Super Rugby
Création | 1986 |
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Autre(s) nom(s) |
South Pacific Championship (1986-1990) Super 6 (1992) Super 10 (1993-1995) Super 12 (1996-2005) Super 14 (2006-2010) Super Rugby (depuis 2011) |
Organisateur(s) | SANZAR |
Périodicité | annuelle |
Nations | Afrique du Sud, Australie, Nouvelle-Zélande, Argentine, Japon |
Participants | 18 franchises |
Statut des participants | Professionnel |
Site web officiel |
www.sanzarrugby.com/superrugby |
Tenant du titre | Highlanders (1) |
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Plus titré(s) | Crusaders (7) |
Saison 2016 de Super Rugby
Le Super Rugby est une compétition internationale de rugby à XV qui opposera dix-huit franchises argentines, australiennes, sud-africaines, japonaises et néo-zélandaises à compter de 2016. La compétition a connu plusieurs noms et formules dans le passé. Héritière d'une compétition lancée dans les années 1980 entre six équipes du Pacifique, elle devient professionnelle en 1996 et prend le nom de Super 12. Puis en 2006, elle passe à quatorze équipes et est renommée Super 14. En 2011, une quinzième franchise est introduite, la compétition est renommée Super Rugby. Enfin, en 2016, le Super Rugby passe à 18 équipes et accueille pour la première fois des franchises basées au Japon et en Argentine. On utilise parfois abusivement, notamment en France, le terme de Super 15 pour faire référence à cette compétition, tous formats confondus.
La compétition se déroule de février à août et comprend une première phase de poules suivie d'une phase finale à élimination directe sur trois tours.
Les Crusaders possèdent le plus grand nombre de titres avec sept victoires dans l'épreuve.
Le Super Rugby connaît un grand succès : le jeu pratiqué repose davantage sur l'offensive que dans les autres compétitions internationales, privilégiant souvent la vitesse plutôt que le combat.
Depuis les origines, ce sont les fédérations nationales, et non les franchises à titre individuel, qui gèrent la compétition et signent les contrats avec les joueurs et les télévisions.
Histoire de la compétition
Origines (1986-1995)
L'histoire des compétitions interprovinciales de l'hémisphère sud remonte à 1986. C'est cette année-là qu'une initiative néo-zélandaise donna naissance au South Pacific Championship (Championnat du Pacifique Sud). Six équipes participèrent à cette première édition: les provinces néo-zélandaises de Canterbury, Auckland et Wellington, les sélections australiennes des États de Nouvelle Galles du Sud et du Queensland, ainsi que l'équipe nationale des Fidji. Cette compétition dominée par Auckland et disputée à chaque fois par les mêmes équipes, perdura jusqu'en 1990. Après une année d'arrêt en 1991, la compétition reprit sous le nom de Super Six en 1992, toujours avec les mêmes équipes.
Avec le retour de l'Afrique du Sud sur la scène internationale, le Super 6 devient le Super 10 en 1993 en intégrant des équipes provinciales sud-africaines. Les dix équipes participant en 1993 étaient l'équipe nationale des Samoa, le Queensland, Otago, Auckland et le Natal en poule A, Waikato, North Harbour, le Transvaal, le Northern Transvaal et la Nouvelle Galles du Sud en poule B. Excepté les Samoa, toutes ces équipes étaient des sélections provinciales, déterminées en fonction du classement dans le championnat national en ce qui concernait les provinces néo-zélandaises et sud-africaines. Pour cette première édition, le Transvaal triompha d'Auckland à l'Ellis Park. En 1994, l'Eastern Province remplaça le Northern Transvaal, et c'est le Queensland qui remporta la compétition en disposant du Natal en finale. Le Natal atteignit la finale grâce à quatre points obtenus sur tapis vert à la suite du refus de l'équipe de Nouvelle Galles du Sud de se déplacer à Durban, prétextant une trop grande insécurité. Le Queensland s'imposa également en 1995.
