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Mur des Lamentations

Mur des Lamentations

Mur des Lamentations
Mur occidental
Panorama du Mur des lamentations surmonté du mont du Temple avec le dôme du Rocher (à gauche) et la mosquée al-Aqsa (à droite).
Panorama du Mur des lamentations surmonté du mont du Temple avec le dôme du Rocher (à gauche) et la mosquée al-Aqsa (à droite).
Localisation
Pays  Israël
Ville Jérusalem
Coordonnées 31° 46′ 36″ N 35° 14′ 03″ E/31.776667, 35.2342531° 46′ 36″ Nord 35° 14′ 03″ Est/31.776667, 35.23425

Géolocalisation sur la carte : Israël

Mur des Lamentations
Mur occidental
X
Dans le tunnel du Mur occidental
Le Kotel Hakatan
Rassemblement devant le Mur occidental lors de la bénédiction sacerdotale

Le Mur des Lamentations, appelé aussi Mur occidental (hébreu : הכותל המערבי, translit. : HaKotel HaMa'aravi) ou HaKotel (« le Mur » ; en arabe : il-Mabka) et El-Bourak, est un mur de soutènement de l'esplanade du Temple de Jérusalem situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem datant du Ier siècle av. J.-C., lors de la construction du Temple d'Hérode à la fin de l'époque du Second Temple. Il a été intégré au VIIe siècle aux murs d'enceinte de l'Esplanade des mosquées, ou Mont du Temple, lors de la construction du Dôme du Rocher et de la mosquée al-Aqsa[1].

Il est révéré par les juifs pour sa proximité avec le Saint des Saints, situé sur le mont du Temple et est de ce fait considéré comme l'endroit le plus saint (généralement accessible) aux juifs pour la prière.

Le Mur des lamentations est également un symbole national israélien, et des cérémonies non intrinsèquement religieuses s'y tiennent comme la Yom Hazikaron.

Construction du mur : vers 17 ap. J.-C.

Le Mur occidental est un vestige du mur d'enceinte qui avait été érigé afin d'étendre le plateau quasi naturel sur lequel les temples de Jérusalem avaient été construits[2]. Jusqu'au début du XXIe siècle, les historiens pensaient que[1] cette extension avait été réalisée par Hérode Ier le Grand en vue d'agrandir, ou de reconstruire, le temple. Mais, en 2011 des recherches archéologiques par l'équipe de Ronny Reich (en) viennent remettre cette version en question. En effet, la découverte, au pied des fondations du Mur, de pièces de monnaie frappées par Valerius Gratus, préfet de Judée vers 17/18 de l'ère commune, démontrerait que la construction du mur n'avait même pas commencé avant la mort d'Hérode. Cela pourrait donner raison à l'historien romain Flavius Josèphe qui affirme que les travaux au Mont du Temple n'avaient été terminés que sous le règne du roi Agrippa II[3],[4].

Le pan de 57 mètres de long visible n'est en fait qu'une partie de la muraille occidentale, de 497 mètres de long. Le reste du mur est actuellement situé pour une partie dans le quartier arabe de la ville, utilisé comme quatrième mur par les maisons attenantes, et pour l'autre enterré sur plus de 200 mètres. Cette partie souterraine peut être vue en empruntant le tunnel souterrain qui longe le mur sur plus de 200 mètres.

Le Mur occidental fait partie d'un plus grand site religieux de la vieille ville de Jérusalem, appelé Har haBayit par les juifs, mont du Temple par les chrétiens et Al-Haram al-Qudsi al-Sharif (le « Noble Sanctuaire ») par les musulmans. Il existe une autre portion de ce mur, un peu plus au nord, qui est appelée le Kotel HaKatan, le Petit Kotel, considérée par certains comme plus proche du Saint des Saints que le grand Kotel[Note 1]. Une petite chambre souterraine, appelée « La Grotte », située dans le tunnel du Mur occidental, est encore plus proche du Saint des Saints, mais elle ne peut être fréquentée que par quelques visiteurs à la fois.

Le lieu saint juif

Le Kotel est le lieu le plus saint selon la religion juive car c'est aujourd'hui l'endroit le plus proche du Kodesh Ha' Kodashim (Saint des Saints), salle des premier et second temples à laquelle seul le Grand prêtre d'Israël pouvait accéder. Il existe en fait un endroit plus proche, dans le souterrain du Kotel, étant directement face au Kodesh Ha'Kodashim (où est aujourd'hui érigé le dome du Rocher). Selon la coutume, certains juifs qui vont prier au Mur occidental ou Kotel, y déposent des vœux, le plus souvent sous la forme de prière et de petits papiers pliés où sont rédigés leurs souhaits, lesquels sont ensuite glissés dans les fentes qui séparent les différentes pierres du mur.

