha ?? 8810 pieds (2685 m), se trouve au sud-est de la capitale, Bujumbura. La source du Nil est dans la province Burundi, et est li??e ?? partir du lac Victoria ?? sa source par l'interm??diaire du Ruvyironza rivi??re lac Victoria est aussi une importante source d'eau, qui sert une fourchette pour le Kagera. Un autre grand lac est le lac Tanganyika , situ?? dans une grande partie de coin sud-ouest du Burundi.
Les terres du Burundi sont principalement agricoles ou des p??turages. R??glement par les populations rurales a conduit ?? la d??forestation, l'??rosion des sols et la perte d'habitat. La d??forestation de l'ensemble du pays est presque enti??rement due ?? la surpopulation, avec ?? peine 230 miles carr??s (600 km 2) restants et une perte permanente d'environ 9% par an. Il y a deux parcs nationaux, Parc National de la Kibira au nord-ouest (une petite r??gion de la for??t tropicale, ?? c??t?? de La for??t de Nyungwe au Rwanda Parc national), Parc national de la Ruvubu au nord (le long de la Ruvubu, aussi connu comme Ruvubu ou Ruvuvu). Les deux ont ??t?? cr????s en 1982 pour conserver les populations de la faune.
??conomie
Le Burundi est un des pays les plus pauvres du monde, en partie ?? cause de sa g??ographie enclav??, pauvre syst??me juridique, le manque de libert?? ??conomique, le manque d'acc??s ?? l'??ducation, et la prolif??ration du VIH / sida. Environ 80% de la population du Burundi vit dans la pauvret??. Famines et des p??nuries alimentaires ont eu lieu dans tout le Burundi, notamment dans le 20e si??cle, et selon la Programme alimentaire mondial, 56,8% des enfants de moins de cinq ans souffrent de maladies chroniques de malnutrition . Une ??tude scientifique de 178 nations ??valu?? la population du Burundi comme ayant le plus bas satisfaction de la vie dans le monde. En cons??quence de la pauvret??, le Burundi est tributaire de l'aide ??trang??re.
La plus grande industrie du Burundi est l'agriculture, qui repr??sente 58% du PIB en 1997. L'agriculture de subsistance repr??sente 90% de l'agriculture. Principale source de revenus de la nation est le caf??, qui constitue 93% des exportations du Burundi. Autres produits agricoles comprennent le coton, le th??, le ma??s, le sorgho , la patate douce, la banane, manioc (tapioca); b??uf, le lait, et les peaux. Certaines des ressources naturelles du Burundi comprennent l'uranium , le nickel, le cobalt , le cuivre et le platine . Outre l'agriculture, d'autres industries comprennent: assemblage de composants import??s; construction travaux publics; les biens de consommation transformation des aliments, et l??gers tels que des couvertures, des chaussures et du savon. La monnaie du Burundi est le Franc burundais (BIF); ?? compter du 26 mai 2012, 1,371.00 francs burundais ??tait ??quivalent ?? un dollar des Etats-Unis.
Le manque d'acc??s aux services financiers est un probl??me s??rieux pour la majorit?? de la population, en particulier dans les zones rurales dens??ment peupl??es: seulement 2% de la population totale d??tient des comptes, et moins de 0,5% des services de pr??t utilisation bancaires. Microfinance, cependant, joue un r??le plus important, avec 4% des Burundais ??tant membres d'institutions de microfinance - une plus grande part de la population que celui atteint par les services postaux combin??s et bancaires. 26 institutions de microfinance agr????s (IMF) offrent des ??conomies, les d??p??ts, et ?? court et cr??dit ?? moyen terme. D??pendance du secteur de l'aide des bailleurs de fonds est limit??e.
Le Burundi est partie de la Communaut?? d'Afrique de l'Est et un membre potentiel de l'planifi??e F??d??ration d'Afrique de l'Est.
D??mographie
En Juillet 2012, le Burundi devrait avoir une population estim??e ?? 10.557.259 personnes. Cette estimation prend explicitement en compte les effets du sida, ce qui a un effet significatif sur la d??mographie du pays. Plus de 500 000 personnes ont ??t?? d??plac??es en raison de la maladie.
Beaucoup de Burundais ont migr?? vers d'autres pays en raison de la guerre civile. En 2006, les ??tats-Unis ont accept?? environ 10 000 r??fugi??s burundais.
La plupart des Burundais vivent dans les zones rurales, tandis que 11% de la population vivait dans les zones urbaines en 2010. La densit?? de population d'environ 315 personnes par kilom??tre carr?? (753 par sq km) est le deuxi??me plus ??lev?? de l'Afrique sub-saharienne . Environ 85% de la population sont des Hutu origine ethnique, 15% sont Tutsi, et moins de 1% sont indig??nes TWA / Pygm??es. Le Burundi a le cinqui??me plus haut taux de f??condit?? total dans le monde, ?? 6,08 enfants n??s / femme (2012 estimations).
Religion
Sources estiment la population chr??tienne ?? 75%, avec les catholiques romains repr??sentant le plus grand groupe ?? 60%. Protestants et anglicans pratiquants constituent les 15% restants. On estime que 20% de la population adh??re ?? des croyances religieuses traditionnelles autochtones. La population musulmane est estim??e ?? 5%, la majorit?? d'entre eux vivent dans les zones urbaines. Sunnites constituent la majorit?? de la population musulmane, le reste ??tant Chiite.
Sant??
Il ya moins de soins de sant?? au Burundi que dans la plupart des autres pays. L'esp??rance de vie ?? la naissance est estim??e ?? 59,24 ann??es. Une grande partie de la population est sous-aliment??e. Il y avait trois m??decins par 100 000 personnes en 2004. L'Organisation mondiale de la Sant?? estime que le VIH / SIDA la pr??valence au Burundi ??tait de 3,3% de la population adulte en 2009. Enqu??tes d??mographiques et sanitaires ont rempli deux enqu??tes au Burundi en 1987 et 2010.