Super 12 (1996-2005)
1996 vit une révolution : l'arrivée du professionnalisme. Décidé à exploiter le filon, le magnat australien des médias Rupert Murdoch décida de pérenniser cette compétition en incitant les trois fédérations sud-africaine, australienne et néo-zélandaise à s'associer pour former la SANZAR, chargée de l'organisation de la compétition qui devint le Super 12, en échange de quoi Murdoch diffuserait les rencontres. Le contrat de dix ans signé entre la SANZAR et le groupe News Corporation se monte à 555 millions de dollars américains. Le Super 12 comptait cinq équipes néo-zélandaises, quatre sud-africaines et trois australiennes. Les îles du Pacifique (Samoa et Fidji) invitées dans les compétitions antérieures furent laissées de côté. Les Néo-Zélandais alignèrent des franchises regroupant des provinces du NPC (championnat national des provinces), les Australiens les deux sélections traditionnelles du Queensland et de Nouvelle-Galles du Sud, transformées en franchises professionnelles, ainsi qu'une nouvelle franchise représentant le Territoire de la capitale australienne et ses alentours, créée pour l'occasion, les ACT Brumbies. Enfin les Sud-Africains alignèrent les deux premières années des provinces de Currie Cup avant de copier le modèle néo-zélandais et de créer des franchises associant plusieurs provinces. En 1996, les équipes alignées étaient : Natal Sharks, Waikato, Western Province, Canterbury, Otago, Queensland, ACT, Transvaal, Wellington, Northern Transvaal, Nouvelle Galles du Sud et Auckland. Ce nouveau Super 12 comportait une poule unique, ce qui occasionnait de nombreux déplacements, particulièrement fatigants pour les équipes sud-africaines partant durant six semaines consécutives en Australie et Nouvelle-Zélande. Sous l'influence du marketing, les noms des équipes se simplifièrent, chaque entité devant être une marque facilement identifiable comme dans les sports américains. Seules les deux équipes australiennes des New South Wales Waratahs et des Queensland Reds possédaient des surnoms historiques. Dès l'an 2000, chaque équipe était essentiellement identifiée à un simple surnom, presque débarrassé de son origine géographique (on connaît désormais l'équipe du Queensland sous son surnom de Reds, celle de Canberra sous son surnom de Brumbies etc.). Les franchises néo-zélandaises accolèrent des surnoms à leur appellation originale (Waikato Chiefs par exemple) dès leur première saison, mais les équipes sud-africaines ne portèrent que leur nom géographique lors des deux premières saisons. Ainsi est-on passé du Northern Transvaal aux Northern Bulls, puis aux Bulls, le Transvaal est devenu les Gauteng Lions, puis les Cats et enfin les Lions, le Natal est devenu les Coastal Sharks puis les Sharks, et la Western Province s'est nommée Western Stormers, puis Stormers.
Super 14 (2006-2010)
En 2005, la SANZAR renouvelle le contrat, arrivé à expiration, avec News Corporation (pour l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni et Supersport (pour l'Afrique du Sud), moyennant 323 millions de dollars sur cinq ans, en échange de l'exclusivité sur le Super 12 et le Tri-Nations. Le tournoi s'élargit, le Super 12 devenant le Super 14, avec l'intégration de deux nouvelles franchises: la Western Force, basée à Perth en Australie et préférée à la candidature des Melbourne Rebels, et les Cheetahs, qui jouent à Bloemfontein en Afrique du Sud. En 2007, une des cinq franchises sud-africaines devait laisser sa place à la nouvelle franchise des Southern Spears, mais ce processus est annulé. Cette année-là, pour la première fois, deux équipes sud-africaines, les Sharks et les Bulls, terminent aux deux premières places de la phase préliminaire. Elles remportent leur demi-finale avant de s'affronter en finale à Durban dans la première finale 100 % sud-africaine de l'histoire. L'année suivante, les Crusaders remportent leur septième titre en treize éditions, soit plus d'une victoire tous les deux ans. En 2009, les Bulls accrochent leur deuxième titre en battant les Chiefs 61-17, il s'agit de la plus large victoire en finale depuis le début de la compétition. Ils font le doublé l'année suivante an battant les Stormers en finale[1].