Origine de l'appellation de « mur des Lamentations »

Le terme de « Mur des Lamentations » est introduit au XIXe siècle par les mandataires britanniques, qui le traduisent de l'arabe il-Mabka. Ce terme est tombé en disgrâce dans les milieux juifs[5] ainsi que dans les milieux arabes, qui le nomment El-Bourak, le nom de la monture de Mahomet lorsqu'il fit son voyage nocturne[5],. En revanche il reste toujours très majoritairement utilisé en France et dans la chrétienté en général.[réf. nécessaire]

Aujourd'hui, l'usage des termes « Mur occidental » ou « Mur des Lamentations » ou « El-Bourak » est un enjeu de la guerre des mots dans le conflit israélo-palestinien[Note 2].

Le Mur pour l'islam

Le Mur revêt aussi une signification importante pour les musulmans car il sert de soutènement à l'esplanade où sont construits le dôme du Rocher et la mosquée al-Aqsa, troisième lieu saint de l'Islam[6].

Selon la tradition islamique, lors du voyage nocturne du prophète Mahomet au cours duquel il est monté sur le buraq, qui l'a conduit de La Mecque jusqu'à Jérusalem[7], Mahomet attacha le buraq au mur occidental, avant de prier sur l'Esplanade et de voyager avec l'ange Jibril (Gabriel) au Ciel, où il a rencontré plusieurs autres prophètes (Adam, Jésus, Jean le Baptiste, Joseph fils de Jacob, Hénoch, Aaron, Moïse et Abraham) avec qui il a prié[8][9]. À l'endroit précis où il attacha le buraq, une petite mosquée fut construite et nommée « mosquée du buraq »[10]. Elle se situe au coin sud-ouest de l'Esplanade des mosquées, juste au-dessus du Mur occidental.

Des écrits du XIVe siècle d'Ibn Furkah racontent que la monture de Mahomet a été attachée au mur occidental lors du voyage du Prophète à Jérusalem[11]. Cette tradition aurait été surtout ravivée par les Jordaniens après la création de l'État d'Israël pour contrebalancer l'intérêt des juifs pour ce site[11].

En 2013, des travaux israéliens autour de la porte Al-Magharbeh (creusements, déblaiement des voies souterraines et destructions) provoquent une polémique et l'inquiétude des musulmans. Selon le chef adjoint du Mouvement islamique en Israël, Sheikh Kamal al-Khatib : « l'expansion israélienne en cours dans la partie où les juifs avaient l'habitude de prier comprend toute la zone restant aux musulmans et touche directement la mosquée Al-Buraq. »[12].

Histoire

Selon la Bible, le Temple de Salomon aurait été le premier Temple de Jérusalem, dont la construction se situerait aux alentours du Xe siècle av. J.-C. sur un site mégalithique[réf. nécessaire]. Sa destruction par les Babyloniens date de 586 av. J.-C.. Les archéologues n'ont cependant trouvé aucune trace de cette construction mais la conjoncture politique a empêché des fouilles systématiques. Le nombre d'habitants de Jérusalem à cette époque, quelques centaines, rend improbable la construction d'une grande structure.

Le second temple fut érigé en 515 av. J.-C., la cinquième année du règne de Darius le Grand (Esdras 6:15), considérablement agrandi et embelli par Hérode le Grand, inauguré en 63 ap. J.-C.et détruit par les armées romaines en 70, à la suite de la première guerre judéo-romaine. Le mur actuel semble postérieur à l'extension hérodienne et daterait du début du Ier siècle.

Témoignage de la destruction du Temple par les Romains

Flavius Josèphe, témoin de la chute de Jérusalem prise par Titus en 70, relate dans La Guerre des juifs, Livre VII, que seule subsiste la partie occidentale du Mur :

« Quand l'armée n'eut plus rien à tuer ni à piller, faute d'objets où assouvir sa fureur - car si elle avait eu de quoi l'exercer, elle ne se serait abstenue par modération d'aucune violence - Titus César lui donna aussitôt l'ordre de détruire toute la ville et le Temple, en conservant cependant les tours les plus élevées, celles de Phasaël, d'Hippicos, de Mariamme, et aussi toute la partie du rempart qui entourait la ville du côté de l'ouest. Ce rempart devait servir de campement à la garnison laissée à Jérusalem ; les tours devaient témoigner de l'importance et de la force de la ville dont la valeur romaine avait triomphé. Tout le reste de l'enceinte fut si bien rasé par la sape que les voyageurs, en arrivant là, pouvaient douter que ce lieu eût jamais été habité. Telle fut la fin de Jérusalem, cité illustre, célèbre parmi tous les hommes, victime de la folie des factieux (Guerre des juifs Livre VII, I, 1). »

Destruction de Jérusalem vers 135

Après la défaite de la révolte de Bar Kokhba (vers 135), Jérusalem est détruite. La nouvelle ville qui porte le nom d'Ælia Capitolina est reconstruite sur le plan d'une colonie romaine[13].