Super Rugby (à partir de 2011)
Dès novembre 2009, dans la perspective de la renégociation du contrat entre la SANZAR et les diffuseurs devant prendre effet en 2011, le principe d'une quinzième franchise basée en Australie est acceptée : il s'agira des Melbourne Rebels, qui avaient été recalés en 2006 [2]. Un accord d'un montant de 437 millions de dollars portant sur la diffusion de la compétition ainsi que celle du Tri-Nations pour cinq années est signé par la SANZAR avec Supersport (Afrique du Sud), Fox Sports (Australie) et SKY Television, alors propriété à 44% de News Corp (Nouvelle-Zélande)[3]. Les quinze franchises sont groupées en trois conférences séparées (Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud) de cinq équipes chacune. Chaque équipe joue en matchs aller et retour contre les quatre autres équipes de la même conférence et dispute quatre matchs contre quatre des cinq équipes de chacune des deux autres conférences, soit un total de 16 matchs par équipe dont 8 à domicile. Six équipes, au lieu de quatre précédemment, sont qualifiées pour les playoffs : les vainqueurs des trois conférences ainsi que les trois équipes non classées premières qui comptent le plus de points (wildcards teams). Les deux vainqueurs de conférences qui comptent le plus de points sont qualifiés directement pour les demi-finales et affrontent sur leur terrain les deux vainqueurs d'un tour éliminatoire disputé par les quatre autres équipes qualifiées.
Le Super 15 débute lors de la dernière semaine de février et se termine en août, sauf en 2011, le calendrier devant être modifié pour tenir compte de la coupe du monde. Au plan sportif, la période est dominée par quatre franchises jamais titrées jusqu'alors : les Australiens des Reds (2011) et des Waratahs (2014) et les Néo-Zélandais des Chiefs (2012 et 2013) et des Highlanders (2015). Après les trois titres des Bulls entre 2007-2010, les équipes sud-africaines sont en retrait, seuls les Sharks parvenant en finale en 2012. Les Crusaders, franchise la plus titrée de la compétition, connaissent deux finales perdues (2011 et 2014).
En février 2012, la SANZAR annonce qu'elle réfléchit à de nouveaux projets d'expansion avec l'ajout de franchises en Argentine, au Japon et aux Etats-Unis, des marchés potentiellement porteurs, anticipant sur l'expiration du contrat télévisé après 2015. La compétition change effectivement à nouveau de format en 2016 en passant de 15 à 18 équipes. En septembre 2013, la fédération sud-africaine (SARU) a d'abord obtenu la garantie d'une sixième franchise, évitant les déchirements entre ses propres équipes (six candidats pour cinq places) qui marquaient son histoire depuis 2007. Puis en novembre 2014, une candidature japonaise, en battant un projet basé à Singapour[4], et l'Argentine obtiennent chacun une franchise[5]. Pour le Japon, il s'agit d'une avancée décisive car il engagera son équipe nationale afin de la rendre compétitive dans la perspective de l'organisation de la Coupe du monde en 2019 et des Jeux olympiques en 2020 (le rugby à sept étant devenu discipline olympique) sur son territoire. Pour l'Argentine, qui n'a pas de championnat de clubs ou de provinces professionnel, il s'agit de poursuivre son développement après ses bons résultats en Coupe du monde (régulièrement qualifiée pour les quarts de finale, elle termine troisième en 2007) et l'entrée de son équipe nationale dans le Tri-Nations (rebaptisé Rugby Championship à cette occasion), en 2014. La fédération argentine (UAR), qui a négocié l'accord, alignera son équipe nationale et se passera des internationaux jouant en France ou dans les îles Britanniques, obligeant tout joueur souhaitant représenter les Pumas à évoluer au pays. La franchise devrait être basée à Buenos Aires.