Interdiction de la ville aux Juifs sauf un jour par an pour venir s'y « lamenter »

Gravure représentant le Mur par Bida tirée de Jewish Encyclopedia

Les Juifs, toutes tendances confondues sont expulsés de la ville comme de l'ensemble de la Chôra[13], y compris les juifs nazôréens qui reconnaissaient Jésus comme Messie[Note 3]. Selon Épiphane de Salamine, seuls les chrétiens de la « Grande Église » sont autorisés à vivre et à se rendre à Jérusalem[14]. La population d'Aelia Capitolina est désormais essentiellement composée de vétérans de la Ve légion Macedonia et de la Xe légion romaine qui reconstruit son camp et forme aussi le cœur de la population de la ville, mais aussi de Grecs et de Syriens en général[13].

Certains historiens estiment que l'interdiction de venir dans l'ancienne Jérusalem aurait été assouplie à l'époque d'Antonin le pieux, toutefois cette interdiction semble avoir perduré même après la conversion de l'empereur Constantin au christianisme.

Ainsi au IVe siècle, Jérôme de Stridon, l'un des quatre Pères de l'Église latine, violemment anti-juif, mentionne dans un commentaire de Sophonie 1.15 « Ce jour est un jour de fureur, Un jour de détresse et d'angoisse, Un jour de ravage et de destruction, Un jour de ténèbres et d'obscurité, Un jour de nuées et de brouillards,... », puis il reprend l'accusation de déicide formulée dans le corpus patristique: « Jusqu'à ce jour, ces locataires hypocrites ont l'interdiction de venir à Jérusalem, car ils sont les meurtriers des prophètes et notamment du dernier d'entre eux, le Fils de Dieu ; à moins qu'ils ne viennent pour pleurer car on leur a donné permission de se lamenter sur les ruines de la ville, moyennant paiement »[15].

Jérôme indique donc que les Juifs interdit de cité le reste de l'année, venaient « se lamenter » un jour particulier, moyennant paiement. Il s'agit du 9 Ab du calendrier hébraïque « où ils ont le droit de venir se lamenter sur les ruines du Temple afin d'en commémorer la chute ou ses chutes successives (Tisha Beav)[16]. » Bien que Jérôme ne mentionne pas explicitement le « Mur », on retrouve dans sa formulation le nom du « Mur des lamentations » que le monde chrétien utilisait pour désigner le mur Ouest du Temple, qui n'a pas été détruit en 70.

Il est également possible que dès l'époque des Sévères des Juifs « aient de nouveau habité Jérusalem, même si l'interdiction n'a pas été annulée car la population judéenne d'Ælia est attestée dans la littérature rabbinique par plusieurs mentions faisant état d'une « sainte synagogue de Jérusalem »[16]. »

Au Moyen Âge

Le Kotel sur une gravure imprimée en 1850

Le mur est déjà un lieu de prière comme en témoigne Benjamin de Tudèle au XIIe siècle : « À l'opposé de cet endroit, à l'occident est une muraille qui est un reste de celle du Temple et même du Saint des Saints. On l'appelle la porte de Miséricorde. Tous les juifs vont prier à cet endroit où était le parvis »[17].

Sous l'Empire ottoman

Pendant 400 ans, de 1517 à 1917, les Turcs administrent la Palestine et laissent les juifs prier au Mur. La Jewish Encyclopedia décrit ainsi le Mur vers 1906 : « Le fameux lieu des Lamentations (le « Kotel Ma'arabi ») est intéressant à tout point de vue. Chaque vendredi après-midi et après le service du Chabbat matin ou des jours de fête, les juifs s'assemblent en une foule pittoresque pour se lamenter sur leur gloire passée. C'est le lieu de rassemblement des juifs de Jérusalem comme l'est le mont du Temple pour les musulmans ou le Saint-Sépulcre pour les chrétiens »[18].