L'augmentation du nombre d'équipes entraîne une modification profonde du système du championnat. Quatre poules sont créées : une en Australie (cinq équipes), une en Nouvelle-Zélande (cinq équipes), deux en Afrique du Sud (quatre équipes : trois sud-africaines et la franchise japonaise ou argentine). Entre 2010 et 2015, les Pampas XV, équipe d'espoirs argentins, avait déjà joué en Vodacom Cup, compétition sud-africaine des provinces. Pour les besoins de la phase préliminaire, les poules australienne et néo-zélandaises sont placées dans un groupe australasien, et les deux poules sud-africaines dans un groupe sud-africain. Chaque équipe jouera 17 matches préliminaires : deux (aller-retour) contre les équipes de sa poule, un contre les cinq autres équipes du groupe, et un contre quatre équipes de l'autre groupe. Les playoffs se déroulent avec huit équipes, qualifiés pour les quarts de finale, 5 issues du groupe australasien, trois du groupe sud-africain : les vainqueurs des quatre conférences, ainsi que quatre "wildcards", les trois équipes les mieux classées du groupe australasien (en dehors des vainqueurs des conférences australienne et néo-zélandaise) et l'équipe la mieux classée du groupe sud-africain (en dehors des vainqueurs des conférences sud-africaines). Les huit équipes sont ensuite classées pour déterminer les lieux des rencontres : les quatre vainqueurs de conférence reçoivent les quatre détenteurs des wildcards selon leur classement après les matches préliminaires (le meilleur vainqueur de conférence reçoit le dernier qualifié comme wildcard et.). Les demi-finales et la finale se déroulent sur le terrain de l'équipe la mieux classée.
La saison s'étendra du 26 février au 16 juillet, date de la finale (142 rencontres au total). Basée à Tokyo, l'équipe japonaise jouera néanmoins trois matches à Singapour au Singapore Sports Hub dans le cadre du développement sportif autant qu'économique du rugby en Asie du Sud-Est souhaité par la SANZAR.
Équipes disputant le Super Rugby
A compter de 2016, la compétition oppose les dix-huit franchises issues de cinq nations. Pour plus de détails sur les zones géographiques concernées par les franchises, australiennes, sud-africaines et néo-zélandaises, voir l'équivalence géographique des franchises du Super 15. La compétition oppose dix-huit franchises issues d'Afrique du Sud, d'Australie, de Nouvelle-Zélande, du Japon et d'Argentine. Chaque franchise représente une aire géographique.
Nom | Pays | Ville | Stade | Entraîneur | Capitaine |
---|---|---|---|---|---|
Argentine | Argentine | Buenos Aires | - | - | - |
Blues | Nouvelle-Zélande | Auckland | Eden Park | Tana Umaga | Jerome Kaino |
Brumbies | Australie | Canberra | Canberra Stadium | Stephen Larkham | Ben Mowen |
Bulls | Afrique du Sud | Pretoria | Loftus Versfeld | Nollis Marais | - |
Cheetahs | Afrique du Sud | Bloemfontein | Free State Stadium | Franco Smith | Francois Uys |
Chiefs | Nouvelle-Zélande | Hamilton | Waikato Stadium | Dave Rennie | Aaron Cruden |
Crusaders | Nouvelle-Zélande | Christchurch | Rugby League Park | Todd Blackadder | Kieran Read |
Highlanders | Nouvelle-Zélande | Dunedin | Forsyth Barr Stadium | Jamie Joseph | Ben Smith |
Hurricanes | Nouvelle-Zélande | Wellington | Westpac Stadium | Chris Boyd | Conrad Smith |
Southern Kings | Afrique du Sud | Port Elizabeth | Nelson Mandela Bay Stadium | - | - |
Lions | Afrique du Sud | Johannesburg | Ellis Park Stadium | Johan Ackermann | Warren Whiteley |
Rebels | Australie | Melbourne | AAMI Park | Tony McGahan | Scott Higginbotham |
Waratahs | Australie | Sydney | Sydney Football Stadium | Michael Cheika | Dave Dennis |
Queensland Reds | Australie | Brisbane | Suncorp Stadium | Richard Graham | James Slipper |
Sharks | Afrique du Sud | Durban | Kings Park Stadium | Gary Gold | - |
Stormers | Afrique du Sud | Cape Town | Newlands Stadium | Eddie Jones | - |
Sunwolves | Japon | Tokyo Singapour | Chichibunomiya Rugby Stadium Singapour | - | - |
Western Force | Australie | Perth | Perth Oval | Michael Foley | Matt Hodgson |
Palmarès
South Pacific Championship
- 1986 : Canterbury
- 1987 : Auckland et Canterbury
- 1988 : Auckland
- 1989 : Auckland
- 1990 : Auckland
Super 6
- 1992 : Queensland
Super 10
- 1993 : Transvaal (Afrique du Sud)
- 1994 : Queensland
- 1995 : Queensland
Super 12
Date | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | 1er de la phase régulière |
---|---|---|---|---|---|---|
Blues | 45 – 21 | Sharks | Eden Park, Auckland | Queensland Reds | ||
Blues | 23 – 7 | Brumbies | Eden Park, Auckland | Blues | ||
Crusaders | 20 – 13 | Blues | Eden Park, Auckland | Blues | ||
Crusaders | 24 – 19 | Highlanders | Carisbrook, Dunedin | 41 500 | Queensland Reds | |
Crusaders | 20 – 19 | Brumbies | Canberra Stadium, Canberra | 27 489 | Brumbies | |
Brumbies | 36 – 6 | Sharks | Canberra Stadium, Canberra | 26 271 | Brumbies | |
Crusaders | 31 – 13 | Brumbies | Jade Stadium, Christchurch | Crusaders | ||
Blues | 21 – 17 | Crusaders | Eden Park, Auckland | 47 000 | Blues | |
Brumbies | 47 – 38 | Crusaders | Canberra Stadium, Canberra | 28 753 | Brumbies | |
Crusaders | 35 – 25 | Waratahs | Jade Stadium, Christchurch | 36 500 | Crusaders |
Super 14
Date | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | 1er de la phase régulière |
---|---|---|---|---|---|---|
Crusaders | 19 – 12 | Hurricanes | Jade Stadium, Christchurch | 36 500 | Crusaders | |
Bulls | 20 – 19 | Sharks | ABSA Stadium, Durban | 54 000 | Sharks | |
Crusaders | 20 – 12 | Waratahs | AMI Stadium, Christchurch | 26 000 | Crusaders | |
Bulls | 61 – 17 | Chiefs | Loftus Versfeld Stadium, Pretoria | 55 000 | Bulls | |
Bulls | 25 – 17 | Stormers | Orlando Stadium, Soweto | 40 000 | Bulls |
Super 15
Date | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu | Spectateurs | 1er de la phase régulière |
---|---|---|---|---|---|---|
Reds | 18 – 13 | Crusaders | Suncorp Stadium, Brisbane | 52 113 | Reds | |
Chiefs | 37 – 6 | Sharks | Waikato Stadium, Hamilton | 25 100 | Chiefs | |
Chiefs | 27 – 22 | Brumbies | Waikato Stadium, Hamilton | 25 114 | Chiefs | |
Waratahs | 33 – 32 | Crusaders | ANZ Stadium, Sydney | 61 823 | Waratahs | |
Highlanders | 21 – 14 | Hurricanes | Westpac Stadium, Wellington | 35 896 | Hurricanes |
Palmarès par équipe
Rang | Franchise | Victoires | Finales perdues |
---|---|---|---|
1 | Crusaders | 7 | 4 |
2 | Blues | 3 | 1 |
3 | Bulls | 3 | 0 |
4 | Brumbies | 2 | 4 |
5 | Chiefs | 2 | 1 |
6 | Waratahs | 1 | 2 |
7 | Highlanders | 1 | 1 |