Sous le mandat britannique

1918. Soldats de la Légion juive appartenant à l'armée britannique, près du Mur

À leur tour, les Britanniques administrent la Palestine de 1917 à 1948 et y perpétuent le statu quo. En 1929, des tensions apparaissent entre juifs et musulmans autour du Mur. Des émeutes éclatent. Elles s'étendent à Hébron où des juifs sont massacrés. Les Britanniques nomment une commission d'enquête qui conclut que le Mur était propriété des musulmans et administré par eux. Toutefois, les juifs ont le droit d'y prier à condition de se conformer à certaines régulations limitant leur droit d'y apporter des objets ou leur interdisant de sonner le shofar[19].

Sous contrôle jordanien

Durant la guerre israélo-arabe de 1948-1949, la Légion arabe prend le contrôle de la Vieille Ville de Jérusalem et l'accès au Mur est interdit aux Juifs par les autorités jordaniennes, en violation de l'article VIII des accords d'armistice. Pendant les dix-neuf années qui suivent, les nombreuses demandes par des officiels israéliens et des groupes juifs, tant aux Nations unies qu'auprès d'autres organismes internationaux[réf. nécessaire] pour essayer de mettre en application l'accord d'armistice, restent vaines. Seuls les soldats jordaniens et les touristes peuvent avoir accès au site qui est un temps transformé en dépotoir[réf. nécessaire].

Depuis 1967

Dégagement de l'esplanade devant le Kotel en juillet 1967

Lors de la guerre des Six Jours en juin 1967, les Israéliens prennent le contrôle de toute la rive droite du Jourdain et donc de l'ensemble de la ville de Jérusalem. Cette reconquête du Mur occidental, près de 19 siècles après la prise de Jérusalem par Titus, est symbolisée par la sonnerie du shofar effectuée par le grand rabbin Shlomo Goren dès que les troupes israéliennes atteignent le Mur le 7 juin 1967. L'accès au Mur occidental, interdit aux juifs par les autorités jordaniennes pendant une vingtaine d'années, leur redevient alors possible. Très vite, les Israéliens entament la destruction d'un hectare du « quartier juif » et en expulsent 650 habitants, afin de dégager l'esplanade actuelle « alors que pendant des siècles les juifs qui venaient y prier se contentaient des quatre mètres existants entre les maisons et le mur »[11],[20]. Le reste du quartier voit le retour des juifs et particulièrement l'établissement de yechivoth.

Le Mur, aujourd'hui

Le mur occidental et son accès : l'esplanade du Mur est à gauche et derrière se dresse la coupole dorée du Dôme du Rocher. au centre, on voit la coupole (grise) de la Mosquée al-Aqsa à l'arrière plan et devant, dans la partie basse, le point de contrôle.

De l'extérieur de la vieille ville, on accède à l'esplanade devant le Mur par une porte des remparts, la porte des Maghrébins ou encore porte des Détritus, et les contrôles de police y sont stricts. Cette porte donne aussi accès au quartier des Maghrébins, l'ancien et à nouveau florissant quartier juif de la vieille ville de Jérusalem. L'esplanade devant le Mur est séparée en 3 parties : la plus éloignée est ouverte à tout public ; deux sections séparées par une mekhitsa (cloison) sont à la disposition des personnes qui voudraient se rendre près du Mur, la section nord étant réservée aux hommes et la section sud aux femmes.

Les salles souterraines bordant la section des hommes comprennent de nombreuses arches saintes où sont rangés des rouleaux de la Torah utilisés lors des offices de prière qui se tiennent à toute heure. C'est aussi au nord du Mur que s'amorce le tunnel du Mur occidental (dont la sortie est sur la via Dolorosa), accessible au public sur rendez-vous.

Le site est fréquemment choisi pour des célébrations et cérémonies, en particulier celles de bar mitzvah. Beaucoup sacrifient à la coutume fort populaire bien que non unanimement approuvée de déposer des feuillets contenant des souhaits ou des prières dans les fentes et crevasses du mur.

À l'extrémité sud du Mur occidental, on distingue nettement le départ de l'arche de Robinson (du nom de l'archéologue l'ayant le premier étudiée) qui supportait jadis les escaliers permettant de monter de la rue au mont du Temple[21]. Au pied de cette arche a été découverte la pierre d'Isaïe sur laquelle est gravé en hébreu le verset Isaïe 66,14 : וראיתם ושש לבכם ועצמותיכם כדשא תפרחנה ("Vous le verrez, et votre cœur se réjouira, et vos os reprendront vigueur comme l'herbe reverdit"). Elle se trouve sous l'arche de Robinson dans le parc archéologique Davidson[22].