8 | Reds | 1 | 0 |
9 | Sharks | 0 | 4 |
- | Hurricanes | 0 | 2 |
- | Stormers | 0 | 1 |
Palmarès par nation
Rang | Pays | Victoires | Finales perdues |
---|---|---|---|
1 | Nouvelle-Zélande | 13 | 9 |
2 | Australie | 4 | 6 |
3 | Afrique du Sud | 3 | 5 |
Records de la compétition
Records par équipes
- Score le plus haut : 96 – Crusaders v Waratahs (19), 2002
- Score le plus bas : 0 - Hurricanes v Reds (11), 1999 ; Bulls v Brumbies (15), 1999 ; Bulls v Sharks (29), 1999 ; Cats v Brumbies (64), 2000 ; Bulls v Highlanders (23), 2005 ; Brumbies v Blues (17), 2006 ; Reds v Brumbies (36), 2006 ; Force v Crusaders (53), 2007 ; Stormers v Crusaders (22), 2008 ; Crusaders v Highlanders (6), 2009 ;
- Plus petit écart de points : Brumbies vs Reds (6-3) 2007
- Plus grand écart de points : 89 – Bulls v Reds (92-3), 2007
- Victoires consécutives : 15 – Crusaders, 2002/2003
- Défaites consécutives : 11 – Bulls, 2002
- Le plus grand nombre d’essais en un match : 14 – Crusaders v Waratahs, 2002
- Le plus grand nombre d’essais en une saison : 71 – Crusaders, 2005
- Le plus petit nombre d’essais en une saison : 15 – Blues, 1999, 2000; Reds, 2007
- Le plus grand nombre de point en une saison : 12 – Crusaders, 2008 regular season
- Le plus petit nombre de victoires en une saison : 0 – Bulls, 2002 regular season
- Le plus grand nombre de victoires d'affilée à domicile : 21 – Blues 1996-1998; Crusaders 2004-2006
Records individuels
Les records référencés par la SANZAR sont [6] :
Sur un match
- Points : 50 – Gavin Lawless, Sharks
- Essais : 4, Joe Roff (Brumbies), Gavin Lawless & Stefan Terblanche (Sharks), Joeli Vidiri, Doug Howlett & Mils Muliaina (Blues), Caleb Ralph (Crusaders), Sitiveni Sivivatu, Chiefs
- Transformations : 13 – Andrew Mehrtens, Crusaders
- Pénalités : 8 – Jannie Kruger, Derick Hougaard, Bulls
- drops : 4, Morné Steyn, Bulls
Sur une saison
- Points : 263 – Morné Steyn, Bulls, 2010
- Essais : 15 - Joe Roff, Brumbies, 1997; Rico Gear, Crusaders, 2005
- Transformations : 51 – Stirling Mortlock, Brumbies, 2004
- Pénalités : 51 – Morné Steyn, Bulls, 2010
En carrière
- Points : 1 377 – Daniel Carter, Crusaders
- Essais : 59 Doug Howlett, Blues
- Transformations : 148 – Matt Burke, Waratahs[réf. nécessaire]
- Pénalités : 195 – Andrew Mehrtens, Crusaders[réf. nécessaire]
- Essai le plus rapide : 16 secondes – Keegan Daniel, Sharks[réf. nécessaire]
Notes et références
- ↑ Jérémy Fadat, « Les Bulls s'offrent un doublé », sur rugbyrama.fr, Midi olympique, (consulté le 3 février 2011)
- ↑ (en) Super 14 expansion plans revealed, sur planetrugby.com
- ↑ http://www.abc.net.au/news/2010-04-22/sanzar-secures-lucrative-tv-deal/406214 SANZAR secures lucrative TV deal
- ↑ http://www.sanzarrugby.com/superrugby/news/japan-given-the-nod-for-super-rugby/ Japan given the nod for Super Rugby
- ↑ http://www.sanzarrugby.com/superrugby/news/japan-and-argentina-officially-join-super-rugby/ Japan and Argentina officially join Super Rugby
- ↑ (en) « About Super Rugby » (consulté le 10 juin 2014)
Annexes
Articles connexes
- The Rugby Championship
- Australian Rugby Union
- New Zealand Rugby Football Union
- South African Rugby Union
Liens externes
- (en) Site officiel
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