Notes

  1. Par une décision de la justice israélienne de 2012, il est interdit de sonner du shofar au petit Kotel. Voir Gérard Fredj, « Israël - Jérusalem : Shofar interdit au petit kotel », sur Israël Infos, .
  2. Une recherche sur Google Books montre que « Mur occidental » est utilisé dans ce sens précis dès 1853 par Félicien de Saulcy (voir recherche sur Google Books de « Jérusalem et "mur occidental" ») et dès 1840 par les Archives Israélites de France (voir Archives israélites de France(1840)) et que « Mur des Lamentations » est utilisé pour la première fois en 1856 par Armand de Mestral dans son « Commentaire sur le livre des Psaumes » (voir une recherche sur Google Books des livres publiés avant 1870 mentionnant le mur des Lamentations).
  3. Ils se replient vers le nord et s'implantent en Galilée, cf. François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 122.

Références

  1. 1 2 Quelle est l'origine du mur des Lamentations à Jérusalem ? sur Futura Sciences
  2. (en) Benjamin Mazar, « The Excavations South and West of the Temple Mount in Jerusalem: The Herodian Period », The Biblical Archaeologist, The American Schools of Oriental Research, vol. 33, no 2, , p. 47-60 (JSTOR 3211027)
  3. (en) « Jerusalem Holy Site Excavations Unearth History, Controversy », sur Bloomberg LP,
  4. « Le Mur des Lamentations n'a pas été construit par Hérode », sur Le Figaro,
  5. 1 2 Hillel Halkin, Western Wall or Wailing Wall, Philologos, The Forward, 2001
  6. http://oumma.com/Jerusalem-ville-sacree-dans-la Jérusalem, ville sacrée dans la tradition islamique, article de Pierre Lory
  7. Richard C. Martin, Said Amir Arjomand, Marcia Hermansen, Abdulkader Tayob, Rochelle Davis et John Obert Voll, Encyclopedia of Islam and the Muslim World, Macmillan Reference USA, (ISBN 978-0-02-865603-8), p. 482.
  8. Religion and the Arts, Volume 12. 2008. p. 329-342
  9. Brooke Olson Vuckovic, Heavenly Journeys, Earthly Concerns: The Legacy of the Mi'raj in the Formation of Islam (Religion in History, Society and Culture), Routledge, (ISBN 978-0-415-96785-3).
  10. http://www.islamiclandmarks.com/palestine/jerusalem/buraq_masjid.html
  11. 1 2 3 (en) Simone Ricca, « Heritage, Nationalism and the Shifting Symbolism of the Wailing Wall », Institute of Jerusalem Studies (consulté le 17 juin 2014)
  12. http://www.ism-france.org/analyses/Israel-s-empare-du-dernier-secteur-musulman-restant-pres-de-la-mosquee-Al-Buraq-article-18046 Israël s'empare du dernier secteur musulman restant près de la mosquée Al-Buraq ; 13 avril 2013
  13. 1 2 3 Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 522.
  14. Épiphane de Salamine, Traité des poids et mesures, 14.
  15. (en) Moshe Gil, « A History of Palestine, (634-1099), page 69 », sur sur le site de Google books
  16. 1 2 Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère, Paris, 2012, éd. PUF, p. 523.
  17. « Voyages de Rabbi Benjamin, fils de Jona de Tudèle, en Europe, en Asie et en Afrique depuis l'Espagne jusqu'à la Chine », Jean-Philippe Baratier, 1732 (consulté le 7 décembre 2008)
  18. (en) « Jerusalem,Synagogues and Yeshibot », Jewish Encyclopedia, 1906
  19. Löfgren, Eliel; Barde, Charles; Van Kempen, J. (décembre 1930). Report of the Commission appointed by His Majesty's Government in the United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland, with the approval of the Council of the League of Nations, to determine the rights and claims of Moslems and Jews in connection with the Western or Wailing Wall at Jerusalem (UNISPAL doc A/7057-S/8427, 23 février 1968)
  20. Azzam Abou Saoud cité par Pierre Barbancey, « Jérusalem à travers le mur », Association France Palestine Solidarité, (consulté le 9 décembre 2008)
  21. (en)Robinson's Arch sur la Jewish Virtual Library
  22. "Jérusalem : 36 promenades à travers l'Histoire", Éditions Marcus, 2011, traduit par Nessim Ouahba et Eyal Méron, français, 4 mai 2011, 601 pages, isbn = 2713102367, 9782713102363, page 83

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • (en) Le shofar et le mur (événements de 1929- 1930)
  • (en) Libération du mont du Temple et du Mur occidental - Émission historique de la Voix d'Israël, le 7 juin 1967
  • (en) Recherche sur le mont du Temple
  • (en) Le tunnel du Mur
  • (en) Le mont du Temple et la forteresse Antonia

Vues panoramiques par caméras, films, et photographies en ligne